dimanche 23 septembre 2018

Payer le loyer Ch. 04

Payer le loyer - récit érotique  domination soumission viol chantage

Traduction d'un récit de Craig88.

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Le gros voisin.

Je me brosse les dents tellement de fois que mes gencives commencent à saigner. Je mâche chewing-gum après chewing-gum, mais je n'arrive pas à me débarrasser du goût dégoûtant de ma bouche. Je vomis encore et encore tout le reste de la journée. Je me sens si dégradée et humiliée.

Je me regarde dans le miroir de ma chambre. J'ai été si occupée à être malade et à me laver les dents que je ne m'étais pas encore regardée.

Mon mascara a coulé le long de mes joues. Il s'est mélangé à mes larmes et au sperme giclé sur mon visage. Mes cheveux blonds sont complètement emmêlés, le clochard avait bien tiré dessus. Ma robe en latex brillait de tout le sperme des vagabonds, tout comme mes bottes.

J'enlève ces vêtements et je me retrouve nue devant le miroir. Je me rends compte que j'ai des ecchymoses sur les hanches, là où mes tourmenteurs m'ont tenue pendant qu'ils se relayaient et me baisaient comme une salope. J'ai du sperme séché partout sur mes seins et à l'intérieur de mes cuisses. Pour compléter les dégâts, ma chatte et mon trou du cul étaient dégoulinants de foutre.

Je passe ma main sur mon anus et c'est très douloureux. J'ai perdu ma virginité anale avec des clochards, des hommes écartés de la société. Je masse légèrement mon cul et je sens l'humidité du sperme. Je regarde ma main et je m'aperçois qu'il y a un peu de sang mélangé avec le sperme, du sang du viol brutal de mon cul.

J'entre dans la douche et je frotte ma peau rudement. J'ai besoin de laver tous les endroits qu'ont touchés les clodos. Je frotte si fort que ma peau rougit et devient douloureuse. Je suis soulagée en pensant que mon mari Steve n'ira pas au travail ces prochains jours. Ce qui signifie que je vais avoir un peu de repos avant que mon propriétaire revienne me chercher.

Nous avons des relations sexuelles Steve et moi, mais pour une raison étrange, je ne peux en profiter. Après ce qui vient de m'arriver ces derniers jours, comment pourrais-je être excitée?

- Ça va Hélène? Que se passe-t-il? Me demande-t-il doucement.

Je lui dis simplement que je ne suis pas d'humeur et nous en restons là. J'espérais qu'il essaie de m'exciter un minimum, mais il ne le fait pas. Alors nous nous blottissons simplement l'un contre l'autre.

Une autre pensée me vient : Ma chatte m'a trahi toute la semaine alors pourquoi elle ne veut pas de sexe maintenant?

Puis Steve commence à m'embrasser. Il roule sur moi et explore ma bouche avec sa langue. En même temps, il met sa main entre mes cuisses pour les séparer. Il aligne sa queue sur l'entrée de ma chatte et me pénètre lentement. Je ressens de la douleur, car je ne suis pas prête, je suis trop tendue.

Lentement il me fait l'amour. Je reste allongée mais tout ce que je ressens c'est de la douleur dans mon sexe.

Je veux pleurer. J'ai essayé toute la semaine de ne pas profiter des moments de débauche, de ne pas les apprécier, mais ma chatte, elle, en a profité. Et maintenant, alors que je voudrais faire l'amour avec mon mari, mon sexe ne me le permet pas.

Il ne faut pas longtemps avant que Steve se vide en moi avec un long gémissement. Mais ma chatte n'est toujours pas excitée.

- Oh oui, tu prends du plaisir Hélène?

Je le regarde dans les yeux et je prévois sa déception si je lui réponds non. Alors je souris et lui dis :

- Mais oui, bien sur!

Il me regarde, perplexe et dit :

- Mais tu n'as pas gémi?

- C'est parce que je me mordais les lèvres pour ne pas faire de bruit. Dis-je avec un sourire forcé.

Il me sourit en retour et nous en restons là. Cette nuit-là, j'ai beaucoup pleuré en silence.

Les deux jours avec mon mari s'écoulent trop rapidement. Et je me retrouve bientôt, assise sur mon canapé, en train d'attendre M. ALLEN.

Je sais qu'il veut que je m'habille comme il le veut. Alors je mets les bas noirs avec le porte-jarretelle noirs, un haut noir échancré et des hauts talons puis je m'assois sur le canapé pour attendre son arrivée.

Je ressens de la peur et de la tristesse. C'est alors que je sens que ma chatte réagit. Elle mouille. Je suis en colère. Pourquoi? Pourquoi ma chatte n'a-t-elle pas réagi suite aux efforts de mon mari? Ça doit être en prévision de ce qui va m'arriver. Quels actes sexuels dégoûtants vais-je encore devoir subir? Quoi qu'il en soit, ma chatte ne peut pas attendre. Je suis tellement dégoûtée qu'une partie de mon corps réagisse ainsi, comme une pute.

Quand le propriétaire arrive, il est extrêmement content de ma tenue. Il me dit :

- Bien Hélène, tu es devenue une vraie petite pute, n'est-ce pas?

C'est vrai. Ma chatte me rend folle. Et une chaleur m'envahit quand M. ALLEN me traite comme une prostituée.

- J'ai une surprise pour toi Hélène...

Je lève les yeux.

-Il y a quelqu'un dehors qui donnerait sa vie pour ta chatte. Tu vois, tu as déjà des admirateurs.

J'ai peur. Je lui demande :

- Combien de personnes savent?

- Euhhh. Quelques-unes des femmes de cet immeuble sont conscientes de tes obligations pour ta dette. Répond-il en riant.

Je le regarde avec un air choqué.

- Mais ne t'inquiète pas Hélène, elles ont leurs propres ennuis financiers pour ne pas s'occuper de toi.

- Vous voulez dire qu'il y a d'autres femmes dans cet immeuble qui ne vous paient pas le loyer et que vous abusez?

Il sourit.

- Eh bien, si elles ne peuvent pas me donner d'argent, elles doivent payer autrement. La plupart des femmes vivant dans le quartier ne peuvent payer le loyer alors je m'assure qu'elles comprennent que ce n'est pas gratuit.

Il dit cela avec une telle froideur que je frissonne littéralement. Et il continue :

- Mais je vais te dire une chose qui va rester entre nous. Certaines femmes ici aiment être traitées comme de complètes et totales prostituées. Au début, elles ne veulent pas, mais elles prennent goût à l'humiliation, c'est merveilleux à voir.

Il lève les yeux vers le ciel. Puis il sort de ses pensées et se souvient de son « ami » qui donnerait sa vie pour ma chatte. Il dit assez fort :

- Vous pouvez entrer maintenant!

Je retiens mon souffle et regarde en direction de la porte.

- Oh mon Dieu, s'il vous plaît, pas lui! Dis-je discrètement tout en pleurant.

Dans l'encadrement de la porte, se trouve mon voisin qui habite juste en dessous de nous. Dire qu'il est bizarre est un euphémisme. Il ne quitte jamais son appartement et lorsqu'il le fait il laisse une odeur fétide derrière lui. Il est gros et moche. C'est le genre de type qui vit avec sa mère jusqu'à l'âge de 40 ans et qui passe sa vie devant un écran d'ordinateur, ou quelque chose dans ce genre.

Il a des cheveux noirs, gars et emmêlés, une barbe crasseuse. Il porte de grosses lunettes noires. Ses dents sont à la fois jaunes et noires. Il porte un tee-shirt orange, sur lequel est marqué « JE SUIS SPARTACUS » qui moule son corps et laisse apparaître son ventre et ses nichons. Il devrait acheter un soutien-gorge, pensé-je. Il me regarde, bouche bée. J'ai oublié que j'étais en bas avec porte-jarretelle et talons hauts.

- Marcus m'a payé un peu pour avoir ta compagnie pendant un moment. Rit M. ALLEN.

- Et je ne verrai pas un sou de cet argent alors que je me fais baiser?

Je devrais vraiment apprendre à me taire. Mes plaintes ont toujours été récompensés par une claque. Et ce n'est pas différent cette fois-ci.

Alors que je m'assois sur mon canapé en frottant ma joue douloureuse, M. ALLEN s'assoit en face et dit :

- Tu peux entrer Marcus, et fermer la porte. Elle est à toi.

Mon voisin s'approche et s'assoit à côté de moi. Son odeur me fait instantanément oublier ma joue brûlante. Il se penche en avant et essaie de m'embrasser. Son souffle est horrible. Je ferme les yeux et essaie de penser à autre chose.

Je sens son visage s'approcher et il m'embrasse doucement les lèvres. Sa barbe crasseuse chatouille ma figure. Il pose ensuite une grosse main joufflue sur ma cuisse, la faisant glisser sur le bas. Je me débats, mais il pousse sa languie dans ma bouche. Sa salive au goût fétide coule sur ma langue et dans ma bouche.

Après ce qu'il me semble une éternité, il retire finalement sa langue de ma bouche. Le goût est encore plus horrible après. Il place ses mains de chaque côté de mes hanches et il tire mon string vers le bas, exposant ainsi ma chatte rasée.

Il retire mon string noir jusqu'à mes chevilles et me l'enlève. Puis il le porte à son nez et prend une longue bouffée de l'odeur résiduelle. Écœurée, je regarde ce reclus social sentir mes sous-vêtements. Puis quand il est satisfait, il met le string dans sa poche.

Pendant ce temps-là, M. ALLEN reste assis avec un grand sourire sur son visage et un piquet de tente dans son pantalon.

Marcus passe alors ses mains sous mon haut et sort mes seins. Il se penche en avant et passe sa langue sur mes tétons raidis. En même temps, il met une main entre mes cuisses et commence à fouiller ma chatte.

Je pense qu'il n'a jamais eu de femme dans sa vie car il n'a pas la moindre idée de ce qu'il cherche. Il tâtonne en essayant de trouver l'ouverture de mon sexe. Je ricane légèrement.

Il lève les yeux vers moi. Je vois de la fureur dans son regard. J'ai peur. Il me claque le visage avec une force considérable.

- Ha Ha, c'est ça Marcus, si elle veut être garce, donne-lui une leçon!

Marcus me gifle encore plusieurs fois avec sa main ouverte. Puis il se penche en avant, prend un de mes tétons dans sa bouche et le mord fortement.

- AIIIIIEEEE Salaud! Crié-je de douleur.

Une autre gifle sur la figure me fait reculer. Puis il se lève et tire son tee-shirt au-dessus de sa tête. Son ventre flasque rebondit avec le mouvement. Puis il tire son pantalon vers le bas. Celui-ci tombe en pile autour de ses chevilles.

- Oh mon Dieu! Soupiré-je.

M. ALLEN rigole :

- Ça c'est pour toi maintenant.

Je reste bouche bée devant la taille du pénis de Marcus. Il est énorme. Je n'en ai jamais vu un aussi gros de toute ma vie. Son sexe pend, il fait bien 30 centimètres. Il est beau et bien épais. Je sens une brûlure dans ma chatte. Elle veut ce sexe, ma chatte mouille à sa vue, elle a besoin de cette grosse bite. Elle veut être remplie par ce gros membre de chair, tout le temps. Ma chatte veut cette longue et grosse queue. Moi aussi.

À suivre...

Le chantage de Summer Ch. 09

Le chantage de Summer - récit érotique  domination soumission professeur chantage

Traduction d'une histoire de Wilcox010.

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Retour à l'école lundi matin.

Résumé : Summer WAYNE, professeur d'anglais, est tombée sous la coupe d'un de ses étudiants qui a découvert des photos d'elle sur un site réservé aux adultes. La pauvre professeure vient de terminer un week-end où elle s'est faite percer la chatte, les seins et l'oreille. Elle a dû refaire sa garde-robe avec des vêtements sexy et moulants, des habits qu'elle n'a pas l'habitude de porter lorsqu'elle donne des cours. Enfin, sa meilleure amie a découvert sa soumission et veut elle aussi la soumettre à sa volonté.

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Summer, toujours sous l'effet de la bière, de la tequila et de sa séance de baise avec Lisa et son mari, rentre dans sa chambre. Elle n'arrive toujours pas à croire qu'elle a passé son dimanche après-midi sous la domination de sa meilleure amie et son mari. Pour aggraver les choses, Summer est sûr que son voisin, Sam JOHNSON, a tout vu de sa soumission. De plus, l'enseignante est confuse par la réaction de son corps aux insultes, à la dégradation et au sexe brutal. En posant sa tête sur son oreiller, ses mains se mettent à caresser son corps, s'attardant d'abord pour tordre les tétons dressés et percés. Elle est de plus en plus excitée, si bien que sa main droite trouve bientôt son clitoris encore stimulé par les événements de la journée. Ses mains travaillent avec une grande habilité sur son corps et il ne faut pas longtemps avant qu'elle ait un autre orgasme.

En plein extase son téléphone portable se met à sonner. « Merde, qui peut m'appeler à cette heure de la nuit » Pense-t-elle agacée.

Elle regarde l'écran et voit apparaître le numéro de Maître T. Elle hésite pendant quelques secondes pour réfléchit s'il faut qu'elle réponde ou non. Puis, la sonnerie s'arrête. Summer sourit en pensant qu'elle a évité une confrontation tardive avec son jeune Maître.

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Summer est réveillée d'un sommeil profond par son réveil et sa sonnerie agaçante à 5h30. Elle reste dans son lit pour prendre un peu plus de repos avant de commencer sa journée. Lorsque la sonnerie retentit une nouvelle fois, elle appuie sur le bouton pour l'éteindre et elle se lève. En entrant dans la salle de bain pour vider sa vessie, Summer se regarde dans le miroir et elle est étonnée par la taille de ses mamelons accentuée par les piercings. Après s'être soulagée, elle se dirige vers le miroir et tord un peu chaque téton pour voir leur réaction. Elle regarde attentivement les piercings dans l'espoir de pouvoir les enlever. Mais les boules à chaque extrémité sont trop grosses. Elle se souvient du travail bien fait de Marco dans le magasin.

Summer enfile une robe de chambre en soie blanche et ses pantoufles avec petit talon. Elle se dirige vers la cuisine pour prendre une première tasse de café. Elle s'arrête à la porte d'entrée pour récupérer le journal sous son porche. Sa maison ainsi que celle de son voisin étant un peu éloignées de la rue, ils donnent un pourboire au livreur de journaux pour qu'il le mette sous le porche. Sur le moment, l'enseignante trouve étrange que le journal soit posé contre sa porte, mais bientôt elle n'y pense plus.

Quand elle arrive dans sa cuisine, l'arôme des grains de café sud-américain envahit ses narines ; Elle prend une tasse de café, y ajoute un peu de crème puis elle ouvre le journal pour le lire. C'est alors qu'elle trouve une enveloppe grise sur laquelle est écrit : « Salope, tu ne m'as pas répondu la nuit dernière. Appelle-moi immédiatement avant d'ouvrir l'enveloppe.

- Oh mon Dieu. Ne peut que dire la femme.

Sans prendre le temps de boire une goutte de café, Summer va dans sa chambre pour récupérer son téléphone portable. Elle voit l'appel manqué s'afficher sur l'écran et tous son corps frémit de peur à ce qu'il risque d'arriver. Tandis qu'elle compose le numéro de Maître T., des larmes jaillissent dans ses yeux, alors qu'elle se rend compte de sa situation.

Son Maître décroche et dit simplement :

- Pourquoi as-tu mis si longtemps à m'appeler salope?

L'enseignante ne sait pas trop que dire alors elle ment :

- Maître T., je viens juste de trouver votre lettre. Hier soir, je me suis endormie tôt et je n'ai pas entendu votre appel.

- Comme tu as refusé de prendre mon appel, j'ai mis plusieurs photos dans un courrier électronique que je t'ai envoyé. Prends l'enveloppe avec toi et va ouvrir ton ordinateur. Lorsque tu auras ouvert ton courrier électronique, appelle-moi. N'ouvre pas encore l'enveloppe. Dit Maître T. avant de raccrocher.

Summer se dépêche de passer le couloir et d'entrer dans le bureau à côté. La pièce contient un bureau qu'elle partage avec son mari James, deux chaises sur le côté, et quelques photos de voyages fait avec sa famille. Elle se connecte sur l'ordinateur et ouvre ses mails. Puis elle appelle son Maître comme ordonné. Celui-ci répond d'une voix sévère :

- Salope, as-tu ouvert ton courrier électronique?

Summer répond rapidement par l'affirmative. Todd la charge alors de lire son mail et de l'appeler après avoir respecté les instructions.

Dans l'email est écrit : « Salope, tu m'as désobéi pour la dernière fois. Tu savais très bien que tu devais me parler avant de te coucher pour recevoir tes instructions pour aujourd'hui. Parce que tu es une chatte sans valeur, j'ai dû t'envoyer ce mail et j'ai dû traverser toute la ville pour déposer tes instructions pour ton premier jour à l'école en tant que ma soumise. Ce premier jour devait être facile, mais maintenant les choses sont différentes. Ta désobéissance m'a forcé à modifier mes projets pour toi. Tu peux maintenant ouvrir l'enveloppe et lire son contenu pour obtenir d'autres instructions. Maître T. »

Avant d'ouvrir la lettre, Summer essaie de se ressaisir. Elle s'était réveillée avec une meilleure vision d'elle-même et l'espoir que son Maître n'intervienne pas dans sa routine matinale. Elle n'est pas assez naïve pour croire qu'il en avait fini avec elle. Mais elle avait eu l'espoir de boire tranquillement son café avant de se préparer pour la journée.

Summer ouvre l'enveloppe et verse le contenu sur le bureau. Deux enveloppes plus petites en tombent. Elle les regarde et comme elle s'y attend, elles doivent être ouvertes dans l'ordre. Elle saisit celle où est marquée « Ouvrir en premier ». Elle déchire le haut et se rend compte que cette lettre contient plusieurs feuilles de papier pliées. Au fur et à mesure qu'elle les déplie, elle s'aperçoit qu'il s'agit de photos prises par une caméra et imprimées sur du papier ordinaire. Ce sont des images d'elle et de Sarah au salon de piercing samedi. L'une des photos montre clairement sa figure enterrée dans la chatte de Sarah. Sur une autre, elle est allongée sur la table d'examen et elle joue avec sa chatte, les petits anneaux dorés étant bien visibles. La troisième image la montre les yeux ouverts, une bite enfoncée dans sa gorge.

Summer ouvre la deuxième enveloppe. Elle est presque soulagée de n'y trouver qu'une page écrite par Maître T. Elle commence à lire : « Salope, tu viens de voir une preuve évidente que tu es une salope, que tu aimes être faite pour le plaisir et que tu n'as pas de volonté. Malheureusement tu n'as pas encore compris la profondeur de ta soumission. Donc aujourd'hui, nous allons commencer par renforcer ta position de complète salope soumise et ma position de maître. Tu vas t'habiller avec la jupe noire et le chemisier blanc que tu as acheté samedi. Tu porteras le soutien-gorge jaune et le string assorti ainsi que le porte-jarretelle noir et les bas avec les coutures derrière. Tu prendras les chaussures noires à talons de 10 centimètres. Je veux que tu te maquilles de façon à mettre en évidence tes joues et tes yeux. Tes lèvres doivent être recouvertes de ton rouge à lèvre rouge vif. Enfin je veux que ta coiffure ait un style sauvage tout en laissant apparaître clairement le piercing de ton oreille gauche. Rendez-vous dans ta salle de classe à 6h30. Ne sois pas en retard. »

Summer est paniquée quand elle se rend compte qu'il est 5h45 et qu'il lui faut bien 15 minutes pour se rendre à son travail. Rapidement, elle ferme l'ordinateur, prend les photos et les déchire. Puis elle court dans le couloir jusqu'à la chambre. Elle prend rapidement une douche pour laver toutes les traces de sperme de la veille. L'eau fait encore plus durcir ses tétons. Après sa douche, elle se maquille prestement selon les ordres de Todd. Elle accorde une attention particulière à ses paupières, leur donnant une teinte bleu foncé pour mettre en évidence ses yeux. D'habitude, Summer met beaucoup de temps le lundi pour transformer sa coupe de cheveux de style week-end en une coupe stricte avec chignon. Mais aujourd'hui, elle utilise beaucoup de mousse à coiffer et de laque pour forcer ses cheveux à tenir en place et laisser voir clairement sa nouvelle boucle d'oreille avec les trois petites perles rouges.

Quand elle considère qu'elle a satisfait les exigences de son Maître, elle enfile rapidement le porte-jarretelle qu'elle attache aux bas couture noirs. Une fois qu'elle est convaincue que ses bas sont bien mis, elle enfile le string jaune. Summer remarque que le string semble toucher son clitoris et écarter les petites lèvres de sa chatte. Elle baisse les yeux et voit que les deux anneaux dorés sont bien visibles. Alors elle ajuste le fin tissu pour y glisser à l'intérieur les deux bijoux. Elle met ensuite le soutien-gorge assorti. Immédiatement, elle remarque que le tissu rend évident que ses mamelons ont des piercings et que ses tétons sont érigés. Elle comprend pourquoi Todd a choisi cet ensemble. Mais elle se dit de ne pas s'inquiéter pour le moment et de finir de s'habiller.

Elle enfile rapidement le chemisier blanc. Elle croit qu'il est transparent. Devant le miroir, alors qu'elle boutonne le chemisier, elle se dit qu'il est impossible que quelqu'un qui la regardera avec attention, ne puisse voir ses tétons et les petites barres qui les traversent. Elle saisit rapidement la jupe noire et l'enfile. Encore une fois, elle comprend immédiatement pourquoi son Maître a choisi cette jupe. Elle est fendue sur les côtés et ces fentes s'arrêtent juste en dessous du haut en dentelle des bas. Rien ne se verrait tant qu'elle resterait debout, mais une fois assise, elle est sûre que tout le monde pourra voir le haut de ses bas. En plus la jupe est tellement serrée qu'elle aura du mal à marcher dans les couloirs de l'école.

Summer rassemble sa trousse de maquillage dans son sac à main, attrape sa brosse, vérifie ses cheveux une fois de plus et court au garage. Alors qu'elle démarre le moteur de sa voiture, elle s'aperçoit qu'elle n'a plus que 10 minutes pour rejoindre son lieu de travail avant 6h30. Elle se dit qu'elle va devoir dépasser les limites de vitesse et elle espère ne pas rencontrer une patrouille de police.

Elle se gare sur le parking de l'école à 6h35, en ayant réussi à esquiver tout incident de circulation et patrouille de police. Elle attrape son sac à main et son sac de cours, et court vers le bâtiment. Elle peut arriver dans sa classe moins de cinq minutes plus tard, mais Maître T. n'est pas là. Elle regarde l'horloge de l'école et voit qu'elle affiche 6h40. Elle se demande où Todd (non!), Maître T. se trouve.

Elle sursaute quand elle entend la porte de sa classe claquer. Elle se retourne et voit Todd s'approcher d'elle. Elle le regarde dans les yeux et se rend compte immédiatement qu'il est en colère pour son retard. Le garçon lui dit :

- Salope, pourquoi as-tu mis si longtemps à arriver?

- Todd, j'ai roulé aussi vite que possible. Mais je viens de voir que ma montre retarde de 10 minutes. Je pensais vraiment être à l'heure. Répond-elle.

- Comment oses-tu m'appeler Todd? Quel est mon nom salope?

Summer commence un peu à trembler. Elle répond rapidement :

- Votre nom est Maître T., monsieur.

Le garçon s'approche de sa professeure soumise, saisit chacun de ses mamelons et lui crie au visage :

- Salope, quand je te dis d'arriver à une certaine heure, peu importe les obstacles que tu rencontres, tu te débrouilles pour ne pas être EN RETARD! JAMAIS!

Summer ne peut que rétorquer un « Oui Monsieur » pendant que Todd continue à tirer et tordre ses tétons à travers le chemisier et le soutien-gorge. Il fait attention à ne pas déchirer sa chair avec les piercings mais il lui inflige une douleur pour qu'elle comprenne qu'elle doit obéir.

Puis il lâche sa poitrine, la pousse au milieu de la salle et lui ordonne d'enlever son chemisier et sa jupe. Voyant qu'elle hésite, il dit :

- MAINTENANT!

Summer lève les mains vers le haut de son chemisier, commence à déboutonner le bouton supérieur et descend jusqu'au moment où tous les boutons sont enlevés. Elle tire la chemise hors de sa jupe puis sans attendre d'autres instructions, elle bouge les épaules pour faire tomber le fin tissu. Elle pose le chemisier sur la table la plus proche. Ensuite elle passe ses mains dans le dos et dézippe sa jupe noire. Elle la descend le long des hanches et de ses jambes jusqu'à ce qu'elle tombe au sol. Elle tend la main pour la récupérer mais Maître T. lui dit :

- laisse la là salope!

Puis il lui demande de se pencher sur son bureau. Sans objection, l'enseignante se dirige vers sa table de travail, se penche et pose ses paumes sur le dessus. Mais le garçon lui ordonne de poser son torse sur le bureau. Summer est en sous-vêtements jaunes, porte-jarretelles, bas sexy et talons hauts. Elle lève les yeux vers Todd et le supplie :

- Mais Maître T., quelqu'un pourrait venir et me trouver dans cette position. Ne me faites pas faire ça.

Le silence du garçon fait comprendre à l'enseignante qu'il est inutile de supplier. Alors elle pose sa poitrine sur la surface de travail, effrayée par la possibilité d'être vue par un collègue, un autre étudiant ou le personnel du bâtiment. Elle ferme les yeux et écoute le garçon.

- Salope, je ne suis pas content et c'est malheureux pour toi. Je t'ai dit d'être ponctuelle et de faire ce que je te dis de faire. Hier soir, tu n'as pas répondu à mon appel. Aujourd'hui, tu as 10 minutes de retard. Pour chaque infraction tu vas recevoir 10 coups sur ton cul avec ta brosse à cheveux. Où est-elle?

- Mais Maître, quelqu'un va entendre le bruit des coups et mes cris. S'il vous plaît, je ferai tous ce que vous me direz et je promets de ne plus être en retard. Supplie la pauvre enseignante.

Todd regarde sa soumise et répond :

- Je sais, salope, que tu feras tout ce que je te demande et encore plus même. Mais pour le moment tu vas être punie d'avoir désobéi afin que la prochaine fois tu te rappelles de la leçon. Où est ta brosse?

Summer lui répond qu'elle est dans son sac à main. Il la prend et regarde le cul exposé. Il se déplace pour se trouver derrière elle. Quand il baisse les yeux sur l'entrejambe de la femme, il peut distinguer les petits anneaux de sa chatte sous le tissu jaune du string. Il met ses pieds entre les jambes de Summer et la force à écarter encore plus. Il se décale un peu sur la gauche, et avec sa main droite il assène un coup de brosse sur la fesse gauche.

Summer crie, mais le son est faible, à peine audible. Mais Todd ne veut pas prendre le risque d'être découvert. Alors il va prendre dans son sac à dos un œuf noir qu'il a acheté pendant le week-end. C'est un œuf vibrant de cinq centimètres de diamètre, télécommandé à distance. Il passe sur le côté du bureau où est tournée la tête de sa soumise et il lui demande d'ouvrir la bouche. Quand elle obéit, il met l'oeuf dans sa bouche en disant :

- Garde ça dans ta bouche afin d'étouffer tes cris salope!

Todd regarde sa montre pour vérifier l'heure et se rend compte que les autres enseignants vont bientôt arriver pour commencer leur journée. Alors il donne rapidement les vingt coups de brosse sur le cul de l'enseignante en s'assurant de marquer les fesses au même endroit. Quand il a fini il demande à Summer de se relever pour rester debout devant lui.

Il lui ordonne de retirer l'œuf de sa bouche et de l'insérer dans son sexe. Comme l'enseignante hésite, il prend son sac, regarde la femme dans les yeux et dit :

- Bien salope. Si c'est ce que tu veux. Je serai heureux d'envoyer des mails avec photos à toutes les personnes de ton carnet d'adresse ainsi qu'au directeur de l'école M. HARDING. Je suis sur qu'il sera très surpris de constater qu'un de ses professeurs fait l'amour avec un étudiant et qu'elle lèche avidement la chatte d'une autre femme. Et je n'oublierai pas ton pauvre mari James qui travaille si dur à l'étranger. Je me demande bien ce qu'il pensera en te voyant avec le vendeur de chaussures.

Summer se rend compte que son sort est lié à l'obéissance à son élève. Elle répond rapidement :

- Attendez Maître, ne partez pas. Je vous promets de vous obéir.

Summer écarte le fin tissu du string et introduit l'œuf noir dans son vagin. Elle remarque qu'un fil noir sort de l'objet. Elle pense qu'il va servir à retirer l'œuf plus facilement.

Après avoir obéi, elle supplie encore :

- Maître, s'il vous plait ne partez pas. Je vous promets de faire tout ce que vous me direz et quand vous me le direz.

Todd qui est près de la porte de la salle de classe, se retourne et dit :

- Ok salope. Je verrai bien. Maintenant habille-toi et profite de ta journée.

Le garçon ouvre la porte, sort et s'éloigne sans la fermer. L'enseignante se dépêche de courir pour le faire. Alors qu'elle revient à son bureau, l'œuf dans sa chatte commence à vibrer. Il vibre si fort qu'il faut qu'elle saisisse le bord du bureau pour se stabiliser. Tout aussi vite qu'il a démarré, l'œuf s'est arrêtée. Summer comprend que le cordon noir relié à l'objet sert d'antenne réceptrice pour un émetteur portatif que Todd a sur lui. Elle pense « Oh mon DIEU, qu'est-ce qu'il va me faire aujourd'hui? »

Elle s'empresse d'enfiler sa jupe et de remettre son chemisier. Bien sur, la jupe est légèrement froissée d'être restée en pile sur le sol. Alors qu'elle finit de boutonner son chemisier, les annonces du matin se font entendre sur les hauts-parleurs de l'école. Elle regarde sa montre, il est 7h00.

Puis elle commence sa routine matinal à son bureau. A 7h20, le bureau de l'administration l'appelle pour lui demander de venir. Summer se demande si Todd ne les a pas informés de sa conduite. Elle est effrayée. Mais elle ajuste son chemisier, tire sur sa jupe de façon que l'on ne voie pas le haut de ses bas quand elle marche. L'étroitesse de la jupe ainsi que les talons de 10 centimètres sont une nouvelle aventure pour elle. Elle doit rapidement apprendre à mettre un pied devant l'autre comme les mannequins à la télévision. Pour faciliter sa marche, elle exagère un peu le balancement de ses hanches. Elle remarque les regards appuyés des autres enseignants, surtout les hommes, et de certains étudiants arrivés tôt. Toute cette attention la déconcerte, mais elle est un petit peu flattée en passant dans le couloir.

Qaund elle arrive au bureau de l'administration, elle est surprise par le nombre d'étudiants présents ainsi que par le nombre d'adultes, parents et enseignants. Elle sent que tous les yeux se posent sur elle. Elle s'approche du guicher et demande qui l'a appelée. Shirley, la secrétaire, lui dit :

- Madame WAYNE, nous avons un paquet pour vous livré ce matin. Il y a marqué « URGENT » dessus.

Tout le monde dans le bureau se tourne vers Summer pendant que Shirley s'approche d'elle lentement. Quand celle-ci remet le paquet à l'enseignante, elle regarde son chemisier et croit voir les piercings des tétons. Comme elle tient encore le paquet, Summer doit tirer dessus pour le prendre.

Alors qu'elle va partir, elle entend la secrétaire lui dire :

- Madame Wayne, j'aime bien votre nouveau piercing. Quand vous êtes-vous faite percer l'oreille?

Summer est à la fois embarrassée et soulagée. Elle répond :

- Je me suis faite poser cette nouvelle boucle d'oreille le week-end dernier, un surprise pour mon mari James. Il revient à la maison dans un mois et je voulais faire quelque chose pour lui plaire.

Tandis qu'elle s'éloigne, elle sent tous les regards posés sur elle. Le couloir est maintenant rempli d'étudiants et elle entend des chuchotements derrière elle. Elle a l'impression que tous les garçons la regardent avec envie alors que les filles la regardent avec dégoût.

Quand elle arrive à sa salle de classe, la cloche retentit pour la première période de cours. En se dirigeant vers son pupitre, elle regarde la classe. Pour la première fois depuis longtemps, elle semble avoir l'attention de tous ses étudiants. Elle s'assoit derrière son bureau pour ne pas laisser trop longtemps ses jambes exposées aux regards de ses élèves. Elle ne veut pas qu'ils aient l'occasion de voir le haut de ses bas. Elle commence son cours en leur demandant de lire la page 210 du livre qu'ils étudient actuellement.

Alors qu'elle est tranquille à son bureau, l'œuf dans sa chatte se met à vibrer soudainement. Elle pousse un petit cri de surprise. Un de ses élèves sur la première rangée l'entend et lui demande si elle va bien. Summer ne peut faire qu'un signe de tête et lui dire qu'elle va bien. La vibration de l'œuf continue dans son vagin. Summer sent son corps réagir à la stimulation. Elle approche d'un orgasme. Elle essaie de l'empêcher, mais son corps ne veut pas obéir à son cerveau et elle jouit. Elle agrippe le bord de son bureau et pousse sa chatte contre la chaise tout en serrant les dents pour essayer de réprimer l'envie de crier à haute voix. Elle sent de la sueur se former sur son front alors que l'intensité de l'orgasme diminue. Mais les vibrations de l'œuf s'intensifie. Alors qu'un deuxième orgasme n'est pas loin, elle s'oblige à regarder attentivement le livre sur son bureau, sans se soucier de sa classe et de ses élèves qui ont tous les yeux posés sur leur professeur d'anglais.

Summer est étonnée quand l'œuf s'arrête de fonctionner juste avant que son corps ne succombe à un deuxième orgasme. Elle ne voit pas Todd qui est debout, à l'extérieur de sa classe, la portée de la télécommande lui permettant de jouer avec l'œuf. L'enseignante lève les yeux de son livre et voit tous les regards braqués sur elle. Elle se racle la gorge et s'excuse de devoir sortir. Elle demande à ses élèves de continuer à étudier le livre et de ne pas faire de chahuts.

Après que leur professeur ait quitté la salle, Cindy, la délégué de classe est la première à demander :

- Qu'est-ce qui arrive à Madame WAYNE?

Les filles à sa gauche et à sa droite secouent la tête en disant qu'elle ne savent pas. Les garçons, au fond de la classe, ne parlent que du contour de ses mamelons qu'ils ont pu voir à travers le chemiser. Un de ces garçons jure qu'il a vu les tétons de Mme WAYNE porter un piercing. Les autres garçons font la remarque qu'elle est beaucoup trop guindée pour se faire poser des piercings aux tétons. A ce moment, la cloche indique que le cours est terminé. Tous les étudiants emballent leurs affaires et sortent de la salle.

Summer est appuyée contre la porte des toilettes lorsque Shirley, la secrétaire arrive. Elle est inquiète de voir l'enseignante ainsi alors elle lui demande :

- Vous allez bien Madame WAYNE? J'ai l'impression que vous n'avez pas entendu la cloche.

L'intervention de Shirley sort Summer de sa torpeur. Elle répond :

- Non je ne vais pas trop bien. Me sentant mal, j'ai couru ici.

Summer se tourne vers la secrétaire qui maintenant voit de plus près ses vêtements. Shirley lui demande :

- Summer, je ne vous ai jamais vu habillée ainsi. Que vous arrive-t-il?

L'enseignante baisse les yeux et voit que ses mamelons pointent à travers le soutien-gorge. On voit très bien que ses tétons sont percés et traversés par de fins bâtons dorés terminés par des petites boules. Elle se rend compte aussi, que la course vers les toilettes a fait monter sa jupe au-dessus de ses bas et que l'on peut voir qu'elle a un porte-jarretelles.

Alors elle ment et dit qu'elle doit aller à un cocktail de l'entreprise de son mari après le travail. Qu'elle pensait qu'elle n'aurait pas le temps de rentrer chez elle pour se changer.

Puis elle se dirige vers le lavabo et commence à se laver les mains. Après les avoir séchées, elle passe ses mains dans les cheveux pour s'assurer que sa nouvelle boucle d'oreille soit toujours visible. Comme elle a décidé de retourner dans sa salle de classe, elle descend l'ourlet de sa jupe. Mais avant qu'elle puisse sortir, Shirley lui demande :

- Madame WAYNE, je ne sais pas si vous le savez, mais on peut voir votre soutien-gorge jaune à travers votre chemisier. Et je peux même voir le contour de vos tétons. Vos mamelons sont-ils percés?

Summer s'arrête net. Elle essaie de trouver une réponse adéquate à la question de la secrétaire. Elle sait que Shirley est la proche collaboratrice du directeur M. HARDING et que si elle prend en grippe une personne, la vie de celle-ci devient horrible. Summer se retourne et regarde Shirley qui un petit sourire narquois. Elle lui répond :

- Oui Shirley, vous avez raison. Je me suis fait percer les seins ce week-end parce que mon mari me l'a demandé. Il faut que je fasse attention que rien ne presse les piercings car mes tétons sont encore un peu sensibles. C'est pourquoi j'ai mis ce soutien-gorge jaune. Et je ne me suis pas rendu compte avant tout à l'heure que j'avais pris un chemisier presque transparent. Et je ne peux pas me changer.

Alors Shirley regarde de haut l'enseignante et déclare :

- Madame WAYNE, je n'aurais jamais pensé que vous étiez le genre de femme qui profane son corps avec des piercings. Maintenant, je pense que vous êtes le genre de femme qui traîne dans les bars et aguiche les hommes. Je ne crois pas que ce genre de personne doit enseigner dans cette école. Je crains de devoir rapporter à M. HARDING votre accoutrement.

Summer répond rapidement :

- Attendez une minute Shirley. Je l'ai fait pour mon mari et ça ne dérange en rien la façon dont je travaille ou j'enseigne. Je suis désolée que vous trouviez l'idée des piercings offensant, mais ce n'est pas votre problème.

Summer réfléchit et se dit qu'il faut qu'elle fasse très attention avec Shirley. Parce que même si le directeur voudrait savoir ou non si elle a vraiment des piercings, la secrétaire ne laisserait pas tomber. Il faut qu'elle l'empêche d'aller voir M. HARDING. Elle regarde Shirley et lui dit :

- Shirley, pourquoi ne pourrions-nous garder cela entre nous. Je peux comprendre vos réticences à propos de mes piercings. Et vous, vous pouvez comprendre mon désir de faire plaisir à mon mari.

- je ne vois pas comment je pourrais accepter cela. Je trouve que c'est trop dégoûtant pour éviter de le signaler.

- S'il vous plait Shirley, ne pourrions-nous pas parvenir à un arrangement? Supplie Summer.

La secrétaire répond rapidement :

- je ne vois pas comment cela peut être possible.

Summer lui demande :

- Qu'y a-t-il d'offensant dans des piercings Shirley?

La secrétaire lui répond qu'elle trouve dégoûtant le fait de porter des piercings et que pour elle il s'agit d'une profanation du corps. Essayant toujours d'éviter qu'elle n'aille voir le directeur, Summer pense avoir la solution et demande :

- Shirley, voulez-vous que je vous les montre pour que vous puissiez vous rendre compte comment c'est érotique et pourquoi ça fait plaisir à mon mari?

- Non je ne veux pas les voir Madame WAYNE.

- Mais Shirley, ne voulez-vous me laisser vous prouver qu'ils sont beaux?

Le langage corporel de la secrétaire commence à refléter ses vrais sentiments. Ses yeux vont des seins de Summer à son visage. Quelques gouttes de sueur se forment sur son front. Summer essaie d'insister :

- Donc, Shirley, je vais déboutonner mon chemisier pour que vous puissiez mieux voir mes piercings.

Les doigts de l'enseignante se dirigent vers le bouton supérieur de son chemisier. Summer regarde les yeux de la secrétaire qui suivent ses mains pendant qu'elle déboutonne un à un les boutons de son chemisier. Quand elle a finit, elle ouvre sa chemise et met sa poitrine en avant, de sorte que ses tétons pressent le tissu jaune de son soutien-gorge. Summer remarque maintenant que le regard de l'autre femme passe d'un mamelon à l'autre sans se lever,

Summer baisse les yeux et peut voir ses tétons dressés. Elle sait que Shirley peut voir ses mamelons et leurs auréoles et qu'elle peut distinguer clairement les petits bâtons dorés. Elle reste immobile quelques secondes, jugeant la réaction de la secrétaire. Elle se sent beaucoup mieux car, pour la première fois depuis quelques jours, elle se dit qu'elle a le contrôle des évenements. Elle dit :

- Pourquoi ne les toucheriez vous pas? Ça ne peut pas vous faire de mal de les toucher.

Shirley semble en transe. Durant ses cinquante années de vie, elle n'a jamais été aussi proche d'une aussi belle paire de seins. Elle a toujours admiré Madame WAYNE et s'est toujours demandée comment elle pourrait garder elle aussi un corps aussi parfait. Shirley n'est pas prude ou obtuse, mais elle représente la direction de l'école et M. HARDING, alors elle doit faire attention à ses envies et ses besoins, son mari étant mort d'un cancer il y a trois ans.

Summer lui dit encore :

- Tout va bien, vous pouvez les toucher, je ne vais pas mordre.

L'enseignante se rapproche de la secrétaire, lui prend la main droite et la remonte vers sa poitrine. Ensuite elle prend son index et caresse le contour de son téton droit. Puis elle pose la main sur son sein gauche où elle fait la même chose.

Summer voit la respiration de l'autre femme s'accélérer et ses yeux passer d'un sein à l'autre. Elle libère la main de Shirley qui ne la retire pas. La secrétaire s'enhardit et caresse doucement le mamelon qui durcit encore plus sous l'attention. Sans aucun encouragement, Summer sent la main gauche de Shirley se poser sur son sein droit et commencer à le serrer.

L'enseignante saisit l'instant pour demander à la secrétaire de tirer sur les deux piercings afin qu'elle puisse voir qu'ils sont fixés de façon permanente. Et qu'elle puisse se rendre compte combien les mamelons sont stimulés. Shirley obéit et tire légèrement sur les tétons. Summer saisit la main gauche de la femme et la glisse dans son soutien-gorge. Elle prend son coude et la tire vers elle. La respiration de la secrétaire accélère et l'enseignante peut entendre des petits gémissements sortant de la bouche de Shirley.

- Shirley, Pourquoi ne sortiriez-vous pas ma poitrine du soutien-gorge pour mieux voir?

La secrétaire s'empresse de libérer les deux seins du fin tissu. Puis elle se penche pour examiner les piercings. Summer ajoute :

- Allez-y Shirley, touchez mes mamelons avec votre langue.

En même temps, elle pose une main sur la tête de la secrétaire et l'attire vers ses seins. Shirley n'oppose aucune résistance et prend rapidement le mamelon droit dans sa bouche. Elle commence à titiller le piercing puis elle tourne sa langue autour de l'auréole du sein. Summer lui demande de s'occuper de l'autre sein pour ne pas faire de jaloux. Shirley obéit immédiatement. L'enseignante apprécie de pouvoir se faire obéir.

Pendant que la secrétaire continue de s'occuper de ses seins avec adoration, Summer sent que sa chatte mouille encore plus qu'avec les stimulations de l'œuf encore coincé dans son vagin.

Elle continue à donner des ordres à la secrétaire :

- Shirley, Je veux que vous tiriez sur un mamelon pendant que vous sucez l'autre. Et j'aimerai que vous me disiez si vous êtes contente.

Shirley enlève sa bouche du sein, regarde Summer dans les yeux et lui dit :

- Madame WAYNE, je n'ai jamais goûté la poitrine d'une femme avant. Mais la vôtre est merveilleuse.

Au même moment, la cloche de l'établissement sonne pour indiquer le fin de la deuxième période de cours.

- Merde! S'exclame Summer en s'écartant de Shirley.

Elle dit ensuite à la secrétaire :

- Je ne pense pas avoir des problèmes au sujet de mes piercings. Si nous sommes d'accord, je vous donnerai d'autres occasions de les toucher et de me sucer les seins. Êtes-vous d'accord Shirley?

La secrétaire répond rapidement :

- Oui Madame WAYNE, ce sera notre petit secret.

Les deux femmes se sourient. Summer reboutonne rapidement son chemisier, ajuste sa jupe noire, vérifie son maquillage et se recoiffe pour s'assurer que la bouche d'oreille soit bien visible. Elle embrasse Shirley et sort des toilettes. Elle pense qu'elle pourra peut-être se faire plaisir avec la secrétaire. C'est tellement agréable d'être en mesure de forcer quelqu'un a lui faire plaisir plutôt que le contraire.

Quand elle est sur le point d'entrer dans sa classe, l'œuf dans sa chatte revient à la vie. Elle agrippe le montant de la porte, reconnaissante qu'il n'y ait pas d'étudiants pour cette troisième période de cours. En effet, pendant cette heure, elle doit préparer des cours et ne sera pas perturbée par des étudiants, Mais son tourmenteur arrive juste derrière elle, tout en maintenant l'œuf allumé.

Todd place sa main dans le dos de Summer et la guide vers son bureau. Puis il appuie sur son dos pour la forcer à se pencher sur le meuble. Alors que ses seins se posent sur la surface froide, Summer sent que Todd place ses pieds entre ses jambes pour la forcer à les écarter. Mais comme la jupe est trop étroite, Le garçon doit poser la télécommande sur le bureau, pour pouvoir, avec ses deux mains remonter la jupe sur les hanches de l'enseignante.

Une fois qu'il considère que sa soumise est en bonne position. Il éteint l'œuf vibrant enfoui au plus profond de la chatte de son professeur. Quand elle se rend compte que l'œuf ne fonctionne plus, Summer laisse échapper un gémissement et dit :

- Maître, s'il vous plaît, rebranchez l'œuf, je suis si près de jouir.

Mais Todd ne dit rien en s'éloignant du cul tentant exposé devant lui. Il fouille dans son sac à dos et en sort un marqueur rouge. Rapidement en lettres majuscules il écrit sur la fesse gauche « JE SUIS » et « UNE SALOPE » sur la fesse droite. Ensuite il attrape son portable et commence à prendre des photos de l'enseignante troussée et humiliée.

Summer, se rendant compte qu'il fait encore des photos dégradantes sur elle, dit au garçon :

- Maître s'il vous plaît, ne prenez plus de photos. N'en avez-vous déjà pas assez?

Todd ne dit rien et contourne le bureau pour se présenter devant la tête de la femme. Il déboucle son pantalon, sort sa bite bien raide et demande à sa salope de lever la tête et de le sucer. Avec son portable, il peut saisir l'instant où la bouche est ouverte attendant l'entrée de sa queue. Il prend une autre photo de sa bite reposant sur les lèvres de Summer.

Le garçon commence à baiser la bouche de l'enseignante et quand il se rapproche de l 'éjaculation, il saisit la télécommande de l 'œuf. Il allume l'interrupteur et règle tout de suite la puissance à 10. Il voit immédiatement les hanches de la femme s'appuyer fortement contre le bureau. Et il peut entendre les gémissements étouffés par son membre enterré au fond de la bouche de sa salope.

Summer exécute sa fellation en rythme avec les vibrations de l'œuf et le mouvement de ses hanches contre le bureau. Les sensations dans sa chatte la portent près de l'orgasme, mais elle se rappelle qu'elle n'est pas autorisée à jouir tant que son Maître ne lui dit pas. Elle ne sait pas si elle va être en mesure de contrôler sa jouissance.

Todd voit que le bassin et les hanches de sa soumise poussent fortement contre le bureau. Il devine qu'elle n'est plus loin de l'orgasme grâce aux gémissements profonds s'évadant de la bouche entourant sa queue.

Il sort son engin avec difficulté car il semble que la femme ne voulait pas le laisser partir. Il entend un grognement quand il se dégage. La tête de Summer retombe sur le bureau. L'enseignante est concentrée sur les vibrations dans sa chatte. Mais comme elle sait qu'elle ne peut jouir, elle supplie :

- Maître, s'il vous plaît, laissez-moi jouir.

Todd lui répond :

- Pas encore salope! Je ne suis pas encore prêt à prendre du plaisir et nous avons encore 15 minutes avant le prochain cours.

- Oh Maître, s'il vous plaît, laissez-moi jouir. Je suis si proche de l'orgasme. Supplie encore Summer.

Todd ne prête pas attention à ses supplications. Il jouit de ce qu'il voit : Sa professeure d'anglais, penchée sur le bureau, la jupe remontée sur les hanches, le string jaune bien tendu contre les lèvres de sa chatte, les anneaux d'or bien visibles et les mots marqués sur ses fesses.

- Pas question salope, je ne suis pas prêt. Ne jouis pas ou tu vas le regretter. Déclare le garçon.

Il se positionne entre les jambes de Summer. Puis il glisse une main vers le bas et écarte le fin tissu du string. Il frotte ses doigts sur la chatte de la femme. Le jus intime de l'enseignante a mouillé l'entrejambe du string et il peut humidifier le majeur de sa main droite. Il déplace ce doigt vers l'anus de sa victime et l'introduit lentement. Puis il le retire et va de nouveau l'humidifier avec la chatte. Quand il est satisfait, il réintroduit le doigt dans le passage anal et commence à le faire glisser en avant et en arrière dans le cul exposé. Summer réalise que cette stimulation anale la rapproche encore plus de l'orgasme et elle commence à bouger son derrière contre la main de son Maître.

Todd retire son doigt et appuie sa queue sur le petit trou plissé de l'enseignante. Celle-ci lui demande d'arrêter mais le garçon continue à presser sa bite sur l'ouverture. Soudain, sa queue glisse à l'intérieur et quelques secondes plus tard, elle est complètement enfoncée dans le cul de Summer.

Combinée avec la sensation de l'œuf vibrant dans sa chatte, cette pénétration anale oblige la femme à supplier encore :

- Maître, s'il vous plaît, laissez-moi jouir!

Le garçon n'a rien dit quand il a enfoncé sa bite dans le cul de sa soumise et qu'il a senti son orgasme approcher. Mais alors qu'il claque sa grosse queue dans son petit trou, il lui dit :

- Tu peux jouir maintenant salope!

Summer a un orgasme fulgurant. Ses gémissements deviennent de plus en plus forts. Elle ne se soucie pas de savoir si la porte de sa classe est fermée ou non.

Quand elle a fini de jouir, Todd retire l'œuf vibrant et sort de son cul. Il contourne une nouvelle fois le bureau et présente sa bite à la bouche de l'enseignante. Celle-ci sent le goût de la bite qui sort de son cul et cette pensée la fait presque vomir. Mais elle ouvre la bouche, ne voulant pas être punie encore plus. Elle commence à penser au tic-tac de l'horloge qui égrène le temps avant le prochain cours. Elle ne peut s'imaginer la scène, si ses étudiants arrivaient. Cela terminerait sûrement sa vie d'enseignante.

Summer suce la bite de son Maître avec sérieux en espérant qu'il éjacule assez tôt pour qu'elle puisse se préparer avant son nouveau cours. Elle sent que la queue devient de plus en plus tendue. Et alors qu'il commence à jouir, le garçon sort son membre et gicle son sperme sur le visage et le cou de sa chienne. Il peut voir le sperme couler sur les lèvres et le menton. Il prend rapidement son portable dans sa poche de chemise et fige les détails de l'humiliation de Summer. Il pense que la photo sera parfaite.

Alors que Todd range son organe sexuel, Summer commence à se relever du bureau. Elle entend son élève dire :

- Salope, tu n'es pas autorisée à essuyer le sperme qui est dans ton cou et sur le bureau. Tu peux lécher celui que tu as sur tes lèvres et autour de la bouche. Les tâches de sperme dans ton cou te marquent comme ma salope. Je te revois à la sixième période de cours.

Après ces mots, Todd ouvre la porte de la classe et s'en va. Summer lèche hâtivement ses lèvres et la zone autour de sa bouche. Avec ses doigts elle s'assure qu'il n'y a plus de sperme sur son visage. Puis elle baisse sa jupe pour la remettre en place, y rentre son chemisier et s'assoit à son bureau. La cloche retentit pour la quatrième période et elle entend les étudiants se ruer dans les couloirs pour changer de classe. Quand sa salle se remplit, apeurée elle se demande : « Oh mon Dieu, qu'est-ce que Maître T. a prévu pour moi dans la sixième période ».

A suivre...

A la merci de mon beau-frère. Ch 06

A la merci de mon beau-frère - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contraintes


Récit de Jane SMITH traduit par Coulybaca (2007)

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Création d'un site Web, sortie en boite.


J'essayai de toute ma persuasion de convaincre Jean de m'emmener à ce séminaire. La pensée d'un week-end entier à la merci de Yan me rendait folle de panique.

Jean devait visiter toute une série de maison ce week-end, il devait faire de même le suivant. Il prétexta que c'était un séminaire totalement consacré au boulot et qu'il ne pourrait pas me divertir, pour refuser de m'emmener, ajoutant :

- Je chargerai Yan de prendre soin de toi pour que tu ne t'ennuies pas un instant !

Comme je lui donnai un bisou d'au revoir, Yan posa sa main autour de ma taille et assura à Jean qu'il prendrait grand soin de moi. Je cherchai à contrôler les frissons de peur qui couraient le long de ma colonne vertébrale à la suite de ces paroles à double sens de Yan. Jean nous souriait répliquant ingénument qu'il ne voyait pas à qui il pourrait bien confier sa femme avec plus de confiance. Je goûtai toute l'ironie involontaire de ces mots.

A l'instant même où Jean démarra, Yan retroussa ma jupe et me fourra sa grosse bite dans la chatte. Baisée sur le porche d'entrée je lui obéis enlevant ma brassière et mon soutien-gorge pour lui offrir mes nichons. Une fois de plus je fus incapable de repousser un orgasme fulgurant qui me terrassa. Yan me regardait jouir avec une moue ironique avant de se concentrer sur sa propre jouissance.

- On va bien s'amuser ce week-end ! Me promit-il railleusement tout en pinçant cruellement mes tétons.

- Règle N° 1, tu seras toujours nue, à moins que je ne te donne un vêtement ! C'est compris ? Je te donnerai d'autres instructions lorsque ce sera nécessaire.

Sachant pertinemment qu'il valait mieux lui obéir sans délai je me dirigeai vers la salle d'eau pour me nettoyer. Lorsque j'eus terminé mes ablutions, je l'entendis qui m'appelait dans la chambre. En entrant, je constatai qu'il avait installé une caméra reliée à son ordinateur, sur un trépied. Il arborait ce sourire démoniaque que je lui connaissais bien. Il attendait mes commentaires, mais je restais muette me refusant à lui donner cette satisfaction de me voir protester.

- Nous allons ouvrir un site Internet à ton effigie ma chère belle-sœur. Inutile de protester, ton identité sera tenue secrète, je me suis procuré de la teinture pour cheveux et un masque. Je pense que cela créera une aura de mystère autour de ton site ce qui le différenciera amplement de bien des sites ne sortant pas de l'ordinaire. Tu vas de ce pas dans la salle de bain et tu te teins en rousse, l'opération est lancée !

Je lui obéis à contrecœur, je me dis que si c'était la pire épreuve que j'endurerai au court de ce maudit week-end entre ses mains, je m'en tirai à bon compte. Mon imagination était peut-être plus fertile que la sienne. Les cauchemars qui m'avaient torturée ces dernières nuits ne seraient donc que des fantasmes.

Je semblai très différente avec ma chevelure brune teintée en roux. Un rouge à lèvres de pute et une épaisse couche de mascara me transformèrent encore plus. Le masque que me donna Yan était pailleté d'or, deux larges trous me laissaient voir et un dernier me permettait de respirer aisément, il ne dissimulait pas la totalité de mon visage mais il complétait mon déguisement.

Je découvris alors que j'avais sous-estimé l'humiliation que je ressentirai à me grimer ainsi. Je dus poser dans une grande variété de poses impudiques que me dicta Yan. En plus de sa traditionnelle caméra numérique, il employait une caméra ordinaire dont il se servait pour prendre des plans rapprochés de ma fente que j'ouvrais à deux mains.

Au début ce ne fut que des poses, puis je dus jouer des saynètes érotiques : il m'ordonna de me malaxer les seins, puis de me caresser la chatte, de me doigter avec énergie, il prenait constamment des plans rapprochés de ces saynètes pornographiques.

Bientôt, à ma grande confusion ma foufoune s'inonda de cyprine alors que mon corps se mettait à vibrer sous mes caresses. Yan était nu et portait un masque ressemblant au mien pour dissimuler son identité lorsqu'il rentrait dans l'angle de tournage. Il me tendit un vibromasseur et m'intima de me branler avec.

C'était difficile avec le ronronnement constant des caméras en arrière fond, qui enregistrait ma performance, mais je fermai les yeux et essayai de m'abstraire de ces bruits parasites. Le fait de subir ses volontés sans pouvoir m'y soustraire me tracassait mais j'étais soucieuse de ne pas le mettre en colère. Je ne pouvais empêcher mes sens de répondre à ces sollicitations vibratoires et bientôt un orgasme inattendu fulgura dans mon ventre.

Lorsque mon orgasme s'estompa, Yan fit une pause le temps de changer les cassettes vidéo. Il disposa la caméra ordinaire sur un autre trépied et la relia à une télé-commande. Puis il me dit de lui faire une pipe.

La caméra était reliée à une télévision portable, l'écran était dans mon champs de vision et je me voyais sucer et lécher la bite de Yan. La femme qui s'activait sur l'écran ne me ressemblait pas même si je savais pertinemment que c'était moi qui suçais Yan. Etrangement c'était un spectacle d'un énorme impact érotique que de me voir sucer un homme sur l'écran.

Une fois que Yan eut éjaculé dans ma bouche, j'avalai servilement son foutre n'en laissant pas perdre une seule goutte. Il me tendit alors un gros godemiché noir et m'ordonna de me masturber à nouveau. Je me voyais toujours sur l'écran, et pour la première fois je me vis succomber à un orgasme. C'était follement érotique de me voir jouir à l'écran alors qu'un orgasme fulgurant me terrassait.

Je ne pouvais nier mon entière coopération à la vue de ses images de moi en pleine jouissance, Yan était ravi.

Une fois que j'eus joui une troisième fois, il extirpa le vibromasseur de ma chatte et le remplaça par sa bouche avide. Il avait prouvé à maintes reprises qu'il était un formidable bouffeur de chatte et dans l'état d'excitation dans lequel je me trouvais, je perdis instantanément tout contrôle de la situation. Je m'entendais miauler et vagir, l'encourageant d'une voix plaintive à me brouter le gazon, pressant mon mont pubis chauve à ses lèvres d'une main possessive enfouie dans ses cheveux. Il sentait clairement les orgasmes se succéder sous ses caresses lubriques.

Je gémis une protestation lorsqu'il se releva, mais à ma grande satisfaction sa grosse bite remplaça immédiatement sa langue fouineuse. Cuisses grandes écartées il m'embrocha jusqu'à la racine sur sa grosse mentule.

Lorsque je trouvai la force d'ouvrir les yeux, je découvris qu'il avait la caméra vidéo en main. Il filmait avec attention, sa bite apparaissant hors de ma petite chagatte pour mieux s'y enfoncer ensuite.

Il écarta les babines de ma cramouille d'une main habile et focussa sur mon clito. Il le tritura rudement juste avant que je jouisse.

Je rebondis d'orgasme en orgasme alors qu'il maintenant un lent rythme de chevauchée, me pilonnant aussi lascivement que profondément la moule. Atteignant enfin les limites de son self-control, il replaça la caméra sur son trépied et revint en moi jusqu'à ce qu'il éjaculât un torrent de foutre dans mon intimité béante.

Une fois qu'il en eut terminé, je gisais molle et épuisée le corps encore secoué de spasmes nerveux.

Yan reprit la caméra en main et fit un long plan de mon corps éreinté, finissant sur une interminable vue de ma chatte béante dégorgeant de foutre qui était encore agitée d'occasionnels spasmes convulsifs.

Il éteignit enfin les deux caméras et commença à jouer avec son ordinateur m'intimant brusquement de préparer le repas. Profondément honteuse de m'être si lubriquement comportée, je quittai la pièce en chancelant sur mes jambes. Je fus assez longue à préparer de quoi manger, mais lorsque je lui amenais un plateau, il travaillait toujours sur son ordinateur. Visiblement la création d'un site Web s'avérait plus difficile que je ne le pensais. Heureuse de ce sursis, je descendis dans le salon pour regarder la télé.

Je devais être vraiment épuisée car je m'endormis, ne me réveillant que parce que Yan me secouait rudement. Je me traînai derrière lui, remontant à l'étage dans le studio occasionnel.  Il voulait rejouer la même scène en y apportant quelques améliorations.

A moins que vous ne l'ayez déjà expérimenté, il est impossible de réaliser à quel point cela peut-être humiliant de poser pour quelqu'un que vous haïssez. Visiblement cela l'enchantait, il faisait le tour de moi enregistrant les poses provocantes qu'il me dictait.

- Malaxe tes seins. Serre les l'un contre l'autre. Lèche un téton. Bien, bien. Et maintenant positionne-toi face à la caméra et supplie-moi de te baiser ! Oui, c'est excellent ! Maintenant courbe-toi. Ecarte les cuisses. Je fais un plan rapproché de tes nibards puis de ta chatte béante. Oh oui c'est ça. Ouvre l'encore un peu plus qu'on voit bien tes muqueuses. Parfait !

Je suivis ses directives comme un robot, feignant de croire que cela arrivait à une autre, une étrange rouquine bien trop maquillée.

Puis Yan me sauta à nouveau, il m'était impossible de me dissocier plus longtemps de ce qui m'advenait. Il manipulait implacablement mon corps me faisant rebondir d'orgasme en orgasme jusqu'à ce que je me perde dans un océan d'extase.

Enfin il cessa ses manœuvres lubriques et me tapota les fesses, pleinement satisfait de notre performance.

- C'était pas mal pour un après-midi ! Je t'ai drôlement fait reluire ! Je savais pertinemment qu'en dépit de tes dénégations tu n'étais qu'une salope ! Toutes les femmes sont des salopes !

J'avalai ma salive pour endiguer ma fureur. Je jure que si j'avais eu un couteau je lui aurai planté dans le bide sans hésiter une seconde, sans même me soucier des conséquences. Peut-être est-ce une chance que je n'aie pas eu d'armes à portée de main. Je bouillonnais silencieusement.

- Vas te laver maintenant ! Il y un bal costumé dans mon night-club favori ce soir ! J'ai choisi moi-même ton costume.

Je frissonnai, la crainte m'envahissant à nouveau. J'avais espéré qu'il travaillerait sur son site Web tout le week-end. Je n'aimais pas du tout cette idée de sortir avec lui en public, même déguisée et les cheveux teints. Par ailleurs il lui serait bien plus difficile d'abuser de moi au cœur d'une foule de fêtards.

A mon retour dans la chambre je vis le costume qu'il m'avait choisi, je savais que cela allait dépasser mes idées les plus folles. J'étais supposée me déguiser en danseuse du ventre. La tenue était composée d'une fragile brassière qui ne cachait rien de mes mamelons. Je devais la porter sous une courte veste sans manches. Et bien qu'elle soit plus opaque, je n'avais aucun moyen de la tenir fermée sur ma poitrine. Elle devait se porter constamment ouverte servant d'écrin à mes appâts mammaires.

Le pantalon était fait du même tissu arachnéen que la brassière. Il était orné d'une ceinture brodée qui se portait au bas des hanches. Chaque jambe était composée de quatre panneaux distincts attachés à la ceinture et à un lien serré sur les chevilles. J'avais un string ficelle pour tout sous-vêtement qui ne cachait rien de mes charmes.

La dernière partie du costume constituait en un masque. Il était composé d'un voile éthéré suspendu au-dessus de mon nez et qui dissimulait quelque peu le bas de mon visage. Combiné avec l'autre masque il m'assurait que personne ne pourrait me reconnaître.

Yan me filma le temps que j'enfile mon costume de bal, ce qui me rendit encore plus consciente de la légèreté de ma tenue. Il s'était contenté de se coiffer d'un stetson de cow-boy texan sur son jean et sa chemise ouverte.

J'avais la sensation angoissante que cette soirée serait aussi cauchemardesque que mes pires pressentiments le prédisaient.

Pendant que nous attendions pour le taxi qui devait nous emmener à la boîte de nuit Yan s'attaqua de la bouche à mes nichons. Le temps que le taxi klaxonne à l'extérieur, j'étais congestionnée et je haletais, le fragile tissu mouillé était devenu transparent, soulignant les courbes de mes nibards. J'étais soulagée qu'il fasse nuit noire, les voisins ne me verraient pas partir en cet équipage.

La lampe intérieure du taxi lui offrit une bonne vue de mes charmes, ses yeux lui sortirent presque des orbites alors qu'il se tordait la tête pour mieux voir. J'étais brûlante de honte et je ne savais pas où poser les yeux alors que Yan jubilait. Il s'assit à côté de moi et m'enlaça de ses bras empaumant mes nibards d'une main avide.

- Hey n'a-t-elle pas des gros nichons ? Demanda-t-il me forçant à les exposer sous les yeux du chauffeur.

Le conducteur se pourlécha les babines, enthousiasmé par la vue, mais ne sachant visiblement pas quoi dire.

- Pour sûr ils sont bien gros ! Murmura-t-il après quelques secondes de réflexion.

- Ou voulez-vous vous rendre ?

- Au Blue Lagoon. Répondit Yan, s'asseyant bien au fond du siège, m'attirant tout contre lui.

C'est un miracle que l'on ait survécu au périple du taxi. Il passait plus de temps à épier ce que nous faisions à l'arrière de son taxi qu'à regarder la route. Une part cachée de moi-même se réjouissait que la vue de mes appâts puisse engendrer de telles réactions, je fis semblant d'ignorer ces pensées.

L'éclairage de la boite de nuit était très tamisé. Seuls les gens proches de moi pouvaient noter la transparence de mon costume. Je me calmai et commençai à m'amuser. Les généreuses doses d'alcool que me servaient Yan contribuèrent à me désinhiber. Lorsque Yan m'emmena sur la piste de danse j'étais bien grise.

Habituellement je bois peu et surtout je préfère le vin aux alcools forts. Mais tout ce qui pouvait me faire oublier ma fâcheuse situation était bon à prendre. J'étais heureuse de pouvoir m'appuyer sur les bras de Yan qui m'étreignait fermement, mais pouvait-on dire que l'on dansait ?

Il étreignit fermement mes hanches contre lui, à chaque mouvement je sentais sa formidable érection frotter contre mes cuisses. Ses mains rampèrent sur tout mon corps, suivant ses courbes, empaumant mes nibards. Je chancelai passivement endurant ses caresses lascives jusqu'à l'instant où il descendit sa fermeture éclair.

- Que fais-tu ? Lui hurlai-je à l'oreille pour couvrir le bruit de la musique.

- On va baiser sur la piste de danse ! Répliqua-t-il, commençant à sortir sa bite.

Je tentai d'échapper à son étreinte mais il était trop fort.

- Arrête et range ta bite ! Protestai-je paniquée ?

- Arrête d'attirer l'attention sur nous ! M'engueula-t-il en libérant totalement sa grosse bite.

Elle jaillit de son caleçon, bien raide, prête à l'emploi. Cela ne luit prit qu'une seconde pour repousser mon string de côté, pour propulser son gland à l'orée de ma caverne embrasée. Je jetai un coup d'œil angoissé à nos voisins, mais tous les autres couples semblaient absorbés par leur propre relation, personne ne nous regardait particulièrement.

- Accroche ta jambe à ma taille ! M’intima Yan sèchement.

J'obéis à contrecœur et s'aidant de la main posée sur ma croupe il adopta le bon angle pour planter sa grosse mentule dans ma chatte affolée. Mes pieds ne posaient plus au sol, j'étais empalée sur sa grosse bite qui supportait mon poids alors que mes cuisses étreignaient fiévreusement sa taille.

Mes nibards pointaient visibles à la hauteur de ses lèvres, il entreprit de mâchouiller mes mamelons. Il accorda ses allées et venues dans mon utérus au rythme trépidant de la musique qui trouvait un écho dans les battements de mon cœur dans mes oreilles. Incapable de l'endiguer, je sentis un orgasme dévastateur monter dans mes flancs. Je fus soulagée de savoir que la musique couvrait mes grognements de plaisir.

Yan évolua au cœur de la foule, se dirigeant vers un coin de la piste sa queue profondément enfoncée dans mon intimité, ce qui me donnait d'étranges sensations. Il se retira et me plaça face au mur. Je me blottis contre la cloison lorsqu'il me prit par derrière. Ses couilles frappèrent mes fesses alors que ses doigts triturèrent mes nibards et mon clito. Un orgasme d'une intensité démente me submergea.

Satisfait dans l'immédiat il m'envoya me rafraîchir aux toilettes. Je le rejoignis au bar. Deux boissons m'attendaient. Il me présenta à quelques hommes qui voulaient danser avec moi. Il chuchota à mon oreille :

- Montre toi très coopérative si tu ne veux pas que je me fâche ! Je te surveille du coin de l'œil !

Plus la soirée avança, plus les visages de mes partenaires rougirent. Seul le visage de Yan resta impavide. Il souriait d'un air affecté tout en observant des étrangers palper et meurtrir mon corps. Plusieurs d'entre eux se frottèrent contre moi. D’autres me prirent les mains et les posèrent sur la grosse bosse déformant leurs braguettes.

Je dansai avec un homme dont j'ignorai le nom, lorsqu'on annonça que la boite de nuit allait fermer. Yan nous rejoignit alors que j'étais coincée entre deux colosses peloteurs. Ce partenaire s'était montré bien plus prévenant que ses prédécesseurs, je n'étais pas insensible à ses caresses.

Lorsque Yan se mit lui aussi à me peloter, je ne tardai pas à gémir et à me tortiller sous leurs caresses lascives. Yan baissa ma brassière, exposant totalement mes nichons aux yeux de mes voisins. Mon partenaire captura un de mes tétons entre ses dents. Il le suça avidement alors que son autre main dénichait mon clito au travers des fentes de mon sarouel. Je plongeai ma main dans sa braguette et empoignai sa grosse bite selon ses directives.

Je sentis l'orgasme monter en moi. Je crispai inconsciemment mes sphincters. Nous jouîmes de concert sous les rires de Yan qui appréciait de nous voir orgasmer en chœur. Lorsque j'enlevai ma main du caleçon de cet étranger, Yan la guida vers ma bouche en m'intimant de lécher le sperme qui enrobait mes doigts.

L'étranger me regarda avidement, puis il tourna son attention sur Yan.

- C'est votre nénette ? L'interrogea-t-il suavement.

Yan hocha la tête en replaçant ma brassière sur mes nibards.

- Vous avez une sacrée veine ! Reviendrez-vous la semaine prochaine ? J'aimerai refaire quelques pas avec elle !

- Peut-être bien... Répondit Yan vaguement.

- Pour l'instant, nous allons dans un club que je sais encore ouvert pour un bon moment. Venez avec nous et vous pourrez de nouveau danser avec elle !

- Je vous suis ! S'exclama-t-il me reluquant de la tête aux pieds avec concupiscence.

A suivre…

lundi 10 septembre 2018

Margot est une salope Ch.03

Margot est une salope - récit érotique  domination soumission professeur viol

Texte de Erosxx.

Margot est une vraie salope.

Ma mère s'appelle Marguerite mais on la nomme Margot. Elle a 44 ans. Elle est prof de français à mi-temps et prof de danse aussi. J'ai découvert qu'elle avait un amant du nom de Jacques qui venait de temps en temps avec un de ses amis pour la sauter le mercredi. J'ai pu assister à leur ébats par une webcam cachée dans l'appart et c'est là que j'ai vu que maman s'y connaissait grave en sexe. J'ai décidé de rien dire à mon père qui habite en maison de campagne la semaine. Un : Parce que ça détruirait la famille et deux : parce que je prends mon pied à la voir se faire baiser. Et oui, je sais que c'est ma mère mais quand je la vois, je vois aussi une femme de sexe avec des formes et des attributs sexuels pas possible. Elle a des gros seins et s'habille sexy. La voir se comporter ainsi, avec ses amants, me fait bander et j'en arrive à fantasmer sur elle parfois. Voilà, en bref ce qui se passe. J'ai donc droit à ma séance de cul du mercredi dans le salon en live grâce à la caméra planquée dans le masque tribal.

Nous sommes Jeudi soir, et je l'accompagne à son cours de danse comme d'habitude. Elle y est prof là-bas et l'accompagner me permet de voir certaines de ses élèves. Je m'installe donc en attendant qu'elle se prépare. Déjà, ça commence à se remplir de mecs de la cité qui viennent se rincer l'œil. Normalement, ils n’ont pas le droit de venir mais personne ne leur dit rien. Les premières filles apparaissent : Moyenne d’âge 18 20 ans. Toute ne sont pas belles mais y‘a du nichon moulé dans le body. Les mecs matent et siffle en rigolant. Elles se mettent sur les tapis et discutent en envoyant des vannes a des gars un peu trop impolis sur elle. Mais voilà maman qui arrive. Les gars se retournent alors et se murmurent des trucs entre eux en ricanant. J'entends alors :

-Voilà la prof ! Regarde comme elle est bonne !

-hmm putain, je la baiserai bien cette salope ! Regarde ses nénés, ils sont énormes.

Leur propos m'écœurent mais bon, je serai pareil si j'avais une femme autre que ma mère en face. Faut dire aussi que maman est vraiment bandante et sa poitrine moulée dans le body violet ne laisse pas indifférent. Des gros seins dans un corps de sportive à la peau mat. Pas étonnant que pour ses 44 ans elle en fasse trente. Le sport, ça conserve les formes. Les filles sont autour d'elles et elle a ramené du son pour son cours. Les mecs la fixent secs. Ils ne perdent pas une miette de ce corps si provoquant. Elle a attaché ses cheveux noirs derrière elle, comme un chignon. Ça permet de voir son visage superbe. Des yeux de couleurs noisette et en amande. Ses lèvres colorées en rose vif et elle s'est maquillée comme d'habitude. La femme d'1m68 pour 62 kg s'avance et démarre le footing autour des tapis. Elle a mis pour le bas, un short moulant bleu comme mettent les cyclistes. Il lui arrive au milieu de ses cuisses musclées. Ses jambes sont bien musclées, bien charnues avec des mollets ronds. Elle est pied nu et d'ailleurs, quels jolis pieds aux ongle vernis de rouge foncé.

Elles se mettent toutes à courir. Les seins bougent bien que pressés dans les maillots et autres bodys. Oui, ce soir, y ‘a du nichon. Ceux de ma mère secouent sacrément du haut vers le bas. Les regards des gars de la cité sont portés essentiellement sur maman et sa poitrine. Je me demande si elle en a conscience de l'effet qu'elle fait sur les mecs. Son cul est moulé par le short est magnifique. Ses fesses sont musclées et ne tombent pas. C'est un véritable plaisir de voir cette dizaine de filles courir le long des tapis. Certaines sont moches mais peu importe. De toute façon, d'après ce que je comprends, l'attraction c'est maman et sa poitrine.

-Allez, tenez-vous droite et faites des cercles avec vos bras.

Elles sont en ronds, autour de Margot à faire des cercles avec leur bras. Maman est au centre et fait des exagérations de respiration pour leur montrer. Elle gonfle sa poitrine. On a l'impression que ses lolos vont doubler de volume et tout arracher le body.

- Je vais me la faire hmmmm, je vais me la faire cette sale pute ! Dit un mec se caressant le sexe.

- Chut ! t'es fou ! Dit un autre en rigolant.

Les exercices se poursuivent et les commentaires dégradants y vont bon train. L'heure se finit et c'est la douche. Toutes les filles vont se laver et ma mère y va en dernier. Elle reçoit les parents des jeunes filles qui la félicitent du bien qu'apporte cette discipline. De temps en temps, je peux voir le père d'une des filles porter son regard sur la poitrine moulée dans le body de Margot.

Une fois que toutes ont terminées, Margot va se laver à son tour. J'attends là, en imaginant maman se lavant, se passant du shampoing sur ses gros seins. Toute cette mousse odorante et la chaleur de l'eau coulant sur son corps. Tout le monde est parti maintenant et même les gars de la cité. Et là me vient une idée. Et si j'allais oser essayer de surprendre maman sous la douche. Oui, pourquoi pas et je sais qu'elle excuse bidon je vais lui sortir. Je reste un moment à me convaincre et finalement, je prends le risque. Oui, j'ai envie de voir ses gros seins en vrai et pas par la caméra.

Je me dirige vers le vestiaire des femmes. J'entends la douche couler et je réalise qu’il n’y a personne pour surveiller. N'importe qui pourrait rentrer alors. Aucune surveillance et en plus maman est seule, nue sous la douche. J'entends la douche couler mais ce ne sont pas les collectives. Elle s'est enfermée dans les douches box. Bien sûr, ça aurait été trop beau, trop parfait de la surprendre.

C'est alors qu'elle apparaît soudain se frottant les cheveux. Putain, elle a les nichons à l'air. Elle se frotte les cheveux avec sa serviette et ne me voit pas tout de suite. J'ai le bonheur de voir leur taille. Deux masses de chair rendu humide par la condensation. Ils ont l'air plus gros encore que dans les enregistrements. Ils sont terriblement lourds et ils tombent un peu. Elle n'a pas de silicone pour les tenir droits comme dans les filles des pornos. Du naturel cent pour cent. Ses longs tétons autour desquels il y ‘a des auréoles marrons. Comme elle frotte sa tête ça fait des mouvements et ses seins balancent avec un léger bruit de floc floc. Mais l'instant est bref. Elle me repère aussitôt et rougit. Elle se cache instinctivement les seins avec la serviette.

- Mais, sylvain, mais ça va pas, qu'est-ce que tu fais là, tu n'as pas le droit !

- J'ai entendu du bruit, maman, je croyais...

- Allez file, va-t’en !

Elle semble en colère et n'écoute même pas ce que j'ai à dire. Elle me repousse violemment et claque la porte avec colère. Je l'entends jurer de l'autre côté. La honte pour moi. A la sortie, elle me regarde sévèrement.

- On va en discuter à la maison, tu n'as pas à rentrer comme ça dans les vestiaires des filles. Tu as de la chance que ce soit moi qui sortais de la douche.

Silence dans la voiture. Elle est vraiment en colère. Arrivé à l'appart, elle va poser ses affaires et prépare le dîner. Elle s'est mise en pyjamas / peignoir. Je viens la revoir pour m'excuser.

- Je suis désolé maman pour tout à l'heure !

- C'est bon sylvain, c'est bon ! Mais bon, mets-toi à ma place, je sors dévêtue et je vois un mec, là dans les vestiaires. J'ai paniqué et j'ai pris colère. De toute façon, il va falloir revoir la sécurité. On rentre comme dans un moulin dans la salle de sport et dans les vestiaires. Je n'ai pas envie qu'une fille soit violée dans les vestiaires.

Elle ne m'a pas jeté un regard. Elle m'en veut encore. On dîne en silence et elle me dit :

- Tu sais sylvain, il va falloir te trouver une nouvelle petite amie ! C'est pas sain de rester célibataire et ça donne des idées.

- Quoi ‘ ? Mais tu veux dire quoi par la

- Juste que je crois que tu devrais sortir davantage et te trouver une petite copine de ton âge, c'est tout.

- Mais je sors pourtant !

- Tu parles, toujours à rester devant ton ordinateur ! Je suppose que tu vas sur des sites pornos mais ça te regarde ! De toute façon, plus question que tu m'accompagnes à la danse. C'est fini cette histoire.

- Mais je fais ça pour ta sécurité !

- bien sûr, bien sûr ! Et tu es un petit mateur ! je te conseille de draguer comme tu faisais avant. Mes élèves ne sont pas des bouts de viande que l'on reste à regarder en bavant !

Me voilà grillé mais heureusement elle ne se doute pas que c'est elle que j'aimais mater aussi. Ceci dit, la discussion m'a refroidi grave et j'en éprouve de la colère. Elle me fait des leçons alors qu'elle baise comme une belle salope dans le salon. Elle qui fait cocu papa. J'ai envie de tout balancer. Mais non, faut pas, surtout pas.

Elle débarrasse et file à sa chambre pour préparer son cours. Elle est hypocrite et ça m'agace. Le week-end suivant nous rejoignons papa. On est rejoint par ma tatie, son mari et mes trois cousins. En ce moment, on fait des repas de famille le week-end. C'est dégueulasse de voir maman jouer son rôle de femme aimante alors qu'elle a une vie extra conjugale. Elle sait y faire. Mon père a confiance. Mais peut être que lui aussi a une amante. Enfin, je fais aussi comme si tout était normal.

De retour à l'appart, le lundi soir, mes pulsions reviennent. J'ai réussi aussi à trouver une planque dans le petit couloir de là où il y a ma chambre, la sienne et la salle de bain. J'arrive ainsi à choper des moments où elle se balade en soutien-gorge de sa chambre à la salle de bain. Le mieux, c'est quand elle a sa grosse poitrine nue. Ses seins sont très gros et ils tombent. Quand elle marche, ils se secouent lourdement.

Le mercredi soir arrive enfin. En arrivant, je perçois une odeur de fumée de cigarette persistante. Maman est dans sa chambre. Je vais la voir. Elle me dit qu'elle souffre de migraines. Elle a une sale tête, toute pâle et suante. Je remarque qu'elle est nue sous sa couette mais je n'ose pas insister du regard suite à l'incident de la semaine dernière.

- Tu veux que j'appelle le médecin ?

- Non, Ça va passer mon chéri , j'ai dû attraper froid, c'est tout. Tu te feras un sandwich pour ce soir.

Je file alors sur mon ordi , ferme à clef et je mets en lecture de ce qui s'est passé la journée. Avance rapide. Ah ! Jacques est venu comme d'habitude. Je décris : Jacques frappe et maman va lui ouvrir. Margot était en soutifs quand elle est venue lui ouvrir. Soutien-gorge noir et string noir dentelé. Ses cheveux lui tombent au niveau des épaules et elle est maquillée comme si elle sortait. Jacques ne peut qu'être heureux d'être accueillit par ce canon. Il tombe en plus, nez à nez avec la poitrine exagérément opulente de Margot dont les tétons sont visibles à travers son soutien-gorge noir. Ils rentrent et maman ferme vite derrière elle craignant d'être vue par les voisins. Jacques a les yeux brillants de désir. Il regarde cette femme mature de 44 ans qui en parait trente.

Elle se retourne alors et se dirige vers la cuisine. Il en profite pour regarder ses mollets et ses cuisses musclées. Mais le mieux, ce sont ses fesses mis en valeur par son string noir qui lui rentre dans la raie du cul. Chaque fesse est séparée et comme elle marche en remuant du cul, il peut admirer le balancement de celle-ci. Elle sait que Jacques la regarde et elle exagère sa démarche. Elle marche en ondulant des fesses. Il se retient de ne pas la prendre tout de suite. Mais il ne veut pas tout gâcher car il sait le plaisir que peut procurer la bouche de Margot et le bonheur de prendre chacun de ses énormes seins dans chaque main.

Elle revient. Là, ce sont ses seins qui bougent légèrement car compressés dans le soutien-gorge. Elle est avec deux verres propres et ils se servent à boire. Jacques est sur le canapé et Margot enlève son string révélant sa chatte bien fournie. Elle laisse tomber le string puis grimpe sur lui avec son verre à la main. Elle est sur lui et lui déboutonne le pantalon d'une main. Jacques commence déjà à bouillonner. S'il pouvait il viendrait tous les jours ici baiser maman. Mais elle a mis des règles. Son fils ne doit pas savoir qu'elle a une vie extra-conjugale.

Elle finit par sortir le sexe de Jacques, un gros sexe qu'elle dirige vers sa chatte. En face du visage de jacques, la grosse poitrine de Margot. Il se met à embrasser chacun des seins à travers le tissu du soutien-gorge. Elle sent la respiration excitée de son amant sur ses melons. Et elle finit par dégrafer son soutien-gorge. Jacques est comme un fou. Suçant chacun des longs tétons. Sa bite est enfoncée dans la chatte de Margot. Elle commence à gémir et à faire des oh, oh répétitif. Puis jacques se lâche lui injectant son sperme toujours si abondant. Au final, il laisse son visage tomber entre les seins de Margot qui le plaque contre elle. Il aime avoir son visage collé contre les seins de maman. Ils sont chauds, gros et rassurants. Il aime entendre le cœur de la femme battre. De son côté Margot aime sentir la tête de l'homme sur sa poitrine opulente. C'est un délice et cela éveille en elle un soupçon de maternité. Peut-être qu'elle pense à moi quand je la tétais.

Elle sent que Jacques a débandé. Elle reste sur lui. Il sort des cigarettes et ils fument. Elle aspire la fumée plein poumon elle qui me fait la morale là-dessus ben bravo. Elle tousse. Ils restent un moment à discuter de choses et d'autres. Elle est toujours sur lui, nue. Elle finit sa clope et reboit un verre. Puis elle se met à piper Jacques pour redonner de la vigueur à son sexe. Elle a décalotté le sexe de Jacques et excite son gland avec le bout de sa langue. Jacques lui gicle dans la bouche ce qui lui reste de jus. Elle arrive à tout avaler. Berk, dire qu'elle m'embrasse le matin avant de partir. Avec cette bouche qui taille des pipes. Jacques remet son pantalon. Ils s'embrassent fougueusement et on voit que Jacques est triste de partir.

Maman, reste assise, toujours nue, sur le canapé. Son amant part. Elle reste à fumer des cigarettes et à boire d'autres verres devant la télé. Elle regarde l'heure. Toc Toc. On frappe à la porte. Margot se lève en courant pour enfiler quelque chose. Prise un peu de panique. Elle enfile juste son peignoir de bain se passe un rapide coup d'eau sur son visage et va ouvrir.

- Nicolas ?

- Bonjour Margot !

- Bonjour, mais bon, il commence à être tard et...

Nico secoue un petit sachet.

- Surprise ma puce !

- Non, Nico, je n'en prends plus merde, j'ai déjà failli être accroc !

Voilà une nouvelle facette cachée de maman et un truc que je croyais inimaginable surtout pour elle. Elle a touché à la drogue et à ce qu'elle dit et plusieurs fois même.

- Allez Margot, ne fais pas ta sainte nitouche !

Margot reste en peignoir à la porte et devant le sourire du jeune gars, elle finit par céder. Il rentre et elle referme. Elle sort un nouveau verre et verse à boire pour Nico. Ils trinquent. Elle commence à être un peu naze car elle a pas mal bu avant. Elle est assise, jambes croisées et discute avec Nico.

- Toujours à ne rien faire, Nico ?

- Oui, je cherche du travail mais je revends, ça paye bien !

- Tu devrais faire attention et te trouver un truc, une formation, je sais pas moi.

- On verra bien ! Eh, on dirait que Jacques est passé !

- Oui mais il est en baisse pour le sexe ! C'est son travail qui le fatigue !

Nico fait des lignes blanches. Maman les regarde avec envie. Elle s'allume une cigarette et tire dessus comme une folle.

- Tu as repris la clope aussi, on dirait, hihi !

- Oui, j'ai l'impression de revenir à mes 18 ans. Je fumais comme une folle et j'ai arrêtée quand je me suis mariée et tombée enceinte de Sylvain.

- Tu as bien fait mais maintenant, faut te lâcher !

Ils rient tous les deux. Je deviens haineux de voir maman s'entendre aussi bien avec ce jeune d'au moins mon âge. Elle se comporte comme une maman modèle avec moi et avec lui comme une dépravée. Elle s'étire et gonfle alors sa poitrine qui ressort par la fente du peignoir.

- Allez ma Margot ! prends-toi une ligne !

Elle le fait, inspirant le poison avec plaisir. Maman est une droguée occasionnelle. Jamais je n'aurais pu m'en douter. Elle se revendique comme étant une sportive alors qu'elle fume à fond et s'arrache la tête. Elle se penche et renifle en tenant son peignoir pour empêcher ses seins de sortir.

- Oouuuff ! sniffff ! Je recommence mes conneries ! Il faut pas !

Elle tousse et renifle. La poudre passe mal et elle sent des drôles de sensations au niveau de ses bronches. Nico sourit alors et fait signe à ma mère.

- Vas-y , montre tes lolos, tu vas voir !

- Nicoo noon ! stop !

Il lui écarte brusquement son peignoir. Les deux gros nénés sortent alors. Il lui descend un peu le peignoir jusqu'aux hanches. Elle tousse.

- Presse tes seins !

- Pfff ! tu vas faire quoi ?

- Regarde !

Il sort un nouveau sachet et en verse entre les seins de mamans qu'elle presse vers le haut. Margot rigole alors à plein poumon tout en toussotant et en se tenant les nichons serrés pour pas perdre cette poudre destructrice. Nico plonge la tête dans les deux melons. Elle sent le jeune qui renifle la drogue entre ses melons. Elle s'esclaffe comme je ne l’ai jamais vu. On dirait que ça la chatouille.

Nico, après avoir bien reniflé la drogue entre la fente des seins de Margot, en profite pour lui embrasser les lolos. Elle sent le souffle du jeune sur ses nichons opulents. Il est comme affamé de sa poitrine. Il se met à lécher les long tétons qui durcissent au contact de la langue. Il entoure les auréoles foncées de sa langue. Dans l'action, le peignoir de Margot finit par tomber et elle enlève les bras de ses manches. Elle enlève donc son peignoir dévoilant son corps ferme et magnifique. La revoilà entièrement à poil encore. Ça devient une habitude le mercredi.

Le jeune gars est bloqué sur ses seins comme Jacques. Margot fait comme si elle lui donnait le sein. Elle aime que ce jeune d'à peu près l'âge de son fils, la tripote et la baise comme si elle n'était qu'une femme vulgaire. Oui, ma mère se comporte comme une pute avec lui. La preuve, elle est à poil et lui encore habillée. Elle aime aussi qu'il se comporte comme un bébé à qui elle donnerait le sein. Même elle n'aurait imaginé en arriver à ça : se laisser aller de cette façon.

Nico, complètement excité par cette poitrine décide cette fois de la boire. Elle le dirige vers son sexe à la chatte velue et mouillée. Elle écarte ses cuisses musclées et met Nico entre ses jambes. Elle tient sa tête de ses deux mains. Il lape la mouille, lui broute la chatte. Je vois les tétons de maman se durcir et son visage devenir celui d'une femme en chaleur. Je ne reconnais même pas son visage tant il est inondé de plaisir, tant il ressemble à celui d'une salope. La tête de Nico est à l'intérieur des cuisses de Margot qui gémit en soupirant de plaisir. Elle se met à onduler des hanches. La drogue, l'alcool font leur effet et décuple son plaisir en détruisant ses inhibitions. Elle se masse les seins tout en se faisant lécher par Nico. Elle écarte les cuisses à fond, de toute ses forces, comme si elle voulait encore plus offrir sa chatte.

Je me masturbe en voyant ma mère, cette belle salope, cette droguée, se faire sauter dans le salon. Je me paluche grave. Nico la lèche bien. Il a posé ses mains de chaque côté des cuisses musclée et bronzée. J'entends sa langue claquer légèrement en léchant la mouille maternelle. Maman en rajoute à fond en se tortillant, en se pressant les seins. Nico finit par la mettre par terre, sur le tapis du salon. Il se met sur elle et la tringle en lui caressant les cuisses. Nouvelle dose de sperme en elle. Nico se relève et prépare une dernière dose pour eux deux. Il relève margot, un peu dans les vaps à cause de la drogue et du sexe et la fait sniffer à nouveau. Elle a du mal à sniffer. Plus l'habitude d'ingérer ce poison qui mine de rien, la détruit. Elle tousse et elle a encore un léger malaise au niveau de ses poumons, de ses bronches. Elle tousse. Ils s'allument une dernière cigarette, boivent un dernier verre. Nico contemple le corps de Margot assise et nue.

- Tu es sacrément bonne, tu sais ça ! J'aurai bien aimé te connaître à 18 ans.

-Sans blague ! (Elle rit)

- Tu devais avoir beaucoup de partenaires ?

- Eeeh, dis donc, tu me prends pour une dépravée toi ! Je ne faisais pas l'amour à n'importe qui !

- C'est quoi ton plus gros plan baise ?

- Oh, c'est quand on a fêté nos 21 ans avec ma meilleure copine de l'époque ! On s'est pris une cuite dingue et on a rencontré des garçons de nos âge qui faisaient leur service militaire. On les a invités. On s'est retrouvée toutes nues à danser comme des folles dans l'appartement qu'on partageait. A la fin ça a viré à la partouze !

Elle se met à rire.

- Et ils étaient combien ?

- Ils devaient être cinq ou six. Je sais plus trop.

Elle finit sa cigarette et en allume une autre.

- Oui, on en a bien profité à cette époque et j'ai rencontré Jean-Pierre et tout s'est enchaîné. Mariage, le bébé, etc.

- Et tu as eu d'autres amants avant Jacques et moi ?

- Oui, mais c'était des aventures sans lendemain. Avec Jacques ça dure depuis deux ans

- Deux ans ? Et ton fils n'est pas au courant !

- Penses-tu, je fais attention et il est gentil !

Ils rient et moi je deviens vexé qu'elle me traite de gentil devant ce garçon. Ils baisent une dernière fois et Nico repart à ses plans de junkie. Margot finit par s'envoyer le fond de whisky. Alcoolique, droguée et salope comme pas une. Eh bien voilà ce qu'est ma mère en cachette. Et j'en ai appris des belles sur sa jeunesse. Il faut dire ce qui est : Ma mère est une vraie pute en chaleur. Derrière la prof de français, la sportive, l'épouse fidèle soi-disant et la maman attentive, se cache une personnalité autre. Pas étonnant qu'elle soit malade avec toutes les saloperies qu'elle s'est envoyée. Depuis que je l'espionne, j'avais remarqué qu'elle fumait des cigarettes en pagaille pendant mon absence et même qu'elle s'envoyait quelques verres mais de là à sniffer avec un jeune junkie.

J'éteins et je finis ma branlette en jutant alors. Viennent alors les remords. C'est grave de voir sa mère se shooter. C'est grave aussi de voir que sa maman si idéale, a collectionné les amants et se comporte comme une chienne en manque. Mais que faire, que dire comment expliquer que je l'espionne sans passer pour une espèce de pervers incestueux.

Je vais bouffer alors. Le soir, j'entends des gémissements. Je vais dans la chambre de maman. Elle se tortille dans sa couette. Elle subit encore les effets du cocktail cigarette, alcool et drogue surtout qu'elle a abusée pour une personne pas habituée. A 44 ans, se défoncer comme si elle avait 18 ans.

Je vais à la cuisine chercher de l'aspirine. Je reviens et là, je vois un truc super. En bougeant, elle a découvert sa couette laissant apparaître un nichon. Dieu qu'il est gros. Elle dort sur le dos, les bras de chaque côté du lit. Elle ronfle un peu et gémit. Son sein dénudé pend vers la gauche à cause du poids. Son visage est détendu. Ses cheveux éparpillés sur le coussin. Et si je baissais la couverture ? Je bande. Pourquoi pas après tout, combien de mains ont dû palper cette poitrine qui m'a donné la vie. Je le fais. Lentement pour pas la réveiller. J'approche ma main et je baisse la couette qui recouvre sa poitrine. C'est là, que je réalise qu'elle a vraiment des seins énormes. C'est pire que ce que je croyais sur les vidéos. Mais comment j'ai pu pas voir ça pendant ces années.

Je descends la couette. Ses seins sont là, bien gros, bien provocants avec ses auréoles et ses tétons longs. Ils me sont offerts. Je reste à contempler Margot, sa poitrine si opulente. Je décide de plaquer mes mains sur ses deux seins. Je masse, je pelote. Hmm, C'est bon. Pour la première fois de ma vie, je masse les nichons de maman. J'éprouve un plaisir immense. Ils sont si gros que mes mains semblent ridicules. Elle ne réagit pas. Ses bras écartés et légèrement repliés. Elle ronfle. Je reste comme ça. Les mains sur les seins de ma propre mère. En train de les lui masser. Je pelote ces deux masses de chairs rondes que j'ai tété tout petit. C’est bon. J'ai les deux mains collées à ses melons. Ils sont moelleux et je sens de la chaleur se dégager d'eux. Je caresse le bout de ses tétons. Ils sont longs. C'est la première fois que je bande à l'idée de la baiser. Je vais voir sa chatte maintenant. Mais je détecte un mouvement d'elle. Je recouvre sa poitrine en vitesse. Elle ouvre les yeux.

- Sylvain, tu fais quoi ici ?

- Je t'ai entendu gémir. Tiens, c'est pour toi.

Je lui tends l'aspirine déjà dilué depuis longtemps.

- Merci, mon chéri.

Elle apprécie et ne se doute pas un instant que j'ai massé ses seins. Oui, massé les gros seins de ma propre mère. Que j'ai même pensé à la prendre sur son lit, pendant son sommeil. Même moi, j'ai du mal à le croire. Tout ce que j'ai pu apprendre sur elle. Ma maman chérie est une salope. Je l'embrasse. Drôle de sensation car j'ai plus l'impression de me faire embrasser par une femme sexuelle que par ma mère. Il est clair que je vais passer à autre chose maintenant que j'ai appris toutes ses choses. Pourquoi pas utiliser mes vidéos pour des choses un peu plus perverse. Oui, je pourrais la faire chanter avec ça plutôt que de tout révéler ça a la famille. Les idées pleins la tête, je pars me coucher laissant récupérer de ses exploits de cet après-midi. Elle doit se lever tôt pour aller faire son cours de français.

A suivre...