Ecole privée - - Soumission - chantage - récit érotique
22 - L'anniversaire (suite).Finalement, les étudiants sortirent dans le jardin, leur verre à la main, comme s'il s'agissait d'un cocktail ou d'une fête. En sorte, pour eux, c'était ça.
- Bouge salope! Voyons ces gros nichons se balancer. Commanda la mince Rose.
Anne bougea et ses seins commencèrent à se balancer sous elle.
- Comme des grosses cloches. Nous devrions attacher une corde aux mamelons. Ainsi nous pourrions les faire balancer comme bon nous semble. Sourit Maxime.
- Voyons cette poitrine rebondir un peu! Saute salope! Dit Ali.
Anne obéit immédiatement. Les étudiants regardaient en souriant, alors qu'elle commençait à transpirer et que sa respiration devenait irrégulière.
- Comme une vache avec des gros pis. Remarqua Rose vicieusement.
- Je les aime bien. Surtout quand ils sont enroulés autour de ma bite. Dit Guillaume.
- Vous ne pensez pas qu'elle mérite de se reposer? Demanda Valentine.
- Ce qu'elle mérite n'a pas d'importance. C'est notre pute. C'est ce que nous voulons qui compte. Et je veux voir ses seins et son cul rebondir un peu plus. Objecta Ali.
Ils la firent sauter jusqu'à ce qu'elle ait mal aux poumons et que les muscles de ses jambes soient en feu.
- Nous devrions l'arrêter maintenant. Tout ce que nous voulons c'est qu'elle soit avide de sexe non? Dit finalement Valentine.
MAURICE lui fit signe d'arrêter, ce que fit Anne avec gratitude.
- Avide de sexe? Elle l'est toujours. Vas-y Valentine, vérifie sa chatte. Je parie que ça dégouline.
La jeune fille s'approcha et passa une main sur le corps d'Anne ce qui la fit frissonner de plaisir. Valentine glissa un doigt entre les petites lèvres de l'enseignant et le retira luisant.
- Tu vois? Notre putain attend les ordres pour être humiliée. Maintenant mesdames allez-vous commencer?
Valentine mit sa main dans le dos d'Anne et la poussa vers l'arbre où Rose et Belinda attendaient pour l'attacher. Lorsque Katia s'approcha avec une cravache, Anne blêmit.
- Debout sur les orteils salope!
Voulant faire plaisir, Anne se redressa sur la pointe des pieds malgré le feu dans ses jambes. Elle sentit la cravache la toucher légèrement sur le derrière, puis elle eut le souffle coupé quand la fille la frappa violemment.
- Sur tes orteils j'ai dit!
Se mordant les lèvres, Anne tenta de soulever son corps avant de retomber lorsque le cuir mordit de nouveau sa chair. Cela dura un certain temps jusqu'à ce que MAURICE s'approche d'elle.
- Sais-tu pourquoi tu es fouettée salope?
Anne haleta :
- Non Monsieur. Si j'ai fait quelque chose de mal, dites-le-moi et je me ferais pardonner et j'essaierais de rendre un service parfait.
« N'importe quoi pour éviter la douleur » Pensa-t-elle. Du coin des yeux, elle vit le garçon sourire.
- Si tu as fait quelque chose de mal? Non salope. Tu as été une pute parfaite aujourd'hui. Et tu le seras encore plus tard. Tu es fouettée parce que nous voulons le voir. Si ça te fait mal, ce n'est pas notre problème. Après tout, tu es juste une grosse cochonne. Si ça nous amuse, nous le ferons, peu importe su tu as fait quelque chose de mal. Et maintenant tu vas être bien fouettée. Bien sûr ça va te faire mal mais nous voulons tous te voir pleurer et crier. Nous le ferons, quoi que tu penses.
Il recula et David arriva avec un vrai fouet. Il visa prudemment et porta un premier coup sur les fesses d'Anne. Celle-ci essaya de garder le contrôle d'elle-même, mais ça ne l'empêcha pas de pousser un cri.
- Hé, ce gros cul est bien plus joli avec une rayure. Je pense que je la fouetterai à chaque fois que je voudrais défoncer son cul.
Anne ne reconnut pas la voix et poussa un autre cri quand le prochain coup tomba.
- Bouge ton gros cul de salope! Cria une fille.
- J'aime la voir danser de cette façon. Ajouta un garçon.
Anne perdit le compte des coups de fouet, et lorsque David recula, son corps était douloureux. Elle poussa un grand soupir de soulagement.
- A moi! Laisse-moi essayer!
Anne écarquilla les yeux lorsque Katia prit le fouet. Après cela l'enseignante perdit tout contrôle d'elle-même. Elle sanglota, supplia et renifla. Elle tordit son corps dans de vains efforts d'échapper au fouet, mais celui-ci continuait de tomber. Toutes ses contorsions ne faisaient qu'ajouter d'autres parties de son corps à la douleur. Le seul répit qu'elle avait, c'est le moment quand un étudiant en avait marre et qu'un autre s'emparait du fouet. Un coup la fit s'évanouir, elle se transforma en amas de chair baveuse. Elle fut réanimée par les mains qui détachaient les cordes qui la retenaient. Elle s'effondra sur la pelouse.
Mais si elle pensait pouvoir se reposer, elle se trompait cruellement. Des mains solides attrapèrent ses hanches et les soulevèrent. Puis une bite bien raide fut enfoncée dans son trou du cul. Chaque contact avec ses fesses lui faisait mal, mais celui qui la baisait ne s'en souciait pas et l'enculait brutalement. Quand il eut fini, il fut immédiatement remplacé par un autre. Anne ne leva même pas les yeux. Quelle importance? Ils allaient tous la sodomiser. Lorsque la dernière bite se retira de son trou douloureux, des mains l'attrapèrent par les cheveux. Quand sa tête fut relevée, sa joue fut frappée par une bite dure.
- Ouvre salope!
Elle reconnut à peine la voix de Frédéric. Automatiquement elle obéit. L'étudiant enfonça sa queue tout au fond de sa gorge, la faisant étouffer. Il lui attrapa les deux côtés de la tête et la tira d'avant en arrière, lui laissant à peine le temps de respirer un peu avant d'enfoncer sa queue jusqu'à ce que son nez touche son ventre et que ses grosses boules heurtent son menton. Quand finalement il éjacula au fond de sa gorge, Anne avait perdu toute notion de temps. Ce fut un soulagement énorme quand Belinda l'appela pour lui demander de s'occuper de sa chatte rouquine pendant un moment.
- Tu ne vas pas me remercier pour toutes les queues que je t'offre?
Elle eut l'impression que la voix de MAURICE venait de loin. Lentement, elle rampa vers lui et embrassa ses bottes.
- Allez, à l'intérieur! Commanda MAURICE après quelques instants.
Il lui donna un coup de pied au cul pour l'encourager.
Quand ils furent tous rassemblés dans le salon et munis d'une nouvelle tournée de boissons qu'Anne avait servies sur des jambes flageolantes, MAURICE indiqua la table en verre. Anne comprit tout de suite, se glissa dessous, se retourna et écarta les jambes de sorte que sa chatte était bien exposée. Pendant un moment, les étudiants la laissèrent tranquille, apparemment rassasiés. Anne se calma lentement alors que la douleur s'atténuait. Et elle devint de plus en plus consciente des démangeaisons dans sa chatte. Est-ce qu'ils allaient la baiser maintenant? Elle ne pouvait plus que penser à ça. Elle s'imagina les garçons se relayant dans sa chatte nécessiteuse. Oui, l'idée d'être gang-banguée par une douzaine de garçons était complètement dépravée, mais elle s'en fichait. Elle devait être utilisée comme une pute ordinaire.
- Je crois que je dois pisser!
La voix de Rose brisa la rêverie d'Anne. A travers le verre de la table, elle regarda la fille blonde assise une cigarette à la main et une tasse de thé dans l'autre. Mais entre ses jambes, sa chatte était clairement visible.
- Où sont les toilettes?
- Juste ici, sous la table! Sourit Guillaume.
- Si tu crois que je vais pisser devant toi, espèce de pervers, tu peux toujours rêver. Répondit Rose.
Puis elle se leva et dit à Anne :
- Viens chienne, il faut que j'aille aux toilettes.
Anne suivit à quatre pattes sans même avoir l'idée de se lever. Rose se dirigea vers la salle de bain mais tourna à gauche vers la chambre d'Anne. Elle fit signe à l'enseignante de fermer la porte et elle enleva sa robe. Elle voulait donc se faire d'abord lécher la chatte. Anne s'approcha et passa sa langue sur le sexe rasé de la jeune fille.
- Qu'est-ce que tu fais salope? Je ne veux pas être léchée quand je fais pipi. Maintenant ouvre la bouche et approche-toi.
Anne la regarda, incrédule. Elle ne pouvait pas croire que...
- Qu'est-ce que tu attends salope? Je vais commencer à faire pipi dans trois secondes, que ta bouche soit en place ou non.
Non, ça ne pouvait pas arriver. Avant qu'Anne puisse même achever sa pensée, elle vit le ruisseau jaune jaillir de la chatte de Rose. Anne resta médusée tandis que Rose souillait les draps et qu'un filet d'urine coulait sur le sol.
- Maintenant tu as le choix, salope. Tu peux lécher le sol ou je t'emmène dehors pour te donner une nouvelle séance de fouet. Et de toute façon, ensuite tu lécheras le sol. Alors, qu'est-ce que tu choisis?
Anne ne pouvait bouger. Elle ne pouvait pas lécher la pisse sur le sol. Elle était une pute dépravée, mais pas à ce point. D'autre part, elle savait qu'elle ne pourrait pas supporter une nouvelle séance de flagellation.
- Et peut-être que cette fois, je ferai tomber le fouet sur ta chatte. Je me demande comment tu vas réagir.
- Nooooonnnn.
Rose leva un sourcil interrogateur.
- Non, s'il vous plaît, ne me fouettez pas à nouveau. Je ferai n'importe quoi, mais...
- Alors lèche le sol salope!
Résignée, mais écœurée, Anne se pencha. L'odeur d'urine était forte dans ses narines. Involontairement, elle recula. Mais un pied sur son cou la repoussa. Il appuya de plus en plus jusqu'à ce que son visage soit dans la flaque.
- Lèche salope!
Anne goûta délicatement le liquide salé.
- Tu as une belle ceinture en cuir dans ta commode, salope. Je pense que je vais la passer sur tes fesses jusqu'à ce que tu aies fini.
Avant qu'Anne ne puisse répondre, une bande de feu traversa son cul. Elle commença alors à engloutir le pipi de Rose comme s'il s'agissait d'une boisson délicieuse. La jeune fille donna encore deux autres coups brûlants avant d'obliger Anne à sucer les draps souillés. Puis elle se leva et remit sa robe.
- Attends ici, salope! Commanda-t-elle en passant la porte de la chambre.
Anne l'entendit dire :
- A moitié dressé, mais je pense qu'elle ne posera plus de problèmes. Qui est le prochain?
Thomas descendait déjà sa braguette en entrant.
- Tu veux que ça tombe sur le sol ou tu vas être une bonne pute des toilettes?
Anne était sur le point de refuser, mais visiblement Rose avait expliqué aux autres tous les détails de ce qui venait de se passer. Thomas se dirigea vers le lit et prit la ceinture. Lentement, Anne ouvrit la bouche. Thomas pointa sa queue semi-rigide et pissa droit dans sa gorge. L'enseignante essaya désespérément d'avaler.
- Tu sais, j'avais le béguin pour toi quand je t'ai vu la première fois. Remarqua Thomas.
- J'avais l'habitude de me branler en pensant à toi. Penser que maintenant je peux t'avoir comme un jouet sexuel ou un urinoir est tout à fait incroyable.
Il fut remplacé par Charles, puis par Maxime qui lui fit même sucer sa queue ensuite. Puis Olivier entra et Anne ouvrit immédiatement la bouche.
- Tu as développé un goût pour la pisse, salope? J'ai l'impression que tu ne peux pas attendre. Mais j'ai une autre idée. Reste où tu es!
Olivier fit le tour de l'enseignante. Elle entendit le lit grincer quand il y grimpa. Puis un liquide chaud frappa sa tête et coula sur son corps. Il pissait directement dans se cheveux et la couvrait d'urine.
- Tu vois? Une pute sale et puante comme toi doit sentir comme une pute sale et puante tu ne crois pas? Maintenant lèche le sol pour que je puisse descendre du lit sans me salir les pieds.
Quand elle suivit Olivier dans le salon, elle fut accueillie par beaucoup de commentaires.
- Quelle salope dégueulasse!
- Elle sent les toilettes publiques.
- Quelle pute à pisse!
MAURICE sourit :
- Oui la puanteur lui va bien, mais elle a besoin d'un bon maquillage pour aller avec. Emmenons-la dehors pour la séance de maquillage.
Souriant, les étudiants suivirent Anne qui rampait derrière MAURICE. Il la fit s'agenouiller dans un coin du patio. Robert sortit avec ce qu'Anne a reconnu comme étant la poubelle de la cuisine. Lydie le suivait avec un sac en plastique. Avec un grand sourire, Robert versa la poubelle devant Anne, éparpillant les ordures du repas qu'elle avait préparé plus tôt. Lydie tendit des œufs à MAURICE et ouvrit une boite de conserve d'haricots blancs et un sac de farine qu'elle vida sur le tas d'ordures. Maurice cassa les œufs au-dessus de la tête d'Anne.
- Maintenant, mets-toi à l'aise dans la poubelle, salope!
Avant même qu'elle puisse réagir, il la poussa et plaqua un pied sur son cou et enfouit lentement son visage dans les ordures. Un rire général éclata. Quand le garçon le libéra, Anne leva son visage sale et souillée.
- Maintenant, voyons à quel point tu as bien appris ta leçon, pute à pisse. Remets-toi d'où tu viens, dans les ordures.
Anne n'hésita même pas, mais se baissa de nouveau et frotta son visage dans le mélange révoltant. MAURICE attendit et l'enseignante fit glisser son visage jusqu'à ce qu'il soit complétement couvert d'ordures.
- Il semble qu'elle ait enfin appris ce qu'elle est, une poubelle, une merde, rien! Et quoi que nous fassions avec elle, elle doit en être reconnaissante. N'est-ce pas vrai, grosse merde?
- Oui Monsieur. Répondit Anne, le visage toujours souillé.
- Bon, maintenant tu restes ici jusqu'à ce que nous t'appelions. Nous avons mieux à faire que de nous occuper d'une grosse vache dégueulasse comme toi.
Le crépuscule tomba lentement, mais heureusement il faisait chaud. Anne resta seule et réfléchit. Elle pensa au point jusqu'où elle avait été dégradée. Elle combien elle en avait envie. Il n'y avait plus de réticences. Elle détestait être fouettée, elle détestait être utilisée comme un urinoir, elle détestait être aussi sale, mais sa chatte était lancinante, dans le besoin. Et pour avoir un de ces orgasmes qu'elle avait eu sous la domination de MAURICE, elle savait qu'elle se rabaisserait encore plus.
- Entre putain!
Elle rampa en arrière pour rentrer.
- Va prendre une douche. Personne ne veut d'une grosse vache aussi sale que toi.
Ali la suivit dans la salle de bain.
- Juste pour m'assurer que tu ne vas pas commencer à te masturber.
- Puis-je... puis-je faire pipi Monsieur?
- Tu veux dire pisser? Vas-y! Nous n'avons pas besoin de toilettes, vu que nous t'avons maintenant. Tu peux bien te souiller avec ta pisse.
Il s'appuya contre le mur et la regarda se soulager debout.
Quand elle sortit de la douche, il conduisit dans la chambre et appela Katia. Celle-ci la supervisa pour le maquillage, la réprimandant à plusieurs reprises pour qu'elle fasse plus salope. Finalement, elle la ramena devant les étudiants qui attendaient. MAURICE expliqua à Anne :
- Maintenant, à propos de cette baise que nous t'avons promis. D'habitude, je demande à l'un des gars de se sacrifier et de coller sa queue dans ta chatte pendant quelques secondes. Je suis sûr que ça ne prendra pas plus longtemps pour que tu jouisses. Mais tu as été une bonne salope, alors nous allons te donner une chance de mieux en profiter. Tout ce que tu as à faire est de te comporter comme une vraie pute, de nous divertir, de parler comme une pute, d'être une pute, en bref d'être toi-même. Tu as deux heures pour nous convaincre que tu mérites une bonne baise.
Anne acquiesça avec impatience!
- Oui Monsieur, je serai une très bonne pute pour vous.
Pendant les heures qui suivirent, Anne oublia toute sa bonne éducation. Elle se montra sans vergogne dans n'importe quelle position obscène à laquelle elle pouvait penser. Elle invita chaque élève à se laisser lécher les pieds, les couilles ou les culs. Et elle suggéra les manières les plus perverses de l'utiliser.
Les étudiants en profitèrent pleinement. Elle suça leurs orteils en léchant la sueur du jour. Elle agita sa langue entre une douzaine de fesse pour caresser leur anus. Elle suça les couilles de chaque garçon dans sa bouche. Et elle lécha chaque fille jusqu'à l'orgasme. Enfin elle leur parla de fantasmes bizarres.
- Peut-être aimeriez-vous utiliser votre putain complètement ligotée pour qu'elle puisse se faire baiser des deux côtés. Je pourrais me faire baiser la gorge ou lécher vos chattes délicieuses pendant que l'on me défonce le cul. Bien sûr, une salope, une putain de merde comme moi ne peut espérer que des gentilshommes comme vous mettent leur bite dans ma chatte poilue. Mais je suis persuadée que mon trou du cul est un endroit agréable pour y laisser votre sperme. Ou peut-être voudriez-vous me prêter à vos amis? et Mesdames, si vous avez des petits amis avec des idées trop perverses pour des femmes honnêtes comme vous, je pourrais répondre aux besoins de vos amis sous votre supervision. Utilisez-moi comme bon vous semble.
- On dirait que tu as appris ta leçon, salope. Tu continueras à nous servir tous, mais beaucoup mieux maintenant. A partir d'aujourd'hui, nous passerons un après-midi tous les mois ici, où tu seras traitée comme tu le mérites.
MAURICE fit une pause.
- Eh bien, allons-nous donner à notre chienne ce dont elle a besoin?
Au lieu de répondre, tous les garçons baissèrent leur braguette. MAURICE attrapa sa tête et commença à lui baiser le visage. Anne paniqua. Était-ce le genre de putain qu'il voulait? N'allait pas avoir de bites dans sa chatte après tout ça? Mais elle s'arrêta de penser et dut se concentrer pour ne pas étouffer et respirer. Quand MAURICE jouit, il repoussa sa tête et déposa son sperme sur son visage.
- Maintenant, va là-bas, sale pute! Grogna-t-il.
Quand Anne se retourna, elle vit tous les autres garçons nus lui faisant un signe de la main. Quand elle s'approcha, une queue s'enfonça dans sa bouche, une autre dans son cul et enfin, une autre entra dans sa chatte. Les trois garçons commencèrent à la baiser sans pitié. Il lui fallut moins d'une minute pour jouir et crier :
- OHHHHHHH, OUUUUUUIIIII, baisez-moi comme la pute que je suis... Plus fort... S'Il VOUS PLAÎÎÎÎÎTTTTTT!!!
Elle remarqua à peine les charges de sperme déposées dans ses trous. Elle gémit de déception, lorsque la bite vidée sortit de sa bouche. Mais son gémissement fut écourté par une autre queue. Son cul et sa chatte ne restèrent vides que pendant quelques secondes. De nouveau, elle jouit, encore et encore.
Ils se relayèrent pendant plus d'une heure. Chaque jeune homme s'efforça de baiser chacun de ses trois trous disponibles. Lorsqu'ils eurent fini, Anne était réduite à une poupée de chiffon dégoulinante de foutre.
Mais elle se souvint de faire le tour à genoux des étudiants et supplia chaque garçon d'être autorisée à sucer sa queue et offrit sa langue à chaque fille.
****
- Bonjour Mesdames et Messieurs!
Anne salua sa classe le lundi matin.
- Bonjour salope!
- Puis-je dire Mesdames et Messieurs, que j'ai vraiment apprécié la journée d'hier. J'ai hâte de vous servir ce soir ou quand vous le voulez. Et bien sûr, si l'un d'entre vous ressent le besoin de se soulager, il n'aura pas besoin de sortir, je lui servirai volontiers d'urinoir. Enfin, je ferai de mon mieux pour être une bonne pute pour tous vos désirs pervers.
FIN.
Bravo vivement une suite......
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