jeudi 29 décembre 2022

La naissance d'une esclave Ch. 02

Texte de Dom Star

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La première punition.

Je pris rendez-vous avec le jeune photographe voyeur, que nous nommerons Luc. Je lui annonçais la possibilité de voir de plus près encore une des participantes du jeu de tennis. Il était aux anges et avait hâte de voir cela. Je lui avais donné rendez chez lui. C’était pour cet après-midi.

J’ai donné mes premiers ordres à ma femme. Quel plaisir de la voir s’exécuter ! Je voulais qu’elle soit épilée et je voulais surtout assister à cette opération. Je la regardais nue, appliquer des bandes sur ses jambes et ensuite les tirer énergiquement. Chaque bande lui arrachait un petit cri. J’ai alors pris la direction des opérations. Je la couchais sur le lit et lui attachais les mains et les pieds aux pieds du lit. Elle n’était pas rassurée !!!

Je voyais son pubis avec ces poils fins et dorés. J’appliquais la première bande juste au-dessus de sa chatte. Je lissais bien pour faire adhérer le maximum de poils. Je voyais ma femme qui commençait à trembler et s’agiter.

-  Tu ne vas pas faire cela ? Me dit-elle avec angoisse.

Je ne répondais pas et tirais violemment la bande. Le cri fut soudain et court. Je la regardais, elle haletait, la bouche entrouverte. Là où avait disparue la bande, la peau était lisse avec une granularité due aux bulbes arrachés. La deuxième bande, je la plaçais le long d’une lèvre de sa chatte. Elle tremblait en me priant de ne pas le faire, qu’elle le ferait elle-même, qu’elle savait le faire mieux que moi. Je mettais court à son bavardage en tirant un coup sec. Là elle ne cria pas mais son corps se cambrait, elle montait son bassin vers le haut. Son sexe était à demi épilé et cela commençait à m’exciter fortement. Je bandais et avais une envie folle de me masturber. Je mis alors un doigt dans sa chatte et la trouvait bien humide.

- Mais cela t’excite ces trucs ? Tu fais aussi dans le sado maso ?

- Je ne sais pas, non. Bredouilla-t-elle.

Je reprenais mon rôle de bourreau et terminais l’épilation de son sexe avec rapidité sans accorder la moindre importance à ses cris. Ensuite je la détachais et la retournais sur le ventre.

- Pourquoi fais-tu cela ? Demandait-elle.

- Je vais t’épiler entre les fesses, même autour de ton petit trou, je ne veux aucun poil.

Mon sexe me faisait mal tellement il était tendu en appliquant la bande au creux de sa raie en écartant bien ses fesses.

- Je suis excitée comme une folle, je me sens comme une chienne quand tu me traites comme cela !

Je lui appliquais une violente claque sur les fesses en lui demandant de se taire et je tirais à nouveau violemment la bande.

Je contemplais mon travail. On aurait dit un nouveau né. Son sexe était lisse, son anus aussi. Je voyais sa chatte luisante et entrouverte, elle avait visiblement envie d’être prise.

- Maintenant tu vas t’habiller selon mes désirs.

- Fais-moi jouir, s’il te plaît, j’ai le sexe en feu, je t’en prie, j’ai envie de jouir.

- Tu jouiras quand je le voudrais. N’oublie pas que je suis ton maître maintenant. On verra cela tout à l’heure, tu n’es pas encore prête. Maintenant il faut t’habiller.

Je choisis un soutien-gorge blanc qui mettait bien en valeur sa poitrine et un petit string de même couleur. Elle s’habillait devant moi. Excitant instant. Je lui tendais une jupe de tennis très courte et un t-shirt bien serré. Satisfait de moi nous partions pour le rendez-vous.

Dans la voiture, je voyais presque son slip tellement la jupe était courte. Les quelques camionneurs que je doublais dans les embouteillages avaient l’air d’apprécier le spectacle. Cela me donnait une idée pour une autre punition, mais pour l’instant : chez Luc.

Je la faisais monter devant moi en lui répétant qu’elle devait obéir à mes ordres ou ceux de Luc. Si jamais elle émettait la moindre réticence devant un ordre, elle serait sévèrement punie.

Luc nous accueillait avec une étincelle dans les yeux en voyant ma femme ainsi vêtue. Elle remarquait l’appareil photo et une caméra sur trépied. Elle me regardait de manière interrogative, mais je la poussais dans le studio d’étudiant.

- Luc, que veux-tu que Madame réalise devant toi ?

Luc était surpris qu’une femme puisse lui obéir et il ne s’attendait pas à une telle situation.

- Je vais commencer si tu le veux Luc et après tu auras peut-être quelques idées.

Je demandais alors à ma femme de se tourner et de se pencher légèrement en avant en faisant bien ressortir ses fesses. La jupette remontait très haut laissant apparaître ses fesses et son petit string. Luc photographiait le spectacle. Je demandais à ma femme d’écarter ses jambes et à Luc de s’allonger par terre entre ses jambes. On voyait le petit string blanc et Luc ne lâchait plus le déclencheur de l’appareil.

- Tu vas tirer sur ton string pour qu’il entre dans ta fente en séparant bien les deux lèvres de ta chatte.

Elle obéissait et je voyais une belle bosse se développait dans le pantalon de Luc.

- Maintenant tu vas doucement le faire glisser le long de tes jambes pour que Luc puisse bien voir ta chatte épilée.

J’étais étonné de la docilité de ma femme et de sa science, inconnue pour moi, de jouer ce numéro d’effeuilleuse. Luc prit quelques photos et je voyais sa main caresser son sexe au travers du tissu de son pantalon.

- Maintenant, chérie, tu vas te mettre à quatre pattes, la croupe bien en l’air que l’on voit bien ton derrière.

Luc commençait à sérieusement transpirer et je lui demandais de se déshabiller. Ma femme restait là, la croupe tendue vers l’arrière que sa mini jupette n’arrivait pas à masquer.

- Maintenant, chérie tu vas bien écarter tes fesses que l’on voit ton petit trou bien épilé, lui aussi.

Luc regardait, fasciné et le sexe tendu, ces fesses s’écarter rien que pour lui. Il fit quelques photos bien rapprochées du petit trou de ma femme. Son sexe commençait à laisser perler quelques gouttes de liquide séminal. Je demandais alors à ma femme de le prendre dans sa bouche. Luc se laissait faire, l’appareil photo pendait au bout de son bras pendant que ma femme délicatement glissait son sexe dans sa bouche. Elle me regardait dans les yeux, le sexe de Luc immobile dans sa bouche. Je lui ordonnais de le sucer doucement. Elle m’obéissait mais ne me quittait pas des yeux. Je dois dire que cela m’excitait terriblement de voir ma femme sucer un jeunot de vingt ans. Ses lèvres montaient le long du membre et arrivées sur le gland, elle sortait sa langue pour lécher le méat avec douceur et application. J’attrapais l’appareil et prenait quelques belles photos de cette scène de cul. Luc gémissait à chaque coup de langue et il semblait près de jouir.

- Chérie, il va bientôt jouir et je ne veux pas voir une goutte perdue de son sperme. Je veux que tu gardes bien tout dans bouche quand il jouira.

Son regard exprimait un accord qui me faisait moi aussi mouiller mon slip. Luc jouissait dans un halètement en tenant à deux mains la tête de ma femme qui recueillait toute la giclée au fond de sa bouche. Elle faisait encore un ou deux aller-retour sur le membre pour bien recueillir tout le sperme du jeune homme. Luc se retirait et s’agenouillait, visiblement épuisé par cette sucette.

- Ouvre ta bouche et montre-nous ce que Luc a lâché dans ta bouche !

Elle me regardait droit dans les yeux et ouvrait la bouche. Un filet de sperme coulait le long de ses lèvres, pendant que sur sa langue une boule d’une substance blanche perlait triomphalement.

- Luc, embrasse Chérie et partagez-vous ce sperme !

Luc me regardait interloqué.

- Je ne répéterai pas cet ordre !

Ma femme s’approchait de Luc, lui prenait tendrement son menton et lui roulait un vrai patin. On voyait sa langue fourrager la bouche de Luc. Du sperme coulait entre leurs lèvres et visiblement ils prenaient du plaisir à ce petit jeu. J’avais envie d’y participer, mais je décidais de rester dans le rôle du bourreau. Je glissais ma main entre les cuisses de ma femme et y trouvais une chatte brûlante de désir. Je lui demandais de s’allonger sur le dos et de se caresser doucement. Luc restait agenouillé, un peu de son sperme sur ses lèvres. Ma femme s’allongeait, les genoux bien relevés, et on voyait son doigt caresser son clitoris.

- Luc, mets un doigt dans la chatte de Chérie, et fais un léger mouvement de va-et-vient !

Luc se penchait, et regardait le sexe épilé de ma femme avec une admiration réelle. Timidement il introduisait un doigt dans le sexe et visiblement ne savait pas trop s’y prendre.

- Tu n’as jamais caressé une femme, Luc ?

- Non, c’est la première fois. Je n’avais jamais rencontré de femme.

- Chérie, tu vas dépuceler un jeune homme, tu dois être contente !

Je voyais ma femme s’astiquer le bouton et je savais qu’elle ne serait pas longue à jouir.

- Luc, tu vas lécher Chérie et enfonce bien ta langue dans sa chatte. Tu vas sentir quand elle va jouir. Elle fera couler du miel dans ta bouche.

Luc appliquait ses lèvres contre le sexe de ma femme. On voyait sa langue disputer les lieux au doigt de ma femme. Soudain, elle se cambrait et jouissait très fort. Luc lui glissait les mains sous les fesses la maintenait cambrée et on voyait sa bouche aspirer le liquide du plaisir de ma femme. Sa queue rebandait fortement. Le plaisir de ma femme fut assez long et mon slip avait du mal à contenir ma queue.

Quand Luc laissait ma femme s’allonger sur le sol je lui ordonnais de la prendre. Ma femme me regardait, ravie de cette annonce. Je demandais à ma femme de bien tenir ses jambes écartées avec les genoux en l’air. On voyait sa chatte béante et humide ainsi que son anus. Luc approchait sa queue de la chatte de ma femme.

- Non, Luc tu vas l’enculer devant moi !

Luc me regardait, indécis alors je prenais l’initiative. Je glissais mon doigt dans la chatte de ma femme et avec le liquide recueilli je lubrifiais l’entrée de son anus. Je prenais le sexe de Luc et l’approchais devant ce trou. Luc se laissait faire. J’appuyais le gland de Luc contre l’orifice. Je lui demandais de pousser lentement. Le spectacle était vraiment superbe. Je voyais une queue que ma main guidait ouvrir l’anus de ma femme. Le gland écartait doucement les chairs et était presque entièrement entré. Alors d’un coup sec je poussais sur les fesses de Luc. Ma femme lâchait un petit « ah ». Luc n’osait bouger. Je lui demandais alors de remuer. Je voyais nettement bouger les lèvres de la chatte de ma femme quand le sexe reculait ou avançait. Luc avait des mouvements lents. Ce spectacle m’échauffait tellement que je me déshabillais et avant de me jeter dans la bataille appuyait sur le bouton « record » de la caméra.

Je m’approchais d’eux. Je caressais le clitoris de ma femme de ma main gauche et la droite les couilles de Luc. Je bandais comme un salaud. J’approchais mon gland de la bouche de ma femme. Elle me suçait avec un regard de vraie salope. Au bout de quelques instants je prenais la tête de Luc pour lui glisser aussi ma queue dans sa bouche. Ma femme regardait son mari sucé par un homme avec un étonnement non fein.

Luc avait cessé ses va-et-vient, alors je décidais de remédier à cette chose. Je me plaçais derrière Luc et glissait ma main entre ses fesses. La surprise lui faisait pousser fort en avant et arrachait un cri de plaisir à ma femme. Je mouillais un doigt et lui glissais dans son petit cul. Luc ne disait rien. Mon doigt pénétrait plus avant et j’amorçais des allers-retour de plus en plus rapide. Je décidais alors de le sodomiser. Luc était enfoncé jusqu’aux couilles dans le derrière de ma femme et moi je présentais mon gland devant son anus. Je posais mon gland contre l’entrée et commençait à pousser. Luc gémissait de plaisir ou douleur peu importe. Mon gland enfin passait les résistances et j’enfonçais mon sexe dans ce petit cul de jeunot.

A chaque poussée de ma part, le sexe de Luc tapait au fond de ma femme. Quand je reculais, Luc reculait. Nous avions accordé notre rythme. Luc se penchait sur ma femme et je voyais son visage irradié de plaisir à chacun de mes coups de queue au fond de Luc.

- Tu me baises au travers d’un autre, que c’est bon Chéri, vas-y plus fort, plus fort…

Elle prenait ma tête et me roulait une pelle pleine de goût du sperme du jeune Luc. 

J’annonçais ma jouissance proche. Quand j’explosais dans le cul de Luc, je sentais que lui aussi jouissait. Ma femme nous accompagnait dans un long cri de plaisir. Au bout d’un moment, elle me regardait et prononçait :

- Tu pourras me punir comme tu le voudras, je suis ton esclave. Jamais je n’ai joui autant et te voir baiser un homme devant moi a été un spectacle ravissant.

Je me retirais de Luc, Luc se retirait de ma femme. Nos deux sexes pendaient, les couilles vidées. J’ordonnais à ma femme de nous nettoyer. Délicatement elle léchait un sexe puis l’autre. Il ne restait bientôt plus une seule trace de nos ébats sur nos queues. Le sexe de Luc lui semblait reprendre de la vigueur sous les effets de langue de ma femme.

Nous nous regardions étonnés de tant de vigueur. Ma femme accentuait ses coups de langue sur le gland de Luc. Je me surprenais à lui caresser les couilles, j’aimais ce contact au creux de ma main. Bientôt je voyais ma femme le pompait réellement, le sexe de Luc était bien tendu. Elle me regardait et soudain elle prenait ma tête et la dirigeait vers le sexe de Luc. J’ouvrais instinctivement la bouche et la refermais sur cette queue. Je trouvais cela très excitant. Je commençais à faire des va-et-vient sur cette bite. Je sentais un goût de chatte, de cul, de sperme, le tout mélangé, une véritable première pour moi. Je bandais de nouveau et je sentais ma femme qui me suçait goulûment. Je voyais sa main qui glissait dans sa chatte pour s’astiquer le bouton. Luc jouissait le premier dans ma bouche. Je fus surpris par le jet et le léger mouvement de recul de ma tête fut corrigé par les mains de Luc qui me plaquaient sur son sexe. Son gland touchait ma glotte et j’avalais toute sa giclée. J’avais alors une jouissance mentale et j’éclatais au fond de la bouche de ma femme.

Luc nous surprenait alors. Il nous réunissait, tête contre tête et tous trois nous avons échangé des baisers, lourds de sperme et de salives…

Bien plus tard, ma femme me disait :

- J’ai hâte d’être encore punie sévèrement…

A suivre...

mardi 27 décembre 2022

Douce vengeance Ch. 01

 Traduction d'un texte de Black Demon par Coulybaca.

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Un voyou roulé se venge sur la femme de son débiteur.

La première erreur de John Cumberland avait été de sous-estimer le niveau de ressources et de résolution des victimes qui voulaient se venger de ses multiples exactions. Dans un effort pour sauver son entreprise flageolante, le jeune entrepreneur désespéré avait fait la dramatique faute de recruter Carl Morton, un ex-détenu pervers pour se venger duquel ses victimes auraient payé de fortes sommes.

Morton avait bien accompli sa part dans l'affaire, et si John avait été correct avec lui, l'histoire en serait restée là. Mais John s'était montré trop cupide, et lorsque Morton avait quitté le pays comme programmé, il ne lui avait jamais payé le solde de leur contrat. John était persuadé qu'il ne prendrait pas le risque de revenir, qu'il se contenterait de ce qu'il avait touché.

Toutefois, Carl Morton n'était pas le genre d'homme à se laisser berner, il était de ceux qui ne s'avérerait satisfait qu'une fois leur vengeance accomplie. L'ex-détenu se rendit compte qu'il avait très peu de chance de convaincre son ex-complice de respecter ses engagements, d'autant plus qu'il n'était plus sous le feu de la colère.

Et comme John Cumberland prétendait qu'il avait mal calculé les retombées et qu'il ne disposait pas du solde d'argent qu'il lui devait, Carl ne pouvait que fulminer et comploter.

En félon déjà condamné pour diverses escroqueries et fraudes, Carl Morton savait qu'il ne devait pas laisser transparaître ses sentiments. Mais il n'était pas le genre d'homme à passer la main, il était déterminé à faire payer le prix fort à John Cumberland pour le punir de l'avoir doublé.

Alors qu'il considérait les différentes options qui s'offraient à lui, il se rappela avoir vu plusieurs photos dans le bureau de Cumberland, et entre autres des photos de ce sale trou du cul avec une somptueuse blonde. En réfléchissant mieux, il se souvint d'avoir vu une photo de mariage de Cumberland et de sa femme. Fermant les yeux, il se lécha les lèvres en tentant de se représenter la jolie petite jeune mariée vêtue de ses atours de mariage. Bien sûr l'expression qu'affichaient le visage du jeune marié et le fait qu'il mettait cette photo en évidence sur sa bibliothèque, montrait à quel point il tenait à sa femme.

- " Quel meilleur moyen de se venger de ce salopard que de s'en prendre à ce qui fait sa joie et sa fierté !" se dit-il s'échauffant.

- "Oui... Cet enculé... Je vais le faire payer... Je vais faire payer sa femme pour m'avoir roulé... Et je m'arrangerai pour que t'en sois le témoin privilégié sale bâtard... Je parie que je vais en faire une sacrée pute... " gloussait-il.

Le plan qu'il concocta était un peu compliqué, mais ingénieux, et très gratifiant. Carl Morton, voulait voir s'afficher l'angoisse, l'humiliation et la défaite sur la face de cul de ce salaud au spectacle des compensations qu'il allait tirer de sa femme. En plus de tout ça, il se demandait s'il pourrait élargir son plan pour générer des bénéfices financiers conséquents.

Carl recruta les services d'une copine pour l'aider, il parvint à convaincre Connie Rustin, sa dernière / future petite amie pour l'aider à faire chuter la belle Shannon Cumberland. Il savait que Connie se rapprocherait plus facilement de Shannon que lui, et plus spécialement il voulait que Connie capte sa confiance rapidement.

Alors que Shannon Cumberland faisait des courses, le débrouillard ex-détenu avait saboté la voiture de la jeune femme, Connie était chargée de venir à son secours lorsqu'elle ne parviendrait pas à démarrer son véhicule.

Elle commença par placer une borne téléphonique d'assistance auto au bord de la route. Un garagiste, recruté par Carl, l'avisa que sa voiture devait être remorquée. C'est alors que survint Connie lui offrant de la ramener chez elle.

Sur le chemin de son domicile, Connie et Shannon eurent tout le temps de nouer des liens amicaux, Connie était toute surprise de découvrir à quel point cette jeune femme était naïve, innocente. Renseignée par Carl, Connie se rendit compte que si John Cumberland avait tendance à se montrer cupide et sans scrupules, la jolie Shannon Cumberland était l'opposée de son mari. Rien d'étonnant à ce qu'elle fasse la joie et la fierté de John Cumberland, comme l'avait conjoncturé Carl à la vue de leur photo de mariage.

Connie frissonna se demandant si John Cumberland considérerait toujours que la femme assise à son coté sur le siège passager, était sa fierté et sa joie lorsque Carl en aurait fini avec elle.

Lorsqu'ils arrivèrent chez elle, Shannon convia gracieusement Connie à boire un verre, Connie accepta disant que cela lui ferait une coupure.

Comme elles sortaient de voiture, Shannon lui confia qu'elle débutait une nouvelle vie, elle s'était mariée récemment, elle ajouta que son mari avait voulu qu'elle arrête de travailler pour tenir un rôle de femme et de mère au foyer. Malheureusement son nouveau boulot ne s'était pas passé comme prévu, ce qui avait déprimé son mari et reporté leur vœu de fonder une famille rapidement. Shannon confia à sa nouvelle amie qu'elle lui avait suggéré de reprendre le travail pour l'aider, tout au moins jusqu'à ce que ses affaires reprennent. Mais son mari, John ne voulait rien entendre l'assurant qu'il avait un plan pour relancer ses affaires.

Il était évident, pour Connie, que la naïve jeune femme était totalement ignorait totalement que son mari avait contacté un ex-détenu et s'était engagé dans des actions frauduleuses pour sauver son entreprise.

Connie écoutait à quel point Shannon semblait désemparée à l'idée de devoir faire réparer sa voiture. Connie prétendit comprendre son dilemme et offrit une solution susceptible de l'aider, suggérant que Shannon devrait rechercher des rentrées additionnelles qui l'aideraient sans pour autant travailler 40 heures par semaine. Connie lui expliqua alors qu'elle travaillait pour une agence de modèles et que l'exceptionnelle beauté de Shannon, et sa classe pourrait lui rapporter pas mal d'argent comme modèle.

Shannon s'empourpra et prétendit ne pas avoir les qualités pour faire un modèle, qu'elle appréciait l'offre, mais que ce n'était pas pour elle, Connie refusa de s'en tenir à cette réponse. Elle rassura la jeune femme, elle s'occuperait d'elle et prendrait tous les contacts nécessaires. Connie savait qu'il fallait battre le fer tant qu'il était chaud, avant que Shannon ait eu le temps de réfléchir à son offre, et tant que les deux verres de vin altéraient son jugement.

Elle donna alors un rapide coup de fil à Carl, lui disant qu'elle venait de rencontrer une jeune femme faite pour être un modèle, donnant les indication à Carl pour qu'il les rejoigne chez les Cumberland. Bien entendu, attendant le coup de fil de Connie, Carl était dans sa voiture à deux cent mètres de chez elle.

- "Très bien, on prend un autre verre de vin en t'attendant !" répondit Connie à voix forte pour le bénéfice de Shannon.

Se relevant, Connie attrapa la bouteille de vin et remplit leurs verres, puis elle prit Shannon par la main et l'entraîna dans sa chambre pour trouver une tenue plaisante pour son audition. Dans son fort intérieur, Connie ressentait quelques remords de ce qu'elle faisait à cette innocente jeune beauté.

- "Oh ma petite chérie... On n'a aucun besoin de te trouver une tenue charmante... Ce qui intéresse Carl, c'est te voir entièrement nue ! "

Les choses allaient trop vite pour Shannon, mais ses efforts pour freiner Connie s'avérèrent vains. Shannon l'écoutait lui dire qu'elle était sûre qu'elle allait devenir un modèle reconnu et qu'elle gagnerait facilement beaucoup d'argent et que ce serait très amusant. Avec sa voiture au garage, ce qui générerait un coût assez élevé pour la réparer, c'était juste ce dont avait besoin Shannon.

Connie fit s'asseoir Shannon sur une table basse et entreprit de la maquiller et de la coiffer, transformant la jeune femme insouciante en une vestale pour l'arrivée de Carl. La tête de Shannon lui tournait et elle cherchait à rassembler ses esprits alors que Connie allait et venait lui disant à quel point elle était magnifique et sensuelle.

Puis Connie fouilla le cabinet de Shannon sélectionnant une tenue pour Shannon passer son audition, elle savait que Carl aimerait bien la voir dans une élégante robe noire.

La bite de Carl durcit dans son pantalon lorsque Connie qui l'attendait sur le seuil, entra dans la maison et lui présenta Shannon. La jeune et innocente madame Cumberland lui semblait carrément baisable après les préparatifs de Connie, sa bite tendit l'avant de son caleçon. C'est tout ce qu'il pouvait se permettre sans l'effaroucher alors qu'il admirait sa peau ivoire au teint renforcé par le noir de son élégante robe.

Se composant un personnage, Carl assura à la jeune femme que Connie ne se trompait pas sur ses potentialités de devenir modèle. Il avait amené une sacoche contenant une caméra, et des contrats types. 
Il expliqua que c'était un contrat type et que tous les modèles devaient le signer avant de faire des essais photos.

Shannon avait un réel problème pour rassembler ses pensées, et ce à cause de la drogue que Connie avait glissé dans son dernier verre de vin tout en la maquillant. En fait, elle était si groggy qu'elle était absolument étourdie. Connie lui glissa un stylo entre les doigts, lui enjoignant de signer le formulaire avant toute chose.

Puis Shannon se rappelait vaguement qu'on l'avait étendue sur le dos dans le grand lit la préparant pour les essais photos, Carl avait une caméra en main et le regardait. Au début les choses allèrent lentement, Connie devait assister Shannon pour toutes les poses, avant qu'elle ne s'effondre. Puis lorsque Carl sortit de la pièce, Connie prévint la jeune droguée qu'ils avaient assez de photos d'elle habillée, que maintenant, elle devait se dévêtir et qu'elle l'aiderait à enfiler de la lingerie sexy. Connie lui expliqua que les modèles qui présentaient de la lingerie gagnaient plus d'argent et que certainement Shannon était bâtie pour le faire. Comme Shannon lui disait qu'elle ne pouvait pas se montrer au photographe ne portant que ces sous-vêtements froufroutants, cette dernière lui répondit :

- "Carl est un photographe professionnel, et il a déjà vu des centaines de jeunes femmes en sous-vêtements !Il en avait même photographiées habillées de cuir !"

Sous l'emprise de la drogue, Shannon était incapable de réfléchir, de se rendre compte des poses aussi aguichantes que honteuses qu'ils lui faisaient prendre. Comme la drogue faisait maintenant son plein effet, Shannon était vaguement conscient que Carl avait posé l'appareil photo et s'approchait du lit pour rectifier sa pose.

Ses paupières devenaient lourdes, elle ne réalisa pas que Connie tenait maintenant la caméra alors que l'athlétique noir se positionnait avec elle dans le lit. Une chaude démangeaison courut entre ses cuisses, elle en trempa son fond de culotte de cyprine. La drogue comportait une bonne dose de cantharide qui portait ses sens à ébullition. La caressant de ses mains rugueuses Carl savait qu'elle était hors d'état de se rebeller, aussi lui écarta-t-il les cuisses en grand. Tout en caressant la beauté pantelante, il lui mordillait l'oreille murmurant pour la caméra :

- "Oh, madame Cumberland, vous avez la peau si douce... Vous êtes si sensuelle...Votre mari n'aurait pas du me doubler... Maintenant je vais lui retourner le compliment en me faisant son précieux petit ange..."

Puis Connie ajouta quelques sarcasmes de son cru :

- "La jolie madame Cumberland est jeune mariée, elle se prépare à fonder une famille... Penses-tu pouvoir l'aider grâce à ce gros gourdin pendant entre tes jambes ?"

Se plaçant entre les cuisses de la succulente beauté Carl frissonna et s'esclaffa :

- "Que je sois damné d'appliquer ma loi... Mais je suis si heureux de le faire ! Mais oui ma chérie... Ecarte tes cuisses.. Je ne vais plus tarder à t'embrocher !"

Shannon secouait la tête d'un côté à l'autre, essayant de comprendre ce qui lui arrivait. Tout était si brumeux, mais elle ne faisait pas d'erreur, un étranger... Un homme noir... S'apprêtait à introduire sa grosse bite en elle. Shannon ne pouvait faire que des prières incohérentes pour que cet homme arrête, elle lui disait qu'elle était une femme mariée et qu'elle ne pouvait pas faire l'amour avec un autre homme que son mari. Mais ses prières furent totalement ignorées, tandis que l'épais gland courait dans sa fente juteuse.

Bientôt dans son délire induit par la drogue, son corps commença à la trahir, ses supplications laissèrent place à des gémissements et de sourds grognements de plaisir alors que Carl se penchait sur elle, forçant son étroite intimité à s'ouvrir pour enfourner son bourgeon enflé. Cherchant désespérément à repousser le musculeux gaillard allongé sur elle, Shannon jetait un œil inquiet vers Connie qu'elle supposait son amie la suppliant :

- "Connie... Connie... Aide moi... Aide moi s'il te plait... Je t'en prie... Dis lui d'arrêter... Dis lui d'arrêter... Ne le laisse pas me faire ça... S'il te plait... Je t'en priiiiiiiiiiee..."

Toute aussi endurcie qu'elle fut, Connie frémit de remords et de dégoût de participer ainsi à la dégradation de cette innocente jeune femme. Ayant souvent couché avec Carl, Connie savait à quel point il était difficile de s'adapter à ses mensurations sortant de l'ordinaire.

- "Aieeeeeeeeeee... Nonnnnnnnnnnn... Nonnnnnnnn... C'est bien trop gros... "

Connie entendait Shannon crier ces mots alors que ses bras se couvraient de chair de poule à la vue de Carl s'enfouissant dans l'étroite chatte de la jeune femme. Réglant sa caméra, Connie vérifia que l'angle de vue permettait de capturer à la fois son visage déformé par la peur et l'énorme bite disparaissant dans sa toison dorée.

- "Argggggggggggghhhhhhhhhhhhhh... Ahhhhhhhhhhhh... Nonnnnnnnnnnnnn... Nonnnnnnnnnnnnnn ! "

Shannon poussait des cris aigus alors que les babines soyeuses de sa chatte enveloppaient l'énorme envahisseur. Connie regardait avec intensité Carl agripper ses hanches menues puis s'élancer et la défoncer la faisant hurler de plus belle :

- "Ahhhhhhhhhhhhhhhhhh... mon Diiiiiiieu... Arrêtez... Je vous en prie Arrêtez... S'il vous plait... Mon Dieu... Arrêtez... Vous allez me tuuuuuuuuuer..."

Connie frissonna de nouveau ressentant de la pitié pour l'innocente jeune femme, elle savait ce qu'elle endurait. Heureusement pour elle, la cantharide pesait lourdement sur les sens de la beauté inexpérimentée, transformant sa chatte en un marécage félicitant le coulissement du piston bien huilé alors qu'il se mettait à aller et venir en elle.

Maintenant, elle avait bouclé ses poignets dans son cou et ses chevilles dans son dos. Connie était épatée de voir l'effet de la cantharide qui transformait la naïve et innocente jeune femme en une goule affamée de plaisir.

Alors que l'adorable petite beauté s'arc-boutait sur ses petits pieds menus afin d'amplifier les poussées de Marcus dans son ventre, ceux qui verraient cette vidéo ne pourraient douter que l'adorable madame Shannon Cumberland était une salope qui adorait les bites noires, et plus spécialement celle qui la ramonait à ce moment.

Elle vagissait :

- "Mmmmmmmmm... Mnnnnnnnnnn... Oh ouiiiiiiiiiiiiiiii... Ouiiiiiiiiiiiiiii... Ouiiiiiiiiiiiiiiiiii... "

La transformation de la naïve jeune femme en une fieffée salope était totale, elle s'agrippait désespérément à son "amant" noir pour obtenir la jouissance qui la délivrerait.

- "Ohhhhhhhhhh... Ohhhhhhhhhhh... Encore... Encore... Plus vite... Plus vite... Baisez-moi... Encore... Plus fort... Ouiiiiii... Je vais... je jouiiiiiiiiiiiiiiiis... Oh oui Je jouiiiiiiiiiiissssssss !"

Connie avait les mâchoires qui se décrochaient à la vue du rapport sexuel imposé qui se déroulait dans le lit conjugal des Cumberland. Cela rappelait à Connie le jour où elle avait vu un étalon monter une jument au ranch de son oncle. L'étalon de son oncle dépensait la même énergie brutale que Carl pour faire soumettre par la jeune ménagère innocente, à ce rapport sexuel, subi sur son lit conjugal.

Comme le petit corps ivoire tremblait convulsivement sous les assauts du musculeux athlète noir, Connie observait le soin que prenait Carl à lui enfouir la totalité de sa bite dans l'étroite moule. Les fesses de Carl se crispèrent, l'orgasme le terrassa alors qu'il grognait :

- "Uhhhhhhhhhhhh... Ah... Uggggggggghhhhhhhhhhhhh... Oh, chérie... Ma Chériiiiiiiieeeeeeeee... Oh ouiiiiiiiiiiiiiii..."

Le pervers savait que la version éditable de la vidéo devrait persuader les spectateurs que la belle madame Shannon Cumberland était une amante consentante. Et, lorsque la jeune femme s'évanouit, submergée par l'orgasme, Connie réalisa un terrible plan de sa longue bite noire palpitante qu'il extrayait de son étroite chatte frémissante On pouvait distinguer clairement les traînes de foutre s'écoulant de sa chatte béante pour se répandre sur ses fesses et former une large mare sur le lit.

Shannon se traîna hors du lit cherchant désespérément à surmonter les indésirables effets de la drogue pour prendre une douche avant le retour de John.

A son retour, il lui demanda pourquoi elle semblait si absente. Nerveusement Shannon expliqua qu'elle avait du attraper un rhume lors de sa sortie en ville. Elle était submergée par la honte et le dégoût à l'évocation de ce qui venait de lui arriver cet après-midi, Shannon espérait seulement que Carl et Connie avaient pris leur pied, puisque c'était apparemment leur but. Elle aspirait à oublier tout ça, malade de savoir qu'ils avaient pris ces photos compromettantes.

Shannon frissonna et serra les dents au souvenir des mains rugueuses de cet homme sur son corps, lui écartant largement les cuisses...

- "Il pouvait ainsi introduire facilement sa vile mentule dans mon ventre !".

Elle ne déniait pas le fait qu'il lui avait ouvert un monde insoupçonné de jouissance, la soumettant à l'orgasme de la pus grande intensité qu'elle ait jamais connu. Shannon frémit craignant les suites possibles de cet horrible viol, elle avait tout oublié du contrat qu'ils lui avaient fait signer.

Les six semaines suivantes, chaque jour elle se demandait avec angoisse si ce salaud l'avait engrossée. 
Elle frémissait, se rappelant qu'il lui avait dit que John l'avait berné et qu'il entendait bien se venger de lui. Elle aurait aimé lui demander s'il connaissait ce dénommé Carl, mais elle n'osait pas, sachant qu'elle devrait alors expliquer ce qu'il lui avait fait... Dans le lit qu'ils partageaient.

Shannon ouvrit la porte, toute surprise d'avoir la visite inattendue de Connie qui brandissait une copie de son contrat et un cocktail de photos compromettantes. La mémoire lui revint immédiatement à la vue de ces photos montrant la grosse bite noire s'introduisant lentement en elle, elle fut prise de nausées. Elle ne put qu'écouter Connie lui expliquer ce qu'on attendait d'elle, lui disant que tout irait bien tant qu'elle se plierait aux exigences de Carl.

La jeune femme de 24 ans faisait tout l'intérêt de la vie de John Cumberland, sa compagnie, son boulot... Tout ça importait peu à coté d'elle. Elle était sa seule raison de vivre, il la regardait longuement chaque matin en quittant son domicile. Accosté par deux mecs encapuchonnés alors qu'il montait dans sa voiture, John avait été emmené dans un vieil entrepôt, il était assis face à l'homme qu'il avait doublé.

- "Je... Je... j'ai juste besoin d'un peu de temps pour te donner ton fric... Dans quelques jours j'aurai réuni ce que je te dois !" bégayait John effrayé, craignant pour sa vie alors que l'ex-détenu le fixait du regard.

- "Argent que tu me dois John ! Je comptais dessus pour m'installer en Amazonie, là où on ne viendrait pas me rechercher... Tout ce que tu avais à faire c'était de me télégraphier le fric... Mais tu as tout gardé pour toi !" ricana son ex complice.

John ne pouvait que rester assis à écouter les accusations de son ex comparse.

- "Ecoute moi bien Johnny... Je vais te faire une proposition... je voudrai bien recommencer des affaires dans le coin... mais j'aurai besoin d'une bonne couverture... Quelqu'un qui porte un nom respecté... Comme la personne que j'ai devant moi... Qu'en dis Johnny ? .T'as une bonne réputation...

Assis sur un baril de poudre, John ne pouvait qu'opiner :

- "Bien sûr... Bien sûr... Comme tu voudras Carl !"

- "C'est bon... J'ai ici quelques papiers que tu vas me signer.. J'ai pris la liberté de les préparer auparavant. Tu seras mon homme de paille pour ma nouvelle société appelée "Fantasmes Filmés". Je vais me faire quelques billets avec ce que j'ai en tête. Les gens paieront pas mal de fric pour avoir ce que je propose. Ouais les gens paieront pour voir d'innocentes jeunes femmes se faire violer et dégrader... Obligées à coucher avec de nombreux ados noirs... " l'informa Carl.

Yeux braqués sur les formulaires, John n'avait pas d'autre choix que les signer sans même savoir ce qu'ils contenaient même s'il doutait pouvoir y injecter l'argent nécessaire. Enfin ça lui permettait déjà de se tirer d'affaire sans se faire estropier ou tuer par ses sbires, conjecturait John bien qu'il sache que les ennuis s'accumulaient sur sa tête. Comme le géant tendait la main vers lui ricanant :

- "Sers moi la main partenaire !" 

Il avala sa salive et étreignit fermement la main de l'ex détenu. Surpris il l'entendit alors s'esclaffer :

- "Maintenant que les contrats sont signés, il est temps de te montrer notre première production ! Son titre est : "Une salope blanche paie les dettes de son mari !"

Carl se rendit alors compte qu'ils se trouvaient dans une salle insonorisée, muni d'un miroir sans teint qui allait leur permettre de suivre les ébats des acteurs. D'une chiquenaude sur le commutateur il alluma les hauts parleurs. Puis la salle fut plongée dans le noir alors qu'une lumière s'allumait dans la pièce adjacente. Une jeune blonde tenant l'ardoise annonçant la production souriait dans leur direction. Dans son dos une chambre bourgeoise meublée d'un grand lit.

- "C'est Connie qui est chargée de recruter les actrices pour nos productions... C'est moi qui choisit les gaillards qui vont jouer avec ces beautés." l'informa Carl.

Puis Carl saisit le micro et dit :

- "C'est bon Connie... Fais entrer les jeunes acteurs du show..."

Trois noirs musculeux, en costume d'Eve, paradèrent devant le miroir. John ouvrait des grands yeux stupéfaits :

- "Bordel... Où Carl avait-il bien pu trouver ces gars ! Bordel ils ont tous une bâte de base-ball en guise de bite... Putain, si j'avais la moitié de la taille de leur queue je serai déjà heureux comme tout !" pensait-il abasourdi.

Alors que les trois gaillards se branlaient machinalement, Connie était sortie de la pièce. Carl expliqua :

- "Elle est partie chercher la ravissante vedette de notre première production porno... j'espère que tu apprécieras cette jeune beauté Johnny... On dirait un bonbon crémeux... Une fille innocente... Vraiment naïve en fait... Elle n'a couché qu'avec son mari depuis son mariage l'année dernière... Elle va avoir une sacrée partouze..."

John haleta, frôlant l'arrêt cardiaque, à la vue de sa femme qui était amenée à contrecœur dans la chambre par une Connie triomphante. Bouche grande ouverte il avait les yeux rivés sur la scène, Il entendit son sarcastique ex-complice dire :

- "N'est-elle pas mignonne hein Johnny ? 24 ans... Regarde l'anneau à son doigt...Visiblement elle est mariée à un partenaire qui ne lui donne pas assez de plaisir ! Eh..."

Avalant sa salive, pantelant de peur pour son adorable femme, John ne savait ni que dire, ni que faire alors que Carl poursuivait :

- "Regarde moi ça Johnny, quel beau morceau... Eh oui mec... Je l'ai testée moi-même... Dans le lit qu'elle partage avec son petit blanc de mari... Bordel... J'aurais aimé que tu l'entendes couiner quand j'ai enfoui ma grosse bite dans son étroite petite chatte... On aurait dit un cochon qu'on égorge... Mais une fois que j'ai mis en route, elle s'est réjouie de se faire fourrer la chatoune par une belle grosse queue noire !"

Dans l'attente de son destin fatal, Shannon avait bue la boisson que Connie lui avait donnée. Elle avait senti alors une certaine euphorie l'envahir, ne se sentant plus la même. Une vague de chaleur parcourait son corps des pieds à la tête, la chaleur gagnait son entrecuisse alors que ses sécrétions jaillissaient poissant le fond de sa petite culotte. Elle savait pourquoi Connie l'avait amenée ici, Connie lui avait dit carrément qu'elle allait se faire baiser. Elle savait qu'une bite allait la pénétrer, qu'un homme autre que son mari allait la posséder, Elle espérait que ce serait encore le dénommé Carl.

Mais au moment d'entrer dans la chambre, ses jambes se paralysèrent à la vue des trois musculeux gaillards noirs qui l'attendaient, chacun d'entre eux doté d'un imposant outil entre les cuisses. Elle essaya de se retourner pour s'enfuir, mais Connie la tenait fermement, et une voix familière résonna lui dictant ses instructions.

- "Bonjour chérie... Ces trois gaillards sont là exprès pour toi... Regarde leurs grosses bites... Maintenant montre leur combien t'aime les grosses queues noires !"

Réfrénant ses larmes, Shannon sentit les doigts de Connie déboutonner l'agrafe de sa robe dans son dos, puis elle descendit la fermeture éclair jusqu'à ses reins. Comme elle se redressait pour faire passer la robe au dessus de ses épaules, Shannon ne savait pas qu'elle se donnait en spectacle à d'autres que le caméraman, Connie et les trois étudiants noirs.

Derrière le miroir Carl, ses deux gardes du corps et son propre mari la mataient. John Cumberland ne parvenait pas à croire ce que l'ex-détenu venait de lui confier, qu'il avait couché avec Shannon il y a peu. En voyant l'élégante robe noire chuter aux pieds de sa femme ils vite les acteurs empoigner leurs bites alors que Shannon se tenait face à eux vêtu d'un soutien gorge en dentelle et de sa froufroutante petite culotte.

- "Elle n'aura pas à tous les subir... Pas ensemble !" s'inquiétait John.

Lorsqu'il la vit se débarrasser de son soutien gorge exposant ses nibards tout roses, John les entendit apprécier le spectacle :

- "Oooooo..."

- "Quelle belle paire !"

Puis elle roula sa petite culotte sur ses chevilles sous les encouragements des trois gaillards déchaînés. Il sembla à John qu'elle n'agissait plus tant que ça à contrecœur, comme lorsqu'on l'avait introduite dans la chambre. Il la vit quitter ses chaussures puis Connie la mena vers ses futurs amants. John se refusait à en croire ses yeux lorsqu'il entendit Connie faire les présentations :

- "Les gars, je vous présente Shannon, elle est ici pour répondre des dettes de son fou de mari..."

John avala sa salive, sachant qu'il ne pouvait rien faire pour arrêter ce qui advenait, qu'il allait être le témoin de la souillure de sa femme qui allait payer de son corps pour son escroquerie. Sa mâchoire tomba en entendant Connie poursuivre :

- "Shannon, voici Bill et John..."

Les deux premiers hommes présentés, John vit que Connie plaçait les mains de sa femme sur leurs grosses queues... Il vit les doigts de son épouse se refermer sur les fûts ébène et se mettre à les branler vigoureusement. Comme le troisième homme faisait un pas en avant , Connie le présenta :

- "Et voila Willie !"

Comme elle avait les deux mains occupées, John comprit qu'elle allait satisfaire ce troisième homme d'une façon tout à fait différente, alors que mains posées sur ses épaules Connie la forçait à s'agenouiller. C'était était totalement inconcevable pour John et pourtant sa jeune épouse si prude tendait une langue frétillante sur le gland turgescent.

- "Mon Dieu... Elle se comporte comme une petite pute ! Elle tend la langue sur sa bite... Elle a toujours refusé de poser la langue sur ma queue en dépit de mes supplications !" frissonnait-il.

La tête entre les mains de l'homme qu'elle suçait, Shannon continuait à branler les deux autres qui la soulevèrent et l'allongèrent sur le grand lit. Tout en faisant une pipe à Willie, Shannon sentit une des hommes qu'elle branlait se glisser sous elle promenant son gland dans sa fente entrouverte.

- "Mmmmmmmmmmmm... Mmmmmmmmmmm !" grogna-t-elle alors que Willie reculait sa bite enfouie dans sa bouche, alors qu'une autre bite explorait sa chatte juteuse.

Elle posa les mains sur la taille de l'homme qu'elle suçait alors que la bite dans sa chatte continuait son expertise. Elle trembla alors de peur en sentant l'homme posté dans son dos poser son gland sur son œillet frémissant, elle n'avait jamais été enculée et elle avait mortellement peur de devoir subir cet acte dégradant.

L'homme qu'elle suçait se sentait concerné, Carl et Connie les ayant prévenu qu'ils pariaient que la jeune femme était vierge du cul. En voyant le signe de tête que lui faisait Bill, Willie lui saisit ses longs cheveux soyeux et se retira de sa bouche, juste le temps que Bill lui casse le cul

- "Aieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee... Nonnnnnnnnnnnnn... arrêtez... J'ai mal... Si maaaaaaaaaaalllll..." se lamentait la jeune femme angoissée.

Ce ne fut que lorsque Shannon exprima humblement sa douleur, que Willie se replanta dans sa bouche avide. 

Cela dura des heures et des heures, ses amants échangeant leurs positions, afin de goûter à tous ses charmes. Chatte, cul, lèvres eurent tous droits à de bonnes doses de foutre crémeux de la part de chacun des étudiants.

Ressentant les effets de la drogue, elle finit par s'évanouir épuisée, Shannon ne sut rien de l'acte dégradant auquel dut se livrer son mari sous la menace de se faire briser les bras par les deux sbires de Carl. Alors que Carl s'agenouillait face à son visage, John Cumberland dut sortir sa bite et le branler jusqu'à ce qu'il éjacule sur son visage, ses cheveux, son cou...

Même si savoir que l'ex-détenu avait assouvi ses appétits de luxure avec sa petite femme l'avait profondément humilié, ce n'était rien à coté de ce qu'il ressentait après ce qu'il venait de lui faire subir. 
C'était à son tour, alors que sa jolie femme se faisait baiser dans la salle contiguë de se faire tapisser le visage avec du foutre glaireux. Il avait senti l'odeur de transpiration émanant du corps de Carl alors qu'il éjaculait sur sa figure.

Sa trique s'était ramollie sous les sarcasmes des hommes de main. Sa bite ne mesurant que la moitié de la taille des acteurs qui venaient de s'envoyer sa femme, John se sentait gêné, déplacé. Alors qu'il pénétrait son con marécageux, un des hommes railla :

- "J'espère que je ne me noierai pas, mon gars..."

En fait, la lumière de la chambre était toujours éteinte lorsqu'il se vidait dans le ventre de sa femme. Il n'avait jamais vu sa chatte béante, pendant ce temps, son amant momentané voyait glisser sa bite hors du cloaque sans avoir éjaculé, sa chatte était vraiment trop engorgée de foutre.

Quelques heures plus tard, ayant laissé le temps à Connie d'assister Shannon pour se nettoyer, puis de rentrer à la maison, John Cumberland se rangea dans l'allée de son garage. Se dirigeant tranquillement vers la chambre conjugale, il vit son adorable petite femme blottie sous les couvertures.

Il se rendit dans la salle de bain pour prendre une douche, il allait déposer ses vêtements dans la corbeille à linge sale lorsqu'il vit ses sous vêtements noirs. S'emparant de la petite culotte en dentelles noires, il sentit et vit le foutre tachant le fond du cache sexe.

Le lendemain matin, en se levant, John sentit l'odeur appétissante des œufs au bacon qui allait de conserve avec celle du café. S'étant rafraîchi, il descendit à la cuisine et obtint un sourire et un baiser sur la joue, comme tous les jours.

- "Désolé je suis rentré plus tard que prévu chérie ! Je ne pouvais pas quitter la négociation en cours et il m'était impossible de te passer un coup de fil !

- "C'est rien chéri... J'ai été prise moi aussi... Quelque chose d'inhabituel m'a retenu... Quelque chose de plutôt osé...

A suivre...

dimanche 25 décembre 2022

La Descente aux Enfers de Jessie - Ch. 05

  Traduction d'un texte de Sadkins116 et Rebeccasm. Les illustrations sont de Rebeccasm.

 ****

Premier jour en tant que soumise à l'université pour Jessie.

C'est lundi matin et le début d'une nouvelle année scolaire. Jessie a du mal à se lever. Tout son corps lui fait mal, car hier, son mari et elle, ont passé la journée à satisfaire tous les caprices de Maître John. Après qu'il eut parlé à Maître X, le couple était effrayé. Avec Maître X, ils avaient eu l'impression de pouvoir arrêter quand ils voulaient si la situation devenait incontrôlable. Mais maintenant que John était impliqué, ils savaient qu'il serait difficile de s'échapper.

Et le dernier choc fut lorsque Master X leur annonce qu'il a pris le contrôle de leurs finances. Jessie objecta en disant qu'ils avaient besoin de financer les études de leurs enfants. Mais la réponse la glaça jusqu'à la moelle :

- Votre argent est maintenant le mien. Si tes enfants ont besoin d'argent, je pense que tu vas devoir le gagner.

Il semble que John prend un plaisir particulier à humilier Marcus. Sa tâche principale est de nettoyer chaque résidu de baise. John s'assure qu'il avale chatte goutte de son sperme.

Jessie se dirige lentement vers la salle de bain.

 
Elle regarde son mari qui dort encore par terre. Elle voudrait aller le voir et le réconforter, mais les ordres sont clairs, elle ne doit l'aider en aucune façon. « Mon Dieu, il a l'air si mal à l'aise d'être allongé comme ça. Comment peut-il dormir avec les bras tirés en arrière et attachés à ses chevilles? » pense-t-elle.

Elle regarde le visage de son mari recouvert de sperme séché. Sa queue est encore rouge des coups de fouet de John. Elle enjambe son corps pour aller à la salle de bain. Elle se regarde dans le miroir et commence à pleurer quand elle se voit. Son cul est meurtri et couvert de marques. Son visage est couvert aussi du sperme de John. Ses seins ont des morsures autour des mamelons. Elle glisse sa main entre ses jambes et grimace quand elle touche ses petites lèvres. Entre les fessées qu'elle a reçues et les nombreuses fois où elle a été baisée, sa chatte est très douloureuse.

Jessie monte dans la douche et laisse l'eau chaude couler et rafraîchir son corps souffrant. Vingt minutes plus tard, elle est assise devant sa coiffeuse pour se maquiller et remettre de l'ordre dans sa coiffure. Les ordres sont clairs. Elle doit s'habiller d'un chemisier blanc, un soutien-gorge en dentelle noire avec des demis bonnets, une culotte assortie et d'une jupe crayon noire qui arrive à peine au-dessus de ses genoux. Elle prend aussi une paire de talons de dix centimètres attachés aux chevilles. La jupe et le chemisier sont si serrés que sa tenue est plus appropriée pour sortir en soirée que pour donner des cours à l'université.

Quand elle est habillée, elle se dirige vers le bureau. Elle allume son ordinateur et consulte sa messagerie. Elle trouve un courrier de Maître X. Il contient d'autres instructions pour la journée.

« Esclave,

Tu dois porter les vêtements choisis pour cette journée. Ton chemisier doit être assez ouvert pour que l'on voie ton soutien-gorge. Tu flirteras avec chaque homme que tu rencontreras. Je veux que tu te masturbes pendant quinze minutes à chacun de tes cours. Tu peux t'asseoir à ton bureau, mais ta main droite doit être enfouie dans ta culotte. Tu n'es pas autorisée à jouir. Pendant la pause, je veux que tu fasses une photo de tes seins dans ta classe. Elle doit montrer tes seins, ton visage et ta classe en arrière-plan.

À chaque cours tu t'assures de bien montrer ton soutien-gorge à un de tes élèves.

Sur le chemin du retour, tu devras retirer ta jupe et la jeter sur le siège arrière. Sur tout le chemin tu joueras avec ta chatte et tu m'enverras une photo. Et tu n'es pas autorisée à remettre ta jupe.

Maître X »

Jessie se rend compte qu'elle a un deuxième message. Elle l'ouvre.

« Esclave,

Il y a un sac dans ta voiture. Il contient quelques choses dont vous aurez également besoin aujourd'hui.

Tu prendras la première webcam que tu colleras sous ton bureau. Elle sera dirigée vers ta chatte. Puis tu prendras ton téléphone et tu brancheras la caméra dessus.

Tu mettras les boules de geisha dans ton sexe. À chaque fois que tu ne seras pas excitée et sur le point de jouir, je veux que tu marches dans ta classe.

Tu placeras les quatre autres webcams dans chaque coin de ta classe. Assure-toi que chacune ait une vue dégagée sur la pièce.

Tu prends les deux morceaux de papier abrasif et tu les places dans tes bonnets.

Après ton dernier cours, change de vêtements et rejoins John à la sortie de l'université et obéis-lui.

Je te regarderai et te donnerai des tâches supplémentaires dans la journée. Tant que tu obéiras, ces tâches seront faciles. Désobéis-moi et tu pourras t'attendre à quelque chose de bien humiliant. Bonne journée esclave.

Maître X »

Jessie s'effondre après le deuxième message. Elle a déjà essayé les boules de geisha avec Marcus quand ils étaient sortis dîner. Il lui avait fallu toute sa volonté pour ne pas jouir pendant le trajet de leur voiture à la table du restaurant. Ensuite, Marcus l'avait faite marcher toute la nuit. Elle se souvient bien des orgasmes. Elle en avait eu trois en se promenant en ville. Elle se demande comment elle va gérer ça à l'école.

Un peu plus tard, Jessie se gare sur le parking de l'université. Il est tôt et il n'y a que quelques voitures. Elle attrape le sac et ses affaires et se dirige vers la porte d'entrée. Juste avant d'y arriver, son portable sonne.

Voyant que c'est Maître X, elle répond :

- Oui Maître X, que peut faire votre esclave pour vous faire plaisir?

L'homme à l'autre bout aime ces mots. Même s'il sait que l'esprit de la femme n'est pas brisé, il sait aussi que ça ne sera pas long et que ces mots prendront un autre sens.

- Déboutonne ton chemisier salope! Dit-il avant de raccrocher.

Jessie reste figée un moment avant de regarder autour d'elle s'il y a quelqu'un. Pendant ce temps ses mains enlèvent déjà les derniers boutons de son chemisier. La brise l'ouvre complètement. Ses seins dans le soutien-gorge noir sont exposés au monde entier. Jessie gémit alors qu'un spasme de plaisir pulse de son cœur jusqu'à ses extrémités. C'est immédiatement suivi par une vague d'humiliation qui manque la faire tomber.

Dans son esprit, elle ne peut que se rappeler une des consignes strictes de l'université : pas de nudité. Donc l'une de ses premières tâches est de traverser l'école, le chemisier ouvert et les mains pleines. Elle ne peut pas couvrir ses seins avant d'atteindre sa classe. Elle regarde pour voir si personne n'arrive sur le parking, prend une profonde inspiration et pénètre dans le bâtiment. Dès que la porte se referme, son corps commence à trembler. Ses mains ont du mal à tenir le sac et sa mallette. Son chemisier est grand ouvert et ses seins exposés à la vue de tous. 

Sachant que si elle reste où elle se trouve, on risque de la découvrir, elle part rapidement dans le couloir. Elle ne peut pas aller très vite à cause de ses talons. Au fond du couloir, à gauche, se trouve le bureau du principal. Elle doit s'y arrêter pour signer la feuille de présence. Elle avance dans le couloir en frôlant le mur. Lorsqu'elle s'approche du bureau, elle jette un coup d'œil au coin. Elle pousse un soupir de soulagement quand elle voit que les lumières sont éteintes. Jessie fait les derniers pas la conduisant au bureau et y entre. Dès qu'elle est à l'intérieur, les lumières s'allument, éclairant tout le bureau.

Jessie gémit et son corps se fige. Elle se dit que quelqu'un l'a attrapée. Elle se tourne vers la porte, mais il n'y a personne. Puis elle se souvient que l'année dernière, certaines pièces ont été équipées de détecteurs de mouvement. Elle se détend et se précipite vers les feuilles de présence. Juste au moment où elle signe, une voix se fait entendre derrière elle.

- Jessie, tu es là tôt! Normalement je suis la seule à cette heure.

Jessie reconnaît immédiatement la voix. Il s'agit de Janice WILSON, la directrice adjointe. Elle et Janice ont été embauchées en même temps à l'université. Et Jessie pense qu'elle a couché pour obtenir un si bon poste. Dire qu'elles ne s'entendent pas est un euphémisme. Jessie se tourne à moitié vers sa pire ennemie tout en sachant qu'elle n'a pas encore vue son chemisier ouvert.

- Bonjour Janice. Je ne t'ai pas entendu entrer.

- Oh, ça fait plus d'une heure que je suis ici. j'étais dans mon bureau et je sais que les lumières ne s'allument que si quelqu'un est là. Ça m'a surpris alors je suis venue voir.

Janice regarde Jessie qui essaie de ne pas montrer son soutien-gorge, mais il est déjà trop tard. Janice a vu comme elle est habillée dès que les lumières se sont allumées. Elle a délibérément attendu avant de révéler sa présence à Jessie. Au début, elle s'était dit qu'elle allait la réprimander et la faire virer. Arriver à l'école, le chemisier ouvert sur sa poitrine ne respecte certainement pas la clause morale la plus important de l'école. Mais avant de dire quoi que ce soit, Janice a une idée. Elle peut utiliser cette faute à son avantage. Elle sort son téléphone portable et commence à filmer sa collègue visiblement nerveuse.

Janice attend de voir ce que va faire Jessie. Comme elle ne fait pas mine de bouger de la pièce, la directrice adjointe augmente la pression et se dirigeant vers l'enseignante tremblante. Jessie remarque son mouvement et se tourne dans la direction opposée. Elle marche vite vers la porte et se dirige dans le couloir qui mène au bureau de Janice et du principal OWENS. Elle est piégée et son corps la trahit, sa chatte dégoulinante la picotant.

Jessie sent plus qu'elle entend Janice se rapprocher d'elle. Alors elle s'enfonce plus loin dans le couloir. Elle est maintenant au fond du couloir complètement piégée. Elle lève les mains pour essayer de boutonner son chemisier quand Janice attrape ses épaules et la fait pivoter. Jessie est tellement surprise que ses bras en tombent et le sac ainsi que ses affaires volent. Les yeux de Janice s'écarquillent quand elle voit les seins de Jessie rebondir et sortir du soutien-gorge.

L'enseignante est figée sur place. Le regard sur le visage de Janice l'effraie. Elle sait qu'elle est sur le point de se faire virer.

- S'il vous plaît Madame GRABAS, expliquez-moi pourquoi vous venez à l'école la poitrine à l'air. Demande Janice à une Jessie apeurée.

- S'il te plaît Janice, c'est juste un pari que j'ai fait avec Marcus. Il ne devait y avoir personne ici. S'il te plaît, ne sois pas sévère, personne ne m'a vue. Essaie d'expliquer Jessie.

- Oh, mais vous vous trompez! Je vous ai vu et j'ai également fait une vidéo. Je suis sûre que le principal OWENS aimerait voir sa jolie enseignante à moitié nue dans son bureau. Répond Janice avec de la malice dans sa voix.

- Oh mon Dieu Janice! S'il te plaît! S'il te plaît! Ça va ruiner ma carrière. Je t'en supplie, aie pitié de nous. C'était juste un pari stupide. Plaide Jessie.

Janice regarde sa collègue se tortiller et implorer de ne pas être dénoncée.

- Et dites-moi pourquoi je ne devrais pas rapporter cette infraction au règlement. Vous vouliez absolument obtenir mon poste et vous vous êtes bagarrée avec moi sans pitié, n'est-ce pas salope? Questionne Janice.

- Je suis désolé Janice. Tu as raison, j'étais... je suis une garce. S'il te plaît, laisse-moi me racheter? Supplie Jessie.

- Te racheter? Qu'est-ce qui pourrait, ou devrais-je dire, que vas-tu faire pour que je te pardonne? Demande Janice, jouant avec l'enseignante comme un chat avec sa proie.

- Ce que tu veux Janice! Demande juste! Tu veux de l'argent? Je peux aussi faire du travail supplémentaire pour l'université. Je le ferai après les cours. Dis-moi ce que tu veux! Répond rapidement Jessie en voyant une lueur d'espoir.

- Dans mon bureau tout de suite! Ordonne Janice en poussant Jessie dans le couloir.

Dès qu'elles se trouvent toutes les deux à l'intérieur du bureau, Janice ferme la porte, jette un regard mauvais à Jessie et lui dit d'un ton péremptoire :

- À poil!

Jessie regarde la directrice adjointe qui se tient devant elle, les bras croisés et un sourire narquois sur le visage. Elle sait que si elle ne lui obéit pas, sa carrière d'enseignante est terminée. Elle laisse tomber son chemisier par terre, bientôt suivi de son soutien-gorge.

Janice se contente de taper ses ongles sur ses bras. Jessie comprend ce qu'elle veut. Bientôt elle se retrouve complètement nue devant la directrice adjointe.

Celle-ci attend une minute, avant de pointer le sol devant elle. Jessie est perdue dans ses émotions. Son cerveau fonctionne à peine. Elle se laisse tomber à genoux et fixe le sol dès qu'elle comprend le geste de Janice.

- Alors Jessie, maintenant que tu es là où tu devrais être, à genoux devant moi, dis-moi sil te plaît qu'est-ce que tu vas faire pour pouvoir te racheter? Demande Janice.

Jessie sait que ses options sont limitées. Elle est nue dans le bureau de sa rivale et Janice a une vidéo d'elle de sa poitrine à l'air à l'université. Si en plus elle regarde le sac et découvre les objets de Maître X, elle risque d'être envoyée ou aller en prison si l'école porte plainte.

- S'il te plaît Janice, je ferais tout ce que tu voudras, mais ne me fais pas virer. Dit Jessie d'une voix faible.

Janice est surexcitée. Sa rivale se donne à elle. L'avoir nue et rampante devant elle est juste un bonus.

- Ok salope ; voilà ce que je veux que tu fasses. Habituellement personne n'est ici avant une demi-heure. Donc si tu es obéissante ton secret est en sécurité avec moi. Maintenant ramasse tes vêtements et tes sacs. Je veux que tu ailles toute nue mais sur tes talons jusqu'à ta classe. Je veux que tu marches et non que tu cours. Je vais faire une vidéo de toi marchant dans les couloirs. Puis arrivé à ta classe, tu resteras dans le couloir, tu déposeras tes sacs et tu joueras avec ta chatte. Ordonne Janice.

Jessie prend une grande respiration. Elle sait que bien que la vidéo de ses seins exposés soit assez grave, la suite va être pire. Malheureusement elle n'a pas vraiment le choix. Elle lève ses yeux vers la vice-principale qui la domine maintenant et elle acquiesce. Janice sourit et regarde Jessie rassembler ses vêtements et les mettre dans un sac. Puis elle se lève lentement et sort du bureau. Janice filme le corps nu de Jessie alors qu'elle marche en direction de sa classe. Elle la filme par-devant, et parfois par-derrière. Alors que Jessie obéit, sa soumission devient de plus en plus complète à chaque étape.

Jessie arrive à la porte de sa classe. Elle jette un coup d'œil à Janice qui se tient derrière elle avec son téléphone dirigé vers elle.
Elle laisse tomber ses affaires près de la porte et s'appuie contre les casiers alignés dans le couloir. Sa main glisse entre ses jambes et ses doigts trouvent son clitoris sensible. Le souffle de Jessie accélère alors qu'elle se masturbe. Pendant que ses doigts glissent entre ses petites lèvres et que son pouce caresse son clitoris, l'autre main de Jessie attrape un de ses seins et en pince le mamelon. Elle continue à tirer dessus jusqu'à ce qu'un gémissement s'échappe de ses lèvres. Puis les deux mains commencent à travailler ensemble pour libérer l'orgasme qui sur le point d'exploser.

Janice regarde l'enseignante qui est complètement inconsciente de son environnement et qui va bientôt jouir. Alors que le corps de Jessie se raidit et qu'elle va éclater, Janice lui crie :

- STOP SALOPE!

Jessie s'arrête en regardant son bourreau. Elle gémit :

- S'il te plaît Janice, j'ai vraiment besoin de jouir.

- Pas maintenant salope, je ne veux pas. Je suis responsable ici, et à partir de maintenant tu fais ce que je te dis. Rentre dans ta classe et habille-toi salope! Ordonne Janice avant de se retourner et repartir dans le couloir.

Jessie attrape rapidement ses sacs et se précipite dans sa classe. Une fois à l'intérieur, elle s'effondre et se met à pleurer. Il y a à peine deux semaines, ça ne serait jamais arrivé. Aujourd'hui, son mari et elle sont sur la voie de l'esclavage sexuel, Jessie s'en rend compte. Et La peur de cet esclavage total ne fait qu'exacerber son excitation.

Et comme elle sait aussi que le temps dont elle dispose avant le début des cours est limité, elle saisit ses vêtements et commence à s'occuper des tâches énumérées par Maître X dans le message de ce matin. Elle prend les boules de geisha et les enfonce profondément dans son vagin. Elle glisse ensuite sa culotte sur ses jambes et la remonte pour bien retenir les boules. Elle enfile sa jupe et son chemisier, s'assurant que l'on puisse voir son soutien-gorge. Elle regarde l'heure et voit qu'elle a encore du temps avant son premier cours.

Elle saisit la première webcam et la colle sur la planche située sous son bureau, pointant l'objectif directement entre ses jambes. Elle la synchronise avec son téléphone. Puis elle installe les autres caméras dans la pièce. Au moment où elle retourne à son bureau, sa chatte est de nouveau dégoulinante.

« Merde, je n'ai marché que d'un bout à l'autre de la classe et je suis déjà au bord d'un orgasme. J'espère que ce n'est pas à cause des boules de geisha. Si je suis aussi excitée par un déplacement dans la classe, je ne vais pas pouvoir le faire une autre fois sans jouir » pense Jessie.

Elle s'assoit à son bureau et essaie de se calmer avant le début des cours.

****

John regarde Jessie partit pour l'université. Il sourit quand il voit la tenue qu'elle porte. C'est à peine acceptable pour l'école. John et Maître X ont conclu un accord. Maître X contrôle Jessie au travail et en dehors alors que John la contrôle à la maison. Ensemble ils ont élaborés un plan visant à garder Jessie et Marcus constamment excités et humiliés.

Maître X a adoré l'idée du poker où Marcus mise sa femme et perd devant ses amis. C'est John par contre qui a décidé que Marcus doit nettoyer sa femme à chaque fois qu'elle se fait baiser. Le but de John est de faire de Marcus une lopette et un suceur de bite.

Maintenant que Jessie est partie, John se dirige vers la maison de ses voisins où l'attend son esclave. Il entre et monte les escaliers et se place devant Marcus qui est toujours attaché par terre. Il s'agenouille et claque violemment le cul de son esclave. Celui-ci gémit alors que la douleur dans son cul s'ajoute à celle qui fait souffrir ses bras et ses jambes.

Marcus lève ses yeux pleins de larmes vers John et il demande :

- S'il vous plaît Maître, puis-je aller aux toilettes?

John rit de la détresse de son ex-ami. Il tire sur ses bras, provoquant un cri de douleur chez Marcus.

- Vas-tu être un bon esclave? Demande John.

- Oh oui Maître! Je ferais tout ce que vous voudrez. Détachez-moi s'il vous plaît. Supplie Marcus en pleurant.

- Je veux énormément de choses salope. Es-tu vraiment sur? Demande John en jouant un peu avec sa proie.

- Oui Maître. Votre esclave obéira à n'importe quel ordre. Confirme Marcus.

- Excellent! S'exclame John en faisant rouler Marcus sur le dos.

La douleur est atroce puisque la seule façon pour Marcus d'être couché sur le dos est de tirer ses chevilles jusqu'à son cul et d'écarter les jambes. Ses bras sont coincés sous son corps et il est complètement impuissant. Il souffre.

John sourit à Marcus et se laisse tomber à genoux. Il sort sa bite demi-molle et la place sur les lèvres du soumis.

- D'accord Marcus, voici ton premier test. Je vais voir si tu vas bien obéir. Supplie-moi de boire ma pisse! Ordonne John, un sourire cruel sur le visage.

Marcus regarde l'homme agenouillé sur lui, son sexe à l'entrée de sa bouche. Dire que John était son ami il y a un jour ou deux. Marcus sait que s'il ne supplie pas, ça va être pire pour lui.

- S'il vous plaît Maître, laissez votre esclave boire votre pisse. Je veux boire votre urine, Maître.

John écoute son ancien ami et maintenant son esclave le suppliant de boire sa pisse. Il sourit cruellement de nouveau. Il lève les yeux vers la caméra de la chambre et lève un pouce pour Maître X alors qu'il libère sa vessie.

La force du flot d'urine prend Marcus par surprise. Il s'étouffe et crache jusqu'à ce qu'il soit enfin capable d'avaler le sale liquide.

Pendant le reste de la journée, John torture Marcus, le faisant ramper dans toute la maison pour nettoyer et lécher les toilettes. Il se fait même lécher le cul. Avant que John ne parte, Marcus est un esclave soumis, qui ne résiste plus et obéit à tous les ordres sans hésiter.

John fait venir Marcus dans le hall d'entrée et lui attache les mains sur la rampe d'escalier. Ainsi, Marcus ne touche le sol que sur la pointe des pieds. La tension est intense. Ensuite John lui insère un gros plug dans le cul et il lui pose des pinces à mamelons pointues sur ses tétons. Il finit par lui bander les yeux et lui mettre un bâillon. John se prépare à partir. Il regarde son esclave attaché et sourit méchamment. Mais il trouve qu'il manque quelque chose. Il regarde autour de lui et réalise ce qu'il manque. Il attrape deux poids de 500 grammes et il les attache aux pinces à mamelons.

La réaction de Marcus est instantanée. On peut l'entendre crier sous le bâillon. Il est temps pour John de partir.

- Amuse-toi Marcus! Je ramènerai Jessie à la maison plus tard. Je suis sûr que d'ici là tu seras devenu un bon petit esclave pour Maître X et moi. Rigole John en passant la porte.

****

La journée de Jessie se passe comme sur une montagne russe. Son corps a des hauts et des bas si souvent qu'elle n'a aucune idée de ce qui s'est passé au cours des deux dernières heures. Ses deux premiers cours de la journée se sont bien passés. Elle avait été capable de garder le contrôle sur son corps excité. Elle s'était amusée à se pencher devant des étudiants masculins pour exhiber son soutien-gorge noir.

Elle avait même flirté avec un garçon costaud, joueur de football, en revenant des toilettes.

Le troisième cours ne se passe pas aussi bien. Juste avant le début, Jessie reçoit un message de Maître X :

« Salope, ouvre un autre bouton sur ton chemisier. »

Elle n'hésite pas une seconde à obéir. Maintenant son chemisier est déboutonné jusqu'à son soutien-gorge. Elle doit faire attention quand elle bouge ou ses seins pourraient s'évader. Jessie est très embarrassée et rougit, mais ça attise le feu qui couve en elle et qui pourrait s'embraser à tout moment. Jessie commence son cours en faisant le tour de sa classe. Mais elle ne le fait qu'une fois, car les boules de geisha manquent de la faire jouir.

L'enseignante excitée marche plus lentement, essayant de ne pas jouir jusqu'à ce qu'elle puisse retourner à son bureau. Quand elle finit par s'asseoir, toute la classe a les yeux posés sur elle. Les étudiants semblent dubitatifs. Elle ignore leurs regards et continue son cours du mieux qu'elle le peut.

Mais une minute plus tard, son téléphone affiche un autre message. En essayant de ne pas montrer à ses élèves qu'elle utilise son portable en classe, elle regarde l'écran. Un gémissement s'échappe de ses lèvres malgré tous ses efforts pour étouffer le bruit.

« Salope, tu dois te masturber à chaque fois que tu es assise. Mais ne jouis pas! »

Jessie sait que Maître X l'observe. Mais toute sa classe l'observe aussi. Elle ne peut pas se faire plaisir sans qu'ils s'en aperçoivent. Mais si elle n'obéit pas, Maître X la punira.

Jessie décide alors de donner de la lecture à ses élèves. Elle leur demande d'étudier le prochain chapitre de leur livre de cours. Alors qu'elle scrute sa classe pour voir si l'un de ses étudiants la surveille, elle commence à faire lentement glisser sa jupe sur ses jambes pour atteindre sa chatte dégoulinante.

« Plus vite salope! Tiens tes doigts occupés sur ta chatte d'esclave »

Maître X vient de lui envoyer un autre message. Cette fois, tout le monde dans sa classe l'entend gémir. Abasourdis, tous les étudiants regardent leur professeure. Jessie déglutir difficilement et écarte les jambes. Sa main tombe sur son genou. Elle relève sa jupe et glisse ses doigts tremblants dans sa fente. Quand ses phalanges touchent ses petites lèvres, son corps sursaute. Mais elle continue et ne peut s'empêcher de toucher son clitoris. Elle regarde dans sa salle de cours et remarque que ses élèves la surveillent.

Elle leur demande de retourner à leur lecture, mais elle n'arrête pas ses doigts. Elle regarde l'horloge. Ça ne fait que dix minutes qu'elle se masturbe et elle doit le faire pendant quinze minutes. Elle est maintenant enveloppée dans un cocon de plaisir.

Ayant besoin de plus de deux doigts pour baiser sa chatte, elle en ajoute un puis bientôt un autre. Jessie se baise avec quatre doigts. Juste au moment où elle va presque avoir un orgasme, la cloche sonne la fin du cours. Jessie retire rapidement sa main de sa chatte et s'enfonce plus loin sous son bureau. Elle attend que tous les élèves quittent la pièce. Elle est tranquille, la quatrième heure, elle n'a pas de cours.

Elle reste assise à son bureau pendant deux ou trois minutes environ. Elle veut être sûre que personne ne va revenir et la trouve en train de poser pour Maître X.

Lorsqu'elle est sûre qu'aucun des étudiants ne va revenir, elle se lève et court à la porte. Elle sort la tête dans le couloir pour regarder de chaque côté. Ne voyant personne, elle ferme et verrouille la porte de sa classe. Ensuite elle ouvre le sac et en sort une perche à selfie.

Ensuite elle ouvre son chemisier et baisse son soutien-gorge. Bientôt elle se retrouve seins nus et elle prend une photo. Elle la regarde et en prend deux autres avant d'être satisfaite. Elle les envoie rapidement à Maître X.

Celui-ci l'a regardé lutter pour ne pas jouir en classe. Il sait que son questionnaire lui a imposé des limites strictes, mais il s'en fiche. Il en a maintenant assez sur elle et son mari minable pour les asservir. Ils sont pris au piège. De plus, il s'en fiche qu'ils s'en rendent compte ou non. Tout ce qui l'intéresse, c'est le produit final. Plus ils seront soumis, meilleur sera le prix qu'il en obtiendra.

Maître X regarde Jessie prendre la photo. Bientôt son téléphone sonne. Il voit que ça vient d'elle et il sourit quand il voit la photo. C'est une autre pièce à son édifice. Il plonge dans un rêve éveillé en pensant au moment où son esclave enverra une photo d'elle et de sa fille.

Le reste de la journée fut flou pour Jessie. Elle s'habitue à marcher dans sa classe tout en gardant le contrôle d'elle-même. Mais il lui faut obéir aux ordres et se masturber. Alors elle attend toujours les quinze dernières minutes de chaque cours.

Au fil de la journée, il lui est de plus en plus difficile de rester sans jouir. À la fin du dernier cours Jessie est épuisée. Son corps est à la limite de l'orgasme et son esprit est embrouillé d'avoir été autant excitée Jessie enfile sa nouvelle tenue et se dirige vers la porte d'entrée de l'université. Elle sait que Maître John l'attend.

À suivre...

vendredi 23 décembre 2022

La cave - Ch. 02

Texte de Xmaster.

 *****

Dès que la jeune femme est sortie de la voiture, les deux hommes l'encadrent et la supportent pour l'aider à monter l'escalier, puis entrent dans la demeure. Le hall d'entrée est assez sobrement décoré, un vieux tableau, un grand miroir et un portemanteau perroquet. Trois portes et un escalier donnent sur le reste de la maison. 

Denis lâche la jolie blonde et s'empresse d'ouvrir la porte face à l'entrée qui donne sur un grand salon. En invitant les deux personnes dans un grand geste théâtral, il demande à Brigitte :

- Café ? Ou on continue au whisky ?

- Allez ! Soyons fous, whisky mon brave... 

Michel, tenant toujours la jeune femme par le bras, fronce les sourcils et demande d'une voix dure :

- Mais comment tu t'adresses au maître de ces lieux toi, dis donc ? 

Prise de court, la pauvre balbutie quelques excuses en disant : 

- C'est pour rire… .. Je ne voulais pas... 

- Tâches de montrer un peu plus de déférence à mon ami, ou nous allons finir par croire ton imbécile de mari quand il dit que tu n'es qu'une petite traînée ! 

Plus que les propos encore, le ton dur et sec, la voix qui résonne dans la grande pièce et la pression subite sur son bras, dégrise tout d'un coup la jolie blonde qui commence à se demander ce qui lui a pris de suivre ces deux inconnus. 

Denis invite tout le monde à prendre place dans le canapé ou les fauteuils. Michel dépose sans ménagement la jeune femme sur le fauteuil juste en face du canapé et va s'installer tranquillement pendant que son ami apporte les verres et un vieux whisky écossais de plus de douze ans d'âge. Il répartit les trois verres larges et commence à verser le breuvage. 

- Alors comme ça, tu as eu un trophée en boîte ce soir ? Demande Denis, sachant parfaitement de quoi il en retourne. 

- Oui, une jolie salope m’a offert sa culotte… Tu te souviens, Brigitte ? 

Les yeux écarquillés, la blonde se remémore rapidement la scène, puis, de la même voix pâteuse, répond : 

- ha oui ! C’était trop rigolo… sous les yeux de l’autre con ! 

- Raconte-moi ça Michel, demande encore le maître des lieux. 

- En fait, ça c’est passé assez vite, pendant que tu discutais avec le mari de madame. Après avoir passé ma main sous la jupe de notre amie très coquine, j’ai tâté le haut des bas, puis la cuisse nue, et enfin j’ai attrapé la dentelle de la petite culotte… Tu me connais, gentleman jusqu’au bout des doigts, j’ai demandé à la belle si je pouvais lui voler sa culotte. Comme elle a accepté, j’ai fait glisser la fine dentelle jusqu’à mi-cuisse, et là, comme son mari ne regardait pas dans ma direction, je me suis accroupi et j’ai fini sous la table… Fallait voir ses mignonnes petites chevilles se soulever pour me laisser retirer le beau petit trophée ! 

Et, sur ce, Michel plonge sa main dans sa poche, et en ressort l’objet volé, un peu comme un prestidigitateur sort un lapin de son chapeau. 

- Mais alors, Brigitte, tu ne portes plus de culotte pour le moment ! 

- Non ! 

- Tu nous montres le petit trésor que protégeait cette petite culotte ? 

Dans un mouvement lent et doux, la blonde se lève de son fauteuil, avance au milieu de la pièce en titubant légèrement, puis, fixant les deux hommes dans les yeux alternativement, elle soulève lentement sa jupe. 

- Tu ne nous mettrais pas un peu de musique, s'il te plaît, Denis ? 

- Oui ! Bien sûr. 

Mais avant de se lever, l’homme, les yeux fixés sur le pubis lisse de la blonde, prend une profonde aspiration. Puis, debout, il se dirige vers le coin de la pièce où se trouve la chaîne HI-FI. Il met un morceau doux et suave, et se retourne vers la jolie femme et lui dit : 

- Ne voudrais-tu pas nous faire un petit strip-tease, par hasard ? 

Dès les premières notes de musique, Brigitte se met à bouger doucement. Et comme on lui demande si gentiment, excitée comme elle est, elle n’a qu’une envie, danser nue ! Aussi elle se met à se dandiner, sa jupe retombée, en commençant par défaire les boutons de son chemisier. Alors que Denis est revenu s’installer à côté de son pote sur le canapé, les deux hommes n’ont d’yeux que pour le joli spectacle qui se déroule à quelques mètres, à peine, d’eux. 

Malgré son manque visible d’équilibre, la jolie blonde se trémousse et se déshabille doucement. D’abord tombe le chemisier, puis le soutif, et enfin la jupe. C'est ce moment que choisissent les deux types pour se lever de concert du canapé. Et, pendant que Michel vient à la rencontre de la femme nue pour la prendre dans ses bras, Denis en profite pour se mettre nu lui aussi. 

Maintenant, Michel embrasse fougueusement Brigitte et l’attire doucement vers le canapé et vers son pote en attente. Une fois à côté du grand sofa, il passe le relais à Denis qui est nu et arbore déjà une fière érection. Le brun prend la jeune femme dans ses bras puissants, l’embrasse lentement, presque tendrement, et se rend compte de l’haleine chargée d’alcool. Mais il n’en a cure, il tripote les gros seins qui tombent un tout petit peu, puis commence à prendre les fesses à pleine main. 

Brigitte s’est à peine rendu compte du changement de cavalier. Ses seins malaxés tendrement, ainsi que ses fesses flattées lui procurent des picotements au creux des reins. Sa chatte s’humidifie et elle commence à ressentir une envie des plus troubles. 

Pendant ce temps-là, Michel, rapidement, se dévêt à son tour. Dès qu’il est nu, jusqu’aux chaussettes retirées, il vient se coller au dos de la blonde et frotte sa queue contre les fesses rebondies. Ensuite, il pousse doucement le couple jusqu’à ce que son ami Denis soit contraint de s’asseoir, entraînant à sa suite la jeune femme. Le sexe trempé de la jeune femme accueille d’un coup le membre dur et droit de Denis. Le pénis s’enfonce au plus profond de la matrice féminine, arrachant au passage un cri à la blonde quand il vient taper contre le col de l’utérus. 

- Cette salope a pris ma bite d’un seul coup, et je t’assure qu’elle est déjà trempée ! 

- Je te propose que tu la limes comme tu sais si bien faire, en lui glissant des doigts dans l’anus, pour me faire le passage... 

- Ça marche mon pote. 

Et Denis commence de longs et rapides va-et-vient de sa belle queue dans cette chatte gluante et glissante, chaude à souhait. Brigitte grimpe vite aux rideaux et commence à entonner un chant d’amour qui motive les deux hommes. Très vite, alors, l’homme glisse un premier doigt dans le cul de la blonde, puis un deuxième, ensuite un troisième. Michel ne perd pas une miette du spectacle vivant qui se déroule sous ses yeux. Il tripote son sexe pour le garder bien en forme et savoure chaque cri de la blondinette écervelée. 

Bientôt, Denis, estimant que la femme est suffisamment préparée pour ce que lui et son complice projette de faire, retire ses doigts et demande à son pote : 

- Allez, viens, tu lui prends le cul, on se la fait en double. 

Dans son état alcoolisé, Brigitte commence par refuser mollement quand elle sent un gland au contact de son anus, mais les coups de reins de son amant du moment redoublent de puissance et elle recommence à jouir. Michel n’a pas besoin de pousser beaucoup pour franchir l’entrée de la dame, très vite il pousse sa bite le plus loin possible dans ce gros intestin si accueillant. Il sent le membre de son ami s’affairer dans l’autre partie de la femme. 

- Putain ! Cette enculée a tout pris d’un coup ! Elle doit avoir l’habitude de se faire mettre par le cul ! 

- Vas-y, fais-toi plaiz… Défonce-lui le pot... 

Denis empoigne les beaux gros nichons de la blonde, les presse fermement, puis, la repoussant un peu en arrière et en la regardant droit dans les yeux, lui demande : 

- T’aimes ça te faire prendre par le cul, toi, non ? 

La blonde, un peu dessaoulée par la douleur dans ses seins, ouvre les yeux et commence à balbutier : 

- Non mais dis donc...  

Maintenant que les torses ne se touchent plus, l’homme lâche les grosses mamelles et attrape les tétons, puis les pince violemment. 

- Ta gueule connasse, tu es juste une enculée, alors avoue que tu aimes te faire ouvrir ton gros cul !

Durant l’échange de politesses, Michel n’a pas perdu son temps et commence, à présent, à bien limer. C'est vrai qu’elle est loin d’être serrée comme ces pucelles du cul qu’il déflore analement régulièrement.

La pauvre femme ne sait plus où elle en est ! Pour la première fois de sa vie, elle accueille deux hommes en elle, elle aime cette bestialité, mais en même temps, elle aimerait que ce soit plus romantique. Pourtant, même cette vive brûlure de ses tétons lui donne du plaisir, elle mouille de plus en plus et ne contrôle plus du tout son grand corps de femelle. 

Les deux hommes se font un clin d’œil complice, et, en même temps, accélère encore le rythme et l’amplitude des mouvements, des allers-retours. Ils se démènent tous les deux, comme s’ils avaient décidé de faire mourir la blonde de plaisir. Là, l’alcool aidant, la blonde n’en peut plus et elle commence à gueuler : 

- Ho putain ! Que c’est bon ! Salauds ! 

Mais comme elle ne gère plus rien de son corps, la nature reprend ses droits et la jeune femme, ne contrôlant plus ses sphincters, finit par déféquer sur le sexe qui lui martèle l’intestin. 

- Cette pute vient de me chier sur la bite ! 

Et l’homme retire son sexe du conduit gluant, attrape le menton de la femme, lui tord le cou et lui enfile sa queue sale dans la bouche. 

- Oui, suce grosse dégueulasse ! Quand on se fait enculer, on ne chie pas sur la bite qui te fait jouir, connasse ! 

Ainsi menée, et dans une sorte de monde parallèle, Brigitte suce la bite polluée, sans réellement se rendre compte de ce que ces deux salauds sont en train de lui faire faire. Denis attrape son téléphone portable et prend des gros plans de la scène. On voit parfaitement que la femme a des excréments au tour de la bouche, mais qu’elle ne s’arrête pas à ça et suce avec bonheur. L’homme prend même un petit film des plus explicites. Et il commente : 

- Voici une grosse pute blonde, de celles qui sucent après la sodomie, même si la bite est pleine de merde ! 

- Suce, pétasse, tu vas prendre mon jus de couilles dans les amygdales ! 

Puis, Michel se crispe, garde la tête suceuse fermement empoignée et éjacule en courtes saccades très énergiques, sans mot dire. Il reste quelques instants comme figé, puis lance : 

- La vache ! Elle m’a bien vidé, cette connasse. 

De son côté, Denis, tout aussi vicieux, en profite pour ressortir sa bite de la chatte détrempée, et de l’enfoncer dans l’anus graissé par les excréments. 

- Tu as raison, mon pote, elle est habituée à en prendre plein le cul ! 

Brigitte, totalement dépassée par les évènements, se laisse faire, même le goût âcre de sa propre merde n’arrive pas à la sortir de son semi-coma. L’homme s’amuse à soulever la jeune femelle, puis à la laisser retomber sur sa queue dure et droite, arrachant à chaque fois un cri de la pétasse blonde. Puis, il annonce à son complice : 

- Tu as raison, je vais aussi lui faire bouffer sa merde à cette connasse. Et il agrippe les cheveux blonds, pousse Brigitte sur le côté du canapé, se lève d’un bond, et enfourne à son tour sa queue, elle aussi suintant un jus marron d’une odeur peu ragoutante, dans cette bouche, si prompt habituellement à se rebeller contre tout et n’importe quoi. Elle suce, elle avale, une sorte de rêve ou de cauchemar et elle tombe lourdement sur le côté quand l’homme lui lâche les cheveux. Là, elle ne bouge plus, au bord du coma éthylique.

A suivre...