mardi 29 mars 2022

Esclaves blanches Ch. 01

 Texte de Géronimo ou Elko.

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La femme de l'ambassadeur.

Antoine Dubreuil, le nouvel ambassadeur de France à Dakar donnait une très belle réception dans les locaux de l'Ambassade de France. Pour se présenter au expatriés français nombreux au Sénégal mais aussi au « Locaux » c'est a dire les sénégalais notables de Dakar. La réception était très mondaine et du beau monde s'y trouvait. Le Premier ministre sénégalais et son épouse ainsi que le Consul britannique faisaient partis des invités les plus prestigieux. Hélène Dubreuil , l'épouse du nouvel Ambassadeur, une coupe de champagne à la main, très élégante dans une robe de soirée rouge qui épousait merveilleusement les formes pulpeuses d'une femme de 55 ans encore très belle, déambulait au milieu des invités, un sourire au lèvres. Saluant le gratin sénégalais. Elle ne remarqua pas du tout un homme, un sénégalais, très grand, le crane rasé, qui l'observait à la dérobée. Malgré sa jeunesse, 35 ans, Abdoulaye Amar avait fait fortune dans le BTP et était à la tête d'une fortune colossale en faisant un des hommes les plus puissant de Dakar. On disait de lui qu'il avait ses entrés au Palais présidentiel et qu'il avait l'oreille du Président. Il faut dire qu'il fournissait l'argent à chaque campagne électorale, ça créait des liens...

Abdoulaye Amar ne perdait pas de vue la somptueuse femme de l'Ambassadeur. Sa sage robe de soirée n'arrivait pas à dissimuler un cul bien ferme et des seins bien lourds qui semblaient vouloir jaillir du décolleté carré de la robe Yves Saint Laurent. Seule excentricité osé de la distinguée femme de l'Ambassadeur, la robe était légèrement fendue sur le coté dévoilant des jambes gainées de bas clairs à chaque pas qu'elle faisait. Hélène Dubreuil n'était pas très grande mais des talons aiguilles blancs nacrés la grandissait. Elle avait hésité a mettre des bas mais elle aimait beaucoup la lingerie et de plus en cette saison les nuits étaient un peu fraîche en Afrique. Et puis, plus secrètement, elle aimait se sentir désirée par ces noirs qui la regardait avec avidité des qu'elle se promenait dans les rues de Dakar en jupe courte ou robe légère. Elle avait constaté plusieurs fois que même ses domestiques, fournis par le Palais présidentiel après accréditation des services de sécurités de l'Ambassade , la regardait avec concupiscence, notamment son jardinier, Ousmane, qu'elle avait surprise un jour en train de se masturber comme un fou pendant qu'elle prenait un bain de soleil en bikini dans le jardin de l'immense villa ou elle logeait dans le quartier résidentiel de Dakar. Il était caché dans un bosquet et observait Hélène. Elle avait été horrifiée par le membre d'Ousmane d'une longueur et d'une épaisseur impressionnante. Elle avait fait comme si elle ne remarquait rien mais quand Ousmane avait éjaculé libérant un torrent de sperme, elle s'était senti défaillir...

Abdoulaye Amar se rapprocha le plus qu'il pouvait de Madame Hélène Dubreuil se collant quasiment à elle pendant qu'elle parlait avec des expatriés. Elle sursauta et se retourna sentant une masse se coller presque à elle. Faisant face à Amar, elle ouvrait la bouche pour protester quand elle reconnu Abdoulaye Amar dont son mari lui avait déjà beaucoup parlé lui disant que c'était un personnage influent de Dakar. Amar lui fit un grand sourire et lui prit la main et la baisa en se disant que bientôt il aimerait baiser beaucoup plus que la main de la charmante épouse de l'Ambassadeur Dubreuil.

Pour le plus grand malheur de Madame Hélène Dubreuil, Abdoulaye Amar avait une autre activité à Dakar. Une activité plus secrète, plus clandestine, connue que de quelques rares initiés, des blacks pour la plupart, peu de blancs. Amar organisait des soirées privées d'un genre très particuliers ou des femmes blanches, des expatriées, des épouses belles et distinguées de diplomates ou de chefs d'entreprise étaient livrées à des Sénégalais qui en faisaient littéralement leurs esclaves sexuelles pour toute la soirée.

Amar repensa à sa dernière soirée qui remontait à un mois ou la très distinguée Lady Kate Harrington, l'épouse du Consul de Grande-Bretagne, avait été baisée comme une chienne par une dizaine de blacks la faisant gueuler sous les coups de pines de ses tourmenteurs. Il revoyait Lady Harrignton, à quatre pattes, en sueur, haletante, prise en levrette par un Sénégalais monté comme un âne qui la pilonnait comme un fou en la tenant par les hanches, ses gros seins ballottant dans tous les sens. Pour s'octroyer les faveurs de ces dames de la haute société qui n'aurait jamais daigné jeter un regard sur un black en tant normal, Monsieur Amar utilisait une drogue fabriquée par un marabout de sa connaissance, Kamaba, qui avait la particularité de désinhiber totalement les pulsions de la personne qui en prenait. Transformant la bourgeoise la plus coincée en salope la plus docile...

Abdoulaye Amar relâcha la main d'Hélène Dubreuil plongeant son regard dans les yeux bleus pervenches de l'épouse de l'Ambassadeur. Il avait une autorité naturelle qui se dégageait de lui qui troubla et fascina Madame Dubreuil. Elle se sentit rougir sous le regard inquisiteur de Monsieur Amar.

- Je vois que votre coupe est vide, chère madame, permettez moi d'aller vous en chercher une autre.

Il n'attendit même pas la réponse et il se dirigea vers le buffet ou il prit une coupe de champagne. Il s'éloigna discrètement et versa le produit dans la coupe. Il revint vers Madame Dubreuil qui le remercia et but une petite gorgée sous le regard triomphant d'Abdoulaye Amar. Il n'y avait plus qu'à attendre...

Hélène sentit les battement de son cœur s'accélérer. Elle avait chaud d'un coup, les mains moites. Et surtout, elle sentit une douce chaleur envahir son bas-ventre. Elle n'arrivait plus à quitter des yeux Monsieur Amar. Celui-ci lui proposa de sortir dans le jardin de l'Ambassade et elle acceptât immédiatement. L'air frais lui fit un peu de bien et ils marchèrent tous les deux discutant de l'Afrique. Abdoulaye l'emmenait sournoisement dans le fond du jardin loin de la réception. Les talons aiguilles de Madame Dubreuil s'enfonçait dans la terre du jardin. Ils arrivèrent près d'un petit muret où Monsieur Amar poussa Hélène. Sans plus de formalités, il posa ses mains sur les seins d'Hélène qui poussa un petit cri.

- Mais qu'est ce que vous faites, voyons !!

Abdoulaye malaxait sans douceur les seins de l'épouse de l'Ambassadeur qui tenta de se dégager mais sans résultat. Il baissa le devant de la robe dévoilant un soutien-gorge en dentelle blanc bien rempli. Il baissa les balconnets se penchant pour sucer la pointe des tétons. Hélène tenta de le repousser en gémissant. Une main se faufila par la fente de la robe et atteignit le string. Monsieur Amar eut un rugissement de joie.

- T'es trempée petite salope !

Et c'était vrai, Madame Dubreuil, à sa grande surprise et surtout sa grande honte dégoulinait littéralement mouillant son string. Décoiffée, haletante, elle secoua la tête de droite à gauche en poussant un nouveau gémissement. Abdoulaye avait réussi à introduire son index et son majeur dans la fente dégoulinante d'Hélène et il agitait ses doigts violemment la faisant suffoquer.

La soumission pouvait commencer. Premier test. Abdoulaye se releva et montra ses doigts à Hélène.

- T'as sali mes doigts, petite chienne ! Nettoie !

- Non, Non, pas ça s'il vous plaît ! gémit-elle.

- Obéis sale pute !!

Hélène pencha la tête et se mit à lécher les doigts de Amar. Timidement, sa langue nettoyait sa propre cyprine. Abdoulaye enfournait ses doigts très loin dans la bouche d'Hélène, la faisant hoqueter.

- C'est bien Hélène, tu apprends vite, je vais faire de toi une bonne petite salope au service des noirs.

Hélène tressaillit en entendant cela mais elle ne dit rien continuant à sucer les doigts de Amar.

Celui ci releva la longue robe d'Hélène dévoilant un porte-jarretelles blanc où était accrochées des bas clairs. Il lui ordonna de tenir sa robe et il s'agenouilla devant elle. Ecartant le string, il titilla son clitoris en donnant de petits coups de langue, faisant coulisser ses doigts à l'intérieur de son vagin . A ce rythme là, la distinguée Hélène Dubreuil , épouse du nouvel Ambassadeur de France à Dakar, ne tarda pas un pousser des petits cris.

- Ooooh Oui, Oh Mon Dieu ! C'est bon, oui...

Il s'arrêta la laissant au bord de l'orgasme. Il se releva et lui ordonna de se mettre à genoux devant lui. Elle obéit aussitôt. Il se libéra faisant apparaître un sexe aux dimensions impressionnantes qui fit peur à Hélène. Il lui sembla qu'il était encore plus gros et plus long que celui de son jardinier.

- Suce moi chienne blanche !

Hélène s'empara de la bite de Monsieur Amar la faisant coulisser de ses doigts manucurés. Il agrippa ses cheveux et la força à le prendre dans sa bouche. Ses lèvres rouge carmin s'arrondirent autour du membre. Elle donnait des coups de langue sur le gland, lui léchait la hampe, lui caressant les couilles en même temps. Abdoulhaye savourait sa fellation.

- Sous tes airs de bourgeoise, t'es une bonne suceuse...

Hélène suçait la bite de Monsieur Amar consciencieusement, appliquée, le pompant avec avidité.

Abdoulaye décida qu'il était temps de passer aux choses sérieuses. Il releva Hélène, la retourna, la pencha en avant. Hélène prit appui sur le muret, bien campée sur ses talons aiguilles. Il releva la robe la tire-bouchonnant autour de la taille d'Hélène lui mettant le cul à l'air. Il baissa le string sur ses jambes et d'un seul coup l'embrocha. Il agrippa ses hanches un peu grasses et se mit à la baiser en lui donnant de violents coups de reins. Son ventre venait claquer contre ses fesses. Ses seins ballottaient dans tous les sens.

- Oooouuuiiii, oui, encore ! Abdoulaye, vas y !

Violente claque sur les fesses.

- C'est Maitre Amar pour toi, petite salope, que je ne le répète pas !

- Ooooui Maitre , oui !

Maitre Amar la pilonnait comme un fou la faisant couiner de bonheur à quelque mètres de son mari. N'y tenant plus, il se retira et obligea Hélène à se mettre à genoux devant lui.

- Ouvre la bouche , tire la langue, salope !

Elle obéit, de la soumission plein le regard. Abdoulaye éjacula libérant des jets de sperme qui allèrent s'écraser sur le visage ravagée d'Hélène. Elle en eut sur le front, le menton, les cheveux...

Abdoulaye Amar la releva et lui tendit un mouchoir en papier pour qu'elle puisse se nettoyer le visage et essayer d'avoir l'air plus présentable pour retourner voir son mari et ses invités. Elle crut défaillir quand elle le vit se retourner vers un arbre et crier :

- C'est bon Kamaba ? T'as pu faire un bon film ?

Un grand noir surgit de la pénombre, un téléphone portable à la main. Hélène failli s'évanouir. Amar lui avait tendu un piège, elle réalisait maintenant l'horreur de la situation dans laquelle elle se trouvait. Ca se confirma quand comme dans un brouillard, elle entendit Maiître Amar.

- Ecoute moi petite salope, dorénavant, t'es ma chienne, mon esclave blanche. J'organise régulièrement des petites soirées où tu seras invitée, sans ton mari, cela va sans dire. Tu seras pas toute seule, ne t'inquiètes pas. Vous êtes déjà pas mal à y participer. Si tu refuses, la vidéo sera envoyée à ton cocu de mari. Vu comment tu gueulais, il va apprécier.

- Espèce de salaud ! Rugit Hélène.

Une violente gifle la fit taire.

- Ne me manques jamais de respect salope, n'oublie pas que pour toi dorénavant, je suis Maître Amar ! Tu obéiras à Kamaba également ainsi qu'à tout ceux que je te désignerais. Sinon, je te tannerai le cul.

Vaincu, Hélène murmura :

- Oui Maître Amar.

Abdoulaye sourit.

- C'est mieux. A propos, j'ai oublié de te dire, ton jardinier et ta bonne sont mes complices. Ils peuvent se servir de toi comme ils l'entendent...

Et Maitre Amar et Kamaba partirent, laissant Hélène Dubreuil effondrée...

A suivre...

dimanche 27 mars 2022

Hobie, la vengeance d'un innocent. Ch 01

 Histoire de Black Demon traduite par Coulybaca

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Hobie se venge d'Amanda la fliquette qui l'a arrêté.

Hobie ne pensait plus qu'à sa vengeance.

Dès sa libération, il se prépara à mettre en œuvre les plans de vengeance qu'il avait concoctés pendant 18 mois. Il avait été condamné pour un délit qu'il n'avait pas commis, tout simplement il s'était trouvé au mauvais moment à la mauvaise place.

Il avait été arrêté par une petite salope de fliquette débutante, au moment où il se rendait dans une maison qui venait d'être cambriolée par un autre. Il est vrai qu'il avait déjà cambriolé pas mal de maisons, mais pas celle là.

Un mandat de perquisition avait permis la découverte, chez lui, d'objets volés au cours de différents casses passés. Ces découvertes l'avaient mené tout droit à une condamnation imméritée dans ce cas bien particulier.

Il avait rencontré en prison d'autres condamnés qui avaient gardé des relations avec l'extérieur. Par leur biais il obtint des informations sur les personnes dont il avait juré de se venger. Et tout d'abord il voulait tirer vengeance de cette salope de fliquette débutante qui l'avait arrêtée, il se rappelait encore comment elle lui avait fait tâter de son bâton d'intervention. Ouais très bientôt il se pencherait sur son cas et c'est de son bâton d'intervention personnel qu'elle allait tâter.

Caché dans le cabinet de toilette, Hobie attendait le retour de la fliquette à son domicile.

En rentrant du boulot, Amanda Stevens et sa fille se changèrent et elle autorisa sa fille à aller regarder des dessins animés dans le salon. A 24 ans, Amanda était heureusement mariée à Jon qui avait été son premier et seul amour, le seul homme qu'elle ait jamais connu. Elle était de petite taille pour une fliquette, mais elle était spécialisée en criminologie et n'avait pas tardé à quitter la rue pour travailler dans les laboratoires scientifiques de la police. D'être dans ce département d'activité lui permettrait ultérieurement d'exercer en qu'experte en criminologie.

Amanda entra dans sa chambre et entreprit d'enlever son uniforme bleu clair, elle s'assit sur le lit et ôta ses collants dévoilant ses longues jambes ivoire et ses petits petons. Elle se releva et se dirigea vers le cabinet de toilette pour prendre une tenue d'intérieur. Elle empoigna son short et un chemisier accrochés sur un porte manteau et se retourna. C'est alors qu'une grosse main noire se plaqua sur sa bouche. Amanda paniqua, tétanisée par la peur.

Hobie l'obligea à retourner vers son lit. Il saisit sa main droite et la tira. Amanda se mit à trembler alors qu'il posait sa main sur une grosse colonne de chair palpitante. Il lui manquait 5 centimètres pour parvenir à encercler la monstrueuse bite qui pulsait. Il l'obligea à le branler sur toute sa longueur qu'elle supposa d'un bon trente cinq centimètres. Elle frémit d'angoisse en constatant combien sa bite était longue, elle ne parvenait pas à croire qu'un homme puisse posséder un tel membre. Son mari, le seul à lui avoir jamais fait l'amour avait une chétive petite bite comparée à celle qui palpitait entre ses doigts. Celle de son mari mesurait une bonne quinzaine de centimètres et ses doigts en faisaient le tour.

Amanda avait déjà fantasmé d'être violée et possédée par une autre bite que celle de son mari. Mais ce n'était que des fantasmes, pas la réalité comme à cet instant.

Sa main tremblait un peu plus à chaque fois qu'elle atteignait l'énorme brugnon qui lui servait de gland, elle ne parvenait pas à se mettre en tête qu'elle allait devoir subir une grosse bite noire. Elle se mit à branler désespérément son agresseur espérant stupidement qu'il lui foutrait la paix une fois qu'il aurait giclé entre ses doigts.

Hobie ne lui tenait plus la main, elle continuait à le branler en toute liberté. Sa main rampa vers son bijou et il flatta son clito. Amanda sentit sa chatoune s'inonder de cyprine alors qu'il lui fourrait son majeur dans la caverne pour doigter avec vigueur son minou juteux.

Soudain Hobie la retourna et la jeta sur le lit. Il se coucha immédiatement sur elle une main toujours plaquée sur sa bouche. Il avait la tête cachée par un passe montagne.

- "Je vais enlever ma main de ta bouche, crie si tu veux, mais si tu cries ta fille va rappliquer et assistera au viol de sa gentille maman par un horrible noir !"

Amanda secoua la tête, il retira sa main de sa bouche. Elle ne voulait en aucun cas que sa petite fille soit témoin de son viol par ce monstre noir.

Hobie leva sa jambe à hauteur de son visage et léchouilla voluptueusement ses orteils et la plante de son pied. Son énorme bite frottait contre sa foufoune juteuse. Elle sentait son excitation monter en dépit de ses efforts pour freiner l'éveil de ses sens.

Elle tendit ses deux mains et empoigna la grosse bite pour la branler, espérant le faire juter prématurément et s'épargner ainsi ce viol qui semblait pourtant inéluctable. Elle craignait tant de se faire sauter par un noir, elle avait entendu dire que les noirs avaient de très grosses bites, ce qu'elle avait en main semblait prouver que c'était vrai. Elle se demandait comment elle ferait pour se prendre un tel monstre, une bite qui faisait bien le double, en longueur comme en épaisseur, de celle de son petit mari.

Elle reprit alors pied dans la réalité, elle était sur le point de se faire violer par un colosse noir. Amanda tenait ses mains serrées sur sa hampe espérant l'empêcher de s'enfouir en elle.

Hobie sourit sachant très bien qu'elle faisait de son mieux pour éviter d'être violée. Toutefois ses mains glissèrent vers la racine de sa bite, il restait une dizaine de centimètres de bite découverte entre sa chatoune et ses mains closes. Il rit à gorge déployée et donna un violent coup de rein engouffrant ces dix centimètres dans son étroite petite chatte.

-"Nonnnnnnnnnnn... Argggggghhhhhhhhhhhh..." se lamenta-t-elle sourdement, elle ne voulait surtout pas que sa fille entende ses plaintes.

Effectivement sa bite était bien plus grosse que celle de son mari. Il coulissait maintenant dans sa foufoune distendue s'enfonçant jusqu'à la barrière de ses mains dans sa caverne embrasée.

Amanda commençait à remuer des hanches allant à la rencontre de son pubis, sa bite venait frotter contre son clito à chaque coup de boutoir. 

Lentement une de ses mains glissa sur l'autre, permettant à sa grosse bite de plonger de plus en plus profondément dans son fourreau.

Bien qu'indésirées, les stimulations successives amenaient la trahison de ses sens, elle lâcha inconsciemment l'énorme hampe, il put de ce fait, la pénétrer de toute sa longueur. Il était bien conscient de ses désirs inexprimés alors qu'il continuait à lui lécher les orteils. Soudain il empoigna sa bite ne laissant que le bourgeon en elle :

- "Que veut la jolie dame blanche ? "

Amanda grogna son humiliation, elle était folle d'excitation mais elle ne voulait surtout pas l'avouer, elle le supplia de la laisser tranquille :

-"S'il vous plait... Ne me violez Plus... Non, non... Oh je vous en prie... Je vous en prie enfilez une capote ! Vous risquez de m'engrosser !"

Hobie se recula encore un peu et se planta à nouveau au fin fond de sa chatoune.

-"Oh nonnnn... Je vous en prie arrêtez ! Arruggghhhhhhh !" gémit-elle lourdement alors qu'il s'enfouissait de toute sa longueur dans sa féminité comblée.

Son ventre avait enflé du fait de cette énorme présence dans son fourreau distendu, il extirpait sa bite lentement et la pilonnait alors avec une extrême violence s'enfouissant jusqu'aux couilles dans sa chatte surchauffée. Le lit conjugal n'avait jamais autant grincé.

Le colosse noir était arc-bouté sur la tête de lit, utilisant ses pieds pour pousser et s'enfoncer de plus en plus profondément dans son étroite petite foufoune. Amanda avait les jambes relevée en l'air, elle les baissa doucement les verrouillant lentement autour de sa taille. Il la pistonnait avec de plus en plus d'ardeur.

Amanda se cabra soudain secouée par un orgasme incontrôlable, un orgasme comme elle n'en avait jamais connu auparavant.

-"Oh mon Dieu... Mon Dieuuuuuuuuuu.." grommelait-elle en extase.

Puis son corps s'amollit et ses jambes retombèrent sur le lit. Soudain elle verrouilla à nouveau ses cuisses sur son torse alors que sa grosse bite se mettait à vibrer avant de propulser de longs jets de foutre dans son intimité embrasée.

Le violeur noir restait étendu sur le corps de sa malheureuse proie, la bite mollissante alors que des flots de foutre s'écoulaient lentement de sa chatoune béante. Il planta et agita sa bite dans sa chatte, la faisant gémir.

-"J'espère bien t'avoir collé un petit polichinelle noir dans le tiroir madame Stevens ! "

Amanda ne put que gémir de honte.

-"La petite femme fidèle s'est faite baiser par un salaud de nègre dans le lit conjugal ! Et peut-être même engrosser ! Ce lit qui n'avait jamais du couiner comme ça auparavant !"

Sur ces mots il se remit à la baiser avec ardeur, elle ne tarda pas à succomber à un nouvel orgasme dévastateur.

-"Oh s'il vous plait... S'il vous plait ! Oh, nonnnnnnnnn..."  se lamentait Amanda le corps secoué de spasmes convulsifs, ses mignons petits pieds blancs tambourinant dans son dos.

Une heure plus tard, Amanda sanglotait tout en se nettoyant des jets de foutre que ce bâtard noir avait propulsé en et sur elle. Elle n'avait jamais vu autant de foutre. Des mares de sperme épais empesaient les poils de sa chatoune, elle fit de son mieux pour se débarrasser du jus géniteur de bébés noirs. Elle se demandait quelle dose de foutre actif devait encore emplir son utérus au vu des flots crémeux qui s'écoulaient de sa cramouille béante.

Elle changea les draps pour que son mari ne s'aperçoive pas qu'ils étaient trempés de sperme, et ouvrit la fenêtre pour aérer la chambre et dissiper la lourde odeur de bêtes en rut.

Cette nuit, son mari rentra au domicile avec des idées lubriques en tête, il voulut faire l'amour, il en avait tant envie qu'il déchargea prématurément dans sa chatte distendue laissant Amanda excitée et frustrée. Dans cet état de frustration elle ne pouvait s'empêcher de penser à cette grosse bite noire qui l'avait fait jouir à plusieurs reprises un peu plus tôt.

Cependant Amanda ignorait, elle l'apprendrait d'ailleurs bien assez tôt c'est que son agresseur avait dissimulé une caméra dans la chambre avant de la violer, et que toute leur performance avait été enregistrée. Il avait récupéré la caméra juste avant de partir. Elle était la star d'une bande vidéo qu'il diffusait dans les quartiers chauds de la ville, nombres d'amateurs avaient visionné les exploits de cette ravissante pute blanche lors de projection privée. 

La première projection privée qu'il avait organisé lui avait rapporté 200 $ et certains de ses copains étaient prêts à payer pour la revoir. Une paire de spectateurs lui demandèrent combien il demandait pour passer une nuit avec cette ravissante salope, il était évident pour tous que grâce à cette cassette Hobie pouvait lui imposer ce qu'il voulait. En clair ils voulaient savoir combien leur coûterait une petite visite de sa culotte, Hobie savait qu'il pouvait en demander une bonne somme.

Une fois que ces futurs clients eurent posé les yeux sur cette innocente et douce jeune femme, ils étaient tous prêts à sacrifier une de leurs couilles pour pouvoir lui casser le cul, d'autant plus qu'ils savaient tous que c'était une fliquette. De ce fait il fixa son prix à 500 $ la passe pour tous ces gars qui voulaient cracher leur foutre dans son délicieux petit corps. Personne ne discuta le prix, sachant qu'il leur suffirait de casser une épicerie de plus pour trouver l'argent qu'il réclamait pour la sauter.

Un mois plus tard, en ouvrant son courrier Amanda pensa mourir sur-le-champ. Un agrandissement la montrait se faisant baiser par son violeur noir. Une note accompagnait la photo lui intimant de se rendre à la nuit tombée à une adresse dans le quartier chaud de la ville. Elle devait porter une jolie mini-jupe et des hauts talons.

Amanda avala sa salive le souffle coupé, elle craignait déjà le pire. Le message, faisant référence à sa profession, lui conseillait de ne pas commettre la folie de se pointer armée. Si elle n'obéissait pas docilement, son mari, ses voisins et ses collègues recevraient des copies d'une vidéo de son viol.

Le soir même, Amanda mentit à son mari pour la première fois de sa vie, mais pas la dernière. Elle lui dit qu'elle rejoignait des amies pour aller voir un film entre filles. En fait, elle allait endurer une terrible épreuve.

En arrivant à l'adresse indiquée, elle frissonna en entrant dans la maison. Son sauvage violeur la salua ironiquement et la fit asseoir pour visionner la totalité de la cassette. Puis il la conduisit dans une chambre ou l'attendait 4 immondes clients qu'elle dut contenter avec art.

Lorsqu'enfin elle put rentrer chez elle, elle sanglotait en trouvant son chemin toutes lumières éteintes, elle n'osait pas allumer les lumières de peur de réveiller son mari ou sa fille.

Elle gagna la salle de bain et prépara rapidement une douche vaginale pour chasser de son vagin le foutre accumulé de ses quatre clients. Le pire étant un nain avec une longue et épaisse bite qu'il lui avait enfoncé dans l'arrière gorge avant de projeter son foutre épais au fin fond de sa gorge lui faisant avaler sa semence jusqu'à la dernière gorgée.

Son cul la faisait souffrir, une immonde brute le lui avait cassé, fier d'être le premier à fourrer sa bite dans ce fourreau si serré. Sa chatte aussi était distendue et douloureuse après avoir été investie par ses 4 premiers clients.

Demain elle prendrait rendez-vous avec son gynéco pour se faire prescrire la pilule, il ne manquerait plus qu'un de ses clients l'engrosse maintenant qu'elle faisait partie du cheptel de Hobie.

Il l'avait informé, après l'avoir filmée contentant ses premiers clients, que désormais si elle voulait que personne ne connaisse sa déchéance elle devrait lui obéir au doigt et à l'œil, bien sur s'occuper de sa bite quand il le voudrait, mais surtout elle devrait s'offrir aux clients qu'il lui désignerait et surtout satisfaire tous leurs désirs avec humilité.

A suivre...

vendredi 25 mars 2022

Roger et Brigitte

 Texte d'un anonyme.

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Roger et Brigitte étaient mariés depuis 5 ans. Deux enfants étaient nés de ce mariage. Apparemment le couple vivait heureux et seuls quelques nuages sur le plan sexuel assombrissaient parfois cette entente.

Roger, représentant de commerce, voyageait régulièrement, et s’absentait généralement toute la semaine, ne rentrant que le week-end au domicile. C’était un homme costaud, 1m90, 85 kgs plutôt sportif. Travailleur, il était apprécié de son patron et gagnait suffisamment bien sa vie pour que Brigitte puisse demeurer au foyer à s’occuper de ses enfants.

Brigitte était une très belle blonde bien proportionnée, à l’allure sportive, le genre de filles qui ne laissent pas indifférentes lorsqu’on les croisent dans la rue.

Ils habitaient un petit pavillon à la sortie de la ville, un peu isolé mais très au calme et au milieu de la nature. Depuis un an le couple s’entendait de moins en moins bien sur le plan sexuel. Brigitte estimait à juste titre que le week-end devait être consacré aux relations intimes compte tenu de l’absence de son mari le reste de la semaine.

Cependant, elle était très réfractaire à tout ce qui sortait de l’ordinaire en matière sexuelle et se contentait pratiquer l’accouplement classique sans aucune fioriture. Elle s’était toujours refusée à pratiquer la fellation et la sodomie, et ce malgré le plaisir qu’elle prenait à faire l’amour.

Souvent elle s’habillait de manière sexy, bas, string, jupe courte, mais souvent évitait que cela ne se remarque par le port d’un manteau ou imperméable long.

Roger bien qu’amoureux de sa femme aurait aimé plus « d’épices » dans leur relation sexuelle et ce d’autant plus qu’il rentrait le vendredi soir fatigué par une dure semaine de travail. Mais Brigitte refusait systématiquement toute dérogation, prétextant qu’elle n’était pas une putain et que s’il n’était pas content il n’avait qu’à aller voir les filles pour les fioritures.

Le soir de la fête d’Halloween, un groupe de gamins déguisés frappent à la porte pour obtenir des bonbons et bateaux comme il est de coutume maintenant. C’était un groupe de petits immigrés qui vivaient dans les HLM à la périphérie de la commune, plutôt mal élevés. Brigitte avait pu le constater à la sortie de l’école lorsqu’elle allait chercher ses enfants. Elle ne supportait pas ce comportement agressif de ces enfants, et s’en était plainte auprès du directeur en compagnie d’autres mamans.

De voir ces gamins oser venir lui demander des offrandes lui parut complètement déplacé et elle les rembarra vertement. Loin de se démonter ils insistèrent lourdement, la traitant de tous les noms, prétextant qu’elle était raciste, etc.

Ne sachant plus que faire, Brigitte appela son mari à la rescousse, ce dernier promettant une bonne raclée aux gamins s’ils n’avaient pas disparu dans les secondes qui suivent. Ces derniers comprirent qu’il valait mieux ne pas insister et s’enfuirent rapidement. Brigitte et Roger considérèrent l’incident clos.

Quelques jours plus tard Brigitte eut l’impression d’être suivie par une ou plusieurs personnes lors de ses différents déplacements. D’autre part elle avait remarqué qu’un groupe de jeunes passaient régulièrement plusieurs fois le soir devant la maison en s’attardant à chaque passage. Elle en fit part au téléphone à son mari qui lui conseilla d’avertir la police, ce qu’elle fit le lendemain matin. Le soir même, le groupe de jeunes s’installa devant la maison faisant semblant de réparer leur voiture.

Brigitte put les observer attentivement au travers les volets. Ils étaient au nombre de quatre, deux noirs, un maghrébin, et un blanc.

Aussitôt elle appela le commissariat pour les informer et leur demander d’intervenir. Quelques minutes plus tard un véhicule de police arriva, un contrôle des papiers fut effectué et un des policiers demanda aux jeunes de ne pas rester là et de déguerpir rapidement. Un autre policier commis l’erreur de sonner chez Brigitte pour la rassurer, ce qui n’échappa pas au groupe de jeunes.

Le vendredi soir, alors qu’elle attendait son mari, Brigitte entendit du bruit en provenance du garage. Pensant que Roger était de retour, elle sortit pour l’accueillir. A peine dehors, elle fut agressée par deux hommes, qui, sous la menace d’un couteau, l’obligèrent à renter dans la maison où ils s’engouffrèrent derrière elle en compagnie de deux autres personnes.

Brigitte était terrorisée et n’arrivait plus à parler. Aussitôt elle pensa à ses enfants la-haut dans leur chambre.

L’un des individus s’approcha d’elle et aussitôt elle reconnu les quatre jeunes de la dernière fois. Ils avaient plutôt des mines patibulaires, cheveux rasés et un air méchant. Prenant sur elle-même elle demanda :

- Que voulez-vous ? partez où j’appelle la police !

Un des jeunes lui répondit qu’elle l’avait déjà fait et qu’ils n’avaient pas du tout apprécié. Ils lui rappelèrent en plus l’incident de la fête d’Halloween et qu’ils n’aimaient pas beaucoup que l’on maltraite leurs petits frères. Brigitte se souvint soudain de cet épisode et regretta immédiatement son attitude. Un des jeunes lui dit :

- Si tu es gentille avec nous cela se passera très bien, et on oubliera ce qui s’est passé. Foutue comme tu es, tu dois être super bandante et on veut juste s’amuser un peu.

Brigitte ne savait plus que faire, elle essaya de les raisonner et de leur faire comprendre qu’ils n’obtiendraient rien d’elle et qu’ils feraient mieux de partir. Un des jeunes lui rétorqua qu’elle n’avait sûrement pas bien compris et qu’il serait dommage qu’il arrive quelque chose à ses enfants.

A ces mots Brigitte compris qu’elle était en mauvaise posture et qu’il lui fallait gagner du temps en attendant le retour de son mari.

- Que voulez-vous de moi ? Demanda t-elle.

- Fais-nous un strip-tease, mais avant, sers-nous des boissons !

Brigitte se dirigea vers le bar et leur proposa de se servir eux-mêmes. Bouteille à la main, ils s’assirent dans le canapé et demandèrent que le spectacle commence. C’était la première fois que Brigitte se déshabillait devant des inconnus. En plus ce soir elle était habillée sexy pour le retour de Roger, ce qui n’avait pas échappé aux quatre jeunes.

Elle commença par retirer son chemisier, laissant apparaître une poitrine généreuse et ferme. Devant sa réticence à continuer ils lui rappelèrent que ses enfants n’étaient pas bien, loin. 

Rapidement la jupe tomba sur le sol dévoilant des fesses superbes qu’un string noir avait bien du mal à cacher. Elle était là, à moitié nue devant ces jeunes qui semblaient apprécier le spectacle compte tenu des boursouflures apparentes de leur pantalon.

Les bas noirs retirés, elle apparut superbe, blonde à peau blanche, ce qui eut pour effet d’exciter particulièrement les deux blacks. L’alcool aidant, des mains commencèrent à la toucher et à la caresser pendant qu’elle continuait à se dévêtir.

Brigitte n’en pouvait plus et s’effondra en larmes, ce qui fit particulièrement rire les quatre jeunes qui s’enhardissaient de plus en plus. Elle était à leur merci et savait qu’elle ne pourrait pas leur échapper. 

Ils lui demandèrent se promener dans le salon à quatre pattes en tortillant du cul. Brigitte rouge de honte s’exécuta, elle avait l’impression d’être une chienne en chaleur offrant sa croupe aux mâles très excités. Ses soucis étaient que ses enfants n’entendent rien et que son mari rentre rapidement pour la sortir de ce mauvais pas.

Un des noirs assis sur le canapé avait ouvert sa braguette laissant apparaître un sexe énorme gorgé de sang. Il lui intima l’ordre de venir le sucer. Brigitte s’approcha, toujours à genoux et pris le sexe dans sa bouche et commença à le sucer de bas en haut rapidement et avec dégoût.

- Hé elle suce bien la salope ! S’exclama t-il.

Aussitôt les autres suivirent son exemple et Brigitte se retrouva en train de sucer 4 sexes tour à tour, prenant bien soin de les satisfaire de peur des représailles. Bientôt elle se retrouva avec deux sexes dans la bouche et un dans chaque main, pratiquant fellation et masturbation à la fois. 

Les sexes lui écartelaient la bouche, mais deux mains l’obligeait à les enfourner profondément provocant des hauts de cœurs à chaque fois qu’ils touchaient le fond de sa gorge. Ils éclatèrent presque simultanément avec des flots puissants de sperme l’obligeant à avaler jusqu’à la dernière goutte.

Ils furent rapidement remplacés par deux autres sexes tout aussi gros et malodorant qu’elle se mit à sucer à leur tour.

Pendant ce temps un des noirs s’était posté derrière elle et lui caressait la vulve avec vigueur. Se rendant compte que Brigitte commençait à mouiller ; il lui enfonça un doigt puis un deuxième les faisant coulisser de plus en plus profondément.

Petit à petit, le sexe de Brigitte s’ouvrait permettant le passage d’un troisième doigt. Brigitte continuait à sucer les deux sexes dans sa bouche, les larmes aux yeux de se faire violer tout en étant obligée d’être consentante.

Les quolibets commençaient à pleuvoir et devenaient de plus en plus vulgaires. Brigitte se faisait traiter de tous les noms et la situation devenait insoutenable. En plus Roger qui n’arrivait toujours pas.

Maintenant ils étaient deux derrière elle, un s’occupant de son vagin et l’autre de son cul. Elle s’était toujours refusée à se faire pénétrer par-derrière, même avec un doigt. Là elle n’avait pas le choix et rapidement deux doigts s’étaient insinués dans son anus, le dilatant progressivement. La douleur était forte et Brigitte se mit à pleurer de plus belle.

Cela avait pour effet d’exciter en plus les quatre jeunes qui ne se retenant plus profitait de Brigitte de plus en plus sans retenu. Soudain l’un s’écria :

- Elle est vierge du cul cette salope, je crois qu’on va pouvoir la baptiser de ce côté.

Petit à petit, Brigitte sombrait. Son cul était maintenant pénétré par 3 doigts alors qu’une main entière venait de forcer l’entrée de son vagin, et elle continuait à sucer deux sexes. Elle se faisait violer progressivement par tous les orifices et se demandait quand cela cesserait-il. Pour le moment un quatrième doigt lui perforait l’anus dilatant de plus en plus ce dernier.

Des larmes coulaient sur ses joues et elle supplia qu’ils cessent la douleur étant trop grande. Ils lui répondirent que lorsqu’ils lui auraient bien pénétré ses deux orifices avec les doigts là ils passeraient à autre chose. Quelques instants plus tard c’était chose faite, Brigitte se retrouvait avec une main dans la chatte et quatre doigts dans le cul.

Les va et vient dans ses orifices lui provoquèrent soudain des spasmes de jouissance qu’elle ne put réfréner, ce qui amusa particulièrement les jeunes.

Après ce fut l’orgie totale. Elle fut pénétrée par tous les orifices, en même temps. Ils étaient insatiables, utilisant différents objets pour la pénétrer de plus en plus fort. Elle était épuisée, tous ses orifices étaient douloureux, dégoulinante de sperme.

Un des jeunes appela de son portable des copains leurs disant qu’ils étaient sur un super coup, et que moyennant finance ils pouvaient tous en profiter. Et il leur demanda de ne pas faire de bruit pour ne pas alerter les voisins et les flics.

Attachée sur le ventre sur la table basse du salon, Brigitte avait perdu toute notion du temps.

Après elle se souvint du défilé d’individus de toute origine, le son de l’argent qui s’échangeait, 50 francs pour la baiser, et de s’être fait pistonner, le cul surtout, par une trentaine d’individus.

Son anus restait ouvert tellement des sexes de différentes tailles l’avaient bourré, il débordait de foutre qui coulait sur ses cuisses et cela n’avait de cesse.

Le dernier qui l’encula, était plus âgé, avec un sexe si énorme et disproportionné, que malgré toutes les sodomies subies elle ressentie une douleur lorsqu’il la défonça. L’homme dit que c’était la première fois qu’il pouvait enculer une superbe blonde si fort et la défoncer sans qu’elle hurle.

Après avoir joui il resta dans son cul et après quelques instants urina à l’intérieur de ses fesses en s’exclamant:

- Je lui pisse à la raie.

Après leur départ, Brigitte mit plusieurs minutes pour se relever. Elle était couverte de sperme et se dirigea vers la salle de bains pour un nettoyage en règle. C’est à ce moment que la porte de sa chambre s’ouvrit et qu’elle aperçut Roger qui la regardait avec un drôle d’air et un sourire qui en disaient long.

FIN

mercredi 23 mars 2022

Une nuit dans le parc.

Traduction d'un texte de Twisted Mistress.

*****

Jeanne halète alors qu'elle est entraînée dans le parc. Il fait sombre et certains réverbères sont éteints. Elle trébuche sur le chemin accidenté qui n'est qu'un ligne noire prise en sandwich entre des taches d'herbe très sombres.

Elle agrippe son manteau en fausse fourrure qui est son seul vêtement. Jean lui a interdit de le boutonner alors il s'ouvre pour révéler une peau blanche crémeuse qui brille au clair de lune à chaque fois qu'elle trébuche sur ses chaussures à talons hauts.

Jean la conduit plus profondément dans le parc. Une ou deux fois, elle pense entendre des voix, mais ils ne rencontrent personne. Son cœur bat vite dans sa poitrine, mais pas par peur, plutôt par excitation.

*****

Jean lui avait dit de se déshabiller à la maison et de ne prendre que le manteau et les chaussures. Puis il l'avait conduite à la voiture.

Ils avaient roulé dans les quartiers les plus populaires de la ville. Par deux fois, ils s'étaient arrêtés près d'un groupe de prostitués et il lui avait dit de sortir. Il voulait qu'elle se tienne sur le trottoir et qu'elle se fasse passer pour une pute. Il lui avait dit qu'elle devait accepter l'argent d'un inconnu et se laisser baiser dans une ruelle.

Elle avait refusé, elle pouvait tout faire sauf ça. Plusieurs fois dans le passé, il avait ramené des amis à la maison pour qu'elle ait des relations sexuelles avec eux deux, ou juste avec elle pendant qu'il regardait. Mais cette fois, elle ne pouvait faire ce qu'il demandait.

Elle fut soulagée quand il l'entraîna dans le parc. Il voulait la baiser en extérieur. Elle aimait ça, personne ne la faisait jouir comme lui. Elle ne remettait plus en question la façon dont son corps lui répondait, la façon dont elle faisait presque tout ce qu'il lui demandait sans réfléchir.

Elle avait été horrifiée la première fois qu'il avait ramené un ami dans leur appartement. Elle leur avait servi le dîner et alors qu'elle ramassait la vaisselle, Jean l'avait poussé vers le bas sur la table. Il avait remonté sa jupe et enfouit brusquement sa bite en elle. Il avait exigé qu'elle ne porte plus de sous-vêtements, donc elle était toujours nue sous ses jupes. Alors qu'il la baisait brutalement, il continuait sa conversation avec son ami.

Jean ne jouit pas en elle, il la baisa simplement pour montrer à son ami qu'il le pouvait. Alors qu'elle était humiliée et à court de souffle, il se retira et offrit à son ami de le remplacer. Elle était restée immobile, bouche bée, les yeux humides alors que l'homme l'avait tripoté avant d'enfoncer sa bite dans sa chatte.

Elle était humide et bien lubrifiée à cause de Jean. Mais elle rougit profondément de le montrer à cet inconnu. La bite de l'homme la baisa violemment. Elle avait tellement honte de la situation que ce n'est que lorsqu'elle leva les yeux vers Jean qu'elle vit son expression de pur désir. Il continua sa conversation avec son ami comme si elle n'était pas là, mais pendant tout ce temps son visage afficha une pure luxure. La honte qu'elle ressentait se transforma en un fierté bizarre. Elle jouit en haletant et pleurant. L'homme rit et donna de plus grands et violents coups de rein jusqu'à ce qu'il éclate en elle et la remplisse de sa graine.

Dès qu'il eut fini, il referma son pantalon et il partit. Jean revint vers elle après avoir fermé la porte derrière son ami. Il la courba à nouveau sur la table et il la baisa si fort qu'elle cria de joie. Il lui dit qu'il ne pourrait pas s'arrêter de la baiser alors qu'elle était rempli du sperme d'un autre homme.

****

Jean s'arrête près d'une table de pique-nique. C'est un lieu où se réunissent les adolescents pendant la journée. Les graffitis sur les bancs marquent l'endroit comme leur territoire. Sur un des bancs, gît un vieil homme couvert de journaux malgré la chaleur de la nuit. Au bruit de ses talons sur le chemin, le clochard remue et s'éveille. Immédiatement il marmonne des excuses et commence à se déplacer pour s'éloigner d'eux.

Mais Jean lui dit d'attendre. Il s'approche et lui parle doucement. Jeanne le regarde sortir quelque chose de sa poche pour lui donner. Elle regarde l'homme s'éloigner enfin en laissant échapper un soupir de soulagement.

Jean pose le trépied et fixe sa minuscule caméra vidéo de façon qu'elle soit face à la table de pique-nique. Puis il sort un tube de sa poche, sort sa bite déjà raide et commence à enrober son membre de gelée épaisse. Il lui fait signe d'approcher de lui et il la positionne en la penchant profondément sur la table. Ses fesses sont hautes dans les airs. Elle sait qu'il veut l'enculer en premier. Les genoux tremblants, elle se tient immobile, en écartant les jambes autant que possible.

Après avoir vérifié la caméra, Jean s'approche d'elle et lui dit :

- Je veux que tu fasses beaucoup de bruits. Je ne veux pas que tu te retiennes et je veux que tu me supplies pour en avoir encore plus. Compris?

Jeanne hoche la tête. Elle est penchée sur une table de pique-nique sous la lueur orange d'un réverbère et il filme chacun de ses mouvements. La simple pensée qu'il lui fera regarder la cassette plus tard tout en la faisant se caresser est suffisante pour que son jus coule le long de ses jambes. Elle se demande si la caméra enregistre les éclats brillants alors qu'elle le sent couler le long de ses cuisses.

Jean est aussi dur que de la pierre alors qu'il presse sa bite contre son cul. Le lubrifiant épais facilite le passage, mais son trou est toujours serré. La queue est longue et épaisse. Elle grogne. Elle n'avait pas aimé la sodomie avec qui que ce soit avant lui, mais il rend l'acte si vicieux qu'elle aime le supplier de la baiser comme ça.

Quand finalement, il a entré toute sa bite à l'intérieur, elle se met à gémir sérieusement. Il se retire et plonge à nouveau en elle. Il baise son corps fragile rapidement et brutalement. Elle halète et le supplie de continuer, en partie parce qu'il l'a demandé et en partie parce qu'il la baise si fort qu'elle craint qu'il ne jouisse avant que l'orgasme qu'elle sent se développer en elle, explose. Elle se souvient de ses mots et se met à gémir d'une voix rauque.

- Je veux plus de bite! Baise-moi plus fort!

Ses mots résonnent dans le parc, l'obscurité amplifiant le son.

Jeanne est tirée de sa frénésie sexuelle par un mouvement dans l'ombre. Surprise, tout en étant enculée avec force, elle étudie la noirceur environnante. Elle est consciente que le lampadaire au-dessus d'eux doit être comme un phare. Quatre sans-abris sortent alors de l'ombre. Elle sent au même moment que Jean se crispe et qu'il gicle son sperme au plus profond de ses entrailles. Elle rougit profondément en voyant l'air de convoitise sur les visages sales des hommes. Elle veut que Jean ne bouge pas et la cache à leurs regards.

- Messieurs, formez une file! Dit Jean en retirant sa bite de son cul.

En reculant, il tire le manteau de fourrure de ses bars, la laissant entièrement nue et exposée aux clochards.

- Hum, j'espère que vous êtes aussi bien dotés que sales. Glousse Jean.

- C'est pas une blague? Demande le premier.

Même s'il a des doutes, ce n'est pas suffisant pour le décourager. Il est déjà en train d'essayer de descendre son pantalon. Même à deux mètres de distance, Jeanne peut sentir la saleté qui le recouvre.

- Non ce n'est pas une blague. Vous avez entendu, elle veut plus de bite.

Sa main est pressée contre son dos nu afin de la maintenir en place alors que le premier homme se rapproche.

Jeanne est submergée par l'horrible odeur qui l'entoure. Elle crie en sentant sa bite se presser contre sa chatte. Elle est incapable de croire que ça peut arriver, elle ne veut pas penser à la queue sale qui se fraie maintenant un passage en elle.

La bite est grosse et rugueuse contre sa chair sensible. Le clochard doit pousser encore plus fort, car la surprise a fait disparaître son humidité naturelle.

- Je n'ai pas eu de chatte aussi serrée depuis vingt ans. Dit le vieil homme.

Dès qu'il a forcé son membre à l'intérieur, il pose ses mains sales sur le cul blanc et il se met à la pilonner.

- Je ne vais pas tenir longtemps à ce rythme.

- C'est pourquoi je vous ai demandé d'amener des renforts. Dit Jean derrière la caméra.

Jeanne lève la tête à ces mots.

- Oui Chérie, je leur ai demandé de venir ici et je les paie pour te baiser.

- Eh bien, nous l'aurions fait gratuitement, mais l'argent est toujours un plus. Dit un des autres sans-abris.

Jean s'approche du visage de Jeanne et se penche vers elle alors qu'elle grimace et sanglote.

- Baisée par des clochards, toutes ces grosses queues sales qui vont gicler en toit. Je me demande combien de temps il te faudra avant que tu gémisses de plaisir et que tu les supplies tous de continuer. Est-ce qu'elle est grosse cette bite en toi?

Jeanne laisse ses larmes couler et hoche la tête. Oui elle est grosse et la question la rend plus consciente des va-et-vient dans sa chatte. Elle peut sentir l'humidité revenir dans son sexe alors que ses joues brûlent de honte.

- Dépêche-toi Jonas! Dit l'un des autres.

- Hé c'est dommage que Didier ne soit pas là, son énorme bite aurait arraché de grands cris à la donzelle.

- Cinquante de plus si vous allez le chercher! Dit Jean.

Jeanne gémit de honte alors que l'homme qui la baise éjacule dans son ventre.

- Tournons-la pour pouvoir mieux voir! Dit un autre.

De nombreuses mains la tripotent et la tournent sur le dos afin d'exposer sa chatte souillée et ses seins pâles à leurs yeux.

S'agenouillant sur le banc, l'homme suivant enfonce sa bite sale en elle tout en lui souriant avec des dents pourries. Dès qu'il est entré entièrement en elle, il saisit ses seins. Il s'enfonce si fort et si vite que Jeanne est terrifiée à l'idée d'avoir un orgasme alors qu'il la baise.

Son dégoût et sa honte augmentent quand il baisse sa bouche avec ses dents pourries sur sa douce poitrine pâle, sur ses mamelons si sensibles d'ordinaire qu'elle supplie Jean de les prendre dans sa bouche. L'homme fait passer sa bouche sur la totalité de sa poitrine en mordillant la chair de ses seins.

Elle gémit bruyamment de dégoût et d'excitation. Et alors que les clochards encouragent leur pote, avec un cri de honte, elle cède à l'orgasme qui la submerge. Les hommes applaudissent et deviennent plus confiants.

Quand l'homme qui la baise finit par éjaculer et se retire, les autres crient pour deux bites en même temps. Jeanne entend le cri d'encouragement de Jean.

Les hommes la prennent et l'assoit sur une bite dure et sale. La sensation de la saleté qui entre en elle la rend nauséeuse alors que sa chatte commence à se serrer sur le membre. Elle gémit contre la trahison de son corps. Elle tourne la tête pour voir Jean la regarder alors qu'il se caresse à travers son pantalon.

Alors qu'elle est assise sur l'homme le plus sale qu'elle ait jamais vu, elle sent des mains rugueuses s'agripper à ses hanches et une autre bite est forcée à l'intérieur de sa chatte. Ces deux bites l'étirent un maximum. Elle peut sentir chacune de leurs veines ainsi que la saleté accrochée.

L'homme derrière elle place ses mains sur chaque sein et les serre à la base pour leur donner l'apparence de mamelles. Il se presse contre son dos et la pousse vers le bas jusqu'à ce que ses seins soient pointés vers la bouche de l'autre homme. Celui-ci ouvre ses lèvres sales et suce fort ses tétons dardés. Cette vue la consterne et la sensation la ravit.

Puis les deux hommes commencent à bouger, les deux bites se déplacent indépendamment dans sa chatte. Jeanne secoue la tête, mais gémit d'approbation. Elle essaie de résister, mais elle jouit deux fois avant eux. Les hommes applaudissent à chaque fois ce qui augmente sa honte.

Ils applaudissent de nouveau à l'arrivée de Didier. Alors qu'ils la tirent de la table de pique-nique, les deux autres se retirent pour lui laisser la place. L'homme s'allonge alors en ouvrant son pantalon.

Jeanne crie de panique en voyant ce qui ressemble à un bras entre ses jambes. Le sexe est dur et épais comme son poignet et a l'air de mesurer plus de trente-cinq centimètres. Il est plus noir que lui.

L'homme la regarde et devine son envie et sa frayeur. Jeanne est abaissée sur l'énorme gourdin et commence à trembler avant que la moitié ne soit entrée en elle. C'est beaucoup plus gros que les deux bites ensemble. Et avant qu'elle ne soit totalement empalée sur la queue, elle peut en sentir une autre se presser à l'entrée de son cul.

Elle ferme les yeux d'horreur puis les ouvre pour regarder Jean. Celui-ci la regarde avec envie, sa queue tendant son pantalon.

Le désir dans ses yeux et les sensations de son corps s'étirant pour le plaisir de ces hommes sales la font céder à une autre vague d'orgasmes. Elle est reconnaissante que Jean l'ait bien enculé et lubrifié afin de facilité le passage de la longue bite mince qui la pénètre. Quand elle sent les poils pubiens de l'homme toucher ses fesses, elle sait qu'elle est bien remplie. L'idée est suffisante pour la faire gémir.

Ça lui fait mal de bouger sur l'énorme bite, elle peut la sentir essayer de se faufiler dans son ventre. Mais comme elle est serrée autour d'elle, elle ne peut s'empêcher d'essayer de la faire glisser en elle. Alors elle se tord d'avant en arrière entre les deux queues. Les deux hommes lui pétrissent douloureusement les seins, mais ça déclenche en elle des vagues de plaisir jusqu'à ce qu'elle soit inconsciente du contexte. L'envie et la sensation de plénitude sont pour elle les seules choses au monde.

A un moment donné Jean doit changer l'angle de la caméra pour pouvoir bien capturer les deux bites qu'elle chevauche et les deux têtes qui sucent ses seins. Jeanne est presque ivre de plaisir. Quand l'homme dans son cul éjacule, elle sent chaque secousse et chaque jet de sperme sortir de la bite.

L'homme noir la soulève alors et elle gémit consternation. Il la couche à califourchon sur un homme qui vient de s'allonger à côté de lui et qui lui agrippe les hanches avidement. Sa bite est petite en comparaison, mais Jeanne saute sur lui, incapable de faire autrement.

Puis Didier place son gourdin contre son cul et son petit trou étiré et ruisselant de sperme. Il la maintient fermement vers le bas alors qu'il lutte pour entrer dans son petit trou. Il pose une main sur sa bouche quand elle commence à crier de panique. La sensation d'être tenue alors qu'il la perfore la fait jouir à nouveau. Elle a le souffle coupé. Elle est complètement empalée quand le membre est totalement entré en elle. Le noir la pousse contre l'homme en dessous qui se contracte et jouit à l'intérieur de sa chatte ouverte.

Le gros black se retire en laissant son cul béant. Elle pousse un cri déçu pendant qu'il la retourne sur le dos. Il fait signe aux hommes d'avancer.

- Tu veux du spectacle? Demande-t-il avec un sourire conspirateur à Jean derrière la caméra.

Il doit avoir eu un signe de tête, car il commence à donner des instructions à deux gars. Il pousse les jambes de Jeanne en l'air et commence lentement à arquer son dos. Bientôt ses genoux sont à côté de ses oreilles.

- Sucez ses seins comme s'ils avaient du lait! Dit-il aux deux hommes.

Chacun d'eux tient une jambe avec le genoux près de son oreille. Son cul est haut dans les airs et sa chatte est ouverte, humide de sperme.

Avec sa main, le noir guide sa bite dans son cul. Les deux hommes sucent allégrement ses tétons, la faisant pleurer d'épuisement. Jeanne tremble en sentant son cul se remplir plus profondément que jamais avec la grosse bite. Elle regarde avec des yeux fatigués le clochard noir pousser quatre doigts à l'intérieur de sa chatte qui fait des bruits de succions. Il pousse ses doigts d'avant en arrière avant d'insérer son pouce et il commence lentement à mettre toute sa main en elle. Quand il est à l'intérieur, son poignet disparaissant entre les petites lèvres, il fait un signe à Jean.

- Tu veux lui baiser la gorge? Elle se souviendra de ça toujours, donc tu veux peut-être en faire partie.

Sans un mot, Jean se précipite. Il baisse les yeux sur le visage choqué de Jeanne et il ouvre rapidement son pantalon.

Alors que l'homme noir commence à baiser son cul, il bouge sa main au fond de sa chatte. Juste au moment où elle est sur le point de crier, Jean penche sa tête en arrière et enfonce sa bite épaisse dans sa gorge, lui coupant tout espoir de respirer. Se faire baiser la gorge est quelque chose qu'elle trouve passionnant dans des circonstances normales, mais ce soir c'est trop. Elle reste entre les deux hommes alors qu'ils la baisent rudement pendant que les autres les encouragent et que la caméra silencieuse enregistre chaque minute de sa débauche.

Elle jouit encore et encore, elle en perd le compte. John l'étouffe une bonne minute avant d'éjaculer. Et une longue minute plus tard, le noir l'écrase alors qu'il gicle des quantités énormes de foutre dans son cul.

Didier aide Jean à porter sa silhouette nue et molle jusqu'à l'abri à vélo. Ils mettent une pièce dans la machine pour laver les vélos couverts de boue et ils l'aspergent d'eau.

Enfin Jean la porte jusqu'à la voiture. Incapable de se retenir, il la pose mollement sur le capot et il la baise à nouveau, martelant son corps sauvagement. Puis il la dépose sur le siège passager.

Encore excité, il la baise dans la voiture une nouvelle fois quand ils sont arrivés devant chez eux. Elle est presque inconsciente, mais il sent sa chatte se resserrer autour de sa bite alors qu'elle jouit à nouveau. Il est tellement excité alors qu'il n'a pas encore regardé la vidéo.

FIN.

lundi 21 mars 2022

La captive - 3ème partie

 Bande dessinée de Chris

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A suivre...

samedi 19 mars 2022

La punition d'Élodie - 2ème partie

 Texte écrit par Elodie 3

 *****

Je m’appelle Élodie. Je suis une jeune femme mariée de trente-six ans, et mon mari en a quarante-cinq. Nous n’avons pas d’enfant et nous habitons une grande ville de Lorraine. Il y a de cela quelques jours, mon mari m’a surprise en train de « chatter », vers une heure du matin, sur un site érotique, totalement nue devant mon ordinateur.

À la suite de ce fâcheux incident, il a proposé de me punir. Le connaissant bien mais ne sachant pas ce que pouvait être cette punition, et vu que dans cette situation il m’était difficile de refuser, j’ai accepté. C’est ainsi qu’un soir nous sommes allés chez Bernard, un de ses amis, où j’ai subi ma punition, qui ne fut pas désagréable, bien au contraire. Comme je suis une lectrice régulière des histoires publiées sur votre site, j’ai eu envie de raconter ma seconde rencontre avec Bernard, totalement imprévue celle-là.

Fin juin, avec mon mari nous étions invités à la traditionnelle soirée de réception organisée par l’agence qui l’emploie. Cette fois, une ancienne maison bourgeoise avait été louée pour l’occasion. Elle était située en pleine campagne, et avait été récemment rénovée pour accueillir des réceptions. Comme chaque année, il y avait environ deux cents personnes, dont des clients importants.

Compte tenu de ce qui s’était passé quelques jours plus tôt, lors de ma punition, je m’imaginais que mon mari aurait eu des exigences quant à ma tenue, mais non, rien de cela. J’en fus presque déçue.

J’avais acheté pour l’occasion une robe rouge, épaules nues sans bretelles, la partie supérieure en forme de guêpière. Elle était fermée par un zip dans le dos et une rangée de petits boutons très rapprochés devant, plus pour la décoration. Elle dégageait bien le haut de ma poitrine sans toutefois être impudique. Je la trouvais très jolie. Dessous j’avais mis un soutien-gorge à balconnets. Le bas de la robe était très ample, il descendait un peu plus bas qu’à mi-cuisses. J’avais mis la petite culotte assortie au soutien-gorge, des bas auto-fixant et des chaussures rouges à talons. En m’habillant, je me suis dit que ma tenue devrait plaire à mon mari, et j’ai même pensé que cela permettrait de finir la soirée fort agréablement.

Lorsque nous sommes arrivés, il y avait déjà beaucoup de monde et on s’est retrouvés devant le buffet avec un petit groupe de collègues de travail de mon mari et leurs épouses. Une grande salle avait été aménagée pour danser, un orchestre animait la soirée.

La conversation n’était pas très passionnante à mon goût, il était question d’un contrat. J’écoutais distraitement mon mari en grande discussion avec l’un de ses supérieurs et un client accompagné de son épouse. Je m’ennuyais.

Sans que je m’aperçoive de son arrivée, son ami Bernard vint me saluer, très courtoisement. Même un peu trop car me fit un baisemain, que je trouvai un peu gênant devant les autres femmes. Puis il se mit à discuter avec mon mari et son client. Mon mari dit à Bernard qu’il était désolé de parler travail devant moi durant cette soirée et lui demanda de bien vouloir s’occuper de moi. Évidemment, Bernard s’empressa d’accepter.

— Occupe-toi bien d’elle, lui dit mon mari.

Il se tourna ensuite vers moi.

— Voilà ton chevalier servant d’un soir, sois docile, ma chérie, tu ne le regretteras pas ! me dit-il devant les autres femmes qui m’entouraient, ce qui me mit dans l’embarras.

Bernard vint se placer à mes côtés et me prit par la taille. Je vis mon mari disparaître avec ses compagnons, ce qui incita Bernard à surenchérir en direction des autres femmes :

— Ce soir, Élodie ne peut rien me refuser, je l’enlève.

Il m’entraîna aussitôt dans le grand salon. Après quelques danses, comme Bernard danse très bien, j’avais retrouvé ma bonne humeur et je commençais à apprécier sa compagnie. Il me proposa de faire une pause et m’offrit une coupe de champagne, j’étais rassurée.

Mais assez rapidement il me rappela que je n’étais pour lui qu’une femelle et une salope. J’en étais gênée car j’avais l’impression que les autres personnes situées près de nous percevaient ses paroles. J’évitais de regarder autour de moi. Il me dit ensuite que ma tenue ne lui convenait pas et il me demanda de le suivre pour la rectifier, en me rappelant la consigne de mon mari.

Il m’entraîna dans un couloir et me fit entrer dans une pièce. Après avoir allumé la lumière et fermé la porte, il vint se mettre derrière moi et défit le zip de ma robe, puis mon soutien-gorge qu’il fit voler sur le bureau qui occupait cette pièce.

— Ça, c’est de trop ! me dit-il.

Il referma le zip. Après avoir fouillé et trouvé dans le tiroir du bureau une paire de petits ciseaux, il se mit devant moi et fit sauter les premiers boutons du devant de ma robe, créant ainsi un décolleté qui laissait voir la naissance de mes seins. Ensuite, fier de lui, il fit un pas en arrière.

— C’est mieux ainsi, une femelle doit toujours être disponible. Chaque fois que tu seras en ma présence, tu dois t’arranger pour être disponible, sinon avec ton mari on te punira.

À vrai dire, cette situation m’excitait, et je comprenais la signification du mot disponible dans sa bouche.

— Voyons maintenant dans quel état est cette femelle, ajouta-t-il.

Il s’agenouilla devant moi et fit remonter sa main le long de ma jambe, doucement. Il me fixait dans les yeux et exerçait une pression pour m’inciter à écarter les jambes.

— Écarte, salope, répétait-il doucement en souriant.

J’étais terriblement excitée et trempée. Avec ses deux mains il fit descendre ma culotte et la lança vers le soutien-gorge sur le bureau.

— Voilà, femelle. Maintenant tu es disponible et présentable.

Sa main fouillait mon entrecuisse et je gémissais sous ses caresses.

— Oh la salope, elle en redemande…

Il continuait à me palper le sexe, ses doigts écartaient mes lèvres intimes, me pénétraient et revenaient exciter mon bouton. Pour lui faciliter la tâche j’avais ouvert mes cuisses au maximum et je m’étais légèrement baissée. J’étais prête à tout accepter, car la jouissance commençait à venir. Mais il ôta brusquement sa main, me laissant ainsi dans l’attente du plaisir.

— Cette femelle est disponible pour la saillie, dit-il.

Il se leva et me fit m’agenouiller, en appuyant sur ma tête. Il me demanda, de manière très crue, de sortir son sexe pour le sucer. Je l’ai pris en bouche et l’ai sucé avec avidité. J’ai passé le bout de ma langue sur son prépuce décalotté, je l’ai pompé et quand il fut sur le point de jouir, j’ai senti son sexe palpiter. Mais au lieu de pénétrer plus fort ou de sortir, comme le fait mon mari, il se mit au bord de mes lèvres pour gicler abondamment. J’en avais plein la bouche !

N’appréciant pas trop le goût du sperme, et le sien n’étant pas particulièrement goûteux, je n’ai pas pu réprimer mes sentiments et j’ai fait la moue. Mais je dus, sur son ordre, avaler sa semence particulièrement âpre puis nettoyer son sexe avec ma langue, ce qui prit un peu de temps car après la jouissance il était très sensible et moi j’avais un peu de mal à avaler cela !

Il m’interdit de me rincer la bouche, et je dus garder ce goût désagréable.

En retournant vers la salle de danse, je m’aperçus que ma robe glissait. Discrètement, je tentai de la remonter. Il s’en aperçut et me réprimanda. J’essayai vainement de gonfler la poitrine pour limiter la descente, mais à mon arrivée dans la salle j’avais l’impression d’avoir les tétons dégagés. Je n’osai pas m’en assurer par moi-même et je regardai les autres personnes pour déceler dans leur regard l’effet de ma tenue.

Il me fit à nouveau danser. Profitant de la pénombre lors de l’un des rares slows, il me caressa les fesses en insérant sa main sous ma robe. Je fermai les yeux car c’était agréable mais je n’osai croiser le regard des autres danseurs. Blottie contre lui, la robe probablement remontée par sa main jusqu’à mes fesses, je me laissai conduire. Je me sentais bien et je le laissai faire.

La petite série de slows achevée, la lumière revint. Il retira sa main et m’entraîna dans la salle du buffet. Je ne voyais toujours pas mon mari. Nous avons rejoint un couple, la cinquantaine, visiblement connus de Bernard qui les appela par leurs prénoms : Odette et Marc-Antoine. On nous servit une coupe de champagne. Odette félicita Bernard pour le choix de sa cavalière.

— Ce n’est pas ma cavalière, c’est une femelle que son mari m’a confiée, lui répondit Bernard.

Très embarrassée par la tournure du dialogue, j’ai tenté de sourire et je me suis mise à regarder le sol.

— Tu as vu, elle ne cache pas ses tétons. Comme ils sont longs ! dit Odette à son mari.

Là je réalisai que le haut de ma robe avait glissé et que mes seins étaient en grande partie visibles.

— Ce sont des mamelles, que j’ai fait gonfler il y a quelques jours, lui répondit Bernard. 

Cette réplique les fit rire, moi j’aurais voulu m’échapper.

— Salope, lève la tête et regarde Marc, je veux qu’il voit ton visage, me dit Bernard.

J’étais confuse, rouge de honte et contrainte de lever les yeux. Je vis alors leurs regards illuminés et je m’aperçus que nous étions rejoints par trois autres couples, un peu plus jeunes. Je me retrouvai au centre du groupe, exhibée en quelque sorte. Bernard expliqua à Marc-Antoine et à Odette qu’il me considérait comme une femelle soumise et disponible. Il me demanda ensuite de faire un tour sur moi-même, ce que je fis. Au fur et mesure qu’il parlait, cette situation d’exhibition forcée m’excitait terriblement, et telle une automate j’obéissais sans même réfléchir aux conséquences de mes actes. En fait, mon corps avait faim de jouir et instinctivement commandait mes réactions. Je ne n’étais plus un être humain normal, j’étais la femelle de Bernard, je sentais que j’étais terriblement humide et j’avais une énorme envie d’être prise. J’étais incapable de réagir autrement.

J’entendis comme dans un rêve Bernard expliquer que je n’étais qu’une femelle en chaleur, et que si l’une de ces dames voulait faire un petit cadeau à son mari chéri, cet heureux élu pourrait constater ma soumission. Cette proposition fit beaucoup rire les quatre femmes qui m’entouraient ; les avis étaient partagés et cela anima une petite discussion. Perdue dans un état second je ne distinguais plus leurs paroles, je ne percevais plus que la voix de Bernard, comme si j’avais été hypnotisée.

Enfin le bruit de fond des voix de femmes s’arrêta et j’entendis distinctement la fin de l’échange entre Odette et Bernard. Odette acceptait la proposition et demandait à son mari Marc-Antoine de constater la disponibilité de la femelle.

Marc-Antoine est un homme ayant franchi le cap de la cinquantaine, cultivant un style gentleman anglais. Il s’approcha de moi pendant que les autres fermaient le cercle.

— Tu crois qu’elle est très humide ? demanda Odette à Bernard.

Marc-Antoine fléchit pour glisser sa main entre mes jambes. Instinctivement je repris la position que j’avais devant Bernard dans le petit bureau, et j’entendis Bernard me féliciter. La main remontait le long de ma jambe en entraînant ma robe, dévoilant ainsi aux autres le haut de mes bas et mes cuisses. Elle arriva au contact de mon sexe. Comme l’avait fait un peu plus tôt Bernard, Marc-Antoine me fouilla un peu en écartant mes lèvres intimes.

— Elle ruisselle, la salope, dit-il.

Il continuait d’explorer mon intimité, encouragé par sa femme qui lui demandait de commenter son exploration, ce qu’il faisait avec élégance, sans mots crus. Odette lui demanda ensuite de s’interrompre pour laisser la place à un autre. Je sentis avec regret sa main quitter mon intimité car je n’avais toujours pas joui. Les voix autour de moi étaient feutrées, le cercle bien fermé, les autres invités semblaient ne pas voir. Bernard demanda aux trois autres femmes si elles souhaitaient faire le même cadeau à leur chéri.

Derrière moi j’entendis un oui discret, je me retournai et je vis une jeune femme ayant la quarantaine, dans les bras de son mari. Elle se dégagea puis lui prit le bras et l’incita à découvrir mon intimité. L’homme ne se fit pas prier et je me laissai à nouveau caresser par cette main inconnue, en fixant cette femme dans les yeux.

La caresse était agréable. Après s’être glissé entre mes lèvres intimes, le doigt sollicitait mon clitoris. Je me mordis les lèvres de bonheur, ce qui fit sourire cette femme. Je sentis ensuite un doigt pénétrer mon vagin et je gémis doucement.

— Arrête avant que cette salope jouisse, demanda la fille à son mari.

Ce qu’il fit très bien dès qu’il s’aperçut que le plaisir commençait à monter en moi. Il retira sa main, me laissant dans un état pas possible alors que ma robe recouvrait à nouveau mes jambes. Il montra ses doigts trempés à l’assistance, sa femme lui prit la main pour les sucer avant de l’embrasser longuement sur la bouche, sous les applaudissements du petit groupe. Ce dernier, n’étant plus discret, se disloqua et je restai avec Bernard, le ventre en feu. C’est alors que je vis que mon mari avait rejoint le groupe, et qu’il avait probablement assisté à au moins une partie du spectacle !

Bernard lui dit que j’étais en chaleur. Accompagnée par les deux hommes, je quittai la fête. Arrivée à la voiture, mon mari voulu m’embrasser, il me plaqua contre celle-ci en me tenant fermement par les épaules et sa bouche s’empara de la mienne. Pendant qu’il m’embrassait, une main se glissa entre mes cuisses que j’ouvris instinctivement. Elle se mit à me caresser le sexe. Bernard profitait de la situation, et mon mari le laissait faire. Il me fit ensuite rentrer dans la voiture et Bernard nous quitta après m’avoir demandé de nettoyer ses doigts à l’aide de ma bouche.

J’ai dû attendre d’être rentrée à la maison pour obtenir le plaisir que mon corps attendait depuis un bon moment.

FIN

jeudi 17 mars 2022

Bonnie se fait partouzer Ch. 02

Traduction par Coulybaca d'un texte de Black Demon.

 *****

Clignant des yeux alors qu'elle essayait de reprendre ses esprits dans la grande chambre légèrement éclairée, Bonnie frémit alors que l'adorable Nasha Jones, l'hôtesse de cette soirée de débauche, lui tenait la tête une main sur la nuque l'invitant à savourer la délectable potion qui la droguait.

Regardant sa souriante hôtesse droit dans les yeux, Bonnie souffla :

- Jack... Où est Jack ? Où se trouve mon mari ?

Son avenante hôtesse lui sourit sans lui répondre alors que des mains calleuses caressaient l'intérieur de ses cuisses, elle se mit à trembler en réalisant qu'un pénis viril parcourait sa fentine cherchant sa cible avant de s'enfoncer sans effort apparent dans sa chatoune accueillante.

Nasha se pencha alors vers son visage l'avisant :

- Ne te ronge pas les sangs chérie... J'ai dit à ton petit mari qu'apparemment tu étais allergique à la boisson que je t'ai offerte, qu'elle t'avait affectée profondément, et que, de ce fait je t'avais invitée à te reposer dans une chambre d'amis. J'ai ajouté que tu dormais profondément et que tu étais en de bonnes mains... Comme celle dans lesquelles tu te trouves maintenant ! J'ai terminé en lui disant que tu irais faire un tour chez toi cet après-midi...

- Cet... Cet après-midi... Demanda Bonnie épatée de voir que tant de temps s'était écoulé.

- Heu... Sait-il... Sait-il ce que... Ce j'ai fait ? Interrogea-t-elle éperdue à Nasha.

Bien qu'elle aurait adoré voir le visage de cette innocente oie blanche afficher l'horreur de savoir que son mari avait assisté à sa déchéance, elle rétorqua :

- Non, il n'a aucune idée de qui s'est passé dans cette chambre... Il ne sait pas que tu as accueilli les trente centimètres de l'énorme bite de Mort dans ta chatoune distendue... Il ne sait pas quelle fieffée salope il a épousée... Il ne sait rien de la nuit de débauche de sa jeune femme supposée si innocente et fidèle ! Il ne sait pas plus qu'une soixantaine de bâtards pervers ont profité des charmes de sa chienne de femme ! Chinois, Japonais, Coréens, Indonésiens, Vietnamiens, Philippins, Thaïs... Tu as essayé toute la palette des asiatiques cette nuit !

- Oohhhhhhhh... Ohhhhhhh... Oh, mon Dieuuuuuuuuuuuuu ! Palpitait Bonnie alors que l'homme posté entre ses cuisses coulissait avec vigueur dans sa petite chatte inondée.

Ses sphincters vaginaux se crispaient et se décrispaient sur sa bite alors que son jus s'écoulait à flot de sa foufoune. Il se tétanisa soudain et gicla profondément enfoncé dans sa grotte embrasée. Jamais Bonnie ne s'était jamais sentie aussi dépravée alors que l'Asiate lui susurrait :

- Oh ma petite chérie d'américaine, Jim Tseu serait très honoré d'être celui qui t'implante un petit bébé jaune dans le ventre !

Ce qui venait de lui donner tant de plaisir quelques instants plus tôt la révulsait maintenant alors qu'il venait de remplir sa chatoune de son infâme semence active. Cherchant à reprendre haleine alors qu'elle serrait maintenant ses muscles vaginaux pour l'expulser de sa chatte, elle tentait de rassembler ses esprits pour réfléchir lucidement.

- Dieu merci, Jack ne sait rien de mon infidélité... Que j'ai eu des rapports sexuels avec un autre homme... D'autres hommes, un nombre incalculable ! Frémit-elle soudain.

- Presse-toi Jim Tseu, magne-toi le cul c'est mon tour maintenant !

- Ca devrait être le mien... Dao Pang devrait être celui qui... Comme ils disent... Qui engrosserait cette pute américaine ! Entendit-elle soudain un autre asiatique intervenir.

Elle parvint alors à expulser la bite ramollie de Jim Tseu de sa chagatte, ainsi qu'un flot de foutre crémeux qui s'écoulait de sa foufoune béante alors que déjà une nouvelle mentule bandée se plantait dans sa fente engorgée de foutre.

Quelques secondes plus tard, le nommé Dao Pang la labourait vigoureusement de sa bite fine et allongée sans se soucier de lui donner du plaisir mais de prendre le sien en abusant de ses charmes.

- Ahhhh... Ahhhhhh... Ahhhhhhhhhhh... Grogna-t-il soudain alors qu'une bonne dose de sperme éclaboussait son intérieur.

Une fois que Dao Pang eut fini de projeter son ignoble jus au fond de sa foufoune asservie, un autre homme l'enfourcha et se mit à son tour à la ramoner énergiquement. C'est alors qu'un autre enfonça ses doigts dans sa chevelure blonde lui tournant la tête sur le coté et une bite répugnante fora son chemin entre ses lèvres. Bonnie reconnut la voix, elle appartenait au chef de la délégation chinoise, c'était le nommé Wo qui lui dit :

- Eh oui ma chérie, c'est le moment de te remettre à sucer une bite ma chère madame Speers ! Rappelle-toi comment j'ai déjà englué ta langue agile ma chérie, cette fois je vais te faire un onctueux masque facial !

Un asiate après l'autre, chaque homme eut la fierté de se la faire de façon conventionnelle lui disant çà chaque fois à quel point ils seraient honorés d'être celui qui l'engrosserait.

Apparemment la queue s'avérait trop longue pour certains impatients et Bonnie se retrouva couché sur un homme alors qu'un autre la sodomisait vigoureusement alors qu'un dernier lui fourrait sa bite entre les lèvres. On lui saisit les poignets et ses mains se retrouvèrent sur deux pines qu'elle entreprit machinalement de masturber.

L'un d'eux était si gros et laid que Bonnie avait des nausées rien qu'à la vue de son gros ventre débordant de son caleçon. Elle était maintenant seulement capable de rester à genou, on lui tenait les chevilles alors que des pervers glissaient leurs bites contre ses soyeuses plantes de pieds, tout de suite elle les sentit éjaculer sur ses orteils.

Comme la majorité de ces asiatiques n'avaient jamais eu la possibilité de se faire une ravissante américaine auparavant, et de plus une somptueuse blonde, ils essayaient tous de satisfaire des phantasmes sexuels refoulés depuis de nombreuses années.

Une paire d'entre eux n'avait jamais du voir de chevelure blonde aussi soyeuse, ils adorèrent voir la jeune femme grimacer alors qu'ils enveloppaient leurs bites de ses longues mèches d'or les testicules frottant sur son front, ils déchargèrent alors leur foutre dans sa chevelure dorée. Et, en tableau final, Bonnie grimaça et tourna la tête alors qu'une douzaine de bites projetaient leur gourme sur son visage, ses cheveux, ses nichons et son cou.

Ils lui jetèrent alors deux serviettes sèches afin qu'elle se nettoie.

C'est vers trois heures de l'après-midi, alors que Jack s'était effondré sur leur sofa après avoir trop bu de scotch lorsqu'une plume lui chatouilla le nez, le réveillant en sursaut. Clignant des yeux, il avala sa salive à la vue de Nasha Jones lui souriant, une plume entre les doigts.

- Ma femme... Où est-elle ?  Où est Bonnie? Balbutia-t-il incompréhensif.

- Oh elle est à l'étage, elle se rafraîchit ! Elle avait grand besoin d'une bonne douche... Une douche vaginale... S'il est encore temps ! Elle avait peur de rentrer avec Wo et ses amis, elle avait peur que vous soyez en colère contre elle, d'autant plus que sa robe était couverte de foutre ! Aussi nous a-t-elle priée de la ramener, elle nous a invité à souper pour que les choses se passent au mieux ! Après tout, c'est elle qui a vous a permis d'obtenir une si importante promotion !

Quelques secondes plus tard, Abner Jones apparut et lui tendit un bon verre de scotch écossais. Deux scotchs plus tard, Jack avala sa salive en voyant sa superbe femme apparaître au bas de l'escalier, elle était toujours aussi élégante dans la tenue sombre qu'elle avait revêtu. Un frisson d'excitation couru au travers de son corps alors que Bonnie se penchait sur lui pour lui donner un petit baiser sur les lèvres, lui disant :

- Pourquoi n'irais-tu pas prendre une douche rapide pour te rafraîchir un peu, je prendrai soin de ton patron et de sa femme le temps que tu redescendes !

Hochant la tête en signe d'approbation, il remonta l'escalier pour prendre une douche et se remettre les esprits en place. Il saisit un caleçon propre dans sa penderie puis il gagna la salle de bain. Il enleva sa chemise en entrant dans la salle de bain et ouvrit la corbeille à linge pour y jeter ses effets sales. Il se figea alors à la vue de la robe beige de sa femme roulée en boule, avec au-dessus sa petite culotte blanche qu'il avait vu Wo lui ôter pour la porter à ses narines. Saisissant la petite culotte entre pouce et index, la fragile parure semblait lourde et empesée, elle était couverte d'une épaisse croûte et sévèrement décolorée par le jus de corps d'homme qui l'avait souillée. La portant à ses narines, Jack frissonna en inhalant la lourde flagrance de sperme, plusieurs hommes s'en étaient servis comme d'un chiffon pour se nettoyer la bite, le fond était détrempé par les flots de foutre mêlé à de la cyprine qui s'étaient échappés de la chatte engorgée de Bonnie.

Il se doucha et se rasa avant de se vêtir élégamment et de redescendre au rez-de-chaussée, il avala un nouveau scotch alors que Bonnie lui tendait un plat de steaks qu'elle venait de sortir du réfrigérateur afin qu'il se charge de les faire griller. Alors que Nasha se penchait sur lui alors qu'il s'exécutait, il entendit soudain Bonnie l'informer :

- Chéri, le temps que tu prépares la braise pour cuire les steaks je vais présenter la maison à Abner !

Jack se retourna pour voir sa ravissante épouse précéder son patron dans l'escalier. Se penchant sur sa gauche, il essayait de voir au-delà de la cage d'escalier qui lui bouchait la vue. Jack aurait juré que la main noire de son patron se promenait sur la croupe de son épouse avant qu'ils ne disparaissent dans l'escalier. Déjà Nasha s'approchait de lui, lui murmurant à l'oreille :

- Vous êtes-vous rendu compte que mon cher mari veut profiter des charmes de votre somptueuse épouse ?

Jack allumait le barbecue, d'abord des petits morceaux de bois puis, le charbon de bois, levant les yeux vers leur chambre conjugale, il voyait la chevelure blonde de sa femme et son dos. Il cligna une nouvelle fois des yeux, il aurait juré que s'il avait d'abord vu le dos de la robe de sa femme, il voyait maintenant sa croupe blanche. Sa mâchoire lui en tomba en voyant la main noire de son patron caresser la peau lisse et soyeuse de ses fesses. 

Effarouché, il sentit soudain Nasha empoigner sa bite rigide au travers de son pantalon, il avala sa salive tandis que la femme d'Abner l'informait :

- Sur le chemin il m'a dit qu'il voulait se faire ta femme sur son lit conjugal, et regarde maintenant !

Alors que les deux personnages disparaissaient de leur vue, elle sortit de son sac son téléphone qui sonnait. Elle l'alluma et regarda l'écran, elle lui souriait de toutes ses dents alors qu'elle jetait un œil sur la retransmission en cours. Puis elle tourna l'écran vers lui demandant.

- Ne trouves-tu pas cette chambre familière ?

Il se pencha en avant pour mieux voir, il constata qu'il s'agissait d'un couple dans une chambre. Se penchant encore plus il comprit pourquoi cette chambre lui semblait si familière, c'était leur chambre conjugale au premier étage. A l'insu de sa femme qui ne soupçonnait rien, après avoir pressé le bouton d'appel de sa femme, Abner avait posé son portable sur une commode, dirigé vers eux, la caméra démarrée. Sur le petit écran on voyait clairement l'élégant noir presser contre lui sa femme qui le suppliait :

- Monsieur Jones... Abner... Je vous en prie, mon mari doit attendre que nous redescendions ! Il... Il va se demander où nous sommes !

Mais cela n'empêchait pas son patron de lui descendre sa robe dénudant ses deux nibards, Jack entendit ensuite sa femme défaillir alors que son patron embouchait ses tendres tétons.

- Ooooooooohhhhhhhhhh... Oh, monsieur Jonesssssss... Ohhhhhhhhhhhhhhhh ! Gémissait Bonnie alors que sa robe et sa petite culotte de dentelle noire étaient repoussée sur ses jambes.

Elle était maintenant allongée sur leur lit, elle ne portait plus que ses hauts talons noirs, ses soyeuses jambes blanches contrastaient extraordinairement avec le corps noir ébène de son patron. Comme Nasha avait mis le portable sur haut-parleur, Jack entendait sa délicieuse femme couiner :

- Ohhhhhhhhh, ouiiiiiiiiiiiiiii... baisez-moi... bourrez-moi votre grosse bite dans la chatoune ! Oh mon Dieuuuuuuuuuuu... Ouiiiiiiiiiiiiiiiii !

Jack ne pouvait s'empêcher de penser :

- Comment les choses pouvaient-elles être si différentes d'un jour à l'autre !

Dans cette courte période du temps, moins d'un jour de fait, Jack avait vu sa femme innocente se faire baiser par un nombre incalculable d'étrangers. Pantelant d'excitation il voyait maintenant sa femme et son patron forniquer allégrement à l'étage, alors que Nasha le branlait lascivement. Sa femme avait ses cuisses blanches verrouillées dans le dos ébène de son patron, son patron se penchait sur elle bourrant sa grosse bite jusqu'à la racine dans sa chatte juteuse. Il se tétanisa soudainement. Quelques secondes plus tard Jack explosa entre les mains de Nasha en entendant sa femme hurler :

- Oh oui... oui... Gicle dans ma chatteeeeeeeeeee !

L'éjaculation de Jack fut bien prêt d'éteindre son barbecue qui venait de prendre un bon départ.

Cette nuit même, une fois leurs hôtes repartis, Bonnie était un peu stressée, elle avait peur que son mari ne soupçonne ce qui s'était passé la nuit dernière pendant la fête chez son patron. D'après ce que lui avait dit Nasha, Jack n'avait rien vu et ne se doutait même pas de son infidélité, quant à elle-même elle mettait cette nuit de dépravation sur le compte de la trop grande absorption d'alcool. Elle ne soupçonnait même pas que ses boissons avaient été droguées cette nuit là, ce qui lui avait fait perdre tout contrôle de soi en levant ses inhibitions tout en l'excitant prodigieusement. Elle ignorait tout autant que son gentil mari avait observé sa prestation avec le patron de son mari, dans leur lit conjugal cet après-midi.

Serrant ses cuisses l'une contre l'autre, elle frémit en constatant que le foutre d'Abner continuait à s'écouler de sa foufoune embourbée. En allant se coucher cette nuit là, Bonnie tremblait se demandant si son mari aurait encore envie de la toucher, s'il l'embrasserait encore s'il connaissait son infidélité. Lorsqu'il l'embrassa avec la langue, Bonnie pensa :

- Que ferait Jack s'il avait vu l'importance de la dose de foutre que le gros et gras Wo lui avait injecté en pleine bouche.

Pendant ce temps Jack grignotait son cou, mordillait ses mamelons et descendait plus bas sur son ventre.

- Oh mon Dieu... Il va me le faire ! Frissonnait-elle alors que son mari humait les flagrances intimes de sa foufoune.

Elle était un peu choquée, Jack n'avait jamais manifesté le désir de faire de telles choses. Comme elle écartait docilement les cuisses, elle sentit sa chaude haleine courir sur sa fentine, elle frémit à l'idée que sa chatoune était encore engorgée de l'épaisse semence de son patron.

- Oh Jack... Ohhhhhhhhhhhhhhhh... Bouffe moi la chatteeeeeeeeeeee ! Hurlait-elle alors qu'il lapait la chaude semence de son patron.

Tout au long de la semaine suivante, Bonnie fut bourrelée de culpabilité, se demandant comment tout sens moral pouvait l'avoir aussi subitement abandonné. Elle se blâmait de tout ce qui était arrivé, se gourmandant de n'être rien d'autre qu'une fieffée salope, une pute incapable d'interdire au patron noir de son mari de profiter largement de ses charmes, de s'être laissée baiser dans son lit conjugal, à quelques pas de son mari qui préparait le barbecue du soir. Que lui arrivait-il ? Pourquoi s'était-elle laissée faire par tous ces bâtards dépravés ! N'était-elle donc qu'un jouet sexuel pour tous ces hommes ! Lorsqu'un homme me regarde pourquoi se demande-t-il immédiatement s'il pourra se glisser entre mes cuisses ? Se demande-t-il à quoi je ressemble toute nue ? Se dit-il que je dois être une femme facile ? Se demandait-elle assise à son bureau, la tête perdue dans ses pensées moroses, c'est alors qu'elle reprit pied dans la réalité se rappelant qu'elle était à son poste de travail.

Elle rougit en voyant monsieur Bently, le vieil associé principal, âgé de 72 ans, qui la regardait fixement, elle lui retourna un sourire. Comme elle se retournait pour taper une lettre sur son ordinateur, elle ôta un mouvement du coin de l'œil, elle aurait juré que monsieur Bently la toisait du regard à cet instant. Tout en tapant sa lettre, elle se gourmanda de ressentir une certaine excitation et croisa ses longues jambes l'une sur l'autre.

Bonnie se mordit les lèvres, alors qu'elle laissait audacieusement pendiller un de ses hauts talons au bout de son pied, elle aurait juré avoir entendu le vieux Bently haleter tout le long du chemin de son bureau.  Se demande-t-il, s'il pourrait partager mon lit ? Se demande-t-il ce que cela fait de baiser une jeune femme deux fois plus jeune que soi ? M'imagine-t-il nue au lit avec lui, verrouillant mes jambes dans son dos alors qu'il enfouirait sa vieille bite dans ma chatoune ? Se pourrait-il qu'il me voit gagner son bureau, m'agenouiller pour lui tailler une pipe ? Se demandait-elle lubriquement.

- Mon Dieu, à quoi suis-je en train de penser ? Un homme plus âgé que mon père et je me demande si cela me prendrait longtemps pour faire bander sa vieille bite en refermant mes mains sur sa hampe ! Se gourmandait-elle.

Deux semaines plus tard, par un chaud après midi du samedi, Jack réconfortait sa femme en larmes aux funérailles de Phil Bently. Comme ils offraient leurs condoléances à la famille, la veuve de monsieur Bently remercia Bonnie pour tout ce qu'elle avait fait pour monsieur Bently alors qu'en voyage, il avait appelé sa chambre pour réclamer son aide, se plaignant de douleurs dans la poitrine. Apparemment il avait une seconde attaque cardiaque, une attaque massive lorsqu'il fut emmené à l'hôpital, malgré tous les efforts des secours à l'hôpital ils ne purent rien faire pour le sauver. Bonnie sanglotait, la veuve l'étreignait fiévreusement lui disant :

- Vous avez fait tout ce que vous avez pu pour lui venir en aide ! Et je vous en remercie ma chérie !

Les larmes de Bonnie ne traduisaient pas que son désespoir de voir monsieur Bently trépasser, mais étaient l'expression de sa culpabilité. Monsieur Bently avait bien appelé sa chambre mais pas pour réclamer une assistance médicale, ce n'était qu'une histoire inventée pour éviter le scandale. En fait, il n'avait pas eu à l'appeler dans sa chambre puisque Bonnie se trouvait avec lui.

La crise cardiaque n'était pas prête de s'effacer de sa mémoire, elle ne s'effacerait jamais en fait, elle était gravée de façon indélébile dans son esprit. Son cœur avait cédé au stress causé par une excitation sexuelle excessive au mauvais moment... Juste à l'instant où il éjaculait dans sa chatoune alors qu'elle verrouillait ses chevilles dans son dos. La vie avait littéralement était extirpée du corps du vieillard, mais quelle agréable façon de trépasser pour un vieillard, son dernier acte avait été de se vider les couilles dans la chatoune d'une ravissante blonde.

Bonnie n'avait pas pris immédiatement conscience du problème de monsieur Bently alors qu'il râlait :

- Bonnie... Oh, Bonnie... Je jouis... Ahhhh... Ahhhhhhhh... Ohhhhhhhhhhhhhhhhh... mon Dieuuuuuuuuuuuuuuu !

Alors qu'il s'effondrait, Bonnie caressait le corps du vieillard qui convulsait serrant ses sphincters vaginaux sur sa bite pour lui soutirer sa dernière goutte de foutre. Ce n'est que lorsque sa bite eut glissé hors de sa chatoune crispée et qu'elle le repoussait sur le flanc qu'elle prit conscience du problème. Dès la découverte du grave problème de santé de monsieur Bently, Bonnie avait tout de suite téléphoné à la réception pour leur demander d'appeler une ambulance les avisant que son patron avait une crise cardiaque.

Une fois cela fait Bonnie avait réalisé qu'il ne serait sûrement pas bon pour elle que l'on apprenne que la crise cardiaque de monsieur Bently avait eu lieu lors d'une relation sexuelle avec une femme, qu'il était en train de baiser avec elle à cet instant fatidique. Elle alla chercher un gant de toilette humide dans la sale de bain de la chambre pour laver le sexe de son patron, nettoyant les restes de semence et de cyprine qui le couvrait, puis elle lui avait remis son caleçon et le pyjama qu'il portait un peu plus tôt.

Avant de prendre un taxi pour suivre l'ambulance, elle s'était rendue à la réception pour obtenir une chambre séparée pour elle-même, histoire de sauver les apparences. Elle s'empressa de transférer ses affaires dans sa chambre puis elle se rendit à l'hôpital pour donner les coups de fil nécessaire pour informer le cabinet de l'attaque cardiaque de monsieur Bently. La mise en scène était suffisante pour qu'ils croient tous qu'il avait eu une crise cardiaque alors qu'il se trouvait seul dans sa chambre.

Lorsque son fils et un de ses partenaires vinrent emballer les affaires de monsieur Bently qui se trouvaient dans sa chambre, pas un ne se douta de ce qui s'était vraiment passé.

Les funérailles terminées, Bonnie se trouvait profondément plongée dans ses pensées en se remémorant l'excitation de son patron lorsqu'ils étaient arrivés dans cet hôtel et que Bonnie avait demandé les clefs de la suite réservée à monsieur Bently. Le vieux bonhomme l'avait fixé surpris en entendant cela et elle l'avait senti trembler d'excitation lorsqu'elle lui avait pris la main alors qu'ils prenaient l'ascenseur.

Une bouteille du vin préféré de monsieur Bently avait été mise dans le seau à glace avant leur arrivée, le vieux gaillard avait ouvert la bouteille et servit leurs deux verres en un rien de temps. Le vieux schnock n'entendait pas perdre de temps, et sa main s'égarait déjà sur ses longues jambes gainées de nylon, les caressant de la cheville à l'entrejambe d'un lent mouvement lascif. Très rapidement ses mains qui étaient montées sous sa jupe entreprirent de rouler ses collants bleus marines sur ses cuisses.

Alors qu'il continuait à la caresser lascivement Bonnie réalisa qu'il était fétichiste des longues jambes sexy en sentant monsieur Bently s'emparer de son gros orteil qu'il se mit à sucer voluptueusement avant de lécher l'espace entre ses orteils puis de prendre l'orteil suivant en bouche. Il les mignota un orteil après l'autre, avant d'engouffrer les cinq doigts de pied réunis dans sa bouche puis de s'occuper de l'autre pied et de lécher ses soyeuses plantes de pied. Puis centimètre après centimètre il traça son chemin partant des chevilles, pour remonter sur ses mollets, ses cuisses avant d'atteindre le petit trésor doré situé entre ses cuisses.

Comme le vieux schnock frottait son visage ridé contre dans sa toison parfumée Bonnie verrouillait ses pieds couverts de salive dans son dos histoire de l'encourager alors qu'elle pesait de la main sur sa nuque. Dans leur cabinet elle avait entendu dire que monsieur Bently employait une langue experte devant les tribunaux, mais elle réalisait maintenant que cette sentence pouvait aussi s'appliquer à son art du cunnilingus.

- Oh monsieur Bently... Oh oui...Ouiiiiiiiiiii... Oh bouffez-moi la chatte ! Bouffez-moi le gazon ! Ahhhhhhhhhh..... Pantelait-elle s'arquant pour mieux se livrer à ses caresses.

Et lorsque le vieillard si talentueux s'empara de son clito sensibilisé il propulsa Bonnie dans l'espace alors qu'elle hurlait :

- Je... Je jouis... Je jouissssssssssssssss... Oh oui... Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii...

Défaillante, extasiée, Bonnie, allongée sur le sofa sentit le vieil homme se débrouiller pour la transporter sur le grand lit. Une fois qu'il l'eut dépouillé de sa robe et de son soutien-gorge, elle gisait sur le lit dans sa glorieuse beauté alors que son talentueux fellateur se déshabillait prestement. Bras grands ouverts, Bonnie l'accueillit chaleureusement lorsqu'il s'allongea sur le lit la caressant tendrement.

Si elle exceptait les troubles dus à l'âge de monsieur Bently bien qu'ill. veuille se repaître activement de ses charmes, Bonnie se trouva fort surprise de le voir si vaillant, se comportant en jeune homme impatient. Il la martela pendant quinze bonnes minutes lui procurant le meilleur de sa vie, une chevauchée dont elle se rappellerait longtemps encore. Pistonné au point de succomber à un intense orgasme, Bonnie boucla son bras dans son dos et serra ses cuisses sur son buste alors qu'il éjaculait profondément dans son intimité avant de s'écrouler épuisé sur elle. Crispant ses muscles vaginaux sur sa bite elle le traya véritablement extirpant jusqu'aux dernières gouttes son fluide génital.

Somnolant légèrement alors qu'elle digérait ce violent orgasme qui venait de la terrasser, elle cligna des yeux alors que la bite de monsieur Bently glissait mollement hors de sa caverne brûlante. C'est alors qu'elle prit conscience du problème en sentant le vieux schnock gésir sans réaction entre ses cuisses charnues, elle comprit alors qu'il avait succombé à une crise cardiaque en l'honorant de ses faveurs.

Deux semaines plus tard, alors qu'elle se reprochait encore le décès de monsieur Bently, Bonnie se sentait si coupable en regardant son beau-père se demandant si lui aussi rêver de coucher avec elle.Lors de la visite habituelle que leur faisait son beau-père une fois par an pour passer une semaine en leur compagnie, il en profitait pour se livrer à quelques travaux de bricolage autour de la maison. Le détaillant alors qu'il était assis dans le salon sirotant une boisson fraîche qu'elle venait de lui tendre, Bonnie se gourmandait d'avoir de telles pensées, se disant en son fort intérieur :

- Comment puis-je penser à de telles choses ? Il a 66 ans ! Quand je repense à ce qui s'est passé avec monsieur Bently... Je me sens responsable de sa mort !

Le lendemain matin, alors que Jack était parti faire une partie de golf avec ses copains, Bonnie enlevait sa chemise de nuit pour enfiler une petite robe d'été bleue. Se mordant les lèvres, elle se livra alors à un acte assez pervers. Le café passait tandis qu'elle faisait de la pâte à crêpe, beau-papa entra alors dans la cuisine et elle le salua aimablement :

- Bonjour Papy, voulez-vous bien vous servir vous-même votre tasse de café, il est prêt dans la cafetière, j'ai les mains couvertes de pâte à crêpe.

Une fois qu'il se fut servi son café, comme il s'asseyait, elle lui demanda :

- Oh, Papy avant de vous asseoir, pourriez-vous aller me chercher mon chandail... Il fait un peu frais ce matin... Il se trouve sur le fauteuil dans ma chambre...

Le cœur battant la chamade, aussi excitée que honteuse du piège qu'elle avait mis en place, elle attendait les mains toujours plongées dans la pâte à crêpe. 

Dès son entrée dans la chambre le regard de beau-papa se porta sur une petite culotte négligemment jetée en travers du lit, il s'aperçut tout de suite que le fond de cette petite culotte semblait décoloré, empesé. Il s'en saisit pour en inspecter le fond et découvrit qu'il était trempé du jus intime de sa salope de belle-fille qui devait s'être branlée juste avant de descendre dans la cuisine.

En fait, il s'agissait d'une mise en scène habilement composée par sa belle-fille qui était désireuse de savoir si beau-papa la désirait autant que les autres hommes. La petite culotte de Bonnie avait été disposée soigneusement en travers du lit, à moitié retournée, froissée comme si elle venait de s'en débarrasser, pour attirer l'attention de Papy, il ne pouvait que tomber dans le piège ainsi tendu.

Il tendit la main et en huma les flagrances intimes de chatte en chaleur qui émanaient de la partie poisseuse de jus de chatte. Il la porta à ses narines s'imprégnant allégrement de ses parfums intimes avant de la reposer sur le lit.

Entendant les pas pressés de beau-papa qui revenait dans la cuisine, Bonnie s'assura que ses mains étaient toujours couvertes de pâte à crêpe, puis elle lui demanda de draper son chandail sur ses épaules. Comme il s'exécutait Bonnie constatait son essoufflement causé par l'excitation d'avoir manipulé sa petite culotte avant de se hâter de revenir dans la cuisine avant qu'elle se demande ce qu'il pouvait bien le retarder dans sa chambre.

Une fois le petit-déjeuner consommé, Bonnie demanda à beau-papa :

- Pendant que vous tracerez les plans pour l'armoire à chaussures que vous vouliez installer dans les toilettes aujourd'hui, je vais me rendre rapidement au marché pour racheter du café et un plat froid pour le repas de ce midi.

Son jus intime coulait entre ses cuisses qu'elle serrait l'une contre l'autre de façon à ne pas tacher le derrière de sa robe bleue du fait qu'elle ne portait pas de petite culotte. De retour dans sa chambre elle jeta un œil sur le lit et sourit en voyant que la petite culotte ne se trouvait plus à la place où elle l'avait soigneusement posée. Une fois ses cheveux brossés elle se saisit de son sac à main abandonnant sa petite culotte sur le lit, elle se mit en chemin pour se rendre au marché. Après avoir laissé à son beau-père le temps nécessaire pour qu'il agisse, elle dit en revenant du garage vers la cuisine :

- Hey Papy, je suis rentrée!

Il lui répondit toujours assis au même endroit où il traçait des plans sur la feuille de papier sur laquelle il travaillait plus tôt déjà lors de son départ pour le marché, elle remarqua alors qu'il se mettait brusquement à transpirer. Dans la chambre conjugale Bonnie sourit en notant que la petite culotte se trouvait presque à la même place que lors de son départ, il l'avait vraiment manipulée soigneusement.

Se rendant dans la salle de bain adjacente, Bonnie releva la lunette et sourit malicieusement en se rendant compte qu'elles avaient servi il y a peu de temps, elle le savait car le brin de laine témoin qu'elle y avait déposé avait disparu. Sa petite culotte à la main elle redescendit à pieds nus le vestibule pour gagner l'endroit où se tenait son beau-père.

Elle savait que l'annonce de la découverte de ses agissements allait l'effaroucher, mais depuis qu'elle avait assisté la crise cardiaque fatale de son patron, Bonnie ne voulait surtout pas le stresser outre-mesure. Aussi au lieu de respecter son plan initial qui risquait bien trop de l'affoler, Bonnie concocta un plan B tout en s'approchant de son beau-papa. Elle tendit la main et la posa sur son épaule elle le sentit se raidir et son souffle s'accélérer brutalement alors qu'elle lui disait tout doucement :

- Papy, puis-je vous parler de quelque chose de très personnel ?

En l'entendant s'approcher, il s'était figé les yeux rivés sur son plan, espérant que ses agissements pervers n'avaient pas été découverts. Le cœur battant la chamade, il chercha à se remémorer s'il avait bien pris la précaution de remettre fidèlement la petite culotte à sa place, il était sur de ne pas l'avoir souillée de son sperme lorsqu'il s'était branlé dans l'affriolant sous-vêtement, il avait soigneusement nettoyé les gerbes de foutre qui avaient jaillies sur la lunette, et il avait méticuleusement inspecté le sol pour être sur de ne pas avoir laissé de tracés d'éjaculation. Alors qu'elle lui caressait gentiment l'épaule et le cou elle lui susurra à l'oreille :

- Papy, vous êtes conduit comme un vicieux petit garçon alors que je faisais les courses, n'est ce pas vrai ?

Comme son beau-père tremblait de tout son corps, elle lui fourra sa froufroutante petite culotte sous les yeux en commentant :

- Vous vous êtes servi de ma petite culotte pour vous branler n'est ce pas Papy ?

Devant son silence significatif, elle insista :

- Répondez-moi donc !

Elle sentait son corps trembler comme une feuille, alors qu'il hochait la tête admettant qu'effectivement il s'était masturbé dans son sous-vêtement. L'entendant haleter péniblement, elle laissa sa main descendre dans son dos le massant de ses doigts agiles tout en poursuivant :

- La, la, la Papy... C'est bon... Je comprends... C'est très dur d'être veuf !

Bonnie constata le soulagement de son beau-père, elle sut alors qu'elle pouvait continuer de développer son, plan et lui dit :

- Vous avez vraiment agi comme un vicieux petit garçon lorsque je suis partie ! Et les petits garçons doivent être punis lorsqu'ils sont méchants ! N'est ce pas vrai papy ? N'est ce pas Papy ? Répondez-moi ou je devrai révéler à Jack vos agissements ! Lui confia Bonnie, un long silence s'ensuivit.

Elle lui fit un signe de tête apaisant en constatant que la menace de révéler à son fils qu'il se masturbait dans ses sous-vêtements le tracassait sérieusement.

- A moins que vous répondiez à chaque question désormais, et que vous me répondiez sincèrement,, j'en aviserai votre fils dès son retour ce soir ! Le menaça-t-elle sévèrement.

- Avez vous porté ma petite culotte à votre visage pour en respirer les flagrances ?

Le vieil homme répondit affirmativement d'un signe de tête.

- Vous êtes-vous frotté le visage dans ma petite culotte ? Questionna-t-elle ensuite.

Il hocha à nouveau la tête.

- Avez-vous léché vicieusement l'entrejambe ?

Nouvel hochement de tête.

- Vous êtes vous servi de la petite culotte de votre belle-fille chérie en l'entortillant autour de votre bite dedans pour vous branler à votre aise ?

Il hocha encore la tête.

- Et maintenant vilain petit garçon préférez-vous que je vous punisse moi-même ou que j'en informe Jack ? Comprenez vous- ce que je vous dis ? Ajouta-t-elle. 

Il fit signe qu'il avait compris murmurant un oui misérable.

- Je pense qu'il faut que je trouve un moyen de vous dissuader de sentir et lécher le fond des petites culottes de votre belle-fille ! Annonça Bonnie avant de fourrer l'entrejambe de sa petite culotte sous le nez de son beau-père.

- C'est bien ça que vous vouliez humer ? Le fond de la petite culotte que votre bru portait la nuit précédente ? Respirez profondément, captez toutes les flagrances de ma petite culotte sale vilain petit garçon ! Le gourmanda-t-elle en posant son autre main sur sa nuque pour l'empêcher de reculer la tête.

Puis elle recula la petite culotte de quelques centimètres tout en la gardant sous son nez, elle lui ordonna :

- Et maintenant léchez là !

Une fois le fond de la culotte trempée de salive, Bonnie lui enjoignit de la tenir grande ouverte face à son visage.

- Tenez la comme ça ! Bien face à vous.

Puis elle fit le tour de la chaise pour se poster face à lui.

Alors qu'il la regardait tout en tenant la petite culotte ouverte, Bonnie leva sa jambe droite, offrant à son beau-père haletant la vue de ses orteils manucurés alors qu'elle l'enfilait dans sa petite culotte. Puis posant sa main sur son épaule pour ne pas risquer de tomber, Bonnie leva alors sa jambe gauche pour la glisser à son tour dans la petite culotte. L'affriolant sous-vêtement remonté aux genoux elle lui ordonna :

- Et maintenant remontez la à la bonne place Papy !

Bonnie gagna ensuite l'évier de la cuisine pour y laver la vaisselle du petit déjeuner, jetant un œil sur sur beau-père elle le prévint :

- Votre punition n'est pas terminée papy ! Venez vous asseoir au sol à coté de moi pendant que je lave la vaisselle...

Il obéit timidement, il s'assit à sa droite, Bonnie continuait à laver les bols et les assiettes du coté gauche de l'évier les posant ensuite à sa droite pour les rincer. Tout en lavant les plats elle commenta :

- Je suppose que je vais devoir garder un œil sur vous tout le temps désormais... Que feriez-vous si je ne vous faisais pas asseoir à mon coté tandis que je lave la vaisselle... Vous iriez fouiller le panier à linge à salle pour y dégotter une autre de mes petites culottes ?

On aurait dit un petit garçon apeuré, Bonnie recula un peu le toisant du regard et l'enfourcha. Elle releva le devant de sa légère robe bleue et la laissa retomber sur la tête de son beau-père, elle l'entendit haleter brutalement, elle savait que cela l'étourdissait tout autant que cela lui plaisait.

- Et maintenant il va falloir apprendre à cesser de manipuler mes petites culottes et de vous frotter le visage dedans... Sinon, vous aurez affaire à moi !

Elle l'entendait respirer difficilement alors que sa chaude haleine lui caressait la face interne des cuisses elle lui demanda :

- Qu'y a-t-il Papy ? Vous n'aimez pas mes petites culottes lorsque je les porte ? Léchez-la ! Léchez la alors que je l'ai sur le cul, vilain garçon !

Papy pensait qu'il venait tout juste de mourir et se trouvait au paradis, il ne pouvait pas y avoir d'aussi délicieuse place sur terre. Il réalisait maintenant que Bonnie devait avoir mis en scène tout ceci, qu'elle avait délibérément abandonné sa petite culotte sur son lit pour le piéger, allant jusqu'à se rendre au marché sachant très bien qu'il ne saurait pas résister à l'envie de retourner se branler dans son affriolant petit cache-sexe.

Il tendit nerveusement la main et palpa la chair tendre de ses cuisses, puis il se pencha fourrant son nez dans son entrecuisse tout contre le fond de sa petite culotte, il savourait le fait qu'elle ne lui opposa aucune objection. Puis il se mit à lécher le fond de sa petite culotte repoussant de coté le fond de son slip pour glisser la pointe de sa langue dans sa balafre génitale.

- Oh Papy, ohhhhh..., Oh Papyyyyy... Ooooooooooohhhhhhhhhhh ! Grommelait sa bru alors qu'il parcourait d'une langue agile sa fentine enfiévrée.

Alors qu'elle chancelait sur ses jambes, il la repoussa contre l'évier tout en continuant à déguster sa féminité.

- Ahhhhhh... Ahhhhhhh... Ahhhhh... Ohhhhhhh... Papyyyyyyyyy... Pantelait -elle maintenant.

Il trouva alors son clito sensibilisé et le mignota lascivement.

- Oh, mon Dieuuuuuuu... Ahhhhhhhhhhhhhh... Ahhhhhhhhhhhhhh... Gémissait-elle alors qu'elle orgasmait sous ses caresse linguales.

La tête ressortie de la robe de sa belle-fille, Beau-papa la retroussa sur sa taille, et la guida jusqu'à sa chambre conjugale. Il aida la jeune femme chancelant sur ses jambes à monter les escaliers puis il la tourna vers lui et lui roula une pelle enfiévrée.

Il baissa prestement la fermeture éclair dorsale de sa robe, dégrafa son soutien-gorge et entreprit de sucer avidement ses tétons roses écarlates. Il la débarrassera rapidement de son affriolante petite culotte.

Elle l'aida de ses petites mains manucurées à rouler sa culotte sur ses cuisses puis déboucla fiévreusement sa ceinture. Bonnie se mit à trembler de tout son corps alors que son beau-père relativement âgé grimpait sur le lit et l'enfourchait, elle s'excusa :

- Je suis désolée de vous avoir fait cela ! De vous avoir piégé en "oubliant" ma petite culotte chargée de mes effluves sur le lit... De vous avoir tenté de façon si perverse ! C'est juste que... Nous avons découvert que le sperme de jack est peu actif... Peut-être bien qu'il ne sera pas capable de m'engrosser ! C'est pourquoi j'ai fait tout cela ! Comme je pense que je ne pourrai pas avoir de bébé de Jack, j'en veux un de vous !

La deuxième partie de son discours était totalement fausse, Jack n'avait jamais fait de test de fertilité, mais quel homme ne serait pas flatté d'être sélectionné pour engrosser sa jeune et ravissante bru. Papy Speers était vraisemblablement aussi enchanté qu'excité de remplacer son fils en cette occasion, spécialement étant donné la façon dont elle s'y était prise pour se faire désirer.

- Oh Papy... Oh oui... Baisez-moi papy... baisez-moi ! Mettez-moi tout, encore... Plus profond... Giclez dans mon ventre ! Engrossez-moi !

- Oh ouiiiiiiiiiiiiiiii... Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii... Pantelait-elle folle d'excitation.

Bonnie avait appris de son expérience avec les vieux comme monsieur Bently et maintenant son beau-père, qui faisait des efforts démesurés lorsqu'ils avaient l'opportunité de pilonner la chatoune d'une jeune salope.

Et à voir la façon dont Papy Speers la prenait maintenant, savourant le fait d'être sollicité pour lui faire un enfant, ne pouvait que la convaincre de continuer à prendre de vieux hommes comme amants à l'avenir.

Embrassant son beau-père, bouclant ses chevilles dans son dos elle s'arquait pour profiter de toute a longueur de la bite qui la fouaillait si délicieusement. 

Cette session de baise s'avérait fantastique, déjà Bonnie succombait à un premier orgasme d'une intensité rare alors que Papy Speers déversait une louche de semence active dans le tréfonds de son intimité fertile.

FIN DE L'HISTOIRE.