vendredi 29 avril 2022

Les Collègues De Mon Mari. Ch. 02

Texte de Géronimo ou Elko.

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Léa et Mélanie m'oblige à me déshabiller.

Léa et Mélanie m'oblige à me déshabiller et à mettre des vêtements qu'elles ont trouvés dans ma penderie. Un corset en cuir avec un collier-minerve qu'elles me fixèrent autour du cou , des bracelets en cuir à chaque poignets équipée d'un mousqueton que l'on peut accrocher aux anneaux du corset. Des bas résilles et surtout des escarpins rouge vernis à talons aiguilles de 18 cm. Elle me bâillonne avec une sorte de muselière composée d'un bâillon-anneau avec un harnais passé autour de ma tête. Je tente de protester mais je ne sors que des sons indistincts. Le bâillon-anneau m'obligeant à garder la bouche ouverte, je me met à baver rapidement augmentant mon humiliation et faisant rire mes tortionnaires. Léa accroche une laisse à l'anneau de la minerve et tire violemment dessus manquant me faire tomber.

- Allez viens petite chienne, on va voir ton mari!

Et titubant sur mes talons, nous sortons de la chambre.

J'ai eu toutes les peines du monde à descendre les escaliers sur mes talons de 18 cm. Arrivée en bas, Léa m'oblige à me mettre à quatre pattes pour arriver dans le salon. Philippe, Alain et Paul restent pantois devant cette apparition. Paul se lève, furieux, et proteste :

- Mais ca va pas, non ? Libérez la tout de suite !

Mélanie et Léa se précipite sur mon mari et arrive à le faire tomber à terre.

- Venez nous aider quoi ! Lança Léa à l'attention de Philippe et Alain.

Ceux ci arrivèrent à maîtriser mon époux rapidement. Mélanie enfonça un bâillon-boule dans la bouche de Paul pour étouffer ses cris. Il fut menotté grâce à des bracelets reliés par une chaîne. Cette même chaîne était reliée à un collier qu'ils lui passèrent autour du cou l'immobilisant complètement.

Mon mari et moi nous nous regardons les yeux agrandis d'effroi, gargouillant des mots dans nos baillons, moi salivant comme un bébé. Mélanie enlève le pantalon de Paul ainsi que son caleçon. Il apparaît la bite à l'air ce qui amuse beaucoup nos invités. Léa prend une badine et en assène un coup sur les fesses de Paul qui grogne derrière son bâillon. Philippe et Alain s'occupe de moi. Je suis contrainte d'aller vers eux à quatre pattes comme une bonne petite chienne. Philippe a déjà sorti son sexe en érection et il me l'enfonce dans la bouche.

- Suce moi salope ! Depuis le temps que j'en rêve.

Alain sort sa bite également et j'alterne entre les deux donnant des coups de langues sur leurs glands. Par moments, ils m'enfoncent leurs deux queues dans la bouche m'étouffant à moitié. J'entends les gémissements de Paul. Léa et Mélanie lui malaxent les couilles sans douceur. Léa le branle sans ménagements et il a une érection d'enfer. Mélanie lui donne des coups de badine sur son sexe et mon pauvre mari fait des sauts de carpe en couinant.

Alain m'agrippe les cheveux et fait coulisser sa bite dans ma bouche. Philippe se leva, fit le tour, et enfonça ses doigts dans ma chatte. Il agite ses doigts violemment me faisant gémir. Il me pénétra et , agrippant mes hanches, se mit à me pilonner comme une brute son ventre venant claquer contre mes fesses.

Léa est revenu de la cuisine avec une bouteille d'huile. Elle s'amuse a enduire le corps de Paul d'huile. Mélanie verse de l'huile sur le gode-ceinture qu'elle a autour de la taille.

- Je vais t'enculer, lance t'elle à l'attention de Paul, et après tu iras sucer les bites de Alain et Philippe quand ils auront fini de baiser ta femme.

Paul a les yeux exorbités en entendant cela. Ses yeux s'agrandissent d'horreur. Il tente de s'échapper mais Léa le maintient à quatre pattes. Mélanie s'approche et pointe le gode vers l'anus de Paul. Elle appuie et le gode s'enfonce d'un coup faisant crier Paul à travers son bâillon. Elle agite ses reins doucement d'abord puis de plus en plus vite, ses mains crochés sur les hanches de Paul.

Alain me tirant par les cheveux interrompit ma fellation et me lança :

- Regarde ton mari, il se fait enculer par Mélanie.

Horrifiée, je vois cette salope de Mélanie s'agiter entre les fesses de mon pauvre Paul pendant que Léa lui fouette les fesses avec sa badine.

Cela donna une idée à Philippe qui décida de m'enculer également. Je sentis son gland appuyer sur mon anus et je tentais de protester. Mon trou du cul avala sa bite d'un coup et je la sentit coulisser rapidement me faisant haleter.

Mélanie et Léa ont inversé les rôles. Léa encule Paul et Mélanie ayant enlever le bâillon-boule oblige mon mari à sucer le gode qui vient de le sodomiser. Moi, je suis empalé sur la bite d'Alain et Philippe m'encule. Ils alternent leurs coups de reins.

Cela dura une bonne partie de la nuit. Paul dut sucer Philippe et Alain pendant que je dus lécher la chatte de Léa et Mélanie les faisant crier de plaisir. Je fus contrainte de sucer Paul et de m'arrêter juste avant qu'il n'éjacule. Paul dut se finir tout seul éjaculant son sperme sur le sol du salon. Sperme que nous dûmes, Paul et moi nettoyer en léchant le sol à quatre pattes fouettés par tout ce petit monde.

Depuis ce jour, nous sommes les esclaves sexuels des collègues de mon mari. Paul est contraint de porter sous ses costumes des vêtements féminins. Bas, porte-jarretelles... A son travail, Léa et Mélanie ne rate pas une occasion de l'humilier et elles ont toujours leurs godes avec elles... Philippe et Alain ont mis le patron de Paul dans la confidence. Du coup, j'ai été embauchée dans l'entreprise ou je sers de vides-couilles à tous les employés, du moins ceux qui sont dans la confidence. Je suis baisée par Philippe et Alain plusieurs fois par jour et bien entendu Léa et Mélanie ne se prive pas non plus. Le patron de Paul organise régulièrement des soirées privées chez lui ou Paul et moi devenons les objets sexuels de ses invités...

FIN

mercredi 27 avril 2022

Hobie, la vengeance d'un innocent. Ch 04

Histoire de Black Demon traduite par Coulybaca

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Au tour de l'avocate de subir la vengeance.

En traînant chaque jour autour du tribunal, Hobie recherchait sa prochaine victime, le moment était venu de faire payer à cette petite salope qui l'avait défendu son manque de conviction et la faiblesse de son travail. Ce qui le choquait le plus, c'est que cette foutue salope était vive, mais il était évident qu'elle n'avait pas cru en son innocence. Ainsi les articles saisis chez lui étaient le fruit d'anciens cambriolages ce qui ne prouvait en aucun cas sa participation à celui dont il avait été accusé. Cette salope lui avait conseillé de plaider coupable, et, dès son refus il fut évident qu'elle ne le défendrait que mollement.

En tout cas il avait décidé de le lui faire payer cher.

Venue au tribunal pour écouter une péroraison, Hélène Mills revoyait ses notes tout en se dirigeant vers la salle d'audience. Son diplôme en poche, elle avait tout de suite rejoint ce cabinet d'avocat. Elle avait reçu plusieurs offres impressionnantes de différents cabinets de la ville mais avait choisi de rejoindre celui là qui se souciait de défendre de pauvres gens. Elle voulait consacrer quelques années à aider les malheureux qui n'avaient pas accès à la défense d'avocats de renom, se réservant de réorienter sa carrière par la suite. Mais elle ne ressentait aucune pitié envers les voleurs, les violeurs ou les meurtriers plus spécialement s'il s'agissait de récidivistes.

Elle se souvenait d'un voleur nommé Hobie Thompson et de son refus de plaider coupable, alors qu'on avait trouvé chez lui des articles volés. Elle se souvenait bien de son cas et du fait qu'on avait rien trouvé chez lui correspondant au cambriolage dont il était accusé. Elle avait considéré que cette accusation de cambriolage était avérée.

La vie d'Hélène se déroulait heureuse et paisible, elle avait épousé son amoureux des années collège et lui avait donné deux beaux enfants. Elle pensait à son cher époux, Sam, c'était le seul homme qu'elle ait connu depuis leur rencontre au collège. A l'âge de 32 ans, Hélène était très bien notée dans sa profession et elle allait bientôt être chargée de la direction du bureau des avocats de la défense. La vie ne pouvait plus lui sourire, mariée à l'homme qu'elle chérissait et mère de deux beaux enfants. 

Assis dans un coin éloigné de la salle d'audience, Hobie se léchait les lèvres en lorgnant sur la belle avocate de la défense. Il la regarda relire ses notes alors qu'elle passait devant lui se dirigeant vers l'ascenseur, sans remarquer sa présence menaçante. L'insouciante beauté ne prêtait aucune attention à ce qui l'environnait.

-"Bordel... Je vais bientôt savoir comment est faite cette chatte sauvage lorsque je lui aurai arraché sa tenue de service..." se disait Hobie hilare.

Comme sa proie était la seule personne à prendre l'ascenseur, il nota l'étage où il s'était arrêté. Il prit l'ascenseur suivant et monta au troisième à la recherche de la belle avocate.

Hélène était si absorbée par son argumentation contrant les conclusions du juge qu'elle ignorait la présence incongrue d'Hobie sur les bancs de l'assistance. Il l'observait minutieusement, la déshabillant du regard. Une fois les débats conclus, Hélène se retira dans son bureau, elle pensait à son mari, se demandant si elle ne se montrait pas trop prude avec lui au regard de ses désirs sexuels. Mais dans sa vie intime, Hélène ne voulait pas s'aventurer sur ce terrain, elle pensait que seule une vulgaire pute pourrait satisfaire des appétits si pervers. Pas un homme ne la respecterait si elle se montrait assez vicieuse pour faire une fellation ou se laisser faire un cunnilingus. Préoccupée par ces pensées, elle ne prêtait aucune attention à ce mâle noir qui la filait discrètement.

En atteignant l'immeuble de ses bureaux, Hélène décida de laisser quelques documents dans sa voiture pour ne pas avoir à les trimbaler partout avec elle, elle donnait ainsi l'occasion à son suiveur de se documenter facilement sur elle.

Lorsqu'elle retourna chez elle, ses enfants jouaient au football avec leur père sur la pelouse devant la maison. Par chance Sam était sorti tôt de son boulot et avait pu aller chercher ses enfants à l'issue de leur entraînement de football. Ses fils avaient 6 et 7 ans, ils adoraient les sports collectifs et jouaient dans l'équipe des benjamins.

Son mari lui sourit et lui fit signe de les rejoindre. A son insu, une vieille Ford l'avait suivie jusque chez elle et s'était garée dans le virage lorsqu'elle avait tourné pour se ranger dans l'allée du garage.

Ce soir, les Mills avaient mangés en famille à la maison, les enfants avaient l'autorisation de regarder la télévision avant d'aller se coucher. Finalement Hélène et Sam purent refermer la porte de leur chambre sur eux, ils se roulèrent des patins passionnés en se laissant tomber sur le lit. Hélène était toujours ravie de faire l'amour avec Sam, elle voulait seulement qu'il ne lui demande pas de se livrer à des actes que seuls les prostituées accomplissaient. Bien sûr, elle voulait complaire à l'homme qu'elle aimait, mais elle ne pouvait se résoudre à lui faire une fellation.

Qu'arriverait-il si elle faisait cela ? Sam lui poserait-il la main sur la nuque la forçant à le laisser éjaculer dans sa bouche ? L'obligerait-il à avaler sa semence ?.

Sam n'en croyait pas sa chance, la plus belle fille du collège était tombée amoureuse de lui. Hélène était alors la plus belle fille du collège, celle qui faisait battre les cœurs de tous les mâles. Il souhaitait seulement qu'elle se montre moins prude dans leurs rapports intimes, il savait qu'elle était arrivée totalement inexpérimentée au mariage, avec une éducation répressive, se refusant à varier de la position du missionnaire. Il avait désespérément cherché à insérer sa bite entre ses lèvres, mais elle avait toujours refusé de lui accorder ce plaisir. C'était la même chose lorsqu'il voulait lui bouffer le minou. Une fois même il avait tenté de la sodomiser, cela avait tourné au pugilat.

Ce soir comme d'habitude, elle n'avait admis que de faire l'amour dans la position du missionnaire. Mais ce qu'il détestait le plus, c'était la nécessité d'employer des capotes. Ayant deux beaux enfants, et une belle carrière à poursuivre, ils avaient décidé de se satisfaire, pour l'instant, de la taille de leur petite famille, peut-être referaient-ils un enfant plus tard. Hélène avait pris la pilule mais elle avait du cesser, elle faisait trop de réactions allergiques. Aussi s'en remettaient-ils à la sécurisation des capotes.

Le vendredi suivant, Hélène sortit en avance de son bureau, elle en profita pour aller chercher ses deux enfants à la fin de leur entraînement de football. Elle leur donna un gros bisou et les envoya jouer dans l'arrière cour, quelques copains du voisinage se joignirent à eux. Elle monta alors dans sa chambre pour quitter sa tenue de travail et prendre une douche bien chaude.

Dans la chaude sécurité de sa chambre, elle drapa sa veste sur le dosseret d'une chaise, descendit la fermeture de sa jupe bleue marine et la laissa choir au sol. Puis elle déboutonna son chemisier et l'ôta, elle n'était plus vêtue que de son élégant soutien-gorge en dentelles, d'une croquignolette petite culotte. Elle se dirigea alors vers le pied du lit pour enlever ses bas noirs. Ses longues jambes laiteuses avaient fait rêver bien des hommes, Sam aimait rouler lui même ses bas sur ses cuisses pour les lui ôter.

A son insu, Hobie, caché dans les toilettes, lorgnait avec convoitise ses langues jambes si sexy, par la porte entrebâillée. Hobie haletait et se léchait les lèvres alors qu'il lorgnait la belle et jeune juriste enlevant ses bas. Il commença à se branler alors qu'elle exposait ses longues jambes laiteuses sous ses yeux.

-"Mon Dieu... Je ne peux plus attendre pour sentir ses longues jambes se refermer dans mon dos ! Dans neuf mois, elle écartera ses jolies cuisses pour accoucher d'un petit bâtard noir !" grogna-t-il sourdement.

Il continua à épier Hélène qui se rendait dans la salle de bain pour prendre une douche. En entendant crépiter la douche, Hobie rampa jusqu'à la porte de la salle de bain et jeta un coup d'œil plein de convoitise sur l'insouciante jeune femme. Il la voyait dans la cabine de douche transparente, il observait son somptueux corps dans toute sa gloire.

-"Bordel " pensa-t-il soudain, " Comme j'aimerai la rejoindre sous la douche pour l'asperger de foutre ! mais je suppose que je ferai mieux de l'attendre dans le lit qu'elle partage avec son époux."

Après avoir enfilé une sortie de bain blanche, elle retourna dans la chambre. Elle se dirigea droit vers le coin de la fenêtre pour jeter un œil sur les enfants qui jouaient dans l'arrière-cour. Elle sourit à la vue de ses enfants prenant du plaisir avec leurs copains.

-"Ahhhhhhhhhhh..." haleta-t-elle, mais son cri fut immédiatement coupé par la large main qui lui couvrit la bouche.

Paniquée, incapable de crier, elle sentit une autre main à sa taille ouvrant sa robe de bain. Elle ne pouvait pas bouger, alors qu'il détachait la ceinture de sa sortie de bain, et l'ouvrait.

-"Tu veux crier salope ? Je vais enlever ma main de ta bouche... vas-y hurle, crie aussi fort que tu le peux... Mais lorsque tes enfants se rueront à ton aide, tu te doutes de ce que je leur ferai !"la menaça Hobie, la paralysant de peur.

-"Rappelle toi ma chérie... Tu voulais que je plaide coupable, salope ! Eh bien aujourd'hui tu devras assurer ta défense, salope !" ricana-t-il lourdement.

-"Oohhhhhhh... S'il vous plaiiiiiiiiiiitttttt !" le suppliait-elle déjà alors qu'il touchait sa chair soyeuse.

Elle ferma les yeux alors que la large main rampait lentement sur son corps l'explorant minutieusement.

-"Oohhhhhhhhhhhh, nonnnnnnnn... Mon Dieuuuuuuuu, nonnnnnnn... Ohhhhhhhhhh ! S'il vous plait... Ayez pitié..." sanglotait-elle alors qu'il roulait ses tétons entre ses doigts, les manipulant avec rudesse.

La sortie de bain blanche gisait en boule à ses pieds, elle ne pouvait pas bouger, elle avait peur de crier ce qui mettrait ses enfants en danger. Elle haleta, une main fureteuse s'était faufilée entre ses cuisses et s'approchait de sa féminité.

-"Oohhhhhhhhhhh... Mon Dieuuuuuuuu..." gémit-elle lorsqu'un doigt épais sépara ses grandes lèvres et se mit à titiller son clito.

-"Onoonnnnnnn... Je vous en prieeeeeeeeee... Ahhhhhhhhh..." coassa-t-elle le corps secoué de frissons convulsifs alors qu'elle succombait à un premier orgasme, le plus intense qu'elle ait jamais ressenti.

N'ayant jamais atteint un orgasme de cette manière, Hélène était hébétée. Hobie la transporta sur le lit qu'elle partageait habituellement avec son époux. La couverture repoussée, elle vit les draps propres et l'oreiller de son mari placé au milieu du lit. Puis il l'étendit sur le lit, l'oreiller sous les hanches, livrant sa féminité à la merci de l'ex-détenu noir.

-"Ohhhhhhh... S'il vous plait... Nonnnnnnnnn..." se lamenta t-elle alors que son agresseur se penchait sur son mont de vénus.

Cet intrus allait poser sa bouche sur sa féminité, c'était encore quelque chose qu'elle avait refusé à Sam. Cet homme était sur le point de lui faire subir l'impensable. Comme si elle se sentait coupable d'avoir privé son mari de ce plaisir que cette brute dépravée allait lui faire endurer. Soudain, elle arqua ses cuisses alors que son mufle fouillait sa fente, la langue agile s'emparant de son clito vibrant. Plantant ses talons dans le matelas, Hélène agrippa la chevelure noire de son agresseur, s'arc-boutant pour mieux profiter de ce plaisir indésiré.

-"Oohhhhhhhhh... Nonnnnnnnnn... Je vais... Je vaiiiiiiiis jouiirrrrrrrr... Mon Dieuuuuuu Je... Je jouis..." grogna-t-elle, désespérée d'afficher aussi clairement son émoi.

Allongée sans défense sur son lit, elle était à sa merci. Il rampa sur elle lui ordonnant de regarder sa grosse bite noire qui allait ruiner sa vie. Elle avala sa salive à la vue de la plus grosse queue qu'elle ait jamais vue, jamais même imaginée. C'était vraiment une colonne comparée au minuscule pénis de Sam. Horrifiée elle lorgnait l'énorme bite sur le méat de laquelle suintaient déjà quelques gouttes de pré sperme. A la vue de cette monstrueuse pine qui allait ruiner sa vie, qui même pourrait la tuer, elle se dit qu'aucune femme ne pourrait adapter sa chatte à un tel obélisque. Puis elle constata qu'il ne portait aucun préservatif alors qu'elle se trouvait en pleine phase d'ovulation.

-"Oh... S'il vous plait... Non... Non... Ca ne se peut pas... Vous risquez de m'engrosser... ! Balbutia-t-elle paniquée.

Hélène tremblait de tout son corps, alors que le gland épais fouillait sa fente, séparant ses babines juteuses, se frottant de bas en haut dans sa moiteur avant de se positionner pour l'embrocher. Comprenant qu'elle ne pourrait empêcher cet immonde viol, elle gardait assez de lucidité pour essayer de minimiser les éventuelles conséquences de cet acte méprisable.

-"Ohhhhhhhh... S'il vous plait... S'il vous plait... Mon mari a laissé des capotes dans le tiroir de la commode..." suppliait-elle éperdue.

-"Ohhhhhhhhh... Owwwwwwwwww... C'est trop gros... Jamais ma chatte ne s'adaptera... S'il vous plait arrêtez... Oh, nonnnnnnnn... Arrrêtez... Arrêtezzzzzzzz... Vous êtes bien trop gros..." grognait Hélène essayant de le repousser à deux mains.

Elle se sentait tendue comme jamais elle ne l'avait été, forcée d'accepter quelque chose d'aussi détestable, d'aussi humiliant. Elle n'avait jamais touchée que la bite de Sam son mari, mais les 9 centimètres de Sam étaient ridicules comparés à la monstruosité qui allait la défoncer.

-"Aieeeeeeeeeeeeeeee... Ohhhhhhhhhhhhhhhhh..." se lamenta-t-elle quand son agresseur lui saisit les hanches et enfouit brutalement la totalité de sa bite dans son étroite petite chagatte sans aucune pitié.

C'était exactement ce dont Hobie avait rêvé en prison, faire payer cette ravissante jeune femme qui n'avait pas cru à son histoire, la faire pleurer de douleur en la baisant d'enfer sur son lit conjugal. Puis Hobie se retira lentement, ne laissant que son bourgeon à l'orée de sa foufoune, puis il la poignarda vicieusement de toutes ses forces. Il voulait faire sentir à cette petite pute toute la colère qu'il avait amassée contre elle. Chaque gémissement, chaque plainte, chaque sanglot faisait les délices d'Hobie qui lui faisait payer un juste prix. Le lit des Mills grinçait comme il n'avait jamais grincé auparavant, la tête du lit heurtait le mur, il menaçait de s'écrouler sous les à coups sauvages. Les longs retraits suivis de brutaux empalements commençaient à affecter les sens d'Hélène, les muscles de ses cuisses se contractaient spasmodiquement, ses muscles vaginaux enserraient la puissante queue qui la poignardait profondément. Hélène ne put endiguer ses émotions plus longtemps, ses jambes ses nouèrent dans le dos de son violeur.

-"Ohhh... Ahhhhh... Ohhhh... Ohhhhh... Ohhhhhh... psalmodiait-elle inconsciemment à chaque puissante pénétration de sa foufoune juteuse.

Puis, délibérément Hobie ralentit son rythme, il voulait rendre folle cette petite salope, lui faire ressentir chaque coup de sa grosse bite noire qui ruinait sa vie.

-"Ohhhhhhhhhhh... Mon Dieu !" Gémissait Hélène, serrant ses cuisses sur le torse de son agresseur verrouillant ses chevilles pour se serrer contre lui pour se faire baiser plus profondément.

Elle ne s'était jamais sentie aussi excitée, jamais un tel brasier n'avait irradiait son entrecuisse, jamais elle n'avait eu un tel besoin de jouir pour rassasier ses sens. Hobie rit en voyant la ravissante jeune femme s'arquer pour aspirer plus profondément sa bite, il savait qu'il bouleversait la vie si rangée de cette petite femme si prude, si guindée. Terrassée par un orgasme sauvage, elle cria :

-"Oh nonnnnnn... Mon Dieu... Oh mon Dieuuuuuuuu... Ne m'abandonnez pas... Ohhhhhhhhhh... Je jouiiiiiiiiiiiiisssssssss..."

Elle l'étreignit étroitement, sa bite ensevelie jusqu'aux couilles dans son ventre palpitant. Hobie adorait la voir succomber à un orgasme d'une telle violence. Cela prit quelques minutes avant que les soubresauts convulsifs cessent et Hobie resta enfoui profondément dans son sexe palpitant. Il rit alors que la naïve jeune femme délirait visiblement, encore sous l'emprise des sensationnelles sensations que lui avait procuré la bite profondément enfouie elle. Il sourit en la sentant se détendre laissant retomber ses bras et ses jambes sur le lit. Un rapide retrait de sa bite provoqua la reprise de l'étreinte de ses bras et jambes tandis qu'elle 'implorait :

-"Ohhhh... Ohhh mon Dieu... Non... Reste en moi !"

Alors il l'embrocha d'un brutal coup de boutoir s'enfouissant jusqu'aux couilles dans la ravissante jeune femme qui larmoyait. Encore heureux que les fenêtres soient fermées, sinon ses enfants l'auraient entendu conjurer :

-"Ohhhhh... S'il vous plait... Je vous en prie... Je vous en prieeeeeeeeee... Ne me faite plus ça... " balbutiait la jeune femme entre deux sanglots.

Alors qu'il accélérait le rythme de son pilonnage, Hélène réalisa que son assaillant noir n'allait plus tarder à lui injecter son foutre gras dans l'utérus.

-"Oh, mon Dieu... il va jouir ! Il va jouir dans mon ventre ! Il va m'engrosser !" réalisa-t-elle avec horreur.

-"Oh s'il vous plait... S'il vous plait... Soyez miséricordieux... Ne jouissez pas dans mon ventre ! S'il vous plait... Vous risqueriez de m'engrosser ! S'il vous plait... Retirez-vous... " le suppliait-elle affolée.

Mais ses plaintes désespérées ne semblaient qu'accroître son plaisir, alors qu'il l'embrochait de plus en plus vite. Hélène ne pouvait que gémir son désespoir en l'entendant répondre ironiquement :

-"Ma chérie... Ma chérie... Tu es si douce et si étroite... Je vais te remplir la chatte avec mon jus de nègre... Je vais te coller un polichinelle noir dans le tiroir, madame Mills ! Oh chérie, ça y est... Je vais jouir salope ! Urgggggggggggghhhhhhh ! " mugit-il le corps secoué de spasme convulsifs.

Agrippant fermement ses cuisses laiteuses, Hobie bourra ses 18 centimètres profondément dans l'utérus fertile et balança la purée.

-"Ooh nonnnnnnnnnnnnnnn..." gémit Hélène sentant la mentule palpitante exploser au plus profond de son utérus, un nouvel l'orgasme la terrassa avec une brutalité inouïe.

Jamais queue ne lui avait explosé si profondément dans son utérus, jamais elle n'avait senti substance aussi chaude lui engorger la fente, jamais son mari n'avait projeté une telle dose de sperme en elle, jamais elle ne s'était senti aussi gorgée de jus fertile, même lors de la conception de ses deux enfants. Son corps répondait à ses assauts, elle cherchait à conserver sa longueur totale en elle, elle verrouillait toujours ses chevilles dans son dos.

Une dizaine de minutes plus tard, Hobie se redressa lentement, sa bite mollissait doucement alors qu'elle émettait toujours de petits jets de foutre glaireux.

-"Alors, remplie à ras bord madame Mills... Je t'ai injecté assez de foutre pour te coller des triplés,  salope !" se marrait Hobie

Sur ces mots, elle se mit à sangloter et à geindre. Hobie rit à nouveau, il se retira d'elle avec un "plop" sonore soutirant un gémissement de honte de la jeune femme dévastée. Hélène, épuisée, pleurant de honte et d'humiliation s'endormit benoîtement. Hobie rampa lentement ne voulant pas l'éveiller pour l'instant, il voulait lui faire une grosse surprise pour la réveiller. Il fit son chemin jusqu'à la fourche de ses cuisses, cette stimulation éveilla la beauté apeurée. Hobie pesait de tout son poids sur la jeune femme effarouchée.

-"Ahhhh... Nonnnnn... Nonnnnnnnn... Laissez moi... Relevez-vous... Relevez-vous... Je vous en prie..." grommelait Hélène éperdue.

La jeune femme effrayée se voyait à nouveau clouée sur sa couche par cet homme qui venait de la violer si brutalement dans son lit conjugal. Hélène regardait, incrédule, son violeur s'agenouiller au-dessus de sa tête masturbant sa grosse bite à quelques centimètres de son visage horrifiée. Elle réalisa tout de suite ses intentions. Haletante, en plein désarroi, elle respira profondément, mais son corps réagissait à l'odeur immonde se dégageant de sa bite, elle sentait son estomac soulevé par des hauts le cœur.

-"Tu vas goûter ma semence de noire madame Mills !" grinça Hobie lui immobilisant les bras sous ses jambes.

Il sourit en voyant une horreur folle s'inscrire sur son visage, ses yeux tournaient dans leurs orbites alors qu'elle fixait les 18 menaçants centimètres de chair noire. Hélène pleurnicha sourdement :

-"Oh mon Dieu... S'il vous plait... Nonnnnnnn... Mon Dieu... ça pue !"

Sur ces commentaires, Hobie entreprit de frotter sa bite sur le visage de la beauté qui se remit à sangloter frissonnante.

-"Oh, s'il vous plait... Je vous en prie, laissez-moi... Je vous en prie, je... Je n'ai jamais sucé personne, c'est trop sale ! Je vous en prie... je n'ai jamais fait ça, même pas à mon mari !" implorait Hélène ses longs cheveux volant en vain de gauche à droite.

-"Ma chère madame Mills, je vais te faire goûter un peu de jus noir... Es-tu contente de pouvoir goûter à la semence d'un noir, madame Mills ?" ironisait Hobie sacarstique.

Hélène se remit à sangloter agitant la tête de droite à gauche en guise de réponse.

-"Ouvre ta jolie bouche pour moi madame Mills... Tu vas goûter la bite d'un nègre..." ricana à nouveau Hobie se moquant de ses plaintes.

Puis pour l'humilier d'avantage, il promena son gland turgescent sur son visage crispé.

-"Ouvre les yeux ma salope de chienne ! Je veux voir tes yeux bleus si innocents quand tu vas me sucer la bite... Ouvre les yeux ou je descends m'occuper de tes fils !" la menaça-t-il fatigué de la voir hésiter.

Comme il se relevait, Hélène soudainement empoigna les hanches de son violeur noir, voulant l'empêcher de descendre s'en prendre aux enfants. Elle frémit, révulsée par ce qu'il lui demandait de faire, cherchant à se détourner de la puanteur émanant de sa bite. Mais elle se devait de protéger ses deux fils, peu importe ce qu'elle devrait faire pour cela. Il pressait maintenant son bourgeon puant contre ses lèvres.

-"Ouvre ta délicieuse petite bouche madame Mills ! Ou préfères-tu que je m'occupe de tes chers petits..." menaça-t-il à nouveau.

Hélène sanglota de désespoir, de grosses larmes roulèrent sur ses joues alors qu'elle entrouvrait avec hésitation ses lèvres. Quelques gouttes de sperme suintaient déjà de son méat, il enduisit ses douces lèvres de cet infecte mixture. Les épais doigts noirs profondément enfoncés dans sa chevelure, la menace pesant sur la tête de ses deux enfants, convainquirent Hélène d'ouvrir la bouche pour avaler la grosse bite noire. Son corps se mit à trembler, jamais elle n'aurait pu penser que quelque chose puisse sentir si mauvais et avoir si mauvais goût, elle saliva pour diluer les souillures polluant sa bite sale. Ses mâchoires fortement distendues lui faisaient mal, elle tremblait de honte à l'idée de se livrer à un acte aussi dégradant, un acte qu'en dépit de ses supplications elle ne s'était jamais livrée jamais même sur son mari. Et voilà que maintenant, sous la menace, elle faisait une fellation à ce méprisable colosse noir. Elle ne pouvait échapper à la bite de son agresseur noir, son mari ne l'embrasserait plus jamais s'il venait à savoir qu'elle s'était soumise à cet acte dégradant.

-"Mon Dieu... Comme tu as les lèvres douces, madame Mills... Ahhhh, si seulement votre époux pouvait vous voir à cet instant ! Que dirait-il s'il voyait sa femme sucer la bite d'un nègre ?" gémit Hobie enchanté, pensant ainsi accroître l'humiliation de la naïve jeune femme.

Il savait qu'elle aurait préféré mourir plutôt que de devoir sucer la queue d'un nègre, mais la menace planant sur la tête de ses enfants l'obligeait à lui complaire servilement. Voir une jeune femme blanche dans cette situation infâmante le ravissait.

-"Ahhhhhhhhhh... Oui comme ça... bouffe-moi la queue madame Mills.... Régale toi de ma jouissance de nègre... Ahhhhhhhhhh ouiiiiiiiiiiii..." grogna-t-il sourdement serrant fortement la tête de madame Mills alors qu'il jutait dans sa bouche soumise.

L'épaisse queue du noir était bourrée au fond de sa gorge paniquant la jeune femme incapable de respirer. Lentement la grosse bite perdit de son volume et glissa doucement hors de sa bouche. Elle était horrifiée à l'idée d'avoir sucé une grosse bite noire dont elle venait d'avaler la semence. Hobie rit à gorge déployée tout en ôtant sa bite de sa bouche, un filet de foutre s'étira entre ses lèvres et la grosse prune. Il regardait la prude jeune femme frissonner de dégoût de ce qu'elle venait de subir. Il se marra à nouveau alors que la fragile beauté empoignait son estomac et courait dans la salle de bain, vomissant dans le bassin, l'épaisse semence qu'elle venait d'ingurgiter.

Se relevant, il rejoignit la malheureuse jeune femme dans la salle de bain, fermant la porte dans son dos. Il savait que personne ne pourrait entendre de cris émanant de la salle de bain insérée dans la chambre. Une grosse main caressa les hanches d'Hélène toujours penché sur le bassin, tousser crachotant l'immonde substance ingérée.

Elle comprit alors qu'il avait l'intention de la prendre bestialement. Se raidissant pour résister à cet infâme assaut, elle se dit que ça ne pourrait pas être pire que son viol initial. Ce n'est qu'en sentant son gland peser sur son délicat petit anus affolé qu'elle comprit les véritables intentions de son sauvage agresseur. Elle frémit, figée peur, elle se rappelait que Sam avait tenté de lui faire l'amour par l'anus ce qui s'était terminé en pugilat.

-"Oh s'il vous plait... Non... Pas ça... Personne ne m'a jamais... Je vous en prie !" sanglotait t-elle, implorant miséricorde.

Hobie avait bien du mal à croire en sa bonne fortune, une petite pucelle du cul rien que pour lui. Empoignant les tendres hanches, il se positionna en bonne place, et s'élança de toutes ses forces.

-"Aaeeiiiieeeeeeeee... Nonnnnnnnnnn... Nonnnnnnn... Argggggggggghhhhhhhhhh... Ohhhhhhhhhhh, mon Dieuuuuuuuuuu... Ca fait malllllllllll... Si mallllllllllll... Hurlait Hélène se déchirant la voix alors qu'il lui labourait impitoyablement l'anus, ses mains enserrant fermement son bassin.

Il ne lui avait fourré que 6 cm dans le trou du cul, dans ce coup de boutoir initial. Hobie se releva, banda ses forces et l'embrocha encore et encore.

-"Aarrrgggggghhhhhhhhh... Ohhhhhhhhhhh... " s'époumonait-elle alors que la queue s'enfouissait jusqu'à la garde dans son trou du cul meurtri.

Hélène pensait mourir de cette douleur déchirante. Elle vagit honteuse et humiliée alors qu'il la pilonnait sans pitié. Elle n'aurait jamais imaginé quelque chose d'aussi douloureux que cette sodomisation sauvage puise exister. Elle vagit alors que les mains enserrant sa taille se dirigeaient vers sa fente, il se mit à doigter sa fente engorgée de foutre chaud.

-"Ohhh... Ohhhhhh... Ohhhhhh... Ohhhhhhhhhhhh... " s'époumona-t-elle éperdue sous l'effet de cette stimulation indésirable.

Hobie avait du mal à se pénétrer de sa chance de casser le cul vierge de cette beauté, son stupide mari ne savait pas ce qu'il avait manqué. Cette adorable salope se rappellerait toujours celui qui lui avait cassé le trou du cul le premier, et c'était la grosse bite noire d'Hobie.

-"Oh chérie... je vais juter dans ton trou du cul... Je vais te remplir les entrailles de mon jus de nègre ! " mugit-il lourdement.

Sa bite se mit alors à palpiter dans le fourreau étroit, lui projetant des torrents de sperme dans ses entrailles meurtries. Hélène vagit, son corps tremblait sous les caresses de son clito et le flot de foutre lui engorgeant le colon.

Hobie retira lentement sa bite de son trou du cul, et Hélène s'effondra sur le sol.

Une heure plus tard, Hélène se réveilla en entendant des coups frappés à la porte de la salle de bain, allongée sur le carrelage froid, elle entendit la voix de Sam lui demandant si tout allait bien. Elle savait déjà qu'elle ne pourrait pas lui parler de l'infamant viol et de cette brutale sodomisation qu'elle venait de subir. Elle ne voulait pas risquer de le voir se détourner d'elle, souillée par ce nègre qui voulait ruiner sa vie. Elle lui répondit que tout était parfait, qu'elle n'allait pas tarder à sortir de la salle de bain.

Quand la porte de la salle de bains s'ouvrit, Sam s'étonna de voir sa ravissante femme mettre si difficilement un pied devant l'autre. Il s'avança pour l'aider lui demandant ce qui lui arrivait, il l'aida à gagner son lit où elle put récupérer de sa "chute". Il la prévint qu'il allait commander une pizza pour dîner, ainsi elle pourrait rester au lit. L'idée qu'en fait de chute elle avait été agressée n'effleura même pas Sam.

Une semaine plus tard, soucieuse de complaire à son mari, Hélène se mettait en quatre pour lui faire plaisir. Dans le secret de leur chambre, elle le surprit en adoptant un comportement bien plus agressif sexuellement parlant. Elle prit sa bite entre ses mains et se pencha sur lui embrassant d'une langue mouillée son gland palpitant. Le branlant tendrement, elle flattait son gland turgescent. De surprise, il lâcha quelques jets gluants dans les airs.

Mais il s'endormit tout de suite sa bite mollissant doucement dans la paume de la main de sa femme frustrée.

Le lendemain soir, Hélène se positionna à quatre pattes empoigna la bite de son mari et le pressa à l'entrée de son anus. Craignant souffrir de sa pénétration, elle fut choquée de la facilité avec laquelle son mari la pénétra, l'obligeant à feindre une certaine douleur qu'elle ne ressentait pas. Elle était totalement abasourdie lorsqu'il grogna après quelques coups de boutoir jaillissant dans ses entrailles alors qu'il était ravi d'enfin pouvoir lui "casser" le cul. Elle était encore folle d'excitation lorsque épuisé il se mit à ronfler à son coté.

Le samedi suivant, Hélène et Sam ouvrirent la porte de devant, les garçons foncèrent dehors. Un match de football était programmé, suivi d'un buffet froid, la journée allait être longue. Hélène empoigna son estomac, leur disant que ce devait être quelque chose qu'elle avait mangé. Comme le match allait commencer incessamment sous peu, elle leur dit qu'elle les rejoindrait plus tard si elle sentait mieux, elle les embrassa tous leur intimant de partir pour le match.

Elle retourna à la porte d'entrée et rentra chez elle, et les regarda partir par la fenêtre. Tournant les yeux vers la voiture garée dans le virage, Hélène se mordit les lèvres alors que la portière s'ouvrait sur un visage familier, l'homme se dirigeait vers son domicile. Entendant des pas sur le seuil, puis la sonnette tinter, Hélène ouvrit lentement la porte permettant à l'ex-détenu de rentrer.

Une demi heure plus tard, Sam et les autres parents sur le terrain de football sautaient de joie et tapaient des pieds en hurlant alors que l'aîné des Mills marquait un but. A l'instant même où son fils scorait, Hélène était aussi emportée par une vague de plaisir, elle gémissait sourdement alors que son visiteur la levait dans les airs la clouant au mur. Elle avait verrouillé fermement ses jambes sur sa taille, puis il la transporta ainsi, empalée sur sa bite turgescente jusqu'au lit conjugal. A chaque pas, elle sentait sa grosse bite palpiter dans sa foufoune embrasée.

A la fin du match, l'entraîneur de l'équipe offrit un coca cola au cadet des Mills pour la qualité de sa prestation, le gamin étancha sa soif. C'était malheureux que sa mère n'ait pu voir le match pour assister à ses exploits, mais à cet instant même elle avalait un bon bol de foutre, un toast en l'honneur d'Hobie le meilleur baiseur qu'elle ait jamais connu.

Alors que Sam et ses fils rentraient à la maison, un couinement de pneus malmenés retentit derrière eux, une voiture les percuta violemment, ils grognèrent de douleur sous l'impact.

Au même instant, dans le lit des Mills, madame Hélène Mills couinait alors que la grosse bite raide d'Hobie s'engouffrait brutalement dans sa chatte la faisant grogner de douleur sous l'impact.

Peu après son accident Sam téléphona à sa femme qu'ils seraient un peu en retard, il s'inquiéta de l'entendre haleter au bout du fil, mais Sam n'avait pas à se tracasser, sa jolie femme cherchait seulement à reprendre haleine alors qu'une grosse bite noire coulissait frénétiquement dans sa chatte embrasée.

Quand Sam Mills atteignit la maison avec ses fils, il les envoya jouer dans l'arrière cour. Puis il monta retrouver son adorable femme espérant qu'elle irait mieux. Il faisait froid dans la chambre, Les fenêtres étaient grandes ouvertes, pourtant Hélène gisait en position fœtale au milieu du lit, le visage écarlate et suant à grosses gouttes. Il posa sa main sur son front en la voya-t haleter, lui demandant où elle avait mal.

Elle fit un signe de tête à son époux, tremblant sous l'effort qu'elle faisait pour resserrer les muscles de son vagin et de son cul qu'Hobie avait été violemment distendu pour les adapter à ses mensurations. Elle était heureuse de voir que l'air frais avait rapidement chassé l'odeur de rut qui embaumait la chambre quelques minutes plus tôt.

Alors que Sam ouvrait la porte du garage, Hobie ouvrait la porte de derrière pour quitter l'adorable jeune femme agenouillée qui s'efforçait d'avaler les derniers gorgées de foutre qu'elle avait en bouche.

Hélène était toute congestionnée à la suite de la course effectuée pour se ruer dans la chambre ouvrir les fenêtres et s'allonger dans le lit avant l'arrivée de son mari.

A suivre...

lundi 25 avril 2022

Nathalie Ch. 01

Récit érotique écrit par Emile Hubert.

 *****

Rencontre avec Hassan.

J'ai décidé, moi aussi de me raconter. Enfin plus particulièrement les épisodes les plus chauds. Mais tout d'abord le contexte. Je m'appelle Nathalie, quarante et un ans, professeur de mathématiques dans un des lycées d'une ville de moyenne importance, mariée avec un homme de deux ans mon aîné, cadre (moyen) commercial, mère d'une fille d'un premier et bref mariage vivant à l'autre bout de la France.

Je dois confesser que l'on me dit assez jolie femme, cela ne me déplaît pas. Je suis de taille moyenne, un mètre soixante-sept, l'âge, mon unique maternité, et la gymnastique ont fait que j'ai encore une silhouette assez fine, bien en chair mais fine, des jambes pas trop mal faites, des cheveux plutôt courts bruns auburn avec des reflets roux. Bref je n'ai pas à me plaindre, surtout et toujours à ce que l'on dit j'ai deux atouts, mes yeux et mes seins. Des yeux verts qui m'ont toujours valu des compliments et un 95D, finalement encore très ferme, qui a fait la joie de mes flirts d'antan et celle de mon mari.

Pour achever cette présentation sommaire, comme beaucoup de gens de notre âge, en ce qui concerne les relations sexuelles, il faut bien dire, ma foi, qu'elles se sont bien espacées au fil du temps. Nous avions et avons des rapports classiques, de temps à autre, je pratique à mon époux les fellations qu'il souhaite. Si cela m'arrive encore, je m'aperçois que j'apprécie de moins en moins avaler sa semence. Il est autre chose que j'apprécie de moins en moins c'est la sodomie, que nous ne pratiquons plus que dans les rares et grandes occasions… En conclusion nos relations commençaient vraiment à tiédir et je pense que même si elles n'ont jamais été très forcenées, elles n'en demeuraient pas moins satisfaisantes, en fin je crois, ou du moins je croyais. 

Depuis un certain temps, je constatais que Pascal passait de plus en plus de temps sur Internet à regarder des sites érotiques. Gentiment, je me moquais de lui et de temps à autre, il me demandait de venir lire en sa compagnie les témoignages relatés de nombreuse personnes. J'avoue que certains ne me laissaient pas de marbre, mais j'étais à mille lieues de penser qu'un jour j'aurais quelque chose à raconter. 

Un soir de week-end, après une douce étreinte, Pascal me demanda :

- Tu n'as jamais envisagé de faire l'amour avec un autre homme ?

Tombant des nues je répondis :

- Non, jamais… Quelle mouche te pique, pourquoi veux-tu que je te trompe ?

- Tu es une jolie femme, ma chérie, je suis persuadé que tu ne manques pas de soupirants.

- Écoute, je t'aime, tu me connais, je ne suis pas du genre à me laisser draguer.

Là, je mentais un peu… Quelques collègues avait bien essayé…

- Je sais que tu m'aimes, moi aussi, tu me traiteras de cochon, mais je crois que j'aimerai bien te voir faire l'amour avec un autre…

- Allez ! arrête avec cela, il n'en est pas question.

Penaud il n'insista pas… Moi qui le pensais jaloux comme un tigre… Sa quarantaine ne l'arrangeait pas…

Après quelque temps, il revint à la charge, et puis encore… Je commençai à me lasser de son insistance… Il me conseilla de lire les témoignages des lectrices qui avait essayé. Quelle idée me passa par la tête un mercredi ? Mes copies corrigées, je me mis à l'ordinateur pour y faire un peu de ménage. Rapidement je découvris plusieurs fichiers où Pascal avait copié les récits dont le point commun dans la relation des ébats étaient la multiplicité masculine. Effectivement, celles qui écrivaient avaient l'air de se réjouir d'avoir fait le premier pas et en faisaient rapidement d'autres… Mais de là, moi, à passer ce cap… Non, non… 

Mais mon mari continua son travail de sape et en définitive, je dois reconnaître que comme une mauvaise graine, l'idée germa dans mon esprit. Je commençai à imaginer des choses osées… Et parallèlement les regards des hommes me laissèrent de moins en moins indifférente. Je me mis même à être encore un peu plus féminine (dans le respect des convenances dûes à mon poste de professeur, mais quand même…).

Pascal le remarqua et insista une dernière fois… victorieusement. Je me laissai aller à lui dire que j'étais d'accord sur le principe. Sur le champ il me fit l'amour comme il ne l'avait pas fait depuis longtemps. Il fallut passer aux détails pratiques. Pas facile ! qui, où, comment ? Un de nos amis, pas question ! un collègue, non plus ! un inconnu mais où trouver l'individu adéquat. Pascal eut recours à Internet et sur un site spécialisé, il laissa une annonce.

Il fut convenu que se serait moi qui choisirai l'élu, si l'un d'eux me convenait. Les réponses furent nombreuses. Il semblait que le monde fut peuplé d'étalon en rut qui ne demandaient que cela. Les envois furent variés, accompagnées parfois de photos et de commentaires dont je me rendis compte à ma grande honte que la vulgarité était loin de me choquer. Mes yeux s'arrêtèrent quelques instants sur une photo.

 Trop tard Pascal avait remarqué ! Il s'agissait d'un beur, à priori, d'une trentaine d'années, bien fait de sa personne, le texte de réponse était sobre. La seconde photo était plus explicite, certainement sportif, vu la carrure et les abdominaux c'était son bas ventre qui attirait l'attention, enfin, mon attention. Il avait un sexe très long et d'un diamètre troublant, Pascal souffrait de la comparaison…

- C'est lui qui te plaît, n'est ce pas chérie ?

Je ne pus le nier. Ravi, mon mari lui adressa aussitôt un courriel pour un premier contact. Il s'y rendit seul emportant quelques photos de moi (habillées et à la plage). Plus anxieuse que je voulais bien le reconnaître, j'attendis son retour avec impatience. L'air réjoui il m'annonça que tout s'arrangeait bien et que nous le rencontrerions le lendemain pour boire un verre.

J'eus du mal le lendemain à assurer des cours irréprochables, mes pensées étaient ailleurs. Le soir venu, je me préparai, jupe, chemisier, un tout petit peu plus maquillée qu'à l'accoutumée. Pascal me trouva délicieuse, et me trouvant l'air (un peu trop) sage, il défit un bouton supplémentaire de mon corsage (comme si les regards ne se posaient pas assez à cet endroit).

En arrivant dans le bar, j'étais dans un état d'agitation incroyable. J'avais honte de moi, j'allais évaluer un inconnu pris au hasard d'une photo, pour que par la suite, il me fasse l'amour devant mon mari. Il était là, et mes jambes tremblotaient quand Pascal nous présenta. Nous fîmes superficiellement connaissance. Célibataire, il répondait souvent à ces courriers comme le nôtre, car il aimait bien "se faire révéler à elle-même, des femmes un peu chastes qui se découvraient une autre personnalité dans ce genre de rapport". La situation était un peu surréaliste, la conversation était un peu empreinte de mondanité alors qu'en fait, il ne pensait qu'à me baiser, mon mari à le voir faire et y participer, et moi… Eh bien c'était acquis, j'étais prête à me laisser faire. En me regardant, Pascal l'avait compris, j'avais cédé à son caprice et bientôt c'était à Hassan que je céderais. Un bref échange de certificats médicaux et Pascal l'invita pour le samedi soir suivant. Ciel, c'était dans trois jours. En nous quittant, il me prit par la taille, me déposa un baiser dans le cou en disant (assez haut pour que Pascal entende) qu'il me trouvait très désirable et qu'il saurait me donner beaucoup de plaisir.

Jeudi, vendredi, la température montait… irrémédiablement ! Le samedi matin, j'allais chez le coiffeur. En rentrant Pascal m'attendait avec un paquet.

- La tenue que j'aimerais que tu portes ce soir !

Tenue, tenue, vite dit ! Il ne s'agissait en fait que d'un porte-jarretelles et de bas noirs. Le tout était accompagné d'une nuisette en voile noire transparente, à fines bretelles totalement ouverte devant (ne fermant que par une agrafe sous les seins) et s'arrêtant juste au niveau du pubis.

- Pour qui veux-tu me faire passer ? Demandai-je.

- Allons, détends-toi ! tu sais très bien qu'Hassan ne vient pas enfiler des perles… Dans cette tenue il aura encore plus envie de toi !

J'admis… En contrepartie, j'indiquai à Pascal que je ne souhaitais pas avaler la semence d'Hassan, ni me laisser prendre par-derrière. Sans promettre mon époux en convint.
 
Je songeai quand même que cela faisait terriblement banal et un peu cliché quand même… le genre petit bourgeois souhaitant se dévergonder, la prof vertueuse, le mari complaisant, le jeune beur bien membré, et maintenant la tenue sexy, après tout qu'importe… je ne pouvais plus reculer.

Je me préparai donc pour le sacrifice. L'image renvoyée par le miroir était certes différente de l'habitude. Bien coiffée, bien maquillée, en petite tenue, j'y avais ajouté de chaussures un peu hautes, j'étais prêt à satisfaire le caprice de mon mari. J'avoue qu'en cet instant j'avais envie… envie d'Hassan.

Pascal me trouva superbe, la bosse de son pantalon en témoigna. L'heure approchait. J'étais agitée et nerveuse comme une puce. Allais-je être à son goût, n'allait-il pas me trouver un peu vieille, saurais-je lui plaire, le contenter, n'avais-je pas trop l'air d'une catin ou pas assez. Pascal parvint difficilement à me calmer… jusqu'au coup de sonnette. Mon cœur s'emballa. Pascal me dit alors :

- Va lui ouvrir, comme cela il n'y aura pas d'équivoque !

Le pouls à deux cents à l'heure j'obéis et ouvris… Ses yeux me rassurèrent…un peu. Fleurs, champagne et compliment sur ma tenue, je le débarrassai. Bisou dans le cou, il me prit par la taille, en entrant dans le salon, sa main caressa mes fesses nues, je frissonnai. Nous prîmes place sur un canapé et pendant que Pascal ouvrait la bouteille, il m'attira vers lui pour m'embrasser longuement. 

C'était la première fois que j'embrassais un autre homme que mon mari, cela me fit tout drôle. Néanmoins je lui rendis son baiser à pleine bouche, lui offrant ma langue. Pascal revint avec verres et bouteilles. Hassan me relâcha, Pascal porta un toast "à notre rencontre" puis avant que nous ne buvions, Hassan fit sauter l'agrafe de ma nuisette dont les pans s'écartèrent mettant à nu mes seins aux pointes dressées par l'excitation et porta un second toast "à la beauté des seins de Nathalie". De nouveau, il me prit les lèvres, mais cette fois en me caressant des seins. Mmmmm j'étais bien, il savait y faire. Il se leva, me fit lever, puis fit glisser les bretelles de la nuisette, la rattrapant au vol. Il la lança à Pascal en lui disant que je n'en avais plus besoin. Je sentais la fièvre m'envahir et mon vagin se tremper. Il me prit les mains, les posa sur sa braguette en disant :

- Libère-moi !

Je défis le pantalon et ooooooh ! La photo n'était pas truquée… Quel engin ! Deux fois, non ce ne serait pas flatteur pour mon mari d'une taille normale me paraissait-il… mais là… Il prit mes mains pour les refermer sur son sexe et me les maintint ainsi quelques instants. Puis il se recula pour reprendre sa place assise. Les deux mains toujours emprisonnées, je le suivis. Lorsqu'il fut assis, je me retrouvai penchée au-dessus de lui. Je compris son désir. Je m'agenouillai, il ouvrit les jambes, je me mis en leur milieu. Après un rapide coup d'œil à Pascal comme pour lui dire "regarde, c'est ce que tu voulais ?", je m'abaissai et après avoir déposé plusieurs baisers sur le sexe comme pour savourer le satiné, puis léché consciencieusement la hampe, ouvrant le bouche en grand j'embouchai la belle verge brune. Je fis de mon mieux alternant lèvres, langue caresses sur la tige ainsi que sur les testicules gonflés à souhait. Apparemment satisfait, il complimenta :

- Ta femme suce bien, viens la baiser, elle doit-être chaude maintenant, cela me facilitera les choses tout à l'heure !

Cela me fit tout drôle d'entendre parler de moi comme cela. Drôle mais mon enfièvrement monta d'un cran. Pascal se mit nu rapidement et se plaça derrière moi. Vu l'état dans lequel je me trouvais, il me prit d'une seule poussée bien à fond. Trop excité, je le comprenais fort bien, il se déversa rapidement et me laissa, je dois le dire un peu sur ma faim.

Je continuai à bien pomper Hassan, le faisant soupirer. Celui-ci approuvait mon ardeur et m'encourageait. Passant les mains sous moi, il me faisait plus ou moins délicatement rouler les tétons ajoutant encore à mon émoi. En fait, je n'avais plus qu'une envie malgré la taille, qu'il me baise. Je fus déçue quand il annonça :

- Vas-y, pompe à fond, prends-moi aussi les couilles, je vais tout te lâcher, tu vas tous avaler comme une bonne suceuse que tu es !

Il me maintint légèrement la tête, en fait, il n'avait même pas besoin. Malgré ce que j'avais dit, et mon écœurement actuel, je désirai ardemment absorber son sperme. Je ne fus pas déçue sur la quantité. Le sexe enfla dans ma bouche et les jets m'envahirent la bouche. J'eus même du mal à déglutir. Je ne le lâchai qu'après avoir tout absorbé. 

Je bus vite une coupe de champagne, et me sentis un peu honteuse devant mon mari qui me rassura :

- Je t'aime, tu étais très belle ma chérie !

Hassan nous fit un redescendre sur terre en demandant où se trouvait la chambre, car il désirait me baiser à présent. Le fait était qu'il était toujours en érection. Le prenant par la main, je le guidai. Pascal nous suivit avec la bouteille. Hassan me fit allonger sur le dos, puis ouvrir les cuisses en grand. Prenant son pénis en main, il m'en caressa les lèvres et le clitoris. Puis il positionna son gland à l'orée de mon fourreau et doucement commença à me pénétrer. Ce fut extraordinaire, je sentais les parois de mon vagin se distendre pour pouvoir épouser le mandrin qui me forait. Il ne s'arrêta qu'une fois au fond de ma matrice. Ouuuh j'aimais, je n'avais connu une telle sensation de remplissage. Cette sensation fut démultipliée quand il commença à bouger. Terrible, c'était terrible, mais terriblement bon,. Il m'embrassa en me baisant. Puis pour "mieux me mettre à fond" il me plaça les jambes sur ses épaules. Ainsi il pouvait s'enfoncer de tout son poids sur la pauvre chose gémissante que j'étais devenue. Pascal, vu notre position, ne pouvait pas trop apporter son concours, je le regrettai et lui tendis la main. Hassan vit le geste dit :

- Ne t'en fais pas, je te reprendrais tout à l'heure dans une autre position et ton mari pourra participer !

Sur cette promesse, je me laissai aller à ma jouissance. D'habitude sans être muette, je n'ai pas pour habitude de hurler à la mort. Mais là… c'était autre chose… je vociférai ma jouissance. Il me pilonna de plus belle et en rugissant me rejoint dans l'orgasme m'inondant le vagin.

Sa verge avait quand même diminué lorsqu'il se retira à l'inverse de Pascal qui lui devant le spectacle offert était raide comme un piquet. J'avais besoin de souffler un peu après cette jouissance inhabituelle. Mon chéri fit contre mauvaise fortune bon cœur et nous nous décidâmes pour une  collation. Cela me faisait un peu bizarre. Certes ce n'étais pas la première fois que je mangeais nue, mais là, en compagnie de mon mari nu et celui qui venait de devenir mon amant nu également c'était étrange. Il ne fut question que de sexe pendant ce court intermède et les mains de ses messieurs étaient le plus souvent sur moi. De même, il m'arriva assez souvent de tenir un sexe dans chaque main. Surprenant tout le monde par son autoritarisme, Hassan exigea :

- Allez Nathalie, au lit, on remet ça !

Interdite, je me levai comme un automate et le suivit. Apparemment statufié, Pascal nous laissa aller. Il me dit de mettre à quatre pattes et qu'il allait me prendre en levrette et appela Pascal. Dans les instants de forte excitation j'aime assez cette position. Aujourd'hui cela allait être grandiose, j'en étais certaine. Une fois que j'eus pris la pose il m'enfila. Oui, pas d'autre terme il m'enfila et en une seule poussée, commentant :

- Aaah, ça va mieux que tout  à l'heure !

Et il invita (un comble) mon mari à venir se faire sucer. Il me tenait par la taille, ou parfois par les seins qu'il malaxait et me perforait à grand renfort de va-et-vient, me précipitant sur la verge de Pascal. J'étais aux anges… ou aux diables… Hassan apostropha Pascal :

- Elle aime vraiment la baise ta femme, tu la savais aussi vicieuse ? elle se fait reluire comme une roulure !

- C'est vrai, je ne l'ai jamais vue ainsi, profites en bien, baise là cette femelle en chaleur… hein chérie que tu es une femelle en chaleur ?

- Mmmmm !

Pas facile d'articuler une verge dans la bouche.

- Je ne t'ai jamais vu comme cela Nathalie, ça va être ta fête, Hassan… encule-là, elle en meurt d'envie !

Le salaud ! je lui avais pourtant demandé de m'éviter cela… Si je veux être complètement honnête, je me doutais un peu que j'y aurais droit. Dire que je l'espérais est trop fort, disons que je m'y attendais plus ou moins et surtout je redoutais cette intromission d'un membre si fort pour un orifice si étroit.

Inutile de vous dire que la perspective réjouit Hassan et il se retira de moi en disant :

- Bonne idée que tu as là… j'ai eu envie de son petit cul dès que je l'ai vue…

Je sentis sa bouche se poser sur ma corolle et sa langue me l'enduire soigneusement de salive. Un doigt pénétra mon conduit annelé et un entama un mouvement concentrique. Un second doigt le rejoignit bientôt et en plus des mouvements circulaires, il écartait les doigts pour m'étirer et me distendre les parois. Il me les enfonça de toute leur longueur. Cela peut paraître illogique, mais à ce moment-là, je m'aperçus que j'avais vraiment envie d'être sodomisée et d'appartenir à Hassan comme une chienne. Lorsqu'il fut satisfait de son travail préparatoire, il m'écarta les fesses et je sentis l'énorme gland buter contre mon anus. Je l'avais eu dans la bouche, je savais à quoi m'attendre… Il se mit à pousser lentement, sans brutalité, mais inéluctablement, perforant mon anneau. Puis comme il fallait s'y attendre mon sphincter céda… un peu douloureusement. Je croyais naïvement que le plus dur était fait et qu'une fois la tête passée le reste suivrait aisément. Non pas ! L'énorme gland faisait certes office de bélier, mais le reste était si épais qu'il me meurtrissait les chairs. Mon mari en me caressant les cheveux m'encourageait à supporter l'outrage brûlant, enfin à sa façon, puisque lorsque Hassan marqua un temps d'arrêt, il m'informa :

- Tu sais, tu ne l'as qu'aux deux tiers, il en reste un bon morceau, mais il va te la mettre en entier…
 
Ainsi encouragé, Hassan prit son élan et poursuivit son inexorable progression. Dans un dernier coup de rein qui me fit gémir, il me finit… Je me rendis compte que je sentais ses couilles contre ma chatte laissée béante, il me l'avait enfilée à fond. Plein de considération, il marqua un temps d'arrêt et petit à petit mes muqueuses s'accoutumèrent à l'impressionnant diamètre. Il se mit en mouvement, doucement, comme s'il allait se retirer, il ressortit, à moitié je pense, puis me réinvestit sans marquer d'arrêt en constatant que "j'avais un petit cul serré de vierge et qu'il allait me le défoncer".

Pascal pendant ce temps me câlinait les seins et les épaules. Hassan se retira complètement, oh ! Peu de temps, car à nouveau, je sentis son gourdin à l'orée du fourreau qu'il avait élargi. Il me saisit par les hanches et…. Cette fois il me l'enfonça bien à fond d'une seule poussée en grognant. J'avais l'impression d'être ouverte en deux, quelle sensation… A partir de ce moment, il se mit à aller et venir, me besognant progressivement. Il invita Pascal à se faire sucer, arguant "qu'elles aiment ça sucer en même temps". Je ne sais pas si "elles" aimaient cela, mais moi…aujourd'hui et pour la première fois : oui. Il fit coulisser son membre dans mon petit cul que je sentais s'élargir de plus en plus et se décrisper. Je ne sais pas quelle en était la cause, le calibre ou la perversion du moment (sûrement les deux) mais je commençais à apprécier immodérément cette sodomie. Si bien que je fus dépitée lorsqu'il se retira me laissant une sensation de vide incommensurable.

Visiblement il avait décidé de changer d'orifice, puisque s'allongeant, il me fit venir sur lui. J''étais déçue qu'il abandonne le verso de ma personne, mais qu'il s'intéresse au recto me plaisait bien également. Je me laissai glisser précautionneusement sur l'axe. Je me promis une chevauchée fantastique. Ses longues mains parcoururent mes seins et mes flancs me faisant frissonner de désir, puis elles se saisirent de mes fesses qu'elles écartèrent. Dans une sorte d'étourdissement j'entendis Hassan interpeller Pascal :

- Viens, viens enculer ta femme, tu vas voir comme elle va couiner…

Je n'avais jamais pensé que cela puisse m'arriver. Il y a quelques heures, j'étais une femme fidèle et maintenant un jeune arabe recruté sur le Net, après s'être fait sucer, m'avoir baisée puis sodomisée, proposait tout bonnement à mon mari de m'imposer une double pénétration. Mon mari qui n'avait pas (lui non plus) l'habitude eut quelques difficultés pour trouver le bon angle, puis parvint à me pénétrer. J'avais lu des témoignages de femme sur cette double possession. Toutes paraissaient ravies… le vivre par soi-même fut ô combien de fois plus extraordinaire que de le lire. La sensation était fabuleuse, je me sentais remplie comme jamais. Sous la conduite d'Hassan les hommes se mirent en mouvement. L'un se retirait, pendant que l'autre s'enfonçait à fond, puis ils alternaient et ainsi de suite. Je sentais leurs sexes coulisser l'un contre l'autre à travers la fine paroi séparant mes orifices, me déclenchant des vagues de plaisir. Sous l'action de leur coup de piston, je glapis de bonheur, ce qui amusa Hassan qui fit remarquer à Pascal :

- Tu vois qu'elle aime ça se faire mettre en double, comme toutes les autres salopes… hein ! dis voir… dis à ton mari que tu es une salope…

- Chéri, oh Chéri, c'est vrai, il a raison, je suis une salope !

- Nath chérie, si tu savais comme j'attendais ce moment, t'entendre dire que tu es une salope pendant que tu te fais baiser et qu'en plus je t'encule… Hassan à raison , c'est vrai que tu aimes ça… Dis-nous que tu aimes ça…

- Oui chéri, ooooh oui…. Oui j'aime ça tous les deux en même temps, vous allez me faire jouir… Ça va être fort !

Et effectivement vaincue par leurs rythmes la jouissance me submergea. Je sentis Pascal se raidir, lui aussi allait prendre son pied. Il éjacula par longue saccade et Hassan ne fut pas en reste et m'inonda le vagin en m'embrassant goulûment. Ouuuuhhh !

Je restai un moment indolente, les hommes aussi paraissaient calmés. Nous récupérâmes quelque temps échangeant des petits baisers et des caresses légères. Pascal se leva pour aller se désaltérer. Hassan me fit lever et me prit par la taille de façon très possessive (du moins je trouvais) pour le rejoindre. Nous prîmes un verre ou deux et puis Hassan, encore une fois ignorant mon époux me lança :

- Avec les nichons et le cul que tu as, tu es vraiment faite pour la baise. Mets-toi à genoux, j'ai un gros biberon pour toi… Et n'oublie pas de me lécher les couilles…

Sans réfléchir, je m'agenouillai et à nouveau embouchai la grosse tige. Avec mon mari, si d'aventure, je me laissais aller à le prendre dans ma bouche après qu'il m'ait fait l'amour, c'était seulement après l'avoir bien essuyé. Mais en cet instant sans regimber le moins du monde, obéissant docilement, je me mis à sucer ce pénis qui non seulement sortait de mon sexe mais aussi avait été visiter mon petit trou. Il ne mit pas très longtemps à rebander. Se levant et m'entraînant à nouveau vers la chambre, il déclara :

- Cette fois je vais l'enculer à fond, amène-toi, si tu arrives à bander tu la baiseras par-devant !

- Allez, à quatre pattes !

L'ordre claqua, il se mit devant moi avec un air narquois et me dit :

- Si tu veux que je t'encule, il faut que tu me la suces bien… mais… je ne me trompe pas, tu veux que je t'encule ?

- Oui Hassan, je veux que tu m'encules !

- Plus fort, je crois que Pascal n'a pas bien entendu… Qu'est ce que tu veux que je te fasse ?

- Hassan, je veux que tu m'encules… Répétai-je en haussant le ton.

Il se positionna à nouveau derrière moi, ses pouces ouvrirent encore mon anus maintenant plus accueillant. Finalement je me rendis compte que je ne détestais pas le moins du monde cet envahissement anal imposant une fois l'endroit apprivoisé. Cette fois la pénétration fut plus facile et Hassan entama immédiatement ses va-et-vient. Pascal vint nous rejoindre pour l'instant en spectateur. Hassan procédait, tantôt par petits coups rapides de faible amplitude, tantôt par mouvements plus longs qui me faisaient monter des ondes de plaisir le long des reins, parfois même il ressortait complètement pour mieux me reprendre bien à fond, m'arrachant de longues plaintes. Il me limait bien… Tellement bien que cette vision redonna de la vigueur à Pascal.
 
- Tu vois, cela lui plaît de voir sa petite femme prendre du rond, regardes comme il bande… Suce-le ! Commanda Hassan.

Je m'exécutai et pompai Pascal tant bien que mal, car souvent le rythme qui m'était imposé me forçait à le délaisser. Hassan prenait visiblement beaucoup de satisfaction et augmentait l'allure. Cela ne m'était arrivé que très peu de jouir par-derrière, pressentant l'intensité de ce qui allait m'arriver, je dirais même que cela ne m'était arrivé que trop peu… Alors je me lâchai, encourageant Hassan :

- Oui vas-y Hassan c'est trop bon, ouiiii, je vais bientôt partir… encore… oui…oui encore… plus fort, aaaah oui défonce-moi… Chéri, regarde ce qu'il me fait, c'est terrible, oh ouiii, il me remplit complètement, aaaaah… je jouiiiiis…

Suite à ma demande il me pistonna sauvagement pendant qu'un orgasme fulgurant me fit voir trente-six chandelles. Je le sentis énorme entre mes reins… Il se raidit et pendant qu'il rugissait en arabe, des jets chauds se déversèrent dans mes boyaux.

Il resta un moment allongé sur moi, chacun de nous trempé de sueur et essayant de reprendre son souffle. Il se retira lentement me laissant béante avec une sensation de vide que je n'avais jamais connue. Me retournant, il m'enlaça, m'embrassa longuement et me complimenta :

- C'était parfait, tu m’as vidé les couilles comme rarement. Les petites bourgeoises comme toi sont souvent bonnes à baiser mais toi alors… Tu vaux le déplacement… Tu m’excites vraiment avec ta jolie coupe de cheveux de femme bien sage et tes beaux seins… J'espère pouvoir recommencer…

Petit coup d'œil à Pascal qui n'y parut pas opposé, donc je répondis un évasif :

- Oui, peut-être… Nous verrons cela…

Après un dernier verre, un ultime baiser, il nous quitta en nous remerciant chaleureusement et précisant qu'il était à notre disposition. 

Après son départ, Pascal exigea de "sa salope de femme" qu'elle lui fasse une pipe… Qu'elle s'appliqua à faire de son mieux et cette fois en absorba les conséquences avec délectation.

Voilà comment ma vie ce jour-là a radicalement changé, non seulement ma vie mais celle de notre couple dont l'avenir allait se modifier radicalement. 

A suivre…

samedi 23 avril 2022

20 Sur 20 Pour L'enseignante. Ch. 03

Traduction d'un texte de Usm1carbine.
 *****

Gia est de plus en plus avide de bites noires.

Elle ouvre les yeux sur le beau visage de Buck. Il a encore ses bras enroulés autour d'elle. Elle soulève légèrement les couvertures pour regarder une fois de plus la bite qui lui a donné tant de plaisir. Sa main se tend pour le caresser. Le sexe remue et commence à durcir. Gia glisse sa tête vers le bas et effleure le gland de sa langue. Puis elle met la queue dans sa bouche. Les mains de Buck se posent sur sa tête alors qu'il se réveille sous la sensation d'une bouche chaude sur son sexe.

Ses hanches commencent à pousser son membre dure dans sa bouche. Elle a du mal à le prendre, mais elle ouvre grand, le suce et fait tourbillonner sa langue. Elle veut plaire à son héros qui, bientôt, gémit et jouit. Elle sent le sperme chaud envahir sa bouche. Elle fait son possible pour tout avaler, mais du foutre s'échappe à la commissure de ses lèvres. Elle tire la langue pour tout récupérer, puis elle lèche la bite pour bien la nettoyer. Elle l'entend gémir.

Quelques instants plus tard, Buck dit :

- Nous allons être en retard au travail Gia!

Ils sautent du lit et s'habillent pour se rendre à l'université. Ils se séparent dans l'allée de la maison après un long baiser passionné et chacun part de son côté. Dans la voiture, elle se tortille sur le siège à cause de son cul douloureux. Elle est incapable de trouver une position confortable jusqu'à ce qu'elle se gare sur le parking de l'université.

Elle est consciente qu'elle doit aller en classe. Ne voulant pas révéler ce qui lui est arrivé, elle tente de marcher normalement mais c'est douloureux. Elle a pris un petit coussin dans son salon pour le mettre sur sa chaise en classe. Il rend plus supportable sa position assise pendant les cours du matin. Elle se demande si tout le monde a vu son regard de contentement sur son visage.

A l'heure du déjeuner, elle s'arrête dans les toilettes des professeurs. Elle entre dans une cabine, remonte sa jupe et baisse sa culotte. Elle s'assoit sur la cuvette. La douleur dans son cul est insupportable. Gia est une petite femme dont le corps n'est pas fait pour les grosses queues qui l'ont ravagé hier. Mais elle est heureuse d'avoir Buck comme amant. Elle avait toujours fantasmé sur lui et c'était bien qu'il soit si doux avec elle.

Elle remonte sa culotte en essayant de la mettre de façon qu'elle n'appuie pas sur ses blessures et elle baisse sa jupe. Quand elle ouvre la porte de la cabine, elle voit Julius devant elle.

- Tu n'as pas le droit d'être ici! Sors tout de suite! Crie-t-elle.

Le garçon se contente de la regarder fixement. Puis il répond :

- Tu veux toujours enseigner? J'ai des photos de nous. Je crois que ça ne serait pas bon pour toi si elles étaient diffusées. Qu'en penses-tu?

Gia se rappelle les photos prises. Son cœur se serre, il a raison, il peut mettre fin à sa carrière d'enseignante.

- Que veux-tu Julius?

Elle baisse la tête en parlant, elle sait bien ce qu'il veut.

- Je pense que tu devrais être très gentille avec moi ou mes amis. Ça t'évitera beaucoup de maux de tête professeure.

Sa main attrape un de ses seins à travers son chemisier. Elle sent le mamelon se raidir. « Mon Dieu, dans quelle situation s'est-elle mise? » pense-t-elle alors que la main se déplace sur les boutons du chemisier pour les défaire. Ensuite le garçon baisse le soutien-gorge sous les seins et dit :

- Tu as de jolis seins professeure, tes mamelons ont l'air de se sentir bien.

Ils les pincent entre le pouce et l'index avant d'ajouter :

- Mais je crois que ma bite a besoin d'une petite caresse, qu'en penses-tu professeure? Une petite pipe pour Julius?

Lentement, Gia recule et s'assoit sur la cuvette des WC. Nerveusement elle ouvre la braguette de son jean et va pécher sa bite déjà dure dans son caleçon.

- Attends, je veux t'entendre!

Elle jette un regard sur lui avant de prononcer :

- Julius, je veux ton sexe dans ma bouche.

Elle voit un grand sourire s'afficher sur son visage.

- Est-ce le seul endroit où tu veux ma grosse queue professeure?

Elle a honte qu'il la pousse à répondre :

- je veux que tu remplisses tous mes trous Julius. Je t'appartiens.

Elle ferme les yeux de honte. Son envie de bites noirs l'a ruiné elle le sait. Elle veut être une salope blanche qui se fait baiser encore et encore par des hommes noirs. Son corps veut des grosses queues noirs plus que tout. Elle ferme sa bouche sur l'engin devant elle et elle le suce en branlant sa tête dessus. Si seulement Buck pouvait la sauver.

Les mains de Julius sont de nouveau dans son chemisier. Il tripote ses seins et pince ses tétons. Elle sent sa chatte s'humidifier et mouiller sa culotte.

- Tu es une bonne suceuse Gia. Oh, ça ne te dérange pas si je t'appelle Gia non? Mme P. est si formel et je veux t'appeler par ton nom de petite salope blanche. Suce ma bite Gia! Avale le sperme qui va en sortir! Et caresse mes couilles, petite chienne blanche!

Ses doigts pincent plus fortement ses mamelons alors qu'il baise durement sa bouche. Elle sait qu'il va bientôt jouir, ses couilles frémissent dans ses mains.

- Suce ma bite!!! Crie-t-il.

Elle sent le sperme remplir sa bouche et sa gorge. Il en ruisselle un peu sur son menton quand le garçon retire sa bite. Il tire une dernière fois sur les tétons comme s'il voulait les arracher. Il recule. Gia lèche ses lèvres et essuie sa bouche, complètement humiliée par les mots du jeune étudiant. Mais elle sait qu'elle est devenue une salope, une pute à cause des bites noires. Elle sait aussi qu'elle en veut plus.

- Si tu racontes ce qui vient de se passer à Buck, toute l'équipe de football te passera dessus salope. Tu ne pourras plus marcher pendant une bonne semaine.

Julius s'en va. Elle reste assise en essayant de remettre en place son soutien-gorge. Elle reboutonne son chemisier. Mais l'humidité entre ses jambes est toujours présente. Elle prend sa tête entre ses mains et se met à pleurer en se demandant ce qui lui est arrivée. Elle était une professeure respectable et respectée, et maintenant elle n'est plus rien, juste une esclave de bites noirs. Dans son esprit, elle pense « Je dois voir Buck ». Elle part à sa recherche et le trouve dans la salle de musique. Il est en train de nettoyer et laver le plancher.

- Oh Buck! Dit-elle en courant vers lui et en se jetant dans ses bras.

- Gia, nous allons avoir des ennuis si quelqu'un entre. Ce n'est pas privé ici.

Il l'entraîne à l'arrière de la salle où il y a une petite porte. Ils entrent dans la réserve d'instruments.

- Qu'est-ce qui ne va pas Gia? Demande-t-il en la serrant dans ses bras.

- Oh Buck, j'ai besoin de ta bite. Il faut que tu me baises, j'en ai besoin, je vais devenir folle sinon.

Elle caresse son sexe à travers son uniforme et elle sent qu'il réagit à ce contact.

- Mais Gia, nous pouvons nous faire licencier si on se fait prendre à l'université.

Il la regarde et voit le besoin dans ses yeux, ainsi que les larmes qui strient ses joues. Il va fermer la porte et revient vers elle. Gia remonte sa jupe à sa taille et baisse sa culotte puis se dépêche de défaire la fermeture éclair de l'homme.

- J'en ai besoin Buck! Dit-elle en sortant sa bite déjà raide.

Elle se retourne et s'appuie sur une pile d'instrument en lui faisant signe de passer derrière elle. Buck voit qu'elle est très excitée. Son jus coule sur ses cuisses. Il enfonce sa bite dans sa chatte. Ses gémissements emplissent la petite pièce. Il commence à la pilonner en pensant « heureusement que cette pièce est insonorisée » quand elle crie à chaque coup de queue. C'est la première fois que Buck baise sa chatte. Elle aime ça, sa manière forte lui provoque orgasme après orgasme. Ses cris résonnent dans la pièce. Le concierge ne peut pas se retenir trop longtemps alors il décharge son foutre dans le ventre de l'enseignante.

Buck n'avait jamais pensé pouvoir baiser une professeure. Généralement les enseignants étaient trop guindés et trop snobs. Ils lui jetaient à peine un coup d'œil. Mais Gia est différente, elle a eu sa bite et elle aime ça. Il avait déjà baisé deux des employées de la cafétéria, mais Gia était sa première femme blanche qui le faisait jouir. Il sort d'elle et elle se retourne pour nettoyer sa queue avant qu'il ne puisse la ranger. Il écoute les bruits de succion alors qu'elle lève les yeux vers lui, reconnaissante d'avoir eu sa bite noire. Ensuite il la regarde mettre sa culotte et rajuster sa jupe. Alors seulement il met sa bite dans son pantalon et relève la fermeture éclair.

- Viens à la maison ce soir Buck! S'il te plaît?

Il accepte. Elle part et réfléchit à l'évolution de la situation en se demandant si c'est bien ce qu'elle veut. Le reste passe lentement, et quand il est 15 heures, elle rassemble ses cours et se dirige vers la sortie. Ses talons cliquent dans le couloir. Quand elle tourne au coin, elle se retrouve face à face avec Andrew.

- Hé professeure, que cherches-tu?

Il prend sa main et la pose sur son entrejambe.

- Bien deviné!

Il se met à rire alors qu'il la pousse dans une salle de classe et verrouille la porte derrière eux.

- Relève ta jupe et baisse ta culotte, je veux une chatte!

Gia hésite.

- Est-ce que je parle une autre langue salope? Obéis putain!

Une fois de plus dans la journée, elle remonte sa jupe et descend sa culotte.

- C'est bien salope. Montre ta chatte maintenant. Écarte bien avec tes mains.

Lentement elle écarte ses petites lèvres. Le garçon passe un doigt entre ses mains et le glisse profondément dans son sexe.

- J'ai un faible pour les petites chattes blanches. Monte sur le bureau afin que je puisse la remplir.

Lentement elle obéit et s'assoit sur le bord du bureau et glisse dessus jusqu'à ce que ses jambes pendent. Andrew se faufile entre et prend ses chevilles pour les mettre sur ses épaules. Puis sa main guide sa bite vers la chatte exposée. Elle halète quand il pousse en avant et que sa queue s'enterre dans son antre humide. Elle tombe sur le dos sur le bureau et elle peut entendre des sons mouillés tandis qu'il la pilonne.

- Merde professeure, tu aimes ma bite noire n'est-ce pas? Tu es tellement humide que je crois que tu l'espérais.

Dans sa tête, elle se dit qu'il a raison, mais c'est la bite de Buck qu'elle veut, pas celle de ce jeune garçon qui n'a aucune idée de comment faire plaisir à sa partenaire. Bientôt il déverse son foutre dans son ventre. Puis il recule et elle le voit regarder sa chatte ouverte d'où le sperme coule. Il dit :

- Maintenant descends du bureau et nettoie salope!

Elle obéit et lèche sa queue en suivant ses instructions.

- Oui, lèche le gland, suce mes couilles, espèce de pute blanche.

Elle lui obéit sagement, en sachant que plus vite c'était fait, plus vite elle serait tranquille, au moins pour aujourd'hui.

Comme Buck s'était montré hier, les garçons n'oseront pas revenir dans sa maison. En se dirigeant vers la porte elle remonte sa culotte et baisse sa jupe puis récupère sa sacoche. Elle essuie une goutte de sperme sur son menton. Sa culotte est raide maintenant avec le sperme qui avait fui de sa chatte et avait séché sur le tissu. Elle est mal à l'aise.

Elle s'arrête au supermarché pour acheter des produits pour le dîner. Elle va dans les toilettes dame pour enlever sa culotte et la mettre à la poubelle. Quand elle se regarde dans le miroir, elle voit une trace blanche sur son menton, sûrement du sperme séché. Elle mouille une serviette en papier et nettoie sa figure.

Elle retourne à sa voiture et rentre à la maison où elle range ses courses. Elle prend une douche rapide avant de préparer le dîner. Son esprit vagabonde et elle pense à Buck. Immédiatement elle se remet à mouiller.

Quand l'homme arrive, elle lui montre la table et voit la surprise dans son visage quand il se rend compte qu'elle a cuisiné pour lui. Il s'assoit et elle apporte les plats. Ils mangent en discutant et en riant. Puis Buck aide Gia à débarrasser la table et faire la vaisselle. Elle saisit toutes les occasions pour le toucher. Espiègle au début, elle sent les signes avant-coureurs de son corps qui veut être baisé. Elle sait que sa soif doit être assouvie alors elle conduit l'homme jusqu'à la chambre à coucher.

Elle fait glisser les lanières de sa robe fleuri e ses épaules et regarde les yeux de Buck quand elle la fait tomber. Il voit qu'elle est nue, son érection devient de plus en plus visible dans son pantalon. Elle s'approche et se frotte à lui en disant :

- Ce corps est tout à toi Buck. Prends-le et fais ce que tu veux! Baise-moi!

Les mains de l'homme noir commencent à parcourir son corps. Sous la douceur de son touché, sa chatte recommence à mouiller. Elle est obsédée par les bites noires, elle ne peut le nier. Et surtout celle de Buck. Elle s'active pour le libérer de son pantalon et de son caleçon. Sa main se referme sur la grosse queue et elle demande :

- Commande, que veux-tu avoir d'abord?

Elle se laisse tomber à genoux comme une esclave tout en continuant de caresser sa bite.

Buck la regarde et a peur de ce qu'elle devient. Il aime la baiser il n'y a pas de doute. Mais il ne faut pas et il ne veut pas qu'elle soit une esclave sexuelle. Il la remet sur pieds et lui dit :

- Gia, je ne suis pas venu ici juste pour te baiser, j'ai des sentiments pour toi.

Il la serre contre lui et lui caresse le dos.

- Je veux que tu me baises Buck. Remplis mes trous avec cette magnifique bite noire. Je veux la sentir partout.

Elle le repousse, se laisse tomber à genoux et engloutit sa queue avec sa bouche. Puis elle bouge la tête d'avant en arrière pour bien le sucer.

Elle peut le sucer, il peut bien lui laisser faire ça. Mais avant qu'il ne comprenne, la bouche talentueuse l'avait fait jouir. Elle avale et quand il se retire elle dit en se pourléchant les lèvres :

- Mmmmm, quel dessert agréable. A toi d'avoir le tien Buck.

Elle conduit jusqu'au lit sur lequel elle se met à quatre pattes, son cul en l'air.

- Prends le trou que tu veux Buck... Ou les deux... j'aimerai tout ce que tu vas me faire.

Elle écarte ses fesses avec ses mains, exposant sa chair tendre à son regard. Il la rejoint sur le lit et passe un doigt dans le sillon entre ses fesses, caressant son anus et descendant vers sa chatte humide. Elle se cabre contre sa main.

Il saisit sa bite et la conduit dans la chatte brûlante. Elle pousse un cri de joie et pousse son cul contre lui pour savourer le membre dans son ventre. Elle jouit alors que son vagin se contracte sur la queue. Buck la baise avec de grands coups de rein et bientôt il gicle en elle ce qui lui provoque un nouvel orgasme. Leurs cris et gémissements emplissent la chambre. Puis ils tombent sur le lit, épuisés. Leur respiration ralentit et ils sombrent dans le sommeil.

Quand elle se réveille, elle entend la douche, Buck se lave avant d'aller travailler. Rapidement elle le rejoint. Sa chatte mouille à nouveau quand elle voit son corps nu sous l'eau. Elle passe ses mains autour de lui pour saisir sa queue et la ramener à la vie.

Quand il se tourne, elle se laisse tomber à genoux et avale la grosse bite. Elle veut le goût de son sperme une fois de plus. Les mains de l'homme saisissent sa tête et il se raidit. Elle sent le flot de sperme dans sa bouche. Elle gémit et un gargouillement se fait entendre au fond de sa gorge quand elle avale tout le foutre.

Ils se nettoient et s'habillent.

- Retrouvons-nous dans la salle de musique à l'heure du déjeuner Buck. Supplie-t-elle.

L'homme se demande quel monstre il a créé.

A suivre...


jeudi 21 avril 2022

Le dressage de Jane - Tome 2 - 2ème partie

  Bande dessinée de Chris (Xavier Musquera).

  *****
A suivre...

mardi 19 avril 2022

Les Collègues De Mon Mari. Ch. 01

  Texte de Géronimo ou Elko.

 ****

Je m'appelle Blandine.

Je m'appelle Blandine. 49 ans. Mariée à Paul depuis de nombreuses années. Deux enfants, Guillaume, 21 ans et Bénédicte qui vient d'avoir 18 ans. Je suis blonde, les yeux bleus. Issue d'une famille bourgeoise, je ne travaille pas, les revenus de mon époux suffisent amplement à nous faire vivre très convenablement. Il est cadre dans une grosse société et il part souvent négocier des contrats à l'étranger. Nous habitons un pavillon dans une ville huppée de la région parisienne. Élégante, féminine, je suis toujours en jupe et en talons. Pas très grande, j'affectionne les talons aiguilles et contrairement à certaines femmes, cela ne me dérange pas du tout d'en mettre. Et plus ils sont hauts et fins, plus j'adore.

Malgré mon éducation catholique, Paul et moi affectionnons les jeux coquins. Notamment le SM. Mais attention! Le SM soft. Pas de question de cire de bougie que l'on fait couler sur le corps. Paul a commandé sur internet, des sex-toys qui nous aident à pimenter notre vie de couple. Des godes, des menottes, des déguisements et même des bâillons. Et j'avoue que, moi, Blandine, épouse bourgeoise, j'adore que mon mari m'attache au lit, me bâillonne et qu'il me prenne sauvagement, totalement impuissante. Parfois, c'est moi qui l'attache et lui fait subir de délicieux outrages. Nous avons aussi un autre fantasme, nous filmons parfois nos jeux. Paul garde ses films sur son ordinateur, le tout protégé par un mot de passe bien sûr. Imaginer que les enfants découvrent cela. Cela reste notre petit secret. Les enfants ne savent rien et les voisins non plus....

Mais un jour, tout a dérapé...

Paul et moi avions décidé d'organiser une petite soirée avec les collègues de mon mari dont certains étaient devenus des amis. J'avais fait un bon dîner et la soirée s'était bien passé. J'étais vêtue d'une robe noire qui m'arrivait à mi-cuisses sur des bas blancs satinés. J'avais voulu être sexy et j'avais fait fort en mettant des talons aiguilles noirs vernis à la semelle rouge. J'avais surpris plusieurs fois le regard de quelques collègues de mon mari sur mes jambes que je dévoilait parfois généreusement en m'asseyant. Je pense même qu'à certaines occasions, ils avait du apercevoir la lisière des bas....

Il était près d'une heures du matin et la plupart de nos convives étaient partis. Ne restait que Léa, la DRH, une jolie brune de 25 ans, Mélanie, la secrétaire de mon mari, une blonde de 28 ans. Alain et Philippe, deux de ses collègues....J'étais dans la cuisine quand j'entendis un bruit de talons derrière moi et je me retournais. C'était Mélanie.

- Tu peux monter avec moi ? Léa ne se sentait pas très bien et je l'ai allongée dans votre chambre.

Inquiète, je suivais Mélanie. Léa avait du abuser de l'alcool. Nous montons à l'étage et pénétrons dans la chambre. Je blêmis instantanément en découvrant tout notre matériel coquin étalé sur notre lit. Léa a un gode dans les mains et elle est hilare.

- Et bien Blandine, tu ne t'ennuie pas avec ton mari ?

- A moins que ce ne soit avec son amant ! Lança Mélanie.

- Oh non, notre Blandine si BCBG n'aurait jamais un amant !

Elles éclatent de rire toutes les deux. Je suis rouge de confusion mais aussi de colère.

- Vous avez fouillé ma chambre ! Comment avez vous pu ! Sortez immédiatement !

Léa s'approche de moi tenant toujours le sex-toy.

- Tu sais que je t'ai toujours trouver bandante ?

- Et sexy, renchérit Mélanie, tu crois que personne n'a vu que tu portait des bas, petite salope d'allumeuse.

Je rougis violemment. Malgré moi, un trouble m'envahit. Léa posa sa main sur ma hanche et je frissonnai. Elle se pencha et me susurra à l'oreille.

- Tu veux qu'on joue un peu toutes les trois ?

Je secouai la tête.

- Non, c'est pas une bonne....

Je ne pus finir ma phrase, Léa posa ses lèvres sur ma bouche. Je sursautais et tentais de la repousser mais Mélanie me tenait les bras. Léa s'accroupit devant moi et souleva ma robe dévoilant les bas et le porte-jarretelles.

- Mais ça va pas , non ! Arrêtez !!

Léa m'enleva mon string, le roula en boule et le fourra dans ma bouche.

- Arrête de gueuler, tu vas aimer ma belle, tu vas voir !

Mélanie me caresse les seins à travers le tissu de ma robe. Léa se pencha et m'agaça le clitoris avec ses doigts. Plongeant son index et son majeur dans ma chatte tout en continuant de titiller mon clitoris avec le pouce, elle me surveille du coin de l'œil. Elle active ses doigts à toute vitesse maintenant et je ne peux m'empêcher de pousser un gémissement à travers mon bâillon. Léa ricana.

- Mais elle commence à apprécier notre petite bourgeoise, elle est trempée...

C'est vrai... Je mouille comme une folle...

Léa retira ses doigts et je dus enlever ma robe me retrouvant seulement vêtue de mes bas, mon porte-jarretelles et mes talons aiguilles. Mélanie baissa les balconnets de mon soutien-gorge dévoilant mes seins qu'elle se mit aussitôt à triturer sans ménagements tirant sur les pointes m'arrachant un nouveau gémissement. Léa me donna une claque sur les fesses.

- Tais toi salope !

Mélanie se pencha et suça la pointe de mes seins pendant que Léa continuait d'agacer mon clitoris me rendant folle.

Je fus poussée sur le lit, positionnée à quatre pattes à grands renforts de claques sur les fesses pour que je m'exécute et menotter. Léa m'enleva mon string et le remplaça par un bâillon-boule. Elle enfonça la boule dans ma bouche et attacha la lanière autour de ma tête. Je grognais et gesticulais mais ces deux salopes m'avait solidement attaché avec les menottes au montants du lit. Mélanie se pencha et me suça la chatte, titillant le clitoris avec la langue. Elle remplaça sa langue par ses doigts et je gémis de plus belle donnant des coups de reins involontaires.

-Regarde ce que j'ai trouvé ! s'exclama soudain Léa.

Mélanie retira ses doigts qu'elle essuya sur mes bas. Léa lui montrait un gode-ceinture. Elles se déshabillèrent. Mélanie portait des bas noirs auto-fixant avec des bottes et Léa un collant couleur chair. Léa se fixa le gode-ceinture autour de la taille et s'approcha de moi un mauvais rictus aux lèvres. Elle me pénétra avec le gode m'arrachant un cri étouffé. Elle entama un va et vient en me tenant solidement aux hanches. Je l'entends ahaner derrière moi. Je me fait limer comme une brute par Léa. Son ventre vient cogner contre mes fesses.

Mélanie me retire mon bâillon et m'oblige à sucer un gode. Elle me l'enfonce profondément m'étouffant à moitié. Léa s'agite toujours en moi et je sens l'orgasme arriver. J 'halète, je gémis, les cheveux en bataille, je ne peux m'empêcher de crier en jouissant. Léa se retira aussitôt et, comble de l'humiliation, me força à nettoyer le gode en le suçant avec ma langue, m'obligeant à lécher ma propre cyprine.

Pendant ce temps, Mélanie m'a enfoncée le gode et me lime avec de nouveau me procurant très vite un deuxième orgasme foudroyant. Ce fus une succession de pénétration avec différents godes de toutes tailles, me procurant orgasmes sur orgasmes. J'arrive à penser à mon mari et je lui en veux de ne pas s'inquiéter de mon absence. Mélanie et Léa s'arrêtèrent, m'enlevèrent les menottes et je leur demande de partir.

Elles éclatent de rire.

-Partir ? Tu rigoles ma belle ! Maintenant qu'on a vu à quel point tu étais une salope, on va en profiter. La soirée n'est pas finie ! On va redescendre au salon et te livrer à Philippe et Alain. Vu comment ils te regardaient tout à l'heure, je suis sûre qu'ils rêvent de te baiser depuis longtemps.

- Mais mon mari...

- Ton mari, on va s'en occuper aussi...

A suivre...