lundi 25 mars 2019

La nouvelle vie de Christine Ch. 05

La nouvelle vie de Christine - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte

La Belle-mère devient pute.

Couché dans mon lit cette nuit, je ne pensais qu'à cette baise que j'avais eu avec ma belle-mère Christine dans le parking à camion. Etre observé par un parfait inconnu était une expérience formidable.

Christine était couchée dans la chambre voisine avec son idiot de mari Alain. Je me demandais si elle avait les mêmes pensées que moi et si elle mouillait en pensant à son aventure. De toute façon, je savais que Christine était ma pute et que je pourrai explorer mes fantasmes les plus fous avec elle.

Les deux prochains jours, je n'eus pas l'occasion de passer du temps seul avec Christine. Elle travaillait et moi aussi, et son mari lui restait à la maison tournant en rond. J'eus l'idée d'un petit plan pour qu'Alain ne soit pas ce vendredi soir et la journée du samedi. J'avais un ami qui dirigeait une entreprise de livraison et je savais qu'il avait toujours besoin de chauffeur le week-end. Je le dit à Alain qui voulait gagner un peu plus d'argent pour se saouler et donc il me demanda de voir ce que je pouvais faire. J'appelai Roger pour savoir s'il aurait une livraison assez loin ce vendredi soir.

- J'ai une livraison de nuit pour Lille. Il faut décharger le samedi matin puis aller à Epinal pour aller chercher une cargaison et la ramener. C'est payé 200 euros.

- Ouais c'est d'accord, à quelle heure veux-tu qu'il soit au dépôt?

- Qu'il soit là à 19h00.

Je raccrochai, content de pouvoir éloigner le mari de ma belle-mère ce soir et samedi. J'allai voir Alain pour lui dire. Il fut content surtout lorsque je lui dis qu'il serait de 200 euros plus riche.

De retour dans ma chambre, j'appelai mon très bon ami Martin. Je le connaissais depuis longtemps mais il avait déménagé assez loin il y a quelques années. En étant loin il y aurait moins de chance qu'il rencontre des gens d'ici et qu'il mette ma relation avec Christine en danger. Il répondit à la troisième sonnerie et demanda d'un ton jovial :

- Hey mon ami! Que se passe-t-il?

- Ça fait longtemps qu'on ne s'est vu. Je me demandais si tu voudrais passer une soirée avec moi comme nous faisions dans le temps. Tu pourrais rester jusqu'à demain soir.

- Ben oui pourquoi pas! Nous allons nous amuser! Je finis mon travail et je passe chez toi. Mais je n'y serai pas avant 20 heures je pense.

Avant de raccrocher, je dis :

- D'accord, je vais réserver un taxi pour qu'il nous emmène en ville vers 22h00.

Alain se préparait à partir et quand Christine lui demanda où il allait, il répondit comme d'habitude que ce n'était pas ses affaires et qu'elle s'occupe d'elle-même. Je souris car elle allait être occupée. J'avais un petit boulot pour elle plus tard.

Christine et moi étions assis devant la télé pendant que j'attendais Martin. Elle s'était changée en rentrant du travail, enfilant un jogging et un débardeur qui moulait ses gros seins. Je l'ai laissé tranquille après le départ de son mari car je savais que nous avions toute la nuit et le lendemain ensemble. Comme tous les week-end, sa fille Alice se trouvait chez des amis et donc je savais qu'il y avait peu de chance qu'elle revienne et ruine mes plans.

Un peu après 20 heures, on frappa à la porte. Christine fut effrayée car nous n'avions jamais de visiteurs le vendredi soir. Depuis l'autre canapé, elle demanda :

- Qui peut frapper à cette heure-là?

- Probablement Martin. Vas ouvrir la porte!

J'ouvris une nouvelle bière pour mon ami. Alors que l'on frappait de nouveau à la porte ma belle-mère dit en me regardant :

- Martin?

Légèrement agacé, je répondis sèchement :

- Oui Martin mon ami. Il vient pour la nuit. Vas ouvrir la porte!

Elle se leva et n'essaya même pas de savoir pourquoi je ne lui avais pas demandé si mon ami pourrait rester à la maison. C'était la preuve qu'elle n'osait plus me questionner. Elle ignorait aussi que son mari ne rentrerait pas cette nuit.

Elle revint, Martin la suivant. Elle s'assit sur l'autre canapé le plus loin possible. Mon ami vint à côté de moi et je lui passai la bière. Nous avons parlé tous les deux pendant un certain temps, buvant nos bières. Christine regardait la télé en silence. Nos bières finis, je montrais ma chambre à Martin ainsi que la douche pour qu'il puisse se préparer pour notre sortie. Je l'attendis en bas en buvant une autre bière et lorsqu'il descendit tout pimpant, nous avons discuté encore pendant une heure, attendant notre taxi.

A 22h00, j'entendis notre chauffeur. Après un arrêt au toilette, nous étions prêts à partir. Alors que j'étais presque à la porte, je me tournai vers Christine, arrêtant Martin dans mon sillage.

- Peux-tu venir nous chercher vers 2h00 derrière le pub O'Derrick, s'il te plaît?

Ma belle-mère fut perplexe pendant un instant. Clouée sur place elle hésitait à faire une scène. Mais une fois de plus, mon autorité eut raison d'elle. Elle répondit en se tournant vers son programme télé :

- Oui pas de problème.

- Mets quelque chose de mieux lorsque tu viendras nous récupérer. D'accord?

Je lui fis un clin d'œil afin qu'elle comprenne ce que je voulais.

- Oui bien sûr. Je ne serai pas sortie comme ça de toute façon. Dit-elle en regardant ses vêtements.

Alors que je lui laissai fermer la porte derrière nous, Martin me demanda :

- Que se passe-t-il? elle semblait gênée.

En montant dans le taxi, je lui dis en le tapant dans le dos :

- Ne t'inquiète pas! tout te deviendra clair un peu plus tard.

Comme nous ne nous étions pas vu depuis longtemps, nous nous sommes bien amusés en descendant des litres de bières et en bécotant quelques filles qui traînaient dans le pub. Par hasard, je regardai mon téléphone et m'aperçus qu'il était presque deux heures. Je dis à mon ami avec une voix un peu empâtée :

- Il faut qu'on y aille Martin, il est presque deux heures.

Nous sommes sortis et avons contourné le pub. Comme je lui avais demandé, Christine était garée juste à côté. J'ouvris la porte et sautai dans le siège du passager. Martin s'installa derrière, au milieu de la banquette.

- Bonsoir! Dit Christine alors qu'elle démarrait.

- Bonsoir... Hips..... désolé..... hips.... Je ne sais pas ..... hips... votre nom..... Répondit finalement Martin.

- C'est Christine. Dit-elle sans se tourner et en déboîtant pour nous ramener à la maison.

Elle avait changé de vêtements. Elle portait un chemisier qui était assez fin pour ne pas cacher les contours de son soutien-gorge blanc. Elle avait choisi une de ses jupes crayons et avait enfilé des bas. Ses cheveux étaient peignés et elle s'était légèrement maquillée. Elle m'avait bien obéi.

Notre trajet devait durer une demi-heure. Au bout de cinq minutes nous étions à la lisière de la ville, entrant dans la campagne. Je décidai qu'il était temps de commencer à faire les choses pour lesquelles j'avais éloigné Alain et invité Martin. Avec ma main, je défis la ceinture de sécurité de Christine. Elle s'enroula automatiquement. Puis j'avançai ma main vers son chemisier. En me regardant elle s'exclama, réveillant Martin de son demi-sommeil ivre :

- Qu'est-ce que vous faites?

- Intéresse-toi à la conduite, c'est tout ce que tu dois faire.

Je lui répondis tout en défaisant les quatre boutons de son chemisier. J'écartai les pans de la chemise, exposant son soutien-gorge avec des motifs de fleurs. Il cachait à peine ses énormes seins. Je regardai Martin qui s'était avancé et qui se penchait entre nous, prenant de l'intérêt à ce qu'il se passait. En tirant un peu, je sortis les seins de Christine afin de les laisser pendre, libres, sur le soutien-gorge, afin que Martin puisse les admirer.

- Oh putain! Quelle paire de nichons! s'exclama Martin

Je pris le mamelon droit entre mon pouce et l'index et je le roulai. Moins d'une minute plus tard, il était dur et dressé. Christine aimait ça.

- Fais-lui son mamelon gauche Martin!

Alors que la main de mon ami trouvait son sein gauche, ma belle-mère s'écria :

- Non s'il vous plaît! Pas ça!

Martin tira et tordit le mamelon jusqu'à ce qu'il se dresse comme son jumeau. Christine cria encore :

- Ahhhhhhhhhhh! s'il vous plaît......

Alors que Martin revenait au fond de sa banquette heureux, je dis à la femme :

- Ne fais pas ta mijaurée Christine! L'autre jour, tu n'as rien dit.

Je défis ma braguette et sortit mon sexe. Je dis à ma belle-mère de saisir ma bite mais elle me supplia encore et encore. Autoritaire, je lui ordonnai. Ses doigts minces furent bientôt autour de mon membre et elle amorça un va et vient de haut en bas tout en essayant de rester sur la route. Un kilomètre plus loin, ma bite fut complètement dur si bien que ses doigts ne pouvaient plus faire le tour de ma hampe.

- Oh Merde, je ne peux pas le croire!

Martin était étonné du traitement que me faisait subir Christine.

- J'aimerai que ma belle-mère soit aussi salope que la tienne.

Il le dit clairement afin de voir l'expression du visage de la femme.

- Si ça se trouve elle est aussi salope que celle-ci Martin. Elle a peut-être besoin d'être juste libéré comme je l'ai fait. Nous discutions comme si elle n'était pas là et qu'elle branle ma bite soit la chose la plus naturelle du monde.

Nous sommes arrivés et nous nous sommes garés juste devant la maison. Elle arrêta le moteur, enleva sa main de mon sexe et commença à prendre son soutien-gorge pour remettre ses seins.

- Ah non Christine, tu laisses tes seins comme ça et nous rentrons à la maison.

Nous sommes tous sortis de la voiture. J'ai vu ma belle-mère regarder tout autour d'elle pour voir si des voisins étaient dehors ou à leur fenêtre. Mais tout était calme dans la rue. Martin marchait à côté de Christine, reluquant sa poitrine qui rebondissait alors qu'elle remontait l'allée du jardin. Je passai en dernier la porte de la maison, la refermai et me retournai vers mes deux compagnons, ma bite se balançant devant moi.

Martin était complètement abasourdi et sa question ne m'étonna pas :

- Qu'est-ce qu'il se passe maintenant?

- Et bien tu vois Martin, maintenant ma belle-mère va me sucer la bite.

Je fixai Christine en retirant mes chaussures, défaisant les boutons de mon jean afin qu'il tombe sur le plancher. Je le poussai avec mes pieds. J'étais maintenant nu de la taille au sol, ma bite attendant qu'elle mette ses lèvres autour. Mais elle recommença à supplier :

- S'il vous plaît! Je ne peux pas le faire alors que votre ami regarde.

Elle savait pourtant que ses plaintes étaient inutiles. Je m'approchai d'elle dans la salle à manger. Je plaçai mes deux mains sur ses épaules et appliquai une pression afin qu'elle s'agenouille devant moi. Ceci fait, je frotte mon gland sur son visage laissant un trait de liquide pré éjaculatoire sur sa joue et son nez.

- A l'avenir, Christine, quand je te dis de faire quelque chose, tu le fais sans rechigner. Est-ce si difficile à comprendre?

Je giflai son visage avec ma bite. Elle me regarda avec ses grands yeux bruns et elle me dit :

- Oui je comprends.

- Maintenant que dirais-tu de montrer à mon ami Martin comment tu suces ma bite.

Je serrai mon sexe et l'inclinai vers le bas en direction de sa bouche.

- Ouvre grand salope!

Je voulais la dégrader devant mon ami, même si son humiliation ne pouvait être pire.

Ses lèvres rouges pâles s'ouvrirent autant qu'elle le put. Elle était habituée à la circonférence de mon membre qui remplissait totalement sa bouche. Je mis mon gland dans sa bouche humide.

« Argggghhh ». Je gémis alors qu'elle referma ses lèvres le peu qu'elle puisse et qu'elle me suça aussi profondément qu'elle pouvait. Puis elle sortit ma bite, se releva un peu sur ses genoux afin d'avoir sa tête à hauteur de mes hanches et recommença à me faire une superbe fellation.

Je regardai Martin et vit qu'une bosse était de plus en plus perceptible dans son jean. Il était de plus en plus mal à l'aise. Donc en bon ami, je luis dis :

- Sors ta bite et met toi à l'aise Martin.

Le regard de Christine remonta vers moi. Il m'indiquait qu'elle avait compris ce qui allait se passer cette nuit. Martin ne perdit pas de temps à enlever son pantalon et son caleçon, révélant une queue assez impressionnante presque aussi large que la mienne.

D'ailleurs celle-ci grossit encore alors que j'avais la vision des lèvres de ma belle-mère enveloppant le sexe de mon ami. Je décidai de la mettre à l'épreuve.

- Désolé Martin, je suis trop gourmand. Christine, va sucer la bite de mon ami.

Je la poussai vers Martin derrière elle. Elle se retourna et regarda le balancement de sa queue devant son visage. Elle la prit entre ses doigts et glissa sa main le long. En même temps qu'il poussait son membre entre les doigts de Christine, il haletait :

- Oh oui que c'est bon!

En riant je dis :

- Et ça va être de mieux en mieux, crois-moi!

J'enlevai ma chemise afin d'être totalement nu.

- Attends d'avoir ta bite dans sa bouche.

Puis, je poussai la tête de ma belle-mère en avant afin qu'elle engloutisse le sexe de mon camarade. J'enlevai son chemisier et son soutien-gorge pour les jeter sur le sol. Je massai ses gros seins et ses tétons afin qu'ils durcissent et se dressent à nouveau. Enfin je m'attaquai à la jupe, la faisant descendre sur ses hanches et le bas de ses jambes. Bientôt, elle rejoignit la pile des autres vêtements. Martin y rajouta sa chemise stoppant une paire de secondes le pilonnage de la gorge de la femme.

Christine avait mis une culotte sexy blanche accordée à son soutien-gorge. J'admirai son cul. Entre ses jambes une tâche d'humidité était clairement visible. Le tissu fragile était devenu presque transparent, et les lèvres gonflées de sa chatte étaient collées au tissu.

- Regarde comme elle mouille Martin.

Il retira son sexe et vint voir derrière. Je penchai ma belle-mère en avant, exposant son arrière-train. Martin regarda et glissa ses mains entre ses jambes. Un grand sourire éclaira son visage quand il sentit la culotte détrempée.

- Putain, elle est trempée.

Je redressai Christine. Martin revint à sa place et instantanément enfila sa boite au fond de sa gorge. Elle était devenue notre objet d'amusement sexuel. Derrière elle, je glissai mes doigts sous l'élastique de sa culotte afin de la tirer lentement loin de son sexe. Lorsqu'elle arriva aux genoux, je lui demandai d'écarter les jambes jusqu'à ce que la culotte soit étirée au maximum. Elle m'obéit docilement.

Plaçant une main sur son dos, j'utilisai les doigts de ma main droite pour sonder son antre intime. Lorsque deux doigts écartèrent les lèvres de son sexe, elle se souleva légèrement et laissa échapper un long gémissement.

- UMMMMMMMMPPPPHHHHHHHHH

- Je crois qu'elle est prête à être baiser Martin.

J'entrai deux doigts puis trois profondément dans la chatte de ma belle-mère.

- J'ai déjà trois doigts dans sa chatte. Dis-je fièrement.

Puis je pompai son orifice pendant environ une minute. Ses jambes commençaient à devenir faible et son sexe se contractait. Je savais qu'elle allait jouir donc je pompai de plus en plus vite jusqu'à ce qu'elle crie

- MON DIEU! ARGHHHHHHHHH! UMMMMM! OHHHHHHH! AHHHHHH!

Son corps se relâcha après cet orgasme intense. Sa tête pendait entre ses genoux et elle se tenait au membre de Martin. Celui-ci était surpris de cette situation, la femme serrant sa bite :

- Je n'ai jamais vu une femme avoir un orgasme aussi impressionnant.

A ce moment, je décidai de laisser mon ami baiser ma pute le premier. Pourquoi ne pas utiliser cette femme pour assouvir mes fantasmes. Je dis à Martin :

- Tu peux la baiser le premier. Moi je peux le faire quand je veux et tu es l'invité. Alors vas-y, saute-la!

J'étais volontairement grossier afin que Christine comprenne qu'elle n'était qu'un objet de plaisir pour moi. Martin ne me croyait pas :

- Tu es sur?

- Oui vas-y! baise là!

Je tirai le bras de ma belle-mère afin qu'elle se redresse et me fasse face.

- Martin n'est pas sûr que tu veuilles qu'il te baise alors je veux que tu lui fasses comprendre qu'il le peut et que tu es d'accord.

Je relâchai mon emprise. Elle se retourna et se dirigea vers mon ami. En tendant la main pour prendre son membre elle lui dit :

- Martin, je veux votre sexe à l'intérieur de moi.

Elle le regarda dans les yeux tout en caressant sa queue. Mais je savais qu'elle pouvait faire mieux que cela alors je dis :

- Christine! Tu peux faire mieux!

Ma voix autoritaire résonna dans la salle à manger. Je n'eus pas à attendre longtemps.

- Martin, il faut me croire quand je dis que je veux votre grosse bite tout au fond de mon vagin humide. J'en ai vraiment besoin.

Pendant toute la phrase, avec une voix séduisante, elle regarda mon ami dans les yeux. Elle tenait toujours sa queue dans sa main. Martin répondit :

- OK mais tournez-vous. Vous allez mettre votre chatte sur ma bite. Ne vous attendez pas à ce que je bouge. Je veux vous voir faire le travail.

- D'accord. Dit Christine.

Elle lâcha mon ami et se retourna, me regardant dans les yeux. Je voyais dans son regard qu'elle était morte de faim d'être baisée. Ma belle-mère devenait un super jouet sexuel dont je pouvais profiter.

Elle se pencha et essaya de se tenir le mieux qu'elle pouvait avec ses mains sur ses genoux, alors qu'elle tortillait son cul en reculant dans la direction où elle pensait qu'était la grosse verge de mon ami. Avec quelques manœuvres, en se soulevant un peu, elle trouva ce qu'elle désirait tant. En s'arrêtant elle dit :

- J'ai trouvé votre grosse bite.

Le gland de Martin touchait l'entrée humide de sa grotte intime. Je me déplaçai à coté de mon ami afin de voir la première bite que j'autorisai à pénétrer ma pute. Je dis :

- Qu'attends-tu Salope!

Elle recula et sa bouche ouverte laissa échapper un long gémissement alors que le membre de mon copain disparaissait petit à petit dans son sexe affamé. Elle s'arrêta lorsque ses fesses touchèrent le ventre de Martin. Ma belle-mère était complètement empalée sur la bite de mon ami. Je me plaçais devant elle afin de voir son regard.

- Regarde-moi Christine. Je veux voir ton visage alors que tu baises mon camarade.

Elle leva la tête et remonta ses mains sur ses cuisses afin de s'équilibrer. Nos regards se croisèrent. Je vis dans ses grands yeux bruns l'étincelle qu'elle avait eu la première fois que je l'avais pénétré. L'envie sur son visage était peut-être due à la nouvelle queue en elle. Je pensai que la faire baiser par d'autres hommes ne serait sûrement pas très difficile.

- Maintenant baise Martin comme il te l'a dit! Et fais le correctement ok?

- Oui! dit-elle

Christine se balança en avant jusqu'à ce que la bite de mon ami soit presque sortie de son trou, puis sans quitter mon regard, elle revint en arrière, enfonçant le membre tout au fond d'elle. Elle faillit renverser Martin.

- Vous devriez vous tenir. Lui dit-elle en regardant en arrière et en recommençant le mouvement.

Cette fois-ci, mon copain avait pris la précaution de placer ses mains dans son dos afin d'avancer ses hanches et tenir le choc. Lorsque les fesses de Christine claquèrent contre son ventre, il ne bougea pas. Elle hurla quand la bite s'enterra profondément dans son ventre.

Ma belle-mère pris un rythme rapide. Elle s'empalait sur le sexe comme une pute, attendant mon approbation.

- Dis-moi Christine ce que tu penses de la bite de mon ami. Je vois à ton visage que tu aimes mais je veux l'entendre.


Martin restait silencieux, la tête en arrière, les yeux fermés. Il savourait chaque instant.

- UMMMMM, la bite de, UMMM, UMMMM, votre ami, UMMM, est très, UMMMMM, bonne.

Elle avait du mal à parler entre ses gémissements et cris, gardant le bon rythme, à la recherche d'un orgasme. Elle regarda l'horloge sur le mur. Je regardais aussi. Il était 3h30. Je lui dis en souriant:

- Ne t'inquiète pas, La nuit va être longue.

Elle grimaça en claquant ses fesses contre Martin pour la centième fois en dix minutes.

- Tu es proche de l'orgasme ma pute? demandai-je.

- Oui, OUI, ARGHHHHHHH.

Elle cria, ses mouvements devenant de plus en plus difficile. Martin porta plus d'attention à ma belle-mère qui se tordait sur sa queue. Il aimait profiter de la sensation d'humidité chaude sur son sexe. Il dit :

- Voilà salope, baise moi, enfonce toi sur ma bite!

Il lui parlait et l'utilisait comme un jouet sexuel. Christine fut stimulée par les paroles dégradantes de ce jeune homme qu'elle ne connaissait que depuis 5 heures. Elle augmenta la cadence et une minute plus tard, elle perdit le contrôle :

- OOOOOOOOHHHHHHHH! OUI! OHHHHHHHHHH, JE, OHHHHH, JOUIS.....

Ses fesses tapèrent une dernière fois le ventre de Martin. Ses mains saisirent ses jambes autour de ses genoux pour les serrer. Son corps tremblait et ses yeux roulaient dans leurs orbites.

- UUUUUUUMMMMMMMMMMMMM

Elle gémit alors que sa chatte éclaboussa la bite de mon ami. Celui-ci s'exclama :

- Ben mon vieux! Quand cette salope jouis, c'est fantastique.

Il regarda le cul de Christine qui tremblait encore de l'orgasme.

- Tu entends salope? tu as une chatte d'enfer!

Retirant ses mains de son dos, il claqua le cul nul, sachant que son tour était passé.

Une fois que ma belle-mère eut repris le contrôle de son corps, elle sut que c'était mon tour. Elle tourna la tête pour regarder le sexe qui venait de la baiser. Puis elle tourna son corps. Je la tirai vers moi et poussai ma queue épaisse dans son vagin bien lubrifié, ce qui la fit gémir de nouveau. Je pris ses bras pour les emmener dans son dos. Puis lui tenant les poignets, j'enfonçai mon membre tout au fond d'elle, la faisant se cambrer, le tête en arrière, avec des gémissements d'abandon total.

- Bite numéro deux au fond du trou! Dis-je.

Puis je matraquai son sexe durant trois minutes pendant que Martin masturbait sa bite gluante en regardant la grosse poitrine se balancer.

- Viens plus près Martin. Dis-je . Je lâchai ses bras. Elle sut immédiatement ce que je voulais. Elle plaça ses mains sur les hanches de mon ami et ouvrit sa bouche pour recevoir sa queue dans sa gorge.

- Elle ne demande même pas à sucer des bites. Elle ouvre juste la bouche cette pute maintenant.

Je la pilonnai dur, sentant qu'elle n'était pas loin d'un autre orgasme.

- J'aimerai que ma belle-mère soit comme ça. Me répondit Martin.

Christine léchai mon ami, nettoyant ses couilles et sa bite puis l'avalant profondément. Puis je sentis son sexe se serrer alors que du jus inondait ma verge. Martin étouffa les gémissements de la femme en tenant sa tête avec les deux mains sur sa queue. Son orgasme terminé, je continuai à la marteler alors qu'elle continuait à sucer mon copain. Bientôt celui-ci demanda :

- Où puis-je éjaculer?

- Où tu veux Martin! tu choisis.

Je lui répondis tout en continuant mon pilonnage, sachant que j'allais bientôt jouir moi aussi. Presque timidement il dit :

- Dans sa chatte je peux?

- Pas de problème! dis-je en sortant de Christine.

Il fit tourner la femme rapidement puis l'empala. Il la baisa durement avec de grands coups pour s'enfoncer au plus loin dans son utérus. Il demanda à nouveau :

- Ca ne te dérange pas que j'éjacule dans ta belle-mère.

Mais avant que je puisse parler Christine dit en serrant les dents :

- Allez-y!

Je souris. Christine était en train de devenir ma pute personnelle et j'étais excité de voir mon meilleur ami décharger ses couilles au fond de ma belle-mère.

Il la tenait par la taille. Quatre fois il s'enfonça et se vida dans le ventre de la femme. Une fois qu'il eut fini, il la repoussa puis lui demanda de se baisser et de toucher ses orteils avec ses mains. Nous avons observé pendant une minute le sperme épais et gluant suintant de son trou et coulant le long de ses lèvres et de ses cuisses nues.

En ayant vu assez, je lui demandai d'écarter ses jambes mais de garder ses mains sur ses chevilles. Alors qu'elle m'obéissait, un peu de sperme sortit et tomba sur le tapis. Il s'en échappa encore plus quand j'enfonçai ma verge à l'intérieur de son sexe. Je baisai Christine pendant 5 minutes et alors que j'allais éjaculer, elle tomba au sol, un troisième orgasme la terrassant. J'ai rapidement plongé derrière elle, enfournant ma queue et accompagnant sa jouissance jusqu'au moment où j'ai éclaté, remplissant sa chatte d'une deuxième décharge de la nuit.

Quelques instants plus tard, je dis :

- Vas nous chercher des bières Christine, nous allons reprendre notre souffle. Et nous avons un autre trou à explorer ce soir n'est-ce pas?

- Oui.


Ce fut tout ce qu'elle répondit en se levant. Elle se dirigea vers la cuisine, un filet de sperme s'écoulant de son sexe vers le bas de sa jambe.

A suivre...

L'enseignante, ma chienne. Ch. 01

L'enseignante , ma chienne - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte

Viol de sa professeure.

Il y a quelque chose chez sa professeure que Carl trouve irrésistible. Il aime ce genre de femme mature que l'on sent sexuellement frustrée. Carl reconnaît toujours les femmes en manque de sexe. Madame O'KEEFE a le regard de ce genre de femme.

Madame O'KEEFE doit avoir 40 ans à peu près, car sa fille Katie, 18 ans, est dans la même classe que Carl. Toutefois elle est en excellente forme et elle pourrait facilement passer pour une femme de trente ans. Extérieurement, elle essaie d'avoir une apparence sobre et réservée mais sous ce vernis on ressent une passion retenue.

Karen O'KEEFE trouve que Carl est un de ses étudiants assez attirant. Et pourquoi ne pourrait-elle pas fantasmer sur lui? Carl est plutôt beau, avec un corps bien musclé qu'il aime montrer sous ses tee-shirts et ses jeans serrés.

Karen se masturbe souvent en pensant aux choses qu'elle aimerait que Carl lui fasse. C'est le seul exutoire sexuel qu'elle a. Son mari ne la touche plus. Bien sûr, elle n'autoriserait jamais Carl à se livrer à ses fantasmes. Elle est une femme mariée avec une fille et elle est un membre respecté de la communauté. Elle se sent déjà bien coupable de se masturber en pensant à lui.

Monsieur O'KEEFE a bien vingt ans de plus que sa femme. Il est professeur de physique au collège local. Carl est sûr que Madame O'KEEFE n'a pas été baisée depuis longtemps et qu'elle n'a jamais été vraiment bien baisée. Carl pense que c'est son devoir d'y remédier. Il a juste besoin qu'elle soit seule.

Un après-midi, Carl attend que Mme O'KEEFE se rende à sa voiture après l'école. Il la voit mettre des papiers sur le siège arrière. S'il se débrouille bien, il peut se faire prendre en stop alors qu'elle est seule. Il faut qu'il soit convaincant :

- Bonjour Mme O'KEEFE. On m'a oublié et je ne sais pas comment rentrer chez moi. Si ce n'est pas trop gênant pour vous, pourriez-vous me ramener?

Elle lui sourit et accepte sans hésitation. Dans la voiture, après quelques échanges banales, Carl dirige la conversation sur des sujets plus intimes.

- Madame, il faut que je vous parle de choses personnelles. Je ne peux pas en parler à mes parents, mais j'ai besoin d'un conseil d'adulte. Voilà Mme O'KEEFE, je suis un peu embarrassé... Il s'agit d'une femme.

- Pas besoin d'être gêné Carl! En quoi puis-je vous aider?

Karen sourit. Intérieurement elle est heureuse qu'il veuille lui parler de problème de filles. En fait, elle est même un peu excitée que la conversation tourne sur ce sujet. Elle peut sentir la pointe de ses tétons durcir.

- Eh bien, voyez-vous Mme O'KEEFE, je... Je ne sais pas comment dire ça... Mais il y a une femme mariée vivant près de chez moi... Eh bien, je pense qu'elle m'aime bien.

- Bien sûr Carl, vous êtes un beau jeune homme. Mais je pense qu'elle est juste amicale et rien d'autre. A-t-elle fait quelque chose qui vous rend mal à l'aise?

Karen est de plus en plus excitée au fur et à mesure que la conversation avance. Apparemment elle n'est pas la seule à se masturber et à fantasmer sur Carl.

- Eh bien, elle ne me rend pas vraiment mal à l'aise Mme O'KEEFE. Elle me demande de nettoyer sa piscine quand son mari n'est pas là et elle porte toujours un minuscule bikini. C'est dur pour moi de ne pas la regarder car elle a un corps formidable.

- Il n'y a pas de mal à regarder Carl. Je suis sûre qu'elle apprécie.

- Oui, mais parfois elle me demande de lui mettre de la lotion à bronzer sur le dos. Elle déboucle son haut de maillot de bain et elle ronronne quand mes mains s'enfoncent dans sa chair. Voilà Mme O'KEFFE, je suis un homme et vous pouvez vous imaginer de l'effet que ça a sur moi.

La chatte de Karen s'humidifie tandis qu'elle pense à la queue de Carl en train de durcir. La conversation devient un peu inconfortable.

- Peut-être que tu devrais lui en parler, lui dire que ça te met mal à l'aise?

- Oh, mais je n'ai pas dit que ça me mettait mal à l'aise Mme O'KEEFE. J'ai toujours hâte de nettoyer sa piscine. Mais je ne suis pas sûr que ce que nous faisons soit bien. Vous savez, elle est mariée.

- Tu ne fais rien de mal Carl, ne t'en fais pas pour ça.

- Eh bien peut-être pas. Mais est-ce bien quand elle se retourne sur le dos alors que je lui passe la lotion et qu'elle met mes mains sur ses seins nus?

Karen est momentanément sans voix. Elle cherche une réponse mais Carl continue :

- Et est-ce bien quand elle met sa main dans mon slip ou quand elle descend mon maillot pour mettre mon sexe dans sa bouche. Ou encore quand elle me tire sur elle et met ses jambes autour de moi pour que nous baisions? Qu'en pensez-vous Mme O'KEEFE?

Karen est complètement confuse et essaie de contrôler sa respiration. Sa chatte est vraiment humide, ses lèvres et ses jambes tremblent. Elle cherche ses mots mais rien ne sort.

- Prenez la prochaine à gauche et allez jusqu'au bout!

Carl désigne une route dont il sait qu'elle se termine en impasse sur un champ vide. La professeure tourne, mais son esprit est toujours plein des images érotiques de Carl en train de baiser sa voisine. Elle a besoin de reprendre le contrôle d'elle-même mais elle n'y arrive pas.

- Carl, je... euhhh... ce n'est pas de ta faute, mais...

- Vous savez Mme O'KEEFE, c'est la meilleure séance de sexe que je n'ai jamais eu. Par rapport aux jeunes filles de mon âge, j'ai l'impression qu'elle devient folle et qu'elle n'en a jamais assez. Je pense qu'elle mérite ce que je lui donne. Je veux dire que ce n'est pas parce qu'elle est mariée qu'elle doit cesser de profiter de la vie. Pensez-vous que j'ai tort Mme O'KEEFE?

Ils arrivent au bout de la route. Karen arrête la voiture. Elle est perdue, elle ne sait ce qu'elle doit faire ou dire. Carl tend la main et éteint le moteur. Puis il laisse tomber sa main sur la cuisse de Karen.

- Est-ce que votre mari vous satisfait Mme O'KEEFE? Avez-vous besoin de quelque chose?

La main de Carl glisse sur la jambe puis sous la jupe de la femme. Karen sait que ce n'est pas bien. Elle sait qu'elle doit l'empêcher d'aller plus loin avant que ça ne devienne incontrôlable. C'est ce que lui dit son esprit mais elle reste figée. Les doigts de Carl atteignent son entrejambe et sa culotte humide. Le bout des doigts caresse sa fente et titille son clitoris. Karen sent des ondes de plaisir traverser son corps. Elle n'arrête pas de se dire que ce n'est pas bien mais elle sent ses jambes s'écarter comme si elles avaient leur propre volonté.

Les doigts de Carl se déplacent sous la culotte et dans les plis de la chatte excitée. Karen gémit quand deux doigts la pénètrent. Le pouce du garçon frotte son clitoris tandis que les doigts baisent sa chatte. Sa respiration est devenue erratique. Ça va venir, elle va avoir un orgasme.

Mais avant qu'elle ne puisse jouir, Carl retire ses doigts. Karen a la tête qui tourne. Elle ne comprend pas ce qu'il se passe. Elle a besoin de finir. Pourquoi a-t-il arrêté? Elle était si proche de la jouissance.

Soudain une main passe sous son chemisier pour jouer avec ses seins. En même temps il saisit une de ses mains et la guide vers lui. Elle sent la chair nue d'une bite bien raide. Elle est perdue. Ses doigts s'enroulent autour de la tige de chair et elle caresse lentement sa bite. Un filet de liquide pré-éjaculatoire coule sur sa main.

Carl est sûr que la suite va être facile. Mme O'KEEFE n'a rien fait pour l'arrêter. En fait, elle a coopéré à chaque instant. Il pousse le soutien-gorge sur ses seins et il pince les tétons bien durs. Puis il se penche et pose ses lèvres sur le cou de Karen. Il la mord légèrement et lèche la peau sensible. Un gémissement s'échappe de la bouche de la professeure.

Carl se réinstalle dans son siège et pose une main derrière le cou de Mme O'KEEFE. Puis il tire sa tête vers sa bite. Pour la première fois, elle montre une certaine résistance. Alors Carl applique plus de pression jusqu'à ce que la tête commence à bouger. Karen réalise qu'elle a laissé les choses aller trop loin. Elle doit l'arrêter. Elle essaie de résister à la pression de sa main mais le garçon est trop fort.

- Non... Non... S'il te plaît... Laisse-moi partir!

Puis ses yeux tombent sur la magnifique queue que sa main masturbe. Combien de fois s'est-elle fait plaisir en suçant ses doigts en imaginant qu'il s'agissait du sexe de Carl? Et maintenant le voici devant elle, encore plus magnifique que dans son imagination.

Elle lutte encore un peu pour se libérer mais Carl est beaucoup trop fort. Elle regarde la peau lisse du gland qui se rapproche de plus en plus. La tentation est trop grande et le picotement dans ses reins trop intense.

Karen écarte ses lèvres et laisse la queue glisser dans sa bouche. La sensation de la chair dure contre sa langue ressemble à ce qu'elle a imaginé. Elle fait tournoyer sa langue sur l'extrémité gonflée. Quand elle sent une pression sur son cou, Karen utilise ses compétences apprises dans sa jeunesse, elle laisse le sexe glisser dans sa gorge.

Carl relâche un peu la pression qu'il applique derrière la tête de la femme. Elle continue de lécher et sucer avidement sa bite. Il est clair qu'elle aime ce qu'elle fait et qu'elle est douée. Carl se détend et la laisse faire.

Karen sent que la pression sur sa tête a disparu. Elle sait que c'est le moment de s'échapper. Pourtant elle se dit « encore quelques secondes ». Sa chatte dégouline et demande de l'attention. Karen glisse alors deux doigts sous sa culotte et commence à s'occuper de son clito visqueux.

Ses talents de suceuse sont si bien que le jeune garçon sent qu'il va vite jouir. La tête de karen oscille rapidement le long de sa queue. Elle la prend profondément en bouche et la masse avec sa langue. Carl voit Mme O'KEEFE doigter sa chatte furieusement. Elle est complétement excitée.

Ça ne peut durer longtemps. La pression dans le ventre de la femme est trop intense. La sensation du membre de Carl dans sa bouche et sa gorge couplée à celle de ses doigts sur son clitoris et dans sa chatte lui font tourner la tête. Alors qu'elle sur le point d'avoir un orgasme, Carl repose sa main sur sa tête et la pousse profondément afin que sa bite soit toute dans sa gorge. Le sexe palpite, elle sait ce qui va se passer.

Son corps se raidit. Karen serre les cuisses sur ses doigts. Un cri voudrait sortir de sa bouche, mais du sperme chaud inonde sa gorge. Le jus de sa chatte mouille sa culotte et ruissèle sur son cul. Encore plus de sperme, elle le sent couler sur ses lèvres.

Carl sort sa queue et gicle son foutre entre les yeux de Karen. Un autre jet tombe dans ses cheveux et sur son nez. Le garçon regarde sa semence couler des lèvres de Mme O'KEEFE pendant qu'elle halète et se remet de son orgasme. C'est la meilleure fellation qu'il n'a jamais eue.

Tandis qu'elle sort lentement de sa jouissance, Karen réalise ce qu'elle vient de faire. Tout rapport sexuel avec un étudiant est strictement interdit. Elle peut perdre son travail. Pire encore, elle peut aller en prison, même si elle sait que Carl a plus de 18 ans. Et si sa fille ou son mari découvraient ce qu'elle vient de faire? Ça détruirait sa famille. Il faut qu'elle sorte de cette situation.

- Oh merde! Bon Dieu! Merci Mme O'KEFFE c'est la meilleure pipe de ma vie. Laissez-moi quelques minutes et je vais vous satisfaire comme vous l'avez fait pour moi.

Karen a retrouvé tous ses esprits, elle sait qu'elle doit agir vite. C'est elle l'adulte ici et donc c'est elle qui doit prendre les choses en main.

- Carl... Ce qui vient de se passer est une erreur. Répond-elle en essuyant le sperme sur son visage.

Elle continue d'un ton ferme :

- Si jamais tu dis quelque chose, je nierai. Je suis presque sûre que ma parole comptera plus que la tienne... Maintenant, sors de la voiture.

Carl ne peut croire ce qu'il entend. Elle a aimé sucer sa bite autant qu'il avait apprécié cette fellation. Elle avait même eu un orgasme en se caressant. Et maintenant elle appelle ça une erreur. Quelque chose ne va pas.

- Attendez Mme O'KEEFE, je sais que vous avez aimé sucer ma bite et doigter votre chatte. Vous dites que c'est une erreur? Êtes-vous en train de me dire que votre mari vous fait ressentir les mêmes choses? Je ne crois pas, je ne pense pas que vous vouliez vraiment que je parte.

Karen avait apprécié ce moment et il est vrai que son mari ne lui donnait jamais de plaisir quand ils baisaient, ce qui n'arrivait pas souvent déjà. Elle sait que Carl peut lui donner le plaisir dont elle a si désespérément besoin. Mais elle sait aussi que c'est hors de question, elle s'arrangerait avec ses doigts et ses godes vibrants.

- Sors Carl, je ne le répéterai pas. Nous ferons comme si rien ne s'était produit.

Karen se penche et ouvre la portière passager. Carl ne bouge pas. Karen met ses mains sur son épaule et le pousse :

- Allez, ne fais pas d'histoires!

Carl fulmine. Elle ne peut pas le jeter dehors comme un chien, pas après ce qu'il a fait pour elle. Il saisit sa main et lui tord les doigts jusqu'à ce qu'elle grimace de douleur. De son autre main, il attrape ses cheveux et lui tire la tête en arrière. Son visage est à quelques centimètres du sien.

- Arrêtons de jouer Mme O'KEEFE! Je sais que vous voulez ma queue dans votre chatte. Ça arrivera de toute façon, alors autant en profiter.

Maintenant Karen a peur. Elle ne s'attendait pas à ce genre de réaction de la part de Carl. Elle réalise qu'elle doit partir rapidement avant d'être blessée. Elle ouvre la bouche et mord son élève au bras pour qu'il la laisse partir. Elle trouve la poignée de la porte et essaie de sortir de la voiture. Carl saisit sa jupe. Elle la sent se défaire tandis qu'elle tombe à côté de la voiture.

Karen commence à courir, mais elle ne fait que quelques pas avant que Carl ne lui attrape le bras et la tire en arrière. Il la lance violemment contre la voiture. Karen tend les bras pour amortir l'impact. Carl se précipite derrière elle, prend un de ses bras pour lui tordre dans le dos, pose son autre main sur sa nuque et claque son visage sur le capot.

- Madame O'KEEFE, vous rendez tout cela difficile. Vous ne devez pas avoir honte de vos sentiments, vous savez que vous voulez ma bite. Alors arrêtez de vous débattre.

Karen est à peine capable de bouger. Carl déboucle son pantalon et le laisse tomber par terre. Il arrache la culotte de sa professeure et presse sa bite dans la fente entre ses fesses. Il bande déjà. Karen sait qu'elle est sur le point d'être baisée.

- Non Carl... S'il te plaît, je suis mariée, je ne peux pas faire ça... je t'en prie arrête... je ne dirai rien... Partons chacun de notre côté et oublions ce qui vient de se passer.

Carl fait la sourde oreille. Il lui écarte les pieds et positionne la tête de sa queue à l'entrée humide de sa chatte. Incapable de bouger, Karen ferme les yeux et attend que ça se passe. Carl pousse fort. Sa chatte est encore humide de son orgasme et elle s'ouvre facilement pour le membre de chair qui s'enfouit profondément.

Karen essaie de prétendre qu'elle ne ressent rien. Il peut la baiser, mais elle est déterminée à ne pas réagir. Pourtant son corps la trahit. Quand la grosse queue s'enfonce profondément dans sa chatte elle réalise qu'elle n'a pas été remplie comme ça depuis longtemps... Et peut-être même jamais. Le garçon se retire puis replonge dans la chatte. Un petit halètement s'échappe de sa gorge. Sans réfléchir, elle soulève son cul pour qu'il puisse aller plus loin.

Carl retire sa main de la nuque de la femme, mais garde son bras tordu dans le dos tout en continuant de labourer le sexe chaud et humide. Il baisse les yeux et regarde sa queue bien raide, dégoulinante du jus de chatte, glisser entre les fesses. Quand elle soulève son cul et le pousse contre sa bite, il commence à la marteler de plus en plus fort et de plus en plus vite.

Karen peut sentir la chaleur s'intensifier dans sa chatte. Elle va jouir. Cette bite qui pilonne son sexe la rend folle. Elle peut sentir les couilles du garçon gifler son clitoris. Sa respiration s'affole. Elle bouge son cul pour avoir le maximum de queue en elle. Elle ne peut s'empêcher de s'exprimer :

- Baise-moi... oui baise-moi plus fort... mon Dieu que j'aime ta bite... oooohhhh... baise-moi.

- Ouais salope, ta chatte est si chaude! Je vais te baiser jusqu'à ce que tu ne puisses plus tenir debout.

Carl lâche son bras et lui saisit les cheveux pour tirer sa tête en arrière. Il donne de coups de reins si puissants qu'il la soulève pratiquement du sol. Elle crie des obscénités les unes après les autres. Il saisit un sein et pince méchamment le mamelon. Le corps de Karen se raidit. Elle crie. Sa chatte serre la bite du jeune garçon et un flot de jus coule sur le membre et les couilles.

Carl la retourne pour qu'elle soit face à lui et il remet sa bite dans la chatte dégoulinante. Il la regarde dans ses yeux vitreux et voit sa tête dodeliner à chaque fois qu'il donne un coup de rein.

Karen est possédée. C'est comme si une autre femme, étrange et imprudente s'était emparée de son corps. Elle est devenue un animal. Elle n'a pas assez de la queue de ce jeune homme. L'institutrice, la mère de famille et la femme mariée se sont fondues dans l'ombre. Elle n'est plus qu'une putain, le jouet sexuel du garçon.

Elle déplace un doigt vers son clitoris. Elle peut sentir la queue glisser dans et hors de sa chatte. Elle regarde Carl dans les yeux avec un regard sauvage :

- Baise-moi... Fais-moi jouir... Oh oui... Plus fort... Baise-moi plus fort... Pousse bien ta grosse bite dans ma chatte... AAAAAHHHH... OUIIIIIIII...

Elle se mord la lèvre tandis que ses doigts frottent furieusement son clitoris. Elle enroule une jambe autour de la cuisse du garçon. Un autre orgasme est en train de se construire dans sa chatte. Elle met deux doigts dans sa bouche et elle les suce. Ses yeux ne quittent jamais Carl.

- Super Mme O'KEEFE, voter chatte est si douce... Ooh oui... Mon dieu j'adore te sauter!

Carl peut sentir son sperme bouillant dans ses couilles. Ses mains glissent sous les fesses de la femme et il la soulève du sol. Elle enroule ses deux jambes autour du jeune homme tout en s'appuyant sur la voiture. Carl glisse son majeur dans la fente entre les fesses jusqu'à ce qu'il trouve le petit trou serré du cul. Puis il appuie dessus jusqu'à ce que son doigt pénètre à l'intérieur.

Personne n'a jamais utilisé le trou du cul de Karen. Mais elle est trop excitée et hors de contrôle pour s'en soucier et ne pas en profiter. Elle sent l'orgasme très proche. Ses doigts frottent son clito de plus en plus vite pendant que le doigt de Carl s'enfonce plus profondément dans son cul.

- Jouis en moi Carl! Je veux sentir ton sperme inonder ma chatte. Oh putain oui...Je vais jouir... Oh mon Dieu, je viens....

Karen griffe sa poitrine alors que sa chatte se resserre autour de la queue gonflée de Carl. Elle sent le sperme chaud gicler dans son ventre. Elle jette sa tête en arrière et un cri perce l'air autour d'eux. Encore plus de sperme dans sa chatte. Une explosion démarre et secoue tout son corps. Du jus sort de sa chatte. Une réplique de l'explosion ébranle son corps. La queue du jeune homme continue à marteler sa chatte en pulvérisant du foutre dans son sexe dégoulinant.

Ils sont tous les deux vidés. Carl la tient, son sexe toujours enfoui dans l'intimité de la femme. Il reprend son souffle. Finalement il la dépose à terre et remonte son pantalon.

- C'était génial Mme O'KEEFE. Je dois rentrer à la maison. Je vous verrai en classe demain et peut-être que nous pourrons recommencer après les cours.


Karen peut à peine se tenir debout? Ses genoux tremblent et elle titube vers la portière de sa voiture. Du sperme et son propre jus coulent sur ses jambes. Sa culotte et sa jupe sont déchirées. Elle réussit tant bien que mal à faire tenir sa jupe autour de sa taille. Elle glisse sur le siège conducteur et cherche ses clés. Puis elle laisse sa tête tomber sur le volant et elle pleure.

A suivre...

dimanche 17 mars 2019

Bourgeoises Soldées Ch. 02

Bourgeoises soldées - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte

la déchéance de la mère et de sa fille continue...

Dans la voiture qui nous amène ma mère et moi dans la cité de Mohamed et ses ignobles complices, c'est l'enfer...On nous a contraintes à remettre nos bâillons-boules dans la bouche, nous empêchant d'émettre le moindre son. Nous sommes à l'arrière et pendant le trajet, maman et moi nous subissons des attouchements de plus en plus pervers...Maman, dont les seins à l'air sont malaxés sans vergogne par un black et un autre jeune. On lui suce les tétons, on les pince, on farfouille sous sa micro robe de soubrette et des doigts s'infiltrent dans sa chatte ; Elle gémit à travers son bâillon. Pour ma part, je suis dans la deuxième voiture, et l'on m'enfonce dans la chatte toutes sortes de godes, me branlant avec tout le long du trajet...

Nous arrivons dans la cité, cela se reconnaît sans mal à voir les carcasses de voitures calcinées qui jonchent le trottoir souvenir de la dernière nuit d'émeutes...Les voitures stoppent devant l'entrée d'un immeuble où traînent 5 à 6 jeunes, je suis éjectée de la voiture et maman aussi. Nous nous regardons, maman le regard rempli de terreur me dévisage...Au pied de l'immeuble, les jeunes nous regardent étonnés de voir deux belles femmes en tenues sexy mais bâillonnées accompagnées leurs potes...

- Putain! Vas y...Mohamed, c'est qui c'est deux salopes?

- 2 bourgeoises en chaleur, on va à la cave, tu surveilles et tu pourras en profiter après...

Nous sommes entraînées dans un escalier malgré nos protestations étouffées...Nos talons claquent sur le sol. Dans la cave, nous sommes dirigées vers un local où se trouvent quelques jeunes. Ils fument du cannabis et boivent de l'alcool tout en écoutant du rap...Ils s'arrêtent net de discuter en nous voyant...

Mohamed leur explique qui nous sommes, notamment que je suis leur prof et que nous devons subir en entraînement intensif, un dressage avant d'être mises au tapin...

J'entends maman qui émet un son indistinct à travers son bâillon en entendant ces mots...

Les jeunes se lèvent et se dirigent vers nous. Nous sommes empoignées et emmenées au milieu du local. On me malaxe les seins et des doigts inquisiteurs farfouillent mon intimité. Maman est courbée en avant, campée sur ses talons aiguilles, et elle subit une fouille en règle de sa chatte par plusieurs mains. Tout le monde rigole, je sens les doigts qui me fouillent. On me branle, on pince mon clitoris. Des doigts s'enfoncent dans mon cul. On me retire mon bâillon et une bite se présente devant ma bouche.

- Suce salope, suce-moi!

Je m'empare de la bite et l'avale, soumise...

Maman à genoux, pompe une bite noire qui l'étouffe à moitié. On lui agrippe les cheveux et la force à l'avaler entièrement jusqu'aux couilles...Elle a des hauts le cœur.

Beaucoup de nos agresseurs sont des élèves de ma classe...Ils font des photos et des films.

Maman, toujours en soubrette, à quatre pattes, est filmée en train de sucer un gode pendant qu'un des jeunes, un type au crane rasé lui enfonce un autre gode dans le cul...

Moi, on me prend en photo en train de sucer une bite d'un calibre impressionnant!

Je suis horrifiée d'entendre Mohamed dire qu'ils vont créer un site internet pour y mettre les photos. Le site pourrait être payant pour mater les films. Un des jeunes objecte qu'il ne faudrait pas qu'on nous identifie et Mohamed lui dit qu'il n'y a pas de problème car on peut flouter les visages...

Tirée par la laisse, je suis contrainte de m'agenouiller sur le sol crasseux de la cave. Mohamed poussa ma tête jusqu'à ce qu'elle touche le sol, cambrant mon cul. Je sentis le gland de son sexe forcé mon anus et je poussais un cri. Je reçu une volée de claques sur les fesses!

- Tais-toi, salope!

Sa bite força mon cul et il commença à me pilonner. Mes seins secoués par ses coups de boutoirs gigotent dans tous les sens...

Maman fut amenée devant moi et courbée en avant, elle dut accepter toutes les bites qui se présentaient devant elle...Il y a au moins une quinzaine de jeunes dans la cave... J'entends leurs cris et leurs rires...A l'entrée, un colosse donne les tarifs et encaisse...Maman suce une queue noire, s'étouffe, hoquète, recrache la bite pour reprendre sa respiration...Un seconde bite investit sa bouche, forçant ses lèvres rouges. On la contraint à branler une queue de ses mains manucurées...

Mohamed continue de me perforer et je sens une douce chaleur envahir mon bas-ventre...Je gémis...

- Tu prends ton pied ma salope! On va faire de toi et ta mère de bonnes petite putes soumises...

Ma mère tente de protester mais ses cris sont étouffés par la bite qu'elle suce...De la bave coule sur son menton...On ne lui laisse aucun répit...A peine un des jeunes a-t-il éjaculé libérant son sperme dans la bouche de cette bourgeoise b.c.b.g., qu'un autre le remplace...On la force à avaler le foutre et elle s'étouffe...

Mohamed se retire et me lime la chatte maintenant, les mains crochées dans mes hanches, il me bourre sauvagement, j'halète, c'est plus fort que moi, je sens l'orgasme arriver....Je pousse un cri et je m'affale sur le sol...Un autre jeune se précipite et me retournant comme une crêpe me soulève les jambes et me pénètre violemment m'arrachant un cri. Maman, les seins recouverts de spermes, se retrouve à quatre pattes, une bite qui lui ramone le cul. La bouche ouverte sur un cri muet...

Ses gros seins sont malaxés par des centaines de mains...On s'amuse à lui tirer les tétons...Pendant que le jeune lui déchire le cul, elle doit accepter de sucer d'autres bites...Sous les commentaires ignobles...

- Bourre la cette pute, éclate lui son cul de bourgeoise...Défonce lui le cul à cette chienne!

- Je vais jouir dans ton cul, salope!!

On nous releva et, en fragile équilibre sur nos talons aiguilles, plusieurs mains relèvent une de nos jambes. Nous sommes, maman et moi, masturbées un long moment jusqu'à ce qu'un orgasme nous fasse crier. Je suis pénétrée par la queue d'un petit jeune pendant qu'un gros, presque obèse, enfile maman. Prises debout, nos seins ballottent...Leurs coups de bites nous font gémir...On force maman à sucer un gode.

Je me rends compte que maman à perdu un de ses escarpins et que ses bas sont déchirés...

Le gros défonce maman à grand coups de reins. Les yeux exorbitées, elle me regarde...Elle poussa soudain un cri bref et faillit tomber sous la violence de l'orgasme. Je subis les va et-vient de mon tourmenteur. Je sens la cyprine qui coule sur son membre...

On nous positionna à genoux pour le final...Tous les jeunes se présentent devant nous, et bouche ouverte, langue pendante, nous attendons...Les jets de spermes giclèrent allant s'écraser sur nos visages...J'en reçois sur le front, les yeux...Maman en a plein les cheveux et sur ses seins...On la contraint une dernière fois à piper une queue, celle de Mohamed, qui éjacula dans sa bouche l'étouffant avec son foutre...

Nous sortons de la cave, titubantes sur nos talons hauts...Maman se tord la cheville...Nous passons devant le jeune que Mohamed avait chargé de surveiller l'entrée. Il proteste en nous voyant partir...

Nous sommes livrées gracieusement à ce jeune. Son visage dissimulé par une capuche rabattue sur sa tête. Il s'empare de nous, nous pousse vers la voiture et nous cambre dessus, nos seins écrasés sur la tôle...Il me pénètre en premier et me donne de furieux coups de reins me faisant couiner...Il se retire et enfile maman qui, passive, accepte la bite de ce jeune qui pourrait être son fils voire son petit-fils tellement il parait jeune... Il défonce ma mère en l'insultant et en la traitant de grosse bourgeoise salope, de traînée...Il éjacula rapidement aspergeant le cul de maman de son sperme poisseux...

Nous sommes coincées maman et moi à l'arrière de la voiture entre Mohamed et Rachid, un de ses complices. Brahim conduit. Ils nous ramènent chez nous. Nous avons été contraintes de donner nos adresses personnelles. Mohamed fouille dans nos sacs à main qu'il a pris soin d'emmener après notre virée dans les sex-shop. Il découvre la photo de mon époux...

- C'est ton mari? Il fait quoi?

Je lui apprends qu'il est policier, à la BAC, et il ricane...

- Putain! On vient de se taper une femme de flic, je connais plein de mecs qui seraient ravis de te défoncer ma belle...

Il se tourne vers ma mère :

- Et toi? Tu bosses?

Maman, tremblante lui avoue qu'elle est directrice d'une agence bancaire ...

- Et ton mari?

- Il travaille dans le BTP, il dirige une société...

Éclat de rire de Mohamed :

- Je pense que les ouvriers de ton mari rêvent de te déchirer le cul!!

Maman et moi nous baissons la tête, honteuse...

Mohamed donne ses instructions...

- Demain, dit il en s'adressant à moi, au lycée, tu seras habillée sexy, jupe courte , talons hauts et bas nylons.

Il se tourne vers ma mère...

- Toi, tu ne vas pas bosser demain, tu seras malade...Tu auras de la visite, habille toi sexy, pour appâter les clients!!!...Et t'inquiète pas pour ton boulot, à la banque on va contacter tes employés...Je suis sûr qu'ils seront ravis de pouvoir te sauter!!!!

Nous avons été ramenées chez nous...Maman m'a avoué le lendemain, que Rachid, Brahim et Mohamed l'avaient baisée une dernière fois sur le lit conjugal l'abandonnant recouverte de sperme


Ramenée chez moi, je m'empressais de prendre une douche. Avec une crème apaisante, je soulageais les brûlures dues aux multiples enculages que j'avais dû supporter. Mon mari rentra tard et il me trouva pimpante dans le salon de notre appartement. Cependant, il ne compris pas quand je trouvais une excuse bidon (j'ai mal à la tête!!) pour qu'il ne me fasse pas l'amour...Je me demande encore pourquoi je ne lui ai rien dit de notre mésaventure...J'étais très troublée par ce qu'il venait de m'arriver. Maman et moi avions été contraintes bien sûr mais nous avions également eu des orgasmes...une jouissance que je n'avais jamais ressentie jusque là...Epuisée, je me couchais de bonne heure et dormis d'une traite jusqu'au matin...

A suivre...

La nouvelle vie de Christine Ch. 04

La nouvelle vie de Christine - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte

Le passé de ma belle-mère.

Alors que je revenais du parking où Christine m'avait sucé, j'essayais de comprendre pourquoi une femme mariée avec une position sociale respectée, une femme d'affaire avec un bon emploi dans une grande entreprise, pouvait être si facilement influencée et contrainte à commettre des actes réservés généralement aux prostituées.

Bien sûr, elle était mariée depuis ses 20 ans et maintenant qu'elle en avait 39, cela faisait trois ans que son mari Alain la négligeait sexuellement. Cela suffisait-il à en faire une salope?

Je ne savais pas mais pour mieux comprendre je décidai d'aller voir un de mes oncles.

Mon oncle Henri vivait dans le village voisin du notre et nous restions en contact. Je me demandais ce qu'il savait sur Christine. Surtout que lorsque je lui avait montré ma petite amie, il m'avait dit qu'il connaissait très bien sa maman pour avoir été à l'école avec elle.

Je me dirigeai vers sa porte puis je frappai. Alors qu'il me laisse entrer je lui dis :

- Bonjour oncle Henry, comment vas-tu?

- Ca va bien! comme tous les jours! Que demander de plus?

Il alla au réfrigérateur, l'ouvrit et sortit deux bières. Nous nous assîmes dans le salon et il m'en tendit une.

Je ne savais pas trop comment amener les questions que je voulais poser.

- J'ai une question un peu étrange, Henri. Et je ne sais pas si tu pourras répondre.

J'ouvris ma bière.

- Pose là! me répondit-il en ouvrant aussi sa canette

- Tu sais que je vis chez Christine depuis un petit bout de temps maintenant.

- Oui je sais.

- Elle est très bizarre ces derniers temps. Elle rentre tard en se faisant discrète. Je me demandais si c'était le genre de femme à tromper Alain? Tu sais qu'elle est mariée depuis 19 ans alors je crois que toute la famille serait effondrée si elle avait une liaison.

J'attendis la réponse de mon oncle. Je le vis sourire et cela m'étonna. Il dit :

- Pour être honnête, je suis surpris qu'elle soit encore mariée au bout de 19 ans.

Il rigola en buvant sa bière.

Intrigué, je décidai d'essayer d'en savoir plus :

- Tu as été à l'école avec elle. Que disait-on d'elle?

Mon oncle rit encore, avala une gorgée de bière avant de me dire :

- Il se disait qu'entre ses 17 et 18 ans, elle avait déjà baisé quelques garçons plus âgés de la ville voisine.

Il finit sa bière et me demanda si j'en voulais une autre. Toutefois avant que je réponde il alla à la cuisine puis revint avec deux autres canettes.

Je dis :

- La dernière pour moi, je conduis!

Je finis la première et ouvris la deuxième. Après quelques secondes, je lui posai une autre question en souriant:

- L'as-tu baisé Oncle Henry?

- Non, je n'ai jamais pu. Même si un jour je pouvais presque mais malheureusement sa mère est arrivé à ce moment. Mais je peux te dire qu'elle sait sucer une bite.

Il rigola avant d'ajouter :

- J'ai failli oublier le jour où elle se fit baiser par deux garçons dans l'allée derrière le bowling. C'était juste 6 mois avant qu'elle se marie avec Alain, si je me souviens bien.

Il arrêta de parler et en quatre gorgées il vida sa canette.

Alors que je finissais moi aussi, je demandai :

- Donc tu crois qu'elle peut tromper son mari?

Mon oncle ne réfléchit pas :

- Je serais surpris si elle ne le faisait pas.

- Ok mon oncle, je te remercie. Tes bières étaient excellentes.

Je le quittai pour sortir et monter dans ma voiture.

Une fois dedans, je réfléchis et compris les raisons pour lesquelles Christine s'était conduite de cette façon alors qu'elle était mariée.

Christine était une salope, une salope mariée dont l'appétit sexuel n'avait pas été comblé par son mari. Alors que ces trois dernières années, Alain l'avait complétement délaissé tout en la rabaissant, ses besoins et désirs sexuels refaisaient surface.

Et lorsque qu'elle vit mon membre plein de vigueur, ses besoins sont devenus trop forts et elle n'a pu rés****r aux pulsions sexuelles qu'elle avait avant son mariage.

Maintenant, la seule idée que j'avais dans la tête c'était de libérer la pute qui était à l'intérieur de ma belle-mère. J'allais essayer ce soir après son travail.

Le rendez-vous.

Christine terminait à 17h30. Le parking à camion étant à 6 kilomètres, je savais qu'il lui faudrait presque une demi-heure pour y arriver dans le trafic.

Je partis à 17h45 pour rejoindre ce lieu près de la station-service.

Le parking à camion était long de 300 mètres derrière le garage. Il était en retrait de 25 mètres de la route et complétement isolé par une grosse et épaisse haie d'arbustes.

Quand j'arrivai au parking, seul un camion était présent, à l'autre bout du parking. Il était vide. Je me garai le plus loin possible et j'attendis Christine.

A 18h00, je vis une voiture arriver avec ses phares alors que la lumière du jour commençait à disparaitre lentement.

C'était ma belle-mère. Elle s'arrêta, son capot en face du mien. Elle éteignit les phares puis descendit, fermant sa voiture à clé. Dans le même temps je descendis moi aussi et nous nous retrouvâmes entre nos voitures.

Avec mes nouvelles informations, je savais que ma belle-mère était ou deviendrait une putain pour moi.

- Bonsoir! me dit-elle en regardant tout autour dans le parking.

- Bonsoir!

Ne voulant paraître impoli, je lui répondis. Puis je la tirai vers moi, passai mes bras autour d'elle, et plantant mes lèvres sur les siennes, je lui donnai un long baiser passionné.

Dans le même temps, mes mains descendirent sur ses fesses puis le long de ses cuisses jusqu'à ce que je trouve le bas de sa jupe. Je remontai celle-ci autour de sa taille. Elle ne protesta pas alors que je la repoussai afin de l'admirer ainsi troussée, en bas et petite culotte noirs.

- Tourne toi et met les mains sur ton capot!

Avant de m'obéir, elle jeta des coups d'œil tout autour sur le parking.

- Ecarte tes jambes maintenant Christine.

Je regardais ses cuisses alors qu'elle faisait glisser ses talons dans le gravier écartant ses pieds comme je lui avais demandé. Elle avait un cul magnifique avec une peau lisse et légèrement bronzée. A travers sa culotte je pouvais deviner les plis de sa chatte.

Ce spectacle fit que ma bite était complétement dressée dans mon pantalon.

Je mis ma main droite entre ses jambes et frottai ma paume contre son sexe à travers le tissu de la culotte. Mes doigts se pressèrent contre sa fente alors que mon pouce frottait ses petites lèvres.

Christine laissa échapper un petit gémissement sans équivoque :

- Ummmmmmmm.....

- Quel genre de femme laisse le petit ami de sa fille tripoter sa chatte dans un parking?

Ce n'était pas vraiment une question que je lui posais. Sans répondre, elle se tortilla sans reculer.

- Il n'y a qu'une pute pour faire cela. Tu es une pute Christine n'est-ce pas?

Je poussai mon pouce et le tissu entre ses lèvres. Je sentis l'humidité à travers sa culotte.

- Oui! répondit-elle en haletant.

- Oui tu es une pute?

J'insistai alors que je mis mes mains sur sa culotte afin de la descendre jusqu'à ses genoux. L'air frais de la nuit souffla sur sa chatte nue et rasée pendant que la nuit continuait à tomber.

- Oui je suis une pute! dit-elle brusquement et avec impatience.

- Ne me parle pas comme ça putain!

Je claquai sa fesse droite avec f***e.

- Aïe! cria-t-elle

Puis plus doucement elle dit :

- Désolé.

- Je ne veux pas que ma pute me parle mal. Tu comprends Christine?

- Oui je comprends.

Maintenant que la nuit était tombée, je suis allé allumer mes phares afin d'éclairer ma belle-mère et ses trous exposés. Avec les renseignements de mon oncle, je savais que c'était un comportement habituel pour cette mère de famille.

Rejoignant Christine, je mis trois doigts dans son trou humide. Elle était tellement mouillée que je n'eus pas besoin de f***er. Elle gémit profondément et tomba en avant, sa poitrine s'écrasant sur le capot. Je la doigtai pendant quelques minutes, ses gémissements augmentant en volume et en longueur. Je savais qu'elle n'était pas loin de l'orgasme.

Je m'arrêtai et levai les yeux, Christine faisant la même chose. Nous avions entendu le bruit de pneus sur le gravier suivi par une paire de phares qui tournèrent au coin et éclairèrent le parking. Nous avons regardé le véhicule venir vers nous. Mais il s'arrêta à 20 ou 30 mètres et le conducteur éteignit ses lumières. Il s'agissait simplement d'un camion qui se garait pour la nuit. Je voyais la forme d'un homme dans la cabine mais il ne descendit pas.

- Allons-nous-en! murmura Christine, effrayée, en regardant par-dessus son épaule.

Je la regardai en me disant que c'était surement une bonne idée. Mais une voix dans ma tête me poussait à voir à quel point ma belle-mère était pute.

- Non Non! Nous n'avons pas fini encore!

J'enlevai mes trois doigts de son sexe et je lui barbouillai l'anus avec son jus.

Ensuite je poussai un, puis deux doigts dans son petit trou du cul.

- Aïe!

Elle cria. Mais se rendant compte que c'était trop fort, elle mit son poignet dans sa bouche afin d'atténuer ses cris.

De ma main libre, je défis ma braguette afin de sortir mon gros sexe dans la brise fraiche du soir. Pour la première fois, j'allais baiser ma belle-mère en extérieur.

- Tiens ta chatte ouverte Christine!

J'enlevai mes doigts de son anus et me positionnant derrière elle je lui dit « Parfait » alors que ses doigts fins atteignaient ses lèvres et les écartaient, laissant libre accès à son trou qui allait être mien pendant les semaines et les mois à venir.

Je poussai mes hanches en avant, ajustant la tête de mon sexe sur ses petites lèvres. Et je lui demandai :

- Tu es ma pute n'est-ce pas?

- Oui je le suis. Je veux que tu me baises.

Elle essaya de regarder autour d'elle mais je poussai en avant mon gros membre dans son sexe. Jetant sa tête en arrière, Christine cria :

- Aaaaaaaaaaaaahhhhhh

Et elle remit son poignet dans sa bouche afin d'étouffer ses cris.

- Continue à ouvrir ta chatte! ordonnai-je

Je la pilonnai avec des grands coups de bassin.

- Garde ta chatte bien ouverte pendant que je te baise.

Alors que mes propos étaient de plus en plus dégradants envers ma belle-mère et qu'elle n'y répondait pas, je pensai qu'elle était d'accord avec son statut de pute. Je sentais que j'avais sur elle un ascendant qui allait me permettre de l'humilier encore et encore.

Après deux minutes de bourrage intensif de sa chatte, j'ai senti son sexe se contracter autour de ma bite. Ses jambes cédèrent un peu alors qu'elle eut un orgasme.

Maintenant elle était couchée la tête appuyée sur le capot de la voiture, ses seins écrasés. Mais ses mains tenaient toujours sa chatte bien ouverte.

C'est au moment où son orgasme se termina, que, de nouveau, deux phares illuminèrent le parking. J'attendis que le véhicule s'arrête pour me retourner et regarder. Je vis un petit camion garé à ma droite, à 15 mètres à peine.

Ebloui par les phares, je ne voyais pas le conducteur mais j'étais sûr qu'il savait ce que nous faisions. Ce n'était pas dur à deviner avec une femme couchée sur un capot et un homme derrière elle.

Un peu inquiète, Christine demanda :

- Qu'y a-t-il?

- Ne t'inquiète pas, il s'agit juste d'un camion qui part.

Je lui mentis car, de me savoir peut-être regardé, m'excitait et de toute façon je ne voulais pas arrêter maintenant.

Christine suggéra :

- Nous devrions peut-être partir afin que l'on ne nous voit pas.

Je devais rapidement la remettre à sa place.

- Nous partirons lorsque j'aurais fini et lorsque je le déciderai, pute idiote!

Je mis une grande claque sur sa fesse droite. Elle poussa un petit cri. Au même moment, j'entendis une portière s'ouvrir et claquer pas loin derrière moi. Le conducteur du dernier camion était surement dehors. J'attendis quelques secondes avant de regarder autour de nous.

« Zut » Je pensai en commençant à regretter mon idée idiote de rester ici.

Christine essaya de regarder, et un peu paniquée demanda :

- Que se passe-t-il?

Il fallait que je retrouve mon sang-froid. Surtout qu'un de mes fantasmes était d'exhiber ma partenaire.

- Il n'y a rien. Je pensais voir quelqu'un mais je me suis trompé. Concentre-toi seulement sur mon sexe comme la bonne pute que tu es.

Je lui dis cela calmement avant de me tourner vers le chauffeur du camion à 10 mètres de là qui nous regardait avec un grand sourire sur son visage.

Il mit son pouce vers le haut tout en attrapant sa bite à travers son pantalon avec son autre main. Il voulait juste un petit spectacle gratuit.

Je me suis détourné de lui et j'ai recommencé à pilonner ma belle-mère.

- Je vais te faire jouir salope!

Je me penchai en avant, mis mes mains dans le bas de mon dos afin de pousser mes hanches et ma bite avec f***e. A chaque fois que mon sexe tapait au fond du sien, elle gémissait. Elle était dans un état de total abandon, attendant qu'un nouvel orgasme la terrasse. Elle ignorait totalement que sa prestation était surveillée par un chauffeur de camion chanceux.

- Ohhhh......Vas-y! défonce-moi! Ahhhhhh....Je vais jouir......Ahhhhh..... Continue...... Baise-moi.......

Puis, alors que ses jambes se dérobèrent sous elle, elle cria :

- ARRRGGGGGHHHHHH! j'aime ta bite!

Elle s'affala par terre sous l'effet de cet orgasme tonitruant.

Elle n'était pas consciente que nous avions eu un public. Mais j'adorais ça. Et je n'avais pas fini.

- Suce-moi maintenant. Je n'ai pas encore fini.

Je me rapprochai d'elle si bien qu'elle dut lever la tête afin d'ouvrir la bouche et engloutir mon sexe.

Elle ne pouvait voir le chauffeur pendant qu'elle nettoyait mon membre comme une prostituée.

Je décidai de la relever pour qu'elle s'aperçoive du voyeur.

- MON DIEU! hurla-t-elle en essayant de reculer.

Mais avec sa culotte autour de ses genoux, elle trébucha, son dos tapant sa voiture. Elle était effrayée de cette figure masculine inconnue.

- Nous devons y aller! Depuis combien de temps est-il là? Demanda-t-elle en essayant d'atteindre sa culotte.

Je la repoussai afin qu'elle s'allonge sur le capot de sa voiture, ses pieds touchant à peine le sol.

- Il est là depuis assez longtemps pour te voir te comporter en pute. Et tant que je n'aurais pas éjaculé, nous n'irons nulle part.

Je soulevai ses jambes et la poussai afin que son cul soit au raz du capot. Je lui pris sa culotte et je continuai à lui l'enlever complétement et je lui lançai à côté d'elle. Je roulai sa jupe autour de sa taille, et j'écartai ses jambes, exposant sa chatte dégoulinante. Je défis chacun des boutons de son chemisier et je tirai son soutien-gorge, libérant ainsi sa grosse poitrine.

- Super! dit une voix sur le côté.

Le chauffeur du camion nous a surpris alors qu'il s'était approché.

Mais j'étais tellement dans mon fantasme que je ne pouvais arrêter.

Je mis trois doigts dans le sexe de Christine, les remuant afin de faire sortir un peu de son jus. Puis je l'étalai tout autour de son petit trou serré. Je recommençai, afin, cette fois ci, de pouvoir lubrifier l'entrée de son anus.

Puis je présentai mon gland.

- Non s'il vous plait! pas là! Pas en face d'un étranger! supplia Christine

- Tu ne dois pas oublier que je décide quand et où je te baise.

Je lui dis en termes clairs, ma mission étant de faire de ma belle-mère une pute.

- Lève tes jambes et tiens les que je puisse m'enfoncer dans ton cul.

Elle m'obéit. Elle leva ses jambes, accrochant un bras derrière chaque genou et tirant en arrière le plus possible.

Je poussai mon membre contre son petit trou, continuant jusqu'à ce qu'il s'ouvre. Puis lentement je m'enfonçai en elle.

- ARGGGGGGGHHHHHHHHHHHHHHHHHH

Son gémissement s'arrêta seulement lorsque mes couilles tapèrent ses fesses. J'étais complètement à l'intérieur.

Ma belle-mère avait la tête renversée en arrière, les yeux fermés, essayant de s'habituer à l'inconfort de la pénétration.

Mais je ne pouvais pas attendre, alors je ressortis puis entra de nouveau avec f***e. Christine cria.

Le conducteur du camion, à côté de moi, ne disait rien mais souriait, sa main caressant un renflement visible dans son bleu de travail sale.

Aussi longtemps que je pourrais tenir, je continuai à pilonner le cul de ma belle-mère. Et juste avant ma récompense, elle eut un troisième orgasme encore plus intense que les deux premiers.

Trois ans d'abstinence avait fait de cette femme une chienne en devenir.

Une fois qu'elle eut fini, j'éjaculai au fond de son cul. Puis je sortis ma bite.

Le chauffeur de camion ne risquait pas d'oublier l'image de ce cul dégoulinant de mon sperme.

Je m'habillai puis je dis à Christine de faire de même.

Elle remit sa culotte, tira sa jupe et remit son chemisier, tout cela devant notre spectateur.

- Je te reverrai à la maison sale pute! lui dis-je.

Elle se tourna pour aller dans sa voiture et partir. Alors que je faisais la même chose, le chauffeur de camion m'arrêta et me demanda avec un sourire espiègle :

- Même heure la semaine prochaine?

- Peut-être! lui répondis-je.


Alors que je retournais à la maison, je pensais que j'avais maintenant ma propre pute avec qui je pourrais vivre tous mes fantasmes.

A suivre...

Voyage au Mexique Ch. 03

Voyage au Mexique - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contraintes

L'Hacienda.

Au matin, après avoir ingurgité un liquide chaud et noir qui devait tenir lieu de café, nous reprenons la route dans l'infâme Dodge. Au bout d'une demi-heure sur les chaos d'un chemin épouvantable, nous déboulons sur un plateau aride. Je comprends pourquoi on s'est arrêté hier soir ; faire ces derniers km dans le noir aurait été réellement suicidaire, le chemin instable frôle à tout moment le précipice.

D'ici, nous avons une vue dégagée sur la quasi-totalité de la région. A nos pieds, des gorges et un cours d'eau. C'est peu, mais c'est suffisant pour permettre la vie. Un peu au-dessus de nous, une vieille ’Mission’ fortifiée espagnole vers laquelle convergent visiblement plusieurs routes. C'est vers elle que nous nous dirigeons. Encore un quart d'heure de route, et nous l'avons atteinte.

La ’Mission’ a visiblement été transformée en hacienda depuis des années. Il y a même un nom, ou plutôt une devise sur le fronton du porche d'entrée : ’Terra Y Libertad’, La devise du révolutionnaire Emiliano Zapata.

Pedro, toujours de sa voix rude, ordonne à un de ses homme de me conduire dans mes appartements.

L'Hacienda est bien comme je m'y attendais : un porche d'entrée haut et large pour permettre le passage des charrettes de foin, une cours intérieure encombrée d'instruments agricoles en complète décrépitude, et des bâtiments presque tous en ruine, sauf une église, dernier vestige de la ’Mission’ qui est encore dans un état fort raisonnable.

L'église est prolongée sur toute sa longueur par un mur long et épais qui doit dater de la construction de la ’Mission’. C'est un mur de protection contre les tirs d'artillerie en enfilade. Mon mari m'en a déjà montré un pareil à la forteresse de Besançon... il y a... il y a très longtemps de cela...

Il doit visiblement y avoir deux parties et deux cours à cette Hacienda, et je n'en vois qu'une. Je devine simplement que derrière cette misère, et surtout derrière ce mur, il doit y avoir autre chose.

Mon entrée dans l'hacienda, le bras fermement emprisonné par la poigne puissante de celui qui se fait appeler Lopez ne passe pas inaperçue. Je suis la seule femme ici...

Tout autour de moi, il n'y a que des hommes ; des ’quemadores’ ou des ’vaqueiros’, de toutes façons des hommes qui semblent avoir tous une conversation limitée... mais aussi une virilité assez remarquable...A les voir me déshabiller du regard de leur air lubrique et bestial, je ne dois pas me faire trop d'illusion je crois, sur ce qui risque de m'arriver si Pedro devait décider de les laisser faire.

Les appartements qui me sont destinés sont situés à l'extrémité opposée du mur d'enceinte, loin à l'écart des autres bâtiments de la ferme, et sont assez rustiques, pour ne pas dire plus... Il devait s'agir initialement de la cellule d'un moine, ou encore, d'une remise.

Lopez a à peine quitté la pièce verrouillant derrière lui la lourde porte, que je fais l'inventaire de mon nouveau logement. Il est vite fait : une pièce misérable et minuscule, des murs lépreux qui ont dû être chaulés pour la dernière fois il y a très longtemps, pas de fenêtre. Dans un coin, un grand broc d'eau, et de quoi me laver. Après ce que j'ai subi hier, ce ne sera pas un luxe. Dans le coin opposé, un tas de vieux sacs de jute en guise de matelas et de couverture. Seul mobilier dans cette niche sordide : une chaise de bois et une lampe à pétrole. Je suis installée à l'autre extrémité de l'Hacienda, et si je décide de faire cramer ma chambre, c'est moi qui cramerai bien avant que les flammes ne puissent même menacer la ferme.

Au bout d'une demi-heure environ, Lopez m'apporte de quoi manger et mes bagages. Ils ont été visiblement déjà retournés. D'ailleurs il m'indique sans hésitation aucune la tenue que je devrai mettre ce soir. Aucun doute, J'ai tout intérêt à être en forme.

Un peu inquiète tout de même, je prends des nouvelles d'Ascension. Je suis soulagée, il va mieux, et ne m'en veut plus trop pour le regrettable incident d'hier soir. Mais il compte bien se faire rembourser et il est facile de comprendre comment il compte procéder.

On me laisse bien tranquille dans ma cellule pour que je puisse me reposer toute la journée. J'en ai, il est vrai, grand besoin. Ce que je viens de vivre est une expérience difficile à vivre, tant physiquement que moralement. Ce n'est pas tant d'avoir été violée, et reviolée, mais c'est encore plus terrible de se rendre compte que l'on est qu'une vraie salope, alors que la minute d'avant encore, on se croyait une femme du monde. Ce n'est pas rien de connaître à 35 ans, en moins d'une journée, pour la première fois de sa vie, une double pénétration et un ’fist’. Ce n'est pas rien de se rendre compte qu'on était faite pour ça, que son corps et même son âme n'attendait que çà.

Le tintement de la cloche qui annonce la fin de la journée de travail me réveille. Par les fentes de la porte je me rends compte que le soir est déjà tombé, et que des hommes sont déjà occupés à allumer un grand feu. Je m'apprête moi aussi. La soirée sera longue.

J'enfile la tenue que Lopez m'a désignée. J'ai un peu honte, mais cette tenue de bourgeoise salope était effectivement dans ma valise. André était un petit vicieux. Enfin quand je dis vicieux, c'était avant de connaître ces hommes. Maintenant, je dirais que c'était un saint. Tiens, c'est curieux, je parle de lui comme s’il était déjà mort, comme si c'était il y a une éternité que nous nous étions quittés, alors que c'était hier, hier midi seulement, il y a 36 heures, il y a une éternité.

Des coups sont frappés à ma porte par simple courtoisie, car ce n'est pas moi qui ai les clefs. C'est Lopez qui ouvre. Après s'être assuré que j'ai bien suivi ses recommandations, il m'invite à le suivre pour participer au ’cena’, le repas du soir des ouvriers agricoles. Je ne me fais pas trop d'illusion sur ce que sera en réalité ce ’céna’, mais je n'ai pas le choix.

Au milieu de la cour, un grand feu réchauffe l'atmosphère. Derrière une grande table, une table pour au moins 20 personnes, peut-être plus. A côté du feu, un petit ensemble de musique, un ’Tex Mex’ comme on dit ici, joue des airs classiques.

Lopez m'offre un grand verre de Téquila et me prie de bien vouloir m'asseoir en face d'eux, à quelque distance de la table, sur un antique tabouret de bar, dont la présence est tout à fait anachronique dans ce décor d'un autre âge, et dont le seul et unique intérêt est visiblement de permettre de dévoiler bien haut mes hanches garnies d'un porte jarretelles, et prolongées de mes jambes gainées de bas à coutures.

La table est encore quasi vide, mais mon arrivée rameute rapidement du monde. Les vides se remplissent, les premiers venus ayant bien évidement choisi les places où la vue est la meilleure. J'ai l'air comme une conne là, mon verre de Téquila à la main, attendant ces hommes, qui de toutes évidences ne sont venus là que dans le seul but de me violer.

Dans un coin, le petit orchestre se met à jouer des airs romantiques et langoureux. Ils sont chaleureusement supportés par toute l'hacienda, c'est le signal tant attendu. La soirée va pouvoir commencer. Des dizaines de paires d'yeux me déshabillent du regard, et certains vont même déjà bien plus loin.

Je sais que je n'y échapperai pas, alors autant ne pas se faire prier. Je commence donc un strip-tease, puisque c'est de toute évidence ce qu'ils attendent. J'ondule au rythme de la musique. Je passe mes mains sur mon corps en prenant des moues gourmandes. Je fais tomber les bretelles de ma robe. Je tire délicatement sur les pans pour laisser glisser délicatement l'étoffe au niveau de ma poitrine. Tout en fixant l'assistance, je défais lentement la tirette. J'abaisse lentement ma robe, jusqu' à hauteur de mes hanches. Je la laisse choir totalement, et d'un coup de pied, je l'envoie valser sur la table, au milieu de la masse des péones, ce qui déclenche une sérieuse animation.

Je suis maintenant en soutien-gorge et porte-jarretelles devant ses péones qui n'ont sans doute jamais vu un pareil spectacle de leur vie misérable. Je fais sauter mon soutien-gorge que je jette lui aussi sur la table, parmi les spectateurs ivres de joie, de bière, et de Téquila. Mes seins lourds se balancent en rythme avec la musique sous des dizaines de paires d'yeux avides.

Je continue mon ondulement obscène en tournant voluptueusement sur moi-même, les bras levés bien haut, et les poignets croisés, mes hanches entreprenant un lent mouvement de balancier. Je ne suis plus vêtue que de mes escarpins, de mes bas, et de mon porte-jarretelles. L’atmosphère est électrique et à couper au couteau.

Trouvant cette danse érotique trop longue à leur goût, quelques péones surexcités tentent de participer activement. Ils sont vite rappelés à l'ordre par des afficionados. Je suis heureuse de constater qu'il y ait des amateurs éclairés dans cette foule de mâles primitifs.

Constatant qu'il leurs en faut plus, je plonge délicatement ma main dans ma toison pubienne. Je pousse mon pubis en avant, écartant ma toison pour leur dévoiler mes lèvres dégoulinantes de mouille. Difficile de décrire l'ambiance qui suit.

Des types me font comprendre que je dois monter sur la table. Ils me tendent une bouteille de cette infâme Cerveza qu'on retrouve partout, dans tout le Mexique. Elle est vide. Pas besoin de demander ce qu'ils veulent que j'en fasse. Je vais leur montrer quelle femme je suis.

Tout en faisant onduler ma croupe comme si elle était montée sur des roulements à bille, je lèche le goulot et l'épaulement de la bouteille, en fixant droit dans les yeux, et d'un regard pervers, ces hommes qui vont me violer. L'excitation est à son comble.

Lentement j'abaisse ma main qui tient la bouteille. Je pousse mon pubis en avant, le laissant à la contemplation de mes tourmenteurs. De ma main gauche, j'écarte délicatement, mais à fond, les lèvres de ma chatte, tandis que, dans le même mouvement, j'introduis lentement le goulot de la bouteille dans mon con. Après la mise en condition d'Ascension hier, l'affaire est des plus aisée.

La bouteille est maintenant quasi complètement rentrée, seule en émerge encore le culot. Je décide de refaire ainsi un tour de table, en prenant bien soin de ne pas l'aspirer en entier, ce qui ne serait guère difficile, mais qui me procurerait par contre bien des soucis pour l'en sortir.

En faisant mon tour de table, comme on dit lors des conférences. J’avise un ’vaqueros’ qui vient de s'en décapsuler une. Je tends ma main. Voyant ce que je suis déjà en train de faire, il me la donne sans hésiter en riant même de ses dernières dents jaunies. J'introduis mon doigt dans le goulot et d'un même geste, je tiens et je ferme la bouteille.

De ma main libre, je retire sans difficulté ni état d'âme particulier la précédente de ma chatte, une bouteille qui m'a pourtant apporté bien des satisfactions. Comme toute bonne bite qui me possède, elle déborde de mes secrétions intimes, ce qui n'a pas échappé à ces hommes. Ils me fixent tous du regard se demandant visiblement ce que je vais bien pouvoir faire de plus maintenant.

Tout en fixant l'homme qui vient de me filer sa bouteille, je me l'enfonce, et cette fois par le culot, au plus profond de ma chatte. La pénétration de ma chatte par le culot de la bouteille est plus laborieuse, mais néanmoins ça passe. Quand elle est bien calée au fond de mon con, d'un signe des doigts de ma main libre, j'appelle mon généreux donateur. Intrigué, et encouragé par les autres, il s'approche. Je tends mon pubis vers lui. Il comprend instantanément ce que je vais faire.
Je retire mon doigt du goulot. La bière s'écoule de ma chatte à gros bouillons. L'homme, un peu pris de court par la trajectoire erratique du liquide, en laisse s'échapper une bonne moitié. Je suis sûre qu'il vient là de déguster la meilleure bière de sa vie.

Les péones sont médusés, et n'en reviennent visiblement pas de ma perversité. Un bref silence s'installe, suivi d'acclamations forcenées. La vraie fête, ma fête, va commencer.

L'orchestre a cessé de jouer. Les musiciens s'approchent. Ils sont à la fois superbes et ridicules dans leur accoutrement d'opérette. Vêtus de noir de la tête aux pieds, ils semblent sortis tout droit d'une publicité. Des bottes à éperons, et un sombrero gigantesque constellé de minuscules miroirs, donnent la touche finale à l'ensemble. Il est clair qu'ils viennent ici réclamer leur dû.

Le joueur de guitare me tend les bras en me faisant comprendre que je dois descendre de la table. Une fois au sol, il me fait mettre à genoux au milieu d'eux. Pas besoin d'explication pour comprendre ce qu'ils attendent de moi.

Le guitariste ouvre sa braguette, laissant apparaître un sexe énorme gorgé de sang. Toujours à genoux je m'approche, et je le prends en bouche. Je le suce du mieux que je peux, d’ailleurs j'y ai tout intérêt. Aussitôt les deux autres suivent son exemple et je me retrouve en train de sucer leurs 3 sexes tour à tour, en prenant bien soin de ne pas faire de jaloux.

Autour de nous, un cercle de voyeurs surexcités commente le spectacle. Je me retrouve maintenant avec un sexe en bouche, et un dans chaque main. Jugeant sans doute que j'en avais assez fait pour l'instant du moins, ils me prennent par les hanches et me collent dos à la table sous les applaudissements des spectateurs, ravis de voir le spectacle sérieux enfin commencer.

Le guitariste toujours en premier, me fait plier les genoux jusqu'à ce que mes cuisses touchent ma poitrine. Il présente son sexe à l'entrée de ma chatte dégoulinante, ouverte, et prête à le recevoir. Il me pénètre sans problème jusqu'à la garde. Je m'attends à être besognée, mais non, après quelques vas et vient pour s'assurer de sa conquête, il ressort de ma chatte gluante de mouille. Au lieu de s'y réintroduire comme je m'y attends, d'un bref mouvement de son bassin il modifie son axe de pénétration, et sans que je m'y sois attendue le moins du monde, il m'encule sans aucune préparation jusqu'à la garde. La pénétration est tellement aisée qu'il estime même prudent de se retourner vers les péones qui sont en cercle autour de nous, pour bien leurs faire remarquer que ma chatte est bien vacante et dégoulinante de mouille.

Quelques spectateurs applaudissent à la performance. La facilité de sa pénétration, et mon râle de satisfaction, font comprendre à tous que la soirée sera mémorable. Dos à la table, je continue à sucer les deux autres membres de l'orchestre.

Dans la foule des spectateurs, qui seront bientôt mes amants, les quolibets commencent à pleuvoir. Je ne parviens pas à tout comprendre, mais il est clair qu'ils deviennent de plus en plus vulgaires. Je suis entièrement livrée à cette horde de primates, totalement impuissante, les cuisses largement écartées, enculée, offerte à la vue de tous.

Estimant en avoir assez fait pour le public, le guitariste s'active maintenant brutalement dans mon cul. Je ne reste pas insensible à ce changement de rythme, et je gueule littéralement mon plaisir à la tête de tous ces gens. Il explose dans mon cul, me noyant les entrailles dans un geyser de sperme.

Son plaisir à peine pris, il laisse la place au joueur d'accordéon. Lui aussi m'encule d'un trait. Ce soir, j'ai compris, je n'aurai droit qu'à ça. Il m’enfile d’un coup, dans un grand éclat de rire partagé aussitôt par toute l’assistance. J'entends distinctement ses couilles battre mon pubis. Ces coups deviennent plus forts et plus espacés. Lui aussi ne tarde pas à se vider les couilles dans mon ventre.

Lorsqu’il se retire, je sens ce que tout le monde peut voir : une coulée de sperme et de mouille mêlée qui pend de sa verge à ma chatte dégoulinante. Tout autour de nous, les mecs applaudissent, ils sont hilares.

La place ne reste pas vide bien longtemps. Les mecs se succédèrent maintenant comme dans un film de cul. Quelques-uns, trop impatients, se vident dans ma bouche faute de mieux. Les mecs continuent à se succéder. Je suis couverte de sperme, pourtant je fais des efforts méritoires pour avaler le maximum, mais il y en a trop, beaucoup trop.

Un mec me fait me relever, et m’arc boute debout devant la table. Il s’enfonce en moi par derrière. Dans cette position, du sperme s’échappe de mon ventre à grosses coulées. Mes seins lourds se balancent au rythme du mec qui m’encule. Le type qui me besogne se détache de son ventre, et il éjacule bien en vue de ses copains sur mes fesses.

Au suivant maintenant, c'est un vicieux celui-là, plutôt que de m'enculer comme tous les autres, il décide de me baiser de façon plus classique. Où va se nicher la perversion ?

Et comme dans la chanson de Brel, les suivants se suivirent, suivis d'autres suivants. Je sombre dans un demi inconscience, lorsque je sens que l'ambiance change radicalement. Je redresse la tête pour tomber sur un ’Pedro’ méconnaissable, lavé, rasé, et habillé avec soin, qui vient de faire une entrée remarquée dans la cour.
Il est accompagné d'un serviteur noir étrangement accoutré d'une livrée de majordome anglais, totalement incongrue dans ce décor. Deux énormes dogues Danois les suivent pas à pas. Pedro ne dit pas un mot, il se contente de regarder fixement devant lui, une grimace de mépris au coin des lèvres, le spectacle que nous leurs offrons.

Le majordome prend la parole sur un ton sec, un ton inattendu vu sa condition. Il s'adresse aux hommes dans un espagnol scolaire, un espagnol tout à fait correct et sans aucun accent, ce qui me permet de bien suivre ses paroles. En résumé, la fête est finie et je dois les suivre immédiatement et sans discussion. L'autorité naturelle de Pedro, et l'autorité factuelle des deux Danois est là pour indiquer à tous l'attitude la plus correcte à suivre.

Je ne comprends vraiment plus du tout ce qui se passe. Je me laisse entraîner par Pedro et son majordome. Nous empruntons la porte percée dans le mur de prolongement de l'église. Je vais enfin savoir ce qu'il y a derrière. Derrière le mur, c'est un autre monde, un jardin tropical et une pièce d'eau à la place de cette cour de ferme infâme. Des bâtiments anciens mais superbement rénovés. Le mur à peine franchi, Pedro s'éloigne et disparaît dans la végétation. Le noir qui m'accompagne, me confie à deux valais qui lui sont visiblement subordonnés vu leurs attitudes obséquieuses. Il disparaît lui aussi après avoir libéré les deux molosses.

Les deux serviteurs noirs me conduisent avec déférence un peu à l'écart du bâtiment principal, dans un bâtiment annexe mais fort correct. Mon nouveau logement est d'un luxe inouï par rapport au trou à rats que je viens de quitter. Un lit, une table, deux chaises, un fauteuil, une armoire, un évier, et mes affaires soigneusement rangées.

Une heure se passe, je fais ma toilette, une nouvelle fois j'en ai plus que besoin. Me laver les dents surtout est devenu mon obsession, plus encore que procéder à ma toilette intime. Un valet vient m'apporter un très bon repas, sans comparaison aucune avec la tambouille infâme dont j'ai dû me contenter hier soir.

Une demi-heure encore, et on toque à ma porte. Je vais ouvrir. Le majordome me salue avec respect, et dans un anglais parfait m'explique les activités qui sont prévues pour demain : demain, Don Pedro, m'invite à rendre visite aux péones.


A suivre…

mardi 12 mars 2019

Bourgeoises Soldées Ch. 01

Bourgeoises soldées - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte

Une mère et sa fille vont faire les soldes.

Ma mère et moi nous avions décidé d'aller faire les soldes entre filles. Les mecs, par définition, n'aimant pas trop faire les magasins, c'est bien connu, ma mère, Christiane, avait donc accepté de bon cœur. Mon père étant de toute façon à son travail. Moi, j'avais fait de même avec mon jeune époux, je suis mariée depuis à peine quelques mois. Je m'appelle Mélanie, j'ai 25 ans, je suis brune, pas très grande mais il parait que je suis canon d'après les critères masculins en vigueur. Je suis professeure de math dans un lycée de la région parisienne. Mon mari est flic. Ma mère, Christiane, 49 ans, est directrice de banque. Elle est encore une belle femme, elle prend soin de son corps, les revenues confortables de mon père, qui dirige une entreprise de BTP lui permette un train de vie confortable. Elle habite dans une ville bourgeoise de la région. Nous avons donc pris le métro pour nous rendre à Châtelet les Halles, quartier de Paris, pour ceux qui ne connaîtrait pas, ou l'on peut faire de bonnes affaires pendant les soldes.

Nous commençons à déambuler dans la rue. Quelques regards masculins s'attardent sur nous. Ma mère est habillée d'une jupe courte violette sur des bas noirs. La hauteur de ses talons allonge encore ses jambes. Pour ma part, j'ai enfilé une tunique sur un leggins et des bottes à talons. Nous tournons à droite et nous nous retrouvons rue Saint-Denis, célèbre rue de Paris mondialement connue pour ses prostituées. Ce qui n'est plus tout a fait vrai de nos jours du reste. On y trouve encore des sex-shops mais surtout des boutiques de fringues...Il n'est pas rare de rentrer dans une parfumerie ou une boutique de prêt à porter coincées entre deux sex-shops ce qui est assez surprenant...

Nous croisons un groupe d'une dizaine de jeunes, composés de blacks et de maghrébins, qui me jettent un drôle de regard. Il me semble les reconnaître, ils sont dans mon lycée je crois. Un est dans ma classe en tous cas, je le reconnais et il me fait un signe de tête. Maman et moi nous continuons et on entend des sifflets derrière nous. Ma mère grince des dents :

- Ces jeunes, aucune éducation!

Nous dépensons notre argent dans divers magasins, faisant chauffer la carte bleue! Nous avions l'intention d'acheter de la lingerie sexy et nous rentrons dans une boutique. Nous restons interloquées quelques secondes aussi étonnés que le gérant qui nous dévisage. En fait d'une boutique de lingerie, ce serait plutôt un sex-shop. La devanture plutôt soft nous a induits en erreur. Ma mère ouvre les yeux devant l'étalage de godes et de DVD pornos. Il y en a pour tous les goûts! Gang-bang, SM, zoophilie...Des sous vêtement sexy, il y en a. Des tenues de soubrettes ou d'infirmières, pour pimenter les soirées...Des porte-jarretelles en vinyles, des bas résilles et même des escarpins vernis aux talons incroyablement hauts a tel point que même ma mère qui a pourtant l'habitude des talons aiguilles me demanda comment c'était possible de marcher avec ça...Nous nous regardons et rouge de honte nous pouffons et nous faisons aussitôt demi-tour pour sortir du sex-shop. Nous nous retrouvons bloquées par le groupe de jeunes que nous avons croisés tout a l'heure! Mohamed, mon élève, s'approcha de moi, un sourire ironique sur les lèvres! Tu m'étonnes! Je me mets a sa place, il doit saliver ce petit con, surprendre sa prof dans un sex-shop avec sa mère...Maman me jette un regard inquiet mais nous avançons vers la sortie. Le gérant n'a rien dit...Mohamed m'attrape par le bras...

- Ben, ne partez pas déjà, Madame. Faut acheter un truc à Roger quand même!

Comprenant que Roger est le gérant, je lui jette un regard hautain et lance :

- Certainement pas!

Ma mère renchérit :

- Ça suffit maintenant, laissez nous sortir ou on appelle la police!

Un grand black, impressionnant, s'approche de ma mère, la poussant vers la caisse de Roger...

- T'entends ça Roger, ce n'est pas gentil ce qu'elle dit la bourge...

Nous sommes vite entourées ma mère et moi par tous ces jeunes...Je commence à paniquer sérieusement, je pousse un cri! Une main c'est posés sur mes fesses...J'entends maman crier aussi ; Du coin de l'œil, je l'aperçois en train de se débattre au prise avec trois blacks qui tentent de remonter sa jupe. Ils y arrivent et ils sifflent en découvrant les bas auto-fixant ...Roger arrive a son tour.

- Ces bourgeoises, toutes des salopes, je suis sur qu'elles ont fait exprès d'entrer dans mon sex-shop.

Protestations vaines de notre part...Mohamed me donne une claque sur les fesses et soulève ma tunique.

- Depuis le temps que tu nous fais bander en classe avec tes jupes courtes, tu vas y passer ma chienne! Tu ne t'en doutes pas mais on te filme régulièrement en cours avec nos téléphones portables, surtout tes jambes et ton cul et on met les films sur internet...

Horrifiée d'apprendre cela, je tente de me dégager...Mohamed me tire par les cheveux et me met a quatre pattes sur le sol, il baisse d'un coup sec mon leggins et je pousse un cri. Il ricane en découvrant mon string en dentelle qu'il écarte, introduisant un doigt dans ma fente...

On ramène maman, échevelée, apeurée, devant moi. Ses seins sont déjà à l'air et des mains noires n'arrêtent pas de les malaxer. Maman, le visage ravagées par les larmes hoquette...Une bite noire se présente devant sa bouche et elle tourne la tête en criant. On la force à engloutir ce sexe énorme et elle doit accepter le chibre dans sa bouche. Elle commence à pomper la bite, la mâchoire déformée par l'épaisseur du membre. Les doigts fouillent mon intimité sans douceur. Je ne suis plus qu'un objet pour mon élève. Mohamed fébrilement se défait et sort un sexe d'un calibre impressionnant, je tente d'esquiver mais une main puissante me force à courber la tête et avaler sa queue. Je me retrouve comme maman à sucer cette bite dure et gonflée qui m'étouffe. Les larmes aux yeux, je salive sur la bite de mon élève...

- Putain! Quelle salope, vas y, suce bien ma bite...

Ma mère pompe elle aussi la queue, j'entends ses protestations étouffées. On lui claque le cul quand elle proteste trop.

Roger, le gérant du sex-shop a sorti des godes, des menottes, des colliers et des laisses. Nous devons arrêter maman et moi nos fellations et nous nous retrouvons avec un collier en cuir autour du cou, une chaîne attachée a un anneau. Maman, tenue en laisse par un des black doit faire le tour du sex-shop à quatre pattes, filmée par les téléphones portables, ils prennent tous des photos. Je dois reprendre ma fellation. Mohamed se retira, la bite dressée, et une autre queue s'engouffre dans ma bouche ne me laissant même pas le temps de respirer. Maman, a genoux, tenue en laisse par un des jeunes, suce sa bite en faisant des bruits de succions obscènes...Elle prend la bite a pleine main, le branle puis lui titille le gland avec sa langue...Pendant qu'elle suce, les autres l'obligent à leur branler leurs bites.

Je suis renversée sur le dos et Mohamed plonge sur ma chatte. Je sens sa langue me titiller le clitoris. Ma mère subit vite le même sort. A quatre pattes, un black derrière elle lui bouffe la chatte. Maman pousse un cri et secoue sa tête dans tous les sens...Le gérant lui présente sa bite qu'elle avala sans rechigner.

Je donne des coups de reins, répondant aux coups de langue de mon élève...Je gémis.

- Tu prends ton pied ma salope!

- Sa mère aussi, une vraie chienne...

Maman s'active sur le sexe du gérant, pompant toutes les bites qui se présentent à elle. Un des jeunes se positionna derrière elle et l'enfourna. Elle poussa un hurlement. Les mains solidement accrochées aux hanches de ma mère, il commença à la pilonner comme un fou. Ses seins ballottant sous les coups de reins, maman continue de sucer la bite du gérant.

Mohamed releva mes jambes a la verticale et me pénétra, je sursautais sous l'intromission. Ses hanches s'agitent, je sens sa bite aller et venir, me perforant...Un autre black m'a pénétré la bouche de son sexe et je le pompe avec frénésie.

Il éjacula rapidement lâchant son sperme dans ma bouche. Je fus retournée à quatre pattes, tenue par la laisse et de nouveau pénétré par une autre queue. Mon corps est secoué par les assauts de mon violeur, j'halète.

J'entends un hurlement déchirant! Maman, à quatre pattes, jupe tire bouchonnée autour de la taille, se fait branler par deux jeunes. L'un a enfoncé quasiment toute sa main dans la chatte de ma mère et l'autre agite rapidement deux doigts dans son cul.

- Tu t'es déjà fait enculer la vieille? lui crie-t-il...

Maman refuse de répondre et gémit...

Quelques fessées (bien que cela soit interdit maintenant!) la ramène dans le droit chemin...

- Non...Non...bafouille t'elle, jamais...

Éclats de rire général...

- Ben tu vas y passer la bourge!

Cri désespéré de maman...

Le grand black, une bite énorme dans la main s'approche du trou du cul de ma mère qui gigote pour tenter d'échapper à la pénétration...Il posa l'extrémité de son gland sur l'ouverture des reins et il poussa en s'agrippant aux hanches de ma mère, faisant rentrer la moitié de sa bite. Il attendit un peu permettant à ma mère de s'habituer et donnant un dernier coup de reins, il enfonça tous le reste dans le cul de maman. Il commença à la pilonner d'abord doucement puis de plus en plus vite, la défonçant brutalement malgré ses cris et ses supplications.

Toute la scène a été filmée...

Quand à moi, je me retrouve empalée sur une bite et enculée par une autre pendant que je dois sucer une troisième bite...Filmée en gros plan...

Je suis, relevée et courbée sur le comptoir et pénétrée par une queue ; je sens le ventre de mon tourmenteur claquer contre mes fesses. Sa bite s'enfonce dans ma fente.

- Ha la la, quelle chienne, tu vas nous obéir a partir de maintenant! Avec toutes les photos que l'on a et les films, toi et ta mère vous allez devenir nos putes...

Je frémis...

Maman aussi proteste...

- Non, non je vous en supplie, ne faites pas ça!

Nos cris et nos gémissements se mélangent...Les salauds nous obligent à nous mettre à genoux l'une à coté de l'autre et se branlant au dessus de nos visages, ils éjaculent nous aspergeant de leur foutre.

On joua et on abusa de nos corps pendant des heures. On nous enfonça différents godes de différentes tailles dans nos chattes et nos culs. Maman fut même obligée de me branler avec un gode, sous les éclats de rire de nos agresseurs. Moi, je dus lui sucer la chatte. On nous obligea à nous déshabiller entièrement et nous habiller avec des déguisements. Soubrette pour maman : mini robe noire avec un tablier blanc, bas résilles et chaussures au talons d'au moins 16 cm...Écolière pour moi : micro-jupe plissée écossaise dissimulant à peine mes fesses, un chemisier blanc trop ajustée, mes seins débordant du décolleté, bas blancs montant très haut et chaussures vernis à brides mais a talons hauts. Ils poussent même le vice jusqu'à m'obliger à me faire des couettes...Nous avons gardée notre collier et notre laisse...

- Nous allons sortir, lance Mohamed, les emmener dans d'autres sex-shop, elles vont faire le show et nous rapporter un paquet de pognon!!!

Nous crions ma mère et moi et nous sommes aussitôt bâillonnées par une boule en latex que l'on nous enfonce dans la bouche attachée par une lanière derrière la tête...Nos cris se transforment en gémissements. Maman et moi nous nous regardons, la mâchoire déformée par la boule...

Nous sortons du sex-shop, la nuit est tombée. Nous avançons dans la rue Saint-Denis, tenue en laisse, dans nos déguisements de putes! Les passants nous dévisagent étonnés mais aucun ne réagit. Nous allons de sex-shop en peep-show, nous faisant baiser par les patrons et les clients, trop content de l'aubaine! A chaque fois, Mohamed encaisse les gains et nous avons du succès. Surtout quand Mohamed explique que nous sommes deux bourgeoises, la mère et la fille, venues s'encanailler...Nous suçons des centaines de bites, je suis enculée un nombre incalculable de fois. Maman subit des gangs-bangs monstrueux...On se branle entre ses seins et on lui éjacule dessus. Son visage est maculé de sperme...et je ne suis pas mieux...

Plus de deux heures plus tard, le corps repus, haletantes, en sueur, du sperme gluant dans les cheveux et sur nos visages, les habits déchirés, Mohamed et ses complices nous conduisent à leurs voitures. Inquiète, je demande s'ils nous ramenaient chez nous. Mohamed éclata de rire!


- Tu rigoles! On va dans la citée, on a des potes à vous présenter!......

A suivre...