vendredi 29 juillet 2022

Les WC étaient occupés Ch. 02

 Texte de gkcdqho

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Début du chantage.

Deux semaines sont passées depuis mon égarement de la réserve avec Abdoul. À l'heure de la pause, je sors pour fumer une cigarette, Marcel me précède.

- Tu ne fumes pas Marcel ou vas-tu ainsi ? Que je lui dis.

- C'est toi que je viens voir, j'ai quelque chose à te montrer ! M'a-t-il répondu en sortant son téléphone portable de la dernière génération avec un grand écran.

« Encore une de ses histoires dites marrantes sur son portable ! » Que je me suis dite. Nous nous mettons à l'ombre d'un bâtiment pour regarder l'écran. Là sur l'écran, je vois un film qui défile avec le son, je reste bouche bée devant les images. La scène se passe dans notre réserve avec Abdoul et moi sur la pile de plateaux. C'est l'instant où il me pénètre. On entend bien mes soupirs de plaisir.

- J'ai même des photos, tiens regarde ! Me dit-il.

- Que veux-tu ? De l'argent ? Dis-je, l’œil fixé sur l'écran, angoissée par les images qui défilent.

- Je n'en veux pas, je veux juste profiter moi aussi de tes bonnes dispositions.

- Il n'en est pas question, pour qui tu me prends ? Je ne suis pas une pute.

- C'est comme tu veux, ce film sera bientôt dans les mains de ton mari et sur internet.

La menace m'arrive comme une claque, j'imagine déjà mon mari en train de découvrir mon inconduite. Je n'ose pas penser aux conséquences si la famille, les enfants, les amis, les collègues de travail venaient à apprendre cela, une catastrophe pour moi. Tout perdre en somme pour un moment de faiblesse, même aussi agréable qu'il fut.

Marcel me regarde. Des larmes plein les yeux, je suis sans voix, j’attends qu'il parle. Que va t'il faire de son film et des photos ?? Ah ça oui ! Il a parlé !

- J'ai mis la vidéo et les photos sur mon ordinateur, ça peut rester juste entre toi et moi ? Oui ça dépend de toi ! Tu viens chez moi, disons... Tous les vendredis après midi ? Tu feras tout ce que je te demanderais, même plus s'il le faut. Me dit le Marcel.

Je lui réponds un timide oui ! Déjà résignée, car je suis prise au piège.

En me remémorant la scène de la réserve, les cliquetis n'étaient pas du chariot, mais du portable de Marcel. Ah le salaud ! Il jubile de m'avoir à sa merci, avec ce chantage odieux. Je changerai ma demi-journée de RTT, car dans l'entreprise, c'est le lundi matin ou le vendredi après midi que l'on peut les prendre. C'est un accord syndical avec les trente-cinq heures. Je donnerai une explication plausible à Jacques, fini nos grasses matinées du lundi. Tant pis pour moi je n'avais qu'a pas fauter ! Voilà où ça m'amène.

- Bon ! Puisque nous sommes d'accord, tu viendras à quatorze heures chez moi. La grange qui donne sur la route sera ouverte. Tu y entreras en voiture, je refermerai les portes, quand tu seras rentrée, pour pas que l'on voie ta voiture. Dans le hameau, c'est le premier corps de ferme sur la droite, tu ne peux pas te tromper, il n'y en a que deux, un à droite un à gauche et deux maisons au fond. Tu viendras avec une robe qui s'ouvre sur le devant, c'est plus pratique par ces temps chauds. Ne t'inquiète pas tu seras rentrée chez toi avant ton jacques. OK ? Bon à vendredi sans faute ! Conclut Marcel en agitant son portable sous mon nez.

Marcel homme de taille moyenne, un physique banal, il travaille sur une multi-aiguilles, toujours célibataire à quarante-cinq ans, sa sœur veuve tient le ménage. Le hameau se trouve à six kilomètres de chez nous au milieu des champs et des bois, nous l'avons déjà traversé avec Jacques en randonnée. Je sais où est son corps de ferme hérité de ses parents.

- Que te voulait Marcel avec son portable, encore une histoire cochonne ! Ah ! Sacré Marcel ! Dit Sandrine dans mon dos.

Je sursaute au son de sa voie, perdue dans mes pensées.

- Oui ! C'est ça, en plus elle n'est pas drôle. Que je lui réponds.

Nous rentrons nous remettre au boulot, j'ai même pas fumé une cigarette. Je suis angoissée toute la semaine, je repense à ses mots  (Plus tout ce que je demanderais). Je sais qu'il veut me baiser c'est clair, mais le « plus tout » me fait peur. J'ai réussi à changer ma demi-journée de RTT. Jacques est déçu que je travaille le lundi matin. Mon explication l'a convaincu, il met mon angoisse sur le compte du changement de mes RTT.

Vendredi midi après le repas, je prends une douche, m'habille d'une robe légère boutonnée sur le devant par-dessus des sous-vêtements noirs. Je prends ma voiture pour aller au rendez-vous, je connais la route, plus je me rapproche du hameau plus la peur m’envahit. Je stoppe sur cette petite route de campagne, j'allume une cigarette, je continue ou je fais demi- tour, c'est la question qui me tracasse ?? Si je n'y vais pas, que fera Marcel de ses photos ? J'imagine le pire scénario, la peur de tout perdre me dit de repartir au rendez-vous.

L'entrée du hameau, Marcel tient une grande porte de sa grange ouverte, je rentre en voiture. Il referme les portes derrière moi, la luminosité de la grange a diminué, j'ai peur, je n'ose descendre de la voiture avec mes jambes flageolantes. C'est Marcel qui m'ouvre la porte pour me faire descendre, je ne dis pas un mot, je suis angoissée, pas rassurée, je tremble légèrement, je frissonne.

- Comme tu es belle ainsi vêtue, suis-moi ! Me dit Marcel.

Nous traversons l'immense grange presque vide, à droite tout le long du mur un râtelier en bois qui servait de mangeoire aux animaux par le passé, à gauche des ballots de paille, des fûts en fer et en bois, et du matériel agricole. Au-dessus, il y a un étage qui recouvre la moitié de la grange avec une échelle large pour y accéder. Dans le fond, nous passons une porte qui n'a jamais dû être fermée vu son état. Nous entrons dans une sorte d'atelier, il y a une porte fermée au fond. À gauche une étagère rouillée pleine de bric-à-brac, à la suite un établi devant une grande fenêtre poussiéreuse qui laisse rentrer la lumière, mais pas les regards. Il y a là, outils, étau, perceuse à colonne et autres, sur le sol des moteurs électriques, postes à souder de toutes sortes, des moteurs de voiture. Au plafond, il y a un rail, avec un palan à chaîne accroché, pour le bricoleur qu'est Marcel. Sur la droite une grande porte obstruée par des ballots de paille, dans le fond, partant du coin de la porte une rangée d'armoires de toutes sortes alignées le long de l'allée centrale. 

Et derrière ? Il y a une petite pièce avec à l’intérieur un lit cage métallique avec deux chaises, une rangée de cinq ballots de paille ferme ce petit coin discret éclairé par une fenêtre au verre opaque. 

Marcel me conduit au bord du lit, le matelas est recouvert d'un drap housse propre. Je tremble, angoissée, je suis bras ballants debout, attendant ses ordres, il me regarde de bas en haut, il me détaille, je suis gênée d'être ainsi regardée.

-T'est plus belle qu'à l'usine, j'en ai rêvé de ce jour, je l'ai imaginé je ne sais combien de fois. Quand je lis ou regarde du hard, je t'imagine à la place de l’héroïne. Quand je t’ai vu rentrer dans la réserve, je t’ai suivi en espérant surprendre une envolée de ta robe et y voir ta culotte ou tes fesses. Mais je t’ai vu avec Abdoul, quand tu t'es retrouvée étalée sur la pile de plateaux les jambes écartées et sans culotte, le temps que je sorte mon portable, j'ai raté le début. À la fin de votre plaisir, je me suis éclipsé avec un sentiment de réussite pour ce que j'avais dans le portable et une sensation de jalousie, j'aurais aimé être à la place d'Abdou. Je n'ai pas pensé tout de suite au chantage, c'est en lisant un roman érotique que j'ai eu l'idée, je ne croyais pas que tu accepterais aussi facilement. Ton oui m'a rendu fou de joie !! Tu es là maintenant, je vais pouvoir te faire jouir, te voir jouir comme dans mes rêves les plus fous.

Quelle conne je suis d'avoir eu aussi peur du scandale, cela aurait pu être différent. Je suis assommée, je ne réponds rien.

- Ma Nicole, soit tu es la femme la plus stupide du monde, soit tu es la femme la plus naïve à qui j'ai eu à faire. S'exclame Marcel.

C'est un vrai connard ce Marcel, il me dégoûte, mais à l'idée que mon Jacques découvre que je l'ai cocufié, je me dis que je n'ai pas d'alternative si je veux sauvegarder mon couple. Marcel me regarde, debout, fier et méchant. Je m’attends au pire.

- HIIIII !!!

Je sursaute. Il m’a fait peur. Il est juste là, devant moi. Il s'assoit sur le lit, me laissant debout devant lui, mes jambes tremblent. Nous restons comme ça un long moment. Je reste immobile, le rouge aux joues, subissant son regard évaluateur. Puis, après un moment qui me parait interminable, son regard devient sombre et les traits de son visage durs. J'entends sa voix, empreinte d'une certaine excitation.

- Tourne-toi, que je vois ton dos.

Lentement, tétanisée par l'étrangeté de la situation, je me tourne de façon à lui présenter le côté postérieur de mon anatomie. Il ajoute :

- Ôte ta robe ! Elle cache ce que je veux voir.

- Hein ?

- Déshabille-toi !

Tremblant plus que jamais, je pousse un profond soupir, et maladroitement je me mets à défaire les boutons de ma robe. Je dois m'y reprendre à plusieurs fois pour défaire le premier bouton tant mes mains tremblent. Ma vue se brouille, je suis prise de vertige, mais je défais enfin le dernier bouton. J'ôte ma robe et regardant autour de moi je cherche ou la poser. Il devine ma préoccupation et dit tranquillement.

- Pose-la sur le lit à côté de moi. Et remets-toi dos à moi.

Le silence qui suit est un calvaire, je sens son regard qui doit jauger ma chute de reins, la rondeur de mes fesses. J'ai l'impression de sentir physiquement son regard sur mon corps, comme s'il me touchait. Je sursaute et je pousse un petit cri quand je sens deux mains se poser sur mon cou. Dans mon désarroi, je ne l'ai pas entendu se lever et se placer derrière moi. Il caresse la rondeur de mes épaules avant d'effleurer mes omoplates. Son majeur se pose à la base de ma nuque, juste sous le carré de mes cheveux et descend le long de ma colonne vertébrale, jusqu'à la ceinture de ma culotte. Je me raidis sous le contact et je tremble à présent comme une feuille.

Sa voix brise à nouveau le silence :

- Tourne-toi !

Toujours ce ton ferme. Je me tourne en fermant les yeux, prête à défaillir. Je sens un de ses doigts se glisser entre la lisière d'un bonnet et la chair de mon sein gauche, tout près de mon bras qui reste ballant le long du corps. Le doigt progresse lentement vers le fond du bonnet puis progresse vers le centre de mon buste. Son geste a pour effet de soulever mon sein et de le faire passer au-dessus du bonnet, sur lequel il repose. Il renouvelle l'opération avec l'autre sein, d'un geste froid, un peu comme on dégage un escargot de sa coquille, sans la moindre sensualité. 

Mes seins reposent sur les bonnets affaissés, rehaussés, offerts. Leur forme naturelle est accentuée par cette exposition si peu naturelle. Il effleure du bout de son majeur, mes tétons et s'amuse à suivre les contours des aréoles minces et brunes. La panique et la honte font darder mes tétons. Je perçois entre mes yeux mi-clos un sourire dédaigneux. Les larmes coulent sur mes joues. Sans s'en préoccuper, il dit simplement :

- Dégrafe ton soutien-gorge et pose-le sur ta robe. Je veux voir la tenue naturelle de tes seins.

Réprimant des hoquets de panique, je plie mes bras dans mon dos pour défaire l'attache. Mes tremblements m'obligent à m'y reprendre à deux fois avant que le soutien-gorge ne glisse le long de mon corps. Je le lâche, en poussant un soupir haletant, qui fait doucement bouger mes seins désormais totalement libres. Il approche alors sa main en coupelle sous mon sein droit, et le fait rebondir ainsi durant un moment qui me parait interminable, à un tel point que mon sein commence à être douloureux. Il dit alors :

- C'est bien. Les globes sont fermes, mais souples. C'est bien. Ils s'échauffent rapidement quand tu es émue. Voyons leur élasticité. Ajoute-t-il, parlant plus pour lui-même.

Mes tétons, effectivement, pointent, les aréoles sont aussi gonflées par la manipulation que je viens de subir. Il saisit délicatement un téton entre son pouce et son index et étire le globe vers le haut, me forçant à me dresser sur la pointe des pieds, en grimaçant. Alors, sans se départir de son sourire, il pose sa main sur mon épaule et me force à reposer mes talons au sol. Mon sein est alors distendu à l'extrême, irradiant mon buste de douleur.

- Approche-toi ! Dit-il en s'asseyant sur bord du lit.

Je m'approche d'un seul pas, sanglotant et reniflant convulsivement, agitée de hoquets qui font bouger mes seins sur mon buste déjà recouvert d'une sueur d'angoisse. Il détaille mon buste en silence, semblant apprécier ma respiration saccadée qui font bouger mes seins. Je bredouille, complètement perdue :

- Je t'en supplie. Laisse-moi. Laisse-moi partir. Je t'en prie.

Exactement comme s'il ne m'avait pas entendu. Sans me laisser un instant de répit, il pose ses mains sur mes hanches et me fait pivoter dos à lui. Insensible à mes suppliques, il pose une main sur mon épaule et l'autre au creux de mes reins, me forçant ainsi à basculer mon bassin vers l'avant dans une cambrure que je devine impudique.

Je sens ses mains effleurer le côté externe de mes cuisses, puis suivre le contour de mon slip brésilien qui laisse à nu la moitié de mes fesses. Son doigt se glisse ensuite sous l'élastique du slip et il repousse le satin jusqu'à l'entre-fesses et renouvelle l'opération sur l'autre fesse de façon à dégager complètement mes globes fessiers. Tandis que je continue à le supplier de me laisser, je l'entends murmurer :

- Fesses splendides. Globes harmonieux.

Ses doigts palpent à présent mes globes fessiers comme s'il voulait y imprimer la marque de sa main.

- Texture ferme. Tu as un corps fait pour le plaisir des hommes, pas pour celui d'un seul homme…

Ne pouvant supporter ces mots, je secoue la tête de droite à gauche et pousse une longue plainte de désespoir. Je n'ai pas le temps de réagir quand il empoigne l'élastique de mon slip placé haut de chaque côté de mes hanches. Il le baisse d'un geste jusqu'à mes chevilles. Et de son ton imperturbable, insensible à ma détresse, il ajoute :
- Enjambe ton slip. Il ne te sera d'aucune utilité pendant un moment.

Après avoir avancé légèrement, en me retournant, je m’aperçois que ma culotte n’est plus là ? Oui ? Bin oui ! Je suis nue...Je ne voulais pas venir. Mais ? Je suis là, nue, devant ce pervers qui j’en suis sûr, a tout prévu, salaud ! Je m’attends à ce qu’il me prenne.

-AIE !

Violemment, il étrangle ma gorge de sa main gauche et sa main droite attrape mes cheveux. Ma tête bascule en arrière. Je tente de le repousser, mais il me maintient fermement.

- CHUUUUT !

D’une voix grave, il me chuchote à l’oreille :

- Écoute ! Je vois bien que tu es excitée. Je ne vais pas te faire de mal. Bien au contraire, je veux te donner du plaisir.

Il en a une bonne lui ! Excitée ? N'importe quoi ? Je sanglote plus que jamais, le suppliant d'arrêter, en proie au plus profond désespoir. Imperturbable, il se lève et ouvre la fermeture de son pantalon, puis, il s'approche de moi. Me fixant dans les yeux avec une telle fermeté, que je ne peux soutenir son regard, il m'ordonne de me mettre à genoux. Tétanisée, incapable du moindre geste, je sens sa main se poser sur mon épaule, et sous la pression, je fléchis les jambes, pour tomber sur les genoux. Je me retrouve le visage à quelques centimètres de sa ceinture.

Là, il sort son sexe à demi rigide et le tient entre son pouce et son index, il le décalotte et commence à le balader sur mes lèvres. Toujours agitée de sanglots, mes joues littéralement baignées de larmes, je serre mes mâchoires avec l'énergie du désespoir et je ferme les yeux, mon dernier rempart contre cette odieuse réalité.

Je garde néanmoins dans mon esprit la vision de son membre. C'est la deuxième fois que je vois un autre sexe que celui de mon mari. Long et très épais, il est surtout doté d'un gland très volumineux, d'un rouge très foncé. Maintenant entre ses doigts ce gland contre mes lèvres, il pose sa main sur ma nuque, fermement. Je l'entends murmurer :

- Ouvre la bouche, je t'en prie, ne me rend pas les choses plus difficiles.

J'entrouvre les lèvres et sous la pression conjuguée de son gland et de sa main sur ma nuque, son sexe s'insinue dans l'étroit passage. D'un coup de reins puissant il fait entrer sa verge le long de ma langue et bientôt, il envahit ma bouche.

Sa queue est rapidement devenue très grosse, butant contre mon palais. Entamant alors un lent va et vient dans ma bouche, je suis contrainte de subir cette pénétration, les larmes coulent sur mes joues, je gémis, je suffoque sous l'assaut brutal. Ses mouvements dans ma bouche prennent de l'ampleur, il se sert de ma bouche comme d'un sexe. Il va presque à chaque fois buter au fond de ma gorge, m'arrachant des haut-le-cœur. Pour éviter de suffoquer, je suis obligée de poser mes mains contre son ventre pour limiter ses mouvements, et pour reprendre ma respiration, je module la pression de mes lèvres le long de sa verge. Tout à coup, sa verge tressaute sur ma langue, il éjacule en me maintenant la tête contre son ventre, son gland au fond de ma gorge. Je sens un flot de sperme envahir mon palais et couler dans ma gorge. Sa semence est épaisse et salée, si différente du sperme de mon mari, le seul que j'ai goûté à ce jour et encore que très rarement et accidentellement, tant je déteste ça. Là je dois avaler la totalité de son plaisir, car il m'ordonne de continuer à le sucer pour la rendre rigide à nouveau.

Comme un pantin désarticulé, je le laisse guider mon visage pour faire glisser sa queue toute molle remplie de sperme dans ma bouche inerte et entrouverte, il prend plaisir à plaquer mon visage contre son bas-ventre pénétrant ma cavité buccale de toute l'ampleur de sa verge. Puis, il me repousse légèrement, me maintenant néanmoins le visage près de son bas-ventre. Je mordille sa bite pour qu'il me lâche et là, elle reprend de la raideur, je suis surprise de cette réaction que je ne désirais pas donner.
 
Il sort sa verge de ma bouche, la prenant entre deux doigts, il la promène contre mes lèvres, mes joues, mon menton et mon nez, les maculant sciemment d'un mélange de sperme et de salive. Visiblement, cette humiliation lui plaît, sa verge reprend rapidement vigueur. Avec sa nouvelle érection, il se lève et me prend aux épaules, me fait relever dos à lui.

Marcel me caresse les seins, le ventre, m'embrasse dans le cou, sur mes oreilles. Il reprend mes seins dans ses mains, les caresse, agace les tétons de ses doigts tout en continuant de m'embrasser le cou, la nuque. Ce con sait s'occuper d'une femme.  Il me détend, me donne de bons frissons, j'apprécie, j'aime.

Il me caresse aussi les fesses, les doigts d'une de ses mains descendent entre elles jusqu'à mon minou. Au moment où un doigt entre en moi, je ferme les yeux et retiens ma respiration. Son doigt remonte en moi, une main se referme sur mon clitoris. Il malaxe juste comme il faut mon pubis avec sa paume. Je sens son doigt fouiller, toucher un endroit que je ne connaissais pas. C’est la première fois que l’on me fait ça. Comment dire ? Ben, oui... Je me cambre, je m’offre, car c’est vraiment bon. Il ne me lâche pas, insiste, tire sur mes cheveux et passe sa langue sur mon oreille.

- OH, AH ! OUIIII… Oui!!OH !! Oui !!

Cet homme me fait jouir. Hein ? Il va me donner un orgasme ? Juste avec sa main. Je ne pensais pas ça possible. Mon entrejambe est trempée, ma tête me tourne.

 Je veux t’entendre gémir. Vas-y !!!

- OOOH !! OUIIII ! OUIIIII !!!!

-On va bien s’entendre tous les deux. Dis que tu es une salope !

Sa main attrape ma mâchoire. Il me la sert. Mes joues me font mal, elles sont écrasées et meurtries par mes dents. Je ne peux plus parler.

- Dis que tu es une salope !

- MMEUUUUHH.

L’étau se desserre.

- Dit !!!

- AH ! Heu ? Je suis une salope.

- PLUS FORT !!!

- JE SUIS UNE SALOPE !!!!!!!!!

Incroyable, ces mots résonnent dans ma tête. Je ne voulais pas l’admettre. Je l’ai dit ?? Je suis nue, les bras ballants. Je suis ridicule, honteuse et encore plus lorsqu’il me fait monter à quatre pattes sur le lit. Il finit de se déshabiller et quand je baisse les yeux, c’est pour voir une tige de chair tendue vers moi, je suis littéralement pétrifiée incapable de réagir, puis avant de me lécher totalement la vulve et mon anus. Marcel dit :

- Laisse-toi faire. Prends ton pied. Je veux t’entendre petite salope. Tu as compris ?

- Oui.

J’ai répondu OUI. Merde ! Pourquoi ? Et là je sens sa langue parcourir de bas en haut l’intérieur de mes fesses. Une sensation délicieuse, c’est humide et chaud. Je me crispe à chaque passage. Une vraie gourmandise de sensations. Il s’y prend vraiment bien. Je deviens folle. Je sers les dents lorsque ses mains écartent mes fesses. En sentant l’air caresser mes orifices, je frissonne et me cambre un maximum. Ses lèvres aspirent totalement les miennes, sa langue se joue de mon bouton. Des gémissements ? Je ne suis pas loin de crier.

- Lâche-toi, putain !

- Oui ! Oui !

Je sens ses doigts écarter mes lèvres intimes, le bout de sa langue vient lécher mes chairs roses, les mouillant abondamment de salive, la caresse devient agréable contre ma volonté. Le glissement de sa langue sur mon intimité me fait naître des sensations qui me chauffent le bas du ventre. Elle explore les replis de ma grotte dans des caresses jouissives. Je lutte contre le plaisir que je sens monter en moi, sa langue me fouille en profondeur.

Un éclair de plaisir m'électrise quand sa langue découvre mon clito de son capuchon. Je ne peux résister aux vagues de plaisir qui me submerge à chaque coup de langue sur mon bouton d'amour, il a compris que sa découverte est sensible a l’extrême, il le presse entre ses dents, le tire en aspirant, le flagelle du bout de sa langue, il le fait bander. Avec ses doigts il roule et presse mon clito, le branle tout en le suçant, il se dresse de désir.

- C'est bon hein ? Tu aimes que je le triture. Dit Marcel en le pressant fortement.

Je voudrais lui dire que non, mais ma grotte inondée me ferait mentir, ce qui me déroute. Mon clito gonflé à l'extrême m'électrise à chaque coup de langue, il est hors de mon contrôle. Il me fait asseoir sur le bord du lit. Sa bite est bien plus longue et bien plus grosse que celle de mon Jacques. Il attire encore ma tête sur sa verge, je résiste en raidissant ma nuque, ses deux mains derrière ma tête me tirent en avant, son gland effleure mes lèvres jointes, je serre les dents.

- Ouvre la bouche ! Sinon…

Soucieuse de ne pas le contrarier, j'ouvre la bouche. D'un coup de rein puissant il enfonce son sexe
dans ma bouche, j'ai l'impression d'étouffer, il essaie de l'enfoncer plus loin dans ma gorge, je résiste, mais il ne se retire pas, il fait des petits va et vient avec force et il s'enfonce de plus en plus dans ma gorge il me baise la bouche maintenant ! J'étouffe à ne plus pouvoir respirer, je suis en apnée , mais il continue sa baise buccale.

- Hum ! C'est bon tu sais , mais ce n'est pas fini.

Sa bite est redevenue bien dure, il est au bord de l'explosion, il la sort de ma bouche et me relève, il me pousse sur le lit, je tombe allongée sur le dos les pieds au sol.

- Recule-toi un peu , écarte les cuisses, j'ai d'autre chose à découvrir avec toi.

Marcel se redresse, s’approche de moi, il prend son sexe à pleine main et se colle contre moi. Il pose son sexe entre mes cuisses, son gland touche mon clitoris. Il me prend sous les jambes pour me soulever, déjà au comble de l’excitation, au premier aller et retour de cette grosse tige chaude, qui vient se frotter entre mes lèvres. J’ai mon deuxième orgasme, j’ai l’impression que ma vulve se liquéfie, et j’en ai la confirmation par la réflexion de Marcel :

- Tu coules comme une fontaine petite salope, tu es en train de tremper ma queue et mes couilles !!!!

À peine ces mots prononcés, son mandrin me pourfend littéralement, j’ai comme l’impression d’être pénétrée pour la première fois, c’est un véritable second dépucelage, et encore il ne me pénètre qu’avec son gros gland. J’ai le souffle coupé je me sens déjà pleine de lui.

Je le supplie de me laisser, de ne pas aller plus loin, de simplement le sucer. Mais Marcel ne l’entend pas de cette oreille. Et il enfonce un peu plus son sexe.

- Putain, mais t’es plus serrée qu’une pucelle, on ne croirait jamais que tu as eu deux gosses, tu es en train de me peler la queue !!!

Et en un seul coup de rein, il m’enfonce sa grosse tige jusqu’à la matrice. Et il prend ma main pour la poser sur cet accouplement hors du commun. Ma main se referme sur le reste de son sexe, je n’arrive pas à en faire le tour, et ce qui reste est encore plus long que la largeur de ma main.

- Branle la bien je vais finir de tout te mettre !!!

Il retire son sexe de mon ventre, ne laissant que son gland dans mon puits d'amour.

- Quand tu seras prête tu lâches ma queue, je vais tout te mettre et tu ne pourras plus t’en passer !!!

Ma main est toute engluée par mes sécrétions. Je la retire et en deux aller et retour, Marcel m’enfonce toute sa queue, refoulant mon utérus loin dans mon ventre. Sa bite remplit ma grotte à merveille ,elles s’emboîtent parfaitement ensemble, puis il commence une folle chevauchée, il me prend par-dessous les cuisses pour bien me coller à lui. Je m'accroche à son cou, et il me fait danser sur sa queue. Accrochée à son cou, j'enroule mes jambes autour de sa taille, je me fais pilonner comme jamais, je vais à la rencontre de ses coups de bélier, c’est comme si c’était la première fois et que je me faisais dépuceler. Mais à s’acharner l’un sur l’autre je sens son sexe se gonfler un peu plus et juste avant de m’embrasser il me dit : 

- Je vais te remplir la moule !!!!!

Ça déclenche mon troisième orgasme tandis qu’il se répand dans mon vagin déjà trop rempli de son gros sexe. Toute cette semence envahit mon utérus et le reste élargit le fond de mon vagin, ce qui me déclenche un violent orgasme auquel je m'abandonne avec des frissons irrésistibles qui parcourent mon corps. Ce qui m'étonne vraiment, c'est que la sensation soit si incroyable !

Quand mon mari jouit, ça coule simplement hors de lui. Mais avec Marcel, je peux sentir son sperme chaud juter littéralement en moi. Il jouit avec tant d'intensité et de force que je peux ressentir chaque giclée venir frapper mon col et pénétrer mon utérus. Entre deux râles de plaisir Marcel me regarde prendre du plaisir ,il sourit en hochant la tête :

- Toi tu prends ton pied ! Je le savais que tu aimais ça ! Que tu aimes prendre des coups de bite !

Malheureusement il a raison, j’ai pris mon pied malgré moi, je me dégoûte d'être aussi vulnérable. Il est planté en moi, il passe une main sous mes fesses, se servant du jus qui sort de mon vagin il masse mon petit trou en voulant introduire un doigt, je serre les fesses et mon cul.

- Non !! Pas par là je n'ai jamais voulu.

- Tu es vierge de ce côté-là ? Mais s'il faudra bien te soumettre, sinon…

- Oui je suis vierge de ce côté-là ! J’ai toujours refusé les demandes de Jacques.

Il me fait comprendre que je devrais me soumettre, je suis en plein dans son chantage sexuel. Comme je réfléchis à tout çà, à la folie de cette situation, je réalise, tout à coup, que mes jambes sont encore enroulées autour de lui et qu'il est toujours en train de me limer doucement, lentement, tendrement. C'est vraiment un sentiment apaisant et même lorsqu'il est mou, son sexe est encore plus grand que celui de mon mari. Je lève les yeux et je réalise que mon corps recommence à répondre. Il m'embrasse très doucement et commence à lécher doucement mes mamelons. À ma grande surprise, je peux sentir que son membre commence à durcir encore.

Mon mari n'a jamais pu récupérer aussi rapidement. Je sais que je devrais l'arrêter cette fois, juste au cas où il y aurait encore une chance qu'il ne soit pas trop tard. Je ne peux pas être assez stupide pour le laisser me baiser une fois de plus ! Je l'ai laissé faire une fois et maintenant il veut recommencer. Mais alors qu'il continue à bouger, je réalise que je ne pourrais pas l'arrêter. Je suis encore très excitée par ce que j'avais fait. Ça été si bon. Il m'a donné tout ce dont une femme peut rêver et j'ai terriblement envie qu'il me le redonne encore. Mes hanches ont recommencé à venir à la rencontre de chacune de ses poussées. Il libère mes mains et nous commençons ce qui s’avère être une baise très romantique, langoureuse même. Ma seule pensée consiste en son merveilleux braquemart qui pistonne ma grotte juteuse, l'étirant dans des limites que je ne soupçonnais pas jusqu'à ce jour. Je n'aurais jamais imaginé que faire l'amour avec un autre homme puisse être aussi bon. Car là on ne baise plus, on fait l'amour.

Mes hanches recommencent à onduler contre lui sans que je puisse les contrôler. J'ai alors l'orgasme le plus intense que je n'ai jamais eu alors qu'il continue à pousser fort et que la seule chose que je fais, est de cramponner ses fesses pour l'amener en moi, le plus loin possible. Mon esprit tout entier est concentré sur ce plaisir entre mes jambes maintenant et je crie de plaisir à cette expérience sexuelle incroyable. La vague de plaisir s'intensifie encore plus quand j'enroule mes jambes autour de sa taille et l'attire encore plus profondément. Pendant que nous baisons, j'ai plusieurs plus petits orgasmes successifs. Je soulève ma tête et je commence à sucer les mamelons sur son torse.

Ses mains se posent sur mes hanches et il commence à me pilonner violemment. Je sens sa queue aller et venir dans ma grotte. Il s’enfonce très loin, je gémis à chaque coup de reins. C'est merveilleux. Je peux sentir sa semence ressortir et couler dans la raie entre mes fesses pendant qu'il continue de lâcher sa purée. Je ne peux pas croire qu'il y en avait autant en lui.

Alors que les décharges faiblissent, je peux sentir la chaleur de son sperme dans les profondeurs de mon corps, à la recherche de mes ovaires. Je reste étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produit à l'intérieur de moi. Je pousse un long gémissement plaintif sous les ricanements pervers de mon violeur !

- Salope de bourgeoise ! J’en étais sûr que tu n'attendais que ça d’être traité en chienne. Dorénavant, ce sera ta vie, te comporter comme une pute bien docile…

Quand je reviens à la réalité, je réalise alors ce que j'ai fait. Je regarde entre mes jambes ouvertes pour voir son sexe encore partiellement en moi, luisant de son sperme. Qu'est-ce que j'ai fait ? Je commence à pleurer. Marcel me regarde au fond des yeux, tout en continuant à me limer doucement avec son sexe qui commence à réduire de volume. Comme il fait ça, je peux davantage sentir son sperme couler hors de moi, de ma chatte tuméfiée.

Lorsque Marcel se retire lentement, sortant son long membre de ma chatte juteuse, je me redresse lentement sur mes coudes et je regarde vers le bas à quoi je peux ressembler après une baise aussi féroce. Ma vulve est rouge et toute gonflée et ma toison est humide, entièrement imprégnée de son sperme. Mes seins sont tout rouges et couverts de marques de ses succions intenses. Mais le plus étonnant est le fleuve de sperme qui coule hors de ma fente, sous moi, sur le drap. Je voudrais garder sa chaleur en moi un peu plus longtemps. Je suis ouverte comme jamais et je me demande si je pourrais encore sentir la petite bite de mon mari après un tel traitement.

Il se couche à côté de moi, nous restons là à contempler le plafond qui est composé de poutres
et de planches entre lesquelles sont suspendues des toiles de poussière et d'araignées.

Après un très long moment Marcel attrape ses vêtements en me donnant aussi ma robe. Je me relève, je vois ma petite culotte sur le sol sale et poussiéreux à côté de mes escarpins. J'enfile ma robe, mais pas ma culotte que je garde bouchonnée dans la main.

- Donne ! Ça me fera un souvenir, je vais t'ouvrir la grange, à vendredi même heure ! Dit Marcel.

Dans la voiture, je prends vite quelques mouchoirs en papier pour essuyer ce qui sort de mon sexe en coulant le long de mes cuisses depuis l'écurie.

Sur le chemin du retour, je suis perdue, désemparée. J'ai failli bien avoir plusieurs fois un accident tant je suis absorbée par ce qui vient de se passer. Marcel a été dur avec moi. Autoritaire même. Et sur un ton qui ne suggère pas la réplique. D’ailleurs je n'ai pas répliqué, la tête basse, car pour moi la queue entre les jambes ne peut s’appliquer, du moins dans ce cas précis, alors que je retourne dans mes pénates sans demander mon reste.

Puisque c’est ça je n’irai plus que je me dis avec véhémence. Non mais pour qui il se prend. Je ne suis pas à ses ordres tout de même. Durant toute la durée du parcours, je parle toute seule. J'allume une cigarette en pensant que cette séance de chantage qui m'a fait connaître un plaisir que je ne connaissais pas, j'en tremble encore. Si je reviens ? Il faudra que je mette des lingettes dans ma boîte à gants. Je roule au ralenti, des frissons encore dans le dos, les seins douloureux, la chatte visqueuse. L'ouvrière s’est fait tringler. J’ai honte. Enfin, presque, faisant des mouvements de tête, haussant les épaules. Puis, peu à peu je me calme et j'arrive à la maison. Je me refais vite une façade avenante.

Je rentre à la maison bien avant mon mari, je prends une douche, me change. Mais avec toujours à l’esprit ce qui vient de se passer, toute la soirée je ne fais qu’y penser, que devrais-je faire ? Ne pas retourner chez Marcel vendredi ?? Où y retourner pour dire à Marcel que ce n’était qu’une erreur et qu'il faut oublier ça. Où bien retourner pour me faire baiser, parce qu’en fait c’est ça, je me suis faite baiser comme jamais et j'ai ressenti pour la première fois plusieurs orgasmes d'affilée.

J'allume la télé, me sers un verre de vin cuit, me pose dans le fauteuil, fatiguée de la séance. Quand Jacques rentre, je me sens gênée. Le voit-il ? Que j'ai fait l'amour avec un autre en prenant du plaisir. Je suis mal à l'aise pour le restant de la soirée. Au moment de nous coucher, mon mari, Jacques, veut me faire un câlin, mais je refuse prétextant un mal de tête. Mais ce n’est pas pour autant que je dorme, ressassant sans cesse les trois questions que je me pose depuis que je suis rentrée.

Ma nuit est agitée. Jamais je n'avais caché quoi que ce soit à mon mari et là je l'ai trompé avec Le Marcel, j'en mouille encore follement, je crois avoir joui pour la première fois avec une honte immense, décuplée par un désir qui ne s'apaise pas, bien au contraire ??? Rien pourtant ne me prédisposait à la soumission. Mon mari n'en a jamais eu la moindre intention, il se fait un point d'honneur à ce que la morale soit omniprésente dans notre foyer. Je ne peux pour autant pas dire que je me sois ennuyée au lit puisque je ne connaissais rien d'autre.

Le week-end se passe bien, les enfants nous rendent visite, ils ne doutent de rien. Lundi matin Jacques est déjà parti au travail. Dans la salle bain, nue devant la glace, je n’ai toujours pas fait mon choix. La matinée n’est pas facile, l’esprit toujours en questionnement. Mais l’après-midi est calme au travail, je peux réfléchir un peu, peser le pour et le contre, en définitif, c'est mon sexe qui décide.

Avant de partir je vais aux toilettes et je constate que le souvenir de ce qui s’est passé la veille continue de mettre en émoi, ma vulve, lèvres gonflées, vagin déjà en fusion. Pendant la semaine lorsque je croise Marcel, il me sourit en sortant son portable de sa poche, son attitude me met dans l'embarras, j'ai l'impression que tout le monde me regarde.

A suivre...

mercredi 27 juillet 2022

Train de nuit - Ch. 04

Texte de XMaster, nouvel auteur sur mon blog. Vous pouvez trouver un lien vers ses "captions" sur le site Imagefap dans ma liste de liens.

******

Sophie se soumet aux ordres du contrôleur

Le contrôleur se régale du spectacle offert. Il pense que cette petite est vraiment très cochonne et ça lui plaît beaucoup. En fait, comme presque tous les hommes, il adore les cochonnes.

- T'es vraiment une grosse salope, toi ! Incroyable ! 

La belle arrête un instant sa branlette pour dire :

- Mais c'est vous qui...

- T'occupe…  Branle-toi espèce de garce… Je vais te dresser tu vas voir ! 

Excitée, mais aussi apeurée, elle reprend son manège avec son doigt. On peut voir sa main s'activer pour pousser le majeur toujours plus loin dans les intestins.

- Vas-y morue, prépare-toi bien ton joli petit cul ! 

Maintenant, Sophie ne répond plus, elle a compris que tout ce qu'elle pourrait dire ne ferait qu'envenimer les choses, aussi se contente-t-elle de suivre à la lettre les instructions qui lui sont données. Puis, d'un coup, le pervers contrôleur ordonne :

- Assez maintenant, remets-toi debout tout de suite ! 

Là encore, la jeune fille exécute immédiatement la manœuvre demandée. Elle se rétablit et fait face à l'homme.

- Écarte tes jambes !

Elle pousse sa jambe droite de cinquante centimètres environ.

- Encore... 

Elle écarte encore sa jambe d'une bonne vingtaine de centimètres.

- Branle-toi le clito maintenant... 

Déjà très soumise, elle passe sa main doucement sur son ventre et vient entrouvrir ses grandes lèvres pour laisser passer son index sur le bouton d'amour.

- Ça te mène, le cul… Hein pétasse... ? 

Mais Sophie ne répond pas de peur d'avoir encore à faire à cette satanée ceinture qui lui a fait si mal tout à l'heure.

- Réponds, morue, quand je te cause ! T'aimes ça, te branler, n'est ce pas ?

- Oui Monsieur !

- Parfait, parfait… Branle-toi mieux encore ! 

Et elle active avec plus de vigueur son index. Elle se prend si bien au jeu qu'elle commence à fermer les yeux pour se laisser aller au plaisir. 

- Voilà… C'est bien salope ! 

La jeune fille commence maintenant à gémir doucement sous ses propres caresses.

- Bien… Je vais t'emmener et te mettre sur le trottoir, comme ça tu pourras en prendre plein le cul toute la journée et tu me rapporteras du pognon en plus !

- Mais ça ne va pas non ! Dit elle en rouvrant tout grand ses beaux yeux verts et en arrêtant de se masturber.

- Continue, connasse ! Lance alors François très mécontent qu'elle se soit arrêter dans ses caresses, mais amusé aussi de la peur qu'il suscite en elle à l'idée de la prostituer.

- Mais Monsieur...

- Je te dis de continuer ! 

Alors la pauvre fille recommence à passer son doigt sur son clitoris, mais cette fois, la peur au ventre, le plaisir ne vient plus.

- Tu vois bien, il n'y a vraiment que le cul qui t'intéresse dans la vie ! Tu n'es vraiment qu'une salope en chaleur, toujours prête à t'exhiber !

- Mais Monsieur...

- Il n'y a pas de mais qui tienne... Dis donc, je n'ai pas eu à te forcer beaucoup pour que tu te branles comme ça, devant un inconnu ! 

À ce moment, François plonge son regard froid et dur dans les yeux verts de la jeune fille qui ressent alors un profond malaise, puis il enchaîne :

- Alors, avoue-le… Que tu n'es qu'une pute !

- Mais... 

Là il reprend sa ceinture en main et fronce les sourcils si bien que Sophie se met à pleurer et finit par balbutier :

- Oui, vous avez raison, j'aime ça, le sexe...

- Je veux que tu dises que tu es une vraie pute, allez !

- Je suis une pute, Monsieur...

- Bien, voilà qui est mieux, je vais te contenter alors, espèce de truie ! 

Au bord de la crise de nerfs, la pauvre jeune fille redouble de larmes en baissant la tête. Le contrôleur apprécie la situation, mais il en veut plus, encore beaucoup plus, aussi continue-t-il en disant :

- Bien, tu reconnais donc que tu es une pute, parfait...

- Mais c'est vous qui m'obligez...

- Ferme-la ! Je ne t'oblige à rien du tout, tu es une chienne, tu voyages nue, tu n'hésites pas à me montrer tes seins quand je viens poinçonner ton billet, et tu trouves que je te force à quoi là ? Hum ?

- Mais...

- La ferme ! Mais ce n'est pas vrai ça, tu ne sais pas fermer ta grande gueule… Je disais donc que quand je soulève complètement le drap pour te voir entièrement nue, là encore tu ne fais pas de gros efforts pour te protéger, en fait, tu aimes exciter les mecs, et même cette attitude prouve que tu avais envie de te faire piner comme ça, là, sur la couchette !

- Mais voyons... 

À ce moment, c'est une claque que donne François en se levant brutalement de la couchette, puis il enchaîne :

- Tu ne l'ouvres que quand je t'interroge, c'est compris maintenant ?

- Oui Monsieur ! Dit la jeune fille en pleurant et en se frottant la joue.

- Quel est ton prénom ?

- Sophie, Monsieur.

- Parfait Sophie. Bon, reprenons alors, je suis sûr que tu aimes te faire prendre en levrette, je me trompe ?

- Non Monsieur...

- Non quoi, connasse ? tu aimes ou pas ?

- Oui Monsieur, j'aime cette position...

- Bien, là encore je vois que tu aimes être soumise et sous l'homme, prise comme une bête, que tu aimes être à la merci des mecs ! 

Et, comme il ne reçoit toujours pas de réponse après une bonne minute, il poursuit d'une voix incisive :

- Je me trompe, peut être ?

- Non Monsieur, vous avez raison.

- Alors maintenant, dis moi pourquoi tu pleures quand je te traite de salope, de truie en chaleur, de pute ? Ce ne sont même pas des injures pour toi, je ne décris que le fond de ta personnalité là, non ?

- Eh bien non !

- Non ! Eh bien, elle est bonne celle là ! Regarde-toi un peu... 

Sophie a les yeux rougis par les larmes mais elle ne pleure plus pour le moment. Elle relève la tête et fixe François d'un regard froid. Ce dernier se lève, fait lentement le tour de la fille nue, se replace juste devant elle, la dépassant de plus d'une tête et, en la toisant, continue plus durement encore :

- Attends... Tu prétends ne pas être une grosse cochonne ! Mais regarde-toi, bon sang, tu passes ton temps à poil, tu te laisses peloter par n'importe qui, tu restes nue devant moi sans chercher à te cacher. Je peux même toucher tes nichons sans que tu ne dises rien... 

Et sur ces derniers mots, il s'empare du sein droit de la jeune fille et le malaxe.

A suivre...

lundi 25 juillet 2022

Quatre sœurs piégées Ch. 01

 Récit de MercySlayer traduit par Coulybaca.

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Une virée fraternelle tourne mal.

Jeannette et ses trois sœurs préparaient leur virée à Atlantic-City depuis de longs mois. Elles avaient épargné la moindre pièce pour s'assurer qu'elles pourraient s'offrir une nuit entre filles lorsqu'elles se trouveraient à Atlantic-City. Comme elles seraient entre elles, sans leurs hommes, ils ne pourraient pas se montrer jaloux et elles pourraient allumer et provoquer les mâles autant qu'elles le voudraient.

Les trois autres étaient d'accord et elles pénétrèrent dans un hôtel pour retenir leurs chambres, Jeannette sentait les yeux des mâles assis dans le hall évaluer sans vergogne leurs charmes.

Agée de 38 ans, Jeannette était la plus vieille des quatre. Elle entretenait son corps et avait choisi de porter un fin chemisier qui moulait sa poitrine. Comme elle ne portait pas de soutien gorge, on devinait facilement le contour des deux collines jumelles et de leurs aréoles plus sombres au travers du fin tissu rouge.

Jennifer avait 35 ans et n'était pas plus conservatrice que sa sœur. Elle portait une jupe en cuir très courte qui lui couvrait tout juste les fesses. Les bas noirs qu'elle portait galbait les longues jambes de Jennifer. Jennifer avait choisi un chemisier en soie blanche, elle avait une opulente poitrine qu'elle maintenait dans un soutien-gorge 90 bonnets D, elle était un peu rondelette.

Lisa n'avait que 30 ans et la même taille que Jeannette mais son tour de poitrine n'était qu'un 90 B, elle était assez timide et s'habillait de façon plus conventionnelle. Elle portait une jupe noire à hauteur de genoux et un chandail blanc. Elles taquinaient souvent leur sœur Lisa, la surnommant "la femme du prêcheur", mais elle avait promis de porter une tenue sexy pour cette nuit entre filles.

La plus jeune et la plus aventureuse s'appelait Heather, à 28 ans elle était la plus grande des quatre et n'avait aucune inhibition. Elle portait elle aussi une jupe de cuir, mais rouge et ne portait pas de bas. Heather montra à ses sœurs la ficelle de son thong qui lui entrait dans la raie du cul, et elle n'hésitait pas à ouvrir en grand les cuisses pour que les hommes puisent distinguer clairement le "V" rouge qui couvrait à minima son entrecuisse. Elle portait un corsage boutonné dont elle laissait les quatre premiers boutons ouverts pour exhiber ses nibards du 90 B. Ses nichons étaient très bien galbés et semblaient plus opulents qu'ils ne l'étaient en réalité. Son corsage déboutonné ne couvrait que partiellement ses miches.

Les quatre sœurs retinrent leurs chambres et prirent l'ascenseur pour gagner leurs chambres communicantes, toutes excitées à l'idée de sentir les regards des hommes qu'elles croiseraient lors de leur "nuit entre filles" s'appesantir sur leurs charmes.

Elle se taquinaient les unes les autres, traitant Heather de petite pute tandis qu'Heather traitait Jeannette de "femme mariée incapable de savoir quoi faire avec un véritable mâle".

Elles arrivèrent enfin à leurs suites, s'accordèrent le temps de se rafraîchir rappelant à Lisa sa promesse, elle devait se retrouver une heure plus tard pour se rendre dans un club.

Heather entra dans la chambre de Lisa et siffla en la voyant émerger de la salle de bain portant une jupe bleue marine qui moulait étroitement ses fesses. Heather ne parvenait pas à croire que Lisa porte un corsage transparent sans soutien-gorge. Son corsage était du même ton bleu clair que sa jupe mais ses miches étaient clairement visibles au travers du tissu arachnéen.

- Pas si prude que ça... Commenta Lisa alors qu'elles se rendaient dans la chambre voisine à la rencontre des deux autres sœurs.

Jeannette et Jennifer étaient impressionnées, Leurs deux cadettes exhibaient leurs charmes de façon fort provocante, elles avaient trouvé le moyen d'accentuer leurs atouts. Jeannette et Jennifer faisaient beaucoup moins que leur âge, la beauté de leurs miches les rajeunissait fortement.

Les quatre sœurs riaient en chœur en pénétrant dans le bar, leurs tenues sexy provoquaient les réactions attendues : les yeux de tous les mâles présents s'étaient braqués sur elles. Elles n'avaient pas à payer leurs consommations et s'amusaient considérablement à allumer leurs admirateurs. Elles cherchaient à toujours garder l'œil les unes sur les autres, mais avec la troupe d'hommes qui les encerclait, c'était assez difficile.

Tout en repoussant les mains de son partenaire de ses fesses, Jeannette surveillait ses trois sœurs. Jennifer se débattait pour les mêmes raisons entre les mains de son danseur, alors que Lisa et Heather étaient assise dans l'ombre avec leurs partenaires. Jeannette voyait que le partenaire de Lisa tentait de lui palper les nibards alors que celui d'Heather cherchait à glisser une main sous sa jupe.

Ces attentions étaient extrêmement flatteuses pour une femme mariée ayant une vie professionnelle affirmée, et durant une pause elles repoussèrent leurs prétendants et se réunirent autour d'une table. Réjouies, elles se contaient les unes aux autres leurs aventures lorsqu'un séduisant noir s'approcha d'elles une camera en main. Il leur proposa de les prendre en photos pour 5 dollars la série, dont une de leur petit groupe. Il précisa qu'il s'appelait Devon et qu'il travaillait dans leur hôtel.

Les sœurs pensaient que cela ferait de bons souvenirs et elles le payèrent pour une série de photo. Il les avisa qu'il serait de retour d'ici une petite demi-heure avec leurs photos, il les abandonna sur ces mots. 

Lors de la pause suivante Devon revint les rejoindre, leur donna leurs photos, et demanda s'il pouvait leur faire plaisir. Elles déclinèrent son offre et avant qu'il ait le temps de leur répondre, elles acceptèrent l'invitation à danser de quatre hommes. Devon les suivit du regard alors qu'elles gagnaient la piste de danse et versa alors une poudre blanche dans leurs consommations.

- C'est vraiment trop facile, ces petites putes provinciales sont tellement stupides ! Pensait Devon au fond de lui-même.

Les quatre sœurs dansèrent et allumèrent leurs partenaires jusqu'environ 2 heures du matin. Heather leur révéla qu'elle avait donné son string à l'un de ses danseurs et le leur prouva en se troussant jusqu'à la taille exhibant sa chatoune fraîchement rasée.

Elles étaient toutes quatre bien éméchées et Lisa concéda que son partenaire lui avait sucé les tétons au coin du bar. Jennifer s'était montrée bien plus prude en autorisant seulement son danseur à lui palper les nichons au travers de son corsage. Elles furent toutes trois ébahies lorsque Jeannette leur révéla qu'un de ses partenaires avait glissé ses doigts dans sa petite culotte et qu'il lui avait titillé habilement le clito ce qui lui avait déclenché un succulent orgasme. Bien que mariées les deux aînées avaient décidé que tant qu'elle ne ferait l'amour avec personne elles pouvaient jouir de tous les autres plaisirs que leurs partenaires pourraient leur dispenser.

Elles étaient toutes quatre éreintées et quittèrent le bar vers 2 heures 30 pour regagner leurs suites. Elles étaient toutes quatre sous l'emprise de la drogue que Devon leur avait fait prendre à leur insu, cette dernière commençait à agir franchement. Elles étaient inconscientes d'être suivie par quelqu'un qui demeurait dans l'ombre.

Devon les avait observées toute la nuit, s'assurant qu'elles vidaient bien leurs verres trafiqués. Il les suivit carrément jusqu'à leurs chambres. Devon savait que son plaisir allait seulement débuter le lendemain matin alors qu'il inscrivait le numéro de leurs chambres avant de rejoindre son appartement. Une fois rentré chez lui il sortit le film de son appareil photo les développa et tira des clichés, puis il commença à préparer des montages, collant le visage des quatre sœurs sur les corps de femmes entièrement nues engagées dans différents actes sexuels.

Son acolyte, le barman, l'aidait préparer ces fakes que les quatre jeunes femmes ne pourraient pas repousser de prime abord.

- Ces petites putes provinciales sont tellement stupides! S'amusait-il en terminant le faux concernant Jeannette.

On la voyait agenouillée, nue taillant une somptueuse pipe à un noir tandis qu'un autre l'enfilait par derrière.

- Si stupides! Répéta-t-il.

Il scrutait attentivement les photos des suites qu'avaient retenues les jeunes femmes et était ravi de constater que les faux s'avéraient criants de vérité. Devon termina sa tâche et imprima les photos des quatre sœurs avant d'admirer son œuvre.

- Si stupides, que c'en était si facile ! Pensait-il en son fort intérieur.

Jeannette entendit vaguement quelqu'un frapper à sa porte, cela la réveilla à peine. Elle était en plein brouillard et cherchait à retrouver ses marques. Jennifer gisait entièrement nue, au-dessus des couvertures dans le lit voisin, ce qui lui remit les pieds sur terre. Elle jeta alors un œil sur son cadran de montre tout en remontant le couvre lit sur Jennifer et en enfilant une robe de chambre pour aller répondre à la porte. Il était presque 21 heures.

- Nous avons dormi tout ce temps ! S'esclaffa-t-elle

- Que c'est-il donc bien passé la nuit dernière ?

Elle ouvrit la porte et se retrouva en présence d'un colosse noir qui se tenait dans l'entrebâillement, il lui sembla relativement familier, mais elle n'était sûre de rien.

-Puis-je vous aider ? L'interrogea Jeannette.

C'est alors qu'elle vit qu'il était suivi d'un autre homme.

- Toi et tes putes de sœurs vous allez vous habiller, il est temps d'aller travailler ! 

Devon mettait en œuvre son plan, il attendait sa réaction une photo prête dans sa poche.

- Pardon ! S'exclama Jeannette prête à reclaquer la porte sur les deux intrus qui venaient l'insulter dans sa chambre.

C'est alors que le noir sortit une photo d'une femme nue de sa poche et lui colla sous les yeux. Jeannette écarquilla ses yeux : il s'agissait d'Heather, elle était visiblement en train de se faire baiser.

- Allez prend-là... Vous étiez tous les quatre drôlement chaudes la nuit dernière ! Poursuivit Devon menaçant.

Jeannette prit la photo en main et hébétée, l'observa attentivement. Heather était nue à moitié emmanchée sur la grosse bite d'un colosse noir, qui tenait ses nichons à pleines mains. Elle paraissait se trouver dans la chambre qu'elle partageait avec Lisa à en juger par l'arrière plan.

- Que voulez-vous? Le questionna-t-elle incapable de détourner les yeux de la photo.

Devon savait maintenant que son plan marchait.

- J'en ai bien d'autres... Laisse-nous rentrer, toi et tes sœurs vous êtes dans une drôle de galère !

Machinalement Jeannette enleva la chaîne de la porte et les laissa entrer tous deux, Jennifer dormait toujours, elle resserra sa robe de chambre autour de sa taille.

- Où sont tes deux sœurs ? L'interrogea Devon.

- Qui êtes-vous ? Lâcha enfin Jeannette extrêmement inquiète.

Devon expliqua qu'il vendait les charmes de certaines filles à ses clients, puis il lui présenta Jimmy.

- C'est le barman du bar où vous êtes allées, il veut discuter de la facture que vous avez laissé la nuit dernière... Lui expliqua Devon.

Jeannette fixait toujours avec horreur la photo qu'elle avait en main, malgré tous ses efforts elle ne parvenait pas à se rappeler ce qui s'était passé la nuit dernière. Devon lui tendit 3 autres photos. Jeannette avala sa salive et porta la main à sa bouche en voyant Jennifer liée sur son lit, sur le ventre, vigoureusement enculée par un noir. La photo suivante mettait en scène Lisa, nue, agenouillée, elle avait une bite dans chaque main, visiblement ses deux partenaires venaient de gicler sur sa poitrine couverte de filets glaireux.

Jeannette s'assit et regarda une photo d'elle, elle aussi à genoux, une grosse bite noire enfouie dans sa foufoune, la bouche grande ouverte pour en accueillir un autre, ses nichons pendant sur son torse. Elle se mit à sangloter hystériquement alors que Jennifer commençait à remuer. C'était au tour de Jimmy d'intervenir.

-Vous avez loué l'hôtel entier pour un peu plus de 6.000 $ la nuit dernière, ce qui incluait la fourniture d'hommes... Expliqua Jimmy à la malheureuse Jeannette qui pleurait toutes les larmes de son corps.

Elle cherchait à se reprendre et à réfléchir à ce qui avait bien pu se passer. Elle se rappelait vaguement qu'elles s'étaient touts quatre vêtues de façon fort provocante, qu'elles avaient dansé avec de nombreux partenaires, mais le reste restait opaque. Devon voyait son énorme confusion se peindre sur son visage, sans aucun doute la drogue ingérée avait bien opéré.

- Que voulez-vous ? Balbutia Jeannette en faisant signe à Jennifer de la rejoindre sur le sofa.

Jennifer était entortillée dans le couvre lit lorsqu'elle lui demanda ce qui se passait en s'asseyant à coté d'elle. Dès qu'elle vit les photos elle se mit à sangloter tout autant que sa sœur.

- Fermez-la, salopes ! Leur intima Devon.

- Allez me chercher vos deux sœurs, vous avez du boulot pour ce soir !

Et Jimmy ajouta :

- Ouais, il est temps de penser à régler votre facture!

Jeannette se dirigea lentement vers la porte communiquant avec la chambre adjacente et l'ouvrit. Heather et Lisa étaient étendues en travers de leurs lits, Heather entièrement nue, et Lisa avec sa courte jupe tire-bouchonnée autour de sa taille. Devon pénétra dans la chambre avec elle et ordonna aux deux filles de se lever. Heather chercha à cacher ses charmes et Lisa repoussa sa jupe sur ses cuisses, mais Devon leur enjoignit de gagner rapidement l'autre chambre. Heather cacha ses nibards d'une main et sa foufoune de l'autre, Lisa fit de même pour ses nichons. Et elles suivirent lentement Jeannette dans la chambre où Jennifer contemplait toujours ces maudites photos. Heather et Lisa s'assirent toutes deux sur le lit et Jennifer leur tendit les photos.

- J'en ai plein d'autres si vous voulez les voir ! S'esclaffa Devon hilare.

Heather le regardait furieuse alors que Lisa se mettait à pleurer avec ses deux autres sœurs.

- Pire encore ! Commença Jeannette,

- Nous avons loué la totalité de l'hôtel pour un peu plus de 6.000 $ que nous ne possédons pas !

Sur ce, Jeannette se remit à pleurer. Devon lança une mallette sur le lit.

- Vous allez devoir gagner le fric pour nous payer mes salopes, mais tout d'abord, on va vous baiser, puis vous irez au turf !

Il ouvrit alors la mallette et en sortit des fringues féminines.

- Voilà les tenues que vous porterez, mais tout d'abord on vous essaye, qui est volontaire ?

Heather éclata de rire en lui répondant que ses suggestions étaient ridicules, elle lui ordonna ensuite de quitter leur chambre. Devon pensait que sa bravoure était feinte et il sortit d'autres photos de sa poche qu'il lança sur le lit.

- C'est d'accord, on s'en va... Mais ces photos seront envoyées à vos maris et patrons ! 

Puis il ajouta :

- Allez viens Jimmy, je suppose que ces salopes savent ce qu'elles font.

Sur ces mots, ils se dirigèrent de concert vers la porte.

- Attendez! Hurla Jeannette décomposée, et elle rassembla ses sœurs autour d'elle.

Elle argumenta qu'il ne s'agissait que d'une nuit et que cela effacerait tout, et que personne ne le saurait. Heather s'obstinait à refuser, Jeannette lui tendit 2 photos d'elle. Elle baissa la tête et la hocha affirmativement, Lisa et Jennifer donnèrent aussi leur accord.

- C'est d'accord nous ferons ce que vous voudrez... Concéda Jeannette.

- C'est bon, mais pour l'instant je veux savoir qui se porte volontaire pour se faire baiser... Rétorqua Devon

- Et puis après tout je te veux toi ! 

Et il pointa son doigt sur Jeannette.

- Je prendrai la petite... Ajouta Jimmy désignant Heather.

- En outre elle est déjà à poil !

Les mâchoires d'Heather et Lisa leur en tombèrent alors qu'Heather s'informait de l'endroit où il voulait la posséder. Devon désigna du doigt le lit et lui intima d'enlever sa robe de chambre.

- Beaux tétons! Commenta Devon alors que la robe de chambre de Jeannette chutait au sol, elle s'empourpra sous les regards concupiscents des deux hommes.

- Et maintenant vous deux à genoux et penchez-vous sur le lit.

Jeannette et Heather s'agenouillèrent face à face de chaque coté du lit et se penchèrent en avant, leurs miches reposant sur les draps. Jeannette tremblait de peur alors qu'Heather se mordait les lèvres d'appréhension.

- Quant à vous deux, à poil et agenouillez-vous à leurs cotés, on ne veut pas les engrosser aussi giclera-t-on dans vos bouches !

Lisa commença à pleurnicher alors que sa jupe tombait au sol, Devon lui prit les bras et la disposa à genoux à coté de Jeannette. Bien que choquée Jennifer imita Lisa et se posta à coté d'Heather sans dire un mot. Jeannette regardait Jimmy baisser la fermeture éclair de sa braguette et sortit une mentule d'au moins 23 centimètres de long. Heather quant à elle avala sa salive en voyant la taille de la bite de Devon qui pointait sur le cul nu de Jeannette. Elle supposa qu'elle faisait 30 bons centimètres de long pour un diamètre de 8 centimètres. Heather ne parvenait pas à détourner les yeux de ce monstrueux épieux et de l'énorme gland disparaissant petit à petit dans la foufoune de Jeannette.

Jeannette gigota des hanches en cherchant à se relaxer, sa fente était sèche comme le désert de Gobi et Devon luttait pour introduire son massif engin entre les lèvres de sa chatoune rétive. Jeannette fermait étroitement les yeux, grognant et couinant alors que la massive tête de noeud disparaissait dans sa caverne distendue, Devon donnait de puissants coups de boutoir enfouissant sa bite dans les tréfonds de sa chagatte endolorie. Ses burnes vinrent frapper contre les lèvres de sa cramouille alors qu'il commentait :

- Elle aura besoin d'être élargie !

Devon se mit à coulisser dans sa chatoune douloureuse, Jeannette ouvrit les yeux pour voir Heather baisée sans merci par Jimmy.

Mais à sa grande surprise Heather ne grognait pas, elle gémissait en se pourléchant les babines, yeux à demi-fermés, semblant se réjouir d'être abusée.

- Ma salope est trempée de mouille... Commenta Jimmy pour Devon alors qu'ils continuaient tous deux à baiser les deux sœurs disposées face à face.

Jennifer avait les yeux rivés au sol, cherchant une façon de se tirer de cette galère tandis que Lisa continuait à sangloter à la vue de la monstrueuse bite de Devon coulissant dans la moule de sa sœur. Lisa braqua ses yeux sur Heather juste à temps pour la voir mordre ses lèvres alors que des gémissements de jouissance trahissaient son orgasme. Jeannette le vit aussi et luttait pour comprendre comment sa sœur pouvait avoir du plaisir à se faire violer.

C'est alors que Jimmy extirpa sa bite de la chatoune d'Heather et empoigna la tête de Jennifer pour la lui fourrer couverte des secrétions intimes de sa sœur en pleine bouche s'enfouissant profondément dans son arrière-gorge. Avant même qu'elle puisse réagir elle sentit le premier jet de foutre lui tapisser l'arrière-gorge. Jennifer toussa, s'étrangla essayant de reculer la tête, mais en vain, Jimmy lui tenait fermement la tête contre son pubis et coulissait lentement dans sa bouche le temps qu'il tarisse ses burnes.

Heather était restée agenouillée, les yeux fermés jouissant des dernières secousses de l'orgasme qui venait de la terrasser brutalement. Alors que Jimmy essuyait sa bite dans la chevelure de Jennifer il tapota la croupe d'Heather la félicitant d'être un si bon coup. Jimmy ordonna alors aux deux sœurs de s'asseoir sur le lit, mais ne les autorisa pas à se rhabiller.

- Je ne parviens pas à comprendre que tu puisses de t'être fait baiser ainsi ! Susurra Jennifer à l'oreille d'Heather tout en essuyant un filet de foutre s'écoulant de la commissure de ses lèvres. Heather se contenta de soupirer.

Devon labourait toujours Jeannette. A chaque retrait il se cantonnait à l'orée de sa chatoune quelques secondes avant de s'engouffrer à nouveau au fin fond de sa chatoune asservie, s'enfonçant chaque fois jusqu'au col de son utérus. Jeannette grognait tentant d'ignorer les bruits de chair du ventre de Devon heurtant ses fesses. Lisa rivait ses yeux au sol en entendant les plaintes de sa sœur.

- S'il vous plait pas ça... Suppliait Jeannette alors que Dave sondait son anus d'un majeur impatient, lui élargissant lentement le goulot... Je ne pourrai pas le supporter !

Il ignora ses lamentations et continua à lui travailler l'œillet anal cherchant à en élargir l'accès. Jeannette commença à se tortiller lorsqu'elle sentit son énorme bite se presser sur son anus rétif.

- Je vous en prie pas là, aggggggghhhhhhhhhhh! Hurlait Jeannette alors que le monstrueux gland de Devon pesait sur son ouverture anale.

Il lui semblait que son trou du cul était en feu, Lisa se mit à sangloter de nouveau à la vue de sa sœur se faisant violenter brutalement.

- Je vous en prie ne lui faites pas ça ! Supplia-t-elle Devon alors que 3 nouveaux centimètres disparaissaient dans l'on anus distendu de Jeannette.

Son visage ruisselait de larmes tandis qu'elle cherchait à voir ce qui se passait dans son dos, ne voyant que l'horrible sourire démoniaque de son suborneur ravi. Jeannette réalisa alors qu'elle ne devait en attendre aucune pitié, et elle rassembla ses forces alors que Devon parvenait à engouffrer la totalité de sa monstrueuse bite dans son anus douloureux.

- Mon Dieu, vous me pourfendez le cul en deux, Retirez votre pénis... Enlevez la... S'époumonait Jeannette à travers ses sanglots.

Devon lui bloqua les hanches lui interdisant tout mouvement de fuite. Elle s'effondra en constatant qu'elle ne pouvait pas fuir cette horrible douleur, Devon entreprit de l'enculer lentement.

- Bordel, ce qu'elle est étroite! Elle m'écorche presque la bite ! Confia Devon à Jimmy.

- Nous devrons lui élargir le goulot, je ne peux pas continuer ainsi !

Sur ces mots, Jeannette sentit l'énorme bite glisser hors de son anus endolori avec un "plop" sonore, il replongea immédiatement son énorme massue dans sa foufoune asservie. A la grande surprise de Jeannette, sa chatte était maintenant convenablement lubrifiée et elle s'accommoda de sa grosse bite sans douleurs excessives. Comme Devon se remettait à la baiser à couilles rabattues, Jeannette sentit un orgasme tout à fait inattendu monter dans ses reins. Jeannette ne parvenait pas à croire que son corps puisse la trahir. Mais la taille de la bite de Devon venait masser son clitoris avec une forte pression à chaque coup d'estoc. Elle se mordait les lèvres pour tenter d'éviter d'afficher l'orgasme qu'elle sentait monter, mais cela ne marcha pas, un violent orgasme la terrassa, elle miaula longuement son plaisir. Son exultation fut aussi intense que brève et elle s'écroula sur le lit alors que Devon annonçait qu'il extirpait sa bite de sa cramouille en empoignant la tête de Lisa. Elle refusa d'ouvrir la bouche et se débattit.

- Préférerai-tu que je replonge ma mentule dans la foufoune de ta sœur au risque de l'engrosser ? Hurla Devon furieux.

Jeannette suppliait sa sœur d'ouvrir la bouche et de prendre son énorme pénis entre ses lèvres, mais Lisa refusait toujours cherchant à lui échapper. Devon hurla à Jimmy de venir l'aider. Jimmy s'approcha d'eux et empoigna sa tête, mais Devon lui demanda de la tirer sur le lit.

- Puisque tu ne veux pas m'accueillir dans ta bouche et que tu préférerai sacrifier ta sœur, je vais gicler dans la tienne de foufoune. Hurla Devon et sans aucun préliminaire il fora son trou dans sa chatte aussi révulsée que sèche.

Lisa hurla et se débattit pour se libérer de l'emprise de Jimmy alors que Devon coulissait rapidement en elle.

- S'il vous plait ne jouissez pas en moi... Je suis en pleine période d'ovulation... S'il vous plait ne faites pas ça !

Lisa se débattait toujours lorsqu'elle sentit la chaude éjaculation de son suborneur lui tapisser les parois du vagin. Il resta un bon moment profondément planté dans sa cramouille tandis que son foutre lui garnissait l'utérus. Lisa avait réalisé qu'il était inutile de continuer à se débattre, son forfait était accompli, elle s'écroula sur le lit la bite de Devon toujours profondément emmanchée en elle.

- Apporte-moi les pinces et le plug !

Jimmy retrouva la mallette qu'ils avaient amené avec eux et en sortit un godemiché de caoutchouc d'environ 10 centimètres de diamètre et le tendit à Devon.

- Tu vas apprendre à obéir salope! Hurla Devon puis il extirpa sa bite de la grotte engorgée de Lisa et la remplaça par l'épais plug.

- Avec ça dans la chatte je suis sûr que tu ne perdras pas une goutte de ma précieuse semence ! Et maintenant retourne-toi !

Devon empoigna Lisa par les hanches et la repoussa sur le dos. Juste au coté de Jeannette qui récupérait lentement de son orgasme, profondément choquée que sa sœur ait pu risquer qu'on la mette enceinte pour s'épargner une fellation. Jeannette ne dit pas un mot tandis que Devon fixait les pinces reliées à une boite en métal, sur les mamelons de Lisa.

- Regardez bien mes petites putes, c'est juste un exemple de ce qui pourrait vous arriver si vous nous désobéissez !

Devon poussa un bouton sur le tableau de commande du boîtier envoyant un courant électrique dans les mamelons de Lisa. Lisa gémit et se tordit sur le lit cherchant à échapper aux mains de Jimmy qui la clouaient sur le lit. Elle avait l'impression que sa poitrine allait exploser et elle promit à Devon de lui obéir en tout. Satisfait Devon relâcha le poussoir.

Il ordonna ensuite aux quatre sœurs de prendre une douche. Jeannette lui demanda ce qui allait leur arriver maintenant et Devon lui expliqua qu'il n'allait plus tarder à les mettre au turf.

Une fois les quatre sœurs douchées, Devon leur distribua les vêtements qu'il sortit de la mallette.Elles portèrent bientôt toutes les quatre des jupes de laine de 3 tailles inférieures aux leurs, et des bustiers moulant. Ils contenaient à peine les nibards de Jeannette et Jennifer alors que la taille des petits nichons de Lisa et Heather se voyait accentuée.

Devon leur intima de se maquiller lourdement et e se teindre les lèvres avec un rouge aussi provoquant que vulgaire. Jeannette jeta un œil sur ses trois sœurs et se rendit compte que toutes trois elles avaient l'air de putes bon marché.

Devon leur expliqua qu'elles allaient retourner au club, mais cette fois si un homme voulait danser avec elles ou leur demandait quoi que ce soit, elles se soumettraient totalement à leurs désirs.

- Après la façon dont vous les avez allumés la nuit dernière, vous allez vraiment être très populaires mes chéries! Rigola doucement Devon.

Lisa redoublant de sanglots refusa de leur obéir. Elle dit aux autres qu'elle se foutait pas mal de ce qui allait s'ensuivre mais qu'elle ne se soumettrait pas à leurs ordres. Jeannette essaya de la convaincre que c'était la seule façon acceptable d'opérer mais elle courut s'enfermer dans la salle de bain refusant d'en sortir.

Devon murmura à l'oreille quelque chose à l'oreille de Jeannette qui secoua la tête en signe de refus mais elle prit un sachet de poudre blanche qu'elle dilua dans un verre d'eau. Elle informa alors Lisa, au travers de la porte qu'elle n'avait pas à les suivre à condition qu'elle reste dans la chambre et taise leur mésaventure. Lisa, sanglotante, sortit de la selle de bain enroulée dans une robe de bain alors que sa mini jupe et le top qui devaient constituer sa tenue jonchaient au sol.

Elle lui tendit le verre d'eau qu'elle avait en main et la regarda boire, puis les trois autres abandonnèrent Lisa à son sort et gagnèrent le bar en compagnie de Devon et Jimmy. Devon avait entièrement raison, à la vue des tenues des trois salopes de sœurs, les hommes se rassemblèrent comme des abeilles sur un morceau de sucre. Elles dansèrent et flirtèrent avec leurs partenaires comme il leur était ordonné.

Une heure plus tard, Devon et Jimmy invitèrent les troid sœurs et douzaine de candidats à les accompagner dans les suites de ces dames. 

Jeannette avait les larmes aux yeux en réalisant qu'elle allait se faire baiser par des inconnus, Jennifer réagissait de même. Heather jouait parfaitement le rôle de pute qu'ils lui faisaient endosser, elle se frottait contre ses futurs clients leur faisant admirer ses nichons. Jeannette et Jennifer étaient écœurées lorsqu'elles entrèrent dans la chambre, elles y trouvèrent Lisa gisant inconsciente en travers du lit, assommée par la drogue ingurgitée. Jeannette et Jennifer se serraient l'une contre l'autre regardant Jimmy et Devon collecter l'argent de leurs clients tout en installant leur matériel vidéo. Elles durent se foutre à poil puis déshabiller l'inconsciente Lisa.

Lorsqu'elles furent toutes quatre entièrement nues, leurs douze clients brûlaient d'envie de se les faire rapidement. Une fulgurante douleur anale réveilla brusquement Lisa, elle réalisa tout de suite qu'un corps lourd pesait sur le sien. Elle chercha à se débattre, mais ses chevilles étaient liées au pied de lit ce qui projetait sa croupe en l'air. Lisa marmotta une protestation que personne ne put entendre au travers de son bâillon. Elle respirait l'odeur de l'homme qui la chevauchait ainsi que celle de son propre sexe ainsi que la douleur qui brûlait son arrière train alors qu'il coulissait dans son anus à grands renforts de coups de boutoirs. Elle voulut éclaircir son esprit et, dans ce but jeta un œil autour d'elle.

Dans le lit, juste à coté du sien, Heather était assise sur un homme qui l'empalait par le trou du cul, deux hommes lui avaient déjà labouré la chatte. Lisa vit un quatrième homme qui enfouissait sa grosse pine dans la bouche d'Heather, elle le suçait énergiquement jusqu'au moment ou il projeta de longs jets de foutre sur son visage. Lisa n'en croyait pas ses oreilles lorsqu'elle entendit sa sœur Heather suppliant qu'on lui donne une autre bite à sucer.

Puis les gémissements de Jeannette, qui se trouvait dans la pire des situations, retinrent son attention. Lisa grognait maintenant à chaque enfouissement dans son trou du cul tout en regardant Jeannette. Elle était ligotée sur une chaise, son cul débordant entre les bras du fauteuil. Visiblement un homme l'enculait avec enthousiasme et Jeannette couinait mais Lisa ne voyait pas son visage. L'homme jouit rapidement dans ses entrailles et extirpas sa grosse bite de ses boyaux et Lisa vit les pinces à papiers refermées sur la partie grasse de ses fesses reliant ses jambes au siège. Les pinces maintenaient grand ouvert le trou du cul de Jeannette exposant les muqueuses rosâtres de la face interne de son anus. Lisa voyait clairement un flot de foutre s'écouler de son anus pour goutter sur le sol. Lisa leva les yeux sur l'homme qui l'enculait vigoureusement, ce dernier commenta à l'adresse de des autres clients :

- Cette salope s'est enfin réveillée ! 

Et il lui intima :

-Bouge ton cul petite pute !

Lisa essayait de ne pas tenir compte de ce qui lui arrivait lorsqu'elle entendit :

- Whack... Whack... 

Ces sons provenaient de l'autre coté de la chambre où Jennifer suppliait :

-Je vous en prie... Arrêtez... Arrêtez... Je n'en peux plus !

Lisa tourna la tête en direction des cris et des bruits de chair battue et vit Jennifer liée sur un bureau, les bras étirés et liés aux pieds avants du bureau alors que ses chevilles étaient rivées aux pieds arrières. Lisa voyait clairement les bandes rouges qui balafraient la chair blanche de son cul. Un homme, une large ceinture en main, l'exhortait à réclamer qu'il l'encule.

- Dis-le! Hurla son client en lui fouettant les fesses de trois coups de ceinture successifs.

Lisa ne pouvait pas voir le visage de Jennifer mais l'entendit hurler qu'elle dirait tout ce qu'il voudrait. Lisa s'appliquait pour entendre les suppliques de Jennifer.

- S'il vous plait enculez-moi! Marmotta misérablement Jennifer.

- C'est pas assez convaincant! Rit l'homme qui lui colla quatre nouveaux coups de ceinture.

- S'il vous plait, j'ai une chatte velue que personne ne veut prendre... Je veux que vous m'enculiez... Ma chatte est bien trop velue... Je vous en prie cassez-moi le trou du cul ! Je vous en prie ! Répétait inlassablement Jennifer.

- C'est mieux comme ça! Reprit son consommateur et Lisa ne vit plus que son arrière train couvert par l'homme qui l'enculait frénétiquement.

Elle revint brusquement à sa propre situation en sentant son enculeur extirper sa bite de son trou du cul endolori. De douloureuses crampes lui cisaillaient les jambes mais son bâillon étouffait ses plaintes pour venir l'aider. Le sursis de Lisa fut de courte durée, déjà un autre client l'enfourchait et plongeait sa grosse mentule dans son trou du cul bien rodé. Lisa perdit à nouveau conscience.

Jeannette se réveilla la première allongée sur le sol couverte de sperme. Elle se releva lentement et inspecta la chambre. Jennifer était toujours ligotée sur le bureau, son cul portait des balafres écarlates, ultimes traces des coups de ceinture. Lisa était toujours rivée au pied du lit et Heather était endormie nue sur la tête du lit. Les quatre sœurs étaient couvertes d'un mélange de foutre, de sueur et de sang.

Jeannette regarda ses fesses et y trouva les traces des dents que lui avaient infligées les pinces à papier qui la rivaient au fauteuil. Elle réveilla Heather et à deux elles libérèrent Jennifer et Lisa de leurs liens. C'était dimanche et elles avaient toutes quatre en tête de rentrer le plus rapidement possible chez elle.

Après avoir pris une longue douche Jeannette était en train de faire leurs valises lorsqu'elle trouva un mot de Devon et un petit emballage. Il intimait aux quatre sœurs de revenir quatre semaines plus tard et de le demander au bureau du casino afin qu'elles terminent de rembourser leurs dettes. Il leur enjoignait par ailleurs, à toutes les quatre de se raser la chatte :

- Vos clients n'aiment pas les chattes velues ! Avait ajouté ironiquement Devon.

Le message comportait des photos de leur nuit de dépravation sexuelle, elles étaient bien claires et on les reconnaissait parfaitement.

Jeannette montra le message et les photos à ses sœurs avant de prendre le départ. Elle ne se parlèrent pas beaucoup sur le chemin du retour, elles étaient toutes quatre satisfaites d'avoir survécu à cette éprouvante mésaventure.

Le trou du cul de Jeannette la faisait énormément souffrir mais comme les autres elle était si soulagée de s'en être tirée vivante. Jennifer avait beaucoup de mal à rester assise alors que les grandes lèvres de la foufoune d'Heather étaient si enflées qu'elle ne supportait pas le port d'une culotte. Lisa sanglotait continuellement évoquant la possibilité de s'être fait engrosser.

Jeannette leur fit promettre à toutes de ne jamais révéler à personne ce qui leur était arrivé et d'y retourner dans quatre semaines pour apurer leur dette.

-Je n'y retournerai pas, il n'en est pas question ! Criait Lisa en se remettant à pleurer de plus belle.

Jeannette hocha la tête et s'assura que l'enveloppe que leur avait remit Devon se trouvait toujours dans sa poche, il savait que Lisa représenterait un problème aussi avait-il donné à jeannette le reste du flacon de drogue qu'il avait employé pour la subjuguer.

Jeannette repensait qu'elle avait failli se retrouver enceinte de la faute de Lisa lorsqu'elle avait refusé d'accueillir Devon en bouche. Sa fureur n'était pas retombée et elle tapota le flacon dans sa poche en se félicitant :

- Nous verrons bien ma chère Lisa...

A suivre...

samedi 23 juillet 2022

Blanche Blacks Beurs Ch.01

 Texte de Guy.

 *****

J’avais envie depuis quelques temps que mon épouse, Anne, fasse l’amour avec plusieurs noirs bien montés.

Une fois déjà je lui avais fait tenter l’expérience, qui s’était révélée désastreuse, car l’individu n’avait pas été hardi et pas du tout "surdimensionné". Elle n’avait accepté que difficilement ce contact, bien qu’au bout d’un moment, elle se soit lancée dans l’action.

Cette fois j’étais bien décidé à lui faire retenter l’expérience, mais avec des types qui n’auraient pas froid aux yeux, et bien dimensionnés ! Je tirai au Polaroïd des photos de ma femme nue, dans des poses hard, de manière à pouvoir la "présenter". Elle avait accepté cette séance se doutant bien de ce que j’allais faire.

Lors d’un passage à Toulouse, dans l’hôtel où j’étais descendu, je rencontrai en discutant avec le réceptionniste qui est arabe, un noir, Moussa, qui semblait être son ami. Nous avons bavardé tous les trois, la conversation venant naturellement sur les femmes, j’ai lancé :

- Tiens, justement j’ai une amie à qui je voudrais bien faire rencontrer des blacks, pour une soirée chaude ! 

Je leur montre les photos, ils jugent sur pièce. Ils trouvent ma femme à leur goût, ne manquant pas de faire au passage quelques commentaires grivois sur ce qu’ils comptaient lui faire subir. Je leur proposai donc cette amie pour la "dresser" un soir, ils pourraient la prendre dans ma chambre, je ne viendrais que 2 à 3h après. Ils pouvaient lui faire subir tout ce qu’ils voulaient, sauf du SM, ou de la violence. S’ils avaient des copains bien montés, qu’ils viennent avec eux.

- Trois types ne lui feraient pas peur, elle est profonde, disponible dans tous ses trous, docile et elle aime la baise !

Ils acceptent mon offre.

Le soir je téléphone à ma femme lui, disant que des amis à moi désirent la rencontrer. Elle comprend ce que je veux dire, et accepte de venir à Toulouse. Je lui explique qu’elle sera prise en charge à la réception de l’hôtel par un type et qu’il faudra qu’elle soit docile et fasse ce qu’il lui demande, je ne serai pas là, elle n’est pas très contente de cette absence, mais elle dit que oui, elle accepte.

Après avoir renseigné mes amis sur l’heure d’arrivée et des dispositions prises avec Anne, je leur laisse le champ libre. Moussa me dit qu’il fera venir si possible un Sénégalais bien monté et que de toute façon, ils seront au minimum 2, car il a un frère qui vient d’arriver d’Afrique, qui n’a jamais baisé de blanche. Ton amie pourra le "dépuceler". Je suis satisfait de l’aubaine.

Quelques minutes avant l’arrivée de ma femme, je sors de la chambre, et sans la refermer, je porte la clef au tableau et revient me cacher dans l’armoire KZ, laissant une ouverture de 3cm qui me permet de voir la pièce et surtout le lit.

Après une attente d’un quart d’heure, j’entends un bruit de pas et de talons aiguilles dans le couloir ainsi que des murmures de voix. La porte s’ouvre, la lumière se fait, ma femme apparaît sur le seuil, suivie par deux noirs, mon copain et sans doute son frère. Elle porte une jupe et un chemisier d’été, assortis, en mousse de soie, le tout boutonné sur le devant.

Elle pose son sac et reste immobile au milieu de la pièce, un peu provocatrice. Ne sachant quelle attitude adopter devant les deux hommes, soit une désinvolture affranchie et coopérative ou bien demeurer passive comme une esclave dont on peut se servir à son gré ?

Mon copain rigole et lui dit qu’ils ont déjà vu les photos, et que maintenant ils veulent profiter du modèle. Mais avant il lui dit que si elle n’obéit pas, si elle n’est pas docile, elle risque de voir arriver d’autres copains à eux, moins sociables, et avides de blanches car toujours sur des chantiers.

Anne hoche la tête et murmure un oui.

Son frère a les yeux qui lui sortent de la tête en regardant ma femme qui est fort appétissante, déjà une bosse imposante se dessine sur le jean. Mon copain annonce à Anne qu’elle commencera avec Saïd qui n’a jamais baisé de blanche.

- Il faut que tu sois gentille avec lui !

Le jeune est nerveux, pressé de posséder cette blanche magnifique, avec des seins imposants sous le chemisier tendu, il s’approche et commence à la peloter à travers le tissu. Il se décide enfin à lui parler, il lui demande si elle aime les "grosses", si elle n’a pas peur ?

Elle dit que non. Il en profite pour d’une main lui malaxer les seins, et de l’autre faufiler ses doigts vers les cuisses de ma femme et lui tâter le sexe.

- Alors pas peur ? Insiste- t- il, un doigt dans la fente chaude et gluante, que j’entends clapoter d’où je suis.

Elle hoche la tête, moins sûre d’elle. Ce qui fait rire les deux blacks.

- Allez déshabille-toi !

Confuse et craintive, Anne entreprend d’ôter son corsage, sa jupe. Elle défait les boutons lentement ce qui exaspère ou excite un peu plus les deux hommes. Elle apparaît en soutien-gorge et slip brésilien en dentelle, bleue marine.

J’aime bien ces sous-vêtements qui mettent en valeur sa cambrure et ses fesses. Ce qui ne laisse d’ailleurs pas insensibles les deux noirs.

- Allez, fais vite, à poil ! Lui intime Saïd.

Elle dégrafe le soutien-gorge qu’elle fait tomber avec un mouvement d’épaules, libérant sa généreuse poitrine, du 95 C, puis lentement, fait rouler et glisser son slip sur ses hanches, lève les jambes doucement pour se débarrasser du frêle tissu, consciente du trouble qu’elle procure chez les deux hommes, durant ce strip-tease improvisé.

Quand elle est complètement nue, elle reste immobile au milieu de la pièce, sans trop savoir que faire, dissimulant ses beaux seins sous ses bras croisés, un peu honteuse de son impudicité, livrée aux regards salaces des 2 Blacks. Mais heureuse d’avoir pu se mettre en valeur devant eux, et d’être désirée.

Lorsqu’elle tourne la tête vers Saïd, elle comprend pourquoi il lui avait posé cette question malséante tout à l’heure : son membre érigé a des dimensions inusitées habituellement. C’était certainement une des plus grosse pine qu’elle n’ait jamais vu : toute noire mate, dressée, combative, avec un gland turgescent en guise de tête chercheuse. De quoi angoisser une femme ! Saïd s’approche d’elle.

- Prends la dans ta main! ordonne -t-il, tout en lui caressant les fesses.

Non sans quelques appréhensions, Anne obéit. La main enveloppe la hampe érigée, dure comme du marbre de son vis à vis. Troublée par le contact de cette dure virilité, elle ne peut s’empêcher de la serrer d’avantage, sentant au creux de sa main battre l’intensité bestiale du désir de l’homme. Saïd ne bouge pas, épiant sur le visage de ma femme l’effet que lui produit cet attouchement

Le regard d’Anne devient flou, elle respire plus vite, mais ne lâche pas prise.

Saïd lui saisit tout à coup la tête à deux mains, et lui applique sur la bouche un baiser goulu, et glisse entre les lèvres ourlées de ma femme une grosse langue rose, qu’il pousse loin dans la gorge d’Anne. Sorte d’allusion au moment où il lui fourrerait sa bite enflammée au fond du con.

Il la relâche au bout d’un moment, Anne a un sursaut, et en dépit de sa promesse d’allégeance, elle ne veut plus se laisser pénétrer par cette brute obscène. Elle a beau chuchoter "non" et tenter de se dérober, Saïd la pousse vers le lit, où elle tombe en pleurnichant, recroquevillée sur elle-même, morte de peur, et montrant son cul adorable aux 2 noirs. Saïd ne sait plus quoi faire. Mon copain vient à la rescousse et lui dit : 

- C’est toujours comme ça avec les femmes de couples, elles ont souvent la trouille, moi ça me fait bander, (ce qui était vrai, maintenant qu’il était lui aussi à poil). C’est la première fois qu’elle baise seule avec un inconnu ? nègre de surcroît ! Tu vas voir, elle va trembler et fermer les yeux quand tu vas l’introduire, elle fait çà pour faire plaisir à son mari ou son jules, alors n’hésite pas, bourre la à fond et fait la jouir et gueuler. Son copain est d’accord ! 

Ma femme s’est calmée en entendant Moussa. Elle finit par se retourner sur le dos et relever les genoux, écartant ses cuisses qui dévoilent son trésor aux deux hommes en rut. Mon copain en profite pour la caresser et introduire ses doigts dans la chatte et le cul offerts de ma femme. Il lui suce le clitoris un moment, Anne laisse échapper quelques râles, signe qu’elle est calmée et réceptive.

Il s’écarte et laisse la place à Saïd qui n’en peut plus d’attendre. Celui-ci avance enfin son sexe du vagin offert de ma femme, et commence à caresser son gland sur le clitoris déjà excité, s’amusant des réactions de cette blanche livrée à sa lubricité. Il lui dit :

- Ouvre les yeux et regarde bien ce que je vais te foutre !

Mon copain releva la tête d’Anne pour qu’elle puisse voir la domination masculine.

Saïd s’introduit d’abord lentement pour apprécier le plus longtemps possible cette prise de possession d’une blanche, lorsqu’il se sent à l’aise, qu’Anne lubrifie bien, il finit de la pénétrer d’un magistral coup de reins qui arrache un petit cri à ma femme. Elle a les yeux agrandis, se mord les lèvres. Saïd l’a empoignée par les seins, il les pétrit gaillardement, pinçe leurs mamelons, au point de lui faire du mal.

Il reste logé en elle, massif, insolent, guettant les réflexes de la femme clouée sous lui. Les mains avides des deux hommes parcourent le corps et la chair soyeuse de ma femme, se rejoignent sur son ventre, caressent l’intérieur des cuisses, remontent sa toison pour chatouiller les lèvres du sexe écartelé. Anne est embrochée à fond, elle a reçu cette énorme bite sans se rebeller.

Saïd s’accroche fermement à ses hanches, je vois ma femme creuser ses reins pour s’offrir au maximum. Elle rentre dans le jeu. Une série de chocs sourds révèlent avec qu’elle ardeur il la possède, l’ébranlant tout entière à chaque poussée. Soumise à ce rut effréné, elle ne peut bientôt plus contenir ses réactions.

Ses ongles griffent la literie, elle ponctue d’une plainte offensée chacune des intrusions de ce phallus impétueux qui excite en passant son clitoris dilaté et turgescent. Le sexe d’Anne est distendu, il mouille, laissant des traces blanchâtres sur l’énorme piston noir qui s’agite en elle.

- Ouiiiiii ! A fond, prends-moi à fond. Ouiiii ! Encore, j’aime. Comme ça, ouiii, cogne.

Quelque soit la honte de cet accouplement qui lui a été imposé, il la fait jouir avec une intensité affolante au point que perdant toute retenue, elle tend sa croupe pour l’offrir mieux encore à son suborneur noir, dont les couilles d’un noir velouté, claquent sur le cul blanc de mon épouse.

- J’aime comme çà, encore, fort ! 

- Et là, tu aimes chienne de blanche ?

- Ouiii, vas y rentre à fond, crache ton jus !  Va à fond, tape, encore, ouiiii, (elle est déchaînée).

Celui-ci entend bien besogner ma femme à fond et au maximum. Il se ménage des temps d’arrêt, maîtrise ses sens, puis se déchaîne à nouveau, arrachant des cris plus aigus à sa victime, dans un bruit de clapotis du sexe de mon épouse qui marque ainsi sa satisfaction d’être malmenée.

Finalement, incapable de se retenir plus longtemps, il enfouit profondément en elle son membre insatiable et l’inonde à jets répétés, de toute la force de son désir. Ce qui porte au paroxysme les éclats de voix éperdus de ma femme qu’il a soumise, divinement torturée par cet abondant outrage. Lorsque quelques instants après, Saïd se retire d’elle, elle n’a pas le temps de se redresser.

En effet, sensibilisée à l’extrême par ce premier coït, elle frémit de la nuque aux pieds, quand saisi à bras le corps, elle se sent envahie derechef par un pieu brûlant, celui de Moussa.

- Salope ! A moi de t’enfoncer maintenant ! ricane t-il, enchanté de la découvrir aussi béante et ruisselante.

Il ne s’en prive pas, sans doute excité par ce qu’il vient de voir avec son frère, donnant libre cours à l’exaspération de son désir contenu depuis un bon moment.

Soit qu’elle éprouve de réelles sensations fantastiques, soit qu’elle a peur de ne pas être assez docile avec celui-ci, Anne sombre dans un plaisir qui confine à l’hystérie. Elle si prude d’habitude, elle crie carrément son contentement. Ses jambes accrochées aux reins de Moussa.

Serait-elle pareille si elle me savait là ? 

Cette étreinte tumultueuse s’achève dans un transport convulsif qui secoue les deux partenaires. Après quelques minutes de calme, le noir se dégage de ma femme, celle -ci s’empresse d’essuyer avec une serviette les liqueurs des deux blacks qui ont coulé sur ses cuisses, mouillant les petits poils de sa vulve, jusque dans la raie culière.

Les 2 blacks s’approchent d’elle et lui disent  :

- Tu es une bonne pute, bonne baiseuse, on aime être en toi. Pour te le prouver on va te prendre à 2 maintenant.

A suivre...