Susan et les bidouilleurs de PC - récit érotique - soumission - hu
miliation - dégradation - contrainte
Ils reviennent se faire payer.Susan Hutchinson cherchait à reprendre le cours normal de son existence, son mari était de retour pour le week-end, cependant les événements de la veille restaient gravés dans son esprit. Tard dans l'après-midi, la sonnerie du téléphone retentit, elle se rua sur l'appareil.
- Hello. Dit elle.
- Hello Susan.
Elle reconnut immédiatement la voix de son interlocuteur, c'était Gary. Elle sortit de la pièce, le téléphone en main.
- Tu es toujours là Susan ?
- Oui Je suis toujours là, pourquoi m'appelez-vous ? S'enquit-elle, le cœur battant la chamade.
- Oh, c'était juste pour savoir si tu étais contente de notre intervention hier.
Son esprit dérapa.
- L'ordinateur marche au poil, je vous en remercie.
- Oui, je suis bien certain que tu comprends qu'on ne vise qu'à te faire plaisir.
- Oh oui… Et je vous remercie encore pour votre intervention.
- Seulement tu as oublié de nous payer Susan.
- Oh... J'en suis désolée... Ce n'est qu'un malheureux oubli.
- Je sais. Je sais aussi pourquoi tu étais si distraite.
Elle feignit d'ignorer le commentaire railleur.
- Oui je sais bien... Et combien vous dois-je ?
- N'avions-nous pas dit 50 livres chacun ?
- Ca fait donc 100 livres.... C'est d’accord !
Elle aurait accepté n'importe quoi pour qu'il raccroche.
- J'irai les retirer à la banque.
- C'est d'accord.... Quand peut-on passer les prendre ?
- Pas ce week-end. Mon mari est là, et je ne veux pas qu'il sache que j'ai bidouillé sur l'ordinateur.
- Je l'aurai parié. Je laisse mon numéro sur ton mobile. Appelle moi n'importe quand demain, dès que tu auras l'argent.
Elle mit son numéro en mémoire et raccrocha. Elle regrettait d'avoir oublié de les payer. Elle se débrouilla pour faire des courses au supermarché et en profita pour aller tirer 100 livres à la cabine. Plus tard, le soir, alors que sa fille et son époux regardaient la télé, elle monta dans sa chambre et rappela Gary.
- Gary? Susan Hutchinson.
- Bonsoir Susan.
- Je vous appelle pour vous dire que j'ai l'argent.
- D'accord quand pouvons-nous passer le prendre ?
- Demain matin... Mais pas avant 9 heures.
- D'accord Susan... A demain.
Elle avait programmé de leur remettre l'argent dans une enveloppe en entrouvrant rapidement la porte avant de la refermer aussi vite. Tout était prêt à 9 heures lorsque la sonnerie tinta. Elle ouvrit la porte le cœur battant à rompre dans sa poitrine.
- Salut les garçons.
- Bonjour Susan.
- Voila votre argent. Je vous remercie encore d'avoir réparé mon ordinateur.
Gary lui prit l'enveloppe des mains.
- Je dois maintenant vous quitter. Les informa-t-elle refermant sa porte le souffle court.
Cette action avait pris les deux jeunes gars de court. Ils avaient prévu de pénétrer dans la maison.
- L'enculée ! Souffla Gary alors qu'ils remontaient l'allée.
- On s'est bien fait avoir. Mais j'ai une idée. Grogna-t-il à l'adresse de Ray.
Il ouvrit l'enveloppe et en sortit un billet de 5 livres qu'il mit dans sa poche, puis il retourna sonner à la porte de la belle. Susan fut fort surprise d'entendre à nouveau la sonnette de la porte d'entrée, et encore plus de revoir les deux jeunes hommes.
- Hey Susan.... A quoi pensais-tu ? Il manque 5 livres !
- Ca ne se peut pas, je les ai compté et recompté.
- Eh bien compte les encore une fois, tu verras bien.
- Vous avez raison. Mais je n'y comprends rien. Je vais vous donner les 5 livres manquantes.
Elle tourna les talons et rentra dans la cuisine pour aller chercher son sac. Les deux gars la suivirent. Ray ferma la porte d'entrée au verrou. Les loups étaient dans la bergerie. Elle fouilla son sac et en sortit son portemonnaie.
- Je suis désolée de ne pas pouvoir vous accueillir plus longtemps. Je dois sortir maintenant. Affirma-t-elle espérant qu'ils accepteraient de sortir.
Mais ils avaient d'autres idées en tête.
- Avant de partir, on va te donner un petit compte rendu de notre intervention.
Et Gary lui tendit une des photos qu'ils avaient prises.
- Oh mon Dieu ! Non ! S'exclama-t-elle posant sa main sur sa bouche.
- Qu'est-ce que… Comment avez-vous... Pourquoi... Que vous ai-je fait ? Oooooh Non… Balbutia-t-elle misérablement.
- C'est Ray, il prend tout le temps des photos.
- Détruisez les je vous en prie, détruisez-les ! Pleurnicha-t-elle paniquée.
- Vraiment ? Et que doit-on faire des autres ? Répliqua Gary ironiquement.
- Les autres... Quoi... Quelles autres ?
Ray s'avança et lui expliqua qu'il avait pris de nombreuses photos d'elle lors de leur visite.
- Je vous en prie ! Donnez-moi ces photos que je les détruise !
- C'’est d'accord, j'y vois aucun inconvénient. Répliqua Ray.
- Oh merci. Soupira-t-elle soulagée.
- Mais on veut quelque chose en échange !
- C'est d'accord. Je vous donnerai plus d'argent si vous voulez.
- Non, non Susan, on ne veut pas d'argent. On veut que tu nous fasses une petite pipe.
- Oh non. Je ne veux pas. Je suis mariée. Et je ne veux pas le tromper à nouveau.
- C'est bien malheureux. Mais rends-toi compte du scandale si ces photos tombaient dans de mauvaises mains.
- C'est pourquoi je vous les réclame. Larmoya-t-elle.
- Tenez je vous donne 100 livres de plus si vous me les donnez.
- C'est très généreux, mais on te répète qu'on ne veut pas d'argent. On veut juste disposer d'une jolie ménagère prête à nous faire des pipes quotidiennes.
« J'espérais qu'ils n'auraient de telles intentions cochonnes, je dois rester inébranlable » Se dit Susan.
- On peut en discuter, soyez gentils les gars, laissez-moi réfléchir.
- Tu as eu tout ton temps pour faire le point Susan. Allez, on s'en va Ray. Décida soudain Gary en se dirigeant vers la porte.
- Qu'allez-vous faire des photos ? Leur demanda-t-elle angoissée.
- On te les enverra par email !
Ils se disaient qu'elle allait paniquer à cette nouvelle, et ils avaient raison.
- Mon Dieu non ne faites pas ça. Mon mari lit tous les emails. Il faut s'y prendre autrement .
- Il y a bien une solution. Tu développes tes nouvelles compétences sur nos bites. C'est oui ou non, sinon on s'en va.
Elle pensa rapidement que peut-être, si elle les suçait selon leur gré, ils lui donneraient les photos en retour.
- C'est d'accord, mais vous me promettez de me rendre toutes les photos. Dit-elle timidement, tête baissée vers le sol.
Les deux maîtres chanteurs jubilaient.
- Je vais vous faire à chacun une fellation.
- D'accord, c'est le marché.
- Je le fais pour mon mari. Je ne veux pas qu'il voie ces photos. Je ferai ce que vous voulez, à une condition : vous ne me touchez pas.
- C'est d'accord Susan, si tu ne veux pas que l'on te caresse.
- Non... Non je ne le veux pas.
Ils s'avancèrent vers elle, la première partie de leur plan se déroulait correctement, sans aucune anicroche.
- Par qui dois-je commencer ? Demanda-t-elle misérablement.
- Tu vas nous sucer tous les deux de toute manière, tu vas emboucher une bite et branler l'autre langoureusement. Ag-nouille toi face à nous, sors nos bites, on te dira quoi faire.
Elle savait qu'elle ne pouvait plus faire marche arrière. Elle s'agenouilla face à eux.
- Au boulot Susan ! La railla Ray impitoyable.
Elle tendit la main vers la ceinture du survêtement de Gary et le descendit exposant son caleçon vert. Elle le repoussa sur ses cuisses et libéra sa bite en semi érection.
- Fais de ton mieux Susan chérie, caresse moi les burnes et la bite, fais-moi bander.
Elle lui caressa les burnes et la bite qui avait tout de suite retenu son attention.
- C'est bien ma chérie, mais pourquoi ne donnerais-tu pas quelques bisous sur mon gland avant de t'occuper de Ray?
Elle leva brièvement les yeux et bougea les lèvres le suçotant à trois reprises.
- Oh oui ...Que c'est bon Susan chérie.
Puis elle dégrafa la fermeture éclair de Ray, défit le bouton de ceinture, et le baissa sur ses chevilles, découvrant une bite déjà bandée déformant son caleçon. Elle le roula sur ses hanches exposant son outillage.
- Allez Susan, à toi de jouer ! Embrasse-moi les couilles et lèche ma bite. Ordonna-t-il lui tenant fermement la tête.
- Suce moi cette belle bite qui n'attend que de te jouir en pleine bouche.
Elle obéit servilement.
- Et maintenant embrasse lascivement le méat. Comme ça ! Lèche-moi le méat ! Oh oui que c'est bon ! C'est ça, maintenant prends ma bite en bouche.
- Ne m'oublie pas ! Réclama soudain Gary.
Aussitôt elle tourna la tête et prit sa bite en bouche.
- Oh oui... C'est bon ! On a du mal à croire qu'elle a sucé sa première bite vendredi.
Elle aurait aimé qu'ils ne commentent pas aussi vulgairement ses actes, c'est quelque chose qui la hérissait. Elle les suçait alternativement avec cœur et attention.
- Hey Susan, ce serait bien meilleur si je plantais ma bite dans ta moule pendant que tu le suces.
- Mmmm non. Grogna-t-elle la bouche pleine.
- Cessez de me parler comme ça. Mmmmmmph. Ajouta-t-elle alors qu'il la tirait en arrière.
- Pourquoi ? Tu sais très bien que tu adores ça. Et maintenant fais des efforts pour me faire gicler. S'exclama-t-il en enfouissant à nouveau sa bite au fond de sa gorge tout en adressant un sourire de connivence à Gary.
- Retire toi de sa bouche et viens t'asseoir sur le canapé le temps que notre charmante suceuse de bite termine nos pipes.
- Allez debout Susan. Lui intima-t-il.
Elle se redressa à son gré. Ils se tenaient de chaque côté d'elle, leurs bites frottant contre ses cuisses. Ray empoigna sa main et la poussa vers son outillage.
- Prends ma bite en main. Ordonna-t-il sèchement.
- Mais je pensais…
- Contente toi d'obéir. L'interrompit-il.
Elle saisit sa bite et démarra selon ses vœux, le rendant fou de plaisir.
- Tu ferais mieux de ralentir le rythme Susan, je mets les photos sur internet si tu me fais gicler en me branlant.
Elle obtempéra docilement.
- C'est bien mieux comme ça. Je ne voudrai pas que tu rates une goutte de ma jouissance. Tu vas tout avaler.
Elle ignora son commentaire railleur.
- Hey, regarde comme tes mamelons pointent sous le tee-shirt, voudraient ils être sucés et mignotés ? Lui susurra-t-il à l'oreille.
- Nonnn... Mentit-elle naïvement.
- Que dirais-tu si je glissais ma main dans ta petite culotte pour te manipuler le clito ?
- Non... Je vous en prie... Je suis mariée.
- Peut-être bien, mais pour qu'on te donne les photos, comme tu nous a déjà sucé tous les deux, on pourrait tout aussi bien te sauter.
- Je... Je ne peux pas... Ne peut-on pas ...
- Il est évident qu'on le pourrait. Je te le dis, parce que je sais que ton con est brûlant et détrempé, engorgé de cyprine. Et maintenant on s'assoit et toi tu t'agenouilles pour nous sucer.
- On ne veut pas te toucher pour l'instant, mais si tu te dépouilles de ton tee-shirt, on va te faire jouir en un rien de temps, avec nos doigts, nos langues et nos bites.
Ce discours salace la retournait, et ils le savaient pertinemment. Ils brisèrent leur étreinte et s'assirent sur le canapé.
- C'est ta dernière chance de choisir, où tu enlèves ce tee-shirt Susan, où tu nous suces jusqu'à ce qu'on se vident à fond dans ta bouche.
Elle était en pleine confusion, elle pouvait ne faire que les sucer et ce serait tout, mais elle était très excitée et désirait plus. Désappointés, ils la virent s'agenouiller lentement. Elle était sur le point de gagner sa bataille, mais comme si elles semblaient agir de façon autonome, ses mains saisirent le bas de son tee-shirt et le passèrent au-dessus de sa tête avant de le laisser choir au sol. Son abandon fit fleurir de larges sourires sur le visage de ses tourmenteurs.
- Et maintenant ton soutien-gorge. Montre-nous tes nibards !
Elle tendit la main dans son dos et dégrafa le clipse, dégagea ses épaules et le laissa choir au sol.
- Très bien. La félicita Gary alors qu'il se mettait tous deux à jouer avec ses nichons.
Susan ronronnait comme un chat repu. Ray lui dit de se lever, et il l'aida à se remettre sur pieds. Gary lui ordonna d'écarter les cuisses, Ray s'occupant toujours de ses nichons, les titillant, les léchant, les mordillant. Pendant ce temps Gary inséra sa main entre les cuisses de la belle, lui palpant la chatte au travers de son pantalon noir.
- Oooooooow ummmm ! Gémit-elle comme enivrée.
- Ta chatte est-elle humide ma Susan chérie ?
- Oh oui.
- Fortement trempée ?
- Très... Ummmmm… Trempée... Oooooooh ummmm…
Elle enlaça Ray alors que sa respiration se faisait haletante sous les rudes caresses de Gary qui frottait énergiquement son bas ventre contre la tranche de ses mains.
- Ooooooooow... Ooooooooooooowwwwwww... Mugit-elle terrassée par un premier orgasme fulgurant.
- Faut-il qu'elle soit chaude mon gars. Regarde, elle jouit avant même qu'on lui ait enlevé son pantalon. S'esclaffa Ray ébahi.
Il descendit la fermeture éclair de sa braguette et glissa la main au-dessus de sa culotte, palpant avec énergie sa chatte aussi détrempée qu'enflée.
- Hey Gary ! Je te parie que le fond de sa petite culotte est trempé de cyprine.
Il glissa alors sa main dans sa petite culotte et il se mit alors à frotter son chaton effleurant de ses doigts experts ses babines gonflées, engorgées de sang.
- J'adore les fentes détrempées. lui susurra-t-il à l'oreille.
Gary lui pelotait la croupe, il déboutonna le bouton de ceinture de son pantalon et, avec l'aide de sa proie, il le descendit aussi loin qu'il le put sur ses cuisses écartées.
Il s'assit brièvement pour contempler les appâts de la respectable ménagère, le pantalon roulé sur les genoux, ses mèches noirs envahissant son visage, elle chancelait sous les caresses de son copain qui mâchouillait ses mamelons alors que de la main il travaillait avec énergie son entrecuisse.
Il s'empressa de rouler son propre pantalon sur ses genoux. Ray lui massait lascivement le clito, la menant doucement mais sûrement, à son second orgasme. Gary amplifia ses gémissements en lui introduisant un, puis deux et enfin trois doigts dans la chatte. C'est plus qu'elle n'en pouvait supporter, un nouvel orgasme fracassant la submergea et elle s'écroula sur les genoux.
Elle gisait là pantelante comme à l'issue d'un marathon. Ray nettoya d'un revers du bras la table basse envoyant au sol le peu d'objets qui l'encombrait.
- Aide moi à l'étendre sur la table. Invita-t-il son copain.
Gary la prit aux aisselles, et Ray aux jambes, et ils l'étendirent sur la petite table. Ray lui enleva immédiatement son pantalon, elle gisait cuisses ouvertes, sexe offert, sa petite culotte pendouillant autour d'une de ses chevilles. Puis il lui écarta les cuisses en grand, il sépara des doigts ses babines gorgées de sang et se mit à lécher son intimité.
- Ohhhhhh ou... Ooooooooooooh ouiiiiiiiiiiiiii ... Gémit-elle alors qu'il la travaillait habilement.
Gary lui pelotait vigoureusement les nibards et lui intima de lui caresser les couilles tandis qu'il suçait ses tétons dardés. Elle se tortilla sur la table sous les caresses labiales de ses deux jeunes amants. Elle se tourna sur le flanc et Ray lui releva la jambe gauche la posant sur son épaule tout en frottant son gland sur l'orifice impatient.
- Es-tu prête à te faire baiser Susan ?
- Ummmmm oui…
- Alors dis le moi Susan !
- Oooh... S'il vous plait... Je vous en prie, faite moi l'amour !
- Avec plus de conviction !
- Je vous en prie... Baisez moi ! J'en ai trop envie !
- On a fait de toi notre petite pute, n'est ce pas ? Ironisa-t-il la pénétrant légèrement avant de se retirer, embrasant sa fentine.
- Nonnn... Non... Ce n'est pas vrai.
- Ma petite Susan chérie, dis-moi que tu es notre petite salope si tu veux que je t'embroche.
- Je vous en prie... Ne me faite pas dire ça... Je vous en prie !
- On ne te baisera pas tant que tu n'auras pas admis être notre petite pute ma chérie.
- Ohhhhhh... Je vous en prie... Je l'admets... Je suis votre petite chienne.
Ray approuva railleusement en plongeant sa bite raidie dans son ventre. Gary lui gifla la joue de sa bite, et elle ouvrit instantanément la bouche.
- Allez ma petite suceuse, embouche ma bite ! Aaaaaaaah... Commanda Gary en lui saisissant les cheveux.
Elle était embrochée par les deux bouts : Gary la baisait en bouche alors que Ray étrennait sa chatte. Gary jouit le premier.
- Aaaaahhhh... Oui... Avale tout…
Elle fit de son mieux, mais ce n'était pas facile couchée sur le flanc, et quelques filets de foutre s'étalèrent sur sa joue. Ray était maintenant tout proche de l'orgasme.
- Oh, oh, oh, oh...Gémit il en tapissant ses muqueuses de sa jouissance.
Epuisée, cherchant à reprendre haleine elle s'allongea sur sa table basse alors que Ray se rasseyait sur le canapé. Il avait encore la trique. Gary la fit s'asseoir.
- J'ai besoin de me reposer. Avoua-t-elle doucement.
- Repose toi contre mes jambes pendant que tu me suces la bite. S'esclaffa-t-il ironiquement.
- Mais… Commença-t-elle à dire.
Mais il lui coupa la parole, l'attirant sur ses genoux, alors que Ray lui tenait les bras. La main de Gary rampa sur sa croupe, puis s'immisça entre ses cuisses et dénicha à nouveau son clito si sensible.
- Ohhhh... J'en ai tant besoin. Larmoya-t-elle affolée.
- On sait ce dont tu as besoin ma chérie, t'as besoin de bites, on a pas besoin de te menacer pour que tu baises, n'est-ce pas ?
Gary manipulait frénétiquement son clito.
- Je... Ooooooooh... J'en ai vraiment besoin... Oooooooh…
- D'être baisée à nouveau jusqu'à l'os. La coupa Gary.
- N'est pas ma petite chienne ?
Il savait qu'il avait réanimé ses sens.
- Oui... Oh ouiiiiiiiiiiiiii... J'en ai besoin !
Et tandis qu'elle suçait Ray, Gary la prit en levrette, ils se vidèrent à nouveau dans sa bouche et sa chatte, et cette fois, les couilles vides, ils la quittèrent. Ils se rhabillèrent rapidement alors qu'elle était toujours allongée dans le canapé. Ray se pencha sur elle :
- J'ai tout de suite senti que tu avais un grand besoin de te faire ramoner par de grosses bites, on te téléphone bientôt petite chienne.
Et il lui donna un dernier bisou sur le téton gauche.
A suivre…
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