Texte de gkcdqho
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Le lendemain midi, Marie, la femme d'Issa téléphone et donne rendez-vous à Julie qui est seule à son domicile, son mari est en voyage d'affaires.
- Ce soir, 20h00, à la maison, en tenue de salope.
Julie se prépare. Parfumée, toute propre de partout, y compris les endroits secrets, intimes, pomponnés, préparés, enduits par avance. Julie a le pressentiment que les visites et explorations de son anatomie vont être précises, complètes et fourmillantes, sans doute sans retenue ni précaution. Sa robe, courte à mi cuisses, nettement au-dessus du genou, outrageusement transparente, aérienne, le tissu est délicat et aussi fin qu’une chemise de nuit. Les épaules et bras sont découverts, le décolleté profond devant, au ras de la pointe des seins, le dos est nu un peu au-dessus de la chute de reins. Le haut de robe baille sur sa poitrine plantureuse. Le maintien est assuré par deux petites cordelettes prises devant et nouées derrière la nuque (juste une bouclette). La couleur de la robe est vert d’eau limpide, transparent, très clair. Dessous, elle n'a rien.
Julie est pratiquement toute nue !! Cette robe n'est en fait qu'un simple voile !
Avant de continuer, Julie est bronzée intégral, ses tétons sont dressés en permanence, d’une extrême sensibilité. Les hommes croient qu'elle bande. Sa chatte est amplement basse, avec des lèvres renflées à souhait singulièrement apparentes, visibles par l’avant et l’arrière entre les fesses. Son clito ultrasensible, véritable petite bite à ses heures, lui joue de sales tours. Il s’enflamme tout seul, dicte son état, il l’emporte vers beaucoup d’excès.
Récemment Julie s'est fait épiler au laser sur les côtés et en dessous de sa grotte d’amour. Son œillet sensible, que tous veulent visiter, embrasser, pénétrer, a été définitivement rendu vierge de tous poils. C’est si agréable. Elle a juste conservé un doux duvet taillé en triangle sur le mont de vénus. La pointe incite, indique virtuellement : Votre plaisir c’est là !!!!
À 19h50, Julie sonne donc à la porte des voisins, Marie vient lui ouvrir, elle est vêtue d'une combinaison en cuir qui laisse ses seins libres, un gode ceinture orne son bassin. Marie la prend par le cou et approche ses lèvres des siennes, Julie est gênée. Elles sont sur le pas de porte, mais elle ne peut résister. Marie embrasse Julie goulûment, les langues se mêlent. C'est la première fois que Julie embrasse une femme et qui plus est une noire. Cela heurte ses convictions catholique bourgeoise mais elle est dans l'incapacité de résister à Marie. Marie malaxe les seins de Julie à travers sa robe. Julie pousse un gémissement et elle se mord les lèvres. Marie se penche et suce la pointe des seins de Julie, donnant de petits coups de langues. pendant ce temps là, sa main se glisse entre ses cuisses, elle tripote son clitoris, enfourne deux doigts dans son vagin et un dans l'anus, les faisant coulisser rapidement en regardant Julie dans les yeux.
Julie ouvre la bouche sur un cri muet, elle ondule du bassin, halète. Julie étouffe un cri quand l'orgasme la submerge la laissant dévastée. Marie lui ordonna de nettoyer ses doigts mouillées. Julie s’exécute, soumise, nettoyant ses doigts, léchant sa cyprine.
- T'es une vraie petite salope, sous tes airs de bourgeoise.
Quand Marie la libère, c'est juste pour lui murmurer à l'oreille.
- C'est bon, salope, je vois que tu es bien excitée, ça te plaît de venir te faire baiser, de te prendre les grosses queues noires de mes fils et de mon mari ?
- Oui, j'aime ça ! Répond Julie.
Marie lui dit :
- C'est bien, tu vas bien déguster ce soir, c'est à mon tour de profiter de ma voisine. Pour commencer va te mettre à quatre pattes sur le canapé, je vais m'occuper de ton cul.
Julie se dirige rapidement vers la canapé, elle a juste le temps de se mettre à genoux sur le canapé et d'écarter les fesses qu'elle sent le gode de Marie forcer sa rondelle. Heureusement qu'elle l'avait préparée avant de venir en mettant un peu de crème. Marie, lui défonce le cul avec violence et elle arrache à Julie un orgasme dévastateur. Après un bonne demi heure de ce régime et quelques orgasmes, Marie laisse Julie reprendre un peu de forces. Marie s'installe dans le canapé.
- C'est l'heure de l'apéritif, Julie, tu va faire le service. Pour moi, ce sera whisky coca, pour le coca- cola en bouteille, je t'expliquerai comment le servir, tu trouveras tout ça dans la porte du réfrigérateur, dépêche toi et fais moi ça classe comme chez les bourges !
Julie se précipite en cuisine, prend le plateau sur la table, y pose les verres adéquats et revient le portant sur un bras comme si elle faisait le service dans un grand restaurant. Elle s'incline devant Marie qui en profite pour lui mettre une main entre les cuisses, de l'autre elle prend son verre. Julie lui verse le whisky, un peu trop à son avis, mais Marie en redemande. Julie pose la bouteille.
- Pour toi, je vais t'expliquer ! Lui dit Marie.
- Viens ici, tu te mets à quatre pattes, jambes tendues, pose toi sur tes coudes, voilà, tu as la bonne position.
Julie s'installe dans la position demandée, Marie prend la bouteille de coca-cola, elle agite la bouteille suffisamment pour que les bulles montent bien, l'enfonce bien profondément dans le puits d'amour de Julie. Julie a l'impression qu'elle lui a mise en entier, elle la sent bien au fond d'elle, le coca jaillit dans son vagin, Julie a l'impression que ce sont mille bites qui explosent dans sa grotte, puis le froid du coca qui la remplit l'a fait suffoquer. Finalement son corps s'habitue à ce froid et les bulles pétillent dans son vagin, ce n'est pas désagréable. Marie agite bien la bouteille, c'est un gros gode qui maintenant défonce la grotte de Julie.
Marie, se lâche, c'est énorme, Julie ne peut pas se retenir, elle crie :
- Oui, vas-y, plus fort, plus vite, c'est trop bon, je viens, OOUUUIIII !!!
- Tu vas m'en mettre plein par terre à remuer du cul comme ça, je te préviens salope, s'il y en a sur le carrelage, tu le lécheras.
Marie lui enfonce la bouteille bien au fond, c'est encore plus profond qu'au début. Julie jouit, jouit, elle n'arrête pas. Marie retire la bouteille de la grotte de Julie, le coca coule entre ses lèvres vaginal, passe sur son clitoris, c'est froid, mais les quelques bulles qui restent lui titillent le clitoris, c'est très agréable. Quand Julie se relève, Marie lui tend le verre qu'elle avait placé sous la vulve de Julie. Le verre est plein de cola mélangé de cyprine.
- Boit ! Lui ordonne Marie.
Julie le vide.
- Bravo salope, je me suis bien amusée maintenant, que tu as ton apéritif, je vais bien m'occuper de toi, vient avec moi, ma salope à moi.
La soirée de Julie fut longue, elle a été la chienne de Marie et de son chien. Julie est entré chez elle
au petit matin, épuiser par des orgasmes de toute sortes.
Aujourd'hui vers vingt heures, la porte s’ouvre, Julie revient, les bras chargés de paquets. Jacques n’a pas le temps de se lever pour aller à sa rencontre que Julie pose ses paquets et vient se poster devant lui qui regarde la télé. Elle s’est acheté une nouvelle petite robe d’été, elle la porte, elle tourne sur elle-même.
- Alors comment tu la trouves ? Tu aimes ?
Jacques se redresse à peine, voulant répondre, que Julie pose un pied sur le canapé, ses mains remontent sa robe et dévoilent son sexe tout lisse. Jacques sent le poids de son regard, il sent le poids de sa soumission. Instinctivement, sa bouche se colle à la fente de sa femme, c’est devenu un automatisme. Ce goût ! Du sperme, sa chatte ! sa femme s’est faite baiser, Jacques lèche le sperme qui coule de son sexe… Jacques lèche et il la regarde… Jacques ferme les yeux, il lèche, où en est-il ?
- Mon chéri, je connaît tes frasques. Maintenant c’est moi qui vais choisir quand et comment tu baiseras. Si tu baiseras ou si tu seras baisé. La confiance n’existe plus. Soit tu prends tes affaires et tu te casses. Soit tu te soumets comme le voisin t’a appris.
Jacques regarde longuement Julie, puis il se met nu. Julie sourit et soulève encore sa jupe, une traînée de sperme lui coule aussi de son anus. Jacques enfouit sa tête pour lécher la semence, sans un mot, acceptant sa soumission à Julie. Jacques lèche. Il lèche la croupe de sa femme. Cette croupe dont il n'est plus le seul à en profiter. La semence qui s’écoule le ramène à sa condition de cocu soumis.
Le carillon de l’entrée sort Jacques de ses pensées, machinalement, tout en continuant à lécher Julie, Jacques cherche son regard.
- Tu vas ouvrir mon chéri ! Lui dit-elle en souriant.
Même plus la force de protester, de se rebeller. Nu, Jacques se relève et va ouvrir.
-Salut !
Clément, son patron ?? L' homme fait deux pas à l’intérieur et s’arrête net. Il scrute Jacques de la tête au pied, Clément est surpris, il jette un regard vers Julie.
- Euh c’est chelou tout ça ! Je te croyais seule… Je ne savais pas que…
Julie s’est avancée sans un mot, elle se colle à Clément et l’embrasse à pleine bouche. Julie sa femme, sa petite femme prude et réservée, se conduit comme une salope juste devant lui. Et Jacques reste debout nu comme un con à tenir la poignée de la porte.
- Tu avais envie de me baiser ? Non ? Alors viens !
Julie prend Clément par la main et l’amène dans le salon.
- Tiens j’ai ramené une bouteille.
Jacques prend la bouteille, ferme enfin la porte et part la mettre au frais. A son retour au salon, Julie est assise sur les genoux de Clément, il regarde Jacques en souriant.
- Ben dis donc mon gars, tu m’en as caché des trucs.
Jacques ne répond pas. La main de Clément déboutonne deux boutons de la robe de Julie et disparait dans l’ouverture. Sous la fine étoffe, Jacques la voit caresser le ventre de sa femme.
- Nous sommes un couple très ouvert ! Réplique Julie en direction de Clément.
Il sourit, sa main progresse sous la robe, elle saisit un sein libre, le caresse puis passe au suivant.
- Un couple libre avec une sexualité débridée... Rajoute Julie en posant sa main sur la bosse de l’entrejambe de Clément.
La main de Clément a glissé sur le corps de Julie, passant de ses seins à son ventre.
- Tu n’as pas de culotte… Toute lisse aussi… Hum… J’adore…
- J’ai pas le choix, c’est mon mari qui aime que je sois rapidement accessible.
Julie allume Jacques en prononçant ces mots, elle ouvre largement ses cuisses en finissant sa phrase. Sous le tissu, la main a profité de l’aubaine. Clément ne regard plus Jacques, il est absorbé par le corps de sa femme. Sa main sort de sa cachette, elle remonte sur la robe et défait les boutons un à un de haut en bas. Au fur et à mesure qu’elle s’ouvre, les pans de la robe s’écartent et laissent apparaître le corps nu. Plus que deux boutons et elle sera entièrement ouverte. Un petit mouvement d’épaule à droite, puis le même à gauche, les deux bretelles de la robe tombent, entraînant tout le tissu avec. Clément a les yeux exorbités, le dernier bouton ouvert, Julie est nue, assise sur les genoux de son patron, face à Jacques. Les cuisses écartées, Jacques voit parfaitement cette main étrangère qui joue avec l’intimité de sa femme.
- Salaud ! C’est trop bon ce que tu me fais… Tes doigts… HMMMM…
Clément ne dit rien, caresse le sexe offert, lèche le sein proche de sa bouche.
- T’as envie te faire sucer ?
Pour seule réponse à Julie, Clément lui enfonce deux doigts dans sa grotte et mord son téton. Un regard sur Jacques, un petit geste de la tête, il a compris. Sous le regard plein de vice de sa femme, Jacques s’approche et il se place à genou devant son patron qui semble ne pas comprendre.
- Eh ! Je ne suis pas pédé moi…
- Chut, laisse-toi faire, il faut bien qu’il ait lui aussi sa part de sexe…
La main de Julie ouvre la ceinture, puis le bouton et la tirette du pantalon.
- Enlève…
Clément tire tant bien que mal sur son pantalon et son caleçon, Julie s’assoit à côté de lui, tenant sa queue dressée dans sa main. Jacques se penche sur lui, sans un regard, il prend son sexe en bouche.
- Putain, si on m’avait dit ça… Qu'un de mes employés me taillerait une pipe un jour, je l'aurais pas cru !!!!
Clément n’en revient toujours pas. Julie pose ses lèvres sur sa joue délicatement de Jacques et lui susurre.
- Suce le bien pour qu’il ne parte pas trop vite quand il va me baiser… Fais ça pour ton patron.
Écartant bien les cuisses, Clément s’offre un accès facilité à son sexe. Jacques le suce avec ardeur, l’avalant tout du long puis passant sa langue sur toute la longueur. Julie le regarde, Clément lui pelote les seins sans vergogne, pendant que Jacques suce.
- C’est bien mon chéri, tu fais ça comme un pro. Je suis presque jalouse de ta technique. Tu aimes Clément ?
- Ça fait bizarre de se faire sucer par son comptable, si sa secrétaire le voyait ?? Mais il suce comme une reine… Trop bon, je ne vais pas tenir longtemps.
-Te retiens pas, il n’attend que ça, vide toi dans sa bouche et après tu pourras me baiser plus longuement…
Les soubresauts de la queue de Clément ne laissent pas de doute sur son excitation, il va jouir. Deux succions de plus sur sa tige, la main de Clément se crispe, les doigts enfoncés dans Julie, il se déverse abondamment dans la bouche de son mari en plusieurs jets. Jacques avale tout. La queue perd de sa rigidité mais Jacques la garde en bouche, continuant à la sucer, la lécher, attendant un ordre de sa femme. La queue totalement flasque, Clément veut se lever pour aller uriner mais Julie l’en empêche.
- Il faut vraiment que j’aille pisser, je vais exploser sinon.
- Attend, regarde comme il est amoureux de ta queue, il ne l’a pas lâchée.
Sa bite est redevenue toute flasque, Clément regarde Jacques incrédule.
- Tu ne veux quand même pas que je lui ?? Dans la bouche…
Julie lui sourit, elle se colle à Clément en lui disant qu’elle est bien avec lui, la sur le canapé. Elle l’embrasse à pleine bouche. Leur baiser ayant à peine débuté qu’un petit jet d’urine tiède gicle dans la bouche de Jacques. Jacques avale, en se préparant à recevoir la suite.
- Non, ça je ne peux pas.
Clément se lève et part aux toilettes. L’entendant se vider, Julie sourit.
- Alors mon chéri, pas trop déçu ? T’aurais pas voulu le boire.
Jacques ne répond pas, il la regarde de haut en bas, scrutant tout son corps superbe avec lequel Il avait pris tant de plaisir. Clément ne tarde pas et se rassoit au même endroit.
- Lèche et nettoie bien !
L’ordre de Sophie avait déchiré le silence dans la pièce. Il s’exécuta…
-Putain ! Incroyable ! T’es une lopette ! Si on m’avait dit ça…
Clément n’en revenait pas. Ayant tout léché, Jacques voit la queue bien dure de son patron entre les mains de sa femme. Tout en le regardant, une main a glissé entre les cuisses de sa femme. Le choix du roi, il se fait paluché par sa femme assise à son côté et la doigte simultanément. Les cuisses bien écartées pour lui offrir le meilleur accès mais aussi pour que Jacques ait une vue imprenable. Julie tient la queue bien droite, elle se penche et la prend dans sa bouche, lui prodiguant une pipe très sensuelle, son regard accroché dans celui de son mari. Ne pas s’exciter, Jacques a du mal à ne pas réagir à ce spectacle cruel, sa queue se dresse au maximum. Voyant son inconfort Julie cesse sa fellation et se redresse.
- Tiens la droite ! Lui ordonna Julie en lui désignant la queue dure.
Jacques prend le membre chaud et dur dans sa main et la maintient comme le veut Julie. Elle passe une jambe par-dessus Clément, s’installe face à Jacques au-dessus du mat dressé et descend doucement tout en le regardant. Jacques s’applique à bien positionner le sexe pour qu’elle puisse s’emmancher dessus.
- Bien mon chéri, tu me l’as mise du premier coup.
Le gland écarte les lèvres et il disparaît absorbé par la fente de Julie. Doucement, centimètre par centimètre, la queue de son patron disparaît au fond de l’intimité de sa femme Julie.
- Elle est plus grosse que la tienne mais tu vois, elle rentre quand même sans problème.
Julie est complètement empalée sur le sexe de Clément. Caché par le corps de sa femme, il n’est plus qu’une bite sur laquelle sa femme coulisse et des mains qui jouent avec sa poitrine.
- Je le sens bien, il me remplit complètement, c’est un bon amant. Après ça si je prenais ton sexe dans le mien, je ne le sentirai pas tellement il m’élargit. Julie monte et descend doucement sur ce sexe, sa femme se fait baiser par son patron sous ses yeux et Jacques les regarde.
- Mon chéri, je t’aime, tu ne peux pas savoir comme je t’aime… Mais cette queue me rend folle. J’ai envie de partager avec toi, j’ai envie de baiser avec toi, tu veux bien…
L’excitation monte dans les propos de Julie, ses doigts écartent ses lèvres pour bien montrer cette queue qui la remplit. Jacques s’avance et sa langue se pose sur son sexe, lèche cet accouplement, aussi bien le sexe mâle que féminin. Au contact de sa langue Julie soupire puis gémit.
-OOOH !! Mon chéri, c’est bon ce que tu me fais, ta langue bénit notre union, c’est bon… Viens, fais l’amour avec nous aussi.
-Aaahh, c’est trop bon, je ne peux pas arrêter…
Julie ferme les yeux et écoute son plaisir. Un liquide froid coule entre les fesses de Jacques, un doigt entre dans son cul. Julie ne veut pas faire l’amour avec Jacques, mais elle veut qu'il baise en même temps qu’elle.
Mais qui est derrière Jacques et d’où il sort celui là ??
- Ne craint rien mon chéri, c'est un copain de Moussa que j'ai fait rentrer pendant que tu me léchais le minou. Il aime aussi bien les femmes que les hommes.
Jacques sent l'homme qui le doigte, un puis deux, puis trois doigts. Les mains de l’homme qui tiennent ses hanches, un gland qui se pose sur son anus et pousse. Jacques résiste, il pousse à nouveau, Jacques résiste toujours. Une main lui tire brutalement sur les couilles, son sphincter cède, le gland entre, Jacques se fait encore enculer. Sans ménagement, en deux coups, le copain de Moussa l’enfile complètement, il le déchire, Jacques en arrête de lécher Julie.
Julie est surexcitée, elle reprend la tête de Jacques et la colle à son sexe, reprenant ses mouvements de plus belle. Derrière, l’homme ne lui laisse pas trop de répit, son sexe coulisse dans ses fesses, la brûlure du début s’apaise mais il s’en fiche, il le baise, Jacques n'est qu’un trou pour lui.
Julie jouit bruyamment, s’extasiant sur le sexe de Clément, moquant celui de Jacques en comparaison, Clément la suit dans la minute, le couple reste soudé un moment, un filet de sperme suinte de leur accouplement. Derrière Jacques, l’autre continue à baiser son cul, à quatre pattes, face a sa femme et son patron, seuls les bruits du bassin cognant ses fesses remplissent la pièce. L’excitation retombe, la queue de Clément se ramollit, elle s’échappe du corps de Julie et pend devant Jacques pleine de semence. Au-dessus, de la fente de sa femme coule le sperme, il glisse sur la queue de Clément.
Julie a les yeux fermés, Clément la serre contre lui, lui caressant les seins à pleine main. D’instinct, Jacques prend ce sexe dans sa bouche, lèche toute trace de semence, suce le bout pour en tirer les dernières gouttes de jus d’homme.
- Putain, ton mec il en veut toujours plus !
La remarque du copain de Moussa a fait ouvrir les yeux de Julie, elle voit le sexe de Clément dans la bouche de Jacques, elle sourit. Un cri de jouissance, les hanches tenues fortement, collé à son cul, l'amant de Jacques se vide en dans son ventre en lui disant que son cul est un vrai bonheur.
- Il en veut toujours plus et je vais lui en donner toujours plus ! Répond Julie avec un sourire malicieux au coin des lèvres.
Le sexe se retire des fesses de Jacques, il est bien ouvert par cette sodomie.
- Chéri, tu es trop ouvert, tu vas couler sur le tapis, je ne veux pas que tu le salisses.
Jacques a à peine levé son regard vers Julie, qu'il sent les mains du copain de Moussa sur ses fesses. En un instant, Jacques sent à nouveau son anus s’écarter et cette fois-ci encore plus qu’avant.
- T’inquiète pas madame, je lui ai mis un bouchon, il va tout garder et va bien rester ouvert au cas où.
Un claque sur les fesses et le copain de Moussa demande a Jacques de se tourner. Jacques présente ses fesses à Julie.
-Oh putain… Tu lui a mis quoi ??
- J'ai pris la petite bouteille de bière vide qui était sur la petite table.
- Il a pris ça !!!
Julie semble surprise par la taille de l'objet. Jacques, le cul défoncé par la sodomie ne sait plus très bien si la douleur provient de la pénétration ou de la taille de l’objet.
La soirée avec Clément terminé tout le monde rentre chez soi, le copain de Moussa aussi. Julie n’est pas pleinement heureuse, elle veut qu’ils parlent tout les deux.
- Chéri, je suis partagée, j’aime me faire baiser par d'autres hommes, les voisins m'ont rendu accro au sexe en tout genre. Ils ont su je ne sais comment que tu me trompais avec ta secrétaire (la fille de ton patron). Ça m'a déboussolée, et ils ont profité de mon désarroi pour me dévergonder. Je suis devenue leur soumise, chose que j'aime plus que tout. Toi aussi il t'ont bien soumis, tu te fait bien baiser tout comme moi.
- J'ai apprécié la soirée d’hier avec ton patron. Rassure toi il ne sait toujours pas que tu baise sa fille, et moi je n'en suis plus jalouse. Malgré tout ça m'a fait comprendre que je t’aime plus que tout, je ne veux pas te perdre et j’ai peur d’aller trop loin avec toi.
- Si cela ne me convenait pas, cela fait longtemps que je te l’aurais dit, me faire prendre comme une femme était un fantasme pour moi, sa réalisation est un bonheur, je ne regrette rien et je prends mon pied a être soumis comme ma femme.
- Tout de même, tu me vois moi, ta femme se faire prendre par d'autres et tu lèches le sperme de mes amants. Excitée par la soirée je t’ai même fait sucer la queue de ton patron, tu aimes vraiment ça ?
Les yeux dans les yeux, en souriant Jacques lui répond :
- Oui, j’aime ça faire comme ma femme, je ne souhaite qu’une chose, c’est de continuer. J'aime sucé une queue avaler le sperme qui en sort, je me crois à ta place dans c'est moment là. Je n’ai pas eu de mal à franchir le pas.
- Mon chéri, j’ai plein de fantasmes qui sommeillent en moi, mais es tu bien sûr de vouloir les réaliser ?
- Je t’ai trahi le premier, je t'offre ma sexualité, c’est à toi maintenant d’en disposer comme tu le souhaites.
- Maintenant je voudrais savoir ce que tu pense franchement de nos nouveaux voisins ?
- Nos nouveaux voisins sont des amants formidables. Ils m'ont fait découvrir une sexualité que je ne soupçonnais pas. Ils me font jouir intensément, je n’ai jamais été prise avec autant de fougue et de patience. Il savent me prendre, me faire jouir quand ils l’ont décidés et pas quand j’en ai envie. Comme je ne prends plus la pilule depuis que je sais que tu me trompe et qu'ils me baisent sans protection, je risque à tout moment porter un bébé noir.
- Issa et Moussa sont déjà le père par procuration d'une douzaine enfants de plusieurs femmes différentes dont leur mari élèvent bien consciencieusement leur petit bébé noir. Tu dois savoir qu’ils ne le font pas par plaisir, car toutes ces femmes viennent régulièrement se faire sauter par nos nouveaux voisins. Leur petits cocus sont occupés a changer les couches de leur enfants.
- Si on continue et que tu ne sera pas le père de l'enfant, il se passera quoi ?
- Je serai le père de l’enfant que tu porteras et je t’aimerai toujours autant.
Julie prend son mari dans ses bras et le serre fort contre elle. La fin de soirée fût très câline entre les époux, ils se sont endormis, nus l’un contre l’autre dans leur lit.
FIN
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