jeudi 29 octobre 2020

Le patron de son mari Ch. 03

 Histoire de George VI traduite par Coulybaca.

Suite et fin des aventures de Linda.

8° LA PARTOUZE :

Linda, haletante et suffocante gisait sur les genoux de Karl, des larmes délayaient son maquillage. Lorsque Karl eut suffisamment recouvré son souffle, il dut repousser Linda pour se relever. Linda vacillait sur ses jambes et rapidement s'écroula sur le canapé entre James et Larry. Les deux proches collègues de son mari tendirent les mains et empoignèrent ses nichons.

Linda était humiliée, mais ne se trouvait en position ni physique ni mentale d'objecter. Elle restait assise, passive les autorisant à poursuivre leurs caresses lascives. Larry saisit une de ses mains et la plaça sur son entrecuisse au-dessus du pantalon. Docilement Linda empauma la bosse saillante et la caressa lentement.

Au bout d'un moment Larry lui fit stopper ses caresses pour déboutonner la braguette de son pantalon et descendre ce dernier sur ses genoux, sa grosse bite jaillit à l'air libre. Linda tendit la main et empoigna sa mentule déployée.

James imita rapidement son comparse et Linda empoigna de même son membre dressé.

Ils reprirent en main ses nibards, les secouant, les serrant, les étirant les pelotant copieusement, roulant ses mamelons sensibles entre le pouce et l'index sous les yeux des spectateurs ravis et stupéfaits. Chacun leur tour ils roulèrent des patins enfiévrés, explorant de leurs langues la bouche de leur victime consentante.

Puis ils embouchèrent ses tétons, les léchant, les mordillant, les mâchouillant les suçant lubriquement.

James tendit la main vers son entrecuisse et caressa des doigts sa chatte désherbée, puis il inséra deux doigts dans son fourreau et les agita voluptueusement.

Linda ressentait à nouveau honte et excitation mêlée. Elle soupirait tout en tortillant des hanches. Qu'importe l'humiliation qu'elle éprouvait sous ces caresses indésirées, elle ne pouvait s'empêcher de gémir et de se trémousser. Ses yeux tantôt ouverts, tantôt fermés, ne reflétaient que le vide.

Larry murmura à son oreille :

- Suce-moi comme tu as sucé Ron dans la piscine ! 

Servilement Linda s'installa à genoux entre ses cuisses et éteignit sa bite entre ses lèvres chaudes et douces. Comme elle lui taillait une pipe, elle tendit la main continuant à branler langoureusement James.

Will un des ambitieux sous-fifres de Glenn se posta dans son dos. Il n'était pas particulièrement bien fait de sa personne, plutôt râblé, mais il était doté d'une personnalité des plus agressives. Bien qu'ivre il n'allait pas laisser passer une telle occasion de se faire la femme de son chef. Depuis qu'il avait rencontré Linda il pensait que son chef était drôlement verni d'avoir si ravissante femme.

Linda s'était toujours montrée aimable avec lui lors des réunions de la compagnie, mais il pensait qu'elle était rudement prude et coincée du trou du cul. Il était sceptique depuis qu'il avait entendu ses copains raconter comment elle s'était occupée du patron dans la piscine. Pourtant ce matin même il l'avait vue vêtue de son microscopique bikini transparent qui révélait tous ses appâts. Il l'avait vu sucer le patron de son mari, et comprenait maintenant pourquoi Glenn était si apprécié de sa direction.

Et maintenant elle suçait effrontément la queue de cet homme après s'être fait prendre par le grand patron sous les yeux d'une nombreuse assistance, formée par les collègues et les clients de son mari, qui se régalait de reluquer ses charmes. 

Il se demandait comment cette salope pouvait se comporter avec autant d'impudence.

Will s'agenouilla derrière Linda, il baissa la fermeture éclair de son pantalon et le tira avec son caleçon sur ses genoux, sa bite jaillit agressivement à l'air libre. Il jeta un œil, entre ses jambes bien écartées, sur sa chatoune rasée, pointa son gland sur sa fentine et s'enfouit lentement en elle.

Instinctivement Linda grogna mais continua à sucer son partenaire en trémoussant son cul. Elle jeta un œil par-dessus son épaule le temps de réaliser qu'elle se faisait baiser par Will, son cadet de 13 ans, elle était bien trop désarmée pour l'en empêcher.

Will coulissait aisément dans la chaude cramouille détrempée de Linda, il savourait pleinement cette levrette.

Mick un des autres sous-fifres de son mari s'assit à coté de Larry, il sortit impatiemment sa bite et le lui donna à branler. 

Inconsciemment Linda suçait avec art Larry lui accordant une pipe aussi savoureuse que juteuse, avec un total détachement elle branlait James et Mick simultanément. Elle ne pouvait ignorer la bite de Will qui la labourait en profondeur, son pubis claquant contre ses fesses à chaque coup de boutoir.

Les hommes qui n'étaient pas directement impliqués dans cette scène lubrique tournaient autour un verre à la main. Ils observaient avec attention les lèvres de Linda coulisser sur la grosse bite de Larry alors qu'elle manipulait habilement les bites de James et Mick entre ses doigts manucurés, alors que son cul dansait sous les assauts répétés de Will.
 "Comment peuvent-ils me faire ça à moi ?" se demandait Linda.

Elle aurait aimé qu'on lui montre un certain respect et que quelqu'un intervienne pour faire cesser tout ça ! " J'avais des rapports des plus corrects avec tous ces hommes, ils semblaient me respecter... Mais à l'instant même où ils en ont eu l'occasion ils m'ont traitée comme une poupée de chair juste bonne à assouvir leurs appétits luxurieux ! Ils ne m'ont plus du tout considérés comme une personne, mais comme un OBJET SEXUEL !".

Linda n'avait jamais réellement réfléchi à cette notion d'objet sexuel auparavant. "Comment ai-je pu être aussi aveugle ? Chaque fois qu'un homme semblait me montrer du respect, en réalité il espérait juste profiter de mes charmes ! C'est vraiment le seul véritable but de ces hommes, goûter aux appâts de toutes les femmes qu'ils croisent !".

Larry ne put se retenir plus longtemps, il grogna plusieurs fois, son premier grommellement alerta Linda, lorsqu'il s'enfouit au fin fond de sa gorge, elle recula la tête, relâcha sa bite, les jets de foutre s'écrasèrent sur son visage, elle ferma les yeux alors que l'épaisse purée envahissait ses narines, ses joues, sa chevelure et ses yeux. Les yeux fermés pour éviter que le foutre ne s'insère sous ses paupières le visage couvert de semence blanchâtre elle continuait à branler James alors que Will se démenait vigoureusement au cœur de sa féminité embrasée.

Soudain Will s'extirpa de sa chatte et cracha des flots de foutre sur le cul et le dos de Linda. 

Linda s'effondra sur les genoux de Larry. Mais il se releva rapidement tandis que James se glissait à sa place. Elle leva les yeux vers James, puis regarda sa bite et entreprit de le su-er à son tour. 

L'un des clients de Glenn remplaça Will dans son dos. 

Et bientôt elle se retrouva à nouveau suçant une pine alors qu'une autre l'embrochait en levrette. Cette fois avant que l'homme ne s'épanche en elle, elle se mit à grogner et gémir, se trémoussant alors qu'elle succombait à son tour à un puissant orgasme.

Après plusieurs pipes et plusieurs levrettes, Linda vit s'approcher Brett qui posa ses mains sur elle. Brett était aussi un jeune employé de son mari, elle se sentait secrètement attirée par lui. Ce n'est pas qu'elle espérait avoir une aventure avec lui, mais il était grand, souriant, avenant et au demeurant extrêmement séduisant. Elle aimait bien le rencontrer lors des réunions de l'entreprise. Linda espérait que ce charmant jeune homme mettrait fin aux humiliations sexuelles qu'elle subissait, mais au lieu de répondre à ses vœux, il l'empoigna et la coucha au sol.

La ravissante femme couverte de foutre était allongée sur le dos, il l'enfourcha et s'accroupit sur son torse. Il introduisit un puis deux, puis trois doigts dans sa foufoune les agitant vivement en elle tout en lui riant au nez. Linda gémit alors qu'il lui évasait douloureusement le goulot.

Elle leva les yeux et vit que tout ce petit monde la regardait avidement, mais il semblait que c'était au tour de Brett de profiter de ses charmes. Elle ouvrit les cuisses en grand l'invitant silencieusement à la posséder, mais Brett ne voulait pas la baiser, au lieu de cela, il enleva pantalon et caleçon, se posta au-dessus de Linda et s'abaissa sur ses miches.

Il enfourcha sa lourde poitrine et inséra sa grosse bitte entre ses nichons. Il lui prit alors la main et l'invita à presser ses deux nibards l'un contre l'autre alors qu'il coulissait entre eux. Linda était mortifiée de voir ce jeune homme dédaigner sa chatoune et l'utiliser comme un jouet sexuel. Sa bite allait et venait dans son écrin soyeux. Linda les yeux baissés voyait son gland apparaître et disparaître d'entre ses miches à quelques centimètres de son visage.

Les spectateurs encourageaient Brett, l'un d'eux se laissa tomber entre ses cuisses et entreprit de la doigter vigoureusement. Linda maintenait ses nibards en place enveloppant son épaisse bite entre ses deux nichons serrés.

Lorsqu'il éjacula, son foutre s'écrasa sur ses miches, son buste, son cou et son visage.

9° LINDA ET LA PUTE :

Les clients continuaient à affluer dans la grande salle, Ron entendit frapper à la porte et se dirigea vers elle. Diable il avait quasiment, oublié la suite de ses plans, il ouvrit la porte et une noire américaine très élégante entra dans la salle. Craignant que Linda ne puisse tenir toute la nuit, il avait loué les services d'une pute pour l'aider à divertir l'assistance.

La jeune femme semblait avoir une trentaine d'années bien qu'il soit difficile d'apprécier son âge, elle avait des cheveux épais et défrisés, une couleur de peau très sombre et était très jolie.

Elle sourit et se présenta elle-même comme Marva, Ron la paya immédiatement et lui dit qu'elle toucherait peut-être un bonus si tout se passait bien. Marva répliqua qu'elle avait une très grosse expérience de ce genre de réunions de mâles entourant une ravissante femme blanche entièrement nue.

Linda allongée sur le dos sur la table basse, se faisait sauter par un client alors que ses nibards dansaient au gré des coups de boutoir de son "amant", Marva présumait que Linda était une autre prostituée chargée de distraire en sa compagnie l'assistance. Quand le client en eut fini et se retira, Marva se mit en action :

- Eh toi la salope ! Interpella-t-elle Linda.

Cette intervention attira l'attention de tous. Linda regardait confuse la jeune femme noire.

- hé petite pute, viens m'bouffer la chatte ! Viens payer de ta personne salope ! 

Linda jeta un œil affolé vers Ron qui s'était posté au coté de Marva.

- A genoux ! Ordonna Marva d'une voix sèche.

Linda descendit de la table et s'agenouilla à quelques centimètres de Marva. Cette dernière déboucla la ceinture de son imper et s'en dépouilla rapidement, elle portait un soutien-gorge noir pigeonnant, un string de dentelle noir, des hauts talons et rien d'autre.

Elle se tenait face à Linda elle dégrafa l'attache de son soutien-gorge et l'enleva. Ses nichons étaient presque aussi gros que ceux de Linda, mais ils étaient bien fermes et pointaient comme des obus, ils étaient coiffés de gros mamelons noirs.

- Suce mes tétons ! Intima t'elle à Linda.

Linda, confuse jeta un nouveau coup d'œil vers Ron, il lui sourit hochant affirmativement la tête, elle comprit que c'était lui qui avait mijoté ce plan. Comme elle n'avait pas obéi à la seconde, Linda tendit la main et lui asséna une violente gifle sur les fesses, Linda couina sous l'effet de la surprise.

Elle répéta menaçante :

- Suce ! 

Et cette fois Linda matée, obéit docilement. Elle s'agenouilla face à Marva et posa les mains sur ses hanches pour s'équilibrer et pressa ses lèvres sur le mamelon dardé du nibard gauche de la jeune prostituée noire. Suivant les instructions de la jeune pute elle lécha, mordilla, mâchouilla les nibards de sa partenaire.

Linda se cramponnait à sa ferme croupe, à son tour Marva entreprit de téter les mamelons de Linda de façon très expérimentée.

- Enlève-moi ma culotte ! Souffla Marva et Linda la roula lentement sur ses cuisses.

Le mont de Vénus de Marva était intégralement chauve, on voyait clairement ses babines roses qui tranchaient sur le reste de sa carnation.

- Bouffe-moi la chatte ! 

Pour la première fois, Linda se penchait sur la foufoune d'une autre fille et entreprit de parcourir de la langue sa cramouille détrempée. La pute noire mal embouchée l'insultait constamment. Elle enfonçait sa langue profondément dans sa moule, la parcourant à grandes lèches.

- C'est pas terrible, je vais te montrer comment faire ! Intervint Linda l'obligeant à se coucher à plat dos sur la moquette.

Elle l'enfourcha tête bêche et pressa sa chatte sur le visage de Linda tout en enfouissant son visage dans son entrecuisse. Elle dénicha rapidement la fentine inondée de Linda, pour la première fois de sa vie Linda exécutait un 69 avec une autre fille sous les vifs encouragements des spectateurs.

Linda était dégoûtée de devoir lécher la chatte d'une autre femelle, mais elle faisait de son mieux pour la satisfaire. Marva était une experte du bouffage de chatte, Linda répétait les caresses de Marva. Ses sens s'éveillaient lentement sous cet expert léchage de moule, Marva verrouilla ses cuisses sur la tête de Linda.

Les spectateurs entendirent alors Linda grogner sourdement. Marva finit par réaliser que Linda n'était pas une professionnelle, juste une quelconque salope que ces hommes avaient rameutée.

Linda trémoussait des hanches et verrouillait ses cuisses autour de la tête de Marva. Elles remuaient sur le plancher intimement liées l'une à l'autre, se léchant et se mordillant tout en couinant.

Marva distinguait la différence entre un orgasme feint et un véritable orgasme, et à sa façon de se tortiller et de geindre, elle savait que Linda ne simulait pas. Marva cassa leur étreinte, elle se coucha tout près de Linda, qui était encore en état de sidération.

Et maintenant Marva changeait de personnalité, la dominatrice se muait en amante.

- C'était merveilleux ma chérie, tu dois très souvent faire des choses comme ça ! La taquinait Marva.

Puis elle planta ses lèvres sur celles de Linda, elle inséra sa langue dans sa bouche et la lui inspecta suavement. Linda répondait à ses baisers enflammés et savourait le goût de ses propres secrétions dans la bouche de celle qui venait de tant la faire tant jouir.

Puis Marva posa la main sur ses nichons, Linda regardait les petites mains noires qui dessinaient des petits cercles sur ses gros nibards couleur ivoire. Puis elle saisit un de ses nichons et le pressa contre un de Linda, les deux tétons semblaient s'étreindre en une petite lutte lubrique.

Marva poussait des gémissements feints et Linda répondait poussait de vrais geignements.

La main de Marva descendit le long de son ventre et trouva son chaton, elle titilla rapidement ses babines et dénicha son clito qu'elle pressa entre ses doigts, Linda gémissait à nouveau elle écarta ses cuisses en grand et agrippa la main de Marva. Marva se saisit de celle de Linda et la posa sur sa chatoune, puis elle soupira :

- Doigte-moi ma chérie ! 

Les deux femmes s'embrassèrent avec passion et se doigtèrent mutuellement sous les yeux de l'assistance emballée.

Marva repoussa la main de Linda et la fit sucer ses doigts, immédiatement un nouvel orgasme submergea Linda ses hanches se crispèrent sur la main de Marva elle poussa un hurlement perçant et se mit à trembler comme une feuille.

10° LA TOUCHE FINALE

Marva se retira dans la chambre et se fit sauter par des clients pour le temps qu'ils l'avaient retenue.

Quelqu'un se rendit compte que le canapé s'ouvrait pour former un lit d'appoint. Karl étala Linda dans sur le sofa pour que les invités puissent continuer à s'amuser avec elle. Il avait bien observé la façon dont son mari la baisait la veille au soir, il voulait baiser avec elle à l'identique.

Il s'allongea sur le dos et invita Linda à l'enfourcher. Linda se plaça elle-même à l'aplomb de la bite dressée de Karl selon les consignes de Karl.

- Je veux que tu baises avec moi comme avec Glenn la nuit dernière ! 

Linda gênée se rappela alors que la veille au soir elle s'était donnée en spectacle en train de baiser avec son mari écarta les cuisses exactement comme 24 heures plus tôt. Il lui jeta un coup d'œil satisfait alors qu'elle se positionnait confortablement. Il lui caressa lascivement les hanches et les cuisses avant de lui empoigner les fesses exactement comme Glenn la veille. Puis il se saisit de ses nibards et étira ses tétons, Linda se pencha en avant pour laisser pendre ses nichons sur le visage de Karl.

Elle baissa les yeux sur lui et le vit attraper ses pendules qui dansaient devant ses yeux et chopa un mamelon entre ses dents. Elle le chevauchait rapidement, comme elle chevauchait Glenn la nuit précédente, elle sentait croître son excitation.

Ron, qui s'était épanché sans ses orifices trois fois ces dernières 24 heures décida de profiter de sa position pour faire une dernière chose qu'il désirait imposer à la femme de son subordonné. Il grimpa sur le lit alors que Linda était toujours perchée sur Karl et s'installa entre les jambes de Karl.

Karl vit faire Ron, il comprit immédiatement ses intentions et attira Linda sur son torse. Alors que Linda se positionnait pour garder précieusement la bite de Karl en elle, Ron pouvait voir la bite de Karl aller et venir dans la moule de Linda, juste sous son petit trou du cul serré.

Un tube de lubrifiant à la main, il en déposa une noisette sur son majeur et entreprit de lui en enduire le goulot. Effarouchée Linda se retourna pour voir ce qui se tramait, mais Karl la tenait bien, elle poussa un petit cri aigu :

- Ohhh ! 

C'était une sensation étrange, inconfortable, de sentir quelque chose qui s'insérait dans son anus. Ron lui fouillait activement le trou d cul lui évasant le goulot pour déposer plus profondément le gel lubrifiant et pour lui évaser le goulot. Puis il enduisit son gland et sa hampe de gel, et pointa son gros champignon sur son œillet frémissant, Karl tenait Linda pour faciliter la tâche de Ron. Linda comprit ce qu'il voulait faire et couina :

- Non, pas ça... Je ne veux pas... On ne m'a jamais...

Comme Ron le supposait elle était vierge de la rondelle.

- Nonnnnn... Vous êtes bien trop gros... 

Ron s'enfouissait lentement dans ses reins, centimètre après centimètre, Linda couinait en se tortillant. 
Karl lui murmura :

- Du calme ma chérie, relâche tes sphincters... Ils s'adapteront ! 

Linda suivit son conseil, mais continuait à frissonner alors qu'il s'enfouissait de plus en plus profondément dans son fion. Puis il commença de lentes allées et venus, Karl reprit le pilonnage de sa chatte. Les deux hommes gloussaient alors qu'ils cherchaient à harmoniser leurs allées et venues dans ses orifices asservis.

Linda ne s'était jamais sentie aussi dégradée, c'était une sensation très étrange d'avoir deux bites en elle uniquement séparées par la fine membrane de son périnée, deux bites qui lui distendaient horriblement ses deux orifices. Elle s'efforçait de rester sereine et relaxée alors que les deux hommes la martelaient en con et en cul.

Elle jeta un coup d'œil circulaire sur les collègues et les subordonnés de son mari, encerclant le canapé, ils applaudissaient et encourageaient vivement leurs deux patrons.

- oh... ohhhh... Grogna Linda.

Ses gémissement se transformèrent en grognements alors qu'elle sentait un énième orgasme poindre. Elle était couverte de sueur, et elle grognait comme une truie. Elle n'avait jamais entendu de sons aussi gutturaux sortir de sa bouche. Elle pouffait comme une vieille locomotive à vapeur et les hommes faisaient chorus. Tous trois grognaient en chœur sur le sofa bougeant dans tous les sens.

- UH!.... UH!.... UH!.... UH!.... HUUUGGGGGG !!! Coassait Linda éperdue.

Le rythme et l'ampleur de leurs pénétrations croissaient encore, les grognements de Linda tranchaient sur les gémissements plus clairs des deux hommes, mais le tout se mêlait en un cacophonique indescriptible. Karl explosa dans sa chatte, et elle sentit immédiatement un autre flot de foutre lui tapisser les muqueuses anales. Les plaintes de Linda se poursuivirent longtemps après que les autres se soient tus.

Comme Ron extirpait sa grosse bite de son fondement ce qui permit à Karl de se relever, l'assistance entière se réunit autour du canapé et leur fit une brillante ovation.

Linda retomba sur le dos sur le canapé et regarda les clients et les employés qui faisaient la queue bite en main attendant leur tour de la sauter. Que ce soit par, deux ou trois à la fois la soirée risquait d'être longue.

11° DE RETOUR AU BUREAU :

Deux mois après la convention, en fin de semaine, Ron entendit qu'on frappait à la porte de son bureau, il dit d'entrer, et vit Linda jetant un coup d'œil par la porte entrouverte. Ron ne l'avait pas revue depuis la convention.

- Eh Bien, salut, quelle bonne surprise ! S'exclama Ron étonné de la voir là.

- Euh, salut Ron Répondit Linda calmement.

Elle se tenait muette dans l'entrée du bureau.

- Entre Linda ! L'invita courtoisement Ron.

Elle pénétra dans le bureau et referma la porte dans son dos. Elle se posta face à Ron, de l'autre coté de son bureau. Ron ne pouvait s'empêcher de la reluquer de la tête aux pieds. Elle portait une tenue provocante, un tee short bleu ciel moulant et une jupe de jean très très courte montrant ses cuisses nues.

- Je cherche Glenn... Nous devions nous retrouver pour manger ensemble ce midi !

Ron hésita quelques instants, puis la prévint :

- Glenn est en rendez-vous clientèle pour toute la journée ! Je ne crois pas qu'il rentrera aujourd'hui !

- Oh, euh... Je n'étais pas au courant... Soupira Linda, mais elle ne faisait pas un geste pour quitter le bureau.

- ...

- Je pense que tu le savais pertinemment ! En fait j'étais dans le bureau de Glenn quand il t'a appelé ce matin. Je l'ai entendu te dire qu'il ne serait pas dans son bureau de toute la journée ! 

Prise à mentir, Linda baissa la tête pendant quelques secondes.

- Euh..... En fait... Je voulais vous remercier d'avoir tiré Glenn de ce mauvais pas ! 

- N'en parlons plus ! Rétorqua Ron se demandant pourquoi diable elle tenait à le remercier après ce qu'il lui avait fait endurer.

- Glenn est un excellent collaborateur. Je suis très heureux, pour vous deux, que les choses aient pu s'arranger.

Sur ces mots il recula sa chaise et se leva, puis l'interrogea :

- Glenn a-t-il appris quelque chose sur ce qui s'est passé pendant la convention ?

- Oh non..... Il n'en sait rien... Répliqua vivement Linda.

- Puis-je te poser une question ma petite Linda ? 

- Bien sur ! 

Ron hésitait, bien qu'elle se laissa tutoyer, il ne savait pas encore jusqu'ou il pouvait pousser le bouchon.

- Qu'a pensé Glenn de... De ta chatte rasée ? 

Linda souriait, visiblement confuse.

- Oh, il a pensé que c'était une adorable surprise... Mais il n'a pas montré beaucoup d'intérêt pour cette disposition.

Ron souriait à pleines dents maintenant, cette franche discussion avec Linda lui avait indiqué la voie à suivre..

- Laisse-tu repousser ta toison ? 

- Euh, oui...

Ron était fort surpris du changement de tenue de Linda, mais il savait qu'elle-même serait transformée après ce qu'elle avait vécu lors de la convention. Elle avait trop joui pour ne pas admettre au fond d'elle-même qu'elle avait savouré certains aspects de ce week-end.

- Approche ! Lui intima Ron.

Elle contourna le bureau se postant devant Ron. Ses jambes nues étaient halées, sa jupe révélait la plus grande partie de ses cuisses elle se tenait jambes largement écartées. Il tendit la main et entreprit de remonter sa jupe. Linda avala sa salive mais n'offrit aucune résistance, sa jupe remonta au-dessus de ses hanches et bouchonna autour de sa taille.

La chatoune dénudée de Linda se trouvait à quelques centimètres du visage de Ron, son mont de vénus était couvert d'une courte toison brune d'environ 1 cm. Ron la poussa en arrière, elle s'assit sur l'arête de son bureau, il sépara alors ses cuisses, approcha sa chaise et enfouit son visage dans son entrecuisse embrasé, elle referma ses cuisses sur sa tête.

James avait vu Linda pénétrer dans le bureau il jeta un œil et vit que la porte du bureau de Ron était fermée, il gagna le bureau de Larry pour l'avertir que Linda se trouvait dans les bureaux. Ils prévinrent les autres employés de sa présence. Ils remontèrent dans le couloir et certains tendirent l'oreille contre la porte de Ron.

Ayant entendu la voix de Linda, James ouvrit discrètement la porte, il jeta un œil inquisiteur dans la salle et vit Linda assise sur le bureau face à Ron qui avait le visage enfoui entre ses cuisses. Ron leva les yeux sur Linda.

- Montre-moi tes nibards ! Lui ordonna-t-il.

Linda croisa les bras, attrapa le col de son chemisier et l'enleva le passant au-dessus de sa tête. Elle portait un soutien-gorge noir, elle le dégrafa et ouvrit son soutien-gorge, ses nichons tout blancs jaillirent sous les yeux de son "amant". Elle se pencha en arrière alors que Ron lui bouffait la chatte tout en caressant ses miches.

Ron se redressa, se débarrassa de son pantalon et brandit sa bite déployée entre ses cuisses, Linda était assise sur le rebord du bureau alors que Ron la labourait avec ardeur. 

Larry, James et les autres employés jetaient des coups d'œil par l'entrebâillement de la porte. Linda leur avait manqué à tous depuis qu'ils l'avaient baisée deux mois plus tôt.

Ils observaient Ron qui la pilonnait sans merci. Linda se laissa tomber à plat dos sur le bureau et ils virent ses loches danser au gré des coups de boutoir de Ron. Le temps de digérer son week-end de stupre, Linda ne pouvait nier l'extrême plaisir qu'elle avait pris à se faire ramoner ainsi.

Bien que continuant à avoir des relations sexuelles avec son mari, elle était très insatisfaite après cette expérience ou tant de grosses bites l'avaient ramonée profondément, son émoi de voir tant d'hommes la désirer et satisfaire leurs appétits en elle et le fait d'avoir été initiée à des actes qu'elle n'avait jamais pratiqués ni même envisagé chez elle.

Elle ne pouvait pas se l'expliquer clairement, mais elle s'était sentie obligée de venir au bureau de son mari lors de son absence, obsédée par son envie de voir ses appétits sexuels satisfaits par Ron et ses cruels employés. Comme un violeur qui ne peut s'empêcher de trouver des victimes, elle ne pouvait s'empêcher de désirer être violentée encore et encore. En fait elle était son propre tourmenteur.

Linda dut se lever et se retourner. Ron l'obligea à se pencher sur le bureau et il la baisa comme une chienne. Comme il la martelait de violents coups de boutoir, ses seins dansaient de droite à gauche, les employés captivés par le spectacle regardaient ses fesses s'ouvrir et se fermer à chaque assaut.

Linda couina et gémit, submergée par le plus intense orgasme qu'elle ait eut ces deux derniers mois, elle jouit juste à l'instant ou Ron se vidait en elle, lui aspergeant les muqueuses de sa crème grasse.

Elle gisait sur le dos reprenant lentement son souffle. 

C'est alors qu'ils entendirent la porte couiner, et qu'ils virent qu'ils avaient des spectateurs enthousiastes. Linda baissa la tête et sourit gênée. Ron se contenta de dire :

- Très bien les gars, vous feriez aussi bien de rentrer dans le bureau ! 

Linda se releva entièrement nue, si l'on excepte ses chaussures et sa jupe bouchonnée autour de sa taille. Larry et James murmurèrent :

- Salut Linda... 

Larry lui roula une pelle tandis que James empoignait ses nichons. Brett, Will, Mick et les autres la doigtèrent chacun à leur tour.

Bientôt Larry s'assit dans le fauteuil de Ron, et Linda s'assit sur lui tournant le dos, sa bite bien ancrée dans sa petite chatte accueillante. Elle faisait une pipe à James assit sur le rebord du bureau, les autres lui palpaient les nibards, se faisaient branler, ou se tenaient en arrière plan se régalant du spectacle érotique en attendant leur tour..

Cette fois même le jeune Brett put l'embrasser et la baiser à couilles rabattues.

Linda alla de bureau en bureau le reste de l'après-midi, se faisant caresser et baiser. Ils furent peu à travailler cet après-midi là, pourtant ils avaient tous programmés des coups de fil et des ventes.

Entre les appels ils pouvaient se rendre dans n'importe quel bureau où Linda se faisait sauter pour lui peloter les miches ou se faire sucer. Larry allait jusqu'à téléphoner tout en lui pelotant sévèrement les loches.

Ils avaient commandé des pizzas et Linda dut se rendre dans le hall d'entrée, seule et nue, pour recevoir les pizzas des mains d'un livreur ravi de l'aubaine. Elle signa aussi pour réceptionner un colis et du demander au facteur :

- Aimeriez vous une récompense rapide ? 

Le facteur empoigna ses nibards avec concupiscence, et lorsqu'il eut délivré son colis il eut droit à une délicieuse pipe en guise de pourboire.

Ils la prirent une dernière fois sur la photocopieuse avant de la laisser partir. Son nichon droit était pressé contre la vitre et fut photocopié, ainsi ses "amants" purent garder en souvenir l'image des ses larges aréoles. Will épingla même une copie sur son mur, juste à coté de son soutien-gorge noir.

Le lendemain Glenn lui dit de les enlever, ignorant qu'il regardait des souvenirs de la partie de baise à laquelle venait de participer sa femme avec tous les membres du bureau.

Il ne pouvait d'ailleurs se douter qu'elle s'était jurée de revenir à la moindre occasion, elle ne pouvait plus se contenter de ses maigres prestations après une telle fête des sens.

FIN

mardi 27 octobre 2020

Coralie Miss Camping ! Ch. 04

  Texte d'Alexis.

Punition à la plage.

Pour rejoindre la plage, je dois traverser le camping de long en large, toujours totalement nue. Mais cette fois, je m’en tire à peu de frais, avec quelques mains baladeuses sur mes fesses, mes seins et ma vulve. Élément nouveau, je remarque certains regards appréciateurs de jeunes femmes, mais sur le moment je n’y prête alors pas plus attention que cela.

Arrivée à la plage, je longe celle-ci afin de retrouver mon Jean. Le soleil étant de plomb, beaucoup de femmes ont la poitrine à l’air et ne portent qu’un string minimaliste. Vous pourriez penser que ma nudité se fond plus dans le décor. Il n’en est rien : étrangement, ma chatte dénudée attire tous les regards !

Au bout de 2 minutes de marche, j’aperçois au loin une de mes concurrentes du concours : Julie. Il faut dire que celle-ci ne passe pas inaperçue : une vingtaine d'années, grande, blonde aux cheveux bouclés, belles jambes soyeuses, belles cuisses pleines et puissantes, fesses rebondies bien mises en valeur par un string dont la ficelle lui rentre complètement dans la raie du cul, deux obus à l’air libre en forme de pomme. Je suis bien consciente que je n’ai pu battre une telle beauté au concours qu’en mettant mes charmes à disposition de mes électeurs ! Ma concurrente malheureuse est en grande discussion avec une jeune femme élancée, brune à la peau mate, et aux longs cheveux, qui a elle aussi la poitrine à l’air.

Un peu gênée de croiser le chemin de Julie, je continue cependant d’avancer à la recherche de Jean. Julie finit par m’apercevoir, mais continue sa discussion. Au fur et à mesure que j’avance, la gêne que je ressens se fait de plus en plus pressante. La brune, que je ne vois que de dos, me rappelle quelqu’un. Son allure générale, sa façon de bouger, me met en alerte.

Je m’apprête à tourner à 90 degrés afin de ne pas passer à côté des 2 jeunes femmes, lorsque l’inconnue se retourne brusquement. Je reste pétrifiée sur place : il s’agit de Laetitia, la responsable du secrétariat médical ou je travaille!

- Coralie... la chatte à l’air en public... quelle surprise ! S’exclame t-elle d’une voix suave.

- Mais je suis distraite : c’est vrai que tu as promis ton cul à tout le monde pour te faire élire Miss Camping !

- Non… C’est pas… Bredouillé-je.

- Vu ce que j’ai vu et entendu pendant le concours... c’est tout comme ! Mais si tu as un doute, nous pourrons revoir ce moment inoubliable sur mon caméscope : j’ai tout filmé ! En gros plan ! Un coup de chance ! Réplique t-elle le sourire aux lèvres.

Mon cœur rate un battement. Je crois que je vais m’évanouir. La salope ! La connaissant, elle va se faire un plaisir de faire circuler ça sous le manteau au magasin ! Je vais devenir la risée de tous et toutes. Peut-être me faire renvoyer ! Elle qui prend un malin plaisir à humilier son personnel, elle ne va pas me rater !

- Et j’ai bien noté qu’il n’y avait pas de restriction dans tes engagements ma jolie ! Ajoute Julie en me saisissant un sein à pleine main.

- Je vais donc profiter de l’occasion qui m’est donné de vérifier si c’était bien juste que tu l’emportes sur moi !

- Oh non, pas en public ! Couinais-je.

Consciente des engagements que j’avais pris, il ne me venait pas à l’idée de me dérober, mais je ne voulais absolument pas me faire tripoter par une femme en public. Je me doutais bien qu’une telle nouvelle ferai le tour du camping et que le lendemain ce serait l’hallali !

- Et pourquoi, je ne te peloterai pas en public, ma salope ? Pour préserver ta pudeur ? Mais ça fait longtemps que tu n’en a plus aucune !’, lance Julie sur un ton venimeux.

- Allons Julie, il faut être compréhensif ! Dit Laetitia en me mettant la main droite sur les fesses.

- Je suis d’accord que Coralie n’a plus de pudeur depuis longtemps... mais avec les hommes ! Se faire mater, peloter et tringler par un mâle, soit. Devant un public féminin, soit. Mais se faire mater, peloter, voire tringler par une femme, c’est nouveau ! Il y a des dunes à quelques mètres...Autant aller derrière ou tu pourras profiter de Coralie en toute discrétion pour elle... et comme bon te semblera.

Julie semble hésiter. Je veux forcer sa décision.

- D’autant qu’il n’y a pas de problème sur le principe, je tiendrai mes engagements. Mon corps est à votre entière disposition.

Cela me fait drôle de vouvoyer une fille de mon âge. Mais, intuitivement, je sais que c’était la bonne attitude à prendre. Julie veux prendre une revanche. Il faut lui en donner pour son argent. De toute façon, je ne peux pas y couper.

Tu es vraiment une garce ! Me lance Julie, en me saisissant par le bras et en me tirant vers les dunes de sables.

Arrivées derrière celles-ci, je vois que Laetitia ferme la marche. Elle jette un gros sac au sol.

- Tu as oublié tes petites affaires Julie.

- Merci ! Répond celle-ci avec un sourire carnassier.

D’un geste brutal, Julie me jeta alors au sol.

- A quatre pattes pouffiasse ! Je vais t’apprendre à voler les concours à celles qui valent mieux que toi ! Cambre-toi mieux que ça et écarte les cuisses que l’on puisse admirer ta chatte de pute !

Mécaniquement, comme dans un état second, j’obéis. J’entends alors la fermeture éclair d’un sac s’ouvrir. La chair de poule couve mon corps. C’est alors que le premier coup de baguette s’abat sur mes fesses. Une baguette de coudrier. La baguette me mord la peau en pénétrant dans les chairs de mes fesses. Je retiens mon hurlement de douleur et de détresse.

- Beugle si tu veux chienne ! Que du monde vienne voir le spectacle et ait ainsi l’idée d’en faire autant plutôt que bêtement te fourrer le con avec leurs bites ! Commente Julie.

Les autres coups suivent. Jusqu’à cinq. De plus en plus douloureux.

- Pitié... je ne vais plus pouvoir me retenir de crier... mon cul va exploser... Murmuré-je.

- Il faut être humain, Julie ! Enchaîne Laetitia.

- Regarde, elle a le cul en feu ! Elle ne va plus pouvoir s’asseoir de la soirée !

Éperdue de gratitude de ce soutien, je lance un petit « Merci ».

- Je m’étais promis de lui donner 10 coups de baguettes, et elle recevra 10 coups !

- Soit, mais tu peux donner les 5 coups restants ailleurs que sur les fesses ! Lance ma chef de rayon.

Un frisson glacé me parcourt le dos. La garce, c’est là qu’elle voulait en venir en me « venant en aide ».

- Mais où veux-tu la corriger ailleurs que sur les fesses ? Demande Julie.

Laetitia éclate de rire. 

- Ah, l’innocence de la jeunesse ! Avec un martinet, j’aurai pu lui cingler la chatte, mais avec une baguette de coudrier... les seins restent une possibilité !

- 5 coups sur ses pis de vache laitière ! Génial ! S’écrie Julie.

- Mais il faut que Coralie soit d’accord ! Après tout, elle peut préférer recevoir les 5 coups sur son cul en définitive ! Ajoute Laetitia.

- A genoux ! Commande Julie.

Puis après que j’ai obtempéré, elle demande :

- Alors qu’elle est ta préférence ma jolie ? Cul ou seins ?

Le choix est cornélien ! Je sais que vu l’état de mes fesses, de nouveaux coups de baguettes à cet endroit me feront hurler de douleur et attireront les campeurs. Mais je suis bien consciente que les coups de baguettes sur les seins vont être parfaitement visibles et... interprétés comme il se doit par les campeurs ! Mais les coups reçus sur les fesses vont déjà l’être me dis-je. Et puis, le danger n’est pas pour tout de suite, alors que si je me mets à hurler, c’est de suite que je vais devoir affronter l’assemblée et peut-être la curée qui va s’ensuivre! Cela me décide.

- Sur les seins ! Bredouillé-je.

- Alors, présente-les-moi ! Lance Julie, implacable.

En sanglots, je prends mes seins par en dessous et les lui présente. Le sourire aux lèvres, Julie abat la baguette de coudrier sur la poitrine offerte. A 5 reprises, comme convenu. A la fin de la correction, je tremble de tous mes membres, mais j’ai réussi à ne pas crier.

- Nous voilà quitte ! S’écrie Julie.

Haletante, je me relève, imaginant que je vais pouvoir me libérer de mes tortionnaires.

- Et où va tu comme ça, ma jolie ? Me demande Laetitia en me voyant faire mine de partir.

- Je repars à la recherche de mon mari Répondis-je d’une toute petite voix.

Julie éclate de rire.

- Comme je suis bonne fille, je t’emmène, je sais où il est ! Me lance t-elle.

Et, prenant son sac en main, elle part à travers les dunes. Je la suis. Laetitia ferme la marche. Nous marchons deux à trois minutes, tournons une dernière fois à gauche et débouchons derrière une dune. Un homme est allongé. Une fille est sur lui. Accroupie, penchée en avant, elle s’embroche avec frénésie sur sa verge en donnant l’impression d’être une grenouille.

- Ta femme ne t-a jamais fait ça, hein mon cochon ! C’est ça... va à fonds ! Bouffe-moi les nichons… Lance t-elle.

Bien que je ne vois que son cul, la voix me permet de reconnaître Christelle, une des concurrentes malheureuse du concours.

- Oui... vas-y, lâche la purée... la prochaine fois tu me prendras par le cul mon salaud !

S’agrippant brutalement aux fesses de la jeune fille, l’homme éjacule dans un râle d’agonie. Christelle s’effondre sur lui, puis bascule sur sa droite. Je découvre que l’homme en question est... Jean, mon mari.

Un vertige faillit me faire tomber au sol, mais Laetitia me retient par un bras. Jean me voit et se redresse en un mouvement.

- Coralie, je... Commence-t-il.

Je vois rouge. Ma main part sans que je m’en rende compte et je lui mets une gifle mémorable. Laetitia nous sépare de suite.

- Allons Coralie, un peu de dignité... tu ne vas pas me dire que tu es surprise ?

Saisie, je la regarde sans pouvoir parler.

- Tu te balades à poil dans le camping, tu te fais peloter par tous les mecs que tu rencontres, sauter par certains, laissant ton mari seul... et tu comptes qu’il restera de marbre devant un joli lot ?

- Mais je n’ai pas voulu ça . Bafouillé-je.

- Parce que quelqu’un t’a forcé à prendre les engagements que tu as pris ?

Pendant cet échange, Julie et Christelle se sont rapprochées de Jean pour finir par se coller à lui. Christelle lui prend la verge en main et se met à le branler tout doucement. Julie se met à lui malaxer les bourses. Paralysé, Jean ne fait rien pour se dégager. Il me regarde fixement. Laetitia regarde la scène et semble trouver tout cela normal.

- Bref ma petite, si tu veux garder ton homme, tu ferais mieux de te montrer plus ouverte d’esprit et admettre que pendant que tu t’exhibes, que tu te fais fouiller et sauter, lui aussi peut saisir les bonnes occasions.

- Oh, Jean... j’abandonne le bénéfice de ce concours idiot... que les choses redeviennent comme avant. Dis-je entre deux sanglots.

- Coralie... tu as pris des engagements... et puis, je n’ai pas de quoi payer le camping. Répondit mon mari en baissant les yeux.

Le salaud ! Le rapiat ! Il nous avait emmenés ici sans avoir de quoi payer, en connaissant dès le début l’existence de cet ignoble concours et en étant sans doute déjà décidé de me persuader à le passer !

- Et bien, baise qui tu veux mon salaud ! Hurlé-je.

- Pendant ce temps, je me donnerai à tous ceux qui voudront de moi... et, il y a du monde !

- Et si vous le voulez, pendant votre séjour ici, vous pouvez venir loger chez moi Coralie. Me dit Laetitia.

- Je loue un mobil-home, et je vous trouverai bien une place... Cela vous épargnera de voir votre mari en trop bonne compagnie !

Pendant que nous parlons, la verge de Jean s’est redressée. Julie s’agenouille et se met à la pomper avec énergie.

- Je vous suis. Répondis-je à Laetitia par dépit, la voix étranglée par les sanglots, en n’ayant aucune idée de ce qui allait suivre.

Et sur ce, je prends la direction du mobil-home, le nez retroussé, certaine d'avoir cloué le bec de mon Jean. Laetitia me suit. Je ne vois donc pas le sourire narquois qu'elle me lance.

A suivre...


dimanche 25 octobre 2020

L’Infidélité de Valérie

Traduction d'un texte de MarlinPerkins

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Je dois être le gars le plus chanceux du monde. Après sept merveilleuses années de mariage j'ai surpris ma femme en train d'avoir une liaison. Ça n'a pas été difficile de l'attraper, car c'est moi qui ai tout mis en place. Maintenant je profite du meilleur des deux mondes. A la maison ma Valérie est une cuisinière et une femme au foyer fantastique. Dans la chambre, c'est une salope obéissante qui fait tout ce qu'on lui demande, et je dis bien tout.

Vous voyez, j'avais toujours eu le fantasme de voir ma femme coucher avec un autre homme, et aussi de la soumettre pour que nous ayons une relation maître esclave. Ne vous méprenez pas, notre vie sexuelle était formidable. C'est juste que je voulais essayer quelque chose de nouveau, et comme j'aime ma femme je voulais que ce soit avec elle. Il a fallu que je fasse pas mal de plans, mais j'y suis arrivé. A ce jour, elle ne connaît toujours pas toute l'histoire.

La première partie de mon plan était de trouver quelqu'un en qui je pourrais avoir confiance et que ma femme trouverait attrayant. J'ai publié une annonce locale dans un magazine échangiste où j'offre les services de ma femme et où j'énumère ce que je veux la voir faire. Après avoir rencontré certaines personnes ayant répondu à l'annonce, mon choix s'est porté sur un étudiant nommé Dave. Celui-ci est actuellement en maîtrise et travaille à temps partiel dans un bar comme barman. Valérie et moi avons 31 ans et Dave en a 24. Je lui ai expliqué ce que je voulais qu'il fasse et je lui ai montré des photos nues de Val. Après lui avoir expliqué qu'il pourrait la baiser, il a rapidement accepté.

La deuxième partie de mon plan était de trouver un moyen pour faire sentir à Valérie qu'elle devait coucher avec Dave. J'ai d'abord essayé de les réunir de la façon la plus simple. J'ai demandé à ma femme de me retrouver au bar un soir pour boire un ou deux verres. Puis je me suis absenté en invoquant un problème au bureau et je l'ai laissé seule au bar avec Dave. Bien que celui-ci ait senti que Valérie était un peu intéressée par lui, rien ne s'est passé. Pourtant, cette nuit-là, ma femme m'a paru extrêmement excitée. J'ai compris que j'étais sur la bonne voie.

J'ai donc essayé une nouvelle tactique. Maintenant que je sentais que Val était attiré par Dave, je devais la mettre en position de céder à la tentation. L'étudiant a réussi à avoir l'uniforme authentique d'un policier par un ami ainsi qu'un gyrophare. J'ai préparé Valérie. Nous sommes sortis dîner et je lui ai fait boire pas mal de vin rouge. Ensuite nous sommes retournés au parking et nous avons fumé quelques joints (je sais que ma femme est toujours beaucoup plus dévergondée ainsi). Ensuite je l'ai caressé et j'ai retiré sa culotte, puis je lui ai suggéré de rentrer à la maison. Je m'étais arrangé pour que nous prenions chacun notre voiture, donc Valérie devait me suivre pour rentrer. Elle voulait que nous continuions à nous embrasser sur le parking, mais j'ai insisté pour que nous rentrions.

Une fois que nous avions démarré tous les deux, je suis passé par une ruelle où je savais que Dave était garé. Après que je suis passé, il a mis le gyrophare et il a arrêté ma femme. Elle n'est rentrée à la maison qu'une heure plus tard. La seconde étape de mon plan avait bien marché.

Dave m'a expliqué plus tard qu'il lui avait fait faire des tests de sobriété. Il l'avait fait marcher sur une ligne imaginaire et en avait profité pour la tripoter en la retenant quand elle titubait. Puis il l'avait fouillée et l'avait menottée dans l'allée. Il l'avait menacé de lui enlever son permis de conduire et de lui mettre des amendes. Finalement Valérie avait accepté de lui faire une fellation. Dave m'a dit qu'il lui avait fallu bien quarante minutes pour la convaincre que c'était la seule solution, et moins de cinq minutes pour jouir.

Ce que ma femme ne savait pas en tombant à genoux, les mains toujours menottées dans le dos, c'est que Dave avait installé une caméra pour tout filmer. Mon plan avait marché. Quand elle est finalement rentrée à la maison, nous avons eu la meilleure séance de baise depuis longtemps.

J'ai demandé à Dave d'attendre deux jours avant d'envoyer une copie du film avec une note à Valérie. Cette lettre disait à ma femme, qu'à moins qu'elle ne veuille que son mari ou d'autres personnes découvrent le film, elle devait retrouver Dave dans l'après-midi dans un hôtel proche. Elle lui donnait l'heure précise ainsi que d'autres instructions. Et elle finissait par « Ne soyez pas en retard et habillez-vous court et sexy ».

J'ai retrouvé Dave à l'hôtel une heure avant que ma femme n'arrive. Nous avons changé toutes les ampoules de la chambre pour avoir un meilleur éclairage, puis je me suis caché dans le placard avec mon caméscope.

J'ai pu entendre Valérie entrer dans la chambre et Dave lui dire qu'elle était une « bonne fille » de s'être aussi bien habillée pour lui. Valérie lui a répondu avec colère. Mais j'ai été surpris d'entendre que sa voix passait de la colère à la soumission. J'ai pensé que j'avais raison, elle était bien prête pour quelque chose de nouveau.

Dave lui a offert un verre pour détendre l'atmosphère, puis il lui a demandé si elle savait pourquoi elle était là. Je n'ai pas été déçu quand je l'ai entendu répondre :

- Je suppose que vous avez aimé ce que vous avez eu l'autre soir et que vous voulez plus.

J'ai commencé à bander et je me suis demandé si j'allais pas jouir de suite. Mais il y avait encore beaucoup à venir. Mon plan fonctionnait.

Dave a donné à ma femme un masque en cuir. Je l'avais acheté moi-même. Il s'agissait d'une capuche en cuir souple comme une casquette qui couvrait les yeux et au-dessus et s'attachait derrière le cou, sous la ligne de cheveux. Les oreilles passaient par des ouvertures sur les côtés et le nez et la bouche étaient complètement exposés. Au début, Valérie a protesté en disant que ce n'était pas nécessaire. Dave l'a alors menacée de lui remettre mes menottes, mais elle a répondu qu'elle les préférerait plutôt que le masque. Alors Dave lui a fait comprendre que c'est lui qui commandait et qui possédait l'original du film. Finalement Valérie a cédé et l'étudiant lui a mis l'objet en cuir. C'est ce que j'attendais.

Je suis sorti du placard et pour la première fois j'ai vu ma femme en esclave sexuelle. Elle était vêtue d'une tenue que je n'avais jamais vu auparavant, pourtant je savais où elle cachait ses jouets. Je dois dire que Valérie est une femme qui fait tourner la tête des hommes sur son passage. 1M62 et 60 kilos, elle a de grandes jambes musclées, un cul merveilleusement rond, une taille fine surmontée d'une poitrine parfaite 95D et des cheveux bruns qui lui tombent aux épaules.

Elle était magnifique dans un large chemisier bleu qui ne semblait pas avoir de boutons. Il rentrait dans une jupe noire très courte dans un genre de tissu extensible comme le lycra. Elle portait à ses pieds des chaussures noires avec des talons de 10 centimètres. Elle porte souvent des talons, mais ceux-ci étaient les plus hauts que j'aie jamais vus sur elle.

J'avais dit à Dave que je voulais juste le filmer avec elle et que je pourrais éventuellement faire des suggestions en cours de route. Et je lui avais dit qu'il pouvait l'utiliser comme il le voulait. De plus, je voulais qu'il commence sa formation de salope soumise. Il devait lui ordonner de faire des choses et lui donner une fessée si elle n'obéissait pas ou si elle n'était pas assez rapide dans l'exécution.

Pendant que j'installais le caméscope sur un trépied, le jeune étudiant a donné son premier ordre. Il a dit à Valérie qu'elle allait se déshabiller devant lui, mais qu'elle allait devoir retirer chaque pièce de vêtements dans l'ordre qu'il exigerait.

Prenant son rôle de Maître à cœur, il lui a dit qu'il n'était pas satisfait de son choix de chemisier et qu'elle devait le retirer en premier. Valérie lui a demandé pourquoi il n'était pas content alors que ses mains sortaient le chemisier de la jupe et qu'elle le retirait. Elle était nue en dessous et ses seins surmontés de mamelons durs et dressés qui montraient son excitation.

- N'est-ce pas assez sexy? A-t-elle demandé.

Dave lui a répondu que c'était sexy mais beaucoup trop ample. J'ai été surpris de la façon dont Dave se débrouillait.

Dave a alors dit à ma femme qu'elle allait être fessée pour chacune de ses erreurs. Je ne crois pas que Val s'était rendu compte qu'il était sérieux quand il a dit qu'elle devait écarter les jambes et se pencher à la taille. Bien qu'elle ait suivi ces instructions, je suis sûr qu'elle a été surprise quand la main du garçon a atterri sur son derrière. Elle a sauté rapidement en avant, mais Dave saisit aussi rapidement ses mains. Alors qu'elle commençait à se plaindre, Dave lui a menotté les mains dans le dos, l'a poussé vers une chaise et l'a penché dessus. Une fois dans cette position, j'ai levé le pouce pour qu'il continue. Dave a donné vingt claques sur les fesses de Valérie avant de lui demander si elle était prête à continuer.

Ma femme a gémi pendant environ une minute avant de lui répondre oui. L'étudiant lui a dit qu'il allait détacher ses mains pour qu'elle continue à se déshabiller devant lui.

Les choses ont rapidement progressé. La soirée s'est terminée avec Dave baisant en levrette Valérie. Auparavant elle avait sucé ma bite jusqu'à ce que j'éjacule sur tout son visage. Tout ce temps elle portait le masque et ne savait pas qui était dans la pièce et encore moins qui participait.

Après que nous sommes satisfaits tous les deux, je suis retourné dans le placard et Dave a enlevé le masque de Valérie. Il lui a dit de s'habiller et de rentrer chez elle. Il a ajouté qu'il la contacterait dans un proche avenir avec des ordres à exécuter. En véritable soumise ma femme n'a rien dit. Elle s'est rapidement habillée puis elle est rentrée à la maison.

Quand je suis arrivé le soir, Valérie a tenu à me faire une fellation. Nous nous sommes mis dans la position 69 et je l'ai doigté jusqu'à l'orgasme pendant qu'elle le suçait.

J'ai demandé à Dave d'attendre environ une semaine avant de faire déposer un gros colis chez nous. Je lui avais fait acheter de nombreux articles. J'avais décidé de pousser ma femme aussi loin que je pouvais l'imaginer.

J'ai dit à Valérie que j'allais être absent deux jours, que je partais jeudi matin pour revenir vendredi soir. Ça laissait à Dave l'après-midi et le soir du jeudi ainsi que le vendredi matin.

Dans le colis il y avait une liste des différentes choses avec l'ordre dans lequel elle devait faire ou porter l'article. De plus il y avait sept notes avec des directives à exécuter.

La première indiquait « 1 -- Teints tes cheveux en blond très clair ». je savais que ça serait difficile à m'expliquer. J'étais curieux de voir ce qu'allait me raconter ma femme.

La seconde disait : « 2 -- Rase-toi la chatte complètement ». Je savais que Valérie n'avait jamais voulu le faire, donc j'étais impatient de savoir si elle le ferait.

La troisième lui demande de s'assurer aussi que ses jambes soient rasées de près et sans poils.

La quatrième lui ordonne de se faire les ongles et qu'elle trouvera un kit complet de faux ongles ainsi qu'une bouteille de vernis rouge vif.

Sur la cinquième est noté : « Tu trouveras un tube de rouge à lèvres rouge vif. Applique le sur tes lèvres et tes mamelons ». Je savais que Val portait rarement du rouge à lèvres et lui faire appliquer à ses mamelons les feraient ressortir sous ses tenues.

Avec la directive numéro 5 il y avait une grande enveloppe qui contenait une cassette vidéo et un petit gode. La note lui disait de regarder la vidéo et qu'elle saurait quoi faire avec le gode. J'avais moi-même choisi le film. On y voyait une femme qui se faisait défoncer par six mecs en même temps. Je savais que Valérie mouillerait. En plus à la fin de la bande, un des hommes enfonce un gode dans le cul de la femme pendant qu'elle en suce un autre. Je savais que ma femme aurait du mal à conduire avec un gode dans le cul, mais ça me plaisait comme idée.

La septième note lui indique qu'elle ne doit porter que ses plus hauts talons avec un imperméable et qu'elle doit rencontrer Dave au bar d'un hôtel du centre-ville à 19h00. Elle doit garer sa voiture dans un endroit où elle pourra rester toute la nuit. La note se termine par : « Ne sois pas en retard ou cette fois tu auras une vraie fessée ». J'avais choisi la chambre d'hôtel avec un balcon qui faisait face à une autre chambre d'hôtel où j'étais avec une paire de jumelles.

Plus tard Dave m'a dit qu'il avait retrouvé ma femme au bar. Il l'avait tiré dans un coin sombre afin qu'elle lui montre le gode dans son cul. Ils ont bu quelques verres et se sont dirigés vers la chambre. Il m'a également raconté qu'elle n'arrêtait pas de lui demander s'il y aurait cinq autres hommes. Bien que Dave lui ait répondu négativement, il lui a également dit qu'il y en aurait peut-être la prochaine fois.Ils sont arrivés dans la chambre vers 20h00. Dave a mis Valérie à l'épreuve. Avec les lumières allumées et les stores ouverts, je pouvais tout voir clairement, comme si j'y étais.

Nous étions assurés que l'hôtel fournisse dans la chambre un magnétoscope et Dave y a inséré une cassette vidéo qu'il avait amenée. Valérie fut surprise de voir un enregistrement de ce qu'ils avaient fait la dernière fois. Lors de la copie, je m'étais assuré que je n'apparaisse pas dans le film.

Ensuite Dave a fait sortir ma femme sur le balcon de la chambre. J'ai regardé Valérie tendre son manteau à Dave et se tenir sur le balcon à la vue de tout le monde. C'était comme si je regardais une autre femme s'exhiber pour moi. Je savais que c'était Valérie ma femme, Mais avec sa chatte rasée et ses cheveux blonds, elle avait l'air différente.

Dave a fermé la fenêtre du balcon et s'est assis sur une chaise. Pendant les quinze minutes suivantes, il fait danser Val devant lui. Il a apporté un grand bloc et il l'utilise pour noter les idées de ce qu'il veut faire faire à ma femme.

Il la fait se presser contre la vitre de la fenêtre. Puis il l'a fait se mettre à quatre pattes et s'enculer avec le gode. Ensuite il l'a fait se pencher sur la balustrade du balcon pour pouvoir lui donner une fessée. Dave m'a même surpris en s'étant préparé et en ayant amené une raquette de ping-pong. Ma femme avait ses beaux seins qui se balançaient dans le vent. Comme elle me faisait face, je pouvais voir les expressions de douleur et plaisir sir son visage alors que la raquette tombait plusieurs fois sur son cul. Enfin Dave lui a dit de se mettre debout, jambes écartées et de se masturber jusqu'à l'orgasme avant qu'elle soit autorisée à revenir à l'intérieur. Pendant ce temps le jeune gars est allé téléphoner. Après avoir terminé, il s'est rassi sur la chaise et a fait des photos avec un appareil polaroid pendant que Valérie se doigtait. Bientôt ma femme a joui.

Donc ensuite Dave a laissé Valérie entrer dans la chambre et il lui a ordonné de se mettre à genoux devant lui alors qu'il s'était assis sur une chaise. Il a sorti une paire de menottes et a attaché les poignets de ma femme derrière son dos. A près qu'il ait débouclé son pantalon, Valérie a dû rapidement se mettre au travail et sucer sa bite. Même à environ soixante dix mètres de distance, avec les jumelles je pouvais voir comme Dave s'amusait avec elle. Il saisissait une poignée de ses cheveux et pompait sa tête de haut en bas sur sa queue. Il n'a pas tardé à gicler son sperme sur son joli visage.

Après avoir fait quelques instantanés de plus, Dave a enlevé les menottes et a demandé à Val d'aller dans la commode chercher quelque chose. Elle a ramené une longue boite étroite, le genre de boite qui contient des fleurs. Ensuite elle s'est remise à genoux devant Dave alors qu'il ouvrait la boite et en sortait un objet. J'ai été probablement aussi surpris que ma femme quand j'ai vu que la boite contenait une cravache. Après avoir parlé pendant quelques minutes, Dave s'est mis en colère, a attrapé Val par le bras et l'a repoussé sur le balcon. Apparemment, ma femme ne voulait pas que Dave utilise la cravache. Il m'a expliqué plus tard qu'il lui avait dit :

- 50 coups de cravache ou je te pousse dans le hall de l'hôtel toute nue.

Il l'a laissé réfléchir pendant quinze minutes sur le balcon puis il l'a laissée entrer.

Dave l'a ensuite mise face à l'extérieur à la fenêtre. Il a mis une chaise entre ses jambes pour qu'elle garde les genoux écartés et il a attaché ses pieds à la chaise. Enfin, il lui a fait poser ses mains à plat sur la vitre de la fenêtre. Cela l'a mise dans une position très penchée. J'avais une vue parfaite sur son visage pendant que Dave lui faisait compter chacun des coups de cravache. Après la trentaine de coups, des larmes coulaient sur le visage de Valérie alors que Dave ne ralentissait pas.

Alors qu'il ne restait que cinq coups, Dave l'a détachée de la chaise puis il l'a tournée. Il a ensuite menotté ses mains dans son dos, puis il l'a montée sur la chaise afin qu'elle soit à genoux, penchée sur le dossier de la chaise. Ainsi elle avait son cul levé dans ma direction.

Tout en souriant dans ma direction, Dave a attrapé le gode encore dans le cul de Valérie et il l'a pompé dans son petit trou avant de lui donner les derniers coups de cravache.

Ensuite il a fait le tour de ma femme pour lui fourrer sa queue dans sa gorge. Bien qu'il lui ait donné les 50 coups promis, il a dû lui en donner 20 de plus avant de se vider les couilles dans sa bouche alors que je regardais son cul se balancer de gauche à droite.

Pour le reste de la soirée, Dave a baisé Valérie dans différents endroits de la pièce et dans des positions que je n'avais jamais vues auparavant. Ce n'est que vers deux heures du matin que Dave a retiré le gode de son cul pour le remplacer par sa bite. Enfin, comme final grandiose, Dave à obligé Valérie à ouvrir la porte complètement nue pour l'employé qui amenait le petit déjeuner. En guise de pourboire, il a eu droit de prendre une des nombreuses photos instantanées qui couvraient le sol de la chambre. Dave avait dû utiliser au moins sept pellicules.

Maintenant que j'avais terminé l'étape deux et transformé Valérie en salope obéissante, tout ce que j'avais à faire était de m'introduire dans son nouveau monde. J'ai alors pris des dispositions pour que Dave vienne voir Valérie chez nous une fois pas semaine. Il l'appelait pour lui dire à quelle heure il serait là, comment elle devait être habillée (ou déshabillée) à son arrivée. Ces séances incluaient toujours la capuche en cuir. Après quelques semaines, Dave a fait une session avec ma femme où il enregistrait tous ses ordres sur une cassette. De cette façon, il pouvait lui apprendre à obéir à quelqu'un sans entendre la voix de cette personne. Logiquement j'ai demandé au garçon de faire des enregistrements pour moi. Je me suis assis et j'ai écrit quatre scénarios que Dave dut enregistrer.

Je n'oublierai jamais la première fois. Je suis entré dans la maison pour retrouver ma femme comme je l'ai toujours voulu. Elle était complètement nue à part la capuche en cuir au milieu du salon sur notre tapis. Ses mains étaient menottées dans son dos. Elle était à genoux, les jambes écartées et penchée de façon que son front touche le sol. Sans parler, je me suis déshabillé, je suis passé derrière elle et j'ai enfoncé ma bite dans sa chatte d'un seul coup.

Nous avons passé un bon moment. J'avais mis un enregistrement en route et elle se comportait comme une esclave bien entraînée.

Avant de repartir pour le travail, je lui ai fait sucer ma bite et lécher mes couilles jusqu'à ce que j'éjacule dans sa bouche. Je l'ai également fait ramper dans la pièce avec un collier et une laisse pendant que je la fessais avec une cuillère en bois de la cuisine. Et pendant tout ce temps, je ne lui ai pas permis de jouir. C'était génial.

Quand je suis rentré à la maison ce soir-là, elle a pratiquement déchiré mes vêtements et elle a sauté sur ma bite de nouveau dure. Pourtant, après avoir joui trois fois cet après-midi, j'ai encore pu assurer.

Nos vies ont continué ainsi pendant environ un an. Puis Dave m'a dit qu'il devait partir. Il avait obtenu son diplôme et avait trouvé un emploi dans une autre ville. Je savais qu'il était inévitable que Dave ne fasse plus partie de nos petits jeux, Mais je ne pensais pas que ce serait si tôt. Donc il était temps pour la dernière étape de mon plan. Je devais surprendre Valérie au milieu d'une session avec le jeune garçon. J'ai donc dit à ma femme que j'allais être en voyage pendant quelques jours pour le travail. Dave m'avait dit qu'il voulait organiser une fête pour quelques-uns de ses amis d'université. Je lui ai dit qu'il pouvait avoir Valérie comme divertissement.

Un jeudi matin, j'ai embrassé ma femme et je lui ai dit que je partais pour l'aéroport. En vérité, j'avais pris quelques jours de congé et je partais chercher les fournitures dont on avait besoin pour les festivités de la nuit. Au début, ça pouvait sembler étrange que je paie pour la fête de Dave, mais c'était ma façon de le remercier pour toute son aide. J'avais loué une grande suite dans un hôtel local. Il y avait deux chambres avec un salon entre les deux. Il y avait aussi une pièce attenante où je me suis installé.

Il était environ 16 heures quand Dave est arrivé. Il m'a dit que ses amis seraient là vers 20 heures. Il m'a dit aussi qu'il avait déposé un paquet pour Valérie qui contenait sa tenue pour la soirée. Il lui avait laissé un message pour lui dire qu'elle devait le rejoindre à l'hôtel pour le dîner. Il lui avait caché qu'elle serait le centre de la fête.

Dave m'a également dit que même si nous avions prévu environ six à huit autres gars, il y en aurait plus de vingt. Il leur avait dit que j'étais le directeur de l'hôtel et que je voulais voir une partie du spectacle.

Je suis tombé de nouveau amoureux quand j'ai vu Val entrer dans le hall de l'hôtel. Je n'en croyais pas mes yeux. Quand elle a pénétré dans le hall toutes les têtes se sont tournées vers elle. Elle était habillée comme l'une de ces jeunes filles qui aident les infirmières et les médecins à l'hôpital. Mais tous les gens qui étaient dans le hall se doutaient pourquoi elle était là. Son uniforme était d'environ deux tailles trop petites et il était si court que l'on pouvait voir le haut de ses bas blancs quand elle marchait. Ses cheveux étaient coiffés en chignon et son maquillage était sexy et lumineux, lourd de fard à paupière et de rouge à lèvres.

Après un dîner rapide, Dave a ramené Val dans la suite. Il lui a fait mettre le masque comme d'habitude. Puis je suis entré dans la pièce et j'ai eu une fellation de première classe. J'ai regardé ma femme me sucer la bite avec enthousiasme et avaler mon sperme. Mais je pensais qu'elle n'aurait pas fait autant d'efforts si elle avait su combien d'autres hommes étaient en route.

Ensuite Dave a demandé à ma femme de se mettre à quatre pattes. J'ai remarqué alors qu'elle ne portait rien sous sa tenue. Il lui a dit que pour la première fois elle allait rendre service à quelques amis, mais d'abord il allait lui donner une bonne fessée. Il lui a dit que ça serait la plus longue fessée qu'elle a jamais eue. Mais il a jouté qu'il lui en donnerait une deux fois plus longtemps et trois fois plus forte si elle ne faisait pas tous ce que ses amis lui demandaient.

Immédiatement Valérie a proposé de faire tous ce que les amis de Dave demanderaient sans même savoir combien ils étaient. Elle parlait toujours lorsque la ceinture du garçon a atterri sur son cul pour la première fois. Pendant l'heure suivante, Dave a fouetté son cul jusqu'à ce qu'il soit rouge et blanc comme sa tenue. Elle tenait un oreiller près de son visage et pleurait quand il a finalement fini.

Dave est part à côté pour saluer ses amis et leur offrir à boire pendant que je restais avec Valérie. J'en ai profité pour la prendre par-derrière. C'était génial. Et avant que je jouisse, elle pressait son cul contre moi. La chaleur de ses fesses fraîchement punie combinée à sa volonté de participer en tant qu'esclave sexuelle m'ont fait jouir en un rien de temps.

Je ne peux pas dire ce qu'elle a fait cette nuit-là et la journée suivante. Cependant je peux dire que tous les gars sauf deux l'ont baisée d'une manière ou l'autre, et la plupart plus d'une fois. Dave l'avait fait arrivé à la fête avec la capuche en cuir. Il avait fait taire les gars pendant qu'elle se déshabillait et l'avait présenté comme une poupée gonflable pour tout le groupe. Puis il lui avait enlevé le masque et elle avait sursauté devant le nombre d'hommes. Malheureusement, c'est à ce moment que j'ai dû partir.

Le reste de la soirée a dû être assez difficile pour Valérie, mais Dave m'a dit plus tard qu'elle avait dû jouir une dizaine de fois.

Le vendredi, vers 15 heures, Dave a finalement ramené a femme à la maison. Je ne sais pas comment il l'a fait sortir de l'hôtel, mais elle est arrivée à la maison seulement vêtue d'un collier et d'une laisse de chien. Dave l'a tirée jusque dans notre garage attenant à la maison et il l'a fait ramper à quatre pattes jusque dans le salon. C'est là qu'elle m'a vu. Dave et moi avons eu une fausse dispute, et il est parti en laissant derrière lui une grande boite contenant vidéos et jouets sexuels.

Valérie s'est agenouillée sur le sol en pleurant quand j'ai commencé à lui dire que j'allais la quitter. Je lui ai alors demandé si elle avait aimé la façon dont elle avait été traitée. Avant qu'elle ne puisse répondre, j'ai pris une des cassettes sur laquelle je savais que Dave avait été très dur avec elle et je l'ai inséré dans le magnétoscope. Ma femme a regardé les images et a dit :

- Oui, je suppose que oui. J'ai besoin d'être dominée. Je ne me suis jamais sentie aussi excitée sexuellement de toute ma vie.

Le film passait une scène dans laquelle elle était fessée par Dave alors qu'elle suçait une personne inconnue. Quand je lui ai demandé si elle voulait que je la traite de cette façon, je l'ai regardé fixement. Contusionnée et couverte de sperme, elle a baissé la tête et elle a simplement répondu :

- Oui Monsieur.

Ensuite notre vie a été une série d'aventures. Il était rare que Valérie baise d'autres hommes. Pourtant de temps en temps je l'utilisais comme récompense. Je l'emmène maintenant avec moi lors de tous mes déplacements hors de la maison. Et sur la route je peux vraiment pousser ses limites.

FIN.

vendredi 23 octobre 2020

Bourgeoises hautaines rééduquées Ch. 02

 Ecrit en collaboration avec Verdu.

Prise en Main

Didier :

Le vendredi, je me prépare pour l’apéritif chez les nouveaux voisins. Je me fais beau et envoûtant avant d’aller sonner à leur porte. C’est le mari qui m’ouvre :

— Bonjour, cher voisin, je suis François de Villaret. Veuillez entrer ! Vous m’excuserez, mais j’ai appris depuis peu que vous veniez prendre l’apéritif. Ma femme avait oublié de me le dire. Entrez, Monsieur… ?

— Didier ! Appelez-moi Didier ça sera plus simple !

— Très bien Didier, donc appelez-moi François. Vous avez raison, ne faisons pas de manières. Entrez dans le salon !

Je pénètre chez mes voisins et suis le mari jusqu’au salon richement meublé. Un grand ensemble de trois canapés trône au milieu.

— Les enfants, venez dire bonjour à Monsieur, puis vous irez dans vos chambres.

Les mômes viennent me saluer et je me force à leur répondre en souriant. Je n’aime pas les gosses et je n’en ai pas, du moins je n’en ai pas la connaissance. Puis je vois la mère entrer dans le salon. Elle est habillée d’un chemisier blanc sous lequel on devine le soutien-gorge qui retient sa belle poitrine. Elle porte une jupe serrée qui lui arrive aux genoux et des talons hauts.

— Bonjour Monsieur ! dit-elle en me tendant la main.

Je lui prends et la garde quelques secondes de trop en la regardant droit dans les yeux.

— Bonjour, Madame, vous êtes élégante.

Je la vois rougir avant de retirer sa main. Son mari ne s’est aperçu de rien. Il est dans un buffet en train de sortir des bouteilles. Sa femme dit alors :

— Attends François, je vais t’aider !

Je la sens un peu gênée. Quand elle se tourne pour rejoindre son mari, je fixe son cul bien bombé sous la jupe serrée. Quel manque de goût ! Me dis-je en voyant les contours de sa culotte.

J’ai bien l’impression de troubler ma voisine. Bizarre, une femme si arrogante et si hautaine cacherait-elle un mal-être. Je crois Albert quand il m’a dit que son mari ne la baisait plus depuis longtemps. De toute façon il est tellement insignifiant. Il s’installe dans un canapé et commence à pianoter son téléphone comme si je n’étais pas là. Sa femme est partie à la cuisine pour aller chercher des amuse-gueule. J’ai drôlement envie de gifler son mari pour le faire réagir.

Bientôt ma voisine revient avec un plateau. Elle le dépose devant moi en m’offrant une superbe vue sur son décolleté et sa magnifique poitrine. Est-ce volontaire ? En tout cas je ne me gêne pas pour regarder. Elle s’assoit en face de moi et maintenant c’est une vue bien dégagée sur sa culotte qui m’est offerte. De plus elle rougit donc elle sait bien ce qu’elle vient de faire. Généralement quand une femme me montre ses atouts, je ne lui laisse pas le temps de réfléchir et elle fait bientôt partie de mon harem.

Le mari se réveille et écarte son téléphone pour porter un Toast. Nous trinquons et discutons. Je leur parle un peu de moi pour amorcer les confidences. Je vois que le mari est impressionné. Le couple me parle alors de leurs affaires, mais je suis déjà au courant grâce à Alfred.

Soudain un enfant appelle en pleurs. Ma voisine ne sachant trop que faire, je lui dis d’aller voir son môme. C’est l’occasion pour moi d’être un peu seul avec elle. Je prétexte de vouloir visiter leur appartement pour l’accompagner. Le mari reste fixé sur son téléphone. Je suis la maîtresse de maison dans l’escalier en colimaçon qui monte à l’étage. J’ai presque le nez sur la croupe féminine. Je vois bien le contour de sa culotte sous la jupe. Quelle abomination !

Je laisse Charlotte calmer sa gamine et j’attends qu’elle sorte de la chambre d’enfant. Quand elle se retrouve devant moi, je prends ma voix charmeuse et je dis :

— Charlotte, tu es une femme élégante, mais tu as fait une faute de goût dans ta tenue…

Elle a l’air ébahie et un petit peu en colère que je lui parle ainsi. Mais je continue :

— En effet ! Avec une jupe pareille, on ne met pas de culotte, à la limite un string ! Retire-moi cette culotte immédiatement !

J’ai pris mon ton le plus autoritaire, celui qui fait frémir la gent féminine. Peu de femmes ont résisté à ce ton de commandement. Mais elle résiste et bafouille. Puis je la vois se tourner pour m’obéir. Elle ne veut pas que je voie sa honte. J’ai gagné, je sais que je la tiens. Je la prends par le bras et lui dis :

— Non ! Face à moi ! Regarde-moi et soulève ta jupe !

Je veux que l’humiliation de cette femme arrogante soit totale. Rouge de confusion, elle soulève sa jupe pour me dévoiler une culotte fleurie.

— J’attends ! dis-je pour enfoncer le clou.

Elle tremble, mais elle enlève sa culotte. Je peux voir son intimité et la touffe de poils roux qui couvre sa chatte. Que c’est laid ! J’ai l’impression qu’elle ne s’entretient plus, il faut dire que si son mari ne s’intéresse plus à elle je la comprends. Mais il faudra que je remédie à ça. Je tends la main et ordonne :

— Donne !

Elle me tend sa culotte que je porte à mon nez pour la sentir avant de la mettre dans ma poche. Elle veut réajuster sa jupe, mais je lui interdis. Je lui demande alors de me faire visiter la maison dans cette tenue. Je la suis dans l’appartement alors que sa jupe est retroussée à sa taille. Son joli cul bombé se balance sous mes yeux. J’ai une trique d’enfer. S’il n’y avait pas ses enfants et son mari, je la plierais en deux et l’épinglerais rapidement.

À la fin de la visite, alors que nous devons redescendre les escaliers, je vois son regard suppliant. C’est bien, je vois qu’elle devient soumise et attend ma permission pour descendre sa jupe. Je lui autorise tout en lui ordonnant de garder les jambes écartées quand elle est assise.

Elle acquiesce et me souffle même un merci. Elle est à moi, je le sais ! La femme directrice de société, bourgeoise dans l’âme, arrogante, snob, hautaine est à ma botte. Mon charisme et mon autorité ont eu raison d’elle. Je commence déjà à m’imaginer comme je vais m’amuser avec celle belle femme mature.

Nous descendons et trouvons le mari affairé. Il doit partir à l’étranger pour le week-end, un problème dans une usine, je crois. Très bien ça m’arrange. Pour ne pas éveiller de soupçon si je restais, je prends congé du couple en disant au mari :

— Ne vous inquiétez pas, je prendrais soin de votre charmante épouse.

J’ai un sourire vicieux en direction de sa femme et je sors de leur appartement. Mais j’ai un gros problème, je bande comme un âne. Il ne me reste plus qu’une chose à faire. Je rentre chez moi et j’appelle la petite étudiante Rachel. Cinq minutes plus tard, elle frappe à la porte.

— Entre ! Crié-je.

Timide elle franchit la porte. Elle est habillée comme je lui ai ordonné quand elle marche dans l’immeuble : une jupe d’écolière écossaise vraiment très courte, on peut voir la rondeur de son cul qui dépasse, ainsi qu’un haut serré qui moule bien sa grosse poitrine. Elle reste debout au milieu du salon en attendant mes ordres.

Je suis assis sur le canapé et je la regarde. Puis je lui dis :

— Je te remercie du service que tu m’as rendu avec l’ami d’Albert. Raconte-moi comment ça s’est passé !

— Oui Monsieur. J’ai accompagné Monsieur Albert chez son ami sénégalais, un grand noir effiloché. Monsieur Albert a dit quelques mots au creux de l’oreille de son ami alors que j’attendais sans rien dire. Son ami m’a ordonné de me déshabiller, puis il est passé derrière moi et a saisi mes gros seins à pleines mains. Il les a tripotés et tordus à me faire mal. Mais je n’ai pas protesté, Monsieur ! Dit-elle soudainement effrayée.

Elle a eu peur que je la gronde. Avant qu’elle continue son histoire, je sors mon sexe et commence à me branler.

— Vas-y ! Continue !

— Ensuite il a sorti son sexe qui était vraiment très gros et il s’est caressé en me demandant de me mettre à quatre pattes. Quelques minutes après, il m’a pénétré et il m’a baisé pendant longtemps.

— Est-ce que tu as joui ?

— Je suis désolée, Monsieur, je n’avais peut-être pas l’autorisation, mais j’ai eu deux orgasmes. Il était si gros Monsieur, il me remplissait complètement, je ne pouvais pas me retenir.

Elle est encore effrayée. C’est vrai que je lui avais dit qu’elle n’avait pas le droit de jouir sans ma permission. Il faut que je rectifie les choses.

— Ne t’inquiète pas ! S’il s’agit d’un homme chez lequel je t’ai envoyé, tu as le droit de jouir.

Je la vois souffler de soulagement. Je lui demande :

— je suppose qu’il s’est soulagé ! Où ? Dans ta bouche ou dans ta chatte ?

— Dans ma chatte Monsieur ! Il m’a agrippé les seins, a donné un dernier coup de reins pour bien enfoncer sa bite en moi et il a éjaculé.

— Bon ! Tu prends toujours la pilule que mon médecin t’a prescrite ?

— Oui Monsieur.

— Bien, il ne faudrait pas que tu tombes enceinte et que tu loupes tes études. Tu te vois ramener un enfant noir chez toi ?

Elle écarquille les yeux. Je sais que ses parents sont pauvres et se saignent pour les études de Rachel, donc elle a à cœur de les rendre fiers.

— Tes parents sont contents de ton travail ?

— Oui Monsieur ! Grâce à vous je peux étudier sans avoir à chercher un petit boulot. Je vous remercie beaucoup Monsieur.

— Alors, viens là et remercie-moi d’une autre façon avec ta bouche !

Elle avance vers moi et se met à genoux. Elle avale ma bite et s’applique à me faire une bonne fellation. Elle garde les mains dans le dos comme une bonne soumise. Après cinq minutes, je pose mes mains sur sa tête pour appuyer dessus. Mon gland touche le fond de sa gorge. Rachel se retient de se débattre. Je me vide alors dans sa bouche, puis je retire ma bite. Rachel me montre sa bouche pleine de sperme avant d’avaler et de tirer la langue pour me le montrer. Je hoche la tête et elle se met à lécher ma bite pour la rendre bien propre. Je lui demande alors :

— Tu fais quoi demain soir ?

— Rien Monsieur, j’étudie !

— Très bien ! Tu étudieras chez Madame de Villaret et tu garderas ses enfants. Présente-toi chez elle à vingt heures ! Tu peux disposer.

— Bien Monsieur !

Rachel sort de mon appartement et je vais prendre une douche avant de me poser devant la télévision et réfléchir à ce que je vais faire à ma voisine le lendemain.

Le matin je me lève tôt pour aller donner un papier à Albert. Je lui dis de le remettre impérativement à Charlotte dans la journée. Il est écrit : « Ce soir, une étudiante qui habite dans un de mes studios viendra à vingt heures faire du baby-sitting chez toi. Je veux que tu me rejoignes un quart d’heure plus tard. Je veux que tu t’habilles en bourgeoise sexy. Ça veut dire sous-vêtements en dentelle, chemisier et jupe classe, porte-jarretelles, bas et talons hauts. Ne sois pas en retard »

Je ne peux m’empêcher d’avoir des doutes. Peut-être va-t-elle se reprendre et décliner l’invitation. « Mais non Didier, sois sûr de ton pouvoir de séduction sur les femmes, elle va accourir » me dis-je.

Je passe ma journée à régler certaines affaires en attendant avec impatience la soirée.

À vingt heures dix, je suis sur mon canapé, détendu et j’attends. À vingt heures quinze, on frappe à ma porte. Je me lève et vais ouvrir. Comme je m’y attendais, Charlotte est sur mon palier. Je l’invite du geste à entrer. Elle avance et je lui désigne le salon. Elle y entre et fait mine de s’asseoir sur le canapé.

— Qui t’a autorisé à t’asseoir ? dis-je avec mon ton autoritaire.

Elle sursaute et se remet debout très vite. J’ordonne alors :

— Debout au milieu du salon, les bras sur les côtés.

Elle obéit l’air un peu effrayé. Est-ce qu’elle se demande ce qu’elle fait ici ? Je tourne lentement autour d’elle pour la détailler. Je sens qu’elle est mal à l’aise. Elle s’est bien habillée comme j’avais demandé. Passant derrière elle je soulève sa jupe et je vois effectivement qu’elle porte des bas avec un porte-jarretelles et une belle petite culotte en dentelle. Je me replace devant elle et je déboutonne deux boutons de son chemisier pour découvrir un soutien-gorge assorti qui retient sa poitrine que j’avais devinée imposante. Je vois qu’elle commence à trembler donc je retourne m’asseoir sur mon canapé en face d’elle et je dis :

— Je crois Charlotte que tu as besoin d’être dressée et je vais m’en charger. Tout d’abord tu vas te déshabiller en ne gardant que le porte-jarretelles, les bas et les talons. Tout le reste doit être en tas par terre.

Je la vois hésiter, mais elle met ses mains sur son chemisier et le déboutonne lentement avant de le retirer et le laisser tomber par terre. Puis elle baisse la fermeture de sa jupe qui rejoint bientôt le chemisier. Elle me regarde en se disant peut-être que ça suffit. Mais je la fixe dans les yeux sans rien dire. Alors elle se baisse et dégrafe le porte-jarretelles de ses bas pour pouvoir baisser sa culotte qui rejoint ses autres vêtements. Elle rattache le porte-jarretelles en essayant de garder une main devant sa touffe rousse. Je souris devant cette pudeur inappropriée, mais je la laisse continuer. D’une main elle dégrafe son soutien-gorge, l’enlève et le jette sur le tas à ses pieds. Rapidement elle remet un bras et sa main devant sa poitrine. Elle me fait penser au tableau « La naissance de Vénus » bien que Charlotte soit un peu plus plantureuse que la femme de cette peinture. Je décide alors qu’il est temps que j’intervienne :

— C’EST QUOI ÇA ? JAMBES ÉCARTÉES, LES MAINS SUR LA TÊTE, DOIGTS CROISES ! Crié-je.

Elle sursaute et je vois la peur dans ses yeux. Toutefois elle obéit très vite et prend la position. Il est temps de passer au jeu des questions. C’est à ce moment que l’humiliation et la dégradation de la femme en font une soumise parfaite. Elle est obligée de me répondre et comme il s’agit de questions intimes c’est tout à fait gênant.

— Je vais te poser des questions et je tiens à ce que tu répondes clairement sans mentir. Depuis quand n’as-tu pas baisé ?

— … Presque… Presque un an Didier… répond-elle en rougissant.

— Attends, ce n’est plus Didier, mais Monsieur maintenant, compris ?

— oui Did… Oui Monsieur.

— Bien ! Ta chatte doit être remplie de toiles d’araignée non ! Mais ce n’est pas une question.

Je cherche à l’humilier le plus possible afin qu’elle soit bien malléable par la suite.

— Qui est le dernier à t’avoir baisée ?

— Mon mari monsieur !

— Et il te baise comment ?

— Classiquement Monsieur ! Dans la position du missionnaire !

— Et tu as joui ?

— Non, Monsieur !

— Quand as-tu joui pour la dernière fois ?

— Euhh… Hier soir Monsieur ! Dit-elle vraiment gênée.

— Et comment as-tu fait ? Ton mari est parti non ?

— Euhhh… je me suis caressée et doigtée Monsieur.

— Quelle petite cochonne ! La dirigeante d’entreprise se doigte chez elle quand elle est toute seule ! Sais-tu sucer ?

— Un peu, mais je n’ai pas pratiqué beaucoup Monsieur ! Répond-elle en rougissant encore plus de ma remarque précédente

— Ça s’apprend ! As-tu déjà été enculée ?

— Non jamais Monsieur. Répond-elle d’un air dégoûté.

— On va y remédier.

Je la vois pâlir, mais je continue :

— As-tu déjà été baisée par plusieurs hommes ?

— Non jamais Monsieur !

— Il faudra y remédier aussi.

Puis je finis par la question cruciale :

— Prends-tu la pilule ?

— Non, Monsieur Didier. J'ai un stérilet...

— Je veux que tu prennes la pilule, tu iras chez le docteur Pierre Richet pour qu'il te le retire et te prescrive la pilule.

— Oui Monsieur Didier...

Je me réjouis de son air effrayé et de son rougissement qui ressort bien sur sa peau blanche de rousse. Je me lève alors du canapé et m’approche d’elle. J’approche mon visage très près du sien et je lui dis :

— Je ne veux pas que tu bouges !

Je descends ma main sur sa chatte, prends ses poils pubiens à pleine poignée et tire violemment dessus.

— AIE ! AIE ! AIE ! crie-t-elle en essayant de rester immobile.

— C’est vraiment trop touffu ici, une vraie forêt vierge, tu m’enlèveras tout ça, compris ?

— Oui Monsieur ! répond-elle en essayant de reprendre son souffle après cette douleur subite.

Je passe derrière elle et commence à palper son cul. Toujours dans l’idée de l’humilier au maximum je dis :

— Quel gros cul ! Un vrai cul de grosse vache, tu ne penses pas ?

— Oui Monsieur !

Je repasse devant elle et m’occupe maintenant de sa poitrine. Je soupèse ses seins, les tripote. Je pince ses tétons et je les tords. Je la vois grimacer sans se plaindre. Soudain je donne une claque sur chaque sein. Charlotte a le souffle coupé et pousse un cri, mais elle garde la position. Le contour de ma main s’imprime en rouge sur chacun de ses seins.

— Bien, tu sais obéir !

Ma main redescend sur sa toison pubienne tandis que je la regarde dans les yeux, je vois s’afficher de la peur, elle craint que je tire encore violemment dessus. Mais mes doigts se glissent jusqu’à ses petites lèvres que j’écarte. Je m’aperçois qu’elle mouille et abondamment. Elle est excitée. Je glisse facilement deux doigts dans son antre et je les retire recouvert de son jus. Je les monte jusqu’à son visage et dis :

— Tu mouilles Charlotte ! Ça te plaît ce traitement ?

— …

Elle n’ose pas répondre.

— Je ne répéterai pas ma question !

— Euhhh … Oui Monsieur ! dit-elle d’une petite voix.

— Ouvre la bouche !

Elle obéit et je mets mes doigts dans sa bouche. Je les essuie sur sa langue et les enfonce plus loin. Elle écarquille les yeux. Ce n’est sûrement pas quelque chose à laquelle elle est habituée.

— Nettoie mes doigts !

Elle essaie tant bien que mal de bouger sa langue autour de mes doigts, mais ça ne suffit pas, alors elle ferme la bouche, aspire et avale son jus.

Je sors mes doigts et je redescends ma main sur sa chatte. J’introduis maintenant trois doigts dans son sexe et je commence un va-et-vient. Je me débrouille pour que mon pouce vienne frotter son clitoris. Je vois que la respiration de Charlotte devient saccadée, alors j’accélère mon mouvement. Je lui branle la chatte et après un moment je vois ses yeux rouler dans sa tête. Elle pousse un long gémissement alors que ses genoux flanchent. Je la retiens debout jusqu’à ce qu’elle reprenne ses esprits.

— Une bonne petite salope ! Tiens, lèche ma main !

Elle obéit et se délecte de sa cyprine. Je retourne m’asseoir sur le canapé. Je lui ordonne alors de s’approcher de moi à quatre pattes. Elle s’agenouille et avance vers moi. Ses seins pendent et se balancent sous elle à chaque pas. Arrivée devant moi elle s’arrête.

— Bon je veux que tu me masturbes et que tu recueilles mon sperme dans tes mains. Ensuite tu le mettras dans ta bouche et tu me montreras, puis tu l’avaleras. Je veux te voir tirer la langue et me montrer ta bouche vide.

Elle ouvre mon pantalon, sort ma bite déjà raide et commence à la caresser, puis elle me branle en s’appliquant le plus possible. Comme je suis bien excitée par cette séance, et regardant Charlotte, cette belle rousse plantureuse à ma merci, il ne faut pas longtemps avant que j’éjacule. Mon foutre sort en jets de ma bite et Charlotte a bien du mal à tout récupérer. Il lui en tombe même sur le nez. Elle lèche ses mains et me montre mon sperme dans sa bouche. Puis elle avale avec une petite grimace et me montre que sa bouche est vide.

— Bien ! Casse-toi maintenant ! dis-je durement.

Mon ton sec la surprend, mais elle se lève, rejoint le tas de ses vêtements et commence à s’habiller.

— Sors de chez moi ! Va te rhabiller ailleurs !

Après qu’elle ait fermé la porte, ses vêtements dans ses bras, je rigole en pensant qu’elle se retrouve nue sur mon palier, complètement humiliée. La femme d’affaires, la bourgeoise arrogante se retrouve sur mon palier à poil, c’est hilarant.

******

Charlotte :

Je suis agréablement surprise par la réponse de mon voisin. Jusqu’à présent, il me semblait si distant, mais je perçois bien qu’il ne semble pas m’apprécier.

Dans l’appartement, je vérifie rapidement les devoirs des enfants. Décidément, il va vraiment falloir que nous leur trouvions une école digne de ce nom. Il faudra que je me renseigne sur les écoles privées des environs.

Je prépare rapidement le repas du soir pour que tout soit prêt quand François arrivera. Avec ses horaires à rallonge, il va encore manquer le coucher des enfants.

François arrive enfin. Je viens juste de finir de les coucher et je profite d’un peu de calme en regardant une émission sans grand intérêt à la télé.

— Le repas est prêt... lui dis-je.

— Heureusement, je l’entends grommeler. J’ai passé une journée épouvantable. Ces Russes sont absolument abominables. J’avais déjà du mal avec les Américains, mais alors les Russes...

—Je sais mon chéri. J'en ai aussi dans ma clientèle. Mais ils ont de l’argent, tout comme les Chinois et les Arabes...

— Mouais...

Je me lève pour me rapprocher de lui. Il me fait un bisou furtif au coin des lèvres avant de s’installer à table.

Il attrape la télécommande et passe sur une chaîne d’information en continu, plus absorbé par les paroles des journalistes que par ce que je lui raconte sur les enfants.

— Au fait ! J’ai croisé le voisin en rentrant... Je lui ai proposé de venir prendre l’apéritif vendredi soir. Tu ne rentreras pas trop tard...

— Oui... Oui...

Je comprends bien qu’il n'a pas vraiment écouté ce que je viens de lui dire. À la fin du repas, je le laisse débarrasser et finir de ranger avant de prendre une douche et d’enfiler mon pyjama. Je reste nue sous mon pyjama court, mais je sais bien que François ne me touchera pas encore cette nuit.

La semaine se passe sans grand évènement, j’ai juste été troublé par la réception d’une relance de facture qu’il me semblait avoir payée. Encore une fois, une preuve de l’incompétence d'Adeline. Il faudra peut-être que je pense à m’en débarrasser.

Tous les matins, nous croisons Albert qui astique le hall d’entrée. Thomas et Clothilde ont pris l’habitude de l’embrasser. Cela me gêne un peu, mais je les laisse faire. Je le salue en souriant. Je suis presque certaine que lors je lui tourne le dos, ses yeux sont fixés sur mes fesses. Mais après tout, pourquoi le priver de ce plaisir.

Le vendredi matin, je rappelle à François notre invité de ce soir. Bien évidemment, il avait oublié. Mais il me promet d’être à l’heure.

Je suis encore dans la cuisine où je viens de faire manger les enfants quand on sonne à la porte. C’est notre voisin. Je demande à François d’aller ouvrir, et je les entends se saluer. Quand j’arrive dans le salon, les enfants ont obéi pour une fois et ils sont montés dans leurs chambres.

Je rougis quand Didier me félicite pour ma tenue et me tient longuement la main. Par réflexe, j’ai retenu un mouvement vers lui pour lui faire la bise. Mais dans mon dos, je réalise que François est encore perdu devant le bar. En me penchant pour attraper les bouteilles, je ne peux m’empêcher de le trouver mon voisin bel homme dans son costume et sa lavallière. Qui porte encore ce genre d’accessoire de nos jours ? Il n’y a pas à dire, François ne lui arrive pas à la cheville.

Je sers les verres et invite notre invité à s’asseoir pendant que je vais chercher de quoi grignoter à la cuisine.

— Excusez-moi ! Ce ne sont que des surgelés que j’ai réchauffés, mais vous savez ce que c’est quand on travaille... On n’a pas le temps à perdre à faire de la grande cuisine.

Comme à son habitude François s’est installé dans le canapé du fond, il ne me reste plus que celui qui fait face à Didier. Je pose le plateau sur la table basse, en me penchant un peu sous son regard. Je suis certaine qu’il regarde dans mon décolleté. Au lieu de me mettre en colère, cela me flatte.

Une fois assise, je réalise mon erreur. Tel que je suis installée, j’offre une vue plongeante sur ma culotte sous ma jupe à Didier. À son sourire, je comprends qu’il a vu. Je baisse les yeux en rougissant. Il serait malvenu de changer de place.

— À notre rencontre ! Lance François en levant nos verres.

Nous trinquons et nous commençons à parler. Didier nous apprend qu’il possède la quasi-totalité de l’immeuble. Au premier étage vivent deux couples de personnes âgées. Et Albert habite dans la loge du rez-de-chaussée. J’apprends qu’il loue six chambres de bonne à des étudiants, et qu’il est à la tête d’une fortune considérable.

François est impressionné et lui parle de son métier, de ses affaires, des projets de son entreprise. Je lui raconte mon expérience professionnelle et comment j’ai peu à peu réussi à faire mon trou dans le secteur du voyage.

C’est alors qu’un de nos enfants appelle.

— Sûrement un cauchemar, dis-je.

— Vous devriez aller voir, me dit Didier. Et si cela ne vous gêne pas, accepteriez-vous de me faire visiter rapidement ? Je savais que les anciens propriétaires avaient fait réaménager pour faire ce duplex, mais je ne l’ai jamais vu fini.

— Non ! Bien sûr vous pouvez venir avec moi.

— Oui ! dit François, sans lever les yeux de son téléphone.

J’invite Didier à me suivre. Il est tout près de moi quand je monte l’escalier en colimaçon qui permet l’accès à l’étage. C’est tout juste si je ne sens pas son visage contre mes fesses.

Je calme Clothilde qui avait effectivement fait un cauchemar. Après un câlin et un bisou, elle se rendort.

Je sors de la chambre de ma fille et me prépare à continuer la visite quand Didier me toise et me fixe.

— Charlotte, tu es une femme élégante, mais tu as fait une faute de goût dans ta tenue...

Je le regarde stupéfaite, pour qui se prend-il pour me tutoyer ainsi ? Mais je ne veux pas faire de scandale, surtout avec les enfants qui dorment à côté et je me contente de serrer les dents.

— En effet ! Avec une jupe pareille, on ne met pas de culotte, à la limite un string ! Retire-moi cette culotte immédiatement !

— Mais...

— Il n’y a pas de "mais" qui tiennent. Veux-tu que j’appelle ton mari pour lui demander ce qu’il en pense ?

— Non... Non... dis-je en bafouillant.

Je commence à me tourner pour lui obéir, affolée, effrayée. Mais, il me retient par le bras.

— Non ! Face à moi ! Regarde-moi et soulève ta jupe !

Rouge de confusion, je retrousse lentement ma jupe, je lui dévoile alors une culotte de coton blanc avec des fleurs.

— J'attends ! dit-il.

En tremblant, je fais glisser ma culotte sur mes cuisses. Il peut voir mon intimité, ma toison rousse, je n’ai jamais eu aussi honte de ma vie. Sans un mot, il me tend la main.

— Donne !

Je lui tends ma culotte. Il la prend et la porte à son nez avant de la glisser dans sa poche. Je veux rajuster ma jupe, mais il m’en empêche.

— Fais-moi visiter comme cela... et prends ton temps !

Je le précède dans le couloir et lui indique la chambre de Thomas qui dort, je lui ouvre notre suite parentale. Il me demande à voir la salle de bain. Je finis par la chambre d’ami. J’essaye de rester naturelle en lui disant.

— Elle peut aussi servir pour la baby-sitter quand nous sortons le soir. Comme cela elle peut rester dormir ici et elle n’a pas besoin de rentrer chez elle, tard dans la nuit, mais nous n’en avons pas encore trouvé.

Il opine du chef sans me parler. Je me prépare à retourner vers le salon. Arrivée en haut des escaliers, je le regarde implorante. Je ne peux pas descendre avec la jupe remontée, la chatte et le cul à l’air.

— Tu peux baisser ta jupe ! Mais assise, tu gardes tes genoux écartés...

— Oui ! dis-je en soufflant.

Je chuchote même un “Merci !”

Quand nous arrivons au salon. François fait les cent pas au téléphone. Il est énervé. Il raccroche et nous regarde.

— Ma chérie, il y a un problème sur un site de production. Il me faut absolument partir. Je ne sais pas quand je pourrais rentrer du week-end.

Il regarde Didier en s’excusant.

— Apparemment, il y a eu une explosion, on ignore si c’est un accident ou autre chose.

— Je comprends ! dit Didier. Ne vous inquiétez pas, je prendrais soin de votre charmante épouse.

Mon voisin me fixe et il se dirige vers la porte. Il a toujours ma culotte dans sa poche.

— À bientôt !

Je regarde mon mari.

— C’est quoi cette histoire d’explosion ?

— Regarde la télé, ça fait le tour des chaînes d’infos... Un taxi m’attend en bas pour m’emmener à l’aéroport. Je prépare mes affaires et j’y vais.

En effet, je découvre les images de la catastrophe. François m’embrasse en partant et je me retrouve seule.

Choquée par ce que je viens de subir avec Didier, je n’arrive pas à trouver le sommeil.

A deux heures du matin, je n'arrive toujours pas à dormir. Je décide alors de faire ce que j'ai trouvé de mieux pour m'endormir, me caresser et jouir. Je glisse mes doigts entre mes cuisses et je commence à jouer avec mon clitoris. Je remue dans le lit, je peux me permettre de le faire, seule dans ce grand lit. Rapidement, j'atteins l'orgasme et je jouis en silence. Je maîtrise cela parfaitement, car il m'arrive régulièrement de faire cela, lorsque je me sens en manque et que François n'a pas daigné m'honorer. Immobile, silencieuse dans le lit, je me fais jouir à côté de mon homme endormi.

Je suis réveillée par Clothilde qui grimpe dans mon lit.

— Maman ! J'ai faim…

— Oui ma chérie, je vais te préparer ton chocolat…

Reprendre mon rôle de mère me permet d'oublier l'humiliation subie hier soir avec Didier. Quelle audace ! Oser faire cela sous les yeux de mon mari ou presque… me dis-je. Mais en même temps, je n'ai rien fait pour l'en empêcher. Il faut reconnaître que son regard, sa voix m'ont conquise. Je dirais même séduite. L'autorité naturelle qui se dégage de cet homme est incomparable. C'est un homme, un vrai. Rien à voir avec François qui se laisse trop souvent marcher sur les pieds.

Je me lève en pyjama et je prépare le petit-déjeuner. J'explique aux enfants que leur père a dû s'absenter pour le travail. Cela ne les perturbe même plus tellement c'est devenu fréquent. Papa n'est pas là, c'est normal.

La matinée est déjà bien avancée quand un enfant dans chaque main, je traverse le hall pour aller faire des courses. Comme d'habitude depuis le début de la semaine, ils me lâchent pour aller embrasser Albert, toujours fidèle au poste. Je le vois se pencher pour les serrer dans ses bras. J'ai presque de la peine pour lui, seul, ici dans un pays étranger, sans famille, sans enfants. Mais je me ressaisis. Je ne vais tout de même pas lui montrer de l'empathie.

— Bonjour Madame Charlotte !

— Bonjour Albert !

Tiens, il m'appelle par mon prénom, cela me surprend un peu, mais je sais aussi que c'est une manière courant pour eux de nous appeler ainsi.

— Monsieur Didier m'a demandé de vous remettre cette enveloppe.

-Merci ! lui dis-je en prenant l'enveloppe qu'il me tend.

Je la glisse dans mon sac à main et après avoir vérifié que les enfants sont bien installés dans la voiture, j'ouvre cette enveloppe.

"Ce soir, une étudiante qui habite dans un de mes studios viendra à vingt heures faire du baby-sitting chez toi. Je veux que tu me rejoignes un quart d’heure plus tard. Je veux que tu t’habilles en bourgeoise sexy. Ça veut dire sous-vêtements en dentelle, chemisier et jupe classe, porte-jarretelles, bas et talons hauts. Ne sois pas en retard"

Par réflexe, je froisse le papier et le jette en boule par la fenêtre. Il tombe dans le caniveau et il est emporté au loin.

Non ! Mais pour qui se prend-il ! Il est hors de question que je fasse ce qu'il me demande. Je ne suis pas une pute !

Je me gare énervée sur le parking du centre commercial, en ayant insulté plusieurs automobilistes au passage. J'essaye de me calmer et le désir de Thomas d'aller chercher le caddy pour les courses finit de faire tomber ma colère. Je me mets à réfléchir.

Enfin ! Un homme qui semble avoir de l'intérêt pour moi ! Et qu'est-ce que je risque ? Une bonne partie de jambes en l'air me fera du bien, depuis le temps que François m'ignore…

Je prends ma décision, j'irai voir Didier chez lui ce soir. De plus il m'a trouvé une baby-sitter, je n'ai même pas besoin de m'en occuper. Par contre je suis un peu plus embêtée par sa demande pour mes dessous. Ce n'est vraiment pas le type de sous-vêtements que je mets, de la dentelle et un porte-jarretelles. Encore un fétichiste de l'ensemble trois-pièces ! Où vais-je pouvoir trouver cela ? Il y a bien un rayon sous-vêtements au supermarché, mais il mérite mieux que des dessous bon marché. Je me rappelle alors avoir vu une boutique de lingerie dans la galerie marchande. Avec les enfants ce ne sera pas très pratique, mais je ferai vite.

Je traverse les rayons du supermarché de manière organisée et efficace. Avec le chariot plein, je retrouve cette boutique.

— Restez à côté du caddy, les enfants, je n'en ai pas pour longtemps.

Je rentre dans la petite échoppe en gardant un œil sur les enfants. Rapidement, je trouve ce que je cherche, un ensemble coordonné, mais s’il y a des culottes en taille 40, impossible de mettre la main sur un 90C pour le soutien-gorge. Heureusement la vendeuse vient à mon secours et s'empresse d'aller en chercher un dans la réserve. À la caisse, je rougis un peu en lui demandant si elle a des bas qui vont avec le porte-jarretelles.

— C'est pour faire une surprise à monsieur ! me dit-elle en souriant.

De quoi je me mêle, pensé-je. Mais je n'ai pas envie de polémiquer, il me faut ces bas.

— Je vous propose ceux-là ! Et si vous voulez un conseil, enfilez votre culotte après les bas… mais je dis ça, je dis rien…

Je la remercie et règle mes achats pour rejoindre au plus vite mes enfants.

Dans l'après-midi, je regarde plus attentivement ce que je viens d'acheter. Je ne vais pas avoir le temps de les passer à l'eau et je n'aime pas porter des sous-vêtements sans les avoir lavés avant, mais je n'ai pas le choix. J'ai aussi eu François au téléphone qui me dit que l'accident est vraiment grave et qu'il va être absent plus d'une semaine. Peut-être pourrais-je demander à la baby-sitter si ses horaires lui permettent d'aller chercher les enfants après l'école ?

Plus l'heure approche et plus je suis énervée. Je me sens comme une adolescente qui se rend à son premier rendez-vous amoureux. Didier me renvoie à mes émois adolescents, jamais je n'aurais imaginé cela.

Pendant que les enfants jouent dans le salon, je me prépare. Que m'a dit la vendeuse ce matin au sujet des bas ? Je ne m'en souviens plus. Tant pis et je commence par mettre ma culotte avant de fixer les bas au porte-jarretelles. Je me regarde dans le miroir ainsi. Je ne me reconnais pas. D'habitude je me vois en culotte et soutien-gorge de coton blanc.

L'heure approche, je passe rapidement me rafraîchir le visage dans la salle de bains quand on sonne à la porte. Ce doit être la baby-sitter envoyée par Didier.

J'ouvre et découvre Rachel dans une jupe plissée vraiment courte et un chemisier trop petit pour elle. Décidément, il va falloir quelque chose pour cette pauvre petite ! Ces tenues sont vraiment bonnes à jeter.

— Bonsoir Madame ! Monsieur Didier m'a dit que vous aviez besoin de moi pour garder vos enfants ce soir !

— Oui ! Et je te remercie… tu es vraiment gentille de venir comme cela. J'espère que cela ne te dérange pas ?

— Oh non, madame, j'ai emmené de quoi travailler quand ils seront couchés.

Je souris, j'espère que mes enfants seront aussi studieux qu'elle quand ils seront étudiants. Je lui explique rapidement la personnalité des enfants et ce qu'il faut faire pour les rassurer en cas de besoin, mais je ne m'inquiète pas. Elle semble avoir l'habitude et Clothilde trouve de suite une amie pour jouer.

À mon tour… me dis-je.

Je respire un grand coup et je vais frapper à la porte de Didier. Il vient m'ouvrir aussitôt. Il est toujours aussi élégant, il me fixe et me fait signe d'entrer dans le salon. Alors que je me prépare à m'asseoir, il me reprend d'un ton ferme. Je reste debout et me fige comme il me le demande.

Il tourne autour de moi, regarde ce que je porte sous ma jupe et entrouvre mon chemisier. Je tente de calmer ma respiration quand il m'affirme que j'ai besoin d'être prise en main et dressée. Je murmure un oui inaudible, puis il me demande de me mettre nue, de ne garder que les bas, le porte-jarretelles et mes chaussures. Ça y est ! me dis-je. Nous y sommes !

Je fais glisser ma jupe à mes pieds puis retire mon chemisier. J'hésite un peu avant de retirer ma culotte.

C'était ça ! Il fallait enfiler la culotte en dernier… Je suis obligée de dégrafer les bas puis de les refixer pour retire ma culotte. Cela dure plus longtemps.

Dans un réflexe de pudeur, je cache mon sexe et ma poitrine avec mes mains après avoir ôté mon soutien-gorge. Cela ne plaît pas à Didier qui m'ordonne de les poser sur ma tête. J'ai honte. Je suis totalement à sa merci. Il est assis sur le canapé, il m'inspecte de haut en bas, puis il commence à me poser une série de questions sur mon intimité. Je rougis encore plus humiliée. Mais je lui dis la vérité, certaine qu'il se rendrait compte de mes mensonges. Quand il me parle de la pilule, je n'en reviens pas.

Pourquoi ne veut-il pas du stérilet ? Pourquoi veut-il que je prenne la pilule ? J'ai toujours peur de l'oublier et de risquer de tomber enceinte. Il est vrai que le risque est nul au vu de la fréquence de mes rapports avec François. Mais si Monsieur, il veut que je l'appelle comme cela maintenant, me fait l'amour, cela reviendra au même, j'aurais toujours ce risque au-dessus de ma tête.

Il se lève enfin et il s'approche de moi, je sens son souffle sur mon visage. Il plaque sa main sur mon pubis et me tire sur les poils. Je crie, il me fait mal. Il semble dégoûté, je m'épilerai dès que possible comme il le souhaite. J'en ai encore des larmes aux yeux quand il me palpe les fesses et me lance :

— Quel gros cul ! Un vrai cul de grosse vache, tu ne penses pas ?

— Oui Monsieur…

Quelle honte ! Jamais on ne m'avait parlé comme cela, mais malgré tout, je sens des papillons dans mon ventre. L'attitude de Monsieur m'excite. Il vient ensuite me tripoter les seins et il leur donne une violente gifle à chacun. En baissant les yeux, je peux voir la marque de ses doigts sur ma peau laiteuse. Je n'ai pas bougé. Il me félicite, mais je vois sa main retourner vers mon bas-ventre. Instinctivement, j'ai un mouvement de recul auquel il ne semble pas prêter attention.

C'est alors que je sens ses doigts me pénétrer et me fouiller. Je frémis. Il les ressort et il me les passe sous le nez. Je sens mon odeur intime. Je suis trempée.

— Tu mouilles Charlotte ! Ça te plaît ce traitement ?

— …

Je ne sais que répondre, et surtout, comment répondre.

— Je ne répéterai pas ma question !

— Euhhh … Oui Monsieur ! Dis-je d'une voix de petite fille, prise en faute.

— Ouvre la bouche !

J'ouvre les lèvres et j'ai alors le goût de ma mouille sur ma langue, je grimace. Mais le pire arrive quand il entre profondément ses doigts dans ma bouche et qu'il me demande de le nettoyer. Ses doigts presque dans ma gorge me donnent la nausée, je ne peux pas bouger ma langue, je sens que je bave. Je ferme alors ma bouche et je déglutis, avalant ma salive au goût de ma chatte.

Il retire alors ses doigts pour les introduire de nouveau en moi. Mais, en plus, je sens son pouce sur mon clitoris. Avec un talent incomparable, il trouve mes zones les plus sensibles et les plus excitables. Rapidement, je ne peux plus résister et dans un gémissement, je jouis. Je flageole, heureusement qu'il me retient sinon je serai tombée au sol.

Il présente de nouveau ses doigts à ma bouche. Cette fois sans hésiter je les suce, je bave dessus pour les lui nettoyer. Quand j'ai dégluti, il retourne s'asseoir dans le canapé. À sa demande, je dois venir le rejoindre à quatre pattes. Je sens ma poitrine remuer à chaque mouvement. Je le vois se délecter de ce spectacle humiliant. Puis il me demande une chose que personne ne m'a jamais demandée :

— Bon ! Je veux que tu me masturbes et que tu recueilles mon sperme dans tes mains. Ensuite tu le mettras dans ta bouche et tu me montreras, puis tu l’avaleras. Je veux te voir tirer la langue et me montrer ta bouche vide.

Étonnée, je m'attendais à ce qu'il me fasse l'amour, je commence à le caresser avec mes doigts, je le masturbe comme il m'arrivait de le faire à François. Il doit être bien excité, car il gicle rapidement. J'ai du mal à tout récupérer dans mes mains, et je reçois même la première giclée sur le visage. Je lèche mes mains couvertes de sperme en faisant attention de ne pas avaler. Quand mes mains sont propres, j'ouvre la bouche et tire la langue pour lui montrer qu’elle est pleine de son foutre. Il me fait un signe discret qui me fait comprendre que je peux avaler. J'avale tout rapidement en espérant qu'il ne se rende pas compte que je déteste cela, il risquerait d'être en colère. J'ouvre de nouveau ma bouche pour lui montrer que j'ai bien obéi.

Alors cet ordre sec, glaçant tombe :

—Bien ! Casse-toi maintenant !

Incrédule, stupéfaite, je ramasse ma culotte pour me rhabiller. Un nouveau commandement :

— Sors de chez moi ! Va te rhabiller ailleurs !

Je prends vite mes vêtements et je sors nue sur le palier. J'entends la porte claquer derrière moi. En larmes, encore plus en colère qu’hier soir par l'attitude de Didier, je remets rapidement ma jupe et mon chemisier pour descendre à mon appartement.

Devant la porte, je reprends contenance pour ne pas montrer mon trouble à la jeune Rachel. Je la vois, studieuse dans le salon en train de travailler.

—Oh ! Bonsoir Madame ! Je ne vous attendais pas si tôt ! La soirée s'est bien passée ?

— Oui Rachel ! Merci ! Et pour toi, cela a été avec les enfants ?

— Oh oui, Madame, ils ont été adorables et j'espère que les miens seront aussi bien élevés que les vôtres quand j'en aurai. Je serais ravie de revenir les garder, Madame !

Je lui souris, décidément cette petite m'impressionne. Sa manière de parler de mes enfants fait retomber ma colère. Je revis en images et en mots la soirée, serais-je capable de revivre une telle humiliation ?

Je demande alors à Rachel, si elle est d'accord pour prendre les enfants à la sortie de l'école.

— Il faudra que je voie en fonction de mes diverses obligations, mais cela me ferait plaisir. Bien sûr !

— Que fais-tu comme études ?

—Je suis en troisième année d’économie.

Elle me parle alors de ses études, de ses parents qui l'aident à les financer. Je lui promets de la rémunérer à la hauteur de son investissement. Elle me remercie.

Cette discussion m'a complètement calmée et je me souviens de l'exigence de Didier concernant ma toison pubienne.

— Dis-moi Rachel ! Demain, je veux emmener les enfants à la piscine, cela fait longtemps que je ne me suis pas fait le maillot… Et ce matin, en faisant les courses, j'ai oublié d'acheter de la crème dépilatoire. En aurais-tu ? Je te la rembourserai !

— Oui Madame ! Bien sûr !

— Est-ce que tu peux aller m'en chercher ?

— Bien sûr Madame… Je reviens.

Pendant qu'elle va chercher la crème, je lui prépare une enveloppe avec son salaire pour la soirée, plus un bonus pour la crème.

Elle revient quelques minutes plus tard et nous échangeons, enveloppe contre crème. Quand elle regarde l'enveloppe, elle lève la tête vers moi, surprise.

— Tant que cela ! Madame ! Il ne fallait pas…

— Mais si ! Tu le mérites.

Quand je me retrouve seule, je soupire. Cette soirée ne s'est pas du tout passée comme je le pensais, mais au moins, j'ai trouvé une baby-sitter.

Dans le lit, je me passe le film de la soirée en boucle. Plus je me souviens et plus je suis excitée. Oui ! Monsieur est bien l'homme qu'il me fallait. Je m'endors après m'être caressé et avoir joui une nouvelle fois.

A suivre...