Texte de Géronimo ou Elko.
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Je m'appelle Blandine.
Je m'appelle Blandine. 49 ans. Mariée à Paul depuis de nombreuses années. Deux enfants, Guillaume, 21 ans et Bénédicte qui vient d'avoir 18 ans. Je suis blonde, les yeux bleus. Issue d'une famille bourgeoise, je ne travaille pas, les revenus de mon époux suffisent amplement à nous faire vivre très convenablement. Il est cadre dans une grosse société et il part souvent négocier des contrats à l'étranger. Nous habitons un pavillon dans une ville huppée de la région parisienne. Élégante, féminine, je suis toujours en jupe et en talons. Pas très grande, j'affectionne les talons aiguilles et contrairement à certaines femmes, cela ne me dérange pas du tout d'en mettre. Et plus ils sont hauts et fins, plus j'adore.
Malgré mon éducation catholique, Paul et moi affectionnons les jeux coquins. Notamment le SM. Mais attention! Le SM soft. Pas de question de cire de bougie que l'on fait couler sur le corps. Paul a commandé sur internet, des sex-toys qui nous aident à pimenter notre vie de couple. Des godes, des menottes, des déguisements et même des bâillons. Et j'avoue que, moi, Blandine, épouse bourgeoise, j'adore que mon mari m'attache au lit, me bâillonne et qu'il me prenne sauvagement, totalement impuissante. Parfois, c'est moi qui l'attache et lui fait subir de délicieux outrages. Nous avons aussi un autre fantasme, nous filmons parfois nos jeux. Paul garde ses films sur son ordinateur, le tout protégé par un mot de passe bien sûr. Imaginer que les enfants découvrent cela. Cela reste notre petit secret. Les enfants ne savent rien et les voisins non plus....
Mais un jour, tout a dérapé...
Paul et moi avions décidé d'organiser une petite soirée avec les collègues de mon mari dont certains étaient devenus des amis. J'avais fait un bon dîner et la soirée s'était bien passé. J'étais vêtue d'une robe noire qui m'arrivait à mi-cuisses sur des bas blancs satinés. J'avais voulu être sexy et j'avais fait fort en mettant des talons aiguilles noirs vernis à la semelle rouge. J'avais surpris plusieurs fois le regard de quelques collègues de mon mari sur mes jambes que je dévoilait parfois généreusement en m'asseyant. Je pense même qu'à certaines occasions, ils avait du apercevoir la lisière des bas....
Il était près d'une heures du matin et la plupart de nos convives étaient partis. Ne restait que Léa, la DRH, une jolie brune de 25 ans, Mélanie, la secrétaire de mon mari, une blonde de 28 ans. Alain et Philippe, deux de ses collègues....J'étais dans la cuisine quand j'entendis un bruit de talons derrière moi et je me retournais. C'était Mélanie.
- Tu peux monter avec moi ? Léa ne se sentait pas très bien et je l'ai allongée dans votre chambre.
Inquiète, je suivais Mélanie. Léa avait du abuser de l'alcool. Nous montons à l'étage et pénétrons dans la chambre. Je blêmis instantanément en découvrant tout notre matériel coquin étalé sur notre lit. Léa a un gode dans les mains et elle est hilare.
- Et bien Blandine, tu ne t'ennuie pas avec ton mari ?
- A moins que ce ne soit avec son amant ! Lança Mélanie.
- Oh non, notre Blandine si BCBG n'aurait jamais un amant !
Elles éclatent de rire toutes les deux. Je suis rouge de confusion mais aussi de colère.
- Vous avez fouillé ma chambre ! Comment avez vous pu ! Sortez immédiatement !
Léa s'approche de moi tenant toujours le sex-toy.
- Tu sais que je t'ai toujours trouver bandante ?
- Et sexy, renchérit Mélanie, tu crois que personne n'a vu que tu portait des bas, petite salope d'allumeuse.
Je rougis violemment. Malgré moi, un trouble m'envahit. Léa posa sa main sur ma hanche et je frissonnai. Elle se pencha et me susurra à l'oreille.
- Tu veux qu'on joue un peu toutes les trois ?
Je secouai la tête.
- Non, c'est pas une bonne....
Je ne pus finir ma phrase, Léa posa ses lèvres sur ma bouche. Je sursautais et tentais de la repousser mais Mélanie me tenait les bras. Léa s'accroupit devant moi et souleva ma robe dévoilant les bas et le porte-jarretelles.
- Mais ça va pas , non ! Arrêtez !!
Léa m'enleva mon string, le roula en boule et le fourra dans ma bouche.
- Arrête de gueuler, tu vas aimer ma belle, tu vas voir !
Mélanie me caresse les seins à travers le tissu de ma robe. Léa se pencha et m'agaça le clitoris avec ses doigts. Plongeant son index et son majeur dans ma chatte tout en continuant de titiller mon clitoris avec le pouce, elle me surveille du coin de l'œil. Elle active ses doigts à toute vitesse maintenant et je ne peux m'empêcher de pousser un gémissement à travers mon bâillon. Léa ricana.
- Mais elle commence à apprécier notre petite bourgeoise, elle est trempée...
C'est vrai... Je mouille comme une folle...
Léa retira ses doigts et je dus enlever ma robe me retrouvant seulement vêtue de mes bas, mon porte-jarretelles et mes talons aiguilles. Mélanie baissa les balconnets de mon soutien-gorge dévoilant mes seins qu'elle se mit aussitôt à triturer sans ménagements tirant sur les pointes m'arrachant un nouveau gémissement. Léa me donna une claque sur les fesses.
- Tais toi salope !
Mélanie se pencha et suça la pointe de mes seins pendant que Léa continuait d'agacer mon clitoris me rendant folle.
Je fus poussée sur le lit, positionnée à quatre pattes à grands renforts de claques sur les fesses pour que je m'exécute et menotter. Léa m'enleva mon string et le remplaça par un bâillon-boule. Elle enfonça la boule dans ma bouche et attacha la lanière autour de ma tête. Je grognais et gesticulais mais ces deux salopes m'avait solidement attaché avec les menottes au montants du lit. Mélanie se pencha et me suça la chatte, titillant le clitoris avec la langue. Elle remplaça sa langue par ses doigts et je gémis de plus belle donnant des coups de reins involontaires.
-Regarde ce que j'ai trouvé ! s'exclama soudain Léa.
Mélanie retira ses doigts qu'elle essuya sur mes bas. Léa lui montrait un gode-ceinture. Elles se déshabillèrent. Mélanie portait des bas noirs auto-fixant avec des bottes et Léa un collant couleur chair. Léa se fixa le gode-ceinture autour de la taille et s'approcha de moi un mauvais rictus aux lèvres. Elle me pénétra avec le gode m'arrachant un cri étouffé. Elle entama un va et vient en me tenant solidement aux hanches. Je l'entends ahaner derrière moi. Je me fait limer comme une brute par Léa. Son ventre vient cogner contre mes fesses.
Mélanie me retire mon bâillon et m'oblige à sucer un gode. Elle me l'enfonce profondément m'étouffant à moitié. Léa s'agite toujours en moi et je sens l'orgasme arriver. J 'halète, je gémis, les cheveux en bataille, je ne peux m'empêcher de crier en jouissant. Léa se retira aussitôt et, comble de l'humiliation, me força à nettoyer le gode en le suçant avec ma langue, m'obligeant à lécher ma propre cyprine.
Pendant ce temps, Mélanie m'a enfoncée le gode et me lime avec de nouveau me procurant très vite un deuxième orgasme foudroyant. Ce fus une succession de pénétration avec différents godes de toutes tailles, me procurant orgasmes sur orgasmes. J'arrive à penser à mon mari et je lui en veux de ne pas s'inquiéter de mon absence. Mélanie et Léa s'arrêtèrent, m'enlevèrent les menottes et je leur demande de partir.
Elles éclatent de rire.
-Partir ? Tu rigoles ma belle ! Maintenant qu'on a vu à quel point tu étais une salope, on va en profiter. La soirée n'est pas finie ! On va redescendre au salon et te livrer à Philippe et Alain. Vu comment ils te regardaient tout à l'heure, je suis sûre qu'ils rêvent de te baiser depuis longtemps.
- Mais mon mari...
- Ton mari, on va s'en occuper aussi...
A suivre...
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