vendredi 22 mai 2020

Claudine soumise Chap. 05

Texte écrit par G il y a quelques années.

Visite des caves de la cité avec mes élèves.

Je me réveille ce samedi matin avec l'impression d'avoir fait un mauvais rêve. J'ai été une fois de plus contrainte de suivre mes élèves hier soir et de leur obéir.

Tout en prenant mon petit déjeuner, je pense aux humiliations que j'ai dues subir. Et le plaisir que cela m'a procuré. Je suis à chaque fois surprise et honteuse de constater que, même si je suis la victime de ces maîtres chanteurs pervers, je prends un plaisir immense à être manipulée comme une poupée, un jouet. Ça me procure à chaque fois des orgasmes foudroyants.

Ce soir, je reçois ma fille et son fiancé ainsi que les parents de celui-ci, des gens importants, très en vue dans la ville. Elle, Sylviane, est notaire et conseillère municipale. Justement, les élections municipales approchent et on commence à murmurer qu'elle pourrait être première adjointe si le maire est réélu. Lui est avocat, comme son fils du reste.

Je dois appeler ma femme de ménage, Jessica, qui a accepté de faire le service ce soir. Je décide de sortir faire les courses. Je m'habille d'un élégant tailleur sur des bas noirs. Je sors du pavillon et me dirige vers ma voiture. Mon mari est absent, il ne rentrera que dans l'après-midi pour la soirée. Je monte dans ma voiture, actionne l'ouverture du portail automatique et commence à manœuvrer pour sortir. Je freine brutalement. Devant l'entrée se trouvent Bruce et Rachid qui entrent immédiatement et se dirigent vers moi. Rachid ouvre la portière de la voiture et me demande de sortir.

- T'allais où comme ça?

Je lui explique que je dois aller faire des courses. Rachid retrousse ma jupe, dévoilant mes bas. Il me demande d'enlever mon string. J'obéis, rouge de honte. Ils me font monter à l'arrière de l'auto. Rachid se met au volant et la voiture démarre.

Bruce est à l'arrière avec moi et dès que la voiture commence à rouler, il me force à me pencher en m'appuyant sur la nuque.

- Tu vas me sucer.

La figure plaquée sur son ventre, je déboutonne tant bien que mal sa braguette. Tendue comme un ressort, sa queue jaillit du pantalon. Il pousse un soupir quand je lui happe le gland entre mes lèvres. Salivant sur sa bite enfoncée dans ma bouche, je glisse une main dans le pantalon et lui malaxe ses couilles. Le gland décalotté gonfle mes joues et je le suce rapidement. J'enfonce presque toute la longueur du membre dans ma bouche et ma langue s'enroule autour de sa queue en insistant sur le gland. Son sexe se raidit et il éjacule au fond de ma gorge. Je relève la tête en hoquetant avant d'essuyer mes lèvres et mon menton. Bruce se rajuste en me félicitant :

- T'es vraiment une bonne suceuse!

Les yeux baissés, je ne réponds pas. J'éprouve une étrange satisfaction comme à chaque fois que Bruce ou Rachid abusent de moi.

- Nous t'emmenons voir des potes à la Cité.

Je frémis en réalisant ce que vient de dire Rachid. Ils m'emmènent dans leur Cité. Je suis terrifiée et je tente de les faire renoncer, en pure perte bien entendu.

- Je veux voir ta chatte! Lance Rachid en me regardant dans le rétroviseur.

Honteuse, je soulève ma jupe et dévoile ma chatte. Bruce me soupèse les seins à travers mon chemisier puis il me caresse les jambes.

- Écarte les cuisses comme une vrai pute, tu peux te préparer à faire le tapin. On a parlé de toi à nos copains et ils sont tout excités et prêts à payer pour se taper une pute BCBG, une bourgeoise salope comme toi!

- Non... Je vous en supplie... pas ça...

Avec un petit rire cruel, Bruce enfonce ses doigts dans ma chatte.

- Quelle cochonne, tu es trempée!

Il me taquine le clitoris et je ne tarde pas à pousser un gémissement, ce qui les fait rire de bon cœur. Puis il me donne une claque sur les cuisses nues au-dessus des bas.

- Je t'interdis de jouir!

- Je veux voir ses nichons. Lance Rachid à l'avant de la voiture.

Bruce déboutonne le chemisier et dégage mes seins des balconnets de mon soutien-gorge.

- Reste comme ça jusqu'à ce que nous soyons arrivés.

Nous roulons encore quelques temps et nous arrivons dans la Cité de Rachid et Bruce. Rachid gare ma voiture juste devant un groupe de jeunes en train de discuter.

- Salut, les gars! Ça vous dit toujours de vous taper la bourgeoise dont on vous a parlé la dernière fois?

Un des jeunes s'avance :

- Celle qui est sur Internet?

Il me dévisage à travers la vitre. Je baisse les yeux. La jupe troussée, les seins à l'air, il doit vraiment me prendre pour une pute.

Nous descendons de la voiture et je suis immédiatement entourée par ces jeunes qui me regardent tous avec avidité. Je suis entraînée vers un escalier et nous descendons dans une des nombreuses caves où certains jeunes des Cités établissent leur quartier général.

Je suis poussée sans ménagement dans la cave ou trônent un matelas sale et un canapé sans doute récupéré dans une décharge. Dans cette cave assez sombre se trouve déjà une dizaine d'individus, des jeunes qui poussent une exclamation en m'apercevant.

Bruce m'enlève ma veste de tailleur, exhibant mes seins. Puis il retrousse ma jupe, montrant ma chatte nue. Je suis tétanisée, incapable de la moindre réaction. J'aperçois des jeunes qui caressent leur verge sortie de leur pantalon.

Bruce attache une cordelette sur mes poignets croisés l'un contre l'autre contre mon ventre. Puis, tenue en laisse, je suis conduite vers le matelas. On m'ordonne de m'agenouiller dessus puis on glisse deux oreillers sous mon ventre. Dans cette posture, mon corps se trouve surélevé, ma chatte et mon cul exhibés à la vue de tous. Un des jeunes attache la corde à une espèce d'anneau scellé dans le mur.

De cette façon, je n'ai aucun moyen de fuir, totalement à la merci de ces jeunes. Je frémis en y pensant. Je sais qu'il est trop tard maintenant pour refuser ou protester. J'entends des pas derrière moi et je devine que la « séance » va commencer. Je me cambre quand le sexe pénètre mon vagin. Il me pistonne rapidement et se libère très abondamment au fond de mon ventre. Plusieurs autres se succèdent en jouissant aussi vite. Chacun des jeunes attend son tour avant d'entrer. Ils sont déjà presque une dizaine à avoir éjaculé dans mon vagin. Je suis dans un état second.

Dans un bref instant de lucidité, je réalise que je suis traitée de sale pute par les jeunes et que Rachid et Bruce prennent des photos pour les mettre ensuite sur internet. Pour eux, je ne suis plus qu'une bourgeoise salope, une chienne qui leur offre ses deux orifices, une pute ouverte à qui veut me remplir.

J'ai rapidement perdu le compte du nombre de mâles qui ont éjaculé en moi. On me relève et on attache la corde à un anneau fixé au plafond. Je me retrouve dans une posture de soumission que je n'avais jamais connue jusque-là. On a tellement tiré la corde que les talons aiguilles de mes escarpins touchent à peine le sol.

Je croise un instant le regard de Rachid et Bruce, ils me regardent avec un sourire ironique. Bruce s'approche de moi et enlève ma jupe. J'apparais en bas noirs et les jeunes me sifflent. On me noue un chiffon sale sur les yeux. Je suis aveuglée et je n'entends plus aucun bruit ce qui, soudain, m'inquiète

Mon corps se tend quand je sens des doigts pénétrer ma fente et mon cul. Presque aussitôt, deux bites me pénètrent par les deux côtés. La pénétration est facilitée par le sperme dont j'ai été déjà largement remplie. Je suis traitée de sac à foutre. Surexcités, les deux jeunes qui me pénètrent déchargent très vite. Je suis prise encore plusieurs fois de cette façon. J'ai atteint un état d'abandon total.

Sans me détacher, Bruce fait descendre la corde et m'ordonne de m'agenouiller sur le sol. On enlève mon bandeau et on fait entrer une dizaines d'autres jeunes qui ont déjà sorti leur queue. Le premier s'avance vers moi et fiche sa verge contre ma bouche que j'ouvre instinctivement. Après quelques va-et-vient le jeune m'arrose la gorge de son foutre.

Excités par le spectacle, les autres se masturbent. Sans interruption, ils viennent décharger leur sperme poisseux dans ma bouche accueillante. Après l'éjaculation du cinquième, je commence à avoir du mal à avaler le liquide qui inonde ma bouche.

On me relève et on me pousse sans ménagement vers une table assez haute. On me force à m'y allonger, les poignets toujours liés et on attache la corde aux pieds de la table. Je frissonne en me demandant combien de temps cela va encore durer. Bruce s'approche de moi :

- Tu permets que je prenne ma part?

Il sort sa verge dressée et agrippe mes jambes qu'il pose sur ses épaules. Il positionne son gland sur mon anus et me pénètre brutalement d'un furieux coup de hanche. Je gémis faiblement car sa queue est vraiment grosse. Il fait glisser son membre dans mon cul pendant de longues minutes. Il s'amuse à ressortir son sexe de mon anus et à le replonger brutalement dedans. Il enfonce deux doigts dans mon vagin et chatouille mon clitoris. Il me malaxe les seins en tordant mes mamelons. Je veux retenir la vague de plaisir qui envahit peu à peu mon corps mais je n'y parviens pas. Je me mets à agiter mon ventre et mes fesses contre lesquelles battent les couilles de Bruce. Il accélère le mouvement de ses reins et je jouis en gémissant alors que son sperme inonde mon cul. Quand il retire son sexe, je suis brisée par l'orgasme.

On me laisse quelques minutes de répit, puis Rachid fait enter cinq autres jeunes. Ils s'installent autour de moi en se masturbant. Je proteste que je ne veux plus mais les premiers jets de foutre arrosent mon visage. D'autres suivent, arrosant mon cou, mon ventre et mes seins. Dès qu'ils eurent terminés, d'autres jeunes entrent et éjaculent sur moi, aspergeant peu à peu tout mon corps. De ma chatte à mes seins en passant par mon visage, je suis souillée par leur foutre.

Une quinzaine de jeunes ont joui sur moi quand on me détache. Je peux enfin me redresser. Rachid me dit de rester assise sur la table. Debout devant moi, son sexe tendu hors de son pantalon, il me demande de le masturber. Je recueille assez rapidement son sperme au creux de ma main et je dois l'avaler.

Je suis mise debout et on me demande de me rhabiller sans avoir pu me nettoyer. Le sperme colle rapidement à mes vêtements. Mais le plus désagréable est de supporter le foutre répandu sur mon visage et mes cheveux. Nous sortons de la cave et remontons en voiture. Bruce et Rachid me montrent une liasse de billets.

- T'as bien travaillé ma salope, tu nous as rapporté beaucoup de fric, faudra remettre ça!

Je ne réponds pas, mortifiée. C'est tout juste si je réagis quand j'entends Bruce me lancer :

- Tu ne m'as pas dit que tu recevais du monde ce soir? On peut venir?

Je reste sans voix, abasourdie par la question. Ce n'est pas possible! Ce soir il y aura mon mari et ma fille ainsi que la future belle-famille. Bruce et Rachid éclatent de rire :

- T'inquiète! On amènera des potes!


A suivre...


Éducatrices Ch. 10

Educatrices - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte

Françoise se choisit un nouveau maître.

Françoise enrageait, déjà quinze jours qu'elle était affranchie de sa servitude, les choses allaient elles vraiment mieux de ce fait ? C'est avec un soulagement certain, qu'elle avait vu arriver le terme de son obligation de docilité envers les chefs. Respectant les conventions passées, ils les avaient laissé jouir de tous les avantages conventionnels liés à une démission ordinaire, comme eux mêmes avaient jouis de tous leurs avantages.

Cependant, c'était avec joie, même si son corps exultait sous les étreintes forcenées des trois mâles avides de profiter à fond de leur bonne aubaine, qu'elle avait vu s'interrompre cette courte période d'entière dépendance. Elle n'en pouvait plus de toujours guetter chaque bruit, craignant à tout moment l'irruption d'un indésirable, qui découvrant le pot aux roses aurait révélé l'échange scabreux.

Enfin depuis quinze jours, elle se trouvait déliée de ses engagements, personne n'avait plus barre sur elle ! Les premiers jours, elle se sentit soulagée d'échapper à l'emprise de ses jeunes amants. Le risque devenait trop grand, les jeunes trop imprudents, tôt ou tard ils se seraient fait prendre, et par d'autres que les chefs.

Encore avec eux avaient-elles pu monnayer leur silence, aurait-ce été le cas avec n'importe quel quidam ?

De plus ils allaient trop loin, elles ne comptaient plus les queues qui s'étaient succédées dans ses trois orifices. Ils les avaient reléguées au rôle de garage à bites pour tous leurs copains.

Elle s'était sentie descendre mollement, sans réaction le sentier d'une totale soumission, elle se voyait maintenant ravie de l'avoir quitté, son âme se réjouissant de l'opportunité qui l'avait empêché de sombrer définitivement dans cette basse dépravation que tout son corps appréciait.

Si cet état de suggestion s'était maintenu, ou en seraient -elles maintenant ? A monnayer leurs charmes au bénéfice de leurs amants ? Sur un banc de commissariat, accusées de racolage ?

Sincèrement, elle avait tenté d'en profiter pour restaurer l'ambiance à la maison, mais, si les enfants ravis de retrouver leur vrai maman s'étaient tout de suite jeté dans ses bras, il était loin d'en être de même pour son époux. Aigri, soupçonneux, toujours entre deux vins il n'avait pas voulu croire à ce retour d'affection et n'avait reçu que du bout des lèvres ses avances.

Dès le second soir, court vêtue d'une nuisette découvrant largement ses avantages, nimbée d'un parfum capiteux elle voulut reconquérir son conjoint. Ébahi, il s'était laissé faire, ne protestant que mollement, malheureusement, par trop aviné, il n'avait pu, à sa grande désillusion mener à bien l'échauffourée amoureuse. Elle avait eu beau faire, y mettre toute sa science, la bite maritale resta inerte, molle, sur son ventre rebondi.

Dépitée, frustrée, elle avait roulé sur le dos, alors que yeux fermés, il remarchait sa rancœur, la rendant responsable de cet ultime échec. Ainsi, cette tentative de réconciliation sur l'oreiller avait tourné court. Loin d'aboutir, elle n'avait fait qu'enfoncer un peu plus les deux protagonistes, l'un dans sa frustration, son mépris, l'autre dans sa rancœur, son aigreur. Depuis ce jour, il ne l'avait plus touchée.

Habituée à ses six ou sept saillies journalières, ce sevrage total ne pouvait que gravement la perturber. Son corps avait accueilli avec délice les premiers jours de repos, elle avait pu calmer les meurtrissures de son anus trop souvent sollicité ainsi que les échauffements de son con surmené, mais bien vite des vagues de langueur, de chaleur inhabituelles l'avaient incommodée.

De nouveau elle dut se surveiller pour ne pas rudoyer sa progéniture, son irritation influant peu à peu sur son comportement qu'elle voulait pourtant plus amène.

Ce mercredi, en tenue d'intérieur, robe d'hôtesse largement échancrée, fendue haut sur la cuisse, elle discutait avec ses deux rejetons, attendant avec impatience Francis qui, comme d'ordinaire les emmènerait à la piscine.

Enfin il arriva, ils allaient partir. Marc réclama quelques biscuits pour son goûter. Innocemment, elle grimpa sur une chaise et tendant le bras chercha à attraper le paquet remisé en haut du placard à provisions. Une soudaine chaleur lui embrasa les reins, son intuition lui souffla que quelque chose d'inhabituelle se tramait.

Jetant un œil discret sur le miroir mural, elle comprit instantanément la raison de cette montée orageuse. Ses enfants encore assis à table, Francis s'était avancé pour recevoir le paquet de biscuits, il était maintenant figé, les yeux braqués sur sa ceinture.

Son reflet dans le miroir lui dévoila le spectacle qu'elle offrait en toute innocence au jeune adolescent subjugué. Sa posture, bras tendu, reins cambrés avait obligé sa robe ample à se retrousser haut sur ses cuisses dodues, alors que la fente latérale, largement ouverte laissait entrevoir son absence de slip, tandis qu'un de ses seins choisissait la liberté, s'évadant de son écrin.

Immédiatement, elle comprit que de sa place, légèrement en contrebas, il devait avoir un point de vue enivrant, elle sentait son regard parcourir sa toison frisée à la recherche de l'entaille mauve qui la faisait femme. Sous le choc de ce bloc d'envie sauvage, elle chancela et rougit tandis qu'une sournoise langueur amollissait ses jambes. La brûlure dans ses reins s'intensifia, se généralisa, des langues de feu escaladaient maintenant ses lombes pour éclater en myriades d'étoiles dans son cerveau enfiévré.

Alors, au lieu de reprendre une tenue plus digne, moins équivoque, et de réprimander gentiment l'adolescent, comme toute honnête ménagère l'aurait fait, elle tendit encore le bras, accentua encore la cambrure de sa croupe, se tourna légèrement de profil, dévoilant plus encore sa riche nature.

La fente de sa robe dévoilait maintenant crûment les poils frisés de son pubis. L'angle qu'elle avait adopté permettait au jeune voyeur de se régaler de toute la surface de la cicatrice féminine qui baillait insolemment, se lustrant petit à petit d'une cyprine luisante.

Ses yeux ne quittèrent la chatte complaisamment offerte que pour s'ancrer sur le téton dardé qui fleurissait dans l'échancrure de son corsage. Elle sentait le regard caresser le tendre volume, exacerbant son raidissement et son envie.

Alors que de petits élancements, pointes de feux couraient sur ses aréoles, oppressée, elle comprit qu'elle ne pouvait plus longtemps garder la pose sans risquer d'alarmer ses chérubins. Lascivement elle se tourna vers le jeune mâle affolé, d'instinct il tendit les bras, pour l'aider à descendre de son piédestal.

Comme par inadvertance, sa main s'engouffra dans la fente de la jupe, il lui prit les fesses à pleines mains, s'imprégna furtivement de leur chaleur avant de les abandonner vivement , comme brûlé à leur contact. Francis n'en croyait pas ses sens, il sentait qu'elle s'était offerte, certainement dans un instant d'égarement. Dans son inexpérience il avait compris qu'elle était bonne à cueillir, et pourtant il n'osait encore y croire.

Résolu à se ménager le temps de la réflexion, il enjoignit d'un geste aux enfants de le suivre.

- Allons y... Dit il, l'abandonnant échevelée sur le pas de porte.

Titubante, encore sous l'impact de ce désir clairement exprimé et ses propres envies, elle s'affala plus qu'elle ne s'assit sur le canapé du salon. Furieusement, sa main glissa entre ses cuisses largement disjointes, et trois doigts dans le vagin, elle se masturba avec rage. Le clapotis de son vagin inondé ne cessa que lorsque tétanisée par l'orgasme elle feula un long râle de bonheur. Molle, le ventre encore parcouru de frémissements nerveux, elle sombra dans une somnolence réparatrice.

Toute engourdie, elle se laissa envahir par de troubles rêves éveillés, elle se retrouvait au temps ou elle forniquait avec ses jeunes amants. Miloud se plantait avec vigueur dans ses fesses qu'elle agitait d'ailleurs de façon spasmodique, entretenant ainsi son plaisir, alors qu'elle aspirait à pleine bouche le jus acre de Stephan. Peu à peu, l'image se troubla, évolua et bientôt le visage de Francis remplaça celui de Miloud, celui de Stephan s'estompa à son tour et ce ne fut plus qu'au jeune voisin qu'elle se livra avec chaleur.

Un cri de jouissance la tira de sa torpeur, elle réalisa alors que ce cri émanait de sa propre gorge, toute à sa rêverie, elle avait repris les manipulations fiévreuses de son sexe elle venait tout bonnement d'arracher un deuxième orgasme à son corps embrasé.

Le reste de l'après midi, elle évolua comme dans un rêve, consciente que, malgré elle son corps et son âme aspirait à se soumettre à nouveau, et qu'inconsciemment elle avait déjà choisi de plier sous la férule d'un nouveau maître juvénile. Elle s'étonnait de ne pas avoir ressenti cette envie avec les trois chefs à qui elle avait du vendanger son corps.

Elle comprenait que simplement elle avait besoin de dépendre d'un plus jeune qu'elle, que ses amants avaient créé chez elle une telle dépendance qu'elle n'aspirait plus qu'à s'humilier, se prosterner devant un maître de leur âge. C'est dès ce moment qu'elle décida en toute conscience de vamper le jeune Francis pour mieux se placer ensuite sous son joug.

Déjà l'esprit enfiévré, elle évoquait différentes ruses pour l'amener à se découvrir, finement elle pensait qu'il ne s'y risquerait pas sans encouragement.

Fébrilement, elle revêtit une tenue la mettant en valeur, elle enfila une courte jupe à même la peau, et noua un foulard sur son opulente poitrine, qu'elle envisageait de promener à l'envie sous ses yeux.

A leur retour, ni Frédérique et ni Marc ne s'étonnèrent de cette tenue si légère, ils étaient habitués à ce que leur mère, de mœurs libérés, dévoile ses appâts en toute innocence les jours de forte chaleur, inconsciemment ils en conclurent que Francis se voyait élevé au titre d'intime de la maison, ce qui, pour eux était déjà acquis depuis bien longtemps.

Le sentiment de Francis fut bien différent, tout l'après-midi il avait hésité, attribuant l'attitude de Françoise tantôt à une invite claire, tantôt au hasard. Il ne savait à quel saint se vouer, et maintenant encore qu'elle lui dévoilait ses trésors à tout moment, il n'osait comprendre. D'un œil exorbité il suivait tous ses déplacements, à l'affût du moindre de ses gestes pour lui fort révélateur. Ses yeux s'emplissaient de tous les charmes que chaque mouvement lui révélait. La tête farcie d'images croustillantes il voulut prendre congé.

Dans un dernier réflexe de convoitise, elle le pria de surveiller les devoirs des enfants tandis qu'elle prendrait une douche rafraîchissante. Hagard il se laissa conduire au fauteuil face au couloir. Les enfants déballèrent leurs affaires de classe et entamèrent leur travail. Il s'avisa bien vite que de sa place, il avait une large vue sur la salle de bain que, par inadvertance elle avait oublié de fermer.

Il ouvrit la bouche pour la prévenir de son oubli, puis réalisant l'aubaine qui lui échoyait, il se tut.

Comme ignorante de sa présence, elle se dévêtit rapidement et prit place sous la douche, de la main elle suivait les contours de ses flancs généreux, caressant longuement les pointes dardées de ses seins, avant d'engouffrer sa main entre ses fesses, en écartant largement les deux globes.

Son cœur eut un raté alors que s'étalait sous ses yeux les charmes les plus secrets de cette belle femme, jamais, même dans ses rêves les plus pervers il n'aurait osé imaginer l'exubérance de ces chairs, il voyait tout, depuis l'anneau ridelé, plus sombre de l'anus, jusqu'à la carnation mauve du sexe entrouvert. Toute la durée de la douche, il se remplit les mirettes de la féminité de la voisine.

Consciente de l'avoir échauffé un maximum, elle se frotta longuement de la serviette, exposant encore plus ses charmes plus du tout secret aux yeux de son jeune mateur.

Le malheureux, sous l'œil des enfants ne pouvait même pas se branler, avec stoïcisme il laissa sa queue se développer douloureusement dans son jean serré, enfin au bord de l'explosion, il se leva, et furtivement dans le dos des enfants penchés sur leurs devoirs, d'un geste preste il sortit sa queue et éjacula à gros bouillon dans la paume de sa main.

Amusée, elle guetta discrètement le signe de sa jouissance et avec bonheur elle le vit se hâter vers la cuisine, ou sans nul doute il allait se laver les mains poisseuses de son foutre.

A son retour il la retrouva douillettement enveloppée dans son peignoir de bain. Sous son œil ironique, il prit congé, pressé de rentrer chez lui pour réfléchir au calme.

Ce soir là son mari s'étonna de sa bonne humeur, il n'en tira aucune conclusion et se referma encore plus dans son amertume, jaloux de voir les autres s'amuser alors que lui...

Les jours suivants, elle accentua ses avances, minaudant, dévoilant ses appas à chaque occasion, mais Francis, bien que très tenté n'osait pas faire le premier pas.

Le besoin de se plier aux volontés et aux saillies de plus jeune qu'elle devenait obsédant, chaque nuit, parfois même le jour, elle rêvait de se plier sous un jeune corps, le manque d'initiative de Francis exacerbait ses désirs tout en l'irritant de plus en plus profondément. Elle cherchait comment amener le doux Francis à la contraindre, à abuser de son corps selon ses désirs.

Elle ne savait comment l'encourager discrètement, il ne devait en aucun cas se rendre compte qu'elle cherchait délibérément à se placer sous son autorité. A force de réflexion, l'idée lui vint, elle mit deux jours à en préparer le scénario.

Enfin elle était prête, assurée qu'il ne pourrait y voir qu'un heureux concours de circonstances. Sachant que ce vendredi, il avait donné rendez-vous aux enfants vers quinze heure dans le salon, s'arrangea-t-elle pour les éloigner momentanément, elle avait tout juste besoin d'un petit quart d'heure en tête à tête. Comme à l'accoutumée, Francis entra sans frapper, elle le sentit arriver dans son dos, et tout de suite, elle enclencha le magnétoscope. La bande bien calée démarra.

Elle le sentit haleter dans son dos, les yeux rivés à l'écran. On l'y voyait emmanchée sur le copain de Miloud, celui qui avait une si grosse bite, elle suçait à pleine bouche le petit blond, tandis que Miloud lui même lui écartelant les fesses cherchait à percer son pertuis béant.

Il ne s'attarda que quelques secondes, comme prévu, il quitta la pièce à pas feutrés, sortit sans bruit. Deux secondes plus tard, il pénétrait à nouveau dans la pièce, claquant avec fracas la porte d'entrée.
Simulant la plus grande confusion, rougissante, elle se précipita sur la télécommande, éteignit l'écran, puis, dans une grande agitation elle récupéra la cassette qu'elle glissa vivement dans son petit coffre personnel. Elle paraissait si confuse, si agitée, qu'elle en oublia de le refermer à clé. Sûre qu'il avait épié tous ses mouvements, qu'il s'était bien rendu compte de son "oubli", elle hoqueta :

- Francis... Je ne t'attendais pas si tôt... Les enfants vont arriver... Je... Je regardais la télé... Je vais me changer... Prends un siège... Ils vont arriver...

Et rapidement elle se glissa hors de la pièce, lui laissant le champ libre. De sa chambre, par la porte restée entrebâillée, elle pouvait l'épier, surveillant ses gestes dans un miroir qu'elle avait mis deux jours à orienter parfaitement. Avec joie, elle le vit dès son départ se glisser furtivement jusqu'au petit coffre, l'ouvrir et s'emparer avec décision des deux cassettes et de l'album qu'il recelait.

Enfin ça y était, si avec ça il ne cherchait pas à la soumettre à ses désirs, c'était à ne plus rien y comprendre, songeait-elle ravie, la balle était dans son camp, à lui de la contraindre maintenant. Il ne lui restait plus qu'à attendre son bon vouloir, il avait là tous les arguments propres à faire chavirer même la plus honnête des femmes.

Francis n'avait plus qu'une hâte, se débarrasser au plus vite des deux petits gêneurs pour courir dans sa chambre visionner la totalité de ces films si alléchant s'il en croyait les quelques images entraperçues.

Des pas retentirent, en souriant elle l'entendit prétexter d'une migraine subite pour reporter l'activité prévue.

Francis une fois parti, elle ne vérifia même pas son coffret sûre du larcin et s'occupa dans la plus grande allégresse de ses enfants.

Un jour, deux jours, trois jours passèrent, Francis, qu'elle avait croisé à plusieurs reprises ne se manifestait toujours pas... Allons bon, elle allait encore devoir saisir le taureau par les cornes, était il possible de se montrer si timoré ?

Avec les preuves qu'il avait en main...

Enfin...

Le mardi, comme, par hasard il entrait dans la cuisine, il la trouva sanglotante, la tête entre les mains elle laissait cours à un pseudo chagrin. Il ne pouvait se douter que depuis tôt le matin, un oignon à portée de main, elle guettait son arrivée. Avec douceur, il s'informa :

- Madame... Madame Françoise... Que vous arrive-t-il... Un problème? Un accident?

- Non... Non... Renifla-t-elle pitoyablement, et lui prenant la main, comme à bout de résistance, elle se confia, le choisissant comme confident .

- J'avais dans mon coffret des... Des documents compromettants... Et... On me les a... Dérobés... Je ne sais pas qui... J'ai peur... Si mon mari... Mes enfants venaient à les voir... Je serai... Je serai perdue...

- Allons... Françoise... Feignit il de la consoler, entrant dans son jeu, soudain décidé à battre le fer tant qu'il était chaud.

- Ces documents... Qu'ont-ils de si dangereux, que vous ne puissiez ? Soyez plus claire... Je cherche à vous aider, mais si je ne sais pas... Pour ça... Il me faut savoir...

- Des choses... Je ferai peut-être mieux de tout te dire... Qui sait... Tu trouveras peut-être qui a... Il y a six mois... Des jeunes de l'IME... Ils m'ont fait chanter... J'ai du faire... Tout... Tout ce qu'ils voulaient... Pour qu'ils gardent le silence... Tout... Ils m'ont tout fait... Ils ont profité de moi à fond et le pire... Ils m'ont filmé... Ont pris des photos... On me voit en train de me faire... Avec un... Deux... Même trois jeunes à la fois... Ils m'ont... Baisée... Sodomisée... Et pire encore... J'avais tout récupéré, et au lieu de les détruire... Bêtement je les avais rangées dans ma cassette... Elles n'y sont plus...

- Et... que ferais-tu si les voleurs te menacent de tout dévoiler ? Demanda-t-il, un tremblement dans la voix, passant incongrûment à un tutoiement plus approprié.

- Je serai obligée de recommencer... Comme ces derniers mois... J'accepterai tout plutôt que de risquer...

Ayant digéré ces informations, l'attitude de Francis se modifia du tout au tout, et comme , secrètement elle l'espérait, le gentil garçon un peu niais se transforma instantanément, se révélant sous un tout autre jour.

- Eh bien ma salope! sois contente... Elles ne sont pas loin tes bandes... Tes photos... Elles sont dans le tiroir de mon bureau pour être plus précis...

- Non... Non... Moi qui te croyais mon ami... Qu'est-ce que tu me veux... Tu ne veux tout de même pas... Tu n'oserais pas...

Elle pensait qu'en le défiant ainsi, elle pousserait à fond son désir, qu'elle ferait sauter les derniers freins de sa censure. Comme elle l'escomptait, ce qui démontrait d'ailleurs ses dons de psychologue, cette petite phrase porta ses fruits.

Il se redressa furieux, que l'on puisse mettre ainsi en doute ses capacités de décision, et les yeux exorbités, se dégrafant avec violence, la voix grondante il ordonna :

- A genoux salope... Tu vas voir si tu me fais peur... Suces... Et plus vite... Tu n'as pas le choix !


Il ne pouvait savoir qu'agissant ainsi, il comblait ses désirs les plus profonds. Refrénant ostensiblement un sanglot, avec lenteur, après une vague hésitation elle s'agenouilla et la main tremblante s'empara du sceptre tendu qui menaçait ses lèvres. Bigre qui aurait pu croire qu'il soit si membré ! Le beau Francis proposait à sa convoitise une belle flamberge, épaisse, longue, raide à souhait. Déjà la queue en main, elle brûlait du désir de la sentir vibrer dans sa bouche.

Elle ne devait pourtant pas marquer une hâte suspecte, aussi freinant délibérément son envie, la mine défaite elle feignit encore l'hésitation, passant une langue tremblante sur le vit brandi, comme repoussant l'in-luctable instant ou elle devrait l'emboucher.

- Grouille l'encouragea-t-il, la voix oppressée.

- Fourre la dans ta bouche... Lèche... Sinon...

Maintenant elle pouvait décemment l'absorber, il était convaincu qu'il la pliait à ses ordres, aussi avec délectation elle ouvrit largement les lèvres et goba voracement le chibre convoité. Avec un soupir de satisfaction, de bien être il s'engouffra dans le fin fond de sa gorge, mais à peine eut-il le temps de goûter le contact de sa langue de velours, de l'écrin soyeux de ses lèvres, que dans un râle sauvage, il s'exonéra en giclées puissantes dans son pharynx.

Sans marquer la forte déception qu'elle ressentait du fait de cette conclusion hâtive, elle continua d'aller et venir sur sa hampe tout le temps de sa longue éjaculation, avalant à petites gorgées le foutre tiède qui lui tapissait la gorge, puis sans rien y paraître, sournoisement, serrant ses lèvres à la base même de ses couilles elle entreprit de lui rendre une vigueur de bon aloi.

Tout à sa joie d'avoir souillé de son foutre la gorge de la belle qu'il convoitait depuis quelques jours avec la plus grande violence, éperdu de bonheur, il la laissa faire se réjouissant de sentir sa bite reprendre de la consistance dans la chaude caverne.

Cette fois, elle voulait recevoir le fruit de ses efforts, aussi sa bouche se fit-elle tendre, la caresse de se lèvres aériennes. Elle l'aspirait jusqu'au delà de son gosier, puis retirait lentement la tête, caressant longuement de ses lèvres les moindres replis de sa tige avant de l'enfourner de nouveau avec la même savante lenteur.

Cette fois la fellation dura longtemps, comme s'il en était besoin, d'un seul coup, lorsqu'il se cabra il resserra sa prise sur la nuque de sa zélée pipeuse, s'enfonça encore plus, lésant les amygdales, repoussant la luette dans l'arrière gorge, et de nouveau à de gros bouillons épais, crémeux, inondèrent son palais.

Empressée elle avala goulûment le sperme tiède qui la ravissait, puis elle s'attarda longuement à la toilette du braquemart tressautant qui venait de lui accorder tant de joie avant de le ranger avec habileté dans son slip. Ne doutant pas qu'il devait à la menace qu'il faisait planer sur sa tête ce succulent pompier, la voix mâle il exigea :

- Dorénavant tu seras à ma botte... Je te ferai tout ce que j'ai vu sur le film... Tout... Je te baiserai à couilles rabattues... Je te défonce-rai le trou du cul... Tout je te dis... Tu devras m'obéir...

Affichant une mine honteuse, contrite, elle souffla :

- Oui... Oui, mon chéri... Tu feras de moi ce que tu voudras... Je se-rai ta chienne... Mais je t'en prie ne dis rien à personne...

La fine mouche avait atteint son but, à nouveau elle devrait se plier sous le torse d'un jeune amant, qui, elle n'en doutait pas en prenant de l'assurance, et au besoin grâce à de discrètes suggestions saurait la faire râler sous lui, et très certainement, l'autorité venant sous d'autre. A nouveau elle devrait combler les désirs, les vœux d'un adolescent qui ne tarderait pas à la traiter en objet, à l'échanger, à l'avilir. Elle retrouverait ce fort sentiment de honte, d'humiliation, de déchéance dont elle avait tant besoin pour jouir à pleine gorge, son corps se verrait à nouveau souillé par des étreintes, même les plus bestiales qu'elle ne pourrait refuser... La pleine vie reprenait .

EPILOGUE .

Comme elle l'entendait, Françoise amena son jeune voisin a asseoir son emprise sur elle, elle lui suggéra le plus souvent les étapes qui l'amèneraient à une totale dépendance, inventant des situations, des actions qui peu à peu révélèrent en Francis des qualités insoupçonnées.

Par son entremise, elle pervertit à son tour son mari, mettant ses copines à son entière disposition, bientôt, Francis vécut comme un coq en pâte, disposant à son gré des quatre femelles et en faisant disposer le mari de Françoise, ce qui leur permit de varier à l'infini les scénarios.

Sylvie retrouva du boulot, recommandée par André, elle sut de la bouche, du con, du cul gagner une place bien méritée.

Fabienne et Murielle, tout comme elle se prêtèrent avec jubilation à leurs jeux.


Complices de Françoise, elles surent tout comme cette dernière suggérer des situations scabreuses qui semblaient toujours venir des mâles; alors qu'en réalité elles menaient le jeu..

FIN

La Mère de la Mariée

Traduction d'un texte de Tiberius58.

*******

L'orgue commence à jouer « Voici la mariée » et ma fille marche dans l'allée au bras de son père jusqu'à l'endroit où le prêtre, le marié et le garçon d'honneur attendent. Ce dernier me sourit et me fait un clin d'œil lorsque le prêtre commence à parler.

Je suis assise sur le premier banc, douloureusement consciente que je ne porte pas de culotte, que mon vagin est endolori par la baise qu'il a endurée, que mes mamelons ont été sucés durement, et que du sperme séché est éclaboussé sur mes cuisses et le haut de mes bas. De plus, j'ai encore le goût du foutre dans ma bouche. Je viens de vivre la baise la plus dure de ma vie avec l'homme qui est sur le point d'épouser ma fille et son garçon d'honneur et meilleur ami. Je dois vous raconter.

*****

Les plans pour le mariage ont commencé à ne pas être respectés quand ma fille a décidé de rester chez sa demoiselle d'honneur la nuit d'avant afin qu'elle puisse se faire coiffer et maquiller par son amie. Steve le futur marié et Tony son meilleur ami et garçon d'honneur sont restés chez nous avec mon mari et moi.

Ce même jour, la veille du mariage donc, la sœur de mon mari, qui vit à plus de trois heures de route de chez nous, s'est cassée la jambe. Mon mari dut se rendre chez elle afin de la ramener le lendemain le matin du mariage. Ce qui fit que je restai seule avec les deux jeunes hommes, une situation qui devint un problème.

Je pensai que les gars allaient passer la soirée à se détendre avec quelques bières. Donc je fus surprise quand ils m'ont informée qu'ils sortaient en boite de nuit. Tony est un garçon extrêmement dévergondé qui, j'en suis certaine, doit souvent entraîner Steve. Je l'ai même entendu dire qu'il s'était arrangé avec quelques filles qui avaient envie de baiser un gars la veille de son mariage.

Quand j'entendis cela, j'eus peur. J'ai commencé à craindre que mon futur gendre n'attrape de maladie, qu'il tombe amoureux d'une autre fille, ou qu'il revienne complètement ivre au point de ne pouvoir se rendre à l'église.

Je les suppliai donc de rester à la maison, mais en vain. Tony, qui est un gros pervers, me suggéra alors qu'ils resteraient si je le méritais. Je compris le sous-entendu. Mon esprit fut en ébullition. J'ai 43 ans et je n'ai jamais trompé mon mari. Je garde mon corps en bonne forme et j'ai toujours été consciente que certains jeunes hommes me convoitaient. Même ma fille m'avait laissé entendre un jour que Steve me trouvait attirante.

Je ne savais pas que faire, mais j'étais déterminée à les empêcher de sortir et de mettre le mariage en danger avant qu'il ne soit prononcé. Les deux jeunes hommes me regardèrent avec un sourire narquois sur le visage et le futur époux me dit :

- Je me suis toujours demandé à quoi vous ressembliez sans vos vêtements. Voulez-vous vous déshabiller vous-même, ou voulez-vous que nous vous aidions?

Une partie de moi pensa : « Tu ne peux pas accepter une idée aussi dégoûtante », tandis qu'un autre dit : « Quoi qu'il en coûte, quelles que soient les dégradation que ces deux salauds vont me faire subir, ça sera un moindre mal » . Je commençai alors à me déshabiller alors qu'ils se tiennent juste là en souriant.

Je défis mon chemisier puis je l'enlevai. Leurs yeux se collèrent à mon soutien-gorge et à ce qu'il cachait. Comme je ne pus me résoudre à aller plus loin, le garçon d'honneur décrocha mon soutien-gorge et l'enleva de mes épaules. J'ai toujours eu de gros seins, qui sont restés fermes. Les deux gars regardèrent mes mamelons qui commencèrent à durcir. Mon corps commença à me trahir.

Ma jupe fut déboutonnée et tirée vers le bas jusqu'à mes chevilles, me laissant habillée uniquement d'une culotte en soie. Puis soudainement, mon futur gendre m'embrassa sur les lèvres et baissa ma culotte qui alla rejoindre ma jupe sur le sol. J'essayai rapidement de couvrir ma poitrine et ma chatte avec mes mains, mais ils tirèrent mes bras sur le côté pour pouvoir se régaler de ma nudité.

Les quelques minutes qui suivirent restent flous dans mon esprit alors que le duo excité se déshabilla et que je m'aperçus que les deux jeunes hommes possédaient des bites bien plus grosses que celle de mon mari. Je dois avouer qu'à ce stade, je devins moi aussi excitée et humide, avant même que leurs mains ne commencent à explorer mon corps tremblant.

J'étais dégoûtée de laisser ces deux jeunes gars m'utiliser comme une pute, mais mon excitation à propos de ce qui allait se passer pris le pas sur mes scrupules. J'oubliai que j'allais tromper mon mari qui avait dix ans de plus que moi et qui avait perdu l'intérêt pour le sexe. Nous baisions le samedi soir et ça ne durait que cinq minutes. Je suis sûre qu'il ne le faisait que parce qu'il pensait que c'était son devoir.

Les deux jeunes me posèrent sur le canapé et Steve m'écarta les jambes. Je réalisai alors qu'ils allaient se jeter sur moi. Quand la langue commença à lécher les lèvres de ma chatte, je lâchai un long grognement de plaisir. Je n'ai jamais connu le plaisir de me faire brouter par quelqu'un et ça m'a totalement surprise. C'était si bon que j'attrapai sa tête pour la pousser plus loin sur mon vagin béant. Après quelques minutes de ce traitement, je jouis pour le plus grand plaisir de Steve et Tony.

Le futur marié remplaça ensuite sa bouche par sa grosse bite, qui glissa en moi sans aucun effort, je dois avouer. Alors qu'il commença à me baiser, Tony poussa sa bite encore plus grosse contre ma bouche. Je ne luttai pas, je ne protestai pas, j'ouvris simplement la bouche pour commencer à sucer le membre géant.

Le garçon d'honneur jouit en premier, remplissant ma bouche, jet après jet, de sperme chaud. Mon futur gendre me baisa environ pendant dix minutes avant de vider sa bite au fond de ma chatte humide.

Puis ils me laissèrent aller à la cuisine pour leur ramener des bières. Et en un rien de temps, ils furent prêts à recommencer. Cette fois-ci ils changèrent de place et je dus me contenter de prendre l'énorme queue de Tony dans mon intimité, pendant que je donnai à Steve la fellation de sa vie. Je pensai alors que ça allait être fin, mais j'avais tort.

Tous les trois, nous dormîmes dans mon lit conjugal et maintes fois, je fus réveillée par l'un des deux qui me chevauchait. Le lendemain matin je me sentis complètement fatiguée et endolorie. Je fus extrêmement heureuse quand la voiture de mon mari arriva avec sa sœur.

Environ une heure avant la messe, nous étions tous habillés et mon mari nous quitta pour aller chercher sa fille et les demoiselles d'honneur. J'étais dans la chambre à coucher pour mettre la touche finale à mon maquillage quand Steve et Tony entrèrent en portant leurs costumes sur le bras.

- Je crois qu'ils nous restent un peu de temps à combler. Dit Steve en me poussant sur le lit.

- Vous êtes fous! Je suis habillée et prête à partir. Répondis-je.

Ils soulevèrent ma robe, m'arrachèrent ma culotte et me prirent en levrette. Ce fut d'abord Steve, puis Tony. Je fus inquiète d'être décoiffée ou d'abîmer mon maquillage car le temps manquait.

Finalement ils finirent de me baiser et nous nous dirigeâmes vers l'église. Nous étions en retard si bien que je n'eus pas le temps de me nettoyer ou de remettre une culotte. Mais nous arrivâmes à temps.

****

Le mariage se déroule comme dans un rêve. A la sortie de l'église, le photographe professionnel prend des clichés de tous les amis et la famille. Ses dernières photos sont du couple heureux fraîchement marié qui monte dans la voiture pour être conduit à l'hôtel où se passe la réception. Mon mari les suit de près, car il a des arrangements de dernière minutes à faire avec la direction de l'hôtel.

Pour ma part, je reste à l'église pour m'assurer que tous les invités sachent comment se rendre à la réception et pour vérifier que personne n'a rien oublié.

Bientôt, à côté de l'église et du cimeterre attenant, il ne reste plus que moi, Tony et deux autres hommes, Franck et Dave les deux autres garçons d'honneur. Franck est le frère cadet du marié et n'a que 18 ans, alors que Dave est un ami du marié.

Tandis que nous passons derrière l'église pour rejoindre la voiture, Tony sort son smartphone et suggère que je pose avec les deux autres garçons d'honneur. J'aurais du soupçonner quelque chose après ce qu'il m'avait fait subir, mais je lui obéis et reste immobile, Franck d'un côté et Dave de l'autre.

- Ok les gars! Dit Tony.

Chacun des garçons me tient le bras et tire sur l'ourlet de ma jupe pour la remonter à ma taille. Tony commence alors à prendre des photos de moi sans culotte. J'essaie de lutter, mais les deux jeunes hommes sont trop forts, c'est sans espoir. J'essaie aussi de garder les jambes serrées mais ils me traitent comme une marionnette. Bientôt Tony peut prendre des photos de ma chatte bien utilisée ainsi que de mon cul nu.

Il me dit ensuite d'arrêter de lutter et de laisser les deux autres faire leur affaire avec moi. Sinon il me menace de dire à tous les invités du mariage que j'étais tellement excitée que je l'avais dragué et baisé lui et le marié la veille. Il peut bien sûr prouver son mensonge avec les photos de moi sans culotte.

- Je ne veux pas qu'un mariage se termine alors qu'un autre débute. Dit-il sournoisement.

Que puis-je faire d'autre? J'ai laissé le marié et son garçon d'honneur principal me baiser. Donc maintenant je dois me laisser utiliser par les autres garçons d'honneur pour sauver mon propre mariage. Je n'ai jamais trompé mon mari pendant toutes ces années, et maintenant je suis devenue un jouet sexuel pour un groupe d'hommes, assez jeunes pour être mes fils.

Les trois gars enlève leurs manteaux et les pose sur les pierres tombales à proximité. Puis ils enlèvent ma veste et commencent à déboutonner mon chemisier en soie. Si j'essaie de me débattre,ce chemisier fragile va se déchirer, ce qui sera difficile à expliquer. Donc je reste contre le mur de l'église tandis qu'ils m'ôtent mon chemisier, suivi bientôt du soutien-gorge.

Leurs mains tripotent mes seins, leurs lèvres commencent à sucer mes mamelons déjà endoloris. Leurs doigts trouvent le chemin de ma chatte déjà bien utilisée. Et pendant ce temps, Tony prend photo sur photo mon humiliation.

Puis il utilise son téléphone pour appeler mon mari. Il lui dit que sa voiture ne démarre pas et qu'il a appelé un dépanneur. Ce salaud me passe ensuite le téléphone pour discuter des détails du repas de mariage avec mon mari, pendant que mes seins, ma chatte et mon cul sont tripotés sans vergogne par Franck et Dave.

Dès que je coupe la communication, Franck baisse son pantalon, m'attrape par la taille et m'empale d'un seul coup. Moi, Une mère de famille respectable et d'âge mur, je suis presque nue, avec seulement ma jupe troussée à la taille, en train d'être baisée comme une pute bon marché contre le mur de l'église. Heureusement, le jeune homme a une bite de taille normale et peu de retenue. Après cinq petite minutes de baise violent, je le sens se vider au plus profond de moi.

J'avais entendu que Dave était surnommé « le monstre », mais je ne savais pas pourquoi, jusqu'à ce qu'il laisse tomber son pantalon et qu'il révèle une bite aux proportions monstres. Tandis que son gland se fraie un chemin entre les petites lèvres de ma chatte, je sais que je vais avoir la baise de ma vie.

Il m'a tourné contre le mur de l'église et il tient mes fesses pour me pénétrer. Je n'ai pas joui quand Franck m'a pilonnée, mais là c'est toute une autre histoire. Chaque fois qu'il me donne un coup de rein, que ses poils pubiens s'écrase contre mon cul, je suis poussée vers l'orgasme. Il me défonce pendant quinze minutes avant d'éjaculer. J'ai joui au moins trois fois. Et pendant ce temps, mon plaisir est bien sûr photographié par Tony.

Quand Dave se retire, je me dis que mon calvaire est terminé, mais ce pervers de Tony a d'autres idées. Il fait en sorte que les deux autres gars me tiennent penchée sur une pierre tombale, puis il me pénètre avec force, violemment. Je le supplie d'arrêter car ma chatte est étirée et douloureuse. J'ai l'impression que mon vagin ne reprendra pas sa taille normale. Je suis surprise quand ils sort sa queue recouverte de mon jus mélangé à du sperme. Puis je suis horrifiée quand je le sens forcer le chemin entre mes fesses.

Je suis tenue par Franck et Dave dans une position penché sur la pierre tombale et Tony me tient fermement à la taille. J'essaie de déloger la bite qui essaie d'envahir mon cul, mais je ne suis pas assez forte. Chaque fois que je me débats, le sexe glisse en moi et le garçon n'a plus qu'à attendre pour me pénétrer.

C'est comme dans les rodéos ou le cheval essaie de déloger son cavalier. Finalement j'abandonne et je le laisse m'enculer. Ce n'est pas la première fois j'avoue. Avant de rencontrer mon mari, je suis sortie un soir avec des copines, je me suis saoulée et j'ai laissé des mecs me baiser dans la chatte et le cul, mais c'était il y a longtemps.

Bientôt, j'entends Tony gémir alors qu'il inonde mon cul de son foutre. C'est fini. Tony sourit vicieusement, les deux autres garçons d'honneur ont l'air d'avoir honte, et je me sens épuisée. Ils m'aident à m'habiller, toujours sans culotte et nous partons pour la réception.

Pendant le trajet en voiture, j'essaie tant bien que mal de me nettoyer avec des serviettes en papier, mais le sperme des hommes suinte toujours de ma chatte et de mon cul. Nous arrivons à l'hôtel au moment où le repas commence, donc je n'ai pas la chance de pouvoir aller dans la chambre pour me nettoyer correctement et mettre une culotte.

Je m'assois à ma place, à la table d'honneur, alors que j'empeste le sexe, du sperme fuyant de mes trous. Je me sens comme la plus grosse salope de la terre. Et je prie pour que le garçon d'honneur pervers ne trouve plus de moyens de m'humilier.

FIN.

mardi 12 mai 2020

Claudine soumise Chap. 04

Texte écrit par G il y a quelques années.

Après les cours, retour au bistrot.

Je sors de la salle de classe et referme la porte soulagée. Nous sommes vendredi soir et c'est le week-end. Curieusement, Bruce, Rachid et Bruno, mes élèves, m'ont laissé tranquille le reste de la semaine. Je les ai croisés à plusieurs reprises dans les couloirs du lycée mais ils ne m'ont fait subir aucunes autres humiliations.

Après qu'ils se soient « invités d'office » dans mon pavillon ce fameux lundi soir où j'avais été forcée à de multiples turpitudes sexuelles, je n'avais plus eu de leurs nouvelles à mon grand soulagement. Le soir, je m'étais disputée avec mon mari qui n'avait pas compris que je me refuse à lui. Il faut bien reconnaître que sexuellement, j'avais eu ma dose. J'avais été prise de toutes les façons par mes élèves et je frémissais encore d'excitation quand j'y repensais.

A ma grande surprise et à ma grande honte, j'avance dans le couloir en direction de la sortie et mes talons aiguilles claquent sur le sol. Je suis vêtue d'une jupe noire légèrement fendue sur le côté, d'un tee-shirt rose qui moule mes seins et d'une veste blanche. Le Tee-shirts est un peu osé, le profond décolleté laisse apparaître la naissance de mes seins. Certains de mes élèves m'ont sifflé quand je suis entrée dans ma salle de classe tout à l'heure.

J'arrive près de la sortie quand je me retrouve nez à nez au détour d'un couloir avec Rachid qui est accompagné d'une jeune fille.

- Tu viens avec nous! me lance-t-il d'un ton autoritaire.

Je blanchis sous mon maquillage. Non, pas encore...

Je n'oppose aucune résistance quand il me prend par le bras et m’entraîne vers les toilettes. Il pousse la porte et nous entrons. Je suis face à Rachid et cette fille que je crois reconnaître. C'est la petite amie de Rachid, Leila.

- On a prévu une sortie pour ce soir, tu viens avec nous. Me dit Rachid en s'approchant de moi.

Je proteste que ce n'est pas possible, que ma famille va s'inquiéter de ne pas me voir rentrer du lycée. Je dois justement recevoir ma fille Anne-Sophie ainsi que son futur mari et la future belle-famille à dîner demain soir et je comptais aller faire des courses ce soir.

- Tu les feras demain matin tes courses! me lâche Rachid.

Il m'explique que le site internet qu'ils ont créé marche du tonnerre et que les internautes, qui peuvent laisser des commentaires, demandent à ce qu'on me ramène dans le bar ou j'avais eu le malheur de rentrer pour demander du secours, ce fameux dimanche où ma voiture était tombé en panne.

Je suis anéantie. Cela ne s'arrêtera donc jamais. La fille porte un sac en plastique à la main et elle le pose par terre en me lançant :

- Je t'ai ramené des fringues de pute! T'es notre salope ce soir!

Elle s'approche de moi et me pousse en direction de la porte des toilettes. Elle soulève brutalement mon Tee-shirt dévoilant mes seins car je n'ai pas mis de soutien-gorge. Elle me traite de pétasse en constatant que je n'ai pas mis de sous-vêtements. Elle me regarde avec un air méchant :

- Tu t'es tapée mon mec, salope! Tu vas le payer!

A quoi bon lui expliquer que je suis victime de ces obsédés. Et d'ailleurs le suis-je?

Les doigts de Leila se referment sur les pointes de mes seins et elle se met à les tortiller dans tous les sens ce qui m'arrache un faible gémissement. Elle se met soudain à me grignoter le téton droit avec ses dents. Juste à la limite de le sectionner! C'est une femme, elle sait jusqu'où on peut aller avec une poitrine féminine, elle connait les limites entre le plaisir et la douleur. Pendant ce temps-là, Rachid a retroussé complètement ma jupe dévoilant mes longues jambes gainées de bas blancs auto-fixants, des Dim-Up. Il ricane en constatant que je ne porte pas non plus de string.

- Tu commences à y prendre gout, pas vrai ma chienne? T'aime ça être traiter comme une pute sous tes airs de bourgeoise respectable!

Je ne réponds pas, ma respiration s'est accélérée. Rachid enfonce deux doigts dans ma chatte dégoulinante et Leila me torture toujours les seins, les suçant en alternant, mordant, léchant. Je suis leur poupée...leur poupée de chair qu'on manipule comme on veut.

Leila me force à me mettre à quatre pattes sur le sol des toilettes et demande sa ceinture à Rachid. Elle abat avec force le bout de cuir sur mes fesses après avoir relevé ma jupe. Je pousse un cri. Elle m'insulte, me traitant de salope, de pute, de vieille bourge qui aime se faire baiser par des jeunes.

C'est vrai que j'ai 49 ans et qu'elle doit avoir l'âge de ma fille. Elle me force à m'approcher d'un urinoir et m'oblige à mettre la tête dedans. J'ai un haut le cœur et manque de vomir tant l'odeur d'urine est forte. Elle s'agenouille derrières moi et me fouille la chatte avec ses doigts. Elle titille mon clitoris, m'écarte les lèvres puis enfonce soudain un doigt dans mon anus et le ressort aussitôt pour me le faire lécher. Ce que je fais, obéissante.

Leila me retourne soudain et me positionne à genoux devant Rachid :

- Puisque t'aime ça, tu vas faire une pipe à mon copain!

Rachid n'en peut plus, il baisse le zip de son jean et sort un sexe énorme et raide : Une matraque de chair qu'il empoigne et dirige vers mes lèvres pulpeuses. Il la passe un instant sur mon visage, s'attardant sur mes lèvres. J'entrouvre la bouche et il y enfonce sa bite.

- Suce! Suce-moi, salope! râle-t-il en me secouant la tête d'avant en arrière autour de son sexe gonflé.

Je m'applique du mieux que je peux et je commence à devenir experte. J'enroule ma langue autour de son gland et je m'active dans l'espoir que cela se termine vite. Leila, pendant ce temps, me fouille toujours la chatte et je suis à deux doigts d'avoir un orgasme. Je suis trempée, je dégouline et Leila lance à Rachid :

- Quelle salope, j'ai les doigts trempés!

Cela doit exciter Rachid au plus haut point car je le sens soudain sur le point d'exploser. Je l'avale toujours comme une automate dans un mouvement de va et vient régulier. Brusquement, il m'empoigne la nuque et m'écarte. Il se déverse sur mon visage avec de longs jets saccadés. Sur ma bouche, mes cheveux, mes lèvres, mon menton, je suis profanée, humiliée, souillée. Leila continue de me masturber et j'halète de plus en plus en fort, je m'affaisse soudain sur le carrelage et me tords de jouissance en criant.

Nous reprenons tous notre souffle, Leila et Rachid n'arrêtant pas de me traiter de traînée, de pouffiasse. Rachid prend des photos évidemment. Ils me forcent à me relever et Leila exige que je me déshabille. J'obéis, soumise une fois de plus, totalement aux ordres de ces jeunes. Je me retrouve nue devant eux et Leila me tend mes habits pour la soirée. J'enfile des bas noirs à couture et une mini-jupe en cuir noir qui m'arrive à mi-cuisses. Pour les chaussures, j'ai droit à une paire de talons aiguilles rouge. Je fais la grimace en les mettant, ce n'est pas ma taille et j'ai mal aux pieds. Je m'en plains mais ça n'a pour effet que de faire éclater de rire mes tortionnaires. Je dois mettre un soutien-gorge rouge ainsi qu'un chemisier noir transparent. J'ai vraiment l'air d'une pute.

Nous sortons des toilettes puis du lycée sans rencontrer âmes qui vivent. Nous montons dans ma voiture, Rachid au volant et Leila et moi à l'arrière. Bien entendu, elle en profite immédiatement pour glisser une main sous ma mini-jupe en cuir et commencer à m'agacer le clito. Elle sait y faire et je suis dans état d'excitation intense quand nous arrivons devant le bar.

Les conversations s'arrêtent dès que les clients m'aperçoivent. Je reconnais derrière le comptoir Francis, le Patron et son fils Thierry. Bruce et Bruno sont en train de boire une bière. Le patron avance vers moi :

- Je ne pensais pas que tu reviendrais, c'est que ça a dû te plaire?

Je baisse la tête mais Leila me tord le téton d'un sein à travers le chemisier.

- Réponds!

- Oui, ça m'a plu...Murmuré je, honteuse et rougissante.

Francis avance et prend mes seins à pleines mains pour me les malaxer sans douceur.

- On a vu ton site ma salope, t'es vraiment une chienne!

Je suis poussée au milieu du bar, sous le regard lubrique des autres et renversée sur une table. Comme la dernière fois, Francis va fermer le bar. Thierry s'approche de moi et se met à genoux. Ma minijupe en cuir est relevée découvrant ma toison. Il s'approche et commence à me sucer la chatte, m'aspirant le clitoris, tout en enfonçant des doigts dans mon vagin

Son père s'approche de moi, son sexe à la main et me l'enfonce dans la bouche. Je l'aspire, je le pompe en poussant des gémissements. Je sens que je perds totalement le contrôle de moi-même comme à chaque fois que l'on me force. Thierry continue de me branler sans ménagement et je coule comme une fontaine. Francis s'active dans ma bouche me traitant de tous les noms.

Autour de nous, les insultes pleuvent et cela m'excite au plus haut point. Francis finit par éjaculer son sperme dans ma bouche et il me force à avaler sa semence en me tenant solidement la nuque. Il est aussitôt remplacé par Bruce. Thierry s'est relevé et m'a pénétré en poussant un « han » de bûcheron. Il s'active dans mon vagin, me limant brutalement, furieusement. Lui aussi éjacule très vite et j'ai un orgasme foudroyant quand je le sens se vider dans ma chatte.

On me relève et on me force à me mettre sur le ventre. Les seins écrasés sur la table, cambrée, le cul et la chatte exhibée aux regards de mes tourmenteurs, je suis totalement impudique et soumise, livrée à des mâles en rut.

On m'introduit un doigt dans le cul et un autre dans la chatte et on me branle. On me relève de nouveau et on me force à me mettre par terre sur le dos. On ouvre mon chemisier pour me mettre les seins à l'air et plusieurs mains les triturent, les tordent, les soupèsent.

Bruce m'ordonne de continuer ma fellation et je me soumets, le pompant furieusement. Il se retire soudain et m'asperge d'un liquide épais et poisseux. Son sperme coule sur mon nez, mes lèvres jusque que sur mes seins.

On me met à quatre pattes sur le sol, les seins ballottant et de nouveau on introduit des doigts dans ma chatte puis divers ustensiles : rouleau à pâtisserie, manche de cuillère en bois. On tente de m'enfoncer un verre mais on y renonce. Par contre, le patron revient avec des fruits et on m'enfonce une banane dans le vagin puis un concombre.

Je dois me promener à quatre pattes avec le concombre dans ma chatte. Tout le monde prend des photos. Rachid veut m'enculer et il dit à Francis qu'il faut me préparer, comme si j'en avais besoin. Le patron va chercher derrière son bar une bouteille de bière vide. Il m'enfonce le goulot dans la chatte la faisant coulisser rapidement. Ils sont tous complètement excités. Au-dessus de ma tête, j'aperçois Bruno et Thierry qui se masturbe comme des fous en me regardant. Plus loin, Leila s'est déshabillée et se caresse la fente elle aussi en me regardant.

Soudain, Rachid enfonce le goulot de la bouteille dans le cul qui rentre sans trop de difficultés malgré mes cris et mes supplications. Il agite la bouteille dans mon anus quelques temps, puis la retire et enfonce sa bite dans mon cul. Il m'agrippe les hanches et me bourre le cul en ahanant. Je subis les assauts de Rachid en poussant de longs gémissements. Mon corps ballottent sous ses coups de reins puissants.

Au-dessus de moi, Bruno et Thierry se vident les bourses en souillant mon visage de leurs foutres. Rachid se retire et se vide sur mes fesses. Je sens le sperme qui coule sur mon corps. J'en ai partout, je suis couverte de sperme. Leila s'approche de moi :

- T'as pris ton pied ma salope!

Elle me force à m'allonger sur le dos et elle se jette sur ma toison, farfouillant dedans avec sa langue. Elle déniche mon clitoris et le pompe, le suce, le maltraite. Mais avec tellement de savoir-faire que très vite je l'accompagne en donnant des coups de reins et en poussant des petits cris. Je sens sa langue fouiller mon sexe et je m'offre, totalement soumise. Leila me lèche la vulve, écartant de ses doigts mes petites lèvres.

Francis s'approche, tenant son sexe a pleine main, et prend Leila en levrette pendant qu'elle continue d'enfoncer ses doigts dans mon vagin. Il ne tarde pas à jouir, ainsi que Leila qui continue de me branler tout le temps de son orgasme. Je lâche une longue plainte et je jouis également sous les applaudissements des autres.

On me relève et j'ai du mal à rester debout. Je referme mon chemisier tant bien que mal et me dirige vers la sortie, titubante sur mes talons aiguilles, épuisée mais comblée. Je ne compte plus mes orgasmes. Je sens le sperme qui coule le long de mes jambes.

- La prochaine fois qu'on veut te baiser, on se pointe chez toi !

Je fais comme si je n'avais pas entendu, je sors dehors et le froid me saisit. Je me dirige vers ma voiture...


A suivre....

La bonniche de Madame...

Texte écrit par Géronimo il y a quelques années.

Les cinq jeunes font cercle autour de Marie-Hélène, l'épouse du Maire de la commune. Ils l'empêchent de sortir de la cave où ils l'ont entraînée bien malgré elle. Madame rentrait à son domicile quand bêtement, elle s'est trompée de route et a atterri dans cette citée voisine de la ville huppée où elle habite. Forcement, sa BMW a vite été repérée par les jeunes du quartier. Et elle aussi. Une bourgeoise BCBG qui détonne un peu dans ce milieu. Les jeunes s'avancent. On agrippe Madame et on lui soulève sa jupe, les bas nylons apparaissent et le porte-jarretelles.

- Ouah !! Elle est habillée comme une putain, cette salope de bourge ! lance un des jeunes.

- Elle va morfler.

Un doigt s'introduit dans la chatte de Madame qui pousse un cri.

Madame se réveilla en sursaut. Elle regarda autour d'elle se rassurant. Elle est bien dans sa chambre à coucher. A l'abri dans son pavillon et non pas dans cette cave sordide. Madame soupira de soulagement mais aussi avec un peu de regrets. Elle fait de plus en plus souvent des rêves érotiques où elle est malmenée par des jeunes ou des hommes ayant un statut social inférieur au sien.

Elle se rappelle avec émotion de son aventure avec les flics de la BAC et sa visite à la caserne des pompiers. A ce souvenir, elle sent son bas-ventre se réveiller. Son corps s'enflamme... Elle repoussa ses draps avec ses pieds et sa main se dirigea vers son bas-ventre relevant sa nuisette en satin rose. Elle écarta rapidement son slip et plongea son index dans son vagin en poussant un petit soupir. Son clitoris darde déjà, tout dure. Son autre main remonta et dégagea un de ses seins dont les pointes sont déjà dressées. Elle s'en empara et les tira violemment lui arrachant un gémissement de plaisir. Dans son fantasme, elle imagine des dialogues :

- T'es qu'une putain sous tes airs de bourgeoises, une salope qui aime se faire enfiler !

- Une cochonne qui aime la bite, t'en a jamais assez !

Madame gémit, murmurant :

- Oui, Oui, je suis une traînée, punissez moi.

Les doigts de Marie-Hélène s'agitent dans sa chatte, elle ondule du bassin imaginant un sexe énorme la pénétrant violemment. Elle sent le plaisir monter. Elle accélère le mouvement de ses doigts, la mouille coula sur ses cuisses. Elle se tortilla délirant à haute voix :

- Je suis une garce, baisez moi comme une chienne !

Elle poussa un cri quand l'orgasme la submergea la laissant pantelante et apaisée dans son lit.

Madame sursauta quand elle entendit la porte de sa chambre s'ouvrir ! Elle poussa un cri. Elle reconnut Alexia, son employée de maison. Une jeune fille de vingt ans. Elle est vêtue d'un chemisier marron avec une jupe noire très courte sur des collants « léopard ». Elle est perchée sur des bottines à talons. Madame n'aime pas tellement Alexia, elle trouve qu'elle s'habille de manière trop provocante et elle la soupçonne de tourner autour de son époux. Elle voulut protester lui disant de retourner dans la cuisine mais ses mots se bloquèrent dans sa gorge. Alexia tenait dans sa main une petite camera.
La bonniche regarda Madame avec ironie.

- Madame est très photogénique, elle passerai très bien à la télé.

- Mais...Mais.bafouilla Marie-Hélène, qu'est ce que vous faites Alexia ?

- Je fais un film sur la vie privée de l'épouse du Maire ! Ça marche bien ce genre de truc sur Internet, vous allez avoir des centaines de visiteurs.

Madame crut que son cour allait s'arrêter de battre.

- Non.je vous en supplie, ne faites pas ça.

Alexia s'approcha du lit.

- Imaginez que vos administrés découvrent quelle salope vous êtes, Madame. Voila qui ruinerait les chances de votre mari d'être réélu, les élections municipales sont dans 2 mois je crois, non ?

- Euh .Que voulez vous ? De l'argent ?

- Un peu que je veux du fric, salope ! C'est pas avec le salaire de misère que tu me donnes que je vais augmenter mon pouvoir d'achat.

Marie-Hélène se leva précipitamment, enfilant machinalement ses mules à talons et prit de l'argent dans son sac. Elle le donna à Alexia. Cela représentait une coquette somme.

- Ça suffira ? demanda t'elle d'une voix tremblante à Alexia.

Celle-ci haussa les épaules.

- Trop facile ! Quand on a du fric, on s'imagine qu'on peut tout acheter.

- Mais. Que voulez vous d'autres ?

Alexia resta songeuse quelques instants détaillant le corps de Madame dévoilé par la nuisette. Celle-ci s'en rendis compte et rougit violemment. Alexia répondit d'une voix douce.

- Je vais te raconter une histoire. Quand j'étudiais dans mon lycée professionnel, j'avais une prof de ton âge, plus âgée peut être. Elle habitait dans un logement de fonction. Le mari n'était jamais là. La prof m'avait pris en grippe et me sacquait en cours. Un jour, avec des copines, on a voulu se venger. On l'a choppé et on l'a gouiné toute la journée avec des godes. Après, on a appelé des copains.Quand j'ai quitté le lycée tous les mecs c'étaient tapés la prof. Elle était devenue Miss PO.

Horrifiée par cette histoire, Marie-Hélène sentit malgré tout les lèvres de son sexe s'écarter. Ses fantasmes venaient de se réveiller. Elle demanda.

- Ça veut dire quoi Miss PO ?

- T'as jamais assisté à un bizutage ? Ça veut dire Miss Pute Officielle.

Elle s'approcha de Marie-Hélène et posa ses mains sur les seins à travers l'étoffe de la nuisette. Madame sursauta et voulut reculer mais Alexia la rattrapa :

- Ne bouge pas ! laisse toi faire.

Marie-Hélène sent une lourdeur dans son bas-ventre. Une légère humidité entre ses cuisses.
Alexia soupesa les seins de l'épouse du Maire qui se mit à respirer bruyamment. Elle lui palpa les nichons sans douceur. Madame vacilla sur ses jambes. Alexia enfonça ses doigts dans la chair tendre qu'elle pinça méchamment arrachant une plainte à Marie-Hélène.

- Je dois reconnaître que t'es bien conservée pour ton âge. Regarde les miens !

Alexia déboutonna son chemisier. Ses seins nus apparurent. Elle ne portait pas de soutien-gorge.
Il faut dire qu'elle n'en avait pas besoin, privilège de la jeunesse.

Elle agrippa la tête de Marie-Hélène et la pencha vers les pointes de ses seins qui dardaient.

- Suce moi les seins salope ! Et applique-toi.

Madame goba un mamelon et le suça comme un bébé suce la tétine de son biberon.Arrachant des soupirs à Alexia.

Elle repoussa Madame et lui ordonna d'enlever sa nuisette. Marie-Hélène s'exécuta avec veulerie. Elle resta les bras ballants au milieu de la chambre, perchée sur les hauts talons de ses mules, totalement nue à part son petit slip qui cachait à peine ses poils. Sa vulve dégoulinante avait laissée une trace d'humidité au fond du sous-vêtement et bien entendue Alexia s'en rendit compte.

- T'es vraiment une salope ! T'es trempée.

Elle joua avec les tétons de la femme du Maire donnant des petits coups d'ongles les faisant rougirent. Madame se pince les lèvres pour retenir ses gémissements. Saisissant les bouts des seins entre le pouce et l'index, Alexia les tritura et les tira vers le haut faisant couiner Marie-Hélène. Elle secoua les seins dans tous les sens avant de les lâcher. Madame halète, elle est toute rouge. Alexia lui tapa sur les cuisses pour qu'elle les écarte. Elle inspecta ses petites lèvres, jouant avec. Un flot de mouille se répandit sur les doigts d'Alexia. Elle pressa le clitoris et Marie-Hélène poussa un feulement rauque. Elle donna un coup de reins.

- Retourne-toi, fais voir ton gros cul de bourgeoise !

Marie-Hélène obéit et pivota sur ses talons. Alexia lui tata les fesses, lui donna plusieurs claques, la faisant crier. Le cul rougit rapidement.

Madame fut de nouveau retournée et Alexia de nouveau plongea ses doigts dans le sexe béant. Elle les remue dans tous les sens. Madame gémit sourdement.

- Non...Je vous en supplie, arrêtez.J'en peux plus.

- Pas question que tu prennes ton pied sans mon autorisation sale vicieuse, viens avec moi !

Alexia entraîna Madame vers la cuisine. Elles descendirent l'escalier. Les mules claquent sur les marches. Marie-Hélène frissonna surprise par le froid qui régnait dans la pièce. Elle dut s'allonger sur la table, jambes à la verticale. Dévoilant sa fente baveuse, comme si elle était dans un fauteuil gynécologique.

Humiliée, la femme du Maire réalisait qu'elle exhibait ses lèvres intimes à sa bonniche. Tremblante, elle respirait difficilement. La jeune fille lui tapota la vulve ce qui fit sursauter Madame.

- Fais pas ta mijaurée, t'es trempée.

Alexia allongea la main et continua de lui triturer les seins tous en lui plongeant ses doigts dans la chatte. Madame faisait grincer la table en gigotant comme une folle. Elle se contorsionna et cria en remuant des hanches. Une de ses mules tomba à terre. Alexia la masturba longtemps prenant un plaisir sadique à s'arrêter des qu'elle voyait sur le visage ravagé de Marie-Hélène qu'elle allait prendre son pied. Arrachant à la femme du Maire un cri de déception à chaque fois. Elle lui enfonça son index dans le cul faisant sursauter Marie-Hélène. La bouche ouverte sur un cri muet. Alexia s'accroupit enfonçant sa langue dans l'intimité de sa patronne qui poussa un long gémissement. Elle lui suça le clitoris en grognant, lapant la mouille. Cela dura de longues minutes mettant Madame dans un état de nerfs indescriptible...

Finalement, elle pinça violemment le clitoris de sa patronne. Celle-ci eut un orgasme qui agitât violemment son corps, elle se tordit de jouissance sur la table de la cuisine en poussant un hurlement. Épuisée par la violence de l'orgasme, c'est dans une semi-conscience qu'elle entend Alexia lui dire que dorénavant, les relations patronne-employée allaient radicalement changer. Et qu'elle avait des copines à lui présenter et surtout des copains.


Madame allait devenir la Miss PO de sa bonniche.

Éducatrices Ch. 09

Educatrices - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte

Prises sur le fait !

Déjà trois semaines s'étaient écoulées, les quatre jeunes femmes se pliaient avec plus que de la docilité aux désirs des jeunes, elles participaient pleinement à leur possession, leurs âmes s'étaient faites à l'exultation de leur corps, elles en redemandaient, au point de ne plus observer leur emploi du temps, provoquant d'elles mêmes des motifs de rencontre supplémentaires.

Le mari de l'infirmière se félicitait de voir sa femme si productive, encore quelques années et leurs soucis d'argent s'estomperaient, celui de la pharmacienne se réjouissait de la voir si épanouie en compagnie de jeunes femmes dont il n'aurait jamais douté de leur honorabilité, quant au mari de l'éducatrice de week-end, content de voir sa femme si active, si dynamique, bien que regrettant son indisponibilité familiale pensait qu'au moins ainsi il n'avait rien à craindre d'éventuels rivaux.

Françoise était certainement la plus mal lotie des quatre, elle supportait de plus en plus mal les hommages rapides de son mari, que de migraines ne ressentait-elle d'ailleurs à l'heure du coucher, alors qu'elle le sentait de plus en plus soupçonneux .

Son taux de jalousie croissait d'ailleurs régulièrement en fonction de son imprégnation alcoolique.

Encore, n'assistait-elle pas aux rapports de Francis à son mari, le jeune voisin avait beau s'escrimer à la suivre, bien qu'il renifla quelque chose de louche, il n'arrivait pas à la coincer en flagrant délit, ce qui paradoxalement renforçait les certitudes de l'époux aigri.

Mais Francis se rendait compte, peu à peu, à l'écoute des épanchements de l'imbibé, que c'était pas tellement sa femme qu'il jalousait, mais que surtout il se plaignait de voir disparaître la jeune fille soumise à ses désirs et à ses volontés qu'il avait épousée.

Plus que l'infortune dont il se croyait victime, il ne supportait pas l'évolution de son épouse qui petit à petit s'affranchissait de son respect du mâle. Plus que son amour propre, c'était son machisme qui souffrait.

La vie coulait donc paisible entre les banales possessions, banales bien que parfois rudes de la semaine, et les soirées d'échange du week-end. Ces soirs la, elles devaient se soumettre à de parfaits inconnus, elles servaient de monnaie d'échange à leurs amants, qui, grâce à leurs charmes pouvaient s'offrir le corps d'autres bourgeoises du cru, bourgeoises par ailleurs bien souvent elles mêmes sous la suggestion de jeunes voyous.

Cet avant dernier samedi de juillet, Françoise accueillait trois jeunes males dans ses trois orifices, Murielle faisait de même, alors que Sylvie et Fabienne se gouinaient en 69 tandis que deux bites turgescentes leur foraient l'anus, Miloud et ses amis les pines bien au chaud dans la bouche des femmes de leurs potes tentaient de faire durer le plaisir, lorsque sans bruit la porte s'ouvrit.

Sidéré par le spectacle inouïe qui s'offrait à ses yeux, Christophe, l'éducateur chef de service se figea sur le pas de porte. Claquant la porte avec violence, il signifia son intrusion aux partenaires orgiaques.

A sa vue, les trois pensionnaires de l'établissement sentirent leurs queues se recroqueviller dans les bouches pourtant si accueillantes, les femmes rouges de confusion se jetèrent avec précipitation sur leurs fringues, pressées de reprendre une tenue plus décente.

Dans un silence de glace, les copains et leurs amis prirent congé de leurs hôtes, Ils se hâtèrent, peu désireux de risquer de se voir identifier. Christophe les laissa partir sans réaction, il préférait nettement laver le linge sale en famille, certain que ni ces jeunes voyous, ni leurs compagnes n'avaient intérêt à voir s'ébruiter l'affaire.

Le ton glacé, il ordonna :

- Vous trois vous faites vos valises... Quant à vous... Mesdames.... je vous attends au rapport demain matin... 9 heures...

Folles de confusion, de honte, les quatre femmes ne demandèrent pas leur reste, elles s'esquivèrent rapidement. Lors de leur retraite, d'un geste furtif, discret, Françoise logea dans son sac à main les différentes bandes vidéo, témoins de leurs exploits.

Elles se réunirent chez Fabienne, l'absence du mari de cette dernière parti pour un congrès en région parisienne leur permit de reprendre leurs esprits au calme. Bien sur, Fabienne se montrait la moins inquiète de la tournure des événements, elle pensait que ses amies ne mêleraient pas son nom au scandale qui risquait de survenir, elle n'était rien pour l'I.M.E, et de ce fait ne voyait pas pourquoi elle pourrait être inquiétée.

C'était loin d'être le cas de ses trois compagnes qui s'inquiétaient de voir leurs maris informés de leurs turpitudes, elles savaient qu'elles seraient mises à la porte, mais le tout était de savoir comment leur éviction se ferait ! Dans le meilleur des cas, peut-être qu'en offrant leurs démissions ?

Des explications à fournir à leurs conjoints, elles comptaient sur leur ingéniosité, mais encore fallait-il que le motif du renvoi ne soit pas celui constaté... Sinon ...

Peu rassurées, elles se quittèrent au petit matin, s'objurguant les unes à les autres à trouver une solution pour sortir de ce mauvais pas. Après une courte nuit de réflexion et d'angoisse, elles se retrouvèrent pour partir ensemble au lieu de leur jugement. Après mures réflexions, elle étaient toutes trois parvenues aux mêmes conclusions, leur seule monnaie d'échange, leur seule véritable chance était leur corps. Elles ne doutaient pas de l'impact de leur soirée sur leur chef, et elles étaient bien décidées à jouer de leurs charmes pour corrompre leur supérieur.

D'ailleurs, sans même se consulter, elles arboraient toutes trois des tenues forts suggestives, moulantes et courtes pour les jupes, vastes et échancrés pour les corsages.

Aucune d'entre elles ne réalisait, que le marché qu'elles se proposaient d'honorer leur aurait fait horreur six mois plus tôt, conscientes de la beauté de leurs corps et de la force de leurs tempéraments, elles se préparaient à s'offrir en pâture au chef en contrepartie de son silence, du moins partiel. Leur seul inquiétude résidait dans la crainte de se voir repoussées par un tyranneau intransigeant.

Avec crainte elles heurtèrent la porte du bureau. Une voix calme, sereine, brève, leur intima d'entrer. Christophe, juché sur un fauteuil derrière son bureau leur enjoignit de s'asseoir face à lui.

Dès cet instant, elles mirent en pratique leurs projets de séduction. Relevant haut leurs jupes, elles s'assirent toutes trois jambes haut croisées étalant les stries colorées des jarretelles sur leurs cuisses dodues. Le regard rivé aux entrecuisses des belles, Christophe éructa :

-Heu... Vous savez pourquoi vous êtes là... Miloud et ses comparses ne rejoindront leur nouveau foyer que cet après midi... Je peux donc parfaitement... Si vous niez les faits... Vous confrontez avec eux...

Allons bon, pensèrent-elles d'un même accord, ça partait mal et silencieuses, ployant sous l'algarade, elles se contentèrent d'ouvrir encore les jambes. Christophe plongeait maintenant jusqu'au fond de petits slips transparents. De sa place, il pouvait apprécier jusqu'au grain incarnat de la qualité des blessures exhibées devant ses yeux plus ou moins hagards.

La vue des cicatrices mauves des slips follets s'échappant des dentelles l'affolaient, il sentit une poussée de chaleur lui envahir les reins tandis que de grosses gouttes de sueur perlaient à son front.

Tacitement mandatée par ses amies, Françoise intervint alors :

- Ne pourrait-on s'arranger... Si vous voulez.. Nous sommes prêtes à... Beaucoup...

- Heu... Qu'entendez vous par là... Les faits sont les faits... Et je ne vois pas comment...

- Bien sur les faits sont les faits... Cependant... Est-il bien utile de les évoquer... Peut-être qu'une simple lettre de démission suffirait... Il est de votre pouvoir de... je vous répète... Mes compagnes et moi sommes prêtes à... Vous remercier au cas ou...

En prononçant ses mots, elle s'était penchée vers lui, exhibant à ses yeux conquis la ferme opulence de ses seins offerts dans leur écrin soyeux. Christophe ne savait plus ou donner du regard, la vision de ces pubis velus, de ces poitrines fermes le subjuguait, il n'osait pas comprendre leur offre...

Et s'il se trompait? Que faire?....

La tentation était trop forte... Il fallait qu'il les amène à préciser...

- Q'entendez vous par vous êtes prêtes à beaucoup offrir, si votre affaire s'arrange... Bien sûr une lettre de démission pourrait convenir... Mais ce serait une offense au code de déontologie... Et il faudrait vraiment m'offrir beaucoup pour que je pense à... Déroger...

Murielle renchérit alors, se penchant à son tour, révélant sa gorge nue jusqu'au nombril, avec vulgarité, sûre de faire encore monter la tension elle ajouta :

- Tu nous a très bien compris... Peut-être n'auras-tu plus jamais une si bonne chance de baiser trois belles nanas... Promène tes yeux sur nos cuisses, nos fesses, nos tétons... Tu verras ce qu'on t'offre... Il ne tient qu'à toi d'en profiter...

Craignant de s'engager seul dans une telle voie, il la coupa alors :

- Tout ça c'est très bien... Mais... Je ne suis pas seul à décider... Christian, Jean-Pierre ont leur mot à dire... Au moins que votre offre ne les englobe... Au quel cas...

Conscientes de s'être engagées trop loin pour maintenant reculer, elles se concertèrent du regard, puis Françoise reprit :

- Bien sur... Notre offre les concerne aussi... Eux aussi pourront...

- Alors c'est très bien... Approuva Christophe rasséréné.

- Je les appelle...

D'un doigt tremblant, il composa le numéro du bureau de l'internat sur la ligne intérieure.

- Christian... Jean-Pierre est avec toi ?  Pourriez vous venir ? L'entrevue prend un tour inattendu... Elles nous offrent leurs culs si... Vous arrivez... Dans trois minutes... Bien on vous attend... Vous les filles profitez en pour me montrer vos charmes de plus prêt ! Allez et que ça grouille !

Ne pouvant plus reculer, elles se levèrent, s'approchèrent de lui et sur un geste impératif, retroussèrent leurs jupes. Fébrilement il baissa les affriolantes petites culottes, il ne savait plus ou donner de la main.

Ses collègues le surprirent une main dans les entrecuisses grand ouverts de Sylvie et Françoise, alors que retournée, le corps ployé vers l'avant, s'écartant les fesses à deux mains Murielle offrait son anus violet à sa convoitise. S'emparant par la taille de Sylvie et Françoise, ils s'assirent les prirent sur leurs genoux tandis que Murielle prenait place sur ceux de Christophe.

Christian précisa alors :

- C'est bon... On va vous arranger le coup... Mais en contrepartie... vous serez à notre complète disposition le temps de votre préavis... Que nous fixerons à... Disons à quinze jours...

Le rouge aux joues, elles opinèrent de la tête, entérinant par ce geste le marché. Immédiatement, l'œil égrillard, Jean-Pierre suggéra :

- Puisqu'on est tombé d'accord... Montrez nous vos capacités... Allez Sylvie... Transforme mon roseau en chêne !

Obéissante, Sylvie se coula entre les cuisses grandes écartées de son solliciteur, et imitée de Françoise, elle fit glisser la fermeture éclair du pantalon puis extirpa une grosse verge congestionnée du slip douteux. Elle enfourna, en même temps que Françoise la noble flamberge déployée, et suçant de tout son cœur, elle entreprit de donner le plus de plaisir possible à son profiteur consciente de signer de ses lèvres le contrat qui les unissait.

Christophe, lui, déjà largement échauffé par les trois femelles n'avait aucun besoin de préambules, il écarta d'un geste les papiers sur son bureau, et saisissant Murielle à la taille, il la plia sur le meuble, ventre appliqué au verre froid. Avec impatience il lui rudoya les fesses, les ouvrant à lui faire mal et d'un seul élan s'engouffra entre ses reins fiévreux.

Bien qu'habituée à se faire ramoner l'étroit conduit, elle ne put refouler un cri de douleur consécutif à la brutale intrusion, n'en ayant cure il l'empala jusqu'à la garde et se mit à ruer dans ses reins dilatés.

On n'entendait plus que des halètements dans le bureau, elles s'acquittaient avec le plus grand cœur de leur première traite et c'est presque avec la joie du travail bien accompli que les deux zélées fellatrices recueillirent à pleine bouche la semence de leurs contractants tandis que Murielle sentait le sien se déverser à gros bouillon dans ses entrailles frémissantes.

Chaque jour elles se rendirent à leur rendez vous, leurs culs, leurs bouches, leurs cons obtinrent des chefs une démission motivée pour un motif moins grave : elles avouèrent, par défaut de surveillance avoir laissé les jeunes dévolus à leur responsabilité se livrer à des trafics interdits : troc, racket, beuveries...

Cette entente gagnée à la force des reins leur valut aussi de toucher l'intégralité de la prime de licenciement, ce qui leur permit de faire passer avec plus de facilité la nouvelle de leur arrêt à leurs maris, qui ne s'étalèrent pas sur les motifs de renvoi, certains qu'ils étaient de la véracité des lettres de licenciement.

Bien sûr la pilule ne passa avec facilité, mais elles surent se montrer assez chattes avec leurs conjoints pour envisager leur avenir avec plus de sérénité. Elles prirent très vite le rythme, chacune leur tour, elles accordaient leurs faveurs aux trois mâles en rut qui profitaient du peu de monde dans les locaux vidés par les vacances. Souvent seules, parfois à deux ou trois, au hasard des lieux elles se faisaient trousser sur une table, sur un lit, une pile de linge, dans la salle de sports. Entièrement à la disposition de leurs chefs, elles se pliaient à leurs désirs quelque soit l'endroit et le trou par lequel ils désiraient les forcer.

Ainsi, ce mardi, Françoise, précédant leur venue, les attendait à genoux sur le paillasson du bureau. Christophe ne dédaignait pas d'adjoindre à l'humiliation une petite pointe de douleur, ce qui d'après lui, pimentait les rapports. Les poils durs de la véritable brosse lui meurtrissant les genoux, jupe courte, sexe libre de tout voile, corsage baillant, dévoilant largement les globes fermes de ses seins, le cou tendu, elle guettait l'arrivée des queues que bientôt, en courtisane zélée, elle cajolerait de son mieux.

Des bruits de pas troublèrent le silence glauque du petit matin, la porte s'ouvrit, déjà débraguettés, Christophe et Christian lui fourraient déjà leurs bites épaisses sous le nez. Des effluves musquées envahirent ses narines, d'un commun accord, ils ne se briquaient plus la byroute, estimant qu'entre autre, c'était aux trois femelles de maintenir leurs génitoires propres.

Ces flagrances lui occasionnant quelques nausées, stoïque, pressée, elle empoigna la flamberge de Christophe à pleine main, retroussa le prépuce et engloutit voracement le gland rose marbré de filets douteux. De l'autre main, elle masturbait son collègue, elle avait saisi avec vigueur le sceptre tendu et jouait maintenant à faire coulisser la peau sur la hampe rigide, avant de chatouiller de l'ongle les bourses fripées.

- A mon tour... Gémit Christian.

Docile elle désemboucha le chibre de Christophe, le flatta de la main et goba à son tour le gland turgescent de Christian

- Les couilles... Lèches moi d'abord les couilles... Ordonna-t-il, plus exigeant, plus raffiné que son ami.

Et, toujours aussi servile, elle baisotta la tige rigide avant de léchotter d'une langue agile les bourses poilues. Le nez enfoui dans les poils de son suborneur, elle nettoya plis après replis les deux prunes ridelées, avant de les gober à pleine bouche, aspirant, suçant plis et poils en fond de gorge pour les restituer ensuite luisantes de salive.

La queue de Christophe, qu'elle masturbait lentement à pleine paume se cabra entre ses doigts, pinçant la base du gland, elle réussit à retarder de quelques secondes l'éjaculation imminente. Abandonnant Christian, elle s'engouffra la bite tressautante en plein gosier. A peine cette dernière avait-elle franchi la frontière lisse des lèvres que les gerbes fusaient, lui inondant le pharynx, elle déglutit avec délectation l'épaisse potion.

- Bon... Je fais le tour du centre... A tout à l'heure... Les quitta Christophe, tandis Christian la couchait en travers du bureau.

Avec une douceur inhabituelle, il écarta les deux hémisphères soyeux, puis d'un coup de rein déterminé, il lui perfora l'œillet, s'enfonçant d'un trait au fin fond de ses entrailles brûlantes. Le traitement préalable l'avait tant excité, qu'à peine les portes du temple franchies, englouti jusqu'à la racine, il se figea giclant à gros bouillons ses salves crémeuses dans le rectum distendu.

Se redressant avec peine, il lui enjoignit de se rendre à la lingerie, elle devrait y trier les trousseaux en attendant l'arrivée du troisième larron qui l'y retrouverait. Échevelée, elle se redressa, le sperme débordant de son anus lui poissant l'entre-fesse, la bouche pâteuse, elle le quitta, écoutant avec attention ses dernières recommandations.

- Ah oui... Il a dit que tu te mettes à poil... Il veut te trouver entièrement nue en arrivant !

Sans un mot, ayant compris la consigne, le ventre pesant, elle se rendit à la lingerie. Rendue à la lingerie, ignorant à quel moment Jean-Pierre se manifesterait, elle se dévêtit en un tour de main. Ce qui d'ailleurs, ne lui demanda que quelques instants, puisqu'elle n'arborait que jupe et corsage.

Puis, sans se nettoyer, conformément à leur volonté, elle se mit à la tâche. Elle frissonnait à chaque bruit, bien que sachant les lieux déserts, elle pouvait toujours craindre une visite inopinée, qu'aurait pensé, qu'aurait conclu un éventuel trouble fête de la voir travailler en cette tenue. Et pourtant les ordres étaient clairs et strictes, nue comme au jour de sa naissance, elle devait attendre la venue de son fouteur.

Toute la matinée, alarmée au moindre craquement, au moindre grincement, elle travailla d'arrache pied pour oublier ses angoisses. Elle en arrivait à espérer sa venue rapide, venue qui la délivrerait de sa solitude et de ses peurs.

Enfin, sur le coup de midi, il arriva. Il la trouva blottie entre deux piles de linge, appréhendant avec anxiété l'arrivée du visiteur qu'elle venait d'entendre, peu sûre que ce fut lui. Elle se rasséréna à sa vue, et éperdue de joie, elle se jeta dans ses bras, lui livrant ses lèvres chaudes, c'était bien lui et non pas un quelconque quidam qui l'aurait surprise.

Tout de suite, sans plus de cérémonie, il la jeta sur le lit de repos. Elle gisait comme une poupée de chiffon, cuisses grandes ouvertes, charmes livrés à sa convoitise. Ouvrant son compas à la limite du douloureux, il plaça ses chevilles sur ses épaules et d'un seul élan, il la poignarda de son rostre raidi.

Quelques soubresauts, puis engagé comme une bielle entre les babines juteuses, il vomit son trop plein dans le tréfonds du vagin assoiffé, il se cabra encore l'empalant jusqu'aux couilles, pubis entremêlés tout en dégorgeant son trop plein avec des petits grognements de contentement.

Quelques coups de langue habilement dispensés, et revêtue de ses maigres atours, elle l'accompagna rejoignant ses compagnons au réfectoire.

Le repas rapidement avalé, elle ôta à nouveau sa jupe et fesses nues débordant largement le court chemisier, elle lava la vaisselle sous leurs regards égrillards, ils s'échauffaient déjà ! Ils s'étaient accordés un après-midi récréatif, dont, bien évidemment elle serait la principale actrice....


Pour être plus à leur aise, ils l'entraînèrent à l'infirmerie, toujours cul nu, suintant par ses deux orifices. Tout l'après-midi ils la limèrent sur une cadence effrénée, se relayant pour s'épancher dans sa bouche sa chatte ou ses reins. Ils clôturèrent la journée en se ruant simultanément dans ses trois trous béants.

Secouée d'orgasmes dévastateurs, couverte de sperme et de sueur, elle parvint à leur soutirer encore une dose appréciable de sperme crémeux. Les jambes lourdes, le ventre brûlant, l'anus endolori elle remit de l'ordre dans la pièce, l'aéra, refit le lit tandis qu'ils se congratulaient à voix haute, commentant grivoisement ses performances.

Ainsi, jour après jour, elles se relayèrent pour apaiser les désirs de ces mâles en rut ; ce n'est que rarement qu'elles se trouvèrent réunies, tout au moins à trois, elles profitèrent de ces rares occurrences pour confronter leurs impressions. Ce qui émergeait tout d'abord de leurs discussions, c'est la satisfaction de s'en être tirées à si bon compte sans scandale, sans éclat.

Seule, Sylvie, qui s'était déjà mise en quête d'un autre boulot, quête qu'elle menait vainement jusqu'ici se désolait de la perte de son emploi, synonyme, dans son cas de retour des gros problèmes financiers qu'elle pensait disparu. Elle avait supplié les chefs de la garder, leur promettant de devenir leur pute à tout faire, faisant briller à leurs yeux la possibilité de disposer en toute quiétude de ses charmes le temps qu'elle serait encore à L'I.M.E, rien n'y fit.

Entre saisir une opportunité de se payer de si belles salopes sans danger, et la perspective de risquer sa place pour continuer à en baiser une, le problème n'était plus le même, et ils considéraient le risque comme trop important ! La possession d'une belle femelle, aussi lubrique soit-elle ne valait tout de même pas de risquer leur poste !

La deuxième constatation qu'elles firent c'est que toutes trois, même si elles n'osaient se l'avouer, regrettaient implicitement les corps chauds et les étreintes fougueuses de leurs jeunes amants. Les rapports de dépendance sous lesquels elles avaient pliés leur manquaient maintenant, ils les avaient obligées à trouver leur plaisir dans les situations les plus humiliantes, les plus perverses, avec eux ou avec des inconnus et cela leur manquait.

Leurs nuits commençaient à être traversé par des images d'une totale obscénité, où elles se voyaient livrées à des meutes en rut, les profanant par tous les trous. La perspective de ne plus connaître ces plaisirs sulfureux les désappointaient, les désespéraient même.


Déjà elles regrettaient leurs bourreaux!

A suivre...

dimanche 3 mai 2020

Femme soumise

Texte de CATHY.

Ma femme Catherine, est une femme autoritaire dans la vie, pouvant dans une certaine mesure être très dure voir méchante avec certaines personnes hommes ou femmes. Cela a progressivement commencé à m’agacer au plus haut point, allant même jusqu'à engendrer des disputes entre nous. Jusqu’au jour ou j’ai réalisé que ma femme cherchait l’affrontement avec moi, cherchant sa place dans le couple où elle se voulait comme dominatrice, et non comme soumise. J’ai été plus fort que ma femme. Je l’ai progressivement amené sur le chemin de la soumission, non sans mal, mais j’y suis arrivé et elle n’en est maintenant pas si mécontente. Voilà un épisode qu’elle a vécu.

Ça s’est passé deux jours avant notre départ en vacances d’été. J’avais monté le scénario bien à l’avance, tout calculé, tous programmé, comme souvent.

Nous habitons une maison en région parisienne très tranquille. Cathy rentrait de ses dernières emplettes avant notre départ. A peine arrivée, elle a commencé à rouspéter. Sans lui laisser le temps de terminer je la prend par le bras et lui dit :

- Dis donc, tu ne vas pas commencer à râler. Tu ranges tous ça, tu enfiles les fringues qui sont sur le lit et je t’emmène sur Paris.

Elle ressort de la chambre habillée, d’une jupe très courte, d’un chemisier blanc et de bottes noires, Une tenue provocante comme je lui impose de temps en temps. En voiture et direction la capitale. La je la dépose devant un salon de coiffure afro africain, salon avec qui j’avais monté une partie du plan. Nous entrons et sommes accueillis par une femme noire au cheveux rasé de prés.

- Bonjour, je vous amène ma soumise pour une bonne coupe.

- Ah mais oui monsieur, avec plaisir.

Cathy, les yeux écarquillés, me regarde.

- Mais tu fais quoi là ?

Pendant ce temps la coiffeuse ferme son salon, nous sommes tous les trois.

- Bon maintenant tu te tais et tu t’assois.

Je joins le geste à la parole et la force à s’asseoir dans le fauteuil. La coiffeuse lui attache les mains sur les accoudoirs et lui passe une blouse blanche. Elle coiffe la longue chevelure blonde ondulée de ma femme. Elle empoigne une paire de ciseau et coupe dans les cheveux, sans modération, respectant les directives données quelques jours auparavant. Très vite de longues mèches de cheveux tombent sur le sol, commencent à laisser apparaître le contour du crâne de Catherine.

- Eh mais c’est quoi ça ? dit Cathy avec sa voix rauque de marchande de poisson, voix qu’elle a lorsqu’elle est mécontente.

La coiffeuse prend la parole :

- Il parait que vous êtes une femme docile, plutôt soumise, alors votre mari a décidé de vous faire une nouvelle tête pour les vacances, et après vous verrez de quoi il en retourne.

Dans la foulée, la coiffeuse prend une tondeuse électrique, avec un peigne de coupe à 6 mm, et commence a tailler la nuque de Catherine. La coiffeuse se fait un malin plaisir à humilier de cette façon ma femme, qui attachée ne peut rien faire, à part ronchonner, grogner.

Une coupe comme cela uniforme, ne prend pas très longtemps, en 20 minutes tout est terminé.

- Regardez-vous, vous êtes magnifique, on en mangerait.

-Eh bien faite, madame la coiffeuse. lui répondis-je.

Sans se faire prier, la coiffeuse retire la blouse blanche, remonte la courte jupe de ma femme jusqu’au cuisse, retire la petite culotte et s’offre le sexe de ma femme. Elle mange goulûment ce sexe.

- Mais madame est toute mouillée, monsieur.

- Alors raison de plus, profitez-en.

- Quoi ? tu autorises cela ?

- Tu es une femme soumise depuis déjà un certain temps, alors tu la fermes. Cette jolie black va te bouffer le minou, et ce n’est que le début. Si tu veux arrêter, tu le peux mais dans ce cas tu auras la correction qui convient, compris ?

Sans broncher, Catherine ne dit plus mots. La coiffeuse broute le sexe de Catherine avec passion, cette dernière se trémousse sur le fauteuil, confirmant que le plaisir est en elle. La black se lève, laissant ma femme entre deux mondes, elle prend un collier relié à une laisse et l’accroche au coup de ma femme.

Cathy détachée, la coiffeuse la fait se lever et marcher a 4 patte dans le selon, puis la fait mettre debout et commence à lui retirer les vêtements, elle est maintenant entièrement nue. Notre coiffeuse s’assoie sur le comptoir de son salon, descend sa jupe et sa petite culotte sur le sol.

- Eh chienne viens brouter ma chatte.

En disant cela, Cathy est tirée par la laisse, ce qui l’oblige à exécuter l’ordre. Elle plaque, forcée, sa bouche sur le sexe très poilu de la black, sa langue vient fouiller les lèvres de ce sexe en extérieur noir et d’intérieur rose.

Notre coiffeuse est léchée durant de longue minutes, le temps paraissait long, elle gémissait, elle demandait à ma femme de continuer, de bien la lécher. Elle tenait la soumise par le crâne pour l’obliger à aller le plus loin possible en son antre. Et puis à un moment elle s’est contractée violemment et a joui dans un semi silence.

Très rapidement remise de son plaisir, elle ordonne à ma femme de balayer le salon et me tend la laisse afin que je la tienne bien en main. Le téléphone sonne, elle répond brièvement et raccroche. Quelques minutes plus tard, on frappe à la porte. Elle ouvre et trois hommes, deux noirs et un reubeu entrent.

-Vous voilà enfin ! Je vous présente, monsieur X, voici Adel, Nameri et Stéphan. Vous messieurs je vous présente notre soumise qui vient de passer sous ma tondeuse, son prénom est sans intérêt.

Les trois hommes s’approchent de Catherine. La coiffeuse la tient par la laisse, moi je me tiens en retrait comme prévu. Elle subit une inspection par les hommes, sa dentition est vérifiée, bien entendu elle résiste, mais le quatuor la manipule de façon si expérimenté que ma femme ne peut rien. De sa dentition, les hommes passent aux seins qu’ils soupèsent, émettant leurs remarques plus ou moins plaisantes pour la soumise. Des seins, ils descendent sur les poils du sexe, entrent dans l’entrecuisse, caressent et terminent leur inspection par les fesses.

Catherine est arc-boutée pour offrir son cul aux hommes. Les fesses sont écartées, l’anus est observé et titillé par les doigts.

- Moi je la trouve pas mal et je peux en offrir une bonne somme. Dit le reubeu.

Nameri dit alors :

- Bien pour moi, elle est moyenne, les seins tombent, dentition pas succulente, fesses moyennement fermes, ça vaut pas grand-chose ce style de nana.

La dessus Stéphan réplique :

- Eh bien mes amis, testons la, nous verrons après si on prend ou pas.

Il n’y a qu’un pas pour que les hommes passent de la parole à l’acte. Catherine est placé face au dos du fauteuil où elle a subi sa coupe de cheveux. Les mains sont attachés par notre charmante coiffeuse qui se délecte du spectacle. Dans cette position, la soumise offre ses deux orifices.

Nameri prend une brosse à coiffer et commence à taper les fesses de Cathy qui commence à houspiller et dandiner les fesses. La coiffeuse sort de son tiroir un appareil photo numérique et commence à bombarder la séance qui se déroule devant nous. La brosse à cheveux change de main, les deux blacks se font un malin plaisir a taper plus fort le fessier de la soumise qui leurs est offert.

Le cul n’est pas seul à subir la brosse, ses cuisses sont écartées pour laisser le passage libre, l’instrument de torture tape l’intérieur des cuisses, puis le sexe de ma femme qui réagit immédiatement en hurlant.

Entre deux photos, la coiffeuse caresse la chevelure coupée de Cathy, et vient pincer les tétons des seins. La brosse à cheveux change encore de main à plusieurs reprises, certains doigts viennent tirer les poils du sexe, puis de la raie du cul de Cathy.

La coiffeuse sort une seconde brosse d’un tiroir, celle là, est en métal, totalement en métal, elle l’applique sur le front de Catherine et commence à la coiffer, elle descend sur la nuque et continue son chemin sur le coup, le dos et les fesses. De longues traînées rouges apparaissent sur le corps de ma femme. L’homme prend le relais, pendant ce temps, notre petite coiffeuse black titille la rosette de Cathy, l’enduit de gel et y pénètre un doigt qui vacille dans le cul.

Très rapidement, elle prend un gode dans un tiroir, l’enduit de gel et le fait pénétrer dans le cul de la soumise. L’entrée est difficile, le bout peine à entrer, puis le gode est aspiré par le cul de ma femme. Le gode reste ainsi, sans mouvement le temps à la coiffeuse de prendre des photos. Ensuite Stéphan prend le gode en main et l’active dans Cathy. Cette dernière malgré tout commence à se trémousser, à respirer de plus en plus rapidement.

Tout s’arrête. Les hommes retirent leurs vêtements. Sur les trois, on peu dire qu’ils sont assez bien montés. Ils s’astiquent légèrement la queue qui est déjà bien bandée, puis la recouvre d’un préservatif. Nameri lui est le premier à se présenter devant le sexe de Cathy qu’il enfourche rapidement, ses va-et-vient sont rapides et profonds. Il cramponne ma femme par les fesses et la prend ardemment. Il s’arrête avant le plaisir. Stéphan prend la relève, lui plus calme mais plus vicieux, en même temps qu’il laboure Catherine, il l’humilie verbalement. A un moment il se retire totalement du sexe et présente sa queue devant l’anus.

- Tu veux ? Dit-il. Tu la veux dans ton cul de soumise ?

Un blanc est perceptible avant la réponse de Cathy.

-Non j’vais avoir….

Sans lui laisser le temps de terminer la phrase, elle est transit par le passage du membre de Stéphan dans sa rondelle. Elle est prise sans tendresse, on entend le claquement du pubis de Stéphan sur les fesses de Cathy. Il s’arrête et ressort.

Sans attendre Adel entre dans le cul de Cathy, cul encore bien dilaté. A chaque va et vient, il sort intégralement son sexe, la sodomisant toute en longueur, au plus profond.

Tous les trois sont très endurants. Catherine est labourée à trois reprise par ses dominateurs avant que chacun leur tour ils ne déversent leur jus dans les capotes. Tous les trois ont joui en sodomisant ma femme. Cathy est, quant à elle, épuisée, ses jambes tremblent.

Nos trois hommes avant de nous quitter, disent :

- Finalement elle est quand même moyenne, elle pourrait faire l’affaire pour la mettre a disposition d’un foyer, nous connaissons des hommes à qui elle pourrait suffire.

Ces paroles sont blessantes pour Cathy, mais c‘est le jeu, elle est là pour être humiliée et soumise, c’est pour cela que je ne vous aie pas fait part du plaisir que ma femme a éventuellement pu prendre, c’est sans intérêt.

Les hommes partis, Catherine est détachée par notre charmante coiffeuse et assise, épuisée, dans le fauteuil de coiffure. La petite coiffeuse, quant à elle, est venue chercher son plaisir auprès de moi. Nous avons été très démonstratifs devant ma femme et c’est volontaire.

Depuis, Catherine est très souvent utilisé par des hommes et femmes, selon des plans bien définis. Elle m’a récemment avoué que finalement être humiliée et exhibée lui convient tout a fait, se sentir chose est un vrai plaisir pour elle.

FIN