mercredi 27 avril 2022

Hobie, la vengeance d'un innocent. Ch 04

Histoire de Black Demon traduite par Coulybaca

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Au tour de l'avocate de subir la vengeance.

En traînant chaque jour autour du tribunal, Hobie recherchait sa prochaine victime, le moment était venu de faire payer à cette petite salope qui l'avait défendu son manque de conviction et la faiblesse de son travail. Ce qui le choquait le plus, c'est que cette foutue salope était vive, mais il était évident qu'elle n'avait pas cru en son innocence. Ainsi les articles saisis chez lui étaient le fruit d'anciens cambriolages ce qui ne prouvait en aucun cas sa participation à celui dont il avait été accusé. Cette salope lui avait conseillé de plaider coupable, et, dès son refus il fut évident qu'elle ne le défendrait que mollement.

En tout cas il avait décidé de le lui faire payer cher.

Venue au tribunal pour écouter une péroraison, Hélène Mills revoyait ses notes tout en se dirigeant vers la salle d'audience. Son diplôme en poche, elle avait tout de suite rejoint ce cabinet d'avocat. Elle avait reçu plusieurs offres impressionnantes de différents cabinets de la ville mais avait choisi de rejoindre celui là qui se souciait de défendre de pauvres gens. Elle voulait consacrer quelques années à aider les malheureux qui n'avaient pas accès à la défense d'avocats de renom, se réservant de réorienter sa carrière par la suite. Mais elle ne ressentait aucune pitié envers les voleurs, les violeurs ou les meurtriers plus spécialement s'il s'agissait de récidivistes.

Elle se souvenait d'un voleur nommé Hobie Thompson et de son refus de plaider coupable, alors qu'on avait trouvé chez lui des articles volés. Elle se souvenait bien de son cas et du fait qu'on avait rien trouvé chez lui correspondant au cambriolage dont il était accusé. Elle avait considéré que cette accusation de cambriolage était avérée.

La vie d'Hélène se déroulait heureuse et paisible, elle avait épousé son amoureux des années collège et lui avait donné deux beaux enfants. Elle pensait à son cher époux, Sam, c'était le seul homme qu'elle ait connu depuis leur rencontre au collège. A l'âge de 32 ans, Hélène était très bien notée dans sa profession et elle allait bientôt être chargée de la direction du bureau des avocats de la défense. La vie ne pouvait plus lui sourire, mariée à l'homme qu'elle chérissait et mère de deux beaux enfants. 

Assis dans un coin éloigné de la salle d'audience, Hobie se léchait les lèvres en lorgnant sur la belle avocate de la défense. Il la regarda relire ses notes alors qu'elle passait devant lui se dirigeant vers l'ascenseur, sans remarquer sa présence menaçante. L'insouciante beauté ne prêtait aucune attention à ce qui l'environnait.

-"Bordel... Je vais bientôt savoir comment est faite cette chatte sauvage lorsque je lui aurai arraché sa tenue de service..." se disait Hobie hilare.

Comme sa proie était la seule personne à prendre l'ascenseur, il nota l'étage où il s'était arrêté. Il prit l'ascenseur suivant et monta au troisième à la recherche de la belle avocate.

Hélène était si absorbée par son argumentation contrant les conclusions du juge qu'elle ignorait la présence incongrue d'Hobie sur les bancs de l'assistance. Il l'observait minutieusement, la déshabillant du regard. Une fois les débats conclus, Hélène se retira dans son bureau, elle pensait à son mari, se demandant si elle ne se montrait pas trop prude avec lui au regard de ses désirs sexuels. Mais dans sa vie intime, Hélène ne voulait pas s'aventurer sur ce terrain, elle pensait que seule une vulgaire pute pourrait satisfaire des appétits si pervers. Pas un homme ne la respecterait si elle se montrait assez vicieuse pour faire une fellation ou se laisser faire un cunnilingus. Préoccupée par ces pensées, elle ne prêtait aucune attention à ce mâle noir qui la filait discrètement.

En atteignant l'immeuble de ses bureaux, Hélène décida de laisser quelques documents dans sa voiture pour ne pas avoir à les trimbaler partout avec elle, elle donnait ainsi l'occasion à son suiveur de se documenter facilement sur elle.

Lorsqu'elle retourna chez elle, ses enfants jouaient au football avec leur père sur la pelouse devant la maison. Par chance Sam était sorti tôt de son boulot et avait pu aller chercher ses enfants à l'issue de leur entraînement de football. Ses fils avaient 6 et 7 ans, ils adoraient les sports collectifs et jouaient dans l'équipe des benjamins.

Son mari lui sourit et lui fit signe de les rejoindre. A son insu, une vieille Ford l'avait suivie jusque chez elle et s'était garée dans le virage lorsqu'elle avait tourné pour se ranger dans l'allée du garage.

Ce soir, les Mills avaient mangés en famille à la maison, les enfants avaient l'autorisation de regarder la télévision avant d'aller se coucher. Finalement Hélène et Sam purent refermer la porte de leur chambre sur eux, ils se roulèrent des patins passionnés en se laissant tomber sur le lit. Hélène était toujours ravie de faire l'amour avec Sam, elle voulait seulement qu'il ne lui demande pas de se livrer à des actes que seuls les prostituées accomplissaient. Bien sûr, elle voulait complaire à l'homme qu'elle aimait, mais elle ne pouvait se résoudre à lui faire une fellation.

Qu'arriverait-il si elle faisait cela ? Sam lui poserait-il la main sur la nuque la forçant à le laisser éjaculer dans sa bouche ? L'obligerait-il à avaler sa semence ?.

Sam n'en croyait pas sa chance, la plus belle fille du collège était tombée amoureuse de lui. Hélène était alors la plus belle fille du collège, celle qui faisait battre les cœurs de tous les mâles. Il souhaitait seulement qu'elle se montre moins prude dans leurs rapports intimes, il savait qu'elle était arrivée totalement inexpérimentée au mariage, avec une éducation répressive, se refusant à varier de la position du missionnaire. Il avait désespérément cherché à insérer sa bite entre ses lèvres, mais elle avait toujours refusé de lui accorder ce plaisir. C'était la même chose lorsqu'il voulait lui bouffer le minou. Une fois même il avait tenté de la sodomiser, cela avait tourné au pugilat.

Ce soir comme d'habitude, elle n'avait admis que de faire l'amour dans la position du missionnaire. Mais ce qu'il détestait le plus, c'était la nécessité d'employer des capotes. Ayant deux beaux enfants, et une belle carrière à poursuivre, ils avaient décidé de se satisfaire, pour l'instant, de la taille de leur petite famille, peut-être referaient-ils un enfant plus tard. Hélène avait pris la pilule mais elle avait du cesser, elle faisait trop de réactions allergiques. Aussi s'en remettaient-ils à la sécurisation des capotes.

Le vendredi suivant, Hélène sortit en avance de son bureau, elle en profita pour aller chercher ses deux enfants à la fin de leur entraînement de football. Elle leur donna un gros bisou et les envoya jouer dans l'arrière cour, quelques copains du voisinage se joignirent à eux. Elle monta alors dans sa chambre pour quitter sa tenue de travail et prendre une douche bien chaude.

Dans la chaude sécurité de sa chambre, elle drapa sa veste sur le dosseret d'une chaise, descendit la fermeture de sa jupe bleue marine et la laissa choir au sol. Puis elle déboutonna son chemisier et l'ôta, elle n'était plus vêtue que de son élégant soutien-gorge en dentelles, d'une croquignolette petite culotte. Elle se dirigea alors vers le pied du lit pour enlever ses bas noirs. Ses longues jambes laiteuses avaient fait rêver bien des hommes, Sam aimait rouler lui même ses bas sur ses cuisses pour les lui ôter.

A son insu, Hobie, caché dans les toilettes, lorgnait avec convoitise ses langues jambes si sexy, par la porte entrebâillée. Hobie haletait et se léchait les lèvres alors qu'il lorgnait la belle et jeune juriste enlevant ses bas. Il commença à se branler alors qu'elle exposait ses longues jambes laiteuses sous ses yeux.

-"Mon Dieu... Je ne peux plus attendre pour sentir ses longues jambes se refermer dans mon dos ! Dans neuf mois, elle écartera ses jolies cuisses pour accoucher d'un petit bâtard noir !" grogna-t-il sourdement.

Il continua à épier Hélène qui se rendait dans la salle de bain pour prendre une douche. En entendant crépiter la douche, Hobie rampa jusqu'à la porte de la salle de bain et jeta un coup d'œil plein de convoitise sur l'insouciante jeune femme. Il la voyait dans la cabine de douche transparente, il observait son somptueux corps dans toute sa gloire.

-"Bordel " pensa-t-il soudain, " Comme j'aimerai la rejoindre sous la douche pour l'asperger de foutre ! mais je suppose que je ferai mieux de l'attendre dans le lit qu'elle partage avec son époux."

Après avoir enfilé une sortie de bain blanche, elle retourna dans la chambre. Elle se dirigea droit vers le coin de la fenêtre pour jeter un œil sur les enfants qui jouaient dans l'arrière-cour. Elle sourit à la vue de ses enfants prenant du plaisir avec leurs copains.

-"Ahhhhhhhhhhh..." haleta-t-elle, mais son cri fut immédiatement coupé par la large main qui lui couvrit la bouche.

Paniquée, incapable de crier, elle sentit une autre main à sa taille ouvrant sa robe de bain. Elle ne pouvait pas bouger, alors qu'il détachait la ceinture de sa sortie de bain, et l'ouvrait.

-"Tu veux crier salope ? Je vais enlever ma main de ta bouche... vas-y hurle, crie aussi fort que tu le peux... Mais lorsque tes enfants se rueront à ton aide, tu te doutes de ce que je leur ferai !"la menaça Hobie, la paralysant de peur.

-"Rappelle toi ma chérie... Tu voulais que je plaide coupable, salope ! Eh bien aujourd'hui tu devras assurer ta défense, salope !" ricana-t-il lourdement.

-"Oohhhhhhh... S'il vous plaiiiiiiiiiiitttttt !" le suppliait-elle déjà alors qu'il touchait sa chair soyeuse.

Elle ferma les yeux alors que la large main rampait lentement sur son corps l'explorant minutieusement.

-"Oohhhhhhhhhhhh, nonnnnnnnn... Mon Dieuuuuuuuu, nonnnnnnn... Ohhhhhhhhhh ! S'il vous plait... Ayez pitié..." sanglotait-elle alors qu'il roulait ses tétons entre ses doigts, les manipulant avec rudesse.

La sortie de bain blanche gisait en boule à ses pieds, elle ne pouvait pas bouger, elle avait peur de crier ce qui mettrait ses enfants en danger. Elle haleta, une main fureteuse s'était faufilée entre ses cuisses et s'approchait de sa féminité.

-"Oohhhhhhhhhhh... Mon Dieuuuuuuuu..." gémit-elle lorsqu'un doigt épais sépara ses grandes lèvres et se mit à titiller son clito.

-"Onoonnnnnnn... Je vous en prieeeeeeeeee... Ahhhhhhhhh..." coassa-t-elle le corps secoué de frissons convulsifs alors qu'elle succombait à un premier orgasme, le plus intense qu'elle ait jamais ressenti.

N'ayant jamais atteint un orgasme de cette manière, Hélène était hébétée. Hobie la transporta sur le lit qu'elle partageait habituellement avec son époux. La couverture repoussée, elle vit les draps propres et l'oreiller de son mari placé au milieu du lit. Puis il l'étendit sur le lit, l'oreiller sous les hanches, livrant sa féminité à la merci de l'ex-détenu noir.

-"Ohhhhhhh... S'il vous plait... Nonnnnnnnnn..." se lamenta t-elle alors que son agresseur se penchait sur son mont de vénus.

Cet intrus allait poser sa bouche sur sa féminité, c'était encore quelque chose qu'elle avait refusé à Sam. Cet homme était sur le point de lui faire subir l'impensable. Comme si elle se sentait coupable d'avoir privé son mari de ce plaisir que cette brute dépravée allait lui faire endurer. Soudain, elle arqua ses cuisses alors que son mufle fouillait sa fente, la langue agile s'emparant de son clito vibrant. Plantant ses talons dans le matelas, Hélène agrippa la chevelure noire de son agresseur, s'arc-boutant pour mieux profiter de ce plaisir indésiré.

-"Oohhhhhhhhh... Nonnnnnnnnn... Je vais... Je vaiiiiiiiis jouiirrrrrrrr... Mon Dieuuuuuu Je... Je jouis..." grogna-t-elle, désespérée d'afficher aussi clairement son émoi.

Allongée sans défense sur son lit, elle était à sa merci. Il rampa sur elle lui ordonnant de regarder sa grosse bite noire qui allait ruiner sa vie. Elle avala sa salive à la vue de la plus grosse queue qu'elle ait jamais vue, jamais même imaginée. C'était vraiment une colonne comparée au minuscule pénis de Sam. Horrifiée elle lorgnait l'énorme bite sur le méat de laquelle suintaient déjà quelques gouttes de pré sperme. A la vue de cette monstrueuse pine qui allait ruiner sa vie, qui même pourrait la tuer, elle se dit qu'aucune femme ne pourrait adapter sa chatte à un tel obélisque. Puis elle constata qu'il ne portait aucun préservatif alors qu'elle se trouvait en pleine phase d'ovulation.

-"Oh... S'il vous plait... Non... Non... Ca ne se peut pas... Vous risquez de m'engrosser... ! Balbutia-t-elle paniquée.

Hélène tremblait de tout son corps, alors que le gland épais fouillait sa fente, séparant ses babines juteuses, se frottant de bas en haut dans sa moiteur avant de se positionner pour l'embrocher. Comprenant qu'elle ne pourrait empêcher cet immonde viol, elle gardait assez de lucidité pour essayer de minimiser les éventuelles conséquences de cet acte méprisable.

-"Ohhhhhhhh... S'il vous plait... S'il vous plait... Mon mari a laissé des capotes dans le tiroir de la commode..." suppliait-elle éperdue.

-"Ohhhhhhhhh... Owwwwwwwwww... C'est trop gros... Jamais ma chatte ne s'adaptera... S'il vous plait arrêtez... Oh, nonnnnnnnn... Arrrêtez... Arrêtezzzzzzzz... Vous êtes bien trop gros..." grognait Hélène essayant de le repousser à deux mains.

Elle se sentait tendue comme jamais elle ne l'avait été, forcée d'accepter quelque chose d'aussi détestable, d'aussi humiliant. Elle n'avait jamais touchée que la bite de Sam son mari, mais les 9 centimètres de Sam étaient ridicules comparés à la monstruosité qui allait la défoncer.

-"Aieeeeeeeeeeeeeeee... Ohhhhhhhhhhhhhhhhh..." se lamenta-t-elle quand son agresseur lui saisit les hanches et enfouit brutalement la totalité de sa bite dans son étroite petite chagatte sans aucune pitié.

C'était exactement ce dont Hobie avait rêvé en prison, faire payer cette ravissante jeune femme qui n'avait pas cru à son histoire, la faire pleurer de douleur en la baisant d'enfer sur son lit conjugal. Puis Hobie se retira lentement, ne laissant que son bourgeon à l'orée de sa foufoune, puis il la poignarda vicieusement de toutes ses forces. Il voulait faire sentir à cette petite pute toute la colère qu'il avait amassée contre elle. Chaque gémissement, chaque plainte, chaque sanglot faisait les délices d'Hobie qui lui faisait payer un juste prix. Le lit des Mills grinçait comme il n'avait jamais grincé auparavant, la tête du lit heurtait le mur, il menaçait de s'écrouler sous les à coups sauvages. Les longs retraits suivis de brutaux empalements commençaient à affecter les sens d'Hélène, les muscles de ses cuisses se contractaient spasmodiquement, ses muscles vaginaux enserraient la puissante queue qui la poignardait profondément. Hélène ne put endiguer ses émotions plus longtemps, ses jambes ses nouèrent dans le dos de son violeur.

-"Ohhh... Ahhhhh... Ohhhh... Ohhhhh... Ohhhhhh... psalmodiait-elle inconsciemment à chaque puissante pénétration de sa foufoune juteuse.

Puis, délibérément Hobie ralentit son rythme, il voulait rendre folle cette petite salope, lui faire ressentir chaque coup de sa grosse bite noire qui ruinait sa vie.

-"Ohhhhhhhhhhh... Mon Dieu !" Gémissait Hélène, serrant ses cuisses sur le torse de son agresseur verrouillant ses chevilles pour se serrer contre lui pour se faire baiser plus profondément.

Elle ne s'était jamais sentie aussi excitée, jamais un tel brasier n'avait irradiait son entrecuisse, jamais elle n'avait eu un tel besoin de jouir pour rassasier ses sens. Hobie rit en voyant la ravissante jeune femme s'arquer pour aspirer plus profondément sa bite, il savait qu'il bouleversait la vie si rangée de cette petite femme si prude, si guindée. Terrassée par un orgasme sauvage, elle cria :

-"Oh nonnnnnn... Mon Dieu... Oh mon Dieuuuuuuuu... Ne m'abandonnez pas... Ohhhhhhhhhh... Je jouiiiiiiiiiiiiisssssssss..."

Elle l'étreignit étroitement, sa bite ensevelie jusqu'aux couilles dans son ventre palpitant. Hobie adorait la voir succomber à un orgasme d'une telle violence. Cela prit quelques minutes avant que les soubresauts convulsifs cessent et Hobie resta enfoui profondément dans son sexe palpitant. Il rit alors que la naïve jeune femme délirait visiblement, encore sous l'emprise des sensationnelles sensations que lui avait procuré la bite profondément enfouie elle. Il sourit en la sentant se détendre laissant retomber ses bras et ses jambes sur le lit. Un rapide retrait de sa bite provoqua la reprise de l'étreinte de ses bras et jambes tandis qu'elle 'implorait :

-"Ohhhh... Ohhh mon Dieu... Non... Reste en moi !"

Alors il l'embrocha d'un brutal coup de boutoir s'enfouissant jusqu'aux couilles dans la ravissante jeune femme qui larmoyait. Encore heureux que les fenêtres soient fermées, sinon ses enfants l'auraient entendu conjurer :

-"Ohhhhh... S'il vous plait... Je vous en prie... Je vous en prieeeeeeeeee... Ne me faite plus ça... " balbutiait la jeune femme entre deux sanglots.

Alors qu'il accélérait le rythme de son pilonnage, Hélène réalisa que son assaillant noir n'allait plus tarder à lui injecter son foutre gras dans l'utérus.

-"Oh, mon Dieu... il va jouir ! Il va jouir dans mon ventre ! Il va m'engrosser !" réalisa-t-elle avec horreur.

-"Oh s'il vous plait... S'il vous plait... Soyez miséricordieux... Ne jouissez pas dans mon ventre ! S'il vous plait... Vous risqueriez de m'engrosser ! S'il vous plait... Retirez-vous... " le suppliait-elle affolée.

Mais ses plaintes désespérées ne semblaient qu'accroître son plaisir, alors qu'il l'embrochait de plus en plus vite. Hélène ne pouvait que gémir son désespoir en l'entendant répondre ironiquement :

-"Ma chérie... Ma chérie... Tu es si douce et si étroite... Je vais te remplir la chatte avec mon jus de nègre... Je vais te coller un polichinelle noir dans le tiroir, madame Mills ! Oh chérie, ça y est... Je vais jouir salope ! Urgggggggggggghhhhhhh ! " mugit-il le corps secoué de spasme convulsifs.

Agrippant fermement ses cuisses laiteuses, Hobie bourra ses 18 centimètres profondément dans l'utérus fertile et balança la purée.

-"Ooh nonnnnnnnnnnnnnnn..." gémit Hélène sentant la mentule palpitante exploser au plus profond de son utérus, un nouvel l'orgasme la terrassa avec une brutalité inouïe.

Jamais queue ne lui avait explosé si profondément dans son utérus, jamais elle n'avait senti substance aussi chaude lui engorger la fente, jamais son mari n'avait projeté une telle dose de sperme en elle, jamais elle ne s'était senti aussi gorgée de jus fertile, même lors de la conception de ses deux enfants. Son corps répondait à ses assauts, elle cherchait à conserver sa longueur totale en elle, elle verrouillait toujours ses chevilles dans son dos.

Une dizaine de minutes plus tard, Hobie se redressa lentement, sa bite mollissait doucement alors qu'elle émettait toujours de petits jets de foutre glaireux.

-"Alors, remplie à ras bord madame Mills... Je t'ai injecté assez de foutre pour te coller des triplés,  salope !" se marrait Hobie

Sur ces mots, elle se mit à sangloter et à geindre. Hobie rit à nouveau, il se retira d'elle avec un "plop" sonore soutirant un gémissement de honte de la jeune femme dévastée. Hélène, épuisée, pleurant de honte et d'humiliation s'endormit benoîtement. Hobie rampa lentement ne voulant pas l'éveiller pour l'instant, il voulait lui faire une grosse surprise pour la réveiller. Il fit son chemin jusqu'à la fourche de ses cuisses, cette stimulation éveilla la beauté apeurée. Hobie pesait de tout son poids sur la jeune femme effarouchée.

-"Ahhhh... Nonnnnn... Nonnnnnnnn... Laissez moi... Relevez-vous... Relevez-vous... Je vous en prie..." grommelait Hélène éperdue.

La jeune femme effrayée se voyait à nouveau clouée sur sa couche par cet homme qui venait de la violer si brutalement dans son lit conjugal. Hélène regardait, incrédule, son violeur s'agenouiller au-dessus de sa tête masturbant sa grosse bite à quelques centimètres de son visage horrifiée. Elle réalisa tout de suite ses intentions. Haletante, en plein désarroi, elle respira profondément, mais son corps réagissait à l'odeur immonde se dégageant de sa bite, elle sentait son estomac soulevé par des hauts le cœur.

-"Tu vas goûter ma semence de noire madame Mills !" grinça Hobie lui immobilisant les bras sous ses jambes.

Il sourit en voyant une horreur folle s'inscrire sur son visage, ses yeux tournaient dans leurs orbites alors qu'elle fixait les 18 menaçants centimètres de chair noire. Hélène pleurnicha sourdement :

-"Oh mon Dieu... S'il vous plait... Nonnnnnnn... Mon Dieu... ça pue !"

Sur ces commentaires, Hobie entreprit de frotter sa bite sur le visage de la beauté qui se remit à sangloter frissonnante.

-"Oh, s'il vous plait... Je vous en prie, laissez-moi... Je vous en prie, je... Je n'ai jamais sucé personne, c'est trop sale ! Je vous en prie... je n'ai jamais fait ça, même pas à mon mari !" implorait Hélène ses longs cheveux volant en vain de gauche à droite.

-"Ma chère madame Mills, je vais te faire goûter un peu de jus noir... Es-tu contente de pouvoir goûter à la semence d'un noir, madame Mills ?" ironisait Hobie sacarstique.

Hélène se remit à sangloter agitant la tête de droite à gauche en guise de réponse.

-"Ouvre ta jolie bouche pour moi madame Mills... Tu vas goûter la bite d'un nègre..." ricana à nouveau Hobie se moquant de ses plaintes.

Puis pour l'humilier d'avantage, il promena son gland turgescent sur son visage crispé.

-"Ouvre les yeux ma salope de chienne ! Je veux voir tes yeux bleus si innocents quand tu vas me sucer la bite... Ouvre les yeux ou je descends m'occuper de tes fils !" la menaça-t-il fatigué de la voir hésiter.

Comme il se relevait, Hélène soudainement empoigna les hanches de son violeur noir, voulant l'empêcher de descendre s'en prendre aux enfants. Elle frémit, révulsée par ce qu'il lui demandait de faire, cherchant à se détourner de la puanteur émanant de sa bite. Mais elle se devait de protéger ses deux fils, peu importe ce qu'elle devrait faire pour cela. Il pressait maintenant son bourgeon puant contre ses lèvres.

-"Ouvre ta délicieuse petite bouche madame Mills ! Ou préfères-tu que je m'occupe de tes chers petits..." menaça-t-il à nouveau.

Hélène sanglota de désespoir, de grosses larmes roulèrent sur ses joues alors qu'elle entrouvrait avec hésitation ses lèvres. Quelques gouttes de sperme suintaient déjà de son méat, il enduisit ses douces lèvres de cet infecte mixture. Les épais doigts noirs profondément enfoncés dans sa chevelure, la menace pesant sur la tête de ses deux enfants, convainquirent Hélène d'ouvrir la bouche pour avaler la grosse bite noire. Son corps se mit à trembler, jamais elle n'aurait pu penser que quelque chose puisse sentir si mauvais et avoir si mauvais goût, elle saliva pour diluer les souillures polluant sa bite sale. Ses mâchoires fortement distendues lui faisaient mal, elle tremblait de honte à l'idée de se livrer à un acte aussi dégradant, un acte qu'en dépit de ses supplications elle ne s'était jamais livrée jamais même sur son mari. Et voilà que maintenant, sous la menace, elle faisait une fellation à ce méprisable colosse noir. Elle ne pouvait échapper à la bite de son agresseur noir, son mari ne l'embrasserait plus jamais s'il venait à savoir qu'elle s'était soumise à cet acte dégradant.

-"Mon Dieu... Comme tu as les lèvres douces, madame Mills... Ahhhh, si seulement votre époux pouvait vous voir à cet instant ! Que dirait-il s'il voyait sa femme sucer la bite d'un nègre ?" gémit Hobie enchanté, pensant ainsi accroître l'humiliation de la naïve jeune femme.

Il savait qu'elle aurait préféré mourir plutôt que de devoir sucer la queue d'un nègre, mais la menace planant sur la tête de ses enfants l'obligeait à lui complaire servilement. Voir une jeune femme blanche dans cette situation infâmante le ravissait.

-"Ahhhhhhhhhh... Oui comme ça... bouffe-moi la queue madame Mills.... Régale toi de ma jouissance de nègre... Ahhhhhhhhhh ouiiiiiiiiiiii..." grogna-t-il sourdement serrant fortement la tête de madame Mills alors qu'il jutait dans sa bouche soumise.

L'épaisse queue du noir était bourrée au fond de sa gorge paniquant la jeune femme incapable de respirer. Lentement la grosse bite perdit de son volume et glissa doucement hors de sa bouche. Elle était horrifiée à l'idée d'avoir sucé une grosse bite noire dont elle venait d'avaler la semence. Hobie rit à gorge déployée tout en ôtant sa bite de sa bouche, un filet de foutre s'étira entre ses lèvres et la grosse prune. Il regardait la prude jeune femme frissonner de dégoût de ce qu'elle venait de subir. Il se marra à nouveau alors que la fragile beauté empoignait son estomac et courait dans la salle de bain, vomissant dans le bassin, l'épaisse semence qu'elle venait d'ingurgiter.

Se relevant, il rejoignit la malheureuse jeune femme dans la salle de bain, fermant la porte dans son dos. Il savait que personne ne pourrait entendre de cris émanant de la salle de bain insérée dans la chambre. Une grosse main caressa les hanches d'Hélène toujours penché sur le bassin, tousser crachotant l'immonde substance ingérée.

Elle comprit alors qu'il avait l'intention de la prendre bestialement. Se raidissant pour résister à cet infâme assaut, elle se dit que ça ne pourrait pas être pire que son viol initial. Ce n'est qu'en sentant son gland peser sur son délicat petit anus affolé qu'elle comprit les véritables intentions de son sauvage agresseur. Elle frémit, figée peur, elle se rappelait que Sam avait tenté de lui faire l'amour par l'anus ce qui s'était terminé en pugilat.

-"Oh s'il vous plait... Non... Pas ça... Personne ne m'a jamais... Je vous en prie !" sanglotait t-elle, implorant miséricorde.

Hobie avait bien du mal à croire en sa bonne fortune, une petite pucelle du cul rien que pour lui. Empoignant les tendres hanches, il se positionna en bonne place, et s'élança de toutes ses forces.

-"Aaeeiiiieeeeeeeee... Nonnnnnnnnnn... Nonnnnnnn... Argggggggggghhhhhhhhhh... Ohhhhhhhhhhh, mon Dieuuuuuuuuuu... Ca fait malllllllllll... Si mallllllllllll... Hurlait Hélène se déchirant la voix alors qu'il lui labourait impitoyablement l'anus, ses mains enserrant fermement son bassin.

Il ne lui avait fourré que 6 cm dans le trou du cul, dans ce coup de boutoir initial. Hobie se releva, banda ses forces et l'embrocha encore et encore.

-"Aarrrgggggghhhhhhhhh... Ohhhhhhhhhhh... " s'époumonait-elle alors que la queue s'enfouissait jusqu'à la garde dans son trou du cul meurtri.

Hélène pensait mourir de cette douleur déchirante. Elle vagit honteuse et humiliée alors qu'il la pilonnait sans pitié. Elle n'aurait jamais imaginé quelque chose d'aussi douloureux que cette sodomisation sauvage puise exister. Elle vagit alors que les mains enserrant sa taille se dirigeaient vers sa fente, il se mit à doigter sa fente engorgée de foutre chaud.

-"Ohhh... Ohhhhhh... Ohhhhhh... Ohhhhhhhhhhhh... " s'époumona-t-elle éperdue sous l'effet de cette stimulation indésirable.

Hobie avait du mal à se pénétrer de sa chance de casser le cul vierge de cette beauté, son stupide mari ne savait pas ce qu'il avait manqué. Cette adorable salope se rappellerait toujours celui qui lui avait cassé le trou du cul le premier, et c'était la grosse bite noire d'Hobie.

-"Oh chérie... je vais juter dans ton trou du cul... Je vais te remplir les entrailles de mon jus de nègre ! " mugit-il lourdement.

Sa bite se mit alors à palpiter dans le fourreau étroit, lui projetant des torrents de sperme dans ses entrailles meurtries. Hélène vagit, son corps tremblait sous les caresses de son clito et le flot de foutre lui engorgeant le colon.

Hobie retira lentement sa bite de son trou du cul, et Hélène s'effondra sur le sol.

Une heure plus tard, Hélène se réveilla en entendant des coups frappés à la porte de la salle de bain, allongée sur le carrelage froid, elle entendit la voix de Sam lui demandant si tout allait bien. Elle savait déjà qu'elle ne pourrait pas lui parler de l'infamant viol et de cette brutale sodomisation qu'elle venait de subir. Elle ne voulait pas risquer de le voir se détourner d'elle, souillée par ce nègre qui voulait ruiner sa vie. Elle lui répondit que tout était parfait, qu'elle n'allait pas tarder à sortir de la salle de bain.

Quand la porte de la salle de bains s'ouvrit, Sam s'étonna de voir sa ravissante femme mettre si difficilement un pied devant l'autre. Il s'avança pour l'aider lui demandant ce qui lui arrivait, il l'aida à gagner son lit où elle put récupérer de sa "chute". Il la prévint qu'il allait commander une pizza pour dîner, ainsi elle pourrait rester au lit. L'idée qu'en fait de chute elle avait été agressée n'effleura même pas Sam.

Une semaine plus tard, soucieuse de complaire à son mari, Hélène se mettait en quatre pour lui faire plaisir. Dans le secret de leur chambre, elle le surprit en adoptant un comportement bien plus agressif sexuellement parlant. Elle prit sa bite entre ses mains et se pencha sur lui embrassant d'une langue mouillée son gland palpitant. Le branlant tendrement, elle flattait son gland turgescent. De surprise, il lâcha quelques jets gluants dans les airs.

Mais il s'endormit tout de suite sa bite mollissant doucement dans la paume de la main de sa femme frustrée.

Le lendemain soir, Hélène se positionna à quatre pattes empoigna la bite de son mari et le pressa à l'entrée de son anus. Craignant souffrir de sa pénétration, elle fut choquée de la facilité avec laquelle son mari la pénétra, l'obligeant à feindre une certaine douleur qu'elle ne ressentait pas. Elle était totalement abasourdie lorsqu'il grogna après quelques coups de boutoir jaillissant dans ses entrailles alors qu'il était ravi d'enfin pouvoir lui "casser" le cul. Elle était encore folle d'excitation lorsque épuisé il se mit à ronfler à son coté.

Le samedi suivant, Hélène et Sam ouvrirent la porte de devant, les garçons foncèrent dehors. Un match de football était programmé, suivi d'un buffet froid, la journée allait être longue. Hélène empoigna son estomac, leur disant que ce devait être quelque chose qu'elle avait mangé. Comme le match allait commencer incessamment sous peu, elle leur dit qu'elle les rejoindrait plus tard si elle sentait mieux, elle les embrassa tous leur intimant de partir pour le match.

Elle retourna à la porte d'entrée et rentra chez elle, et les regarda partir par la fenêtre. Tournant les yeux vers la voiture garée dans le virage, Hélène se mordit les lèvres alors que la portière s'ouvrait sur un visage familier, l'homme se dirigeait vers son domicile. Entendant des pas sur le seuil, puis la sonnette tinter, Hélène ouvrit lentement la porte permettant à l'ex-détenu de rentrer.

Une demi heure plus tard, Sam et les autres parents sur le terrain de football sautaient de joie et tapaient des pieds en hurlant alors que l'aîné des Mills marquait un but. A l'instant même où son fils scorait, Hélène était aussi emportée par une vague de plaisir, elle gémissait sourdement alors que son visiteur la levait dans les airs la clouant au mur. Elle avait verrouillé fermement ses jambes sur sa taille, puis il la transporta ainsi, empalée sur sa bite turgescente jusqu'au lit conjugal. A chaque pas, elle sentait sa grosse bite palpiter dans sa foufoune embrasée.

A la fin du match, l'entraîneur de l'équipe offrit un coca cola au cadet des Mills pour la qualité de sa prestation, le gamin étancha sa soif. C'était malheureux que sa mère n'ait pu voir le match pour assister à ses exploits, mais à cet instant même elle avalait un bon bol de foutre, un toast en l'honneur d'Hobie le meilleur baiseur qu'elle ait jamais connu.

Alors que Sam et ses fils rentraient à la maison, un couinement de pneus malmenés retentit derrière eux, une voiture les percuta violemment, ils grognèrent de douleur sous l'impact.

Au même instant, dans le lit des Mills, madame Hélène Mills couinait alors que la grosse bite raide d'Hobie s'engouffrait brutalement dans sa chatte la faisant grogner de douleur sous l'impact.

Peu après son accident Sam téléphona à sa femme qu'ils seraient un peu en retard, il s'inquiéta de l'entendre haleter au bout du fil, mais Sam n'avait pas à se tracasser, sa jolie femme cherchait seulement à reprendre haleine alors qu'une grosse bite noire coulissait frénétiquement dans sa chatte embrasée.

Quand Sam Mills atteignit la maison avec ses fils, il les envoya jouer dans l'arrière cour. Puis il monta retrouver son adorable femme espérant qu'elle irait mieux. Il faisait froid dans la chambre, Les fenêtres étaient grandes ouvertes, pourtant Hélène gisait en position fœtale au milieu du lit, le visage écarlate et suant à grosses gouttes. Il posa sa main sur son front en la voya-t haleter, lui demandant où elle avait mal.

Elle fit un signe de tête à son époux, tremblant sous l'effort qu'elle faisait pour resserrer les muscles de son vagin et de son cul qu'Hobie avait été violemment distendu pour les adapter à ses mensurations. Elle était heureuse de voir que l'air frais avait rapidement chassé l'odeur de rut qui embaumait la chambre quelques minutes plus tôt.

Alors que Sam ouvrait la porte du garage, Hobie ouvrait la porte de derrière pour quitter l'adorable jeune femme agenouillée qui s'efforçait d'avaler les derniers gorgées de foutre qu'elle avait en bouche.

Hélène était toute congestionnée à la suite de la course effectuée pour se ruer dans la chambre ouvrir les fenêtres et s'allonger dans le lit avant l'arrivée de son mari.

A suivre...

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