samedi 29 janvier 2022

Gagner Son Pardon Ch. 02

Traduction d'un texte de MechanicalAnge


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Le dressage d'Emma continue.

Le matin arrive trop rapidement. Quand la sonnerie se déclenche à huit heures du matin, Emma ne sait pas pourquoi elle se retrouve nue dans une cage. Puis tout lui revient, les humiliations endurées la veille qui font qu'elle se retrouve dans cette situation. Elle rougit d'un rouge profond. Les ordres données par James et William résonnent dans son esprit. Elle pousse doucement la porte de la cage et sort en rampant.

Ses genoux et son dos sont douloureux d'avoir été à l'étroit toute la nuit. Et elle a toujours l'impression d'avoir le cul en feu. Elle s'étire lentement et bouge doucement son cou d'avant en arrière pour tenter de se soulager. Elle se dirige vers la salle de bain et prend une douche, l'eau chaude apaisant ses muscles endoloris. Elle se lave les yeux et trouve un rasoir pour femme sur le côté. Soigneusement, elle rase tous ses poils en accordant une attention particulière à sa chatte. Elle ne l'avait jamais fait aussi bien, se contentant d'être propre et présentable. Peu de temps après, son bras lui fait mal à cause de l'effort. Finalement elle passe une main sur sa chatte et son cul sentant que c'est bon.

Elle sort de la douche et se sèche. Puis elle se dirige vers la chambre d'ami en priant qu'ils lui aient laissé quelque chose de confortable à porter aujourd'hui. Elle trouve une autre paire de talons ridiculement hauts et rouges, ainsi qu'un petit string rouge. Il n'y a rien d'autre à mettre. Elle soupire et enfile le peu de vêtements fourni avant de se regarder dans le miroir. Ils lui ont laissé un sèche-cheveux et une brosse. Elle suppose qu'elle est censée se rendre présentable.

Quand enfin elle est convaincue qu'ils ne se plaindront pas de son apparence, Emma jette un coup d'œil à l'horloge. Il est déjà neuf heures du matin. Alors elle dévale les escaliers en espérant qu'ils n'aient pas demandé de préparer quelque chose de trop compliqué pour le petit déjeuner.

Elle trouve rapidement la liste de repas : pain grillé et céréales pour le petit déjeuner, Fish and Chips pour le déjeuner, mais rien pour le dîner. Elle est étonnée, mais elle n'y pense pas longtemps. Elle se contente de remercier le ciel que James et William aient décidé de faire preuve de gentillesse avec elle. Elle commence à préparer le pain grillé.

A neuf heures et demie exactement, les deux garçons entrent dans la cuisine. Emma a posé toutes les céréales sur la table, placé un pichet de lait et un plat de tartines grillées et beurrées à côté et elle a mis deux couverts. Elle ne s'attendait pas à être autorisée à manger avec eux. Quand ils arrivent, elle est debout dans le coin, les yeux baissés.

Ils l'ignorent pendant le petit déjeuner, discutant de choses et d'autres en prenant leur temps. Finalement James se lève et sort les gamelles de chien du lave-vaisselle. Emma l'entend gratter et y vider les restes. Elle ne lève pas les yeux.

William passe une main dans son dos et la pousse vers le bols.

- Mange!

Elle s'agenouille et regarde la nourriture qui lui a été donné. Des morceaux de pain grillé sont mélangés avec des céréales nageant dans le lait. Ça ne lui fait vraiment pas envie. Elle peut les sentir s'impatienter derrière elle, alors elle baisse la tête sur la bouillie et elle commence à manger. Après avoir léché les dernières miettes et gouttes de lait, elle tourne son attention vers l'autre bol. Ils y ont mis le reste de café froid. Quand elle commence à laper, elle sent le sucre. Elle disait toujours que le café sucré était imbuvable. Ils ont dû mettre deux à trois sucres chacun dans leur boisson. Elle se sent légèrement écœurée, mais elle arrive à finir.

Finalement elle lèche ce qui est tombé par terre, puis elle ramasse la vaisselle et les gamelles pour les mettre dans le lave-vaisselle avant de se laver dans l'évier. Des céréales sont tombées sur sa poitrine nue et elle doit les enlever. Sans regarder les deux hommes elle se sèche et entre dans la salon. Elle va dans le coin et attend comme on lui a ordonné.

Au bout de quelques minutes ils la rejoignent et s'installent nonchalamment sur le canapé. William dit :

- Tu as bien appris. La nourriture n'était pas trop mauvaise non plus.

- Bien que ce ne soit que du pain grillé et des céréales. Ce n'était pas un exploit. Dit légèrement James.

Puis William ajoute :

- La maison est en désordre. Ton premier travail aujourd'hui sera de la nettoyer de haut en bas. Je pense que ça va te prendre plusieurs heures. Les produits de nettoyage sont dans la cuisine. Nous passerons partout pour voir si c'est impeccable.

Après ces mots, les deux hommes l'ignorent. Emma s'attendait quelque chose de bien pire. Un peu soulagée, elle se rend dans la cuisine et sort tous les produits de nettoyage du placard sous l'évier. Elle se rappelle qu'elle n'a jamais vu James nettoyer et elle ne savait même pas qu'il avait des produits. Les deux garçons ont dû acheter ça juste pour elle. Elle commence à essuyer le comptoir de la cuisine et les placards, avant de passer au four qui a besoin d'être récuré. Finalement, elle balaye et lessive le sol. Comme ça elle sait que pour son prochain repas il est propre.

Elle se déplace dans la maison, rangeant et dépoussiérant, jetant les ordures et vidant les cendriers. Elle ramasse tous les vêtements des deux gars et elle les met dans le panier à linge. Puis elle passe l'aspirateur sur les tapis. Elle nettoie les toilettes et la douche. Enfin elle considère qu'ils seront contents de son travail. Elle retourne dans le salon.

William et James ne sont pas là, alors elle se met au coin et attend qu'ils reviennent. Plus tard elle entend :

- Pas mal, salope. C'est bien de savoir que nous avons une femme de ménage à plein temps ainsi qu'un jouet de baise dans la maison.

Elle pente entendre le sourire dans la voix du garçon. Elle rougit à ses remarques, mais ne dit rien. Elle est fatiguée et voudrait s'asseoir, mais elle sait qu'elle n'y sera pas autorisée. Pire encore, le café et le lait du matin font effet et elle commence à avoir besoin d'aller aux toilettes. Ils lui ont dit qu'elle était autorisée à y aller, mais l'idée de devoir demander la permission comme un enfant est humiliante.

Pourtant elle ne va pas pouvoir tenir plus longtemps et qui sait ce qu'ils vont lui faire faire ensuite.

- Maître? Dit-elle d'une petite voix.

- Oui quoi?

- Puis-je aller aux toilettes s'il vous plaît Maître?

Il y a un moment de silence angoissant et Emma prie pour qu'ils la laissent faire. Enfin William dit :

- Bien sûr que tu peux!

Elle sourit presque et commence à se diriger vers l'escalier. Mais avant qu'elle n'y arrive, James a attaché la laisse à son collier.

Elle se rend compte qu'ils vont la conduire la-haut. Mais James part dans l'autre direction. Il lui fait traverser la cuisine jusqu'à la porte qui donne dans la cour arrière. Emma commence à deviner pourquoi et elle espère de tout cœur avoir tort.

James déverrouille la porte et la conduit dans le jardin, William les suivant. Elle hésite et William lui donne une petite tape.

- Allez, vas-y!

- Je ne crois pas qu'elle comprenne. Dit James.

Alors William parle d'une voix ennuyée et moqueuse :

- nous te l'avons expliqué encore et encore. Tu n'es pas une vraie personne, tu n'es rien. Tu dors dans une cage comme un animal, tu manges comme un animal, et tu pisseras comme un animal.

Il baisse son string, exposant sa chatte nouvellement rasée à l'air froid, et il la pousse à genoux.

- Rampe jusqu'à un buisson et fais ton affaire! Dit-il.

Le string est emmêlé autour de ses chevilles, mais Emma sait qu'elle n'est pas autorisée à l'enlever. Et elle ne veut pas être punie à nouveau. Elle marche à quatre patte maladroitement jusqu'à un buisson et elle se fige. Elle se demande comment elle va faire ça sans se salir. Finalement elle réalise qu'elle n'a pas d'autre choix que d'imiter un chien.

Tout en rougissant, Emma soulève la jambe la plus proche du buisson et essaie d'uriner. Rien ne vient. Elle ferme les yeux et essaie de se détendre. Elle essaie d'oublier qu'elle se trouve dehors à quatre pattes pour faire pipi comme un animal. Elle essaie d'oublier que James et William se tiennent là à la regarder. Le soulagement vient enfin, car elle arrive à vider sa vessie tout en réussissant à éviter de se salir. Gênée, elle rampe vers ses Maîtres et se remet sur pieds.

James lui tend une lingette humide pour qu'elle se nettoie. Elle se sent humiliée comme jamais, mais elle obéit. Une fois qu'elle a remonté son string, ils la ramènent dans la maison.

Emma jette un coup d'œil furtif à l'horloge de la cuisine pendant qu'ils traversent le salon. Elle voit qu'il est presque midi. Trois heures de plus de passé! Le temps passe si lentement.

Les deux garçons l'ignorent pendant quelque temps. Et quand finalement elle se dit qu'elle va mourir sur place si elle doit rester encore longtemps immobile, William lui dit de préparer le déjeuner. Avec soulagement elle rejoint la cuisine et commence à éplucher les pommes de terre.

Même si cela fait peu de temps qu'elle se trouve dans cette situation, elle s'est déjà habituée au repas. Si bien qu'après que les deux gars aient mangé, elle finit rapidement les restes dans sa gamelle.

Elle est bientôt de retour dans le salon et elle attend qu'ils lui donnent d'autres instructions. Cela ne tarde pas.

- Viens devant le canapé et regarde-nous!

Elle obéit. Ils sont tous les deux confortablement assis sur le canapé, les pieds sur la table basse qu'elle a soigneusement nettoyée le matin même. Ils boivent de la bière et ils lui sourient. William dit :

- Nous sortons ce soir. Mais nous ne voulons pas que tu répètes la crise de hier soir. D'accord?

- Oui Maître. Répond-elle en essayant de les regarder tout en évitant leurs regards.

Son humiliation est pire quand elle les regarde dans les yeux. William continue :

- Bien! Ce soir nous allons retrouver des amis, et nous voulons montrer ce que tu peux faire. Tu devras leur accorder le même respect et la même obéissance qu'à nous. Tu diras Monsieur ou Madame à chaque personne que tu rencontreras. Compris?

- Oui Maître.

- Nous voulons être fiers de toi. Nous voulons pouvoir montrer que tu es l'esclave la plus obéissante de tous les temps. Nous allons donc passer l'après-midi à te préparer.

Emma est soudainement inquiète, mais elle hoche simplement la tête :

- Oui Maître.

Les deux garçons se sourient avant que William ne sorte de la pièce. James regarde Emma, l'air légèrement amusé et moqueur. Il dit doucement :

- Tu ne croyais pas que ça se passerait comme ça?

Ce n'est pas vraiment une question alors Emma ne dit rien, en pensant qu'il a raison.

- Mais tu es une pute infidèle qui a besoin qu'on lui donne une leçon. Ensuite, je pourrais peut-être te faire confiance.

- Oui Maître.

Alors il est juste en train de lui donner une leçon pour se venger d'elle avant de la reprendre. Elle pourra le faire, pense Emma. Elle obtient juste ce qu'elle mérite, se dit-elle. De plus elle est déjà allée trop loin pour arrêter. Si elle recule, elle aura mangé sur le sol pour rien. Elle a été trop humiliée pour que ça ne serve à rien.

William revient avec une boite en carton qu'il pose par terre devant Emma. Il dit lentement :

- Nous allons jouer à un jeu. Es-tu chanceuse, salope?

- Je ne sais pas Maître.

- Tu vas vite comprendre les règles. Tu vas plonger ta main dans la boite et en retirer un objet. Ce que tu feras ensuite sera déterminé par ce que tu auras tiré.

Emma attend.

- Vas-y!

Avec appréhension, Emma ferme les yeux et fouille la boite. Elle touche quelque chose de long et dur qui ressemble à un gode, alors elle en éloigne sa main. Puis elle trouve quelque chose de doux et elle le sort de la boite. Quoi que ce soit ça ne lui fera pas de mal et ce n'est sûrement pas quelque chose en rapport avec le sexe.

Elle ouvre les yeux et voit qu'elle tient un simple petit ballon. Que vont-ils lui faire faire avec ça? Les yeux de James s'illuminent et il lui prend le ballon.

- Alors tu veux jouer à aller chercher? Très bien.

Il prend la laisse et la ramène dans le jardin. Ses tétons durcissent instantanément dans le froid. William éclate de rire en lui menottant les mains devant elle. Il enlève la laisse et attache ses poignets à l'anneau sur son cou. Puis il la pousse à genoux. Sans ses mains pour se stabiliser, elle tombe sur ses coudes.

- Quand l'un de nous lancera le ballon, tu devras aller le chercher à quatre pattes et nous le ramener le plus rapidement possible.

William prend le ballon des mains de James et le lance aussi loin qu'il le peut.

- Allez salope, va chercher!

Emma rampe le plus vite possible en utilisant ses coudes comme des pattes. Elle a vraiment l'impression d'être un chien, le visage près du sol, le cul en l'air. C'est sûrement ce qu'ils veulent.

Elle trouve le ballon sous un buisson. Elle devient comment elle va devoir le prendre. Elle ouvre la bouche et le mord pour le ramasser. A mi-chemin, elle le perd et il tombe au sol. Les deux garçons rigolent alors qu'elle se démène pour le saisir à nouveau. William crie :

- Tu vas devoir faire mieux ce soir, salope!

Elle rougit, mais se concentre sur le ballon et le ramène rapidement.

Heureusement les deux hommes se lassent et semblent s'ennuyer, alors ils la ramènent dans la maison. Devant la boite, Emma est réticente à retirer autre chose. Si avec un simple ballon, elle peut être autant humiliée, elle redoute de ce qui peut lui arriver avec les autres objets. De toute façon elle sait bien qu'elle ne peut savoir à l'avance ce qu'ils vont lui faire, alors elle sort le premier objet qui se présente.

Elle se fige en voyant ce qu'elle tient. Elle sait très bien ce que c'est : un plug anal. Emma avait toujours refusé catégoriquement que James mette quoi que ce soit dans son cul. Les deux garçons semblent ravis à la vue de l'objet. William s'avance. Elle sait qu'il a un faible pour les relations anales. Il lui a déjà dit que ses films pornos préférés sont ceux où des hommes enculent des femmes. C'est une des raisons pour laquelle elle le déteste, Il parle toujours de sexe d'une façon répugnante qu'elle n'aime pas.

Un jour elle avait dit à James qu'elle trouvait William et son amour des sodomies répugnant. A en juger par l'expression de joie sur son visage, James avait dû lui transmettre le message.

- Tu veux que je te mette ça dans le cul, salope?

Elle se souvient de ce qui s'est passé la dernière fois lorsqu'elle a dit non à William. Elle comprend maintenant qu'elle est censée être d'accord avec eux quoi qu'ils disent. A contrecœur, elle murmure :

- Oui Maître.

- Dans ce cas, tourne-toi, baisse ton string, écarte les jambes et penche-toi!

Elle lui obéit.

- Bien, maintenant, tiens tes fesses bien écartées avec tes mains.

Honteuse, elle écarte ses fesses et les maintient afin de lui présenter son trou du cul. Elle peut sentir les yeux des deux gars sur son derrière. Elle rougit.

William passe devant elle et s'accroupit :

- Ouvre grand!

Il lui présente le plug à la bouche pour qu'elle le suce.

- Suce et mouille le bien, salope. c'est le seul lubrifiant que tu auras.

Cette information fait qu'elle s'applique en essayant d'humidifier le plus possible le plug. Il le sort de sa bouche et se dirige derrière elle. Il pose le plug sur son trou du cul, mais il ne pousse pas.

- Maintenant, dis-moi « S'il vous plaît, enfoncez le plug dans mon cul »! Et tu ferais mieux de me faire croire que tu le veux vraiment.

Emma sait qu'elle risque d'être punie si elle ne le satisfait pas. Mais elle ne sait pas comment faire pour que ce soit crédible. Elle ferme les yeux et prend une profonde inspiration. Elle essaie d'imaginer qu'ils la laissent partir.

- S'il vous plaît, enfoncez le plug dans mon cul, Maître. Dit-elle docilement.

Les deux hommes rigolent derrière elle.

- Waow, tu veux vraiment ça! Dit William l'air ravi.

- Je suppose que tu ne détestes pas l'anal autant que tu le prétends. Ce n'est pas une surprise pour une salope comme toi. Dit James sarcastique.

Emma ne se soucie pas de leurs moqueries. Elle est juste soulagée d'avoir été convaincante et d'avoir éviter une punition. Sans avertissement, William pousse le plug en elle jusqu'à la garde. Elle gémit à cette intrusion et son corps essaie instinctivement de repousser l'objet. James dit sévèrement :

- Tu vas devoir te contrôler. Ce plug restera dans ton trou du cul jusqu'à ce que nous te disions de l'enlever. Et si tu essaies de t'en débarrasser avant que nous te donnions la permission, nous le remplacerons par un plus gros. Compris?

- Oui Maître! Gémit Emma

- Il faut que tu t'y habitues, nous augmenterons la taille du plug au fil du temps, et d'ici la fin du mois on pourra y mettre n'importe quoi. Dit William.

Il sourit et lui dit de se redresser puis de se tourner. Consciente de l'avertissement de James, Emma sert les muscles de son cul en se levant pour garder le plug en place. C'est encore plus inconfortable maintenant qu'elle est debout, mais elle essaie de garder une expression neutre. Elle ne veut pas donner à William le plaisir de la voir souffrir.

- Prends un autre objet : Ordonne James.

Elle retire de la boite un sac de bonbon et se demande ce qu'ils ont l'intention de faire. Elle le découvre vite quand James lie ses mains derrière son dos et lui dit de s'agenouiller pour demander des friandises comme un chien. Elle doit suivre les bonbons avec sa tête quand il les déplace d'avant en arrière. Et quand ils les tiennent au-dessus de sa tête ils s'attendent à ce qu'elle saute pour les attraper. Bien sûr, en sautant sur ses genoux avec les mains liées dans le dos, le plus souvent elle retombe face en avant. A chaque fois ils se moquent d'elle sans l'aider à se relever. Elle a beaucoup de mal à garder le plug anal en place, mais elle y parvient. Elle est encore plus humiliée lorsque William place un bonbon au bout de son nez et lui ordonne de la garder en place jusqu'à ce qu'il lui autorise de le manger. Ils s'attendent même à ce qu'elle gémisse comme un chiot s'ils mettent trop de temps à lui donner la friandise. Et quand elle en a un, elle doit les remercier.

L'objet suivant est un de ces affreux faux vagins. James lui demande de le tenir.

- William va sortir sa bite et tu vas la branler dans le vagin. Nous voulons que ce soit bien fait comme si c'était dans ta chatte.

Elle redoutait ça. C'est la première fois qu'elle doit toucher le pénis de William. Elle peut lui faire face s'il la doigte, elle peut rester impassible s'il se moque d'elle ou s'il l'humilie, mais elle ne veut pas toucher sa bite. C'est trop réel. Toutefois, elle sait qu'elle n'a pas le choix alors elle rampe vers lui et attend. Puis elle tend la main vers la queue. William frappe alors sa main brusquement :

- Qu'est-ce que tu veux faire, petite pute?

Emma hésite. Ils lui ont dit de le toucher, non?

- Je suis désolé Maître, J'ai pensé.... Commence-t-elle à dire faiblement.

- Tu es une sale pute et ma queue vaut plus à lui seul que toi. Tu dois lui montrer le respect qu'il mérite.

Elle se mord la lèvre, ne sachant pas ce qu'ils attendent d'elle.

- Si quelqu'un te permet de toucher son sexe, tu devras le remercier pour ça en lui embrassant les pieds pour montrer ta gratitude. Ensuite tu remercieras le sexe de la même façon. Compris?

Emma ne lève pas les yeux vers James quand il parle, mais elle hoche la tête.

- Oui Maître.

Elle se tourne vers la bite de William. S'attendent-ils vraiment à ce qu'elle le remercie pour le privilège de toucher son membre? Elle prend une profonde inspiration et lève les yeux vers William.

- Merci de me laisser toucher votre sexe Maître.

Honteuse des mots qui sortent de sa bouche, elle se penche et embrasse chacune des chaussures de William, puis elle se redresse pour être, une fois de plus, au niveau de sa queue.

- Merci Maître.

Elle tend la main et commence à caresser le sexe. Elle le sent devenir dur dans sa main. Elle combat l'envie de lui faire mal, redoutant la punition qu'ils lui infligeraient. Elle essaie d'ignorer ce qu'elle fait. Peu de temps après, elle sent que William se raidit. Instinctivement elle sait qu'il va jouir. Elle enfonce la bite dans le faux vagin et il gémit en y entrant. Il éjacule à l'intérieur, puis se retire prudemment pour ne pas renverser de sperme.

- Lèche maintenant! Lui ordonne sévèrement James.

Elle regarde la substance blanche et commence timidement à lécher.

- Il y aura des femmes ce soir, et certaines d'entre elle voudront peut-être que tu leur fasses plaisir. Nous voulons nous assurer que tu aies une certaine expérience.

Emma n'a jamais fait l'amour avec une fille de sa vie. Et l'idée de le faire la fait frissonner. Mais elle lèche le sperme de William et tente d'oublier la soirée qui va venir.

- Ne sois pas timide, salope!

William pousse son visage dans le faux vagin et elle se retrouve avec le visage couvert de sperme. Finalement, quand sa langue lui fait mal et avec du sperme dans les yeux et le nez, elle est autorisée à s'arrêter.

- Monte et lave-toi! Puis enfile la tenue préparée! Dit James.

Emma obéit et retrouve les mêmes vêtements qui lui ont été donnés la veille. Cependant les bottes ont disparu et à la place, elle enfile une paire de hauts talons noirs qui rendent la marche difficile. Elle jette un coup d'œil à l'horloge. Il est 17 heures quand elle dévale les escaliers et revient dans le salon.

- Bien, allons-y! Dit James en la prenant par la main et en la tirant vers la porte.

Horrifiée, Emma réalise que non seulement ils ne vont pas lui donner de sous-vêtements, mais qu'ils vont aussi lui laisser le plug anal dans le cul. Ils ne veulent pas qu'elle aille comme ça quelque part? Elle est certaine que la base du plug anal peut être vu sous sa jupe. Et les rues sont forcément pleines de monde, nous sommes un vendredi soir.

Mais clairement, ils n'ont pas l'intention de lui retirer le plug anal. Et malheureusement ils ne veulent pas non plus monter dans une voiture comme elle l'espérait. James enlève la laisse et lui dit de rester près d'eux ou elle en subira les conséquences. Ses maîtres sont vêtus de costumes et elle sait qu'elle doit faire tache entre eux deux. Ils marchent vers le centre-ville où se trouvent les pubs et les clubs. Emma peut sentir les yeux des gens sur elle.

Pourtant personne ne les approche pendant qu'ils marchent. En fait, Emma est soulagée d'être avec James et William. Elle suppose que c'est pour cette raison qu'elle n'est pas abordée. Finalement ils s'arrêtent pas loin d'un pub bondé de gens venus prendre un verre après le travail avant de commencer leur vraie soirée. La plupart des clients sont jeunes. Elle aurait pu en faire partie. James lui dit alors :

- Tu vas rentrer dans le pub, t'asseoir au bar et commander une vodka-coca. Tu peux croiser les jambes, mais si tu les décroises, tu n'es pas autorisée à les fermer. Tu souris à quiconque te regarde. Sois poli, mais pas trop affectueuse. Discute avec tous ceux qui t'approchent. Si quelqu'un te demande ton nom, tu dis que tu t'appelles Scarlett. Tu ne dis pas quel est ton travail. Si quelqu'un te demande pourquoi tu ne portes pas de sous-vêtements, tu dis que c'est parce que tu aimes que les gens voient ta chatte. Si quelqu'un te demande pourquoi tu as un plus dans le cul, tu dis que c'est parce que ça t'excite. Si quelqu'un te demande de se joindre à lui, tu acceptes, mais tu te débrouilles pour t'asseoir sur une chaise sans dossier et face à la foule. Si on te demande pourquoi tu dis que tu aimes être regardée. Si quelqu'un demande à voir ta chatte, tu lui montres. William et moi, nous ne serons pas loin. Mais tu ne dois pas nous regarder et montrer que tu nous connais. Nous allons veiller à ce que personne ne soit trop désagréable avec toi.

Emma pâlit à l'idée d'entrer dans ce pub bondé habillée comme elle l'est et aux réponses qu'elle est censée donner. Mais William la pousse vers l'établissement.

- Si tu finis ton verre, commandes-en un autre. Et continue jusqu'à ce que nous venions te chercher.

Emma prend une profonde inspiration et fait un pas en avant. Lentement, elle se dirige vers le pub. Les regards qu'on lui lance semblent beaucoup plus vicieux maintenant qu'elle est seule. Elle essaie d'ignorer les gens qui sont à l'extérieur et elle se fraie un chemin à travers la foule pour se rendre au bar. Elle monte sur un tabouret du mieux qu'elle le peut avec ses talons. Elle croise les jambes pour ne pas avoir à les garder ouvertes. Immédiatement elle se rend compte que ça ne fait que remonter sa jupe. Elle est encore plus certaine que son cul est visible. Avant de pouvoir décider de ce qui est le pire, le barman s'approche d'elle et fixe son décolleté.

- Je vais prendre une vodka-coca s'il vous plaît.

Le barman hoche la tête et prépare sa boisson. Dès qu'elle l'a en main, elle entend une voix ivre derrière elle :

- Putain, est-ce que cette fille a un putain de plug dans le cul?

L'homme ne se préoccupe pas de chuchoter. Emma peut entendre chaque mot. Elle ferme les yeux et prie pour qu'il ne s'approche pas d'elle. Puis elle sent une tape sur son épaule. Elle se tourne et sourit à l'homme comme il lui avait été ordonné.

- Oui?

C'est un homme jeune, dans les 25 ans, bien habillé. Elle devine que c'est le genre de garçon à siffler les femmes dans la rue. Ses amis sont assis à une table derrière lui et sourient comme des idiots en l'encourageant à continuer.

- Tu as un plug dans le cul?

Parlant le plus doucement possible, elle lui répond affirmativement. Elle continue de lui sourire et l'homme semble penser qu'elle est heureuse de lui parler.

- Les gars, venez!

Deux de ses amis le rejoignent et l'entourent. Elle sirote sa boisson pour prendre des forces et elle remarque que le barman a forcé sur la dose de vodka.

- Quel est ton nom, chérie?

- Scarlett!

- Et pourquoi tu as un plug dans le cul, Scarlett?

Elle redoutait cette question, mais elle est posée. De plus, la voix de l'homme est si forte qu'elle a attiré l'attention de tout le mond à proximité. Ils la regardent tous en attendant sa réponse. Tranquillement elle dit :

- Parce que ça m'excite.

- Putain, ça l'excite! Crie l'homme.

Une table avec des femmes la regarde avec un air dégoûté. Emma connaît ces regards. Ce sont les mêmes qu'elle faisait aux salopes qui portaient des vêtements révélateurs, et faisaient presque l'amour sur des pistes de danse. Elle voudrait s'enfoncer dans le sol et mourir.

- Tu veux nous rejoindre à notre table? Dit l'homme avec empressement.

- Oui merci!

Emma sourit toujours. Elle peut sentir leur excitation de rencontrer une telle salope dans un pub local.

Elle suit les trois hommes jusqu'à leur table où se trouve un groupe assis qui bave sur son décolleté. Elle prend le tabouret le plus près de la foule et s'assoit, en remerciant silencieusement les gars de ne pas lui demander pourquoi elle s'assoit là.

- Les gars, voici Scarlett. Elle a un plug dans le cul et elle dit que ça l'excite .

- C'est vraie chérie?

Emma regarde l'homme qui vient de lui parler. Elle lui sourit et lui répond :

- Oui c'est ça.

Les hommes rigolent en frappant la table du plat de la main.

- Tu es vraiment une putain de salope! Tu ne portes pas de sous-vêtements non plus, n'est-ce pas? Demande l'un d'eux.

- Non.

- Pourquoi?

Ils la regardent tous maintenant en attendant sa réponse.

- Parce que j'aime que les gens voient ma chatte.

Répondre ainsi fait rougir Emma. Elle grimace en voyant leur plaisir. Le premier homme dit alors :

- Mais nous ne pouvons pas voir ta chatte, Scarlett. Tes jambes sont croisées.

- Ouais, montre-nous ta chatte si tu aimes que les gens la voient.

Emma envisage à ce moment-là de fuir ce pub et de ne jamais revenir. Mais au lieu de ça, elle décroise lentement les jambes, s'installe sur la tabouret de façon à leur donner une vue dégagée, et ouvre les cuisses pour leur montrer sa chatte.

- Elle est rasée aussi!

Emma peut sentir les yeux de chaque homme dans le pub se tourner vers elle. Elle souhaite que les gars près d'elle baissent la voix. Les femmes à proximité lui lance des regards remplis de dégoût. Emma lutte contre l'envie de rechercher James et William parmi la clientèle pour qu'il la sauve. Mais bien sûr, ils ne le feront pas, c'est son rôle dans la vie maintenant.

- Très bien Scarlett, tu t'es bien amusé! Allons-y maintenant!

Emma se retourne pour voir William la regarder, les bras croisés.

- Hé, qui es-tu pour lui dire de partir? Elle s'amuse avec nous. Dit l'un des gars.

William se tourne vers lui et répond :

- Je suis l'homme qui va l'emmener pour l'éviter de flirter avec vous. Et à votre place, je ne m'approcherai pas trop d'elle. A moins que vous ne vouliez que vos bites tombent. Dieu seul sait toutes les maladies qu'elle doit avoir.

William lève Emma du tabouret et l'accompagne jusqu'à la porte. Les hommes et les femmes la regardent avec dégoût et crient des commentaires désobligeant pendant qu'elle passe.

James les suit, et ils marchent tous les trois dans la rue. Puis ils s'enfoncent dans une ruelle. James demande à Emma :

- As-tu aimé ça , salope?

- Oui Maître! Répond-elle.

Elle se sent humiliée, elle se sent pute. Et ils le savent.

- Pourquoi t'es-tu montré à toute cette foule?

- Pour montrer que je ne vaux rien Maître. Pour m'apprendre que je ne suis rien et que je peux être regardée par ceux qui veulent.

William dit alors d'un ton moqueur :

- Elle apprend vite je dois dire. Tu as bien obéi et nous ne te punirons pas. Mais tu es quand même une sacrée pute pour l'avoir fait.

Le visage d'Emma rougit encore plus, mais elle ne dit rien.

- C'est le début de la nuit, et ce n'était que l'échauffement. Dit James avec délectation.

Les deux gars la poussent hors de la ruelle et ils appellent un taxi.

A suivre...

jeudi 27 janvier 2022

Paiement de loyer - Ch. 08

Texte de gkcdqho

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Le soir.

J'embrasse Léo pour lui dire au revoir. En vérité, j'essaie de le faire partir au plus vite. Ma grotte frissonne d'anticipation. Dès qu'il est parti, je vais directement dans la chambre et j'étale sur le lit tous mes vêtements de pute. Un par un je les essaie devant le miroir pour trouver celui qui fait le plus salope.

Finalement je me décide quelques minutes avant l'arrivée de Mr Alain. Je prends une mini-jupe très courte, un haut moulant, des bas et un porte-jarretelle beige ainsi que des talons hauts. Mes seins sont si gros qu'ils tendent au maximum le tissu de mon haut. On peut voir mes mamelons à travers le tissu. Je ne mets ni soutien-gorge ni culotte. Je me maquille et je redresse mes cheveux pour mieux ressembler à une prostituée. 

Mon propriétaire arrive et aime ce qu'il voit. Il me sourit et dit :

- Bien Léa, tu es une bonne fille.

Il passe sa main entre mes cuisses. Il me caresse doucement et continue jusqu'à ce qu'il atteigne ma moule.

- Tu n'as pas de culotte, tu es si humide ?

C'est vrai, je peux presque sentir mon jus couler sur mes jambes alors qu'il glisse ses doigts dans mon antre. Ensuite, il me tripote la poitrine et sors un de mes seins. Il commence à pincer mon téton. Puis il passe derrière moi et me penche sur le canapé. Je crois qu'il veut me baiser avant que l'on parte. Je le veux aussi. Mais je sais que sa queue est trop petite pour satisfaire ma moule insatiable.

Tandis que je me penche sur le canapé, il remonte ma jupe et se baisse pour me lécher la moule. Il enfonce sa langue dans mon puits humide. Ça me fait du bien, il y a longtemps que personne ne m'a mangé la moule, j'avais oublié à quel point c'est bon. Je bouge mes hanches sur sa langue et bientôt il s'intéresse à mon trou du cul.

- Oh ! MMMM ! OOOHH ! Soupiré-je.

Je sens bien sa langue dans mon cul. J'en ai souvent eu envie, mais mon Léo a toujours refusé, il dit que c'est dégoûtant. Peut-être que la seule chose que je déteste chez Léo, c'est qu'il est toujours réticent à essayer des choses nouvelles. Étonnamment il est très strict et très pudique alors il désapprouve les tenues trop sexy et les comportements osés. Il est très prude.

Aujourd'hui je profite de ma première feuille de rose. Mr Alain a une petite bite, mais il est très habile avec sa langue.

- OOHHH ! Mr Alain allez-y, lécher mon petit trou, c'est si bon. OOOHHHH!

Je sais qu'il aime que je l'appelle Mr Alain. Il enlève sa langue de mon cul puis il me sodomise. Je gémis. 

- OOH ! La vache, c'est serré ! Dit-il.

Il pose ses mains sur mes hanches et commence furieusement à m'enculer avec passion. Je sens très bien sa bite et ça me fait jouir. Il gifle mes fesses, il me traite de sale pute tout en me labourant le fion. Sans surprise, il ne peut tenir longtemps avant que je ne le sente se raidir et vider ses couilles dans le puits de mes reins.

- OH OUI ! Léa ! Tu es ma grosse salope !

Il retire sa queue et du sperme sort de mon fondement.

- Bon ! Léa, je veux que tu avales tout ce sperme. Ne gaspille pas une seule goutte.

Je lui obéis. Je doigte mon cul pour récupérer autant de sperme que possible. Heureusement que je me suis bien lavé auparavant. Son sperme est assez épicé. Quand il est satisfait de mon nettoyage, il me dit d'aller me laver. Comme il ne veut pas que je porte de culotte, il ne veut pas que je fuis sur les sièges de sa BMW.

Nous quittons l'immeuble et nous prenons une route différente de la dernière fois. Je ne sais pas où mène la route sur laquelle conduit mon propriétaire. Mr Alain gare son véhicule dans une impasse peu fréquentée, il vient ouvrir ma portière et m’aide à mettre de l’ordre dans mes vêtements. Nous marchons une centaine de mètres pour arriver devant une petite porte. Mr Alain compose le code d’entrée et nous entrons. Il s’agit de la porte de service d’un sex-shop avec salles de projection individuelles. Mr Alain me guide vers une petite salle où un noir, d’un certain âge comme l’atteste ses cheveux gris, entièrement nu, nous attend. Grand et musclé, son sexe d’une taille hors norme, bien qu’au repos, pend.

- Voici Léa, une gentille petite épouse qui ne peut, elle aussi, payer son loyer. Elle aime se faire fourrer et connaître le grand frisson d’être traitée comme une pute soumise. Léa, je te présente Momo. Il va bien s’occuper de toi.

Momo s’adresse directement à Mr Alain.

- Et tu lui as dit pourquoi elle est là, Alain ?

- Non, je lui ai simplement dit qu’un black bien équipé la soulagera.

Momo sourit et ordonne :

- Enlève-lui ses vêtements, je veux la voir nue.

Mr Alain me déshabille. Je le laisse faire. Momo s’approche de moi et me prend les seins dans ses grandes mains, il les soupèse comme de la marchandise, les triture et en étire les bouts.

- Pas mal ? Celle-là nous rapportera beaucoup plus avec ses seins de taille supérieure.

Brusquement il me tord cruellement les mamelons. Je crie de douleur. Mr Alain, qui se tient derrière moi, m’immobilise et me fait taire en appliquant une main sur ma bouche.

- C’est juste un rappel, pour que tu saches qui est le maître, et que tu sois obéissante. Ce sera bien pire si nous ne sommes pas content de toi.

Momo se fait beaucoup plus doux pour caresser mon pubis et ma moule lisses, avant de m'enfoncer deux doigts dans ma grotte, qui secrète des gouttes de mouille lorsque que ces doigts me branlent. Puis Momo joue avec les grandes et petites lèvres de ma moule, les palpent et les écartent comme un maquignon à la foire aux bestiaux.

- Tu as raison, ça vaut le coup qu’on s’occupe d’elle. Dit-il enfin.

- Elle est bien faite et son visage est avenant. Elle n’est pas vieille, c’est une jeunotte qui peut encore servir longtemps.

Je suis, à la fois effrayée et excitée, incapable de me révolter, j'éprouve un plaisir malsain à être traitée comme une esclave soumise.

- Elle n’est pas graissée. Dit Mr Alain.

- J’ai ce qu’il faut. 

Momo sort de la pièce et revient quelques minutes plus tard avec un tout jeune homme noir, lui aussi nu, qui a dans une main un pot de lubrifiant et dans l’autre une boite de préservatifs.

- Prépare la ! Demande Momo au jeune homme.

Entre-temps, Mr Alain m'a ordonné de me positionner à genoux par terre, le buste reposant sur l’assise du canapé et d’écarter mes fesses.

Le jeune homme m'enduit l’anus du gel lubrifiant, me pénétrant de ses doigts au plus profond. Son sexe, qu’il a long, mais fin, durcit rapidement, privilège de la jeunesse. Il enfile un préservatif et enduit son sexe ainsi équipé d’une bonne dose de lubrifiant. Il se positionne derrière moi et me sodomise sans un mot. D’abord lentement, mais quand je commence à gémir, il m'attrape aux hanches et augmente la cadence. Même dans la condition dégradante où je suis réduite, je reste victime de mes sens et je me mets à gémir. Constatant que la pénétration se fait maintenant sans difficultés, Momo s’adresse au jeune Ali.

- Elle est prête, c’est à mon tour.

Ali se retire de mon fondement. Momo prend sa place et enfonce son sexe imposant dans le puits d'amour de mes reins d’un brutal coup de reins. Je hurle de douleur, avec l’impression que je vais être fendue en deux. Momo reste un moment immobile, le temps que la douleur diminue, puis se met en mouvement, doucement. Le plaisir m'envahit peu à peu. Je n’avais jamais connu une sensation aussi forte de ce côté là.

- Elle te plaît, la grosse queue du black ? Me murmure Mr Alain qui me tient par les cheveux.

- OH ! Oui ! Elle me remplit bien.

Momo continue à me pilonner, sans hâte. Je gémis de plaisir, respirant difficilement et par saccades. Lui, il accélère la cadence.

- Ça te plaît qu’on te traite comme une vrai putain ? D’être totalement soumise ? Insiste Mr Alain.

Je ne réponds pas, trop bouleversée par ce que je vis, mais je suis soulevée par une jouissance brutale. Momo maintient son sexe au plus profond de mon rectum tant que je suis animée de tremblements, puis il se retire de mon puits d'amour arrière, devenu un trou béant. Aucun des trois hommes présents n’a éjaculé.

Mr Alain me laisse quelques minutes pour récupérer puis il me demande de me lever et de le suivre. Il me conduit dans une pièce dont les murs sont constitués de miroirs et le sol recouvert d’une moquette rouge. Une sorte de lit rond tourne au milieu.

- C’est un peep-show. Dans un quart d’heure, il y aura des hommes derrière ces miroirs qui vont se branler en te regardant te faire sodomiser successivement par Ali et Momo. Ce que tu viens de subir est une répétition. Il faut te préparer.

Mr Alain me ramène dans la première pièce. Les deux blacks n’y sont plus, mais une femme, d’une cinquantaine d’années, encore belle, vient nous rejoindre. Elle me nettoie l’entrejambe, qui est luisant de mouille, avec une lingette. Elle me fait asseoir et refait totalement mon maquillage. Elle finit quand on entend l’appel à venir :

- Apprécier un spectacle inédit au peep-show : Une jeune bourgeoise sodomisée par deux blacks.

Mr Alain me reconduit vers la pièce du peep-show et me pousse avec autorité sur le lit rond. Momo entre à ma suite et m'intime l’ordre de m’agenouiller, ce que je fait docilement, avec un sentiment de crainte, mais aussi d’excitation, espérant secrètement retrouver les sensations vécues lors de ma première sodomie. Momo se place devant moi et me met son sexe imposant dans la bouche.

D’une main, il tient ma tête pour m'imposer sa domination. Sa queue grossit rapidement dans ma bouche, m’étouffant presque. Je me mets à le pomper, je ne suis plus qu’une femelle appliquée à donner du plaisir à un homme.

Ali entre alors. Il vient se placer derrière moi et me sodomise comme il l’a fait la première fois. Quand Momo lui signifie de lui céder sa place, il se retire et se précipite pour enlever le préservatif et faire gicler plusieurs jets de sperme sur mon visage. Je n'ai pas eu le temps d'ouvrir la bouche.

Quand Momo me sodomise à son tour, je souffre moins que lors de la répétition. Sodomisée par un black puissant qui me remplit comme je ne l’ai jamais été, je sens le plaisir monter. Mon regard capte mon image dans les glaces : maquillée comme une pute et le visage maculé de sperme, les seins ballottant. Je pense aux hommes qui se masturbent en me voyant ainsi et cela m’affole les sens, précipitant un orgasme dévastateur qui me fait presque perdre connaissance.

Maintenue à quatre pattes par les deux hommes, Momo m’encule jusqu’à ce que la fin de la séance soit annoncée. Il sort alors de mon cul, retire le préservatif et éjacule sur mes fesses, qu’il écarte ensuite afin de montrer mon trou de balle élargi aux spectateurs invisibles, le temps que le lit fasse deux tours.

C'est dans un état second que je suis transportée dans une salle de bains ou la femme, qui m’avait précédemment maquillée, s’occupe de moi. Je prends un long bain chaud afin de récupérer, je suis démaquillée, mon rectum enduit d’une crème apaisante. Elle m'apporte mes vêtements et m’aide à m’habiller. Momo vient saluer Mr Alain et le complimente.

- Celle-là manque d’endurance, elle jouit trop vite, mais c’est bien pour un début : les clients ont été satisfaits. On la reprend quand tu veux.

Nous quittons tous les deux cet endroit de luxure. Dans la voiture, je m’effondre en larmes.

- Je suis vraiment devenue une pute. Vous m'avez fait enculer par ces deux salauds sans que je puisse me défendre et je n’ai pas pu m’empêcher de jouir…

Mr Alain me prend dans ses bras et me console, puis avec sa voix envoûtante, il me répond :

- C’est parce que ça te plaît d’être traitée comme une vrai putain, c’est un vieux fantasme. Ces jouissances perverses viennent de ta nature profonde. Tu aimes les grosses bites, c'est comme ça, tu n'y peux rien. Tu dois l’accepter… Et je peux te faire connaître des jouissances encore plus intenses… Es-tu prête à aller plus loin ?

Il marque une pause, puis, comme je ne réponds pas :

- Demain, nous ne nous verrons pas, mais je te téléphonerais. Tu iras donner du plaisir à Mario, il t’enfilera dans ton cul lubrifié. Tu réfléchiras à ce qui vient de se passer et à ce que je t’ai dit.

Il la dépose enfin chez elle. 

A suivre...

mardi 25 janvier 2022

Vacances sauvages Ch. 01

 Texte de Coulybaca.

 ****

Céline fête son bac.

Céline MARLIN et Hélène RUPERT, sa cousine, toutes deux juste 18 ans,  se trouvaient  sur le parvis du lycée en compagnie de Denise HUTIN la sœur aînée de Céline. Elles attendaient depuis une bonne demi-heure qu'on affichât les résultats du bac.

Ses vacances en dépendaient. En cas de succès, ses parents lui avaient permis de partir en vacances avec sa cousine et sa sœur aînée qui profitait d'un stage de son mari aux USA pour arpenter le massif central en faisant du camping sauvage. Elle s'était vantée auprès de ses copains et copines de partir bientôt en compagnie de deux autres filles dans des contrées encore sauvage de la France profonde, se targuant presque de participer à une expérience de survie.

Les motivations de sa sœur aînée étaient toutes autres. Après une longue année de tracas et d'ennuis au niveau du boulot, de séparations inopinées avec son mari fréquemment convoqué dans des séminaires et des stages à l'étranger, elle avait besoin de se ressourcer, de faire le vide, de s'éloigner des circuits touristiques traditionnels.

Elles étaient toute trois inconscientes que des yeux pervers les surveillaient. Robert, Denis et leurs amis avaient monté des plans pour se ménager les faveurs des trois ravissantes jeunes femmes. Ils savaient n'avoir aucune chance en leur faisant la cour, aussi avaient-ils mijoté de suivre leur expédition pour les réduire en esclavage sexuel. Ils attendaient donc les résultats avec autant d'impatience que les impétrantes, conscients que leur objectif nécessitait qu'elles soient isolées.

Enfin le factotum sortit de son bureau, deux longues feuilles à la main. Il les agrafa sur le tableau de communication, il s'agissait de la liste alphabétique des récipiendaires.

Denise s'approcha seule, Hélène et Céline craignait trop d'avoir échoué pour oser lire la feuille. Un large sourire illumina son visage tandis qu'elle se tournait vers les deux jeunettes :

- Vous avez toutes deux la mention Assez Bien... Je crois que cette fois, vous m'accompagnez pour les vacances... On partira après demain.

La semaine suivante, elles plantaient leurs tentes sur la rive sud du lac de la Vaux Gelade. Elles étaient remontées par les petits patelins, arrivant par les Salles puis Senoueix, avant de gagner le lac en empruntant des chemins vicinaux. Elle ne croisèrent pas âme qui vive, cet endroit correspondait exactement à leurs recherches, un lieu sauvage, quasi inviolé, où les portables ne fonctionnaient pas.

Elles avaient amenés d'importantes provisions, sachant qu'il leur faudrait remonter à 50 km de là pour trouver un supermarché ou renouveler leurs réserves. Elles avaient amenés une grande tente style armée qui leur servirait de salle de vie, les cantines réfrigérées étaient rangées à l'ombre des arbres près de l'eau. L'espace de Denise était garé non loin, dans une autre zone d'ombre.

Elles vaquèrent le reste de l'après midi à leur installation, créant un camp douillet et confortable. Le soir, elles venaient de manger et écoutaient Denise chanter en s'accompagnant à la guitare lorsque l'enfer fondit sur elles.

Ce fut d'abord des profonds vrombissements qui retentirent dans le chemin de terre menant à leur campement. Cinq motos surgirent de l'ombre. Inquiètes, elles se demandaient qui venaient ainsi les déranger.

Les deux cousines frémirent en identifiant trois des motards qui venaient d'enlever leurs casques. Elles connaissaient Robert et Denis MURSEAU, ainsi qu'Ibrahim RAMA, les deux autres, deux arabes leur étaient inconnus.

- Eh bien mes poulettes heureuse de nous voir ?" Les interrogea Ibrahim.

Hélène et Céline frémirent, elles avaient osé repousser leurs avances lors d'une soirée organisée par le lycée, et ils les avaient clairement menacées de représailles. Elles craignaient vivement qu'ils soient là dans ce but.

- Quelle hasard, qu'est ce qui vous a décidé à venir vous perdre ici ? Demanda Denise ignorante du danger.

- Ca ne doit rien au hasard. Répliquèrent Robert et Denis, on a eu assez de mal à découvrir où vous alliez. Finalement c'est le pompiste avec qui vous avez calculé vos besoins de gasoil qui nous a renseigné involontairement. On savait que vous veniez dans ce coin, aussi quand on a prétendu à notre tour étudier notre budget essence, il nous a dit ce que vous aviez compté pour rejoindre le lac de la Vaux Gelade. Nous sommes arrivés vers 13 heures, et depuis on vous cherche.

- Mais que... Pourquoi... Pourquoi venir nous rejoindre ? On a rien à voir ensemble." S'inquiéta soudain Denise se rendant compte que l'atmosphère s'épaississait.

- Tu demanderas à tes cousines. Rugit Ibrahim s'impatientant.

- Bon les gars, moi j'prends la plus vieille, vous vous débrouillez avec les deux autres. Siffla Ibrahim d'une voix autoritaire.

- "Mais que... Ca va pas non..." Se rebella instantanément Denise.

Ne tolérant aucune révolte, Ibrahim lui colla un violent aller et retour qui laissa ses doigts imprimés en rouge sur ses joues. Incrédule, hagarde, elle le regardait terrorisée, jamais personne n'avait porté la main sur elle, et cette découverte conjointe de la violence et de sa lâcheté la perturbait profondément. Elle réalisait qu'elle était prête à tout pour s'éviter une autre paire de gifle, qu'il lui suffisait de commander, et elle une adulte faite, elle qui commandait à des dizaines d'employés elle ferait ses quatre volontés.

Conscient de l'avoir brisée, Ibrahim annonça s'adressant à ses comparses :

- Je n'sais pas vous, mais moi j'aime bien voir ce que j'm'octroie. A poil la belle !

- Mais vous êtes fous. Jamais je ne...

Il lui suffit de lever la main, et se lamentant à voix basse, elle entreprit de déboutonner sa robe d'été. Ils avaient tout cinq prit place sur les banquettes de l'estafette qu'elles avaient démontées pour disposer de sièges confortables.

Robert avait attiré Hélène sur ses genoux, Denis tenait Céline le long entre ses jambes.

Denise avait ôté sa robe, elle ne portait plus qu'un froufroutant soutien gorge assorti à sa petite culotte en dentelle. Elle hésitait. Ibrahim se leva menaçant, et frissonnante comme une feuille, elle dégrafa son soutien-gorge et le laissa choir au sol, cherchant à dissimuler son opulente poitrine en croisant un bras dessus.

Robert avait glissé la main sous la jupe Hélène qui yeux braqués sur Denise ne se rendait pas compte de l'évolution de sa situation. Denis caressait lascivement les fesses de Céline qui laissait faire pour l'instant.

Ibrahim attira Denise à lui. Elle se laissa guider mollement. il passa les doigts dans la ceinture élastique de son cache sexe et le roula sur ses hanches, puis sur ses mollets. Docilement elle leva une jambe puis l'autre pour qu'il l'en débarrasse puis l'ordre claqua :

- Mets tes bras le long du corps ! Tourne sur toi-même ! Beau cul, approche !

Et le tâtant il put affirmer :

- "Bien ferme !

Il lui soupesa les nichons avant de la prendre sur ses genoux, lui intimant :

- Et maintenant roule moi une pelle !

Servilement elle prit place sur ses genoux, tendant ses lèvres. Il lui roula un patin passionné, lui explorant les amygdales de la langue. Elle se laissait toujours faire, inerte. Soudain il la saisit par les cheveux, lui tira la tête en arrière et lui remit une nouvelle gifle, moins violente toutefois, et comme égarée elle le regardait incompréhensive, il lui expliqua :

- C'est bien gentil de te laisser faire mollement, mais je ne veux pas d'un mou de veau ! Tu dois me donner du plaisir. Tu dois participer !

Cette fois elle se pencha sur lui et ils virent tous clairement que c'est elle qui glissait sa langue dans sa bouche, l'entortillant savamment autour de la sienne, tandis qu'il jouait avec ses mamelons.

C'est à cet instant que retentit une gifle sonore : Hélène, s'apercevant du manège de Robert qui avait inséré deux doigts dans la culotte, venait de la calotter de rude façon. A ce mouvement de révolte, Céline, à son tour, prenant conscience des sournois agissements de Denis, se mit à se débattre.

Ibrahim qui paraissait le chef leur ordonna :

- Amed, Moktar donnez leur un coup de main. Liez-les sur ce tronc en vis-à-vis. commanda-il pointant le dos sur une grosse grume à 5 mètres du camp.

S'emparant de cordes dans les sacoches de leurs motos, ils les lièrent face contre le tronc, bras liés sous le tronc, visage contre visage. Leur premier geste fut de retrousser leurs jupes au-delà de la taille, puis de leur arracher leurs petites culottes, derniers voiles protégeant leurs appâts.

- Robert, Denis, à vous de commencer ! Pensez à la façon dont elles vous ont traités au bal de fin d'année.

Elles blêmirent toutes deux, ainsi ils étaient bien là pour se venger. Les premiers coups assénés du plat de la main ne leur firent pas grand mal, mais bientôt la force des coups s'amplifia, leurs tourmenteurs se relayant lorsqu'ils étaient fatigués. Ils frappaient pour faire mal, pour briser leur résistance.

Lorsqu'ils cessèrent, elles avaient déjà hurlé leur douleur à pleine gorge, ce qui ne gênait d'ailleurs personne au vu de la solitude des lieux. Leurs fesses écarlates fumaient. De la paume de la main, Robert caressait la croupe d'Hélène qui reprit ses invectives.

- C'est loin de suffire ! Décréta Ibrahim, Suspendez-les à une branche et reprenez la correction avec la ceinture !

- Non... Nonnnnnnn... Je vous en prie... Pas ça... S'il vous plait... Je ferai tout ce que vous voudrez... Mais pas ça...

Faisant fi de leurs supplications, à quatre, ils les suspendirent par les mains à des branches hautes, réglant la corde pour qu'elles soient obligées de se tenir sur la plante des pieds. Effrayées par ce qui allait leur arriver, geignantes, elles ne pipèrent mot lorsqu'ils les dénudèrent totalement.

Le spectacle était ravissant, leurs muscles et leurs charmes étaient mis en valeur par l'étirement de leurs muscles, elles frissonnaient déjà de peur.

Denise affolée par ce spectacle, écœurée par sa lâcheté, livrait son corps à la lubricité d'Ibrahim. Il avait commencé par la doigter, enfonçant lascivement ses doigts dans sa fente, la parcourant lentement, lui roulant le clito entre pouce et index alors qu'il mordillait ses mamelons. Puis il s'écarta légèrement. Comprenant le message, elle lui roula une pelle fiévreuse, se releva et se rassit empoignant sa bite à pleine main pour la guider dans son intimité.

D'un seul élan, elle s'empala jusqu'à la garde sur la flamberge dressée, puis lentement elle se releva pour à nouveau s'empaler sur lui. Tout en le baisant de haut en bas, elle crispait et décrispait ses muscles vaginaux, jouant avec sa hampe qu'elle enserrait dans un gant d'acier avant de relâcher la pression pour mieux la remettre en suite.

Les cris des deux suppliciées reprirent. Ceinture en main, Robert et Denis les fouettait cruellement, variant les temps d'attente entre deux coups, tournant autour d'elles, leur interdisant de prévoir les coups, fouettant leurs croupes, leurs poitrines, et même leurs chattes. Les deux fille hurlaient des sons inarticulées, on identifiait parfois un mot, mais à peine.

- "Aiiiiiieeeeeee... J'ai.. Nonnnnnn... Ahhhhhhh... Ohhhhhhhh.. Nonnnnnnnnnnn... Maaaaaal... Trop maaalllll... Arrêteeeez... Je vous en prie... Je... Je ferai... Tout... Tout... Aieeeeeeeeeee... Nonnnnnnnnnn...

Soudain Robert cessa ses coups, il lui prit le menton d'Hélène et lui demanda :

- Tu vas faire tout ce que je veux ? Que me promets tu ?

- Je... Je vous ferai l'amour... Comme vous voudrez...

Il releva la ceinture, visiblement insatisfait :

- Tu crois tout de même pas que ça suffira pour te faire pardonner... Et parle comme nous... Sois vulgaire si tu veux être comprise... Et ta bouche... Et ton cul...

Comme elle hésitait à répondre, la ceinture s'abattit sur ses flancs, elle hurla et reprit :

- Je... Je me ferai baiser en chatte... Je me ferai... Baiser en cul... Tu disposeras de ma bouche... Quand tu voudras... 

Il la coupa précisant :

- En fait c'est d'une petite esclave que j'ai besoin. Une bonne salope que je baiserai dans le con, la bouche et le cul. Qui sera toujours disponible. Que je prêterai aux copains. Que je mettrai sur le trottoir quand j'aurai besoin de fric. T'es toujours d'accord ma chérie ?

Elle hésita à nouveau, mais comme il relevait sa ceinture elle se jeta :

- Je serai ton esclave. Tu feras de moi ce que tu voudras. Je ferai la pute pour toi. Mais je t'en prie ne me bats plus...

Denise, affolée par ce spectacle, s'enfonça jusqu'à la garde sur la queue de son "amant" et se mit à gémir terrassée par un intense orgasme :

- "Ohhhhhhh... Ouiiiiiiiiiiiii... ouiiiiiiiiiiiiiii... Je jouiiiiiiis... Oh Ouiiiiiiii... Ahhhhhhhhhh... Embrasse-moi... Ohhhhhhhh... Encore... 

Elle sentit à ce moment un jet chaud lui tapisser l'utérus. Ibrahim, satisfait de sa petite pute, lui arrosait les intérieurs en l'embrassant à pleine bouche.

Pendant ce temps Ahmed détachait Hélène. D'une main sur l'épaule Robert lui enjoignait de s'agenouiller, ce qu'elle fit avec docilité. Empoignant sa bite dressée, elle l'emboucha, déterminée à lui complaire.

Malgré son manque d'expérience, elle se fit chatte, enveloppant sa langue autour de sa hampe, titillant le gland, serrant les lèvres sur sa virilité, alignant sa tête pour qu'il la pénètre en pleine gorge, heurtant la luette. Mais il était trop excité, lui interdisant tout retrait en lui bloquant la nuque, il se vida à grosse giclées dans son arrière gorge très vite inondée. Au bord de l'étouffement, elle cracha, toussa avant de prendre le rythme, déglutissant au fur et à mesure qu'il jutait. Retirant la bite de sa bouche, en bonne petite ménagère;, elle nettoya la hampe souillée de la pointe de la langue, avant de prendre la bite d'Ahmed qui patientait.

Ibrahim appuyant sur l'épaule de Denise l'invita à s'occuper de sa bite ave la bouche. Docilement elle se posta entres ses cuisses, et emboucha servilement sa bite qui reprenait vigueur.

Céline, toujours suspendue à sa branche, pendait mollement au bout de sa corde, Denis se retourna vers elle, elle avait compris la leçon le suppliant à son tour :

- Moi aussi je serai ton esclave. Tu feras de moi tout ce que tu voudras. Je serai disponible. Mais je t'en prie ne me bats pas.

Sur un signe de Denis, Moktar la détacha la disposant à quatre pattes. Elle comprit immédiatement, ils allaient l'embrocher par deux extrémités. Et effectivement, Moktar se dénuda rapidement et présenta une bite de bonne taille à la convoitise de ses lèvres. Décidée elle aussi à leur complaire, par peur des coups, elle tendit une langue impatiente et l'accueillit dans sa chaude caverne buccale. Pendant ce temps, Denis lui écartait les fesses, parcourait d'un main curieuse sa raie culière, et d'un seul élan il enfourna sa bite dans sa fente détrempée.

C'était leur premier jour de vacances, et elles qui recherchaient la vie sauvage étaient servies. Céline était embrochée par ses deux bouts et elle faisait de son mieux pour les satisfaire, alors que Denise et Céline accordaient des gâteries à leurs agresseurs.

Ils conclurent tous rapidement se vidant les couilles dans le trou choisi.  Puis claquant le cul de Denise Ibrahim leur indiqua :

- Allez les filles... Il est temps de préparer le repas !

- Mais... Nous sommes nues... Ne pourrait-on ? 

- T'as vraiment besoin d'être vêtue pour faire à manger ? Non... Alors vous êtes très bien comme ça. Et de plus le spectacle est charmant !

A suivre...

dimanche 23 janvier 2022

Comment je suis devenu cocu et ma femme soumise Ch. 16

  Auteur inconnu.

Et un autre homme arrive chez le cocu.

Sarah revient quelques instants plus tard. Elle a remis un string en dentelle rose bonbon, mais elle reste seins nus. Youss et Akim posent le regard sur ses beaux seins, droits comme deux obus. Elle cherche son soutien-gorge, mais Akim l'attrape en arrivant derrière elle, il pose ses mains sur ses seins et lui dit :

- Attends, tu vas pas te rhabiller, là ?

Il est toujours habillé, mais en la tripotant, il enlève son tee-shirt d'une main, et frotte sa braguette contre ses fesses. Elle se laisse faire, mais dit  :

- Attends, attends...

Le colosse sort sa bite de sa braguette et lui dit :

 - Salope, j'attends pas, vas-y suce !! Allez suce grosse chienne !

Il lui appuie sur la tête, elle se met à genoux, en culotte et toujours seins nus, et elle ouvre la bouche. Elle prend sa queue dans une main, et elle le regarde avec des yeux de chatte. Elle sort sa langue pour mettre un petit coup sur le gland histoire de le chauffer encore un peu plus s’il en était encore besoin. Il lui tient les cheveux et lui enfourne autoritairement sa bite dans la bouche. Elle ferme les lèvres et commence à pomper, mais ça ne suffit pas à son bourreau, il se branle dans sa bouche en donnant des coups de queue entre les lèvres de ma femme. Youss lui dit :

- Eh elle étouffe à moitié. Fais gaffe poto avec ta queue dans sa gorge.

- Putain, rien à foutre, faut qu'elle me pompe cette pute !

- Ouais t’as pas tort négro ! En plus elle est comme les autres française elle kiffe ça. Mate là qu’elle se branle la moule la poufiasse.

En effet ma femme a une main dans son string qui s’agite frénétiquement. Ma si douce épouse en général se transforme et descend le pantalon d’Akim et son caleçon avec son autre main et elle lui caresse les couilles et les fesses. Il finit d'enlever son futal en levant les pieds et il balance ses baskets tout en donnant des coups de bite sur le visage de Sarah. Les filets de bave s’écrasent sur son visage angélique. Elle ouvre toujours la bouche et il rigole :

- Putain elle en redemande cette meuf, c'est un vrai garage à bites ! On a bien fait de venir !

- Au fait, il va bientôt revenir, l'autre cocu, dit Youss en se massant la queue.

- Rien à foutre. Suce salope !

 Akim est debout, Sarah à genou devant lui, sa grosse queue enfoncée dans sa bouche qui salive sur ce beau morceau de chair, et Youss est assis sur le canapé, les jambes écartées. Il regarde les seins de Sarah qui bougent au rythme où elle suce la queue de son pote. Le spectacle lui fait de l'effet, et sa queue recommence à raidir. Son pote le voit et diT :

- Ben t'es en forme mon frère !!

Il prend la tête de ma femme pour lui faire lâcher sa bite, lui passe sa ceinture autour du coup pour lui faire une laisse, la fait marcher à 4 pattes et il vient s'asseoir à côté de son pote de baise. Les jambes écartées aussi, il lui lance : 

- Allez viens, fais-toi plaisir, régale-toi ma salope, deux grosses queues de mecs à sucer rien que pour toi !

- C’est pas tous les jours que t’as ça avec M. Blanc-bec.

Sarah vient à quatre pattes. Elle prend la bite de Youss en bouche et commence à la sucer en gorge profonde, en levant les yeux vers lui qui lui dit :

- Malaxe-toi les seins, grosse pute !

Soumise elle obéit. La vision de cette belle salope en train de le pomper et de se toucher les seins les fait bander encore plus dur. Akim réclame :

- A moi, à moi !

Sarah se précipite sur sa bite et l'avale à son tour. Il pousse un soupir de plaisir et rejette la tête en arrière. Pendant ce temps, Youss se lève, va chercher son portable qui traîne dans la poche de son jogging, et revient sur le canapé, en position pour se faire sucer le zob. 

Sarah alterne, allant d'une bite à l'autre, branlant leurs deux queues avec ses petites mains manucurées. Youss mets son portable en caméra et commence à la filmer en train de les branler et les sucer. Juste un petit film de 30 secondes, mais il l'envoie illico à plusieurs potes, avec un message donnant l'adresse de mon appartement et en signant le message avec son prénom et celui de son pote.

A ce moment, ils entendent la porte de l'appart s'ouvrir, c'est moi qui reviens avec un dossier sous le bras. J'entre dans le salon, je vois leurs deux queues énormes et dressées, et ma femme qui suce les bites en alternance. C'est bien ce que je savais qui allait se passer et c'est pour un truc dans ce genre qu’on les a invité à dîner. Je suis quand même choqué, c'est dur de les voir comme ça. Alors je geins un peu :

- Ah non, c'est dingue, vous pouvez pas faire ça, c'est dégueulasse de vous faire sucer par ma femme dès que j'ai le dos tourné !

Sarah étant en train de pomper Akim, il lui appuie sur la tête pour l'empêcher d'arrêter, et il me menace :

- Tu fermes ta gueule, cocu, ou bien on te passe à tabac ! 

Youss se lève, la queue toujours en érection et vient vers moi. Je laisse tomber mon dossier, je m'attends à prendre un coup de poing, mais il me tapote juste la joue avec sa main gigantesque qui sent le jus de Sarah. Il me souris gentiment et me murmure :

 - Allez, fermes-la connard, on va juter sur ta meuf. Viens !

- Prends à boire cocu ! J’ai soif à force de nourrir ta pouf.

- Ouais lol tu pourras te bourrer la gueule pendant qu’on bourre la pétasse.

Je vais vite dans la cuisine sous les rires des deux athlètes. Akim, toujours en train de se faire sucer, tire sur la ceinture pour relever la tête de Sarah. C’est un spectacle hallucinant, le visage est maculé de sperme et de bave, le maquillage a coulé mais elle semble être ravie de sa situation. Elle lui sourit et lui en remerciement lui met des claques. Il lui crache dessus et la fait replonger sur sa queue tendue au maximum. Youss revient à côté de lui, dit à ma femme :

- Allez mange-moi la queue, pétasse !

Et il et lui prend la tête pour qu'elle s’étouffe sur son gros membre.

A ce moment-là, on sonne à la porte. Akim se lève pour ouvrir, nu, la bite à l'air. Je prie pour que ce ne soit pas un voisin attiré par le bruit. C'est un de leurs potes, un gros arabe qui habite près de chez moi, qui a reçu le MMS et qui rapplique, à l'affût d'un coup à tirer dans la chatte d'une bombasse. Akim le fait entrer, il arrive au salon, il voit ma femme en train de sucer comme une affamée. Il me croise alors que j'arrive avec un plateau rempli de bonnes bouteilles, la mine déconfite, et il se marre comme un dingue. Il dit : 

 - Putain Akim c'est le mari ????

- Ouais Rachid c’est le cocu. Youss l’a viré de l’appart pour qu’on farcisse la dinde.

- Putain elle est encore plus bonne que la petite Melissa de la cité. Elle a compris qui c’était les patrons.

- Clair poto, elle a pas dit non longtemps avant de montrer que c’est une bonne blanche à blacks.

- En même temps quand tu vois la gueule du mec elle doit pas jouir souvent.

Sur ces mots gentils à mon égard il se dessape rapidement. 

Youss sent que ça monte, il regarde les lèvres et la langue de Sarah le sucer amoureusement, son gland gonfle, gonfle, gonfle encore… Il interpelle tout le monde et tout d'un coup il lui jute au visage. Il lui renfourne la bite dans la bouche pour finir de jouir au fond de sa gorge en disant :

- Et voilà un beau maquillage pour montrer comme tu es une pute de bas niveau. Allez, avale bien pour rien gâcher de mon foutre d’Afrique.

 - Putain de merde, sans capote ??

- J'lui ai déjà joui dans la chatte tout à l'heure.

- OHHHHH NOOOOOOOON, pas ça, elle prend pas la pilule. Dis-je en pleurnichant.

- Ahahahahah, trop bon ça, un petit métisse ! En plus oui il était pas au courant que Youss avait baisé la petite feuj et en plus sans capote ! Répond Akim qui n'a évidemment pas débandé, puisqu'il n'a pas encore juté.

Il vient derrière Sarah, qui est restée à quatre pattes, le cul en l'air, cambrée avec la tête entre les cuisses de son premier amant. Il tire sur le string au point de le déchirer et hurle en voyant que cette salope a mis le rosebud avec un joli diamant. Il lui claque le cul avec violence puis enfonce sa bite dans la chatte de Sarah, en se retournant pour commenter devant le dernier arrivant :

- T'as vu comme elle prend bien ? t'as vu comment je lui lime son petit abricot à cette pute avec son plug ?
 
- Attends, moi j'ai joui sans capote, mais faut pas exagérer, on va pas tous lui balancer la purée au fond de la chatte ! dit Youss.

 - Ok, mais t'as des capotes, toi ? rajoute Rachid.

 Je vide mon verre pour la seconde fois et balbutie :

- Y'a un distributeur de capotes juste à deux minutes dans la rue ! pitié, mettez au moins des capotes !!

Un débat démarre entre les trois compères. Tout en limant celle qui leur sert de jouet, ils expliquent que c'est plus sympa de rentrer sa bite dans une chatte sans capote, mais comme Youss a juté dedans et qu'ils ne connaissent pas Sarah, c'est vrai qu'ils préfèrent quand même mettre des capotes.

 Celui qui vient d'arriver est déjà en boxer, il dit qu'il n'a pas envie de se rhabiller pour descendre, et Akim est en train de limer la chatte de ma femme. Il me dit alors :

- Ok, on met des capotes, mais tu vas les chercher, et tu te dépêches avant que je jute.

- Vise comment elle remue son cul cette trainée. Rajoute Rachid.

Juste avant de sortir, je reviens dans le salon. Sarah a toujours la tête entre les cuisses de Youss, il débande doucement, et son pote la lime consciencieusement, et le deuxième pote se touche la bite en se rapprochant. Je demande :

 - J'en prends combien ?

 - Vas-y, au moins 6 pour moi. Dit Akim.

- Oh ben prends-en plus, peut-être qu'on autre mec va venir. Prends-en une vingtaine, on sera sûr comme ça. Complète Rachid.

- Moi je continuerai à la baiser sans capote. Lâche Youss.

- Putain, elle va se prendre au moins une vingtaine de coups cette nuit ?? ça va compenser pour ce que son mari ne lui fait pas !!

Ils rigolent tous les trois. Akim tire sur la ceinture pour sortir la tête de Sarah qui suçait les couilles de Youss. Akim redouble de force et demande si elle est ok pour prendre autant de coups. Sa seule réponse est :
AHHHHGRRRR OUIIIIIIIII PUTAIIIIINNNN C’EST BONNNNN MEEEEEERRRRRRRRRDE !!!!!!!!!!

Totalement humilié, je sors sous leurs regards méprisants, pour aller chercher une vingtaine de capotes pour eux dans la rue.

A suivre...

vendredi 21 janvier 2022

Hilda - Episode 1 - 2ème partie

Bande dessinée de Hanz Kovacq (Bernard Dufossé)

 *****










A suivre...

mercredi 19 janvier 2022

Gagner Son Pardon Ch. 01

Traduction d'un texte de MechanicalAnge

******

Emma a trompé son ami. Elle le regrette.

Emma et James se regardent par-dessus la table. James reste adossé à la chaise, réussissant d'une manière ou d'une autre à avoir l'air à la fois sévère et en colère en même temps. Emma est tellement choquée par ce qu'il vient de lui dire qu'elle a cessé de pleurer. James lui sourit :

- Tu as entendu ce que j'ai dit. C'est ça ou rien.

Emma est incapable de répondre et il lui lance un regard déçu avant de se lever pour partir.

- Tu m'as bien dit que tu ferais n'importe quoi? Mais comme tu m'avais dit que tu ne me tromperais jamais, je suppose que je ne dois pas prendre pour argent comptant tout ce que tu dis.

- Attends!

Emma essaie rapidement de l'empêcher de partir. Elle se remet à pleurer. Mais elle ajoute :

- Je vais le faire!

James s'arrête et la regarde. Il reste impassible. Emma sourit faiblement :

- Je parie que tu ne t'attendais pas à ce que je dise oui, n'est-ce pas? J'ai dit que je ferais n'importe quoi pour te récupérer, et je le pensais vraiment.

James sourit et jette un sac sans cérémonie sur la table.

- Je veux que tu ne portes rien d'autre que ce qu'il y a a dans ce sac lorsque j'ouvrirai la porte . 11H00 demain. Sois à l'heure.

Il se tourne et quitte le café, la laissant regarder avec appréhension le sac en toile. Elle avait souhaité à maintes reprises de ne pas avoir été aussi stupide. Comment pouvait-elle imaginer qu'elle voulait quelqu'un d'autre que James? Elle l'aime tellement qu'elle a l'impression qu'elle va mourir si elle ne peut plus jamais l'embrasser, plus jamais sentir sa peau contre la sienne, plus jamais passer ses mains dans ses cheveux bruns et soyeux, plus jamais voir l'amour rayonner dans ses yeux verts.

Mais maintenant il lui a donné l'occasion de prouver qu'elle est vraiment désolée. Elle prend une profonde inspiration. Ça ne va pas être trop dur, un mois à obéir à tous ses ordres, un mois d'esclavage sexuel, elle peut le faire. Il faut qu'elle le fasse si elle veut qu'il revienne.

****

Et aujourd'hui, elle frappe à sa porte, vêtue seulement de chaussures à talons aiguilles, d'une culotte et un soutien-gorge en dentelle noire ainsi que des bas. Elle regarde tout autour d'elle pour voir si des personnes peuvent l'apercevoir dans cette tenue osée, mais heureusement personne n'est en vue.

Elle frappe de nouveau, les nerfs à vif à cause de l'attente. Enfin, des bruits de pas derrière la porte lui font pousser un soupir de soulagement. Puis la porte s'ouvre et elle voit William debout devant elle.

- Excellent, la pute que j'ai commandée est arrivée. Dit-il avec un sourire moqueur.

Emma ne peut rien faire d'autre que de le regarder, horrifiée. Que diable fait ici le colocataire de James? Elle réfléchit frénétiquement à sa conversation avec James la veille et elle réalise avec effroi qu'il ne lui a jamais dit qu'ils seraient seuls durant le mois à venir. Elle rougit d'embarras et regarde derrière William en espérant que James apparaisse.

Effectivement celui-ci apparaît bientôt. Il ne paraît pas contrarié de voir William baver sur la jolie fille qui est sa petite amie.

- Ah, il est temps! Entre!

Emma est forcée de passer devant William pour entrer. Elle garde les yeux baissés pour ne pas avoir à le regarder. Ses joues sont rouges vif et elle peut sentir ses yeux sur ses fesses alors qu'il la suit dans l'appartement. Une fois qu'ils sont tous le trois dans le salon, James et William s'assoient sur le canapé en laissant Emma debout devant eux. Elle croise maladroitement ses bras sur sa poitrine, se sentant un peu comme une potiche que l'on expose ou une prostituée sur un trottoir.

- Baisse les bras! Ordonne James sévèrement.

Emma obéit en regardant le garçon avec une douleur de surprise dans les yeux. Il ne lui a jamais parlé comme ça auparavant, même quand elle lui avait dit qu'elle l'avait trompé.

- Ne me regarde pas dans les yeux, salope!

Instantanément elle baisse les yeux sur le sol, complètement confuse et bouleversée.

- Je pense qu'il est temps de lui apprendre les règles, James.

Un sourire grandit sur le visage de James alors qu'il hoche lentement la tête.

- Je pense que tu as raison William. Tu veux commencer?

- C'est ta salope, à toi de débuter.

La politesse feinte de William et la satisfaction dans sa voix donnent envie à Emma de lui mettre sa main dans la figure.

- Non mon ami, c'est notre salope maintenant!

Les yeux d'Emma se tournent vers James, interrogateur, cherchant une explication et de la tendresse. Elle n'ne trouve pas et elle sent la main du garçon la frapper violemment sur la joue. Elle baisse à nouveau les yeux, cette fois-ci pour cacher les larmes qui commencent à se former. Elle cligne des yeux avec colère et attend ce que son petit ami a à dire.

- En fait, c'est la première règle, tu obéiras à William et à moi également. Nous sommes tous les deux tes Maîtres, même si tu penses le contraire. Donc tu t'adresseras à nous comme tels.

William prend le relais sans se soucier de ce qu'elle peut penser :

- Tu ne regarderas jamais personne dans les yeux, sauf indication contraire. Tu ne parleras à quelqu'un que s'il t'a parlé auparavant. Mais tu peux demander ma permission d'aller aux toilettes.

James continue :

- Tu porteras ce que nous te dirons de porter et tu feras ce que nous te dirons de faire. Tu connaîtras le reste au fur et à mesure.

Emma ne regarde pas James, mais elle devine au son de sa voix qu'il s'amuse bien.

- Et si tu ne le fais pas, tu seras punie. As-tu compris?

Emma continue de fixer le sol et fait un petit signe de tête en disant :

- Oui.

Un silence accueille sa réponse et son cœur se serre encore plus quand elle réalise ce qu'ils attendent.

- Oui Maître.

William et James partagent un regard de triomphe.

- J'ai toujours su qu'elle était intelligente. Cela signifie que tu n'auras l'instruction qu'une seule fois. Si tu l'oublies ou si tu refuses d'obéir, tu seras punie. Dit James

- Maintenant, va dans le coin, salope! On te donnera plus d'instructions plus tard. Ajoute William.

- Oui Maître.

Emma rougit à nouveau à l'idée de s'adresser ainsi à William. Mais elle se dirige vers le coin et reste immobile, les yeux fixés fermement sur le tapis. Elle avait toujours pensé du colocataire de James qu'il était un parasite grossier et pervers qui ne payait jamais son loyer à temps. Et aujourd'hui, elle lui obéit comme une pute ordinaire.

Les deux gars allument la télévision et l'ignore pendant qu'ils discutent. Elle ne sait pas ce qui est pire : Qu'ils lui donnent des ordres ou qu'ils fassent comme si elle n'est pas là. Au bout de quelques heures, ses jambes commencent à lui faire mal sur ses talons hauts et elle a froid. Combien de temps encore va-t-elle devoir rester là?

Sa question reçoit une réponse rapide. Comme elle a les yeux fixés sur le sol, elle n'est pas capable de dire ce qu'ils font, mais elle sent un mouvement et une porte se refermer. Puis une main lui caresse doucement le cul.

Elle se raidit, en sachant instinctivement que la main n'appartient pas à James. Puis une voix dans son oreille chuchote doucement :

- Tu vas regretter de l'avoir trompé, salope!

Elle ne dit rien et la main remonte lentement en la faisant frissonner malgré elle.

- Tu aimes ça, n'est-ce pas?

Encore une fois elle ne dit rien. Elle reçoit alors une grosse claque sur le cul pour la punir de son silence.

- Je t'ai posé une question, salope. Tu aimes être traitée comme un objet sexuel pour tout homme qui te veut?

- Non Maître.

Elle crache les mots, indiquant clairement qu'elle peut suivre leurs règles, mais qu'elle ne prétendra pas en être heureuse.

La main se promène sur son ventre plat et remonte pour se faufiler sous son soutien-gorge et trouver son mamelon. William le caresse jusqu'à ce qu'il devienne dur. A la grande horreur d'Emma, elle peut sentir qu'elle commence à mouiller. Elle maudit son corps pour apprécier quelque chose que son esprit trouve révoltant. Elle prie pour que William arrête. Sans avertissement la caresse cesse et il tord brusquement son téton, la faisant crier de douleur. Il rit méchamment et se place devant elle.

- Je veux que tu me regardes!

Emma garde les yeux sur le sol. La règle selon laquelle elle ne devait pas les regarder en face l'avait presque soulagée. Elle ne peut supporter de regarder les yeux de William et voir l'expression de puissance et de plaisir qui doit se trouver dans son regard. Soudain il lui tire les cheveux pour forcer sa tête à se relever. Les larmes lui montent aux yeux. A contrecœur elle croise son regard.

- Montre-moi à quel point tu détestes que je te touche! Laisse-moi le voir dans tes yeux et j'arrêterai lorsque je serai convaincu. Dit-il cruellement

Une main tirant toujours ses cheveux, il glisse l'autre dans la culotte d'Emma. Elle ferme les yeux en rougissant, mais une traction sur ses cheveux lui rappelle qu'elle doit les garder ouvert ou en subir les conséquences.

William touche l'humidité sur sa culotte et sourit. Puis il commence à caresser doucement son clitoris. Contre sa volonté, Emma gémit, incapable d'empêcher son désir de se manifester sur son visage alors qu'elle fixe son tourmenteur. Encore et encore il caresse son clitoris, provoquant des petites décharges d'électricité dans son corps. Après une ou deux minutes de ce traitement, il plonge trois doigts profondément dans sa chatte, souriant de la voir autant humide. Il retire sa main de la culotte et lui montre ses trois doigts couverts de son jus.

- Je n'aime pas être traité de menteur, salope! Alors recommençons! Aimes-tu être traitée comme un jouet de baise?

Elle sait ce qu'il veut qu'elle dise. Et elle doit le dire en le regardant dans les yeux. Elle sent qu'elle mouille, son corps la trahissant et désirant qu'il remette ses doigts en elle.

- Oui Maître. Murmure-t-elle misérablement.

- Je suis désolé, je n'ai pas compris. Qu'est-ce que tu aimes?

Elle parle plus fort, mais sa voix tremble légèrement :

- J'aime être traitée comme un jouet de baise, Maître!

En riant, William lui tire à nouveau les cheveux pour forcer sa tête vers le haut. Il pousse ses doigts humides dans sa bouche en lui ordonnant de les nettoyer :

- Tu m'as sali, sale pute! Lèche mes doigts!

Consciencieusement elle obéit, léchant son propre jus sur les doigts du garçon. Quand celui-ci est satisfait, il lâche ses cheveux et s'éloigne en secouant la tête :

- Quelle sale pute!

*****

Encore une fois, elle est laissée seule dans le coin pendant longtemps. Elle sent des larmes se former dans ses yeux et elle les essuie avec colère. Leur jeu est donc de s'amuser avec elle, de la tourmenter et de l'humilier. Eh bien, elle ne leur donnera pas la satisfaction de flancher. Elle suivra leurs règles avec sourire et elle ne laissera jamais voir qu'elle est honteuse ou contrariée. Mais ses jambes lui font mal et elle n'arrive pas à oublier le regarde dégoûté dans les yeux de William quand il s'est éloignée d'elle. Pourquoi a-t-elle été excitée? Peut-être qu'elle mérite d'être dégradée et humiliée comme ça, pense-t-elle. Elle a trompé James, et bien qu'elle ait été déterminée à ce que personne d'autre ne la touche ainsi, elle a laissé faire William et son corps a apprécié. Peut-être qu'ils ont raison quand ils disent qu'elle est une salope.

Ignorant ce qu'ils font, elle s'appuie contre le mur et ferme les yeux. Elle n'a aucun idée du temps écoulé depuis que William l'a laissée seule, de l'heure qu'il peut être, mais elle se sent épuisée. Appuyée contre le mur froid, Emma s'endort.

Elle est réveillée subitement avec une claque brutale sur son cul qui la fait pleurer à nouveau.

- Nous ne t'avons pas donné la permission de dormir, salope.

C'est James qui parle, mais elle peut voir une autre paire de pieds à côté des siens. Ils sont là tous les deux cette fois. Elle entend James soupirer et elle lutte contre l'envie de le regarder.

- Tu dois apprendre ta place dans ce monde, tu sais. Je pensais que tu aurais appris avec William plus tôt, mais évidemment tu n'as rien compris.

Il se penche et murmure :

- J'ai adoré regarder d'ailleurs. Tu es belle à regarder quand tu te fais doigter.

Malgré ses résolutions antérieures, Emma rougit à nouveau et le deux garçons rigolent. William lui explique alors d'une voix exaspérée :

- Tu es là uniquement pour nous faire plaisir. Tu dois réaliser que tu n'existes plus. Emma, avec ses pensées, ses sentiments et ses souvenirs a quitté ce lieu. Maintenant, tu n'es qu'un objet à utiliser comme n'importe quel objet. Si on veut te baiser, tu n'es qu'une chatte, si on veut se faire plaisir, tu n'es qu'une bouche, si on veut s'asseoir, tu n'es qu'une putain de chaise, et si on veut pisser, tu n'es qu'un chiotte. Commences-tu à comprendre?

- Oui Maître!

- Quel est ton nom? Lui demande-t-il brusquement.

Emma ne répond pas.

- Quel est ton nom, salope? Dit James en claquant son cul à nouveau.

- Je n'en ai pas Maître.

- C'est vrai. Et qu'est-ce que tu es?

- Rien Maître. Juste un objet.

James a l'air satisfait.

- Bien. Regarde William!

Emma obéit.

- Que tient-il?

Il s'agit d'un petit collier noir, avec un petit anneau à l'avant et un cadenas à l'arrière.

- Un collier Maître!

- Pas n'importe quel collier! C'est ton collier. Sourit William.

Emma a su que c'était pour elle dès qu'elle l'a vu. Mais elle ne peut s'empêcher de rougir à l'idée d'avoir un collier comme un animal. James attrape ses cheveux et tire sa tête en lui demandant de regarder. Il tient une courte laisse.

- Et ça, qu'est-ce que c'est?

- C'est... C'est ma laisse, Maître? Balbutie Emma.

James hoche la tête. En l'espace de quelques secondes, elle a un collier autour du cou avec une laisse accrochée à l'anneau. L'objet n'est pas inconfortable, mais ce n'est pas naturel autour de son cou. Elle n'est plus la même personne. Il la dégrade petit à petit, et elle a le sentiment que cette dégradation n'est pas la dernière avant que James n'accepte de la reprendre. Complètement abattue, Emma baisse le regard vers le sol.

- Bien! Tu apprends vite! Dit William avec un air suffisant.

Encore une fois, Emma fait un effort pour ne pas le gifler. Mais elle est punie et elle prouve son amour à James. Alors elle reste bras ballants et soumise à ses côtés.

- Tu as faim?

A ces mots, l'estomac d'Emma gronde. Elle n'a rien mangé depuis le petit déjeuner et des heures ont dû s'écouler depuis.

- Oui Maître.

James se dirige alors vers la cuisine, ne laissant à Emma que le choix de le suivre pour ne pas se faire étrangler par le collier. William marche derrière elle et elle rougit de honte en sachant que ses yeux sont sur son cul pendant qu'elle marche.

- A partir d'aujourd'hui, tu vas apprendre à cuisiner. Sur le comptoir se trouvent les ingrédients pour préparer des spaghetti bolognaise. Tu trouveras également la recette et une télécommande. Lorsque ce sera prêt, appuie sur le bouton et nous arriverons. Si ce n'est pas bon, tu seras sévèrement punie. Compris?

Emma est sur le point de pleurer. James sait qu'elle ne sait pas cuisiner. Elle déteste tellement cela que c'est toujours lui qui cuisinait pour eux deux. Sans un mot, les deux garçons quittent la cuisine et ferment la porte derrière eux. Emma croit entendre qu'il la verrouille, mais elle n'est pas sûre et elle n'ose pas aller vérifier.

****

Peu de temps après, Emma a l'eau à la bouche. Elle meurt de faim et elle a hâte de manger un peu des pâtes qu'elle vient de préparer. Elle est fière d'avoir réussi à cuisiner, même si elle ne sait pas si ça va être bon. Nerveusement elle appuie sur le bouton en espérant que les gars seront contents. Un coup d'oeil à l'horloge de la cuisine lui indique qu'il est 18 heures passées. Elle est esclave depuis sept heures.

James et William entrent dans la cuisine et automatiquement elle dirige son regard vers le sol.

- Sors deux assiettes et sers-nous! Ensuite tu met la table et tu attends dans le coin. Ordonne James.

Elle fait ce qu'il a dit avec une sensation de brûlure dans l'estomac. Ne va-t-elle même pas avoir le droit de manger ce qu'elle a préparé?

James et William s'assoient à table et commencent à manger. Ils échangent quelques commentaires désobligeants sur sa cuisine. Elle espère que c'est juste pour lui faire peur. Elle a fait de son mieux, ils ne vont pas la punir pour ça?

Son estomac grogne à nouveau et William éclate de rire :

- Ça vient salope, ne t'inquiète pas!

Après ce qui lui semble des heures, James pousse sa chaise et se dirige vers les placards. Les yeux fixés sur le lino, Emma ne sait pas ce qu'il fait, mais elle espère qu'elle va bientôt être autorisée à manger quelque chose.

- Ton dîner est dans le coin! Dit Finalement William.

Emma lève les yeux et voit deux grands bol pour chien dans le coin de la pièce. l'un est rempli des restes de spaghetti, et l'autre avec de l'eau. Elle regarde les gars d'un regard honteux, sachant ce qu'ils veulent, mais incapable de bouger.

- Si tu ne le veux pas, nous pouvons le jeter! Dit James avec désinvolture.

Misérablement, elle se dirige vers les gamelles pour chine et s'agenouille devant. Elle tend les mains pour prendre les pâtes, mais elles sont giflées.

- Ce n'est pas poli de manger avec les mains!

William prend ses mains et les tire dans son dos. Elle sent le métal froid de menottes être attachées à ses poignets. Elle est maintenant incapable de bouger ses bras.

Emma regarde le bol et sait qu'elle n'a plus le choix. Elle baisse la tête. C'est difficile sans pouvoir s'équilibrer avec les mains. Elle commence à manger. Les spaghettis sont froids, mais elle a faim. Il est très difficile de prendre la nourriture avec seulement sa bouche, et encore plus difficile de boire. Bientôt la sauce couvre son visage et sa poitrine et l'eau coule sur son front. James et William n'ont pas quitté la cuisine. Ils sont assis à la table et la regardent manger.

- C'est ainsi que tu mangeras tous tes repas dorénavant, salope. Si nous te laissions manger à table avec des couverts, tu pourrais ne pas comprendre et penser que tu restes une vraie personne. L'informe William.

- J'attends avec impatience le jour où elle préparera du riz au lait. Dit James sournoisement.

Alors qu'ils rient tous les deux, Emma essaie de les ignorer et de se concentrer pour manger sans trop se salir. William dit alors :

- C'est le bon moment pour parler de ta routine quotidienne. Tu te lèveras tous les jours à huit heures du matin pour te doucher et t'épiler tous les poils. Et quand je dis tout, c'est tout. Ça veut dire que tu feras mieux de faire attention que tu ne le faisais quand tu étais encore une personne, parce que si nous trouvons des poils, tu seras punie.

James s'était toujours plaint en riant des efforts médiocres d'Emma pour se raser la chatte à l'époque où ils étaient en couple.

- Tu trouveras une tenue sur le lit dans la chambre d'amis. Tu t'habilleras et tu descendras dans la cuisine où tu trouveras la liste de ce que nous voulons manger dans la journée. Tu prépareras le petit-déjeuner et il devra être sur la table à neuf heures et demi exactement. Tu pourras manger ce que nous n'aurons pas fini et tu ne devras rien laisser de ce que nous aurons mis dans ton bol. Lorsque tu auras terminé, tu mettras les assiettes et tes bols dans le lave-vaisselle. Puis tu lécheras le sol pour nettoyer ce que tu auras laissé jusqu'à ce qu'il soit propre. Finalement tu te laveras à l'évier de la cuisine, puis tu iras dans le salon et tu te mettras dans le coin. Tu y resteras jusqu'à ce que nous te disions le contraire. Nous suivrons la même routine pour le déjeuner et le dîner, mais nous te dirons quand nous voulons que tu commences à cuisiner. Compris?

Le cœur d'Emma bat la chamade à l'idée d'endurer cette humiliation tous les jours pendant un mois, mais elle réussit à lever son visage des spaghettis pour répondre :

- Oui Maître.

Les deux garçons quittent alors la cuisine après avoir détaché les menottes.

Il lui faut beaucoup plus de temps qu'elle ne l'aurait pensé pour finir son dîner. Finalement, après avoir fini de lécher la sauce et lapé les dernières gouttes d'eau, elle se lève, ramasse leur assiette et les met au lave-vaisselle avec ses gamelles pour chien. Puis elle obéit et lèche la nourriture tombée sur le sol. Ce faisant, elle réalise qu'elle n'a aucune idée de la dernière fois où le sol a dû être lavé. Elle se retrouve là, une jeune fille habillée seulement d'une ensemble de sous-vêtements en dentelle, léchant un sol de cuisine probablement sale. Elle est écœurée, mais en même temps, elle est horrifiée de sentir qu'elle mouille à nouveau.

Elle rougit et prie pour les hommes ne le remarque pas. Elle se lave à l'évier de la cuisine et part dans le salon comme ordonné.

****

Encore une fois, les deux hommes la laissent seule pendant un certain temps afin qu'elle réfléchisse à tout ce qu'ils lui ont fait avant de revenir au salon. Cette fois ils entrent dans le vif du sujet.

- Nous n'allons pas te mentir salope, ta nourriture était dégueulasse. Mais nous savons que c'était le mieux que tu puisses faire, donc tu ne seras pas punie aujourd'hui. Toutefois nous nous attendons que tu t'améliores rapidement.

Emma est soulagée. Elle redoute les punitions qu'ils peuvent avoir en tête. Mais son soulagement est de courte durée quand William lui dit de venir se tenir devant le canapé où ils sont assis. Il avait joué plus tôt avec elle et elle avait ressenti ça comme une introduction à sa nouvelle vie. L'humiliation dans la cuisine serait une chose régulière. Mais Emma a le sentiment que ce n'est que le début des choses qu'ils vont lui faire pendant son séjour. Ils vont bien s'amuser avec elle.

- J'ai été étonné de la facilité avec laquelle tu as été excitée par William tout à l'heure. Dit James.

Emma sent son visage rougir à cette pensée.

- Je me demande si c'est juste moi, William ou ton amant mystérieux qui te font mouiller, ou tous les hommes. Qu'en penses-tu salope?

- Je ne sais pas Maître. Réussit à marmonner Emma.

- Oh bien. Nous le saurons bien assez tôt je suppose.

James se tait, laissant Emma se demander ce qu'il voulait dire par là. Elle a de mauvaise idées qui lui passent par la tête, mais elle se rassure en se disant que James ne sera jamais aussi cruel. William dit alors :

- Il se fait tard, je veux sortir.

Emma essaie de maîtriser le sentiment de terreur qui monte en elle. James ne va pas être aussi cruel? Et pourtant il ne dit rien pour arrêter son ami. Elle entend William lui dire :

- Va dans la chambre d'ami, tu y trouveras une tenue posée sur le lit, quelque chose qui te convient bien. Mets-la et redescends immédiatement.

Emma quitte la pièce, les jambes tremblotantes et elle monte l'escalier jusqu'à la chambre d'ami. Elle pâlit quand elle voit ce qui l'attend sur le lit. Elle dégage ses pieds de ses talons et s'assoit misérablement en regardant les vêtements qu'elle est censée porter.

Au bout d'une minute elle entend la voix de James dans les escaliers qui lui dit de se dépêcher. Elle se lève rapidement et commence à s'habiller. Elle enfile la jupe en cuir noir qui recouvre à peine son cul. Elle fait une prière de remerciement pour sa culotte. Sans elle, il est certain qu'elle montrera sa chatte à tous les gens qu'elle croisera. Elle regarde l'autre pièce sur le lit. Il s'agit d'un haut moulant à dos nu qui relève ses seins et s'arrête juste au-dessus de son ventre. Finalement un coup d'œil au pied du lit lui fait comprendre qu'elle ne portera pas les talons. Au lieu de cela, une paire de cuissarde noire l'attend. Elle l'enfile et la zippe.

Enfin habillée, elle s'assoit sur le bord du lit pour essayer d'avoir le courage de se regarder dans le miroir. Quand finalement elle le fait, ses pires craintes sont confirmées. Elle ressemble à une pute ordinaire et elle suppose que c'est que qu'ils veulent. Elle descend et entre dans le salon.

Les deux hommes rigolent quand il la voit. James s'approche d'elle lentement :

- Tu as toujours été une sale petite pute. Mais tu t'es toujours cachées derrière des vêtements chics. Maintenant tu as le costume du rôle.

Emma garde les yeux baissés et la bouche fermée.

- J'ai hâte de voir ce que nos amis vont penser de toi.

Il regarde William avec un sourire et détaille Emma de haut en bas avant d'ajouter :

- Que penses-tu pouvoir nous rapporter? Deux ou trois euros?

William rejoint son ami et pousse Emma sur le côté comme s'il teste sa fermeté. Il hausse les épaules.

- Ne soyons pas trop optimiste. La plupart des hommes savant quand ils ont à faire à de la marchandise souillée.

Il se penche près du visage d'Emma et sourit cruellement :

- Je pense que nous aurons de la chance si nous tirons quelques pièces de cette chose.

Quelque chose à l'intérieur d'Emma craque? Elle a été bousculée, fessée et détaillée comme une bête de foire, et maintenant ce salaud la traite comme une vulgaire prostituée. Ses yeux se plissent et elle regarde William dans les yeux. Avec toute la méchanceté qu'elle peut mettre, elle lui crache au visage.

Tout de suite, James tire la laisse toujours attachée à son cou et elle tombe douloureusement sur les genoux. Il la tient en place avec les bras derrière elle . Mais elle regarde toujours William avec dégoût, ravie de voir qu'il a l'air légèrement blessé alors qu'il essuie son crachat sur son visage.

- Si tu recommences, tu dormiras nue dans le jardin comme un animal. Dit-il d'un ton dangereusement calme.

- Va te faire foutre! Dit-elle férocement en luttant pour se libérer de James.

Son petit ami serre encore plus ses bars et elle doit soit arrêter de se débattre, soit risquer une blessure grave de ses épaules. Elle reste alors immobile tout en regardant William avec défi alors qu'il s'approche d'elle.

- Tu seras punie pour ça!

James verrouille ses bras en place avec les menottes. Elle peut à peine bouger le haut de son corps sans se faire mal. Il la tire brutalement sur ses pieds. Sans ses bars pour se stabiliser, elle trébuche. Instinctivement elle se tourne vers James pour obtenir du soutien, mais elle n'en trouve pas. Il s'est déplacé à côté de son ami et maintenant tous les deux la fixent.

Elle retrouve son équilibre et lève les yeux pour les regarder d'un air rebelle. Elle est en colère et prête à se battre s'il le faut.

Après un long silence, les deux hommes se regardent et montent les escaliers, la laissant seule dans le salon. Elle les fixe en se demandant ce qui va lui arriver. Elle se demande si elle a ruiné ses chances de récupérer James. Et quelques instants plus tard, elle se demande pourquoi elle voudrait être avec un homme qui lui fait ça de toute façon. Pendant un bon moment, elle reste immobile à attendre leur retour.

Quand finalement ils redescendent, Emma baisse les yeux vers le sol. Juste après l'avoir fait, elle rougit. Pourquoi a-t-elle baissé le regard? Elle a décidé de partir, non? William dit :

- Je savais qu'elle serait toujours là. Elle adore être traitée comme ça au fond. Elle doit juste s'y habituer.

Il s'approche d'elle par-derrière et il force un bâillon dans sa bouche qu'il fixe fermement derrière sa tête.

- Je ne veux pas courir le risque que tu me craches dessus à nouveau. Dit-il avec un ricanement.

James dit alors :

- Veux-tu savoir ce que nous allons faire de toi, salope?

Emma, étant réduite au silence par le bâillon, ne peut que hocher la tête.

- Nous avions pensé que tu avais compris ta place dans ce monde, mais il est évident que non. Nous ne pouvons pas te sortir en public, car tu nous embarrasserais. Tu dois donc rester ici jusqu'à ce que tu apprennes à te comporter.

Il lui enlève tous ses vêtements en ne lui laissant que ses bottes et ses mains menottés. Puis il prend la laisse et tire la jeune fille dans la salle à manger.

Maintenant Emma comprend pourquoi ils ont dîné dans la cuisine. La table de la salle à manger a disparu. A l place se trouve un gros banc en bois avec des petits anneaux à chaque extrémité. Sur une table dans un coin, il y a un assortiment de chaînes et de raquettes. La peau d'Emma se hérisse à cette vu. Elle n'a jamais pensé qu'ils lui feraient quelque chose comme ça.

- Regarde!

Elle obéit à l'ordre de William et regarde attentivement tous les instruments.

- Lequel penses-tu que je dois utiliser?

Elle ne peut pas parler avec le bâillon, et elle sait que de toute façon il ne s'attend pas à ce qu'elle réponde. Finalement il prend une grande raquette percée de trous.

- Nous allons commencer doucement vu que c'est ton premier jour.

James tire à nouveau sur la laisse, la forçant à se mettre à genoux. Il la pousse sur le banc et enlève la laisse pour pouvoir attacher son collier à un anneau fixé au bois. Puis il enchaîne ses chevilles à des anneaux dans le sol qu'elle n'a pas remarqué auparavant. Elle est maintenue fermement en place, sa chatte et son cul exposés, incapable de bouger. James prend une chaise et s'assoit devant elle. Puis il lui parle gentiment.

- Maintenant, je vais enlever ton bâillon et je ne veux pas que tu parles. Si tu me craches dessus ou sur William, ta punition sera pire. Compris?

Emma hoche de la tête le mieux qu'elle le peut avec son menton sur le banc. James défait le bâillon et le jette de côté? Il se lève pour que William prenne sa place. Celui-ci déclare alors :

- Tu vas être puni parce que tu m'as montré un gros manque de respect en me crachant dessus.

Il parle aussi d'une voix douce et Emma sent la confusion la gagner.

- Nous ne te punirons pas plus que nécessaire, mais tu dois apprendre à nous montrer plus de respect. Nous allons commencer et tu vas nous remercier d'avoir pris le temps de te punir.

Il la regarde fixement et attend patiemment qu'elle parle.

Confuse et bercée par sa voix gentille, elle fait ce qu'il demande :

- Merci de me punir Maître.

William sourit et se lève en repoussant la chaise.

- De rien. Maintenant je vais te frapper avec la raquette que tu as vue il y a quelques instants. Tu me remercieras à chaque coup. Compris?

Son ton est doux et relaxant, elle répond qu'elle a compris. Avant qu'elle ait le temps de se préparer, il la frappe avec la raquette. Immédiatement ses fesses la brûlent et des larmes lui piquent les yeux. Mais elle réussit à balbutier :

- Merci Maître!

Les coups pleuvent sur son cul jusqu'au moment où elle se dit qu'elle va s'évanouir sous la douleur. Toutefois elle réussit à remercier à chaque fois qu'il la frappe. Finalement il arrête et elle entend le bruit de la raquette qu'il laisse tomber sur la table.

Ses genoux sont raides, son dos lui fait mal et ses fesses sont brûlantes. James détache les anneaux à son cou et à ses chevilles, puis il l'aide gentiment à se relever. William, tout aussi gentil, lui détache les menottes.

- Frotte tes bras si ça te soulage! Suggère-t-il doucement.

Avec soulagement, Emma fléchit les bars et les frotte pour faire circuler le sang. Elle essaie d'ignorer la douleur dans le reste de son corps et elle se sent reconnaissante de la petite pause qu'ils lui accordent.

- Comprends-tu pourquoi nous avons dû te punir?

- Oui Maître. Dit-elle doucement.

- Pourquoi avons-nous dû te punir?

- J'ai eu tort de cracher sur mon Maître.

- Pourquoi était-ce mal?

-Je ne suis plus une personne et je n'ai pas le droit de faire quoi que ce soit à moins d'en avoir la permission.

Les deux garçons restent silencieux.

- Et parce que c'était irrespectueux Maître.

- Qu'aurais-tu dû faire?

- Rien Maître, j'aurais dû obéir.

Emma est épuisée et tout idée de rébellion l'a quittée. Elle se sent soulagée qu'ils lui parlent gentiment et elle est reconnaissante que la punition soit terminée. A cet instant elle est prête à faire tout ce qu'ils lui demandent.

William remet la laisse sur le collier et il la conduit dans les escaliers. Elle s'attend à être emmenée dans la chambre d'ami, mais à la place, elle voit une petite cage qui l'attend dans le couloir.

- Enlève tes bottes! Ordonne James.

Elle obéit et se tient nue en attendant le prochain ordre. William dit :

- Si tu es particulièrement obéissante, nous te permettrons de dormir dans un lit. Mais tu dois te rappeler que tu n'es rien d'autre qu'un objet. Donc dormir dans un lit sera un privilège, une récompense spéciale pour un bon comportement. Sinon c'est là que tu dormiras.

Il appuie sur un bouton et la porte de la cage est déverrouillée. James la pousse légèrement et elle y pénètre sans rechigner.

Emma découvre qu'ils n'ont rien fait pour rendre la cage confortable. Le sol est en plastique dur et elle est à l'étroit. Elle ne peut pas s'étirer sans toucher les parois métalliques. Et quand ils ferment la porte, l'espace est encore plus petit.

- La porte se déverrouillera automatiquement à huit heures du matin. Une vibration dans le collier te réveillera. La liste des repas à préparer sera dans la cuisine quand tu descendras.

A suivre...