vendredi 29 juin 2018

Terreur à Ténérife chapitre 04

Terreur à Ténérife - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contraintes


Récit de Vulgus traduit par Coulybaca (2007)



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De retour au pays, le calvaire reprend.

Les premières semaines de notre retour furent difficiles.

Nous nous serrions l'un contre l'autre en permanence nous assurant l'un l'autre de la profondeur de notre amour.

Mais nous ne faisions pas l'amour.

La tension avait monté entre nous, nous n'en parlions pas, finalement je suggérais que nous rencontrions un psychiatre spécialisé dans les suites de viols ou bien même un simple psychologue.

Jenny me répondit :

- "Ne pourrions nous pas plutôt en parler entre nous? .... Je ne veux pas parler à qui que ce soit de ce que j'ai enduré, ce serait bien trop humiliant! ...."

Alors nous en avons parlé entre nous et il apparut que ne voulais pas lui faire l'amour parce que je pensais qu'elle était trop traumatisée et qu'elle ne voudrait plus être touchée par un homme pendant un certain temps.

Par ailleurs elle pensait qu'elle ne m'intéressait plus parce qu'elle était souillée et elle avait peur que je pense qu'elle était bien trop salie pour l'aimer encore.

Nous avons parlé sincèrement de ces problèmes puis nous nous sommes aimés longuement, tendrement après avoir surmonté nos craintes initiales.

Il y avait encore beaucoup de choses à résoudre entre nous, mais il nous semblait que nous avions pris la bonne direction pour recimenter notre union.

Le souvenir de ces deux semaines de vacances était moins prenant, il était temps maintenant de reprendre le boulot.

Nous attendions cet instant avec impatience en fait, il semblait bon de retrouver une certaine routine, des habitudes qui structuraient notre vie.

Nous nous sommes levés tôt le lundi suivant, avons pris notre petit déjeuner, puis on partit travailler comme si rien ne nous était arrivé.

Je vantais nos vacances auprès de mes collègues de travail faisant abstraction des trois derniers jours de notre séjour.

Le soir, de retour à la maison, Jenny m'attendait assise dans la cuisine elle avait en main un colis envoyé de Ténérife.

Jenny était assise les yeux rivés sur le paquet, elle avait l'air terrorisé.

Je regardais l'inscription sur le paquet et vit qu'il provenait de nos amis du "Banana Man's club" de Ténérife.

Je soupesais l'enveloppe, l'ouvris et en extirpa le contenu.

Elle contenait une lettre accompagnée d'une bonne douzaine de photos.

La plupart des photos représentaient Jenny dans des positions scabreuses, dégradantes incluant des photos où elle paraissait baiser avec des mineurs filles et garçons, en réalité de jeunes majeurs ayant gardé un aspect juvénile.

Il y avait aussi quelques photos de moi copulant avec la jeune fille.

Je ne sais pas si ces photos suffisaient à nous mener en prison bien que je suspecte que c'était le cas, mais elles suffiraient à nous mettre au ban de la société, totalement rejetés par nos amis et nos parents, nos familles.

Jenny s'était remise à pleurer, elle me demanda :

- "Qu'est-ce que cela veut dire? ...."

Je saisis la lettre et la lut rapidement.

Elle m'expliquait qu'afin de réparer les torts que nous avions causés aux habitants de Ténérife nous devrions donner de notre temps pour rapporter de l'argent aux victimes.

Ce temps volontaire serait géré par monsieur Jeffrey Eng, son adresse et son numéro de téléphone étaient indiqués sous son nom.

La lettre indiquait que nous ne serions réquisitionné que trois jours par semaine tant que nous coopérerions sans créer de problèmes.

Je ne connaissais pas le nom de l'homme qui avait signé cette missive, mais cela importait peu finalement.

Au dos du message étaient inscrits les noms et les adresses de nos proches et de nos employeurs.

Il n'y avait été ajouté aucune menace, elles n'étaient pas nécessaires.

J'ouvris le petit paquet sur lequel était collée cette enveloppe, j'y trouvais une douzaine de DVD, il n'y avait aucune note mais nous savions tous deux ce dont il s'agissait.

Je me levais et nous servit une boisson bien raide.

La lettre nous enjoignait de contacter monsieur Eng dès que nous la recevrions.

Je reposais les DVD et les photos dans leurs emballages respectifs m'assit et cherchais comment nous tirer de cette histoire.

Nous n'étions pas riches, bien que nous ne soyons pas non plus pauvres.

Nous aimions nos boulots qui nous proposaient à tous deux des carrières évolutives, bien rémunérées, garantes d'un train de vie élevé.

Nous ne pouvions quitter nos emplois quelle qu'en soit la raison.

Et, même si nous mourions rien ne dit que nos turpitudes ne seraient pas étalées au grand jour.

Il n'y avait rien à trouver de ce coté.

Nous devions tout d'abord savoir en quoi consistait ce travail volontaire qu'on nous imposait.

Je suspectais fort que ce genre de job reposerait sur les épaules, ou plutôt l'entrecuisse de Jenny.

Je ne comprenais pas ce qu'ils comptaient obtenir de moi.

Après être restée assise, silencieuse pendant un long moment, Jenny se releva, se saisit du téléphone et me le tendit.

Je le posais sur l'enveloppe le fixant du regard alors que je cherchais désespérément comment nous sortir de ce pétrin.

Mais c'était inutile, et, finalement j'empoignais le téléphone et appelais le numéro de monsieur Eng.

Une femme me répondit me demandant de patienter quelques petites minutes, puis une voix grave retentit, un homme qui se présentait comme monsieur Eng.

Il était évident que cet homme à qui je parlais était noir, son accent était facilement reconnaissable.

Il s'agissait du même accent qu'avait les gens qui parlaient l'anglais à Ténérife.

En fait, on aurait cru entendre parler Harold.

Il me demanda si nous avions visionné les DVD, je lui répondis que nous venions tout juste de rentrer chez nous et que le colis venait d'arriver le jour même.

Il nous enjoignit de regarder tous les DVD, il estimait que cela devrait nous prendre 36 heures, puis de le rappeler ensuite.

J'essayais de lui en faire dire plus au sujet de ce travail à temps partiel qu'on voulait nous imposer, mais il raccrocha sans daigner me répondre.

J'étais furieux, j'avais envie de jeter le téléphone contre le mur, je parvins à me contrôler et je me rassis devant la table.

Je répétais à Jenny ce qu'il nous enjoignait de faire, cela ne prit pas longtemps, pas plus que pour le dire.

Nous cessâmes d'en parler affolés. Nous avons saisi nos verres nous sommes dirigés vers le salon pour mettre le premier DVD dans le lecteur.

Il commença par quelques plans éloignés de nous au club la première nuit.

Ils avaient commencé à nous filmer avant même que nous nous rendions compte de leur présence, avant même qu'Harold ait dansé avec Jenny pour les première fois.

Puis quelques plans montrèrent Jenny dansant avec Harold, mais l'action n'avait pas vraiment commencé avant que nous allions chez le père d'Harold où ce dernier avait profité longuement de ses charmes.

Ils avaient tiré de longues séquences de cet épisode, la plupart, sinon tous les viols survenus dans la maison du père d'Harold étaient filmés en quasi-totalité.

Mais pire encore, les plus scabreuses s'avéraient les scènes avec ces majeurs aux visages enfantins et aux corps juvéniles qui avaient été enregistrés dans le studio cinéma, la scène me présentant violant la jeune fille était criante de vérité, on aurait vraiment dit que je me tapais une adolescente de 14/15 ans.

Nous serions totalement rejetés comme des pédophiles si quiconque voyait ces films pourtant tous tournés avec des majeurs.

Chaque nuit après le travail nous avons visionné 3 à 4 heures de ces enregistrements.

J'aurai aimé que Jenny ne le sache pas, mais certaines scènes follement érotiques me firent bander à mort.

Mais la plupart du temps nous étions submergés par l'horreur et peur.

Ces enregistrements réveillaient les souvenirs les plus terribles de ces trois derniers jours de vacances et c'était franchement limite du supportable.

Ces événements nous poursuivraient donc toute notre vie! .....

On se refusait à le penser! .....

Cela nous prit 8 jours pour visionner la totalité des DVD, je suis sure que c'était encore plus dur pour Jenny que pour moi, cependant, à plusieurs reprises, après avoir visionné les DVD elle m'entraîna au lit pour faire l'amour, c'était une chose qu'elle ne s'était jamais permis auparavant.

Je m'allongeais docilement me demandant si une scène du DVD l'avait particulièrement excitée ou si elle faisait l'amour pour se vider l'esprit, ou bien même s'il s'agissait d'une combinaison des deux motivations.

J'avais peur trouver la réponse à cette question.

Cela pourrait m'amener à confesser que certaines scènes particulièrement scabreuses m'avaient fortement excité, et j'avais peur de sa réaction à cette occasion.

Le dernier DVD recelait différentes scènes de la dernière nuit à l'hôtel alors que tous les membres du personnel la violaient copieusement chacun à leur tour.

Tous les rushs étaient filmés au travers de l'entrebâillement de la porte communicante entre les deux chambres contiguës, l'angle de vue était pauvre, mais ce défilé de clients était sinistre.

On avait l'impression qu'elle était prisonnière dans cette chambre et qu'elle avait été violée à la chaîne par de nombreux hommes pendant des heures et des heures, qu'elle en eut récupéré en si peu de temps paraissait incroyable.

Je décidais de revoir ce DVD lorsque je serai seul, je voulais compter le nombre d'hommes qui l'avait possédé.

Je l'ignorais totalement et je voulais le revoir dans ce but.

Mais je devais admettre que de plus j'en tirerai une forte excitation, cette curiosité venait directement de mes burnes! .....

Il était 21 heures lorsque nous avons terminé la lecture du dernier DVD, nous pensâmes et bien qu'il soit tard pour passer un coup de téléphone, nous le passâmes tant notre anxiété de savoir ce que ce monsieur Eng attendait de nous était prenante.

Je me rendais bien compte à quel point nous étions vulnérables, Jenny aussi d'ailleurs.

La même femme répondit à notre appel lorsque je demandais monsieur Eng, il me semblait que c'était une blanche, je ne lui détectais aucun accent particulier.

Elle semblait très jeune, peut être bien de l'âge de Jenny ou un peu pus vieille.

J'e fus mis une nouvelle fois en attente pendant quelques minutes puis la voix basse et ronflante de monsieur Eng se fit entendre.

Il me demanda à nouveau si nous avions visionné la totalité des DVD, je lui répondis que oui.

- "Dans ce cas vous comprenez bien que vous ne pouvez me poser aucun problème! .... N'est-ce pas Mark? ...." commenta-t-il affablement.

Le fait qu'il m'interpelle par mon prénom me renversa, mais je réalisais à quel point nous étions dans le pétrin en ces circonstances.

Je répondis servilement :

- "Non monsieur, nous ne vous poserons aucun problème! ....Mais, s'il vous plait, pouvez préciser ce que vous attendez de nous? ...."

- "Mais certainement..." me rétorqua-t-il toujours aussi affable... Venez à l'adresse indiquée sur la lettre demain à 19 heures... Je m'arrangerai pour vous recevoir! ...."

Sur ces mots il raccrocha le téléphone avant que je puisse lui répondre quoi que ce soit, mais en fait, il n'y avait nul besoin de réponse c'était un ordre.

Je répétais à Jenny ce que monsieur Eng venait de m'ordonner, et nous partîmes coucher, je la serrais sanglotant contre moi.

Je restais éveillé pendant des heures, me tracassant pour Jenny constatant piteusement qu'une fois de plus je me retrouvais dans une position où il m'était impossible d'intervenir pou la protéger.

La journée de travail du lendemain me parut interminable, j'étais tenté de ma faire porter pâle pour rentrer chez moi.

Je ne parvenais pas à me concentrer sur mon boulot et je suis sur que j'ai du faire plusieurs bourdes.

Finalement je rassemblais mon énergie me forçant à me concentrer suffisamment pour affronter les dernières heures de travail, mettant de coté les travaux les plus délicats.

Je rentrais à la maison et y trouvais Jenny douchée et habillée, prête à partir.

Elle avait même préparé un lunch frugal.

Nous avons mangé, puis je pris une douche et changeais de tenue, nous avions téléchargé une carte sur internet indiquant clairement l'adresse ou nous devions nous rendre à 19 heures.

Ce quartier de la ville ne nous était pas familier, c'était un quartier de petits bourgeois et cela me rassura, je ne sais pas encore pourquoi.

Je me rappelais encore la maison du père d'Harold et les épreuves que nous y avions endurées j'espérai que cette fois les choses se présenteraient bien mieux.

Je savais qu'il y avait peu de chances en fait, mais l'espoir fait vivre.

On se posta devant la porte je frappais et comprit à la voix que la personne qui me répondait n'était autre que monsieur Eng.

Il était tel que je me l'étais imaginé : un véritable colosse noir dans les 50 ans, un homme très intimidant.

Il s'écarta d'un pas, nous sommes entrés et avons fermé la porte dans notre dos.

Nous l'avons suivi dans un court vestibule qui menait à une salle de réunion.

Nous fumes fortement surpris et même consterné de constater que monsieur Eng n'était pas seul.

Une douzaine d'hommes se tenait assis autour de la pièce un verre en mains.

Ils étaient tous noirs, et d'une cinquantaine d'années, certains étaient très élégants, d'autres arboraient des tenues forts disparates.

Ils ne ressemblaient à ces gens qui se réunissaient ensembles habituellement.

Ils braquèrent tous leurs regards sur nous, monsieur Eng ordonna à Jenny de tourner lentement sur elle-même.

Elle rougit, visiblement elle se sentait très gênée d'être une nouvelle fois le centre d'attention.

Nous essayions de toutes nos forces d'éloigner les souvenirs des trois derniers jours de vacances à Ténérife et voila que tout nous revenait en plein visage, cela nous semblait encore pire du fait que cela se passait dans la ville où nous vivions.

Lorsque Jenny s'eut exécutée, donnant à tous un aperçu de ses charmes sous différents angles, elle se posta face à monsieur Eng attendant son prochain ordre.

Mais en fait cet ordre me concernait :

- "Mark, déshabillez Jenny je vous prie! ...." m'intima-t-il poliment comme s'il suggérait une chose des plus normales.

J'entendis Jenny prendre une profonde inspiration, notre épreuve débutait, lorsque nous étions rentrés de Ténérife nous avions ingénument pensé que nos épreuves se terminaient et voila que cela recommençait de plus belle.

Je reculais de deux pas et me postais face à elle.

Nos yeux se rencontrèrent pendant une seconde, elle savait pertinemment que j'aurai voulu ne pas leur obéir, mais nous savions tous deux que nous étions piégés.

Je déboutonnais son corsage et le faisait glisser de ses épaules avant de le jeter sur une chaise toute proche.

Sa jupe suivit rapidement elle se tenait maintenant devant en petite culotte, soutien-gorge, et les pieds chaussés.

Je la contournais et dégrafais son soutien-gorge qui ne tarda pas à rejoindre le tas de vêtement sue la chaise, puis je roulais sa petite culotte sur ses chevilles, qu'elle enjamba docilement.

Je me redressais et jetais son dernier rempart sur le tas de vêtements les yeux braqués sur monsieur Eng et ses invités le regardant fixer, Jenny avec les autres invités, le regard fixé sur ses charmes.

Monsieur Eng se leva et s'approcha de moi me tendant une caméra numérique de très bonne qualité, il m'intima alors de filmer tout ce qui allait arriver à Jenny ce soir.

Dès que j'eus la caméra en main, il me repoussa en arrière et s'approcha de Jenny.

Il se dirigeait lentement vers elle, il posa une de ses mains sur ses nibards bien fermes et commenta :

- "Ma chérie ton corps est tout proche de la perfection! ..... Tu es bien plus belle que sur tes photos! ..... Je vais vraiment prendre mon pied à te baiser! ...."

Les assistants opinèrent en chœur, quelques-uns uns se levèrent et approchèrent pour inspecter ses charmes de plus près.

Ils se contentaient de regarder au début, puis ils promenèrent leurs mais sur ses appâts.

L'un d'eux lui frappa légèrement la cuisse et elle s'empressa d'écarter ses cuisses pour le satisfaire lui offrant un bien meilleur accès à sa chatoune.

Il inséra un doigt dans sa foufounette, sourit et commenta pour les autres

- "Elle commence déjà à juter messieurs! ..... Je pense que nous détenons là une salope innée! ....."

Sur ces mots il braqua ses yeux sur Jenny et lui demanda :

- "Es-tu une salope née? .... Aimes-tu te faire baiser? ...."

Jenny le regarda misérablement et soupira :

- "Oui monsieur! ...."

Monsieur Eng se tourna vers l'un des hommes et lui dit :

- "Jérôme, pourrais-tu faire venir ton esclave? ..... Qu'on s'amuse un peu avec elle! ...."

Le dénommé Jérôme sourit, se leva, sortit de la pièce et revint ramenant une femme nue attachée à une laisse par un anneau lui perçant les tétons.

Il ôta sa laisse et la poussa à coté de Jenny.

Elle était très attirante, une grande rousse avec un visage de madone.

Je suppose qu'elle devait avoir une trentaine d'années.

A voir l'expression qu'elle affichait sur son visage on comprenait vite qu'elle était là contrainte et forcée.

Jérôme lui enjoignit :

- " Chienne dit à Jenny comment il se fait que tu m'appartiens! ....."

La femme rougit, regarda Jenny et lui confia :

- "L'année dernière je suis allée en vacances à Ténérife avec mon mari... Un soir, nous avons rencontré un couple au cours d'une soirée dans un club, ils nous recommandèrent un club fréquenté par les indigènes....."

- "Nous nous y sommes rendus et un homme nommé Harold prit contrôle de nous deux! ..... Il me fit faire des choses... Des choses dégoûtantes, alors qu'ils prenaient plein de photos et de films de mes "performances"... Et maintenant j'appartiens à monsieur Smith! ...."

Jérôme, monsieur Smith lui fit préciser :

- "Dis-lui ce que tu fais pour moi chienne! ...."

- "Je fais tout ce qu'il veut... je copule avec lui et ses amis et même des complets étrangers quand cela l'amuse! ...."

- "Un jour par semaine je me produis dans une boite à strip-tease dans le quartier nigérien et je baise avec tous les clients qui le veulent! ....."

- "Un autre jour dans la semaine je m'occupe des membres d'un club privé... Et je me fais baiser par tous les gens qu'il m'envoie chez moi, parfois je dois tourner dans des films pornos! ...."

Alors que cette pauvre femme expliquait sa vie à Jenny, je la voyais pâlir atrocement.

Elle ne nous laissait aucun espoir.

Elle ne pouvait que subir la vie de viols et de dégradations continuelles qu'on lui imposait, et ce pendant je ne sais combien d'années! .....

Tandis que la femme qu'il appelait « Chienne » parlait, monsieur Smith et ses amis s'étaient levés et avaient entrepris de se déloquer.

Ils se rassirent une fois entièrement nus et monsieur Eng ordonna à Jenny et à « Chienne » de commencer leur prestation.

Rien de nouveau pour "Chienne" je suppose, mais la seule expérience qu'ait eu Jenny avec une autre femelle s'était passée avec cette jeune fille au visage enfantin à Ténérife, sous l'objectif de la caméra.

Cependant elle savait en gros ce qu'on, attendait d'elle.

Elle laissa "Chienne" diriger leur accouplement et elles commencèrent à se gouiner au centre de la salle de réunion face à une douzaine de mecs en rut qui les reluquaient avec concupiscence.

Elle commencèrent par se frotter l'une contre l'autre en se roulant des pelles bien baveuses, puis elles se laissèrent tomber à genoux puis s'étendirent sur le plancher se pelotant tout en s'embrassant.

J'essayais d'être aussi discret que possible en les filmant, enregistrant les plans que je savais qu'ils apprécieraient, mais me tenant aussi loin de l'action que je le pouvais.

Avant bien longtemps elles finirent par un classique soixante-neuf, mais je peux préciser qu'en dépit de leurs efforts, elles n'avaient joui ni l'une, ni l'autre.

Elles faisaient cela uniquement pour satisfaire les appétits lubriques d'une bande de noirs qui contrôlaient maintenant leur vie.

Les spectateurs discutèrent pendant un bon moment, mais bientôt ils vinrent séparer les deux femmes et le firent se mettre à quatre pattes cote à cote et ils les prirent deux par deux.

Je remarquais qu'ils les baisaient dans un seul office pendant plusieurs minutes avant de commuter leurs positions.

Avant de gicler, ils avaient tous visité leurs trous au moins une fois.

Lorsque l'un d'eux voulait jouir, il jutait dans la bouche d'une des femmes, lorsqu'ils eurent tous satisfait leurs appétits de lucre, toutes les bites étaient nettoyées.

Leurs chatounes avaient été copieusement utilisées mais était propres, indemne de tout sperme.

On m'ordonna de cesser de filmer, les spectateurs s'assirent en cercle le temps de vider un verre en discutant le bout de gras dans leur langue africaine qui avait empoisonné nos vacances lorsque nous étions le sujet de leurs conversations.

Ils parlaient de nous bien sur, ils ne cessaient pas de nous jeter des coups d'œil appréciateurs.

Après un long moment ils se rhabillèrent et nous quittèrent nous laissant en compagnie de monsieur Eng et monsieur Smith.

Ils discutèrent ensemble un bon moment encore puis monsieur Eng se tourna vers nous et précisa :

- "Vous m'appartenez tous deux désormais... Vous m'appartiendrez jusqu'à ce que je me lasse de vous et que je vous remplace..... Vous devez seulement vous rappeler que vous agirez désormais selon mes ordres... Mes ordres ou les ordres d'une des onze personnes qui se trouvaient avec nous ce soir! ...."

Il se tourna vers moi et ajouta :

- "Ta tâche principale sera de toujours garder cette caméra avec vous et d'apprendre à vous en servir comme un expert et de filmer toutes les copulations de Jenny avec mes amis......"

- "A partir de ce jour des gens viendront vous rendre visite dans votre pavillon, de jour comme de nuit, tu devras t'assurer que votre porte sera toujours ouverte lorsque vous serez chez vous! ....."

- "Lorsqu'un ou plusieurs visiteurs viendront chez vous, vous devrez sourire et vous soumettre à tous leurs désirs! ....."

- "On vous donnera un planning qui précisera les moments ou vous pourrez vous absenter..... Il vous dira quand vous pourrez faire vos courses ou visiter des amis, il précisera aussi quand vous devrez vous rendre dans les deux clubs ou Jenny travaillera la nuit! ....."

- "Si quelqu'un venait à venir chez vous et que vous ne soyez pas là, alors que vous seriez supposé y être, vous serez sévèrement puni..... j'espère bien que vous éviterez d'être punis! ....."

Il se tourna vers "Chienne" et lui enjoignit :

- "Je pense qu'ils ne voudraient pas être punis comme tu l'as été n'est-ce pas "Chienne»....."

"Chienne" se tenait à coté de nous tête basse, elle répondit rapidement :

- "Non maître! ..."

- "As-tu déjà été punie "Chienne"...." la coupa-t-il alors.

- "Oui monsieur, c'était horrible monsieur! ..." répondit-elle aussi instantanément que sincèrement.

- "Quelle punition as-tu subie "Chienne"...." lui demanda-t-il de préciser.

Il était évident qu'il se réjouissait de la faire trembler de honte et de peur.

Il prenait plaisir à la voir aussi gênée, en devant rapporter un événement aussi néfaste de sa vie.

- "Je fus violée et partouzée par une bandes de brutes noires sous les yeux de ma petite fille alors que mon mari enregistrait la séance! ......" répondit misérablement "Chienne".

Le son horrifié de sa voix suffit à nous arracher des larmes de pitié.

- "Si tu nous déçois à nouveau, quelle sera ta punition Chienne? ..." ajouta monsieur Eng impitoyable.

- "La prochaine fois, c'est ma petite fille qu'ils violeront..." nous confia-t-elle la voix pleine de terreur.

Sans aucun doute elle savait qu'ils n"hésiteraient pas à le faire.

Elle était visiblement déterminée à ce que cela n'arrive jamais.

Il n'y avait rien que cette pauvre femme ne ferait pour épargner ce triste sort à sa fille.

Monsieur Eng revint à nous et nous dit :

- "Je sais que vous n'avez pas d'enfants, mais vous avez tous deux des sœurs qui pourraient bien subir le poids de votre punition encas de révolte! ..... Et bien sur il y a les ravages, que provoqueraient dans votre vie, la diffusion de ces photos et de ces films! ......"

Puis monsieur Eng fit le point.

- "Vous aller vivre selon de nouvelles règles dorénavant! ...."

- "Jenny à partir de ce jour vous ne porterez plus que des robes très courtes, des minijupes et des corsages minimums! ..... Vous ne porterez plus jamais de collants ou de sous-vêtements à moins qu'on ne vous l'ordonne! .... Ni caleçons, ni shorts! ....."

- "Quand vous serez chez vous vous demeurerez entièrement nue, au cas quelqu'un viendrait vous voir! ...."

- "En outre....." ajouta-t-il suavement "Vous avez été exposée à suffisamment de personnes ayant le même accent que moi pour les reconnaître désormais! ..... Donc dorénavant si quelqu'un parlant avec mon accent vous ordonne de faire quelque chose, quoi que ce soit, où que ce soit, vous devrez le faire sans poser aucune question! ...."

Il regardait Jenny attentivement alors qu'il nous parlait, visiblement il était ravi de voir son visage afficher une folle expression de détresse.

Il poursuivit :

- "Je vois que tout cela vous inquiète, celà m'excite follement! .... Viens ici Jenny et fais-moi une pipe tandis que je continue à vous dicter mes instructions! ......."

Jenny se laissa tomber à genoux entre ses cuisses et se mit à lui sucer la bite tout de go.

Nous étions tous deux si intimidés que l'on n'osait refuser aucun ordre.

Il nous sourit alors qu'elle entreprenait de le sucer consciencieusement et il continua à nous dicter notre nouveau comportement.

- "Mon enquêteur m'a informé que vous avez été très rude avec votre propriétaire...... Je suis sur qu'il s'agit là d'un malentendu et que cela n'a rien à voir avec son origine indienne! ...."

- "Je crois que vous devriez vous excuser auprès de lui..... La prochaine fois que le verrez, invitez le dans votre pavillon et demandez-lui clairement d'excuser votre comportement... Je pense que vous voyez ce que je veux dire! ....."

Il vit la crainte se refléter dans nos yeux, c'était justement ce qu'il souhaitait.

Il leva la tête vers moi et me rappela :

- "Chaque fois que Jenny s'occupe d'un homme ton boulot est de filmer sa performance! ..... Si quelqu'un proteste, évidemment vous arrêtez, mais je veux voir le maximum de cassettes montrant comment les gens usent et abusent de ses charmes....."

- "En outre vous devrez l'amener à cette adresse le vendredi soir... " et il me tendit une feuille "et à celle là le mardi soir! ...."

- "Bien entendu... " poursuivit-il "si quelqu'un vous ordonne de l'amener quelque part pendant la semaine vous l'y conduirez là et emporterez la caméra."

Monsieur Eng demeurait impassible, seule sa respiration était anormalement rapide, assis confortablement, il guidait les mouvements de la tête de Jenny la faisant accélérer pour hâter son orgasme.

Une fois qu'il eut éjaculé au fin fond de sa gorge, elle avala servilement son foutre, il lui intima alors de demeurer à genoux entre ses cuisses, bite en bouche.

Une fois qu'il eut bien repris sa respiration, il me jeta un oeil contrarié et commenta :

- "Normalement je devrai faire violer une fille de vos familles pour m'avoir désobéi! .... Mais je suppose que tout simplement mes consignes n'étaient pas assez claires! ...."

Je le regardais fixement cherchant ce que j'avais fait de mal.

Il vit ma confusion, me regarda avec dégoût et ajouta :

- "Tu parais pas être une lumière mon gars! ..... Je me rends compte que les femelles de ta famille seront en grand danger le temps que tu t'entres mes consignes dans ton crane épais! ....."

- "Je vais te les répéter à nouveau..... C'est une chose que je n'aime pas faire! ..... Chaque fois que Jenny s'occupe d'un homme ton boulot est de filmer intégralement l'action! ..... Quels sont les mots que tu ne comprends pas? ...."

- "Je suis désolé monsieur..." parvins-je à balbutier "Mais je n'avais pas compris que cela s'appliquait ici et maintenant! ...."

Il secoua sa tête comme s'il parlementait avec un idiot et repoussa finalement Jenny en arrière.

Il se releva et me tendit un sac avec les accessoires et les batteries pour la caméra, les DVD et les cartes.

Puis il choisit un bout de tissu posé sur une table basse et enjoignit à Jenny de l'enfiler.

Jenny se leva et le tint devant elle.

C'était un minuscule fourreau transparent, j'hésitais à l'appeler une robe.

Cela ressemblait plus à une micro toge achetée dans un sex-shop, elle l'enfila docilement.

Il ne tenait fermé que par un bouton à la taille, ses miches étaient largement dévoilées, on distinguait clairement la moitié de ses aréoles jusqu'au mamelon.

En fait ses nibards étaient couverts tant qu'elle restait immobile, cela ne cachait par ailleurs qu'à moitié sa foufoune dénudée, du moins tant qu'elle ne marchait pas! .....

Il poursuivit

- "C'est la tenue que tu porteras pour te rendre à ces deux adresses, et partout ailleurs tu pourrais être envoyée, sauf contre ordre...... Porte les ce soir chez toi..... Cela te permettra de t'accoutumer à cette tenue... "

Puis il se tourna vers l'esclave de monsieur Smith et lui intima :

- "Chienne, fais les sortir! ..."

Je saisis les vêtements que Jenny portait en arrivant et on se pressa de suivre "Chienne" qui nous emmenait vers la porte.

On n'échangea pas un mot en nous rendant à la voiture.

Je remarquais alors que nous marchions que cette micro toge que Jenny portait était plus faite pour attirer l'attention car cela affichait ses charmes plus que cela ne les dissimulait.

A chaque pas elle exposait une bonne partie de ses appâts.

Nous nous sommes empressés de nous asseoir sur les sièges de la voiture et on demeura là immobiles un long moment, incapables d'émettre un mot.

Je me sentais exactement comme si je venais d'être roué de coups alors que je n'avais été que le témoin des outrages infligés à ma pauvre Jenny.

Elle devait se sentir totalement désespérée.

Je démarrais la voiture et nous rentrâmes à la maison hébétés.

Je me garais aussi presque possible de notre pavillon et on attendit que plus personne ne se trouve dans la rue.

On se débrouilla pour regagner notre maison sans être vue de qui que ce soit, j'enlaçais tendrement Jenny alors qu'elle fondait en larmes.

Nous restâmes ainsi enlacés dans l'entrée pendant un long moment.

Lorsque finalement Jenny parvint à se calmer, je l'aidais à s'extraire de son minuscule fourreau et je la menais à notre lit.

Une fois qu'elle fut assise sur le lit je gagnais la cuisine pour nous ramener à tous deux un verre d'alcool.

Je m'assis alors à coté d'elle et la serrais dans mes bras.

On n'avait rien à se dire. Nous connaissions l'avenir qui nous attendait! .....

Si nous refusions quoi que ce soit une de nos sœurs prendrait notre place ou plutôt endureraient les mêmes épreuves à notre place.

Nous sommes restés assis, tendrement enlacés, pendant une bonne demi-heure Jenny jeta soudain un oeil sur ma montre et se releva vivement.

Je la regardais avec incompréhension, elle me dit alors :

- "Je dois trier mes vêtements pour sortir ce que je peux porter dorénavant! ...."

Je me levais et lui demandais :

- "Veux-tu un autre verre? ....."

Il se faisait tard et nous devions travailler demain, après avoir réfléchi quelques minutes elle hocha affirmativement la tête.

Je nous versais deux autres verres et la rejoignit dans notre chambre.

Elle avait les yeux rivés sur les toilettes.

Elle se souvint brusquement qu'elle avait été baisée par une douzaine d'hommes dans la soirée et qu'elle avait grand besoin de se doucher.

Elle gagna la salle de bain et prit une douche rapide avant de me rejoindre dans notre chambre.

Postée devant sa commode, elle réfléchissait se remémorent les fringues qu'elle devait choisir de mettre.

Elle n'avait pas une garde robe très fournie, les fringues qu'elle possédait étaient pour la plupart appropriée à son travail.

Mais maintenant elle ne devait plus s'habiller de façon appropriée à son boulot.

Elle avait aussi les vêtements qu'elle avait achetés à Ténérife et quelques autres qu'elle avait achetés pour mettre lorsqu'elle était d'humeur câline, et même parfois un peu salope, le plus souvent pour me plaire.

Elle mit de coté trois robes courtes mais portables au boulot, elle allait attirer l'attention notablement lorsqu'elle travaillerait avec de jeunes gens, mais elle n'avait pas le choix en fait. Elle mit aussi de coté deux mini-jupes et une paire de brassières, elle les avait déjà portés sans soutien-gorge pour me faire plaisir, ils étaient révélateurs mais pas transparents comme certains qu'elle possédait par ailleurs.

Elle fit un peu de place dans sa commode pour ranger ces effets et y suspendit le mini fourreau transparent qu'elle devrait porter dans les deux clubs qu'elle fréquenterait bientôt sur ordre de monsieur Eng, puis elle me rejoignit dans notre lit.

Je la tenais étroitement serrée contre moi, mais elle était très tendue, et nous sommes restés tous deux éveillées dans notre lit pendant longtemps.

Nous avons pris nos douches au matin et Jenny enfila une des tenues qu'elle avait sélectionnée.

Elle était courte et très sexy, totalement déplacée pour son boulot.

Nous ne savions pas ce qui se passerait si elle se voyait renvoyée à la maison.

La journée dura longtemps, interminablement, je ne parvenais qu'à me concentrer que sur les tâches routinières.

Je ne cessais de me rappeler la nuit dernière et combien cette nuit avait été terrible pour Jenny qui s'était fait violer par tous ces hommes.

J'étais tout autant écrasé de culpabilité parce que je devais admettre au fond de moi-même que la regarder se faire violer m'avait extrêmement excité.

Je me rappelais aussi la copulation de Jenny avec cette jeune femme surnommée "Chienne", je ne pouvais m'empêcher de bander en y repensant.

J'espérais que Jenny ne saurait jamais rien de cette coupable excitation que je prenais à la voir posséder par d'autres hommes ou de la voir s'accoupler avec une autre femelle.

Le soir je rentrais avant elle à la maison, elle arriva dans un état d'extrême nervosité et je vis que notre propriétaire indien lui emboîtait le pas.

Elle affichait un pauvre sourire en se retournant vers le proprio avant de refermer la porte dans son dos.

Je vis sa déception en constatant ma présence dans la maison, mais elle disparut instantanément lorsque Jenny se posta face à lui et commença à remonter sa robe.

Elle prit une profonde respiration et elle commença à déboutonner le devant de sa robe en lui disant :

- "Je crois que nous sommes partis d'un mauvais pied, je serai heureuse de me faire pardonner! ....."

Alors que Jenny enlevait sa robe, je me rappelais soudain ma tâche et je sortais précipitamment la caméra de son sac posé au sol à coté de ma chaise et je me mis à filmer la scène aussi discrètement que possible.

Visiblement, ma présence rendait notre proprio nerveux, mais il ne parvenait pas à détacher ses yeux des charmes de Jenny.

Une fois sa robe déboutonnée, elle le fixa dans les yeux et lui demanda :

- "Puis-je faire quelque chose de particulier pour m'excuser de m'être montrée si impolie avec vous la dernière fois? ...."

Il la regardait fixement muet d'émotion.

Jenny fit glisser la robe sur ses épaules et la repoussa sans se préoccuper de l'endroit où elle tombait.

Puis elle tendit la main et prit celle de notre proprio qu'elle attira contre son visage pour embrasser ses doigts avant de la lui placer sur ses nibards.

Il était sidéré, il se tenait devant elle bouche grande ouverte alors qu'elle promenait sa main sur ses somptueux nichons.

Elle laissa tomber sa main le long de son flanc et il continua d'explorer ses charmes de son propre chef.

Alors qu'il palpait ses miches elle posa la main sur l'énorme bosse déformant le devant de son pantalon.

Il flancha sous sa caresse et grogna comme s'il allait gicler dans son caleçon si jenny n'y prenait pas garde.

Elle lui sourit vicieusement et se laissa tomber à genoux pour déboucler sa ceinture.

Elle roula son pantalon sur ses genoux en lui demandant :

- "Aimeriez vous que je vous taille une petite pipe? ...."

Il hocha énergiquement la tête en signe d'acquiescement, et sa bite, plutôt modeste jaillit à l'air libre.

Elle l'embrassa et la lécha un instant avant de l'accueillir dans sa bouche la caressant sur toute sa longueur de ses lèvres embrasées, du gland aux couilles incluse.

Il flageola sur ses jambes, lui saisit la tête et se mit à grogner sourdement.

Je compris qu'il lui jouissait en pleine bouche.

Mais sa petite bite restait tendue et elle continua à le sucer avec application, cela ne prit pas beaucoup plus de temps cette seconde fois, à peine deux ou trois minutes.

Mais cette fois il cria dans sa langue originelle, aussi n'ai-je pas compris ce qu'il grommelait en lui emplissant la bouche.

Puis il remonta son caleçon et son pantalon, reboucla sa ceinture alors qu'elle avalait docilement sa semence, Jenny lui demanda alors :

- "Suis-je pardonnée? ..... Cela vous a-t-il plu? ...."

Il sourit et dans son anglais teinté d'un lourd accent indien il répondit :

- "Ce n'est qu'un début, mais la prochaine fois je voudrai profiter un peu pus largement de vos charmes! ...."

Et tandis qu'il parlait sa main bougea et glissa promptement dans le fentine de Jenny, je fus fort surpris de constater qu'elle était trempée.

Jenny répliqua alors :

- "Quoi que vous vouliez, je le ferai pour vous faire plaisir! ...."

Sur ces mots le proprio nous quitta et Jenny se rua dans la salle de bain et brossa ses dents pendant un long moment.

Lorsqu'elle revint vers moi, je préparais le souper.

Je lui avais servi un apéritif, elle s'assit à table et le sirota avec reconnaissance.

Je lui demandais alors comment s'était passée sa journée de travail.

Elle me répondit:

- "Bordel c'était extrêmement oppressant... Dès que je j'arrivais au boulot, mon superviseur me fit appeler dans son bureau et me questionna au sujet de mon changement de tenue......"

- "Je tentais alors de le convaincre que je voulais paraître plus féminine en espérant que cela pousserait les jeunes que j'avais en charge à se comporter en gentlemen avec moi....."

- "Je ne pense pas qu'il m'ait cru, mais il s'abstint de me renvoyer chez moi pour enfiler un pantalon et un gilet... "

- "Mais mes vrais ennuis commencèrent bien plus tard lorsque je me suis retrouvée en session de conseil avec un de mes jeunes voyous... "

- "Je tentais de l'aider à acquérir des habitudes de travail lorsqu'il se leva soudain me contourna et passa la main sous ma robe....."

- "Deux choses me frappèrent immédiatement : premièrement je me souvins que ce jeune homme était un orphelin nigérian et deuxièmement je compris c'est qu'il avait du apprendre ce que j'étais devenue..... Indubitablement il savait! ...."

- "Il savait qu'il pouvait faire tout ce qu'il voulait avec moi! ....."

- « Il se mit à me triturer les miches d'une main et de l'autre il extirpa une grosse mentule noire de son pantalon et se fit sucer dans mon bureau! ..... »

Une fois qu'il se fut vidé les couilles dans ma gorge, il me sourit et éclata de rire.

Il me dit alors que les choses seraient forts différentes dorénavant! .....

Puis il fit tourner ma chaise pour que je me retrouve face à lui troussa ma robe sur mes reins et glissa en force ses mains entre mes cuisses ajoutant :

- "Demain je goûterais à ta petite chatoune Jenny! ...."

- "Sur ces mots il planta deux de ses doigts réunis dans mon intimité et me doigta pendant de longues minutes avant de m'abandonner....."

- "C'est ainsi que s'est passée ma journée! ...." ajouta-t-elle avec une profondément résignée! ....

Je m'approchais d'elle la serrais dans mes bras tout en l'embrassant sur le front et je constatais :

- "Je suis désolé ma chérie, mais je ne sais vraiment pas quoi faire! .... Je mes suis cassé la tête toute la journée mais je ne vois pas comment nous tirer de cette galère! ...."

- "Je le sais bien Mark! .... Je ne t'en blâme pas! ..... Je me rappelle que c'est moi qui t'ai demandée de m'emmener dans ce club à Ténérife en dépit de tes protestation! ....."

Elle se retourna sur sa chaise et constata que je bandais dur après avoir écouté le récit de sa journée, elle posa la main sur ma bite et me sourit me disant :

- "Ne te tracasse pas, je sais bien que tu ne peux pas t'empêcher de bander lorsque tu me vois me faire baiser par tous ces hommes, ou bien quand tu les entends me violer! ..... Je sais que c'est juste une réaction physique des plus normales! ...."

- "Nous avons tous deux largement profité de ton penchant pour le voyeurisme lorsque nous avons commencé à sortir ensemble! ..... Aussi je comprends très bien que tu puisses bander à me voir posséder par d'autres! .... Tout comme cela m'émeut parfois lorsqu'on me fait des choses qui me plaisent! ...... Tu comprends ça non? ...."

Je sentis comme un lourd poids qu'on m'enlevait de mes épaules.

Elle me donnait explicitement l'autorisation de bander comme un âne pendant qu'elle se faisait baiser.

Elle était bien plus compréhensive que je l'aurai jamais espéré.

Je me penchais et l'embrassais pour la remercier de se montrer aussi tolérante.

Je l'assurai par ailleurs que je comprenais parfaitement qu'elle haïssait ce qu'ils lui faisaient faire, mais qu'elle ne pouvait pas toujours contrôler ses sens et que parfois son corps répondait aux stimulations.

Je l'embrassais à nouveau puis je servis le repas.

Je devais admettre que cet aspect des choses amenait un changement dans notre vie qui me la rendait moins insupportable.

C'était merveilleux de voir Jenny évoluer nue dans la maison.

Elle était incroyablement séduisante, incroyablement sexy et je ne me fatiguerais jamais de contempler ses charmes.

Nous avons nettoyé la cuisine ensemble et sommes partis nous coucher tôt.

Nous avons lu pendant un moment mais nous savions que la journée de demain serait longue et difficile, aussi avons nous éteint les lumières cherchant à dormir le plus longtemps possible.

Le lendemain était un vendredi, ce jour où je devais l'emmener au club de strip-tease nigérian.

Je ne me doutais même pas qu'un tel club puisse exister dans notre petite ville.

Au matin nous avons bu notre café et pris une douche, ce n'était pas notre routine habituelle, mais depuis que Jenny devait demeurer entièrement nue dans la maison elle avait remis sa douche à après le petit déjeuner.

Puis elle enfila une autre de ses robes ultra courtes et partit travailler.

J'étais impatient de revenir à la maison pour apprendre ce qui était arrivé à Jenny à son boulot aujourd'hui.

Je ne pouvais que l'imaginer entre les griffes de ce pervers jeune homme qui avait l'autorisation de se servir d'elle comme il l'entendait, de faire tout ce qu'il voudrait à une jeune femme aussi ravissante que Jenny.

J'aurai adoré disposer ainsi d'une jeune femme lorsque j'étais plus jeune! ... Et même maintenant après tout! .....

Je me débrouillais pour effectuer un peu plus de travail aujourd'hui, je ne voulais pas me singulariser.

Je me forçais à me concentrer et cela m'aidai beaucoup, cela m'aida entre autre à faire passer plus rapidement la journée et cela m'empêcha de trop penser à ce qui adviendrait cette nuit.

Jenny était déjà rentrée lorsque j'arrivais chez nous. Elle s'était douchée et avait enfilé son petit fourreau et avait préparé le souper.

Je lui demandais comment s'était passée sa journée, et elle grimaça.

- "Ce petit salaud est vraiment en train de me compliquer la vie... " me rétorqua-t-elle.

- "Il a commencé par jouer à des jeux électroniques pendant la leçon, il prenait grand plaisir à épater ses amis! ....."

- "Je devais m'occuper de lui et de deux autres gars, il profita d'un instant ou j'étais penchée sur mes deux autres élèves pour leur préciser une notion particulière pour passer sa main sous ma robe....."

- "Je me redressais vivement, mais il se contenta de sourire et promena sa main le long de la face interne de mes cuisses et remonta jusqu'à ma chagatte sous les yeux écarquillés de ses amis....."

- "Puis il se tourna vers eux et leur dit que je ne portais pas de petite culotte... Je vis à leur air choqué qu'ils ne comprenaient pas que je puisse me laisser faire! .... Mais ils le crurent lorsqu'il sortit sa main de sous ma jupe et me la troussa sur les reins... C'était la fin de notre session de sensibilisation de ce jour! ......"

- "Il se posta dans mon dos et dégrafa ma robe, je me retrouvais entièrement nue dans cette petite pièce avec trois jeunes hommes......"

- "J'étais la première femelle qu'ils voyaient depuis des mois! ...."

- "C'était une bonne chose que cette session ne dura qu'une heure et demie, sinon j'y serai encore! ....."

- "J'espère qu'ils parviendront à se taire! ....Mais ce sont des jeunes, et comme tous jeunes des vantards! ..... Je ne sais vraiment pas quoi faire maintenant! ...."

A suivre...

Ma mère Martine chapitre 04

Ma mère Martine - récit érotique - humiliation - contrainte - bourgeoise -soumission.

Récit de Gabrieldutour

***********

Ma mère se libère – 2ème partie.

Je vide cul sec mon verre d'alcool et m'empresse de les rejoindre. Je baisse mon pantalon et voyant cela, ma mère se jette sur ma queue surexcitée par le fait que moi, Julien, son propre fils, me joigne à la partouze.

Experte, elle s'occupe de nous chacun son tour, veillant à ce qu'aucun d'entre nous n'éjacule trop vite. Mais trop excité, Selim lui éjacule en pleine face et ma mère avale, sans se faire prier, toute sa semence en ne laissant perdre aucune goutte.

Elle se concentre sur lui et astique son membre jusqu'à ce qu'il ne reste plus une goutte de sperme.

Le moustachu arbore un sourire vicieux et me regarde tandis que Joachim termine de la foutre à poil en lui enlevant sa mini-jupe. Il me prend par le bras et me laisse tomber sur le lit puis il s'empare de maman, complètement nue, et la met sur moi.

- Vas-y, baise avec ta pute de mère!

Ma mère prend les devants et s'empale le plus possible sur mon gourdin raide comme un piquet. Aussitôt je pose les mains sur son cul et commence à effectuer des va-et-vient à l'intérieur de ma mère. Elle ondule du bassin et j'ai encore la vision de ses loches gigantesques qui bougent à quelques centimètres de mon visage.

Les autres, le verre à la main, fixent la scène d'inceste avec des yeux de fauves en rut. Le moustachu, le plus pervers de tous, finit son verre d'un seul coup et pose à son tour ses mains sur le cul de ma mère. Là, il lui écarte largement les deux fesses et commence à exhiber son trou du cul.

- Une pute comme toi, à mon avis, n'a pas besoin d'être préparée pour se faire enculer

Il introduit son membre impressionnant dans le cul de maman puis commence à la bourrer de toute ses forces. Ma mère pousse un râle de jouissance. La voilà prise par les deux trous.

En chef d'orchestre, le moustachu ordonne à Joachim de grimper sur le lit et de se poster à genoux devant elle. Ma mère engouffre le sexe d'ébène aux gros testicules bien remplis dans sa bouche gourmande et insatiable puis commence à pomper sec. Elle halète de plaisir et respire très fort. La voilà prise par les trois trous et en plus son fils adoré participe.

Son corps subit les coups de boutoirs du moustachu et moi je la baise par le vagin tout en mordillant et suçant ses tétons tandis que Joachim la saisit sauvagement par les cheveux et la force à bien pomper.

Pendant ce temps, je discerne Selim complètement excité, qui passe un nombre incalculable de coup de fil à l'aide de son portable. Le moustachu finit par se lâcher dans le cul de ma mère. Il éjacule en poussant un gémissement de fauve enfin satisfait de pouvoir se vider les couilles.

C'est par grosses saccades qu'il libère son foutre dans les entrailles de maman. A mon tour, je me décharge à l'intérieur de son vagin. Ma mère a abandonné la fellation qu'elle pratiquait sur Joachim et elle hurle de bonheur comme jamais. Une bouffée de chaleur électrique monte en elle : Elle atteint l'orgasme.

Elle se sent pleine de semence chaude et éprouve un sentiment de jouissance intense.

Le moustachu et moi nous retirons et la laissons sur le lit, bien pleine, se remettre de ses émotions. Mais Joachim n'avait pas eu son compte et se mit au-dessus d'elle.

Il s'empare des gros nichons de maman qu'il frotte autour de sa grosse queue pour se branler. Ma mère pose ses mains sur les mains du noir et l'aide à presser ses grosses loches aux larges auréoles brunes. Au bout de quelques minutes de branlette espagnole, il ne se retient plus et explose. Le sperme jaillit et inonde l'opulente poitrine de maman ainsi qu'une bonne partie de son visage. Affamée, elle commence à lécher le foutre étalé sur ses seins puis récupère avec ses mains le sperme maculant son visage.

Elle lèche un à un ses doigts devant nous avec un air de chienne en chaleur. Selim a pris Joachim à part et échange quelques mots. Le moustachu remet son pantalon, me félicite de nouveau d'avoir une mère aussi salope et me conseille d'en profiter sans me poser de question. Puis il s'en va, heureux d'avoir pu baiser cette femme facile qui n'est autre que ma mère. Je sens que la soirée se termine et je décide de raccompagner les deux compères.

Mais Selim vient vers moi et me demande mon numéro de portable que je lui donne.

- Ecoute, on va embarquer cette pute avec nous et on te la ramènera dans deux jours.

.

Excité par une telle proposition, complètement saoul et sans réfléchir aux risques encourus, j'accepte mais à la seule condition qu'ils filment la scène au caméscope numérique. Selim me regarde avec des yeux de pervers et opine.

Ils se dirigent vers la chambre ou ma mère est allongée encore sous l'effet du plaisir procuré par cette partouze inespérée. Joachim la prend par les pieds et Selim par les bras puis ils l'emportent, complètement à poil, comme un vulgaire sac de patates vers la camionnette.

- Vous oubliez ses vêtements. Leur crie-je, bien naïf.

Joachim éclate de rire :

- Là où on l'emmène, elle n'en a pas besoin.

Ils poussent maman dans la camionnette et s'en vont avec leur butin.

Pendant deux jours, je me maudissais encore et encore d'avoir fait ce geste infâme et si ignoble. J'avais livré ma propre mère à des inconnus. Je me jurais de ne plus boire une goutte d'alcool de ma vie après ça.

Selim m'appelle enfin pour me donner des nouvelles.

- Ta mère ne parle pas beaucoup mais écoute ça.

A travers le portable, j'entends les rires de nombreuses personnes ainsi que des tintements de bouteilles. J'entends également des cris de jouissances de femme qui en disent long sur la principale activité de ma mère. Selim me confirme son retour demain soir et il me dit :

- Demain, j'aurai une petite surprise pour toi, Man et te biles pas, ici elle est traitée comme une reine........des putes.

.

J'attends donc avec impatience le retour de maman. Je passe une mauvaise nuit en imaginant les pires scénarios. D'un autre côté, il m'arrive de penser aux nombreux outrages sexuels qu'elle doit subir en ce moment même et je ne peux m'empêcher de bander à cette idée.

Le lendemain soir, pour mon plus grand soulagement, la camionnette revient comme convenu. Ma mère en sort nue, méconnaissable et son corps souillé de partout. Elle est portée par deux gars et accompagnée de Selim.

Elle est déposée sur le canapé et remercie les deux jeunes qui repartent sans rien dire. Selim le regard vicelard me tend des cd.

- Tout est là, mec! J'en ai filmé le plus possible!

Puis ils s'en vont comme si de rien n'était. J'aide ma mère à prendre sa douche car elle a un peu de mal à marcher (vous devez deviner pourquoi). Elle me sourit ironiquement et me susurre à l'oreille avant de se coucher

- Aah, Julien mon fils.......Tu es un sacré pervers mais je ne le regrette pas.

Laissant ma mère récupérer des folies de son corps, je me précipite sur mon ordinateur portable et insère les cd. Il y en a pour une bonne dizaine d'heures et ce salopard de Selim a pris son pied à bien filmer. En commençant à les visionner, j'ai su immédiatement que ces cd seraient sans doute les meilleurs films pornos de ma collection.

Ma mère, toujours complètement à poil, avait été entraînée dans une espèce de hangar sombre et dégueulasse où elle était visiblement attendue par une bonne vingtaine d'hommes dont l'échelle d'âge variait de quinze à quarante-cinq ans et de toutes nationalités.

Il y'avait un nombre impressionnant de packs de bière qui attendaient l'arrivée de ma mère pour être ouverts. Maman sembla un peu paniquer à la vue de tous ces mâles qui lorgnaient son corps et en particulier son cul et ses seins énormes.

Joachim la tenait par les bras et l'entraîna vers le fond où se trouve un vieux matelas poisseux et jaune. Mais il préféra d'abord l'offrir à ses compagnons qui ne se firent pas prier. Des dizaines de mains vicieuses palpèrent tout son corps. Sa chatte, son cul et ses gros nichons furent pelotés sans hésitation.

Ils se la passaient comme un pantin prenant leur pied à sentir leurs doigts caresser ce corps de femme qui pourrait facilement être celui d'une prostituée ou mieux encore, celui d'une hardeuse aux gros seins. Ils la traitaient de tous les noms : « pute », « chienne en chaleur », « salope en manque », « garage à bite ».

Ma mère ne tarda pas à confirmer son côté pervers et salope. Elle poussa de petits gémissements de plaisir pour le plus grand bonheur de ses partenaires. Sentir toutes ses mains parcourir son corps la stimulait au plus haut point.

Comme une pro, elle se mit à genoux et commença à tailler des pipes magnifiques à ces hommes heureux de pouvoir baiser celle qu'ils appellent désormais : « La pute aux gros seins ».

Pendant une bonne demi-heure, elle branla, suça et avala de temps à autre le sperme d'un gars trop excité pour se retenir. Ma mère fut ensuite traînée sans ménagement vers le matelas crasseux ou elle fut allongée. C'était parti. Pendant deux longs jours et deux longues nuits, ma mère subit les derniers outrages.

Les hommes se relayaient pour la baiser et il en arrivait d'autres et de plus en plus. Ils la firent boire de l'alcool régulièrement et en grande quantité afin de bien la désinhiber.

Là où cela fut plus dur pour elle, ce fut le moment où elle dut se faire sodomiser par toute l'assemblée. Selim a pris un certain plaisir à filmer les queues entrer dans le cul de ma mère de même à faire des gros plans sur son anus dilaté, souillé et dégoulinant de sperme.

Il faisait aussi de gros plan sur le visage de maman qui tantôt gémissait de douleur et tantôt de plaisir.

Pendant des heures, le cul de ma mère subit, sans répit, les assauts de mandrins de toutes tailles.

Les gars faisaient la queue et étaient de plus en plus nombreux à vouloir l'enculer. De nombreux coups de téléphones portables avaient été passés et sans cesse, il y avait de nouveaux arrivants, toujours plus.

Rassurez-vous, chacun et sans exceptions, pu ramoner le cul de ma mère à sa guise et pourtant le défilé semblait ininterrompu. Certains poussèrent le vice jusqu'à l'introduction de bouteilles de bières vides dans son con et son anus déjà sérieusement malmené.

Elle fut prise par tous les trous et de toutes les façons possibles et inimaginables. D'innombrables branlettes espagnoles furent effectuées entre ses gros seins laiteux et pour son plus grand plaisir. Ses nichons furent soupesés, palpés et malaxés par des dizaines de mains tandis que des bouches avides tétaient, léchaient et mordillaient ses tétons.

Le tout lui procurait un plaisir immense et sans précédent, qui se manifestait par ses gémissements d'extase. Il arrivait plusieurs fois qu'un groupe de gars l'entoure et se branle au-dessus d'elle inondant tout son corps de foutre chaud qu'elle s'empressait d'étaler avec délectation sur ses grosses loches.

Certain s'amusèrent, tout en la traitant de tous les noms, à verser de la bière sur son opulente poitrine, qui se mélangeait au sperme que ma mère s'empressait d'engloutir. Ce ne fut que lorsqu'elle fut pleine, satisfaite et ses trous dégoulinants de sperme que Selim annonça une pause et coupa la scène.

J'ai donc passé toute la nuit et une bonne partie de la matinée à mater le reste du film de la partouze « un peu forcée » de ma mère. Elle ressemblait par moments à une superbe hardeuse assoiffée de sexe. Je m'étais masturbé plusieurs fois en regardant le film. Voir cette femme, qui est en plus ma mère, se comporter comme la dernière de toutes les salopes me flanque une gaule inimaginable. Je décide de me repasser la scène de ses sodomies répétées et j'entreprends de me branler.

C'est alors que j'entends un bruit et me retourne. Ma mère, réveillée, se tient debout derrière moi, en peignoir, et fronce les sourcils.

- Tu es encore plus pervers que je le pensais, Julien.

Je ne dis rien car me voici pris sur le fait en train de me masturber devant un passage particulièrement crade la mettant en scène. Ceci dit, elle me dit avec le regard d'une maman tendre et aimante :

- Mais je suis heureuse que tu la regardes et que cela te procure du plaisir.

Elle s'agenouille entre mes jambes et commence à me branler comme pour me récompenser. Je suis abasourdi par son geste mais heureux. Elle commence à me sucer et rapidement j'éjacule dans sa bouche décidément si insatiable.

Fatigué par ma nuit blanche, je dors toute la journée puis me réveille vers 17h00. Maman, pieds nus et toujours en peignoir, est dans la cuisine. Elle semble nerveuse et inquiète.

Toute souriante, elle me dit :

- bien dormi?

Je lui réponds que oui. Son comportement m'intrigue car elle tourne en rond en buvant de temps à autre les restes d'une bouteille de whisky.

On a l'impression qu'elle attend quelque chose et avec une impatience qu'elle dissimule très mal. Soudain le téléphone portable sonne et elle s'en empare aussitôt tout excitée. Elle pose sa main gauche sur sa poitrine et pousse un petit gémissement de soulagement en disant « Merci ».

Elle passe son temps à éluder mes questions jusqu'à ce qu'une vingtaine de minutes plus tard, un bruit de camionnette attire notre attention et un coup de klaxon retentit. Le visage de maman s'illumine de bonheur et elle ôte son peignoir. A ma grande stupeur, elle est complètement à poil et la voilà maintenant qui se dirige vers la porte sans complexe.

- Maman....mais ne sors pas comme ça! Met quelque chose! Lui crie-je naïvement. Elle se retourne et me dit en souriant :

- Ne t'inquiète pas, là où je vais, je n'en ai pas besoin.

Bien évidemment, je ne vis ma mère que deux jours plus tard et dans le même état que la dernière fois avec en plus, sur elle, une très forte odeur d'urine.

Mon père nous a rejoint comme convenu et ma mère, bien malgré elle, dû se résoudre à redevenir la bourgeoise puritaine et bien comme il faut. Ma sœur nous a rejoint aussi avec son petit ami devenu ingénieur il y'a peu.

Nous passons le reste des vacances comme une famille normale, bourgeoise et bien comme il faut. Mon père m'a emprunté mon portable pour taper une lettre et maman et moi avons paniqué.

Heureusement, le dossier dans lequel j'ai écrit ce texte était bien planqué et les cd bien cachés. De temps en temps, une camionnette blanche passe devant la maison mais hélas ma mère ne peut les rejoindre.

De retour chez nous, dans le Nord, nous reprenons une activité on ne peut plus banale et je suis retourné vivre avec Laetitia. Ma mère se retrouve donc seule, toute la journée.et libre.

Il m'arrive encore de mater très souvent la vidéo et elle me fait toujours autant d'effet car j'ai le bonheur de savoir que cela n'est pas du fictif.

De même qu'il n'est pas exclu que ce pervers de Selim ait vendu le film de maman et qu'il soit diffusé quelque part sur un site de cul bien hardos.

a suivre...

Abusée Ch. 11

Abusée - récit érotique  domination soumission professeur chantage

Traduction d'une histoire de Jessiebnh.

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Soumise à l'école.

 Tandis que je fixai la position obscène de la vice-principale, je m'aperçus que PRUIT avait déboutonné mon gilet, ouvert mon chemisier et était en train de détacher mon soutien-gorge. Ma poitrine fut honteusement exposée à tous dans la salle. Je pus me rendre compte de l'excitation de Mme SMOLEN alors qu'elle frottait sa chatte imberbe sans vergogne. Cela m'excita.

Je sentis le prof d'EPS saisir mes deux mamelons avec ses doigts puis les tirer vers le bas. Mes seins furent tendus au maximum et je dus me baisser vers l'entrejambe de ma sous-directrice. J'avais trop honte pour la regarder dans les yeux alors je fixai mon regard sur son sexe.

Comment m'étais-je trouvée dans cette situation? Quelques minutes plus tôt, j'étais avec les vingt nouveaux enseignants de l'école dans cette salle. Mais quand ils étaient partis, la vice-principale, Mme SMOLEN, m'avait demandé ainsi qu'à M. PRUIT de rester.

Maintenant, j'étais forcé par Glen de commettre toutes sortes d'actes pervers avec ma patronne et PRUIT m'y aidait en forçant ma tête dans l'entrejambe de Mme SMOLEN. Je me souviens m'être dit que je n'avais jamais rien fait avec une autre femme, et comment j'étais gênée que le nouveau professeur d'EPS soit témoin de ma honte.

Je fermai les yeux et je laissai le parfum de Marianne me guider. Je me souviens encore de l'odeur piquante, sexuelle et humide. Je savais que c'était son odeur intime car elle était semblable à l'odeur que j'exsudais quand j'étais excitée. Mes lèvres trouvèrent sa chatte glabre. Je commençai à lécher comme si j'étais une chatte nettoyant son chaton. J'entendis Mme SMOLEN gémir, et je sentis son excitation quand elle bougea ses hanches contre mes lèvres.

Je fis courir ma langue le long de sa fente. Arrivée au sommet, je forçai le bout de ma langue sur le clitoris exposé. J'étais de plus en plus excitée. Mes yeux étaient fermés et plus rien dans la pièce ne comptait, Glen et M. PRUIT compris. Je me concentrai sur ma tâche, faire plaisir à Marianne, faire plaisir à ma patronne. Je glissai mes mains sous ses cuisses pour écarter encore plus ses jambes avec mes avant-bras. Maintenant ses talons hauts pendaient de chaque côté de la table et sa chatte brûlante était bien ouverte aux assauts de ma bouche.

Après lui avoir bien écarté les jambes, je plongeai ma tête dans son sexe et je la baisai carrément avec ma langue. Ses gémissements sont devenus de plus en plus importants et l'humidité de sa chatte se transforma en une moiteur gluante sur mes joues. Bien que je n'aie jamais mangé une chatte auparavant, j'avais souvent rêvé le faire.

Je commençai à réfléchir pourquoi Glen ne m'avait pas appelé d'une semaine. Mme SMOLEN avait dû détourner son attention de ma personne. Maintenant, c'était à mon tour de montrer à cette vache de 40 ans ce que l'on ressent quand une vraie femme vous fait l'amour. A ce moment-là je voulus montrer à Glen que j'étais la meilleure des amantes. Je voulus donner à ma patronne orgasme sur orgasme jusqu'à ce qu'elle reste inanimée aux pieds de Glen comme une vieille serpillière.

Oui c'était ma patronne, la vice-principale de l'école, mais ce soir elle était ma salope et ça serait l'ordinaire petite Mme B. qui la ferait jouir jusqu'à ce qu'elle me supplie d'arrêter, ou de jamais m'arrêter...

J'ouvris les yeux. Les lèvres de sa chatte étaient ouvertes comme une fleur devant mon visage. Elles étaient engorgées, humides et chaudes. Ma tête et mes épaules étaient en mouvement, je léchai, je lapai son trou humide. Dès qu'elle s'habituait à mon rythme et que sa chatte venait à la rencontre de mon visage, je changeais de mode opératoire. D'abord ses petites lèvres, puis son trou humide, puis son clito que je suçais profondément. Il fallait que je recherche d'autres sensations à lui envoyer, qu'elle ait comme des décharges électriques dans la colonne vertébrale. Je m'activai comme une folle.

Je poussai ses jambes de telle sorte qu'elle soit devant moi comme une dinde en attente d'être farcie. Sa chatte béante réclamait du plaisir. Je contemplai son visage. Les yeux de Marianne n'étaient que deux fentes, son visage et son cou étaient rouges et marbrés. Sa respiration était saccadée. Je la fixai avec un air de défi alors que mes mains glissèrent jusqu'à ses seins matures. Ses cuisses s'écartèrent encore plus. L'odeur de son sexe emplit la salle de conseil.

Je continuai à la regarder effrontément tout en effleurant son clitoris avec ma langue. Sans avertissement, je saisis ses mamelons et je les tirai tout en suçant son clitoris. Voila. Mme SMOLEN eut son premier orgasme. Comme mes bras et mes épaules tenaient ses jambes, elle n'eut pas d'autre choix que de gicler sa cyprine dans ma bouche tout en criant :

- AAAAAAHHHHH! OUHHHHHH!

Elle grogna vulgairement en jouissant, son nectar de femme coulant dans ma bouche. Les muscles de son estomac se ridèrent et elle cambra son dos, présentant son trou du cul à mon regard. Sachant que son clito était devenu trop sensible pour être léché, je commençai à attaquer son trou du cul avec ma langue. En même temps, mon nez pénétra sa chatte. Ses yeux se révulsèrent et elle eut un nouvel orgasme. Cette fois je pus sentir sa chatte pulser et son petit trou se serra sur ma langue. Ce fut alors que j'entendis une litanie de mots immondes.

- Jouis Salope! Gicle dans ma bouche vieille pute! Jouis sale putain!

C'était moi, maudissant ma patronne, l'appelant par tous les noms pervers que je connaissais tout en léchant alternativement son cul et son clito. J'étais comme une folle, dirigeant toute mon énergie vers ma langue qui baisait cette femme d'âge mur qui écartait les jambes en face de moi comme pour se faire trousser.

C'est à ce moment que je m'aperçus que quelqu'un avait soulevé ma jupe et déplacé ma culotte sur le côté. Il se préparait à me baiser. Je supposai que c'était Steve PRUIT, mais, à ce moment-là je m'en fichais. Le premier coup de bite me coupa le souffle. Une paire de mains attrapa mes hanches et les tint fortement. Je pus sentir l'homme plier les genoux pour pourvoir mieux me pénétrer et me baiser comme une chienne en chaleur.

Je posai ma tête sur le monticule rasé de Marianne et je fermai les yeux. L'odeur âcre de sa féminité m'excita encore plus si bien que je commençai à pousser mon cul sur la bite qui me baisait. Je pouvais entendre les bruits humides que faisait ma chatte alors qu'on la pilonnait. Dans la salle, résonnait l'écho de claquement des cuisses d'un mâle contre mes fesses. Les sons et les odeurs de cette séance de sexe débridé tourbillonnaient dans ma tête.

Habituellement je ne jouissais pas en étant baisé sauf si je frottais mon clitoris. Mais cette fois, je pus sentir mes orteils se tordre et un orgasme enfla dans mon ventre et jaillit comme un ressort. L'endroit, les odeurs et les sons ont emplis ma tête en une cacophonie de sensations pendant que la queue me pilonnait avec une intensité animale. J'entendis ma voix crier alors que chaque coup de bite me coupait le souffle.

- Oh mon Dieu, baise-moi... BAISE- MOI!

Le bruit de notre accouplement s'amplifia. Je sentis ses couilles battre mon clito à chaque poussée. Ma vision était floue, j'étais dans un autre monde. Je vis les lèvres de Mme SMOLEN bouger avant d'entendre sa voix :

- Baise la petite pute! Baise cette chienne! elle aime qu'on la baise avec force et dureté cette salope!

Marianne cracha ses mots comme si elle était un démon. Elle attrapa mes cheveux et tira ma tête en l'air alors que je berçai toujours ses deux seins dans mes mains. Elle me força à la regarder dans les yeux pendant qu'on me pistonnait par-derrière. Mes yeux étaient vitreux et tout ce que je pouvais faire c'est de me soumettre. Elle me jeta un regard de mépris et elle cracha droit sur mon visage en visant ma bouche.

Je fus choquée et immédiatement une colère intense monta en moi et je pensai que j'allais éclater.

- Vous... Espèce de salope...

Je criai et je me tortillai entre ses cuisses. Mais son emprise sur mes cheveux était inflexible. Elle cracha de nouveau sur moi avec mépris. Instinctivement je crachai vers elle. Elle me gifla violemment. Et celui qui me baisait commença à me frapper le cul. Puis il jouit. Et j'eus un nouvel orgasme géant.

- OHHHHHHHHHHH! Criai-je pendant que l'orgasme traversait mon corps.

Mes yeux roulèrent et je m'évanouis.

*****

Quand je repris connaissance, j'entendis la voix autoritaire de Mme SMOLEN qui donnait des ordres.

- Voilà PRUIT, allongez-vous sur le dos sur la table. Et mettez cette petite chienne sur vous. Je veux qu'elle n'oublie jamais ce qu'elle va prendre ce soir.

Les yeux mi-clos, je vis Steve PRUIT, nu, grimper sur la table d'où Marianne venait de descendre. Je remarquai la tâche humide brillante au bout de la table, là où sa chatte se trouvait. Réalisant que M. PRUIT était maintenant nu devant moi, je regardai curieusement pour voir à quoi sa queue ressemblait. Et je faillis m'évanouir à nouveau.

La queue de PRUIT n'était pas très grande en fait. Elle paraissait petite. Elle ressemblait à un cône. La tête excisée semblait beaucoup trop petite pour le reste de la queue. Elle était perchée sur un petit pénis de la largeur d'une canette. Ce que PRUIT n'avait pas en longueur. Je me demandai ce qu'une jeune fille sentirait quand il mettrait les derniers centimètres de sa queue dans sa petite chatte.

J'étais dans un état second alors que je voyais M. PRUIT obéir aux ordres de la vice-principale. En dehors de sa bite laide et un peu déformée, Steve PRUIT était très beau. Son corps était bronzé et musclé comme celui que l'on attend d'un professeur d'EPS. Je le regardai alors qu'il roulait sur le dos et que sa petite queue épaisse pointait au plafond.

- Que la salope monte sur « petit obus »! Ordonna Mme SMOLEN.

« Petit obus »! Je commençai à rire nerveusement. Je ne serai plus capable de regarder PRUIT sans penser à « Petit obus ».

Glen me poussa et me monta sur la table. Je rampai entre les jambes du professeur puis je montai sur ses jambes et je me mis docilement au-dessus de sa queue. Je baissais les yeux vers son visage. Ses yeux bleus brillaient. Wow que ce mec était beau! Si on ne regardait pas sa bite, on aurait pu le prendre pour un Dieu.

- Attends jusqu'au moment où tu sentiras cette chose, petite salope. Dit Mme SMOLEN.

Marianne pris dans sa main la petite bite trapue de PRUIT et le frotta contre les lèvres de ma chatte entrouverte. Je pouvais sentir que le professeur d'EPS levait les hanches pour essayer de me pénétrer. Mais je restais asse haut pour que seul le gland sépare les lèvres de ma chatte. Je pouvais entendre les bruits mouillés de ma chatte humide au contact de la bite qui était frottée dessus. Marianne la promenait le long de ma fente humide en veillant bien à titiller mon clitoris à chaque passage.

Je sentis les bras puissants de Glen encercler ma taille et Mme SMOLEN fit aux deux hommes un signe de tête. Alors, en même temps, Glen me poussa vers le bas par la taille et PRUIT remonta son cul. Je fus empalée en un seul mouvement sur l'épaisse queue du professeur. Sa bite entra complètement en moi et ma chatte s'étira d'une façon quasiment impossible. Pourtant j'avais l'impression de ne rien avoir au fond de mon sexe. J'eus le souffle coupé sous le plaisir et la douleur. J'entendis le rire méchant de la vice-principale :

- Ne t'inquiète pas, tu vas t'y habituer ma chérie. J'espère qu'il y a assez de place en toi pour deux.

Glen me tenait dans ses bras musclés pendant que PRUIT baisait ma chatte avec sa drôle de bite. Je baissai les yeux vers le professeur d'EPS et admirai son beau visage. Un tendon dans son cou ressortait alors qu'il me martelait avec envie. Je pensai aux autres enseignantes qui avaient été au petit soin pour lui quelques instants plus tôt dans cette même salle. Un sentiment de fierté m'envahit. C'était moi, Jessie, qu'il avait choisi de baiser. C'était ma chatte qui était écartelée jusqu'au point de rupture par la masse épaisse de sa queue.

Glen relâcha son emprise sur ma taille puis, d'une main forte, il me poussa dans le dos pour que je me baisse sur PRUIT. Je sentis quelqu'un séparer mes fesses. Je savais bien que c'était Mme SMOLEN car je sentais ses gros ongles creuser la chair de mon cul. Je l'entendis cracher et je sentis l'air frais sur la moiteur de mon petit trou du cul.

Rapidement un doigt explora mon intimité. Et chaque fois que PRUIT donnait un coup de reins, le doigt rencontrait sa bite à travers la fine membrane qui sépare mes deux trous.

La vice-principale essuya son doigt sur mes fesses et dit :

- Ça suffira comme préparation. Maintenant, il est temps pour notre petite salope mariée d'expérimenter deux bites à la fois. Allez Glen, monte cette petite pute et baise son cul comme la chienne qu'elle est.

La main chaude de Glen quitta mon dos et il monta sur la grande table de la salle de conseil. Il plaça ses pieds à plat de chaque côté de moi sur la surface polie. Je le sentis s'accroupir, ses cuisses musclées pressées contre mes hanches. Puis je sentis la tête de sa magnifique queue commençai à sonder mon trou du cul exposé et tourné vers le haut.

Je fermai les yeux et serrai les dents, attendant le pire.

A suivre...

dimanche 24 juin 2018

Abusée Ch. 10

Abusée - récit érotique  domination soumission professeur chantage

Traduction d'une histoire de Jessiebnh.

 *************

Réunion à l'école.

Le lendemain, j'étais sur le chemin de l'école en pensant comment ma vie avait changé depuis que Glen avait pris des photos compromettantes à notre barbecue de fin d'année. Mon contrat avec le jeune garçon se terminait dans une semaine. Ensuite il détruirait toutes les photos qui auraient pu me faire perdre mon emploi et ma réputation.

Je repensai aux tâches que m'avaient imposées Glen. J'avais dû sucer plusieurs de ses amis, certains étant même d'anciens élèves que j'avais eus. J'avais été partouzée à la maison de sa fraternité et baisée par mon mari qui ne m'avait pas reconnu. J'avais dû sucer Glen dans les toilettes hommes d'un bar ainsi qu'un inconnu qui était entré pour se soulager.

Mon esprit tournait à cent à l'heure. J'étais contente que mon épreuve soit presque terminée, mais étrangement, j'étais triste à cette idée. Dans sept jours, je n'aurai plus « l'excuse » de faire tout cela pour obtenir la destruction de photos. Je n'aurai plus aucune raison d'être la salope de Glen, d'être à son service ou à celui d'autres hommes auxquels il me donnait. Ce conflit me tourmentait.

Je commençai à souhaiter que Glen me téléphone pour me donner une mission sexuelle. Je ne l'avais pas vu depuis une semaine. Puis je me souvins que je devais assister à un dîner à l'école organisé par le vice-directeur pour les nouveaux enseignants et que ma présence était obligatoire.

Alors que je pensais à tout cela, mon téléphone sonna :

- Bonjour, Jessie à l'appareil.

Une voix brusque d'homme répondit :

- Hey!

Mon cœur bondit dans ma gorge. C'était Glen. D'un ton glacial qui déguisa la sensation de picotement qui débuta entre mes jambes, je dis :

- Ça fait déjà un certain temps que je ne vous avais pas entendu. Depuis quand êtes-vous sorti de votre trou?

- Ce ne sont pas des manières jolis nichons. Ma grosse bite te manque? Roucoula Glen d'une voix vicieuse.

- Tu me dégoûtes! Crachai-je dans le téléphone alors que la vision de son magnifique pénis se présenta devant mes yeux.

- Que fais-tu ce soir jolis nichons?

- Je suis occupée. Je dois rester à l'école jusqu'à 22 heures.

- C'est intéressant. Qui vas-tu baiser? Ou alors tu ne le sais pas encore? Peut-être vas-tu distribuer des tickets, te pencher sur ton bureau et inviter toute l'école à te passer dessus comme la bonne putain que tu es.

Ma chatte s'humidifia au fur et à mesure de ses mots. Je détestais Glen et son arrogance, mais il n'y avait aucun doute que son imagination dégoûtante avait l'effet recherché.

D'un ton sarcastique, je lui répondis :

- Écoute! J'aimerai discuter avec toi Glen, mais pour le moment je roule vers l'école. Que veux-tu?

Il y eut une longue pause. Mon estomac se noua. Que voulait-il? Qu'est-ce que son esprit obscène avait-il préparé pour moi? A la fois je redoutai et je désirai ardemment sa réponse.

- Jolis petits nichons, notre contrat se termine dans une semaine et je suis un gentleman ...

- Ha! reniflai-je dans mon téléphone alors que mon cœur battait rapidement dans ma poitrine.

- Je pense que je pourrai te prendre après ta réunion et nous pourrions faire la fête. Tu aimes faire la fête n'est-ce pas jolis nichons?

- Je t'ai dit que j'étais occupée jusqu'à 22 heures.

- Super! Je passerai te chercher à l'école à 22 heures alors.

- Mais... Balbutiai-je en entendant le clic du téléphone de Glen qui avait raccroché.

- Bâtard! Espèce de salaud! Criai-je à haute voix dans ma voiture.

Il fallait que je limite les dégâts. En pensée, je vis le vice-directeur ainsi que mes collègues de l'école constater que Glen venait me chercher. Il fallait que je trouve une excuse pour mon mari Mike qui savait que la réunion se terminerait à 22 heures. Cela faisait beaucoup de choses à arranger avant la fin de la journée si je voulais que cette période de 30 jours se terminent sans répercussions.

Je me garai sur ma place de stationnement attitrée et je coupai le moteur.

- Merde, merde et merde! Hurlai-je en frappant le volant.

Je pris trois grandes respirations et je laissai le calme revenir en moi. Puis mentalement, je fis la liste des choses à faire : « D'abord, je vais appeler Mike à l'heure du déjeuner pour lui dire que le vice-directeur veut me rencontrer après le dîner. Ensuite j'appellerai Glen à 16 heures, juste après ma dernière classe pour lui dire que je le rencontrerai au bar en dehors de la ville et non ici à l'école. Oui, je peux le faire! »

Je me dis que j'avais tenu trois semaines jusqu'à maintenant. Alors je pouvais bien tenir sept jours de plus.

******

La journée passa très vite. Et ce fut très bien car on était vendredi. Quand la cloche signala la fin de la dernière heure de cours, je me déplaçai jusqu'à la salle des professeurs pour rencontrer les nouveaux enseignants et la vice-principale. Il était 16h45 et le dîner devait commencer par un cocktail à 17h30 et quelques présentations. Tour à tour, nous, les femmes, sommes allées dans les toilettes pour vérifier notre maquillage et papoter un peu. Certains des nouveaux enseignants avaient apporté des vêtements pour se changer. Ils croyaient peut-être être invités à une grande réception!

Le dîner avait lieu dans la salle du conseil qui était dans la partie administrative du bâtiment scolaire. Nous aidâmes à mettre en place les boissons et la nourriture sur la table d'appoint de la salle puis nous prîmes place autour de la table de conférence. Peu de temps après, Marianne SMOLEN, la directrice adjointe, démarra la réunion et appela Stéphanie, la responsable d'orientation qui fit une brève présentation.

Je laissai mon esprit vagabonder et bientôt je me retrouvai à rêvasser plutôt que d'écouter.

Les discussions traînèrent en longueur. Mais je fus intriguée par la tenue de Marianne. Elle était très classe pour une sous-directrice. Elle était vêtue d'un costume en laine à la mode. Mais ses longues jambes galbées et sexy étaient bien visibles sous la jupe qui tombait à mi-cuisses. Je la regardai caracoler dans la salle sur ses chaussures à hauts talons.

Tandis que j'admirai sa silhouette féminine, je m'aperçus qu'elle ne portait pas de soutien-gorge sous son caraco. Pendant toute la journée, les boutons de sa veste de costume avaient été fermés mais maintenant sa veste était ouverte. Il était évident que ses seins bien murs étaient libres sous le caraco.

Pendant que je regardai Mme SMOLEN, je commençai à souhaiter d'être moins petite et trapue. Cette femme avait près de quarante ans et c'était une bombe. Je pensai qu'elle était peut-être intimidée ou jalouse des jeunes femme célibataires présentes et qu'elle s'était habillée pour leur montrer qu'elle pouvait toujours faire illusion.

Je regardai tout autour de la salle et j'étudiai les deux seules personnes qui n'étaient de jeunes enseignants. Arty SIMON était nouveau dans notre école, mais il n'était pas jeune. Il était maigre comme un épouvantail et complètement dégarni. Je ne pus le regarder en face sans être obligée de fixer les poils qui sortaient de ses narines. Beurk!

Ensuite il y avait Steve PRUIT, le plus récent professeur d'éducation physique et sportive. Voilà, ça c'était un bel exemplaire masculin. Superbement beau, sa mâchoire carrée se terminait par une petite fossette sur le menton. Steve était maigre, musclé et très grand, plus d'1m85. Sans aucun doute, il faisait battre plus rapidement le cœur de chaque femme dans l'école. C'était décourageant de voir toutes les jeunes enseignantes tourner autour de lui avant la réunion, papillonnant pour attirer son attention.

Mon regard revint sur Mme SMOLEN et je commençai à penser que la veste ouverte était peut-être un stratagème pour capturer notre professeur d'EPS. Je me retournai vers Steve pour voir sa réaction. Effectivement, ses yeux suivaient les seins qui se balançaient lentement sous le caraco. Il fixait les mamelons qui étaient visibles à chaque fois que la veste s'ouvrait.

Je me mis à penser au jour où la vice-directrice SMOLEN avait été embauchée. Il y avait eu beaucoup de rumeurs qui disaient qu'elle avait laissé son emploi dans un grand établissement à cause d'indiscrétions. Selon une version, certains élèves l'avaient espionné sur le parking, tard dans la nuit, alors qu'elle se livrait à une activité sexuelle illicite qui se termina quand elle urina en public.

Les histoires sur elle n'étaient pas précises et à peine croyables mais ça lui donna un air de mystère derrière son corps sexy. En tout cas une chose était claire, elle avait abandonné un travail beaucoup plus lucratif et ambitieux pour un poste très peu rémunéré. Toutefois, malgré toutes ces rumeurs, son comportement au cours des deux dernières années fut exemplaire et il n'y eu aucun autre ragot alors qu'elle travaillait avec nous. Je me dis que c'était honteux la façon dont les femmes célibataires qui n'ont pas peut de montrer leur féminité devienne des proies pour les moulins à potins.

Je sortis de mes pensées quand des applaudissements polis s'élevèrent autour de la table. La réunion semblait terminée. Et le repas du traiteur était installé par le personnel de notre cafétéria. Je m'amusai de voir ces vieilles femmes choyer M. PRUIT comme s'il était célèbre.

Le dîner se déroula sans incident, et, après quelques discussions, la vice-principale SMOLEN remercia les nouveaux enseignants réunis et leur souhaita une bonne année scolaire. La réunion prit fin. Mon cœur se mit à battre plus rapidement en pensant à Glen qui devait m'attendre au bar et à Mike, à la maison, qui devait se demander si je serai encore longue.

Je jetai un regard à l'horloge sur le mur et je réalisai que Mme SMOLEN avait réussi à terminer la réunion et le dîner qui suivait un peu plus tôt. Il était seulement 21h15. J'avais appelé Mike à l'heure du déjeuner pour lui dire que la soirée se terminerait sûrement après 22h00. Je lui avais dit aussi que je devais ensuite rencontrer la sous-directrice et qu'il ne devait pas m'attendre pour se coucher. Je savais aussi qu'il était sûrement assis dans le canapé à regarder du sport à la télé et qu'il serait sans doute endormi quand je rentrerai. Je me rappelai qu'il ne restait que sept jours de galère et je repris courage.

- Mme BONHAM et M. PRUIT?

Je tournai la tête et je vis Mme SMOLEN penchée sur une pile de papier avec ses lunettes tandis que les autres enseignants quittaient la salle et l'école. « Merde! que veut-elle? » pensai-je.

- Je voudrais vous dire quelques mots avant que vous ne partiez. Pouvez-vous rester quelques instants pendant que les autres partent?

Au ton de sa voix, je devinai que ce n'était pas une simple invitation. C'était un ordre et je sus tout de suite que quelque chose se tramait. Mes pensées se bousculèrent dans ma tête. Avait-elle eu connaissance de choses que j'avais faites avec Glen? Est-ce que l'homme dans les toilettes du bar de Rick m'avait reconnu?

Mon cœur s'affola dans ma poitrine et mon visage devint chaud. Le sommet de mes oreilles était en feu et il n'y avait aucun doute que mon visage était rouge pivoine. Steve PRUIT me fit un signe de tête accompagné d'un sourire. J'étais mal à l'aise.

- Il fait chaud ici non? Dis-je à Steve.

Un grand sourire se propagea dans sa mâchoire robuste. Il ne répondit rien. Ses yeux brillaient. Mon Dieu, qu'il était beau! Je pris conscience de ma tenue. Pourquoi n'avais-je pas apporté des vêtements de rechange comme quelques-uns des nouveaux enseignants l'avaient fait? Je portais un vieux gilet sur un chemisier blanc que j'avais dû prendre des centaines de fois. Il fallait vraiment que je rafraîchisse ma garde-robe.

Puis j'entendis cette voix que je pouvais reconnaître entre mille.

- Salut bébé!

Je tournai ma tête comme si j'avais été giflée. C'était Glen. Il entra dans la salle, enjoué et détendu. Il se pavana comme si tout le monde savait qu'il avait une grosse queue dans son jean serré.

Je fus mortifiée! Il était venu à l'école, devant ma directrice, ma patronne. J'étais foutue.

Glen passa devant moi sans me regarder, comme si je n'existais pas. Je ne compris pas pourquoi il ne me parla pas. Je suivis son regard et je vis Mme SMOLEN avec un grand sourire sur le visage.

- Glen, mon chéri, tu es ici. C'est un timing parfait!

En m'ignorant complètement, Glen rejoignit la vice-principale et la prit dans ses bras. Il commença à l'embrasser langoureusement. Je m'évanouis presque en voyant leur langue s'entortiller dans leur bouche. Tout en sentant un peu de jalousie enfler en moi, je regardai la main du jeune garçon qui monta le long de la veste de Mme SMOLEN et commença à caresser la grosse poitrine. Pendant que le couple continuait de s'embrasser, Glen tira sur le mamelon droit qui avait durci sous la soie du caraco.

Je dois dire que ce fut une expérience qui me laissa complètement abasourdie. Je ne sentais plus aucune partie de mon corps. J'avais comme un bourdonnement dans les oreilles tandis que je regardai cet étudiant, mon maître-chanteur, tripoter les nichons de la sous-directrice qui avait la quarantaine. Le sang me monta à la tête et ma vue se brouilla quand je pensai, qu'il y a seulement quelques minutes, cette salle était remplie de collègues enseignants. Et là, tout de suite, l'homme qui possédait mon corps, l'homme qui m'avait transformée en salope avide de sperme, embrassait ma patronne et la faisait gémir comme une chienne. Je crus m'évanouir. Ça n'avait pas de sens. Mes genoux commencèrent à fléchir et je tremblai en regardant le couple.

A ce moment-là, je sentis deux bras forts envelopper ma taille par-derrière. Quelque chose de dur fut pressé entre mes fesses. C'était M. PRUIT, le nouveau professeur d'EPS. Je sentis son eau de toilette masculine quand il approcha sa tête de mon cou. Je me sentis fondre devant lui dans un état d'abandon total quand il commença à mordiller mon lobe d'oreille.

Je suis certaine que tout cela se passa en moins de cinq secondes, mais j'eus l'impression que cela dura des heures. Tout se passait au ralenti à l'époque.

Enfin, Glen et Marianne se séparèrent et me dévisagèrent avec une lueur d'amusement dans le regard. J'eus alors conscience de ma situation. J'étais debout devant ma patronne, la vice-directrice de l'école tandis que le nouveau professeur d'EPS poussait son pénis très dur contre mon cul. Ma figure était rouge betterave et mes oreilles devaient sûrement fumer tellement elles étaient chaudes.

- Alors Glen, est-ce que tu pourras mettre ta petite salope mariée à ma disposition? Demanda Mme SMOLEN avec une voix rauque de désir.

- Oh bébé, cette petite salope fera tout ce que je lui demande. Répondit Glen en continuant de jouer avec le mamelon de la sous-directrice.

Un rire profond sortit de la gorge de Marianne alors qu'elle sauta sur le bord de la table de conférence juste devant moi. Je vis sa jupe en laine remonter au-dessus du haut de ses bas et je m'aperçus qu'elle avait un porte-jarretelles. Elle remonta ses chaussures à talons hauts sur le dessus de la table et elle écarta ses jambes vulgairement.

Je sentis les mains de M. PRUIT remonter vers mes seins alors que je regardai fixement l'entrejambe de la vice-principale. Elle ouvrit lentement ses jambes, révélant à mes yeux rivés sur elle, une chatte rasée au teint de pêche.

Marianne me sourit en voyant que je ne pouvais me détourner de sa chatte gonflée. Ses deux mains étaient maintenant entre ses jambes et sa jupe était retroussée autour de sa taille. Elle commença à tirer sur les petites lèvres de sa chatte, révélant ainsi l'humidité scintillante à l'intérieur.

Tout en faisant cela, elle jeta sa tête sensuellement en arrière puis secoua sa crinière pour détacher ses cheveux châtains. Glen se pencha sur elle et se remit à l'embrasser tandis qu'elle caressait sans vergogne sa chatte engorgée devant mes yeux.

Quand ils finirent leur baiser, Mme SMOLEN me regarda avec ses yeux pétillants et elle dit d'une voix vicieuse :

- Fais-lui lécher ma chatte Glen!

Et elle ajouta d'un ton sérieux :

- Je veux que tu la mettes à ma disposition. Je veux que tu me laisses l'utiliser comme la petite salope qu'elle est.

Glen me regarda alors que Steve commençait à me déshabiller lentement.

- Allez petite salope, prends soin de sa chatte! Fais-la jouir pour moi!

Je sentis que les mains du professeur d'EPS me poussaient doucement mais fermement vers la chatte luisante de Mme SMOLEN. Trop choquée et complètement humiliée, j'obéis lentement à leurs ordres comme un agneau que l'on mène à l'abattoir.

A suivre...