jeudi 7 avril 2022

Hobie, la vengeance d'un innocent. Ch 02

  Histoire de Black Demon traduite par Coulybaca

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Hobie se venge de la procureur.

Hobie évoquait le passé, il pensait qu'on ne pourrait jamais prouver sa culpabilité, puisqu'il n'avait pas commis le cambriolage dont il était accusé. La perquisition n'avait permis de trouver que quelques babioles dérobées dans d'autres cambriolages mineurs, mais aucune preuve de sa culpabilité concernant le cambriolage pour lequel il était arrêté.

Mais la représentante du ministère public était jeune et bien décidée à se bâtir une réputation, par ailleurs elle était ravissante et elle le savait. Sans vergogne elle jouait de ses charmes pour influencer la part masculine du jury.

Agée de 26 ans, la ravissante Sharon Hicks sortait tout droit de son école de droit, elle était déterminée à gagner toutes les causes qu'elle défendrait, quelles qu'elles soient. Elle était très intelligente, elle apprenait vite, tirant de fructueux enseignements de chaque affaire, n'hésitant pas à se frotter aux ministères publics les plus réputés. Même sa tenue de magistrat était très soignée, étudiée pour séduire : un tailleur aussi élégant qu'onéreux porté sur des hauts talons de 8 cm et des bas de 3 deniers.

Mais pour cette ultime journée, elle avait revêtu une veste blanche immaculée sur un corsage jaune éclatant, une jupe blanche et des hauts talons blancs, elle était jambes nues ce qui lui permettait d'exposer ses longues jambes au teint d'ivoire. Même Hobie avait du mal à se concentrer sur autre chose que ces jolies gambettes.

Il y avait 9 hommes sur les 11 membres du jury. A voir la façon qu'ils avaient de suivre tous ses mouvements, Hobie pensait qu'il faudrait un miracle pour la battre. Au moment de la péroraison, il s'était penché en arrière, et avait jeté un regard incisif sur la table où la jeune femme était assise relisant ses notes. Il la vit essuyer une minuscule tache sur ses hauts talons blancs, puis une de ses jambes posées sur l'autre, elle joua avec l'extrémité d'un de ses talons.

Jetant un œil sur le jury, il constata que tous les hommes suivaient du regard les mouvements de ses jambes, c'est à cet instant qu'il comprit que les carottes étaient cuites. S'il avait fait partie du jury, il y a longtemps qu'il n'écouterait plus que ses arguments, convaincu de la justesse de son jugement.

En prison, il parvint à négocier certain de ses repas contre des échanges avec l'extérieur,. Grâce à ces contacts, il put étudier la carrière de la brillante Sharon Hicks : après le lycée, elle avait fréquenté une des plus onéreuses école préparatoire à la magistrature puis était sortie diplômée de la plus prestigieuse université de droit. Il savait aussi qu'elle venait de se marier à un autre légiste, un certain David Hicks, ils n'envisageaient pas d'avoir des enfants pour l'instant et résidaient dans une zone résidentielle très fermée. Son contact avait même pris des photos de la jolie jeune femme sortant du tribunal, il y avait même quelques zooms de la ravissante salope.

Dans la pénombre de sa cellule, il se branlait en contemplant les photos de cette somptueuse putain, elle l'obsédait véritablement, il déchargeait rien qu'en pensant à elle. Il rêvait du jour où il se retrouverait en tête à tête avec cette somptueuse jeune salope, il lui ferait payer sa condamnation. Finalement il obtint sa libération sur parole, plus en raison de la surpopulation carcérale qu'en raison de sa bonne conduite.

Plus rien d'autre ne comptait pour lui que de se venger de cette putain de juriste qui l'avait fait injustement condamner. Il avait appris qu'il n'était pas le seul à avoir été condamné sans véritable preuve à l'instigation de la ravissante salope, et à chaque fois, elle avait utilisé la même tactique : séduire le jury afin de le circonvenir.

-"Cette putain s'est servi de toute sa sensualité pour me faire condamner" marmottait-il, "le meilleur moyen de me venger serait de violer ce joli corps si sensuel... Ca lui ferait une bonne leçon qu'elle n'oublierait jamais... Mon Dieu j'espère bien y réussir... Je vais ruiner sa vie et lui coller un polichinelle noir dans le tiroir... Ainsi elle pourra se souvenir de moi tous les jours !"

Deux mois plus tard, Hobie était prêt à sceller le sort de cette pute qui l'avait injustement fait condamner. La première phase était déjà terminée, il s'était acquis le concours involontaire d'une policière ayant participé à son arrestation. Grâce à elle il avait pu rentrer dans le palais de justice, là il avait copié le calendrier des procès, il savait maintenant dans quelle salle cette salope allait parader.

Il se rendit dans la salle et s'assit au second rang des spectateurs, derrière cette chienne sexy. Cette position lui octroyait une vue direct sur la barre repose pied des magistrats, il put ainsi admirer ses jolies jambes blanches lorsqu'elle s'assit.

Le procès n'était qu'une formalité, le pauvre gars n'avait aucune chance de s'en tirer. L'avocat qui lui avait été décerné n'avait d'yeux que pour les jambes de la belle juriste, il imitait d'ailleurs en cela les jurés et même la cour. La belle Sharon les avait tous dans sa manche, et comme de plus elle avait la justice pour elle, cela ne faisait aucun doute, le pauvre gars avait perdu d'avance.

Le procès réglé, le condamné évacué, Hobie regardait fixement la ravissante juriste recevoir les félicitations de ses confrères. Même le juge avait traversé la salle pour lui serrer la main et la congratuler. Lorsqu'elle eut rassemblé ses papiers, comme elle se dirigeait vers la sortie, sa présence attira son attention. Hobie lui fit un large sourire, ce qui accrut sa nervosité. Elle en agrippa fébrilement le haut de son corsage, il était évident qu'elle avait reconnu le criminel qu'elle avait fait jeter en prison il y a quelques mois. Hobie explosa de rire en la voyant se précipiter hors du tribunal.

Une excellente idée de vengeance lui était venue : pourquoi ne la ferait-il pas baiser par les gars qu'elle avait faits condamner ? Il avait gardé certains contacts avec des prisonniers incarcérés, sans aucun doute ils paieraient pour tirer un coup avec cette belle salope, ils pouvaient en tirer quelques billets et quelques barrettes de dope.

Il se marra à l'idée de cette pute recevant son du, sachant que ces locataires de la geôle avaient tous des raisons de se venger d'elle, et qu'ils la baiseraient jusqu'à l'os. Il bandait rien qu'à l'idée de voir cette sacrée salope dégradée par des bites noires. Quelle vengeance !

Hobie avait refusé de lui livrer le nom de ses complices éventuels, et pour cette raison elle s'était opposée à une de ses demandes de réduction de peine. Il avait vu de ses yeux cette sacrée salope prendre le parti de l'avocat général en assurant que s'il était libéré, il s'empresserait de rejoindre ses complices pour partager le butin. Grâce à cette prétendue information, elle avait obtenu le rejet de sa demande pourtant fortement motivée.

Cette même semaine, Hobie pris contact avec un de ses potes incarcéré dans la prison d'état, la geôle qu'il avait lui-même fréquenté grâce à cette salope. Il savait que lui aussi était victime de cette ravissante pute, Hobie avait concocté un plan qui devait permettre à son copain d'intervenir de l'intérieur.

Une semaine plus tard, la belle procureur était assise à son bureau, elle avait passé un marché avec un justiciable et son avocat venait de l'appeler pour lui dire que c'était d'accord, son client livrerait des renseignements en échange d'un allégement de sa peine. Toutefois, Sharon allait devoir le visiter en prison. En accord avec son avocat il avait exigé une rencontre en tête à tête avec elle seule. L'idée de devoir se rendre dans la prison la faisait frissonner de dégoût, on y rencontrait toute la lie de la société.

Elle était heureuse de conclure ainsi cette affaire, mais elle détestait l'idée de devoir se rendre dans la prison. Elle répondit à l'avocat du prévenu que c'était d'accord, et qu'elle devait le rencontrer pour mettre au point les détails de la transaction. Il pourrait lui donner les informations indispensables vendredi.

Ce vendredi, la mignonne Sharon Hicks rangeait ses imprimés dans son sac, et vêtue d'un tailleur jupe jaune, le corsage et les hauts talons étaient blancs, les yeux des mâles rivés à ses jambes blanches, suivant du regard le rythme de sa démarche, elle quittait le palais.

Une fois de plus elle s'était attirée l'adhésion du jury, le prévenu était sévèrement condamné, sans perdre de temps elle se dirigea vers la prison du comté.

Arrivée à la prison, enrobée dans un pardessus, elle frissonna à l'idée de rencontrer les nombreux tristes voyous qu'elle avait envoyés ici. Il faisait fort chaud dans le bâtiment, elle enleva donc son pardessus, et le roula sur son bras, avant de signer le registre des entrées. L'employé appela alors un garde, un véritable colosse, qui l'escorta jusqu'au parloir dans l'autre bâtiment. Le passage par différents postes de contrôle la hérissa, il lui semblait presque être une des détenues.

Alors qu'elle longeait les immenses bâtiments, traversant d'autres zones de contrôle, les détenus qui déambulaient pouvaient l'observer à loisir. Une bordée de sifflets, de jurons, éclata dans la cour de la prison, lorsqu'elle longea fugitivement une cour cernée de hauts grillages. Elle regrettait d'avoir enlevé son pardessus s'exposant en tenue légère, mais elle savait qu'elle se trouvait dans un couloir sécurisé.

Délibérément, le temps de longer la cour grillagée, elle adopta une démarche provocante, elle se marrait en adressant un sourire narquois aux condamnés encagés, puis elle entra dans le bâtiment.

Elle pénétra dans une petite salle meublée d'une petite table et de deux chaises. Le garde lui demanda si sa présence était requise lors de sa rencontre avec le prévenu. Elle déclina cette offre, le prisonnier ayant insisté pour la rencontrer seule. Il lui donna un biper muni d'un bouton d'appel en cas d'urgence, lui rappelant qu'il se tiendrait dans la salle de garde du bâtiment voisin. Prenant une chaise, elle demanda au garde d'aller chercher le prévenu. Jetant un coup d'œil circulaire, elle frémit de se savoir confinée dans une si petite salle.

Cinq minutes plus tard, Sharon commençait à s'impatienter. Enfin elle entendit s'ouvrir puis se fermer la porte du bâtiment, elle haussa les épaules tout en poussant un soupir appuyé. Se tournant lentement vers le portail, Sharon se prépara à affronter le prévenu qui espérerait bien sûr, obtenir une importante remise de peine. Dès l'ouverture de la porte, Sharon haleta d'effroi, ce n'était pas le prévenu prévu qui pénétrait dans la petite salle. Elle se leva si précipitamment qu'elle en fit tomber la chaise dans son dos. Dans son effroi, elle heurta le biper qui chuta entre elle et lui. Elle recula lentement, venant buter contre le mur. Le colosse noir comme du charbon s'approcha d'elle :

- "Te souviens-tu de moi salope ?" l'interrogea-t-il menaçant.

Tremblante de peur, elle le regarda plus attentivement, effectivement son visage ne lui était pas inconnu.

- "T'ai je fait peur la semaine dernière au palais de justice ?"

C'est à ce moment qu'elle le recadra. Elle revit le regard ancré sur elle dans la salle des audiences, mais il portait aujourd'hui une tenue carcérale. Hobie s'était arrangé pour se faire enfermer en prison pour ce jour mémorable. Hobie lui jeta un nouveau regard menaçant :

- "Espèce de salope, on se souvient tous de la façon ignominieuse dont tu as utilisé tes charmes pour nous faire condamner ! Ce n'est que justice qu'on puisse y goûter aujourd'hui !"

- ...

Sharon se décomposa à la vue de six détenus lui souriant ironiquement en pénétrant dans la petite salle. Tous ces visages noirs lui semblaient familiers. Après le discours menaçant du premier, l'impression de connaître ces gens se transforma en certitude, ils s'agissait de détenus qu'elle avait fait personnellement incarcérer. Le dernier transportait un large matelas qu'il jeta au sol, les autres déplièrent alors un drap multicolore qu'ils étendirent sur le matelas. Voyant son angoisse, Hobie éclata de rire :

- "On ne va te faire que du bien ma chérie ! On sait que tu as de la classe... C'est pourquoi on a choisi un beau drap pour que tu y poses ton jolie petit cul... Eh oui salope, tu vas bientôt te tortiller dessus !"

Sharon soupira profondément en réalisant à quoi allait servir le matelas, il était là à son intention. Et certainement pas pour y dormir !

Comme les détenus s'approchaient de plus en plus d'elle, Sharon s'enroula dans son pardessus et se réfugia dans un coin de la pièce. De grosses larmes perlaient à ses paupières et ruisselaient maintenant sur ses joues, elle suppliait les détenus visiblement obnubilés par leur projet de vengeance. Ses pathétiques supplications ne servaient à rien, leurs oreilles étaient fermées à toutes pitiés. Bras tendus en un réflexe de défense inutile, elle sanglota :

- "S'il vous plait... Je vous en prie laissez moi... Ne me faites pas mal... Je vous en prie..."

Hobie éclata de rire en entendant ces plaintes désespérées. D'une signe de la tête, il donna alors le signal du début des réjouissances, les libidineux détenus n'attendaient que cela.

Deux hommes l'immobilisèrent tandis qu'un troisième lui arrachait son pardessus, et lui déchirait ses vêtements. En un rien de temps, sa jupe et son corsage déchirés jonchèrent le sol, puis ce fut le tour de son soutien-gorge pigeonnant et de sa petite culotte en dentelle. Ils la traînèrent alors sur le matelas défraîchi.

Ils se rassemblèrent alors autour du matelas. Un gros noir agenouillé au dessus de sa tête la maintenait au sol. Elle nota alors qu'un des détenus avait en main une caméra, visiblement ils allaient enregistrer les débats, filmer son viol.

Jetant un œil vers le haut, le regard de Sharon se fixa sur Hobie qui, debout au pied du matelas lui souriait ironiquement. Elle haleta en le voyant se déshabiller, il enlevait sa chemise, dévoilant une impressionnante musculature, puis il dégrafa son jean et baissa son caleçon blanc.

- "laissez moi... Je vous en prie... Nonnnnn... Pas ça... Je veux partir... Je vous en prie... Mon Dieu... Ne me violez pas... Pas ça..." sanglotait-elle misérablement.

Caleçon baissé, Hobie fit une grosse impression, elle faillit défaillir à la vue de sa bite.

- "Eh oui chérie c'est ton jour de chance... " ironisa-t-il implacablement.

Le cercle des détenus riait aux éclats en la voyant tortiller son ravissant corps blanc tout en gémissant :

-"S'il vous plait... Je vous en prie... Pitié... Je vous en prie... Ne me violez pas..."

- "Allez Hobie... Viens te la faire cette petite chienne !" lui hurla un détenu.

Ils entonnèrent alors une sorte de litanie:

- "Baise la pute... Baise la pute... Baise la pute..." 

Hobie leur sourit largement en avançant d'un pas, queue en main.

Sharon tentait désespérément de lui donner des coups de pieds pour l'empêcher d'approcher de son corps dénudé. Soudain, deux des détenus au pied du matelas lui saisirent les chevilles et lui écartèrent les cuisses en force.

Agenouillé entre ses cuisses, Hobie se régalait du chant vengeur que ses hommes assoiffés de représailles psalmodiaient. Ces mots lui causaient un vif plaisir alors que Sharon continuait à gémir :

- "S'il vous plait... Je vous en prie... Pas ça... Ne me violez pas... Je vous en prie... Je n'ai jamais trompé mon époux... Je vous en prie..."

Hobie saisit sa grosse bite, une perle de pré sperme fleurissait sur le méat, ce serait la seule lubrification dont elle disposerait. Il allait la prendre sauvagement, il voulait la faire hurler de peur et de douleur.

- "Oh non... Nonnnnn... Non, Je vooous en prie !" pleurnichait Sharon sentant l'épais gland frôler son intimité.

-"Ononnnnnnnnn... Owwwwwww... Aieeeeeeeeeeeeeeeeeeee... Ohhhhhhhhhhhh..."

Lorsque impitoyablement il fourra son gland dans sa fente, elle ne s'était jamais sentie aussi distendue, elle ne connaissait que le pénis de son mari, et il n'y avait aucune comparaison avec l'énorme mentule qui la pourfendait inexorablement.

-"Owwwwwwww... Ohhhhhhhh Mon Dieu... S'il vous plait..." Criait-elle alors qu'Hobie sous les encouragements de ses complices s'enfouissait impitoyablement dans sa chatte, à grands renforts de coups de reins brutaux.

Toute l'assistance se réjouissait de voir cette satanée salope qui les avait tous fait emprisonner recevoir son du. Ils braillèrent leur joie en la voyant verrouiller bras et jambes dans son dos, ils la voyaient se cambrer et gémir :

- "Oohhhhh... Mon Dieu... Je vais jouir... Ohhhhhhhhh... Pas ça... Je ne veux pas..."

Le grand corps noir fut secoué de spasmes alors qu'il se vidait à gros bouillons dans les muqueuses fertiles de sa ravissante chienne. Les détenus l'applaudirent alors qu'il extirpait sa bite détumescente, engluée de foutre. Leurs yeux se rivèrent sur le ravissant corps blanc de cette salope qui s'était si bien servi de ses charmes pour convaincre les jurés de les condamner.

Mais maintenant elle exhibait tous ses appâts sous leurs yeux, souillé par du sirop de corps d'homme. Elle avait les seins tendus, un filet de sperme s'écoulait de sa chatte inondée.

Un à un ils se payèrent sur la bête, se vidant les couilles dans son ventre soumis. Lorsqu'ils eurent tous joui une première fois, ils la prirent ensemble, elle en branlait deux tandis qu'un troisième s'enfouissait dans sa foufoune et ainsi de suite. Ils échangèrent continuellement leur place pendant les quelques heures qu'ils la labourèrent avant qu'ils ne s'écroulent épuisés.

Sharon gémissait et pleurait de honte, honte et humiliation d'être violée, dégradée par ces détenus noirs qu'elle avait fait condamner. Honte de voir son corps la trahir, s'accordant au rythme de ses immondes violeurs s'ouvrant en grand pour mieux recevoir leur semence honnie.

-"Oh mon Dieu... Et si l'un de ces chiens m'engrossait ?" pensait-elle sombrement.

Elle palpa son corps et gémit sourdement au contact de la visqueuse substance qui lui couvrait le ventre et les cuisses, s'étalant sur tout son corps. Cherchant désespérément à se lever, elle sentit qu'on l'y aidait. Elle frissonna de dégoût au contact de ces mains, mais elle se réjouissait, croyant que son épreuve était terminée.

Alors qu'elle s'était redressée sur les genoux, on l'empêcha de poursuivre. Les mains impitoyables la maintenaient rivée au sol. Elle frémit d'angoisse, réalisant la position dans laquelle on l'avait disposée, elle gémit en pensant à ce qui allait advenir, ils allaient la prendre en levrette, comme une chienne en pleine nature.

Le matelas s'enfonça sous le poids d'un homme se positionnant dans son dos la confirma dans ses angoisses, elle soupira longuement, résignée à subir son destin, elle espérait seulement que son corps ne la trahirait pas à nouveau. Elle banda sa volonté pour rester impavide, se disant :

- "Quelle différence cela faisait-il d'être à nouveau violée, puisqu'ils avaient déjà tous assouvis leur luxure avec son corps ! Que pouvaient-ils lui faire de plus ?"

Bandant ses forces elle se prépara à subir l'inéluctable viol qui allait suivre, son corps frémit lorsque son agresseur la saisit aux hanches s'installant dans son dos, cherchant sa cible dans sa raie culière. Elle écarquilla les yeux alors qu'une effroyable angoisse l'envahissait.

Elle venait de comprendre que la brute dans son dos n'allait pas la violer comme elle le croyait jusqu'ici. En fait il pointait son gland sur son petit anus affolé, il se préparait à la violer d'une façon immonde, par une voie que personne n'avait jamais empruntée jusqu'ici, il allait lui casser le cul, l'enculer impitoyablement.

- Oohhhhhhhh Non... Non... Nonnnnnnn Pas ça... S'il vous plait... Pas comme ça... Ne me faites pas ça ... Vous allez me faire mal... Me blesser... Personne ne m'a jamais fait ça... Je vous en prie..." pleurnichait Sharon affolée.

Sa supplication n'allumèrent que des rires dans l'assistance alors elle se remit à gémir :

- "Oahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh... Aieeeeeeeeeeeeeeeeeeeee... Oh, oh, oh... Awwwwwwwwwwww..." criait-elle hystériquement sous les regards goguenards des détenus qui psalmodiaient maintenant :

- "Vas-y... Vas-y... Vas-y... Vas-y..."

Les larmes ruisselaient maintenant sur son visage, témoignage de son intense douleur. Son agresseur lui déflorait sauvagement l'anus. Après quinze abominables minutes de souffrance, elle le sentit enfin se répandre dans ses intestins. Il lâcha ses hanches la laissant s'effondrer sur le matelas largement souillé.

Une heure plus tard, Sharon releva péniblement la tête. Elle reprit ses esprits, réalisant qu'il ne s'agissait pas d'un cauchemar, qu'elle s'était bel et bien fait violer. Des vicieux détenus noirs qu'elle avait fait embastiller l'avaient soumise à un gang bang. Elle jeta un œil sur son corps couvert de foutre, sa chatte dégorgeait de foute, son anus la lançait terriblement.

- "Mon Dieu... Où sont mes vêtements ?" s'interrogea-t-elle inspectant nerveusement les lieux.

Elle ne vit que quelques oripeaux qu'ils avaient abandonné à son intention, ses hauts talons et son pardessus correctement plié. 

S'essuyant de son mieux avec les chiffons à sa disposition, Sharon enfila son seul vêtement, qu'elle maintint étroitement fermé sur son corps, elle enfila alors ses hauts talons et soupira de désespoir. Alors qu'elle était évanouie, certainement dans le but de l'humilier, ils avaient éjaculés dans ses chaussures les inondant de sperme, ses pieds baignaient dans leur foutre visqueux.

Se saisissant du biper, elle appuya sur le bouton. Deux minutes plus tard, le robuste garde apparut et l'escorta jusqu'au bureau administratif. Comme le personnel de service était parti, leur journée terminée, le garde lui dit de laisser tomber, ce n'était pas la peine de signer le registre des sorties et il l'escorta jusqu'au porche d'entrée de la prison.

Sharon se sentait nerveuse de quitter la prison dans de telles conditions, le fait que personne ne pouvait normalement sortir sans avoir signé le registre et rendu son badge de visiteur, qui avait disparu lorsqu'ils l'avaient dévêtue, ne la frappa pas. Elle monta dans sa voiture et s'empressa de regagner le domicile pour curer son corps de toute cette saleté.

Elle jeta un œil sur sa montre et se sentit soulagée, elle savait que son mari ne serait pas là, il buvait un coup avec ses collègues, il ne serait pas rentré avant minuit.

Le règlement de la prison prévoyait que tous les visiteurs devaient être escortés, raccompagnés à l'entrée après avoir signé le registre de sortie. A la fermeture du registre, la case juxtaposée au nom de Sharon contenait une signature contrefaite, il était indiqué qu'elle avait quitté les lieux alors qu'en fait elle attendait qu'on lui amène le détenu, son badge était revenu alors qu'on l'enculait si sauvagement, c'est le garde qui avait été chargé de sa sécurité qui avait accompli ces faux. 

Sharon aurait été encore bien plus choquée si elle avait su le rôle pris par le garde dans son viol, il était retourné dans la salle de surveillance yeux rivés sur l'écran posé sur le bureau. Le circuit intérieur lui restituait ce qui se passait dans le parloir, il avait ainsi zieuté l'excitant gang-bang, il en avait profité pour l'enregistrer sur une cassette vidéo.

Sa forfaiture lui avait ramené un bon petit magot qu'il avait perçu avant le gang-bang. Les détenus avaient payé son assistance, mais ce qui l'excitait le plus c'était le bonus qu'il s'était octroyé en enregistrant cette sulfureuse cassette. Ce bonus s'était d'ailleurs avéré plus fructueux que prévu, la brutale défloration de son anus offrait une séquence de choix.

Deux semaines avaient passé et Sharon avait repoussé les avances de son mari feignant d'être trop fatiguée ou d'avoir un mal de tête insupportable. Elle se sentait si souillé, si dégradée après son gang-bang qu'elle ne pouvait supporter l'idée de voir son époux planter son pénis dans sa chatte dévastée par les grosses bites noires.

Pourtant, chaque nuit, dans le creux de son lit, elle repensait à la trahison de son corps et aux nombreux orgasmes qui l'avaient submergée. Des orgasmes d'une telle intensité qu'ils surpassaient largement tout ce qu'elle avait connu, jusqu'ici, dans ce domaine avec son époux. D'autre soirs, elle avait du se rendre dans la salle de bain afin de soulager à grands renforts de coups de bouteille de coca l'excitation qui l'envahissait.

Hobie sourit à sa chance en voyant le mari franchir la porte d'entrée et monter dans sa voiture. Il avait garé sa voiture dans le virage, il se dirigea vers la luxueuse maison et appuya sur la sonnette d'entrée. Il se réjouit en voyant sa stupéfaction lorsqu'elle le découvrit sur le pas de porte. S'étant rendu plusieurs fois au palais de justice ces deux dernières semaines, il s'était réjoui de voir son visage s'enflammer chaque fois qu'il la croisait.

-"Bonjour madame Hicks"

Goguenard, Hobie saluait la ravissante jeune femme muette de stupéfaction. Sharon se préparait à assister au premier service à l'église, elle s'était levée tôt pour préparer le petit déjeuner de son mari et se rendre à l'église ensuite. Elle était pétrifiée de voir son tourmenteur dans sa maison, elle ne pouvait rien faire d'autre que lui obéir en tous points.

Elle ferma les yeux de honte, en remontant sa jupe pour se dépouiller de sa petite culotte qui glissa jusqu'à ses chevilles. Quelques instants plus tard, Sharon ne portait plus que ses hauts talon. Elle étreignait le robuste corps de son agresseur entre ses cuisses verrouillées dans son dos, bras ancrés sur ses épaules, accompagnant ses allées et venues dans sa foufoune aussi domptée et accueillante. Son dos claquait contre le mur au gré des coups de boutoirs qui la pourfendaient.

Une heure plus tard, David Hicks frôlait l'extase, il se trouvait sur le lac, canne à pêche en main. Conscient du malaise existant actuellement entre sa femme et lui, il se détendait à sa façon.

A cet instant, sa petite chérie cherchait désespérément à convaincre son agresseur de ne pas la prendre sur le lit conjugal qu'elle ne voulait pas souiller. Mais elle était empalée sur la grosse queue de l'insatiable noir qui avait décidé d'agir selon sa volonté, de gicler dans son connil dans le lit conjugal désacralisant l'endroit.

Trois semaines plus tard, la période de ses règles révolue, elle s'inquiétait vivement de ne pas les avoir eu. Assise dans sa salle de bain, elle attendait anxieusement le résultat d'un test de grossesse qu'elle venait d'effectuer. Quelques minutes plus tard, pleurnichant misérablement, elle étudiait le calendrier. Il y avait un bon moment qu'elle n'avait pas fait l'amour avec David, et comme d'ordinaire il mettait une capote...

Elle frémit en constatant que sa période de fertilité correspondait exactement au moment de sa visite à la prison, elle comprit qu'un des humbles détenus était le géniteur de l'embryon qui se formait dans son utérus. Elle n'était certaine que d'une chose elle s'était fait engrossée par une bite noire.

A suivre...

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