mardi 5 avril 2022

Ma mère en otage.

 Texte de Méfistoh.

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Mon nom est François, j’ai 23 ans et j’habite avec ma mère, Amandine, pendant les vacances en cité car mes parents ont vendu la maison pour partager leurs biens. C’est une femme de bientôt 46 ans. Elle est brune, yeux marron et le teint mat. Elle mesure 1m65 pour 60 kg. Elle est fraîchement divorcé de mon père et a décidé de reprendre une vie de femme libérée après des années de sacrifices à nous élever mes deux frères et ma sœur.

Aussi sort-elle beaucoup le week-end et s’habille régulièrement très sexy. Malgré mes avertissements, car c’est mal vu dans le coin que les femmes du quartier se promènent en minijupe ou mettent des décolletés provocants (d’autant plus qu’elle a des seins énormes et naturels), elle persiste encore et encore me sermonnant et disant que ce n’est pas une bande de voyous bon à rien qui allait lui dicter ses actes. 

En plus, nous venons d’un bled sans histoire et ma mère a longtemps forgé ses idées sur les jeunes de quartiers difficiles par le journal du vingt heure. En plus, elle déteste viscéralement les maghrébins qui pourtant ne lui ont jamais rien fait. Il y a donc des heurts, car de temps en temps, elle est sifflée et elle se contente de les regarder d’un air hautain et méprisant. Elle dénonça plusieurs fois de façon anonyme aux flics des bandes de jeunes qui fumaient du shit devant l’entrée. Certains prirent même de la taule à cause d’elle. Elle m’avoua sans complexe être fière d’elle, d’avoir contribué à leur arrestation et que de toute façon « cette bande d’arabes n’avait qu’à retourner dans leur pays ». 

Ses propos racistes me choquaient mais bon, elle était ma mère et je devais faire avec. Bientôt, je dus à mon tour subir les agressions verbales et les menaces. Ma mère alla porter plainte plusieurs fois et à force même les flics commençaient à en avoir assez... Elle y alla pourtant en mini-jupe, décolleté, pour essayer de les charmer mais visiblement, ils préféraient éviter le merdier. Puis un jour, ça arriva.

Je fus le premier à être séquestré. Je fus entraîné dans une cave quelque part dans la cité ou je ne sais où. On me déshabilla , ne me laissant que mon slip et on m’attacha à une chaise. Je fus "victimisé" un peu et impossible de discuter avec eux, car ils étaient très remontés. L’un d’eux ouvrit mon portable et composa le numéro pour appeler ma mère Amandine.

- Qui est à l’appareil ?

- On a votre fils en otage !

- Comment ?

- Je vous dis qu’on a votre fils en otage !

Ils me firent parler à ma mère et elle sembla paniquer. Elle me demanda de lui repasser mon ravisseur.

- Ecoutez, je vous donnerai tout mon argent si vous voulez mais ne lui faites pas de mal !

- Ce n’est pas le fric qui nous intéresse. Vous allez venir, VOUS ! Voici le lieu de rendez-vous et ne faites pas l’imbécile. Ça vaut mieux pour votre fils !

Elle nota mais l’homme reprit :

- Vous allez faire quelque chose en plus.

- de quoi ?

- Fringuez-vous comme une putain ! Comme vous faites des fois quand vous passez dans le quartier.

- Vous êtes fou !

J’eus droit à des claques et mes cris convainquirent ma pauvre mère.

- Je… Je le ferai ! Ne touchez plus à mon bébé ! Pitié ! Pitié !

- Il n’y a plus de pitié qui s’impose. Vous allez devoir nous obéir à tous !

- Je ferai tout ce que vous voulez. Tout.

Je l’entendais sangloter.

- Allez, à dans une demi-heure.

J’eus droit aux pires insanités sur ma mère, on la traitait de raciste, de pute, de chienne et de balance. Et ils s’alcoolisaient en plus discutant de ce qu’ils allaient lui faire subir une fois arrivée. Je redoutais le pire plus pour elle que pour moi. Puis au bout d’une demi-heure, l’inévitable se produisit.

- Regardez ! Ce qu’on a trouvé les mecs !

Une femme brune se débattait entre les mains des deux hommes : c’était ma mère que j’eus du mal à reconnaître. Elle était en effet outrageusement maquillée et portait un long manteau noir. Elle avait en plus mis un rouge à lèvres qui faisait ressortir ses lèvres pulpeuses.

- C’est bizarre ça, de porter des manteaux aussi longs l’été. Hé hé hé ! Montre-nous la surprise !

Il arracha sans ménagement les deux pans du manteau dont les boutons sautèrent petit à petit. Tout le monde fut stupéfait car sous son long manteau noir, elle ne portait qu’un body et un string en latex avec des sandales noires lacets à talons hauts. Ses seins débordaient et on voyait son nombril. Je n’en croyais pas mes yeux mais je réalisais quand même que ma mère était une sacrée bombasse pour son âge et quelle paire de seins !! Hélas, les autres aussi avaient vu ce détail incontournable et pour eux, elle n’était plus qu’une femelle à baiser. A partir de ce moment, je savais ce qu’ils allaient faire d’elle.

- Me dis pas que c’est ta mère?

- Je vous en prie, laissez-la !

- Hé hé hé ! La laisser ? fringuée comme elle est là, pour nous elle n’est qu’une pute.

Ma mère s’énerva :

- Je ne suis pas une putain et d’ailleurs mon fils n’a rien à faire avec une bande de… de racaille comme vous !

Elle avait dit le mot de trop et elle reçut deux paires de claques. Elle s’était emportée en oubliant la situation dans laquelle elle se trouvait.

- Du calme Momo, ne l’abîme surtout pas, t’es fou ! regarde ce lot !

Je protestais à mon tour, mais je reçus un coup de poing en guise de réponse. Ma mère se tortillait pour essayer de s’enfuir mais les mecs étaient trop forts.

- En fait, ce n’est pas une putain ! Elle est pire que ça vu qu’au moins les putes on les paie !

On mit la musique à fond.

- Faites la boire ! Ça va la désinhiber !

Ils l’obligèrent à avaler quelques bières de mauvaise qualité et comme elle ne buvait pas d’habitude, elle fut rapidement pompette. Ils la saisirent et lui arrachèrent son soutien-gorge en latex faisant tomber ses gros seins qui rebondissaient comme des ballons. Ses nibards étaient énormes et avaient de grandes aréoles foncées avec de longs tétons. Ils les empoignèrent et les malaxèrent sans ménagement lui arrachant des cris de douleurs.

Ils lui arrachèrent son string afin de pouvoir mater son gros cul et sa chatte qu’ils s’amusèrent à doigter sans respect pour elle. Ses chaussures lui furent enlevées et pris d’hystérie, les mecs tailladèrent son manteau, son body, son string et brûlèrent ses chaussures dans un baril. Elle fut plaquée à poil sur un matelas indescriptible tant il était jaune et crasseux.

- Ecoute maintenant, tu vas faire tout ce qu’on te dit sinon c’est ton fils qui va dérouiller !

- Laissez-le partir et je serais à vous.

- Hors de question, il est notre garantie que tu vas te comporter comme la putain de balance que tu es ! Mais si tu es gentille, on y réfléchira promis.

Ma mère se résigna et était prête à offrir ses orifices pour me sauver.

- Avant toute chose, tu vas nous sucer à la chaîne ! Tu as une bouche qui est faite pour ça.

Ma mère se mit à genoux et commença à les sucer. Ils enfoncèrent leurs bites jusqu’au fond de sa gorge manquant de la faire vomir plusieurs fois. La plupart éjaculèrent en plein sur son visage diluant son maquillage. On la tenait par les cheveux pour l’inciter à sucer plus vite. Cela dura une bonne demi-heure puis on lui demanda d’écarter les cuisses afin que ceux qui veulent puissent la baiser. Les hommes se succédèrent jeunes ou plus vieux, beaux ou laids à se soulager dans cette chatte offerte. Ma mère encaissait toutes ces bites, mais elle avait l’espoir de nous voir nous en sortir. Servir de sac à foutre ne lui faisait rien du moment que je puisse m’en tirer. J’ignorai qu’une mère était capable d’aller aussi loin dans les actes pour protéger ses enfants. Deux heures plus tard, Momo la retourna et s’agrippa à ses hanches :

- C’est pas mal ! tout le monde est à peu près satisfait !

-Maintenant, re… relâchez-nous comme vous aviez promis ! gémit ma mère suante et dégoulinante de sperme.

- Hors de question ! on en a pas fini avec toi, sale balance !

- Vous m’aviez dit que vous le libéreriez !

- On a menti, salope.

Momo l’encula de toutes ses forces. Ma mère s’abandonna, vaincue et humiliée. Après s’être soulagé, il laissa sa place au suivant qui lui-même laissa sa place pour qu’un autre puisse élargir davantage le trou du cul de ma pauvre mère. Ce fut le défilé.

Pendant toute la nuit, ils s’amusèrent à lui enfourner des canettes dans la chatte et dans l’anus en rigolant. Ils lui pinçaient les tétons, malaxaient et tiraient sur ses seins. Ils prenaient des photos de son visage plein de sperme et de ses orifices défoncés par une bite ou une canette. Son maquillage avait coulé et tout son corps était gluant. Elle ne réagissait plus à cause de la fatigue. Je voyais les keums la baiser quand même. Elle n’était plus qu’un jouet de chair pour eux. Alors je ne pus m’empêcher d’intervenir

- Vous avez ce que vous voulez ! Vous vous êtes vengés d’elle ! Maintenant relâchez-nous par pitié ! Elle ne dira plus rien sur vous !

- Fini avec elle ? Mais t’es loin du compte connard ! très loin même ! quant à toi, on te réserve une surprise aussi !

Ils portèrent ma mère à poil comme un sac de patates. Le sperme dégoulinait de son corps aux orifices défoncés. Elle était trop fatiguée pour résister. Ils la bâillonnèrent et la ficelèrent comme un rôti puis ils la jetèrent sans ménagement dans le coffre d’une voiture comme un vulgaire tas de viande.

- Voilà, on va bien lui faire payer mais loin d’ici ! Crois-moi, ce qu’elle a vécu ce soir, c’est que du petit lait à côté de ce qu’on lui réserve.

- Noon, maman ! laissez là ! laissez là !

- Aha. C’est trop tard maintenant ! il fallait y penser avant de faire les malins. Qu’elle se fringue en pute dans la cité est une chose, mais qu’elle nous balance aux flics en est une autre. A cause d’elle mon frère a pris de la taule pour ses dix-huit ans. On ne peut pas laisser courir ça et il faut que cette bourgeoise raciste serve d’exemple.

Momo partit avec eux dans la voiture emportant le corps de ma mère bâillonné et ficelé. Je restais avec une dizaine de connards qui rigolaient à l’idée de ce qu’ils allaient me faire vivre. Mais je savais que ce serait beaucoup moins hard et cruel que ce que maman allait subir entre les mains de ces malades, oh que oui.

FIN

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