Histoire de Black Demon traduite par Coulybaca
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La jolie procureur esclave de ses sens.
Sharon ne parvenait pas à se concentrer sur l'affaire jugée, elle laissa véritablement passer l'opportunité de faire condamner le malfaiteur à de nombreuses années d'emprisonnement. La paire de yeux sournois qu'elle sentait dans son dos l'affolait tant qu'elle balbutia pendant le contre interrogatoire. Elle était si affolée qu'elle prétexta une forte migraine pour se faire remplacer pour la fin de la séance. L'inexpérience de son collègue et son irréflexion amena le jury à disculper le prévenu en dépit des preuves accumulées contre lui
Assis dans le public, se marrant à la vue de la représentante du ministère publique secouée par sa présence, Hobie lui adressa un large sourire lorsqu'elle leva les yeux sur lui. Il savait que sa présence la faisait trembler, qu'elle se rappelait forcément les circonstances de leur dernière rencontre. Etant le seul, avec elle à en connaître les tenants, il se caressait effrontément se réjouissant de la voir écarquiller des yeux terrifiés.
- "Hey oui l'adorable madame Sharon Hicks perd tous ses moyens en ma présence..." se réjouit Hobie.
Se tortillant sur son siège, Sharon revoyait des images de cet effroyable cauchemar qu'elle avait enduré quelques mois plus tôt. Ce démoniaque ex-détenu avait tiré une effroyable vengeance de sa condamnation quelques années plus tôt. Sharon ne l'avait pas reconnu la première fois qu'il avait pris place dans le public après sa libération, puis elle s'était étonnée de le voir suivre une session entière, ignorant qu'en fait il prenait bonne note de son train-train quotidien.
Son corps tout entier était traversé de frissons de peur, elle frémissait se rappelant l'épisode de sa dernière visite à la prison. Sharon savait depuis ce jour que l'ex-détenu la considérait comme un belle pièce de viande qu'il comptait utiliser selon sa volonté. C'est sur sa chair qu'avait portée sa vengeance, elle avait été violée par des dizaines de détenus qui l'avaient partouzées dans une salle de réunion.
Des images de cet ignoble gang bang la hantaient encore maintenant, elle revoyait souvent avec quelle sauvagerie elle avait été violée dans cette prison. Elle avait déjà lu des compte rendus de viol et entendus des victimes raconter leur révoltante épreuve, jusqu'à ce jour fatal où elle avait été elle même la victime d'un ignoble viol en collectivité. Ca avait été d'autant plus pénible que non seulement elle avait du satisfaire la lubricité de solitaires qui se succédaient en elle mais qu'elle dut en satisfaire plusieurs à la fois.
Un mois plus tard, alors qu'elle commençait à récupérer de cette ignoble épreuve, l'homme dans son dos avait frappé à sa porte alors que son mari venait de partir à la pêche. Sous la menace de voir de le voir mettre en circulation des photos d'elle violée par une foule de noirs, Sharon l'avait laissé rentrer à contrecœur chez elle l'admettant dans l'intimité de sa chambre qu'elle ne partageait qu'avec son tendre époux. Ca avait été une épreuve cauchemardesque que Sharon s'était imposée de subir, croyant ainsi apaiser les ressentiments de Hobie.
Elle s'était tout d'abord dévêtue lentement eu centre de sa chambre, tout au long de cette première épreuve, elle avait sangloté de honte, puis elle avait du s'étendre sur le lit qu'elle partageait habituellement avec son tendre époux, puis elle s'était masturbée selon les ordres de son maître chanteur.
Sharon revivait un à un les horribles détails de cette journée infâme, allongée totalement nue dans le lit conjugal, l'ex-détenu lui avait fait subir de multiples avanies. Elle avait tout d'abord du s'exciter elle même, se caressant les tétons jusqu'à les faire darder, puis elle s'était manipulée le clitoris jusqu'au moment où un flot de secrétions poissa sa chatte.
Sharon ne se figurait pas encore à quel point sa vie était changée depuis ce sinistre jour à la prison. Et maintenant, à l'âge de 27 ans elle était à l'entière merci d'un pervers qui adorait la voir se tortiller de peur devant lui. Elle avait été si gênée de devoir écarter les cuisses l'humiliant encore en l'obligeant a lui demander dire qu'elle voulait qu'il fasse avec elle, comment il devait l'utiliser. Elle s'était doigtée, cuisses grandes écartées, elle avait du lui complaire en balbutiant :
- "Je vous en prie... S'il vous plait... Mettez votre grosse queue noire dans ma petite chatte... Videz vous les couilles dans ma foufoune... Baisez moi comme une pute !
Elle se rappelait alors comment il lui avait agrippé les chevilles, relevant haut ses jambes, orteils pointés vers le plafond, alors qu'il grimpait dans le lit, la pénétrant brutalement sans aucun préliminaire.
Lorsque son l'épreuve s'acheva ce jour là, Sharon ne put que sangloter mesurant son malheur. Même si elle se disait qu'elle n'avait d'autre choix possible que de complaire à son maître chanteur, elle se sentait si coupable d'avoir répondu à ses assauts luxurieux.
- "Pourquoi ? Pourquoi est ce que je me plie si facilement à ses ordres ? Pourquoi est ce que je jouis comme jamais auparavant ? Et en plus c'est moi qui l'ait supplié de se vider les couilles dans ma foufoune !" sanglotait-elle accablée.
Les choses empirèrent encore lorsqu'elle découvrit qu'elle avait été engrossée lors de la partouze à la prison. Elle avait été violée par des détenus qu'elle avait grand plaisir à faire enfermer derrière les grilles. Ils lui avaient rendu la monnaie de sa pièce, sans une once de miséricorde ils l'avaient violée sauvagement dans tous ses trous, déterminés à humilier cette femme responsable de leur incarcération. La savoir enceinte à l'issue de son ignoble viol était la cerise sur le gâteau.
A l'encontre de sa religion et de ses convictions intimes, elle changea d'opinion à 180 degrés. Elle ne pouvait pas accoucher d'un bébé conçu de cette manière alors qu'il était le fruit d'un viol perpétré dans la haine et le stupre. De plus, qu'aurait dit son mari si elle avait donné naissance à un bébé qui ne serait pas le sien, ce qui serait évident avec les antécédents noirs de ses géniteurs.
Son mari absent pour un voyage d'affaires programmé à l'avance, Sharon en avait profité d'une paire de journées de maladie avant le week-end, cela devait lui permettre de se faire avorter en clinique tout en se ménageant le temps adéquat pour une récupération optimum. Elle se sentait si coupable de programmer cet avortement, sachant que cela allait totalement à l'encontre de ses convictions religieuses, et qu'elle n'avait parlé à son époux ni de son viol, ni de sa grossesse. La procédure s'était tenue dans une clinique privée et Sharon récupéra extrêmement vite du moins physiquement sinon moralement.
Elle ne parvenait pas à dépasser ce sentiment de culpabilité de s'être fait violer et d'avoir vu sa vie ravagée par une bande de détenus noirs, qui l'avaient engrossé ce qui l'avait ensuite obligée à avorter pour cacher à son mari l'horrible vérité. Et, quand elle pensait au dernier épisode avec l'ex-détenu dans sa chambre, elle frissonnait en serrant les cuisses l'une contre l'autre.
- "Que ferai-je si... Que ferai je la prochaine fois qu'il me contactera ?" se demandait-elle anxieusement.
Elle savait qu'elle ne pouvait que lui obéir lorsque le pervers maître chanteur exigerait de nouvelles choses d'elle. Ses yeux se remplirent de larmes, elle devait serrer les cuisses pour endiguer le flot de cyprine secrété soudainement par ses glandes excitées par ses pensées lubriques. Respirant avec difficulté, tétons dardés, une nouvelle Sharon dérapait, empruntant le chemin du plaisir sexuel. Ce n'était plus un sentiment de peur, mais bel et bien une excitation anticipée.
En emmenant du travail à son domicile ce samedi, elle se réjouissait d'attendre un coup de fil de David, sa voix avait le pouvoir de la réconforter. Il l'appela tôt l'informant qu'il avait un repas d'affaire ce soir et qu'il rentrerait certainement très tard. Alors qu'elle reposait le téléphone, Sharon souhaitait que son mari posent bientôt ses bras autour de son cou, la serrant dans ses bras, cela la réconforterait sûrement.
Se mordant les lèvres, Sharon pénétra dans sa chambre, respirant difficilement, elle se posta à l'endroit exact où elle avait du se dévêtir obéissant aux ordres de son vicieux maître chanteur. Puis faisant comme si l'ex-détenu était avec elle dans la chambre, elle se dirigea tremblante vers le lit comme elle l'avait fait ce jour fatal. Elle rejouait les épisodes de ce jour funeste, elle commença par agacer ses tétons les faisant raidir, les jambes grandes ouvertes en V, orteils pointés vers le plafond, elle se doigta comme le lui avait ordonné son maître chanteur ce jour là, manipulant son clito jusqu'au moment où elle frémit de plaisir. Puis, se mordant les lèvres Sharon se redressa et tendit la main pour retrouver l'objet qu'elle avait sorti du réfrigérateur et amené jusqu'à son lit.
- "Ohhhhhh...... Ahhhhhhh...." gémissait-elle s'insérant un énorme concombre de plus en plus profondément dans la foufoune.
C'est alors que son corps fut submergé par un orgasme dévastateur, ses muscles se tétanisèrent sur le postiche remplaçant le sexe masculin.
- "Mon Dieu... Qu'est ce qui m'arrive ? Je dois être complètement folle ! Pourquoi ne puis je plus penser à autre chose qu'au sexe ?" se fustigeait-elle.
Depuis qu'elle avait été partouzée à la prison, il semblait que son esprit déraillait. Elle n'avait jamais pensé tirer du plaisir de tels rapports, et encore moins en se faisant violer sauvagement par des détenus vicieux. Cependant elle ne pouvait oublier ces nombreux mini-orgasmes que son traître de corps s'était octroyé lors de cette journée. Son esprit la ramenait à ce jour fatal, elle se rappelait comment les quatre noirs l'avaient suspendues en l'air le corps parallèle au plancher. Elle avala sa salive se souvenant comment ils l'utilisèrent comme un bélier, les hommes qui la portaient la propulsant d'avant en arrière sur les bites des troisièmes et quatrièmes agresseurs. Elle ouvrait la bouche lorsqu'elle avait le visage en face de l'énorme bite avalant le gigantesque gourdin, puis ramenée vers l'arrière elle enfournait la bite de son chevaucheur de croupe dans sa chatte ou son trou du cul au hasard des allées et venues.
Une fois qu'ils se furent vidés les couilles dans sa bouche et sa foufoune, deux autres queues les remplacèrent, son agresseur de croupe préférait nettement s'enfiler dans son rectum, elle en grimaçait de douleur rétrospective. Elle n'aurait jamais cru ressentir du plaisir à se faire violer de façon aussi ignoble, pourtant elle eut plusieurs orgasmes, son corps la trahissait à chaque nouvelle ignominie.
- "Deviendrai-je nympho ? se demanda-t-elle amèrement.
Puis elle revint au moment où l'ex-détenu était venu lui faire une petite visite. Après avoir pris son plaisir, en se rhabillant, elle le regardait rire en jetant une carte professionnelle sur le lit, ricanant :
- "Sais-tu que t'es chaude comme l'enfer ma petite salope ! Une vraie nympho si tu vois ce que veux dire... Plus on t'humilie plus tu as de plaisir, n'est ce pas salope ? Eh oui ma salope tu adores le sexe vulgaire... Appelle-moi quand tu auras besoin de te faire baiser par des bâtards noirs... Appelle-moi et je me débrouillerai pour satisfaire tes appétits lubriques... Pense à moi qui vais vendre ton cul comme si c'était celui de la plus salope des putes qui font le trottoir !
Sharon frissonnait, son corps était parcouru de frémissements spasmodiques rien qu'à l'idée qu'un maquereau puisse vendre son corps à des clients pervers.
- "Oh mon Dieu... J'ai vraiment besoin de tirer un coup ! Je ne suis rien d'autre qu'une sacrée petite salope comme il dit... Mon Dieu... Je voudrai vendre mon corps rien que pour en tirer un plaisir pervers... Je me remettrai à quatre pattes, je ramperai sur les genoux et le mains pour goûter à leurs grosses bites noires." haletait-elle.
Sharon avait jeté la carte dans la poubelle le plus proche, se disant :
- "Ce salaud à le culot de penser que je l'appellerai ! Ce n'est qu'à cause de son chantage que je lui obéis ..."
Elle ne savait pas ce qui l'avait poussée à récupérer la carte le lendemain pour la ranger dans sa commode sous la pile de culottes. Elle alla jusqu'à sa commode, ouvrit le tiroir et reprit la carte professionnelle de son maître chanteur, elle sentit son cœur s'emballer dans sa poitrine. Puis elle la reposa vivement sous sa pile de culottes et referma le tiroir se détournant de la commode.
- "Oh mon Dieu, Comment puis-je seulement penser à faire une chose aussi vulgaire ! " réfléchissait-elle.
Vingt minutes plus tard, la carte de nouveau en main, Sharon faisait le numéro figurant dur la carte. Mais, en entendant la sonnerie, elle se mit à haleter de honte elle reposa le téléphone sur son support. Tremblante de honte elle cherchait désespérément à reprendre son souffle alors que son cœur battait la chamade. Ce qu'elle ne réalisa pas, c'est que son appel était enregistré sur le répondeur de Hobie qui relevait le numéro et l'identité de chaque appelant.
De l'autre coté de la ville, Hobie allait prendre l'appel lorsque la sonnerie se tut. En voyant le nom et le numéro de l'appelant s'afficher, Hobie sourit et pouffa de rire.
- "Bien, bien... La ravissante Sharon Hicks... Je me demandais quand tu appellerais... Ton mari ne parvient plus à satisfaire ta lubricité... T'as besoin de te faire défoncer sévèrement par n'importe qui, chérie ? T'as besoin d'un bon coup de queue de voyou... " pouffa-t-il à nouveau.
Une demi heure plus tard, la sonnerie de son portable sonna à nouveau, il se marra envoyant que c'était encore elle qui appelait.
- "Hey ben ma chérie... T'as vraiment besoin de te faire défoncer par une canaille... Tu veux être dégradée par la lie de la société ! Tirer un coup vraiment ignoble... Ha, ha, ha ! rigola-t-il goguenard.
Réfléchissant quelques secondes, Hobie se rappela deux vieillards à qui il devait une faveur pour l'avoir prévenu lorsque les flics s'intéressaient de trop près à ses activités. Grace à eux il avait pu se tirer d'affaire et repartir dans une autre voie. Dans les 24 heures qui suivirent, Hobie reçut trois autres appels de la sexy madame Hicks. Il avait déjà prévenu les deux vieux schnocks, Toolman et Wacko qu'il allait leur faire un cadeau pour les remercier. Il leur demanda :
- "Ne lui faite pas trop de mal... Faites là vous à la voyou... Dégradez là un peu, beaucoup... Elle aime ça... Giclez sur son visage... Et même pissez lui dessus..."
Ils rirent de bon coeur et Hobie leur demanda où ils créchaient la nuit. Ils lui répondirent qu'ils campaient juste sous la passerelle.
Cherchant à résister à la tentation de donner un nouveau coup de fil, Sharon se dit qu'elle devrait mieux se contrôler, qu'elle devait ignorer cette intense brûlure entre ses cuisses. Après avoir avalé une large rasade de vodka martini, elle trouva la force de se débarrasser de la tentante carte professionnelle, elle la jeta dans les toilettes. Comme elle se préparait un nouveau verre le téléphone sonna et elle tendit la main pour répondre. Le combiné sur l'oreille, elle haleta au son de la voix familière lui disant :
- "Je vois que tu as essayé de me contacter à plusieurs reprises chérie... Tu veux te faire un petit extra crapuleux ma chérie ?
- "Comm... Comm... Comment..." balbutia-t-elle péniblement.
- "J'ai relevé ton numéro et ton nom sur mon répondeur chérie !"
Ses épaules s'affaissèrent sous le poids de sa défaite lorsqu'elle réalisa qu'en fait Hobie était au courant de ses appels et qu'il l'avait volontairement laissé mijoter. De plus il connaissait parfaitement la raison de ses appels.
- "Demain soir, 9 heures pétantes, tu te ranges au bout de l'avenue de la plage, tu descends sous la passerelle et là tu demandes Toolman et Wacko... Ils prendront soin de ton cul... Je leur ai dit qu'ils pourraient te faire ce qu'ils voudraient... Et même te pisser dessus !" l'informa-t-il.
- "Mais... Mais..." balbutia-t-elle en postillonnant, mais il avait déjà raccroché et elle n'entendait plus que la tonalité.
- "La nuit du lendemain ? Oh, mon Dieu... On est invité à dîner chez la sœur de David..." réalisa-t-elle soudainement.
- "Je n'irai pas... Je ne dois pas succomber à cette tentation dégradante... Si j'ai un peu de respect pour moi-même... Un peu de volonté..." se disait-elle cherchant à se convaincre.
Pantelant elle se rappelait les mots de Hobie :
- "Je leur ai dit que t'aimerais te faire pisser dessus salope..."
L'idée de se laisser dégrader de façon aussi humiliante l'horrifiait. Pourtant elle ne pouvait empêcher les muscles de sa chatte de se crisper spasmodiquement, alors que des frissons de désirs malsains lui parcouraient le corps.
Le lendemain soir, assise à la table de sa belle-sœur, Sharon se trémoussait sur son siège. Elle ne quittait pas des yeux l'horloge murale du salon. Elle s'était dit à elle même "NON ", mais elle ne pouvait desserrer les cuisses, ce qui endiguait le flot de cyprine lui inondant la chatte. Elle se répétait :
- "Cesse de regarder l'horloge, tu n'as aucun moyen de te défiler pour aller te comporter en une bonne petite pute..."
Cependant elle continuait à fixer les aiguilles évaluant les chances qu'elle avait de se dérober. Une demi-heure plus tard, Sharon avait trouvé une bonne excuse pour quitter momentanément la salle à manger, respirant difficilement, le cœur battant la chamade, elle essayait de reprendre son contrôle d'elle-même. Elle se répétait inlassablement :
- "Non... Non... Tu ne peux pas faire ça ! Ce serait trop indigne !"
Mais Sharon ouvrit son sac et prit son portable en main. Elle commença à composer le numéro, et s'arrêta une fois encore se disant :
- "Tu ne vas tout de même pas participer à ta dégradation !"
Ouvrant la porte de la salle de bain, elle se dirigea vers la salle à manger. Comme elle s'approchait de la table, elle pressa le bouton d'appel de son portable dans son sac. Comme elle s'asseyait à sa place, le bippeur de son téléphone vibra de façon insistante. Elle le prit, jeta un œil sur l'écran vide et annonça :
- "Oh... Il y doit y avoir une urgence au bureau... Excusez moi le temps que les appelle !"
Quittant de la salle à manger, Sharon se réfugia au fin fond du vestibule. Elle prit son téléphone et arrêta le faux appel qu'elle avait enclenché, puis elle parla à voix haute dans le combiné désactivé, elle voulait que les autres convives entendent sa prétendue conversation.
- "Oh Non... Oh mon Dieu... Maintenant ? Mais on est samedi soir et je suis en famille ! On doit impérativement l'interroger ce soir ? On ne peut pas le reporter à demain ? Mais j'en ai au moins pour trois heures de route rien que pour y aller ! D'accord, d'accord... Je vous quitte, je vais voir ce que je peux faire... Retenez moi une chambre d'hôtel, et préparez l'interrogatoire !" intima-t-elle de façon à être entendue de tous.
Revenant dans la salle à manger elle leur jeta un regard découragé, et les avisa :
- "Je suis désolée, mais je vais devoir vous quitter, un problème urgent."
Elle se sentit coupable en entendant son mari surenchérir :
- "Vas-y chérie, on comprend très bien... Je suis sûr que Terri et John ne verront pas d'inconvénient à ce que je passe la nuit chez eux. John a une partie de golf demain matin et il me ramènera à la maison dans la matinée. Fais attention de bien fermer les portes à clef chérie. Conduis prudemment et passe moi un coup de fil si tu as un problème."
A 9 heures tapantes, Sharon empruntait l'avenue déserte et se rangeait à proximité de la passerelle. Les yeux braqués sous la passerelle, elle distingua une lumière tremblotante provenant d'un petit feu de camp sous le pont, au bord de l'eau. Se mordant les lèvres elle ouvrit sa portière et descendit de voiture. Ses yeux s'accoutumant à l'obscurité, Sharon discerna le sentier qui menait sous la passerelle, elle le foula ses hauts talons s'enfonçant dans le sable, elle chercha à voir où il aboutissait. Puis elle se dirigea lentement vers le petit feu de camp.
Arrivant sur le feu de camp, Sharon aperçut une vague forme installée près du feu. S'approchant, elle distingua le visage d'un vieillard noir tout décrépi assis prés des flammes.
- "Oh mon Dieu... Qu'il est vieux et laid !" remarqua-t-elle stoppant ses pas, et repensant à ce qu'elle faisait, elle recula d'un pas dans le sable mou, puis d'un second.
- "Uhhhh..." grommela-t-elle alors qu'une grosse patte lui empoignait l'épaule.
- "Puis-je vous aider jolie madame ?" résonna une voix mâle dans son dos.
- "Je... je .. Je cherche Toolman... Toolman et Wacko..." balbutia-t-elle affolée.
- "Eh bien, t'as de la chance ma petite chérie, tu viens de les trouver ! Je suis Wacko... Sais-tu pourquoi on m'appelle Wacko ? parce que j'ai une grosse bite à la disposition des dames... Je suis sûr que t'es une petite femme en manque... Ha, ha, ha..." explosa-t-il de rire.
Et, agrippant son poignet droit, il la poussa auprès du feu.
- "Hey Toolman... Regarde le joli cadeau que nous fait Hobie... Bordel qu'elle est mignonne... "entendit-elle Wacko hurler à son copain.
- "Non... Non... Je vous en prie... J'ai changé d'idée... je veux partir... " balbutiait Sharon tremblante de peur.
Mais la prise de Wacko sur son bras droit était ferme, trop ferme pour qu'elle puisse le repousser alors qu'elle trébuchait dans le sable.
- "Bienvenue ma chérie, bienvenue jolie petite madame..." la salua Toolman impatient de la voir de plus près.
Sharon dut s'asseoir dans le sable sale, les bras devant elle, ses mains agrippant ses genoux. Elle était assise entre les deux vieillards qui commencèrent à lui caresser ses jambes nues. Elle serra étroitement les cuisses alors que leurs mains atteignaient ses genoux. Elle frissonna et grommela alors que les mains rugueuses se frayaient un chemin sous son chemiser vert pâle.
- "S'il vous plait... Je vous en prie... Je veux rentrer chez moi... " sanglotait Sharon regrettant amèrement sa décision de venir au rendez-vous.
Fermant les yeux pour ne pas voir ce qui se passait, elle frémit d'horreur en sentant son corps parcouru de frissons de plaisir. Elle relâcha alors, inconsciemment, la pression de ses cuisses, posant ses mains sur le sable alors que les mains calleuses se glissaient sous sa jupe lui caressant la face interne de ses cuisses.
Une main pesa sur son épaule l'invitant à s'étendre sur le dos sur le sable, on repoussa ses jambes à hauteur de ses hanches. Ouvrant les yeux elle vit Wacko qui lui souriait tout en caressant ses jambes sur toute leur longueur. Comme ses mains atteignaient ses chevilles, il s'assit dans le sable reserrant ses genoux sur ses chevilles.
Le son d'une fermeture éclair que l'on descendait attira son attention, elle tourna la tête vers la source de ce bruit, son cœur battit plus violemment à la vue de Toolman sortant sa vieille queue ridée et la laissant tomber sur son front. Elle frémit de révulsion alors que l'odeur acide de cette bite sale lui frappait les narines.
Sharon était étendue là, incapable de résister à ses vieillards décrépits qui pouvaient faire d'elle ce qu'ils voulaient. Sentant que Wacko lui retirait ses chaussures, elle se retourna sur lui alors que la bite de Toolman, posée sur son visage prenait de l'ampleur. Wacko lui saisit les chevilles lui relevant les cuisses.
Elle poussa un long soupir étonné lorsqu'elle le vit se courber sur elle et commencer à lui lécher les orteils du pied, puis il rendit hommage à son pied gauche de la même façon. Alors qu'elle frétillait sous les léchouilles de Wacko sur ses petons, elle frémit en sentant l'odorante queue baver un fluide gluant dans son œil droit. Puis Toolman se mit à se branler vigoureusement au dessus de son visage, son méat laissant suinter des gouttes nauséabondes qui lui souillaient le visage. Cet acte dégradant affolait ses sens, ses tétons dardèrent, alors qu'elle tendait la langue pour happer le gland de la répugnante bite.
- "Oh, chérieeeeee ! T'es un bon p'tit numéro bien chaud... Oh ouiiiiiiii... Nom de Dieu on a touché un vrai diamant... Son mari doit se comporter comme un petit pédé pour qu'elle vienne nous voir... Ouais je vais juter sur son visage... " s'excita Toolman.
Dans l'intervalle Wacko s'était relevé après s'être dégrafé, et avait écarté les genoux pour enserrer sa bite entre ses plantes de pieds, puis tout en se branlant entre ses petits petons, il répliqua à Toolman :
- "Ouais Toolman, cette mignonne petite chérie ne serait pas là si son mari se montrait performant au lit... Ohhh elle a des mignon petits pieds si sexy... Ahhhhhhhh... yeahhhhhhhhh..."
Sharon faisait tournoyer sa langue sur la bite de Toolman, une onde de plaisir courait dans son corps comme elle goûtait le fluide salé, aussi acidulé que celui de sa queue souillée. Maintenant elle était vraiment entrée au cœur de l'action, alors qu'elle remuait ses pieds de bas en haut sur la longue queue de Wacko.
Sharon avait payé 100 $ son tailleur vert, l'idée que ces deux épaves allaient la souiller de leur semence l'excitait à un tel point qu'elle se mit à lécher frénétiquement la queue de Toolman alors qu'elle mettait tout son cœur à masturber Wacko entre ses plantes de pied.
- "Oh oui chérieeeeee... Yeahhhhhh... Léche-moi... Ahhhhhh... Ahhhhhhh... Yeahhhhhhh..." soufflait Toolman comme sa pine explosait sous les caresses de sa langue agile, projetant un geyser de foutre dans ses cheveux, sur son visage, souillant le plastron de son corsage.
Un second jet, puis un autre et encore d'autres jaillirent de sa bite qu'il branlait furieusement, poissant le visage de la blonde sophistiquée.
Empoignant ses chevilles, il les serra fortement sur sa hampe, Wacko gémit en branlant sa queue entre ses plantes de pieds si douces.
- "Ohhhhhh... C'est si bon... Oh yeah chérieeeeeee... C'est dingue, je vais juter... Lui arroser ses jolis pieds et ses longues jambes... Je vais cracher un bon quart de litre de foutre..." sifflait-il entre ses dents, cherchant à se contrôler encore quelques secondes.
- "Ahhhhhhhhhhhh... Bordel..." grogna Wacko alors qu'un torrent de foutre jaillissait de sa bite palpitante la couvrant de foutre jusqu'à la taille.
Les grosses gouttes de sperme, ornant ses pieds, ses jambes, ses cuisses, son tailleur, luisaient faiblement à la lueur du feu. Quelques secondes plus tard, Wacko et Toolman avaient déjà récupéré, Sharon toussa et secoua la tête comme un des clochards lui versait un rasade de rouge dans la bouche. S'asseyant, elle parvint à avaler la rasade de vinasse qui l'étouffait, les deux clochards s'accordaient de grandes lampées du gros rouge. Puis des doigts impatients s'intéressèrent à la fermeture éclair dans son dos, et la descendirent prestement, on roula sa robe sur ses hanches, dégageant ses épaules. Tout de suite les mêmes doigts dégrafèrent son soutien-gorge, il chut au sol.
- "Ohhhhhhhh..." gémit-elle alors que l'homme dans son dos empaumait ses tendres nichons, les manipulant savamment.
- "Ohhhhhhh... Ouiiiii... Oh, mon Dieu..." grommelait-elle exprimant son plaisir.
Levant les yeux, elle vit Wacko se branlant au dessus d'elle, c'est alors quelle réalisa que c'était Toolman qui jouait avec ses nibards et la poussait maintenant en avant, la disposant à quatre pattes sur le sable. Sharon sentit Wacko lui passer la main dans les cheveux, alors qu'il se postait face à ses lèvres. Le parfum acre de bite mal lavée la fit frissonner. Elle était plus grosse que celle de Toolman, elle dut ouvrir le bec en grand pour l'emboucher. Enveloppant l'ignoble hampe de ses lèvres, elle titilla son méat de la pointe de la langue.
Pendant ce temps, Toolman avait roulé jupe et culotte sur ses mollets puis lui avait ôté ces chiffons superflus. A quatre pattes dans le sable, elle lui tendait sa croupe dénudée attendant de se faire couvrir comme une chienne en chaleur. Des flots de cyprine poissaient sa cramouille embrasée, s'étalant doucement sur la face interne de ses cuisses. En sentant les mains de Toolman lui agripper les hanches, elle cambra ses fesses avec impatience.
Contemplant l'opulente croupe de la jeune femme, Toolman saisit sa bite d'une main et la pressa contre l'entrée de sa caverne enfiévrée.
- "Ohhhhh oui... Chérie, ta chatte c'est une vraie fontaine... Ohh-hh... t'es si étroite... Ahhhhhhhh... Yeahhhhhhh..." grommelait-il enfouissant sa bite dans sa grotte brûlante.
Embrochée par les deux bouts, Sharon s'empalait elle même oscillant d'avant en arrière entre les deux bites raidies, sa chatte coulait comme elle n'avait jamais coulé, cette situation dépravée l'excitait follement. Elle l'avait voulu. Elle avait voulu se faire baiser et prendre comme une chienne en chaleur.
- "Si seulement David savait pourquoi je l'ai laissé seul chez sa sœur ! Oh David, ta femme est devenue une sacré pute." songeait-elle accablée.
Un quart d'heure plus tard, ils gisaient tous trois sur le sable, sales épuisés après cette sauvage chevauchée. Tout en regardant les étoiles, Sharon se léchait les lèvres récupérant les dernières larmes du sperme de Wacko les poissant encore.
Elle se redressa s'appuyant sur sa main droite pour palper sa chatte marécageuse, le doigt trempant dan le sperme de Toolman comme elle tendait l'index pour agacer son clito. Elle ne parvenait pas à comprendre pourquoi elle avait tant savouré les coups de bite de Toolman, elle avait coulé comme une fontaine, jamais ses glandes n'avaient émis un tel volume de cyprine.
Ce n'est que vers 3 heures du matin que Sharon s'assit pour enfiler ses vêtements salis et souillés, elle décida de leur laisser ses sous-vêtements en souvenir. Elle avait longuement caressé les deux queues recroquevillées cherchant à leur rendre un peu de vigueur pour en profiter une dernière fois, mais ces 6 heures de stupre et de fornication les avait épuisés, les deux bites restèrent molles en dépit de ses efforts acharnés.
La première session de levrette terminée, elle s'était à nouveau agenouillée dans le sable comme une chienne en chaleur pour sucer la bite de Toolman alors que Wacko l'enculait allégrement. Puis elle se donna à eux chacun leur tour en solo, d'abord avec Wacko, Toolman le remplaçant quelques minutes plus tard. A chaque baise en solo, elle avait verrouillé chevilles et poignets dans leur dos se déchaînant sous leurs puissants coups de queues.
Alors qu'elle se relevait, Toolman saisit l'ourlet de sa jupe et la fit tomber au sol. Comme ils se mettaient tous deux sur pieds, Toolman l'avisa :
- "Hobie insiste pour te faire un petit cadeau avant que tu partes..."
Elle grimaça en réalisant leurs intentions quand elle les vit prendre leurs bites en main. Tendant les mains elle tenta vainement d'endiguer le torrent de pisse jaunâtre qui l'atteignait provenant de deux directions différentes. Ils concentraient le flot d'urine sur son visage et ses cheveux trempant son tailleur ce faisant. Assise dans le sable, trempé d'urine fumante, Sharon entendait les deux hommes rire à gorge déployée, puis Wacko commenta :
- "Reviens quand tu veux te faire pisser dessus gentille petite salope..."
Alors qu'ils regagnaient leur abri sous la passerelle, Sharon rampait dans le sable à la recherche de ses chaussures. Elle se releva et chaussures à la main elle retourna vers l'endroit où elle avait garé sa voiture. Sharon ouvrit sa boite à gants et prit un imper qui était là en cas de besoin. Voyant à quel point elle était trempée et puait la pisse, on pouvait certainement qualifier cette occurrence d'urgence.
Roulant sue l'avenue déserte, Sharon ignorait qu'une voiture la suivait tous feux éteints. Finalement Sharon arriva au motel un peu louche dans lequel elle s'était installée avant de rejoindre les deux clochards. Entrant dans le parking, elle se gara sur une place en face de la chambre qu'elle avait retenue plus tôt. Une fois la clef de la chambre, qu'elle avait posée à coté du levier de vitesse, retrouvée, elle décida de laisser ses vitres ouvertes, au risque de se vandaliser, afin de laisser l'air chasser l'infâme odeur de pisse dont elle avait imprégné son siège.
Dès qu'elle eut pénétré dans sa chambre et allumé la lumière, elle se rua dans la salle de bain. Jetant un œil dans le miroir elle ne se reconnut pas dans l'image que réfléchissait la glace.
- "Mon Dieu... On dirait une sacrée pute... " se dit elle intérieurement.
Puis elle ajouta
- " Oui tu t'es rudement bien débrouillée pour quitter ce dîner et rejoindre ces deux épaves ! Et cette idée de toujours avoir un imper dans la boite à gant pour parer au plus pressé, par exemple si tu te faisais pisser dessus par deux clochards !"
Intégrant la cabine de douche, Sharon commença par se dépouiller de son élégant tailleur vert Nil, le laissant choir dans un coin de la cabine elle le regardait, désolée elle savait qu'il était trop souillé pour espérer le récupérer, il était foutu, bon pour la poubelle. Sa main courut sur tout son corps, le débarrassant de nombreux grains de sable, elle sentait la pisse et le foutre, à plein nez. Elle se lava d'abord ses cheveux imprégnés de l'odeur de pisse, puis elle se lava à grande eau. Puis elle s'empara du shampoing parfumé qu'elle avait eu la précaution d'amener dans son sac, et elle se relava les cheveux convaincus qu'il annihilerait les derniers relents de pisse. Fermant les yeux, sous le flot d'eau très chaude, elle repensa aux derniers mots de Wacko :
- "Reviens quand tu veux te faire pisser dessus gentille petite salope..."
Sharon ne chercha pas à se trouver des excuses, tout en se savonnant elle se dit que ce ne serait pas sa dernière visite à Wacko et Toolman.
- "Je me demande si David ne doit pas se rendre à un séminaire le mois prochain ?" réfléchissait-elle calmement.
- "Nom d'un chien, j'espère qu'ils ne m'ont pas refilé une chaude pisse ou pire encore !" se tracassa-t-elle brusquement.
A l'extérieur, dans le parking, Hobie voyait la lumière filtrer au travers des rideaux de la chambre dans laquelle il avait vu disparaître la ravissante madame Hicks.
- "Eh bien, elle a sûrement éteint ma dette auprès de ces deux cloches... Et elle aime ça... " pouffa-t-il silencieusement.
Hobie s'était garé aux environs de la passerelle avant 9 heures, il voulait voir sa performance. Puis perdu dans les ténèbres, il avait assisté à un exceptionnel divertissement.
- "Je suppose que t'as bien gagné quelques heures de sommeil ma beauté, autant profiter le plus possible de ta chambre. Tu vas me faire gagner un bon paquet de dollars tout à l'heure. Je pense que pas mal de gars paieront 100 tickets pour pouvoir se taper ton petit cul blanc."conclut-il avant de fermer les yeux.
A suivre...
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