lundi 19 octobre 2020

Cauchemar à la villa de campagne Ch. 05

 Histoire de Méfistho

Arrivée de la tante et de sa famille.

Les deux femmes sortent du véhicule sous les aboiements des chiens. Elles se demandent ce que font ces chiens ici ? Puis elles sont étonnées de voir autant de voitures garées n'importe comment dans le jardin. Ma tante Claudine et ma cousine Michèle se doutent qu'il se passe quelque chose d'anormal mais ne peuvent en aucun cas se douter que la maison du bonheur s'est transformée en maison du cauchemar. Tata Claudine frappe vigoureusement la porte de la véranda.

- Isabelle! C'est nous!

Ma mère s'avance alors pour leur ouvrir. Elles ouvrent de grands yeux.

- Isabelle? Mais, quel est cet accoutrement? Tu vas bien?

Ma mère ne dit rien et les regarde en masquant ses émotions car nous sommes, Lysa et moi, retenus prisonniers dans la chambre par ces voyous. Mais elle doit comprendre la grande surprise de sa belle-sœur et de sa fille. C'est vrai qu'elles ne l'ont jamais vu habillée comme cela, elle, la pharmacienne bourgeoise et bien tenue, toujours nickel, propre et habillée de façon classieuse. De temps en temps, elle se faisait plaisir en portant un décolleté mais jamais comme celui qu'elle porte en ce moment. Isabelle a en effet mis un débardeur noir à fine bretelle et un motif de rose blanc, avec un décolleté monstrueux. Chose encore plus choquant que jamais, c'est qu'on devine que ses seins sont nus à l'intérieur car elle ne porte pas de soutien-gorge. Ses gros seins sont moulés par le débardeur qui lui colle à la peau car trop serré (Ses tétons sont visibles à travers le tissu). Et pour cause, car comme les sandales à talon haut et la mini-jupe osée qu'elle porte, ces vêtements sont ceux de sa fille que les voyous lui ont forcé à mettre pour leur plaisir. Elles reconnaissent à peine son visage noyé sous une tonne de maquillage.

- Isabelle? Tu es habillée comme une putain, excuse-moi de te le dire! Si Claude voyait ça, il deviendrait fou.

Tata Claudine s'énerve. Elle a honte de sa belle-sœur, la femme de son propre frère. Michèle ne sait pas quoi dire devant cette situation impossible.

- Et qu'en disent Lysa et David? Ils doivent être choqués de voir leur mère se... pavaner et même s'exhiber comme ça.

- Ecoute Claudine, tu ne comprends pas et il vaut mieux que...

Le gitan sort accompagné du métis. Tata Claudine sursaute :

- Mais ce sont tes... Tes amants? Mais que se passe t'il ici?

Le gitan, méprisant, dit :

- Il n'y a rien à baiser sur ces deux planches à repasser?

Des rires emplissent la véranda et les gars sortent de partout. Elles sont entourées et les deux femmes comprennent que tout ceci est un guet-apens. Isabelle ne dit rien car elle est résignée. D'ailleurs, le gitan la tire vers lui sans ménagement.

- Rien à voir avec elle! Regardez!

Il extirpe les deux énormes mamelles du débardeur et les exhibent vers les deux femmes.

- Une vraie laitière!

Ils se mettent tous à rire et le gitan malaxe les gros nichons devant tata Claude et Michèle. Le métis nous fait sortir.

- Lysa, David, ils vous tiennent aussi?

On hoche la tête. Les voyous dévisagent les deux femmes. Ma tante Claudine, est une femme de 48 ans mesurant 1m70. Elle a des cheveux noirs et des yeux marrons. Son visage est fin et elle porte de grosses lunettes de soleil. C'est une femme sèche et bronzée avec une petite poitrine. On devine qu'elle passe du temps à se faire bronzer car sa peau est presque cuivrée et limite fait un effet de desséchée. Elle porte une robe d'été orange avec de petites sandales. Elle a un fort caractère et est une femme divorcée. Elle travaille comme vendeuse dans un magasin de chaussure. Sa fille Michèle, est le portrait craché de sa mère mais en plus jeune et en plus réservée. Elle a un pantalon en jean moulant et un débardeur blanc. Elle est un peu plus ronde que sa mère mais a une petite poitrine aussi. Malgré sa timidité apparente, ma cousine collectionne les petits copains et ma tante profite bien de la vie aussi. Les deux femmes observent le gitan qui malaxe la grosse poitrine de ma mère devant les autres gars qui commencent à s'exciter. Puis, il lui saisit brutalement les deux seins et la pousse vers ses camarades.

- Vous pouvez faire ce que vous voulez avec! J'ai deux invitées là. Vous deux (en s'adressant à Lysa et moi), amenez de quoi boire!

Le métis lorgne sur Michèle. « Elle est mince mais elle doit être bonne à baiser quand même » se dit-il. Le gitan manifeste de l'intérêt pour Tante Claudine. Pourtant, ce n'est pas un sex-symbol mais on devine que ce qui attire ce sale pervers, c'est plutôt le désir de soumettre cette vieille bourgeoise à grande gueule. Les autres déshabillent ma mère. A la grande surprise de Claudine, celle-ci ne réagit pas et se laisse faire. Elle semble soumise à ces hommes et les laissent s'approprier son corps. Le gitan sort son sale couteau :

- Alors maintenant vous allez a votre tour vous déshabiller, mes salopes! Vous allez faire comme elle!

Toutes les deux regardent Isabelle à poil se faire baiser. Autour d'elle, cinq hommes, quatre bonhommes ont sorti leur sexe et ma mère s'empresse de les piper. L'autre est derrière et commence à la sodomiser.

- Mon dieu! Isabelle! Que fais-tu?

- Ce que vous allez faire mes salopes, et devenir comme elle.

Isabelle regarde alors Michèle qui depuis tout à l'heure n'a rien dit. Elles sont attirées par les bruits de succions d'Isabelle qui donne du plaisir à ces salauds. L'un deux gicle dans la bouche de ma mère et elle avale. Puis, contre toute attente, Michèle enlève ses chaussures et s'apprête à enlever son débardeur.

- Mais tu fais quoi, ma fille?

- Je fais ce qu'il nous dit. Si Isabelle le fait, c'est qu'on n'a pas le choix.

Michèle enlève d'abord son débardeur blanc puis son jean moulant. Elle se retrouve en dessous. Le métis la prend alors par la main.

- Ah ah ah! Toi, tu dois en être une sacrée.

Le gitan se tourne vers Tante Claudine.

- Regarde ta fille! Elle a compris elle!

- Michèle, reviens, tu es folle tu...

Tante Claudine est furieuse et s'apprête à le gifler mais sa main est arrêtée par le gitan plus vif. Il s'est placé derrière elle et lui pince les fesses. Puis il descend la fermeture de la robe d'été. Tante Claudine commence à pleurnicher. Elle sait qu'elle ne peut rien faire de toute façon. Elle regarde Isabelle, nue, être traitée comme une pute. Michèle est partie dans la chambre avec le métis et elle a l'impression qu'elle l'a trahi. Puis elle nous voit Lysa et moi en train de servir.

- Et vous ne dites rien vous deux : voir votre tante, votre cousine et même votre propre mère se faire baiser comme des truies par ces voyous?

On ne dit rien. Jamais on oserait lever la voix. C'est déjà bien qu'ils ne s'intéressent plus à Lysa et peut-être qu'à la longue, ils finiront par se lasser de tout ça et qu'ils partiront. Le gitan lui ordonne alors d'enlever elle-même sa robe. Tante Claudine le fait en nous regardant méchamment. Elle se retrouve à son tour en dessous, de beaux sous-vêtements brodés. Le soutien-gorge est à armature et rehausse le peu de poitrine qu'elle a. Elle se retourne machinalement vers Isabelle. Elle voit la propre femme de son frère exécuter des branlettes espagnoles maladroites à ses partenaires. Les deux bites sont coincées entre ses deux seins qu'ils lui ont dit de presser. La bouche d'Isabelle dégouline de la semence des hommes auxquels elle a fait des fellations. Le tableau est vraiment déplorable pour elle. Tante Claudine sent alors une grosse main palper sa poitrine menue. C'est le gitan qui la pelote. Elle est petite à côté de lui et surtout très menue. On dirait une jeune fille. La main est pressante, volontaire. Elle regarde encore Isabelle, toujours branlant des hommes avec ses deux grosses mamelles.

- Quelle maladroite! Se dit-elle!

Puis elle se rend compte qu'elle a toujours envié sa poitrine. C'est sûr qu'à coté tante Claudine fait pâle figure niveau mamelle. Elle se dit aussi que si ça se trouve, son frère l'a épousé pour ça. Des idées assez négatives lui traversent l'esprit sur sa belle-sœur, Une jalousie peut-être mais jamais exprimée. En fait, l'a-t-elle vraiment acceptée? A-t-elle acceptée qu'elle lui ai pris son frère? Cette femelle avec ses gros seins, cette pondeuse. Si ça se trouve, c'est une putain et elle a provoqué ces hommes avec ses mamelles. Si ça se trouve, elle les a provoqués en s'habillant comme ça.

Puis elle pense à nous. Vu qu'ils nous laissent tranquilles, Lysa et moi. Elle a mis ses enfants en danger. Le gitan a dégrafé son soutien-gorge et caresse ses petits seins. Ils sont vraiment tout petits et cela l'agace mais pourtant, il sent quelque chose de pervers en Tata Claudine. Et sa fille : elle a pas demandé son reste et baise avec le métis. Il a remarqué son regard haineux sur ma mère. Il y a peut-être quelque chose à faire. Tous entendent Michèle jouir et se félicitent. Ils sont tombés sur deux petites salopes. On fait boire tata Claudine. Ca la détend et elle enlève sa culotte et s'offre à ces voyous mais une fois de plus elle remarque qu'ils préfèrent les atouts de ma mère. Tata Claudine, les mains sur les hanches est frustrée. Ca amuse le gitan qui en profite.

- Elle a plus de succès que toi et ta fille aussi, ça n'arrête pas de faire des vas et vient à la chambre et vu comment elle crie de jouissance, ils doivent prendre leur pied.

Ma mère est tripotée de partout mais tous ses orifices ont été explorés. Lysa et moi servons les dernières rasades d'alcool. Lysa reçoit quelques tapes aux fesses mais on la laisse. Elle s'inquiète pour maman vraiment malmenée de toute part et surtout qu'elle n'a pas arrêtée d'être baisée depuis l'arrivée de tata Claudine et de Michèle. Sans doute, Lysa est la seule qui est pas à son aise dans cette invasion de la maison. Tata Claudine l'inquiète. Elle l'a jamais vu aussi en colère et surtout en posture aussi pitoyable : Nue, menue, sans seins et les mains sur les hanches. Elle regarde Isabelle se faire posséder avec mépris. Tous ces hommes qui souillent, violent, baisent notre pauvre mère, sous le regard de sa belle-sœur limite haineuse.

Michèle ressort de la chambre en titubant. Mais c'est dû à ses trop nombreux partenaires. D'ailleurs, on lui tend une bière qu'elle boit et elle s'assoit sur les genoux d'un des gars comme si elle cette situation atroce lui plaisait. Les hommes alors, s'emparent des membres de ma mère et la couchent. Ses jambes, ses bras sont écartés et son sexe offert. Les yeux de tante Claudine sont toujours brillants et limite presque satisfaits de voir l'humiliation de sa belle-sœur. Michèle qui a fini sa bière se poste à quatre pattes à coté de sa tante Isabelle toute suante et aspergée de sperme.

- Hé, il n'y a pas que cette salope! Ma mère et moi on en veut aussi!

Ces mots nous heurtent avec Lysa. Tata Claudine se place a côté de sa fille et se met elle aussi à quatre pattes. Les deux femmes offrent leur anus avec tout consentement. Isabelle est anéantie de voir sa belle-sœur et sa nièce se comporter ainsi. Elle qui pâtit de cette horrible situation, se rend compte que les deux femmes qu'elle croyait connaître sont les pires salopes qui soient.

Les hommes prennent ces deux croupes et ces deux anus offerts. La mère et sa fille se font enculer avec bonheur devant Isabelle anéantie. Les hommes sifflent, applaudissent, le gitan et le métis sont aux anges. Mais pour Lysa, ma mère et moi, le cauchemar continue. Les gars finissent par laisser souffler maman, qui reste un bon moment au sol. Ils s'occupent de tata Claudine et de Michèle, toutes les deux alcoolisées et excitées. Jamais, je n'aurai pu croire ces deux femmes comme ça. Au bout d'une bonne heure, les hommes délaissent les deux femmes en furie et décident de s'intéresser à nouveau à ma mère. Le gitan prend tante Claudine par le bras et la met à genoux devant moi. Elle est ivre et excitée comme c'est pas possible.

- Allez ma salope, regarde ton pauvre neveu! Il a rien eu lui!

Elle éclate de rire et me déboutonne. Je ne résiste pas et après avoir sorti mon sexe et quelques stimulation, je finis par bander comme un fou. Elle dévore mon sexe à la limite de me faire peur. De son coté, ils ont forcé Lysa à se laisser gouiner par Michèle en rut. Lysa finit par éprouver du plaisir devant les lècheries pros de Michèle plus excitée que jamais. Ma mère, de son coté, en prend pour son grade. D'ailleurs ils l'ont sortie dehors. Le soir est tombé et d'autres compères ont fait le chemin depuis Marseille. Il y'a une quantité de voiture incroyable comme si une fête était organisée.

Deux vieux paysans qui passaient par là sont intrigués. Ils voient dans le jardin, une femme avec des seins énormes, se faire baiser comme une truie par quatre bonhommes. Ils s'approchent. Ma mère alors a l'espoir qu'ils repartent et préviennent les gendarmes mais cet espoir s'envole. Les gars, bourrés, leur demande de venir prendre leur pied. Comme eux aussi sont visiblement alcoolisés, ils ne se font pas prier. Leurs femmes sont vieilles et moches. Là, ils peuvent baiser une femme certes mature mais aux atouts encore bien appétissants. La quantité de sperme la maculant ne les font pas fuir et ils sortent leur vieux machins devant les rires des jeunes. Ces deux papis pervers deviennent des fous et prennent part à la fête jusque tard dans la nuit.

A suivre...


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