mercredi 27 juillet 2022

Train de nuit - Ch. 04

Texte de XMaster, nouvel auteur sur mon blog. Vous pouvez trouver un lien vers ses "captions" sur le site Imagefap dans ma liste de liens.

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Sophie se soumet aux ordres du contrôleur

Le contrôleur se régale du spectacle offert. Il pense que cette petite est vraiment très cochonne et ça lui plaît beaucoup. En fait, comme presque tous les hommes, il adore les cochonnes.

- T'es vraiment une grosse salope, toi ! Incroyable ! 

La belle arrête un instant sa branlette pour dire :

- Mais c'est vous qui...

- T'occupe…  Branle-toi espèce de garce… Je vais te dresser tu vas voir ! 

Excitée, mais aussi apeurée, elle reprend son manège avec son doigt. On peut voir sa main s'activer pour pousser le majeur toujours plus loin dans les intestins.

- Vas-y morue, prépare-toi bien ton joli petit cul ! 

Maintenant, Sophie ne répond plus, elle a compris que tout ce qu'elle pourrait dire ne ferait qu'envenimer les choses, aussi se contente-t-elle de suivre à la lettre les instructions qui lui sont données. Puis, d'un coup, le pervers contrôleur ordonne :

- Assez maintenant, remets-toi debout tout de suite ! 

Là encore, la jeune fille exécute immédiatement la manœuvre demandée. Elle se rétablit et fait face à l'homme.

- Écarte tes jambes !

Elle pousse sa jambe droite de cinquante centimètres environ.

- Encore... 

Elle écarte encore sa jambe d'une bonne vingtaine de centimètres.

- Branle-toi le clito maintenant... 

Déjà très soumise, elle passe sa main doucement sur son ventre et vient entrouvrir ses grandes lèvres pour laisser passer son index sur le bouton d'amour.

- Ça te mène, le cul… Hein pétasse... ? 

Mais Sophie ne répond pas de peur d'avoir encore à faire à cette satanée ceinture qui lui a fait si mal tout à l'heure.

- Réponds, morue, quand je te cause ! T'aimes ça, te branler, n'est ce pas ?

- Oui Monsieur !

- Parfait, parfait… Branle-toi mieux encore ! 

Et elle active avec plus de vigueur son index. Elle se prend si bien au jeu qu'elle commence à fermer les yeux pour se laisser aller au plaisir. 

- Voilà… C'est bien salope ! 

La jeune fille commence maintenant à gémir doucement sous ses propres caresses.

- Bien… Je vais t'emmener et te mettre sur le trottoir, comme ça tu pourras en prendre plein le cul toute la journée et tu me rapporteras du pognon en plus !

- Mais ça ne va pas non ! Dit elle en rouvrant tout grand ses beaux yeux verts et en arrêtant de se masturber.

- Continue, connasse ! Lance alors François très mécontent qu'elle se soit arrêter dans ses caresses, mais amusé aussi de la peur qu'il suscite en elle à l'idée de la prostituer.

- Mais Monsieur...

- Je te dis de continuer ! 

Alors la pauvre fille recommence à passer son doigt sur son clitoris, mais cette fois, la peur au ventre, le plaisir ne vient plus.

- Tu vois bien, il n'y a vraiment que le cul qui t'intéresse dans la vie ! Tu n'es vraiment qu'une salope en chaleur, toujours prête à t'exhiber !

- Mais Monsieur...

- Il n'y a pas de mais qui tienne... Dis donc, je n'ai pas eu à te forcer beaucoup pour que tu te branles comme ça, devant un inconnu ! 

À ce moment, François plonge son regard froid et dur dans les yeux verts de la jeune fille qui ressent alors un profond malaise, puis il enchaîne :

- Alors, avoue-le… Que tu n'es qu'une pute !

- Mais... 

Là il reprend sa ceinture en main et fronce les sourcils si bien que Sophie se met à pleurer et finit par balbutier :

- Oui, vous avez raison, j'aime ça, le sexe...

- Je veux que tu dises que tu es une vraie pute, allez !

- Je suis une pute, Monsieur...

- Bien, voilà qui est mieux, je vais te contenter alors, espèce de truie ! 

Au bord de la crise de nerfs, la pauvre jeune fille redouble de larmes en baissant la tête. Le contrôleur apprécie la situation, mais il en veut plus, encore beaucoup plus, aussi continue-t-il en disant :

- Bien, tu reconnais donc que tu es une pute, parfait...

- Mais c'est vous qui m'obligez...

- Ferme-la ! Je ne t'oblige à rien du tout, tu es une chienne, tu voyages nue, tu n'hésites pas à me montrer tes seins quand je viens poinçonner ton billet, et tu trouves que je te force à quoi là ? Hum ?

- Mais...

- La ferme ! Mais ce n'est pas vrai ça, tu ne sais pas fermer ta grande gueule… Je disais donc que quand je soulève complètement le drap pour te voir entièrement nue, là encore tu ne fais pas de gros efforts pour te protéger, en fait, tu aimes exciter les mecs, et même cette attitude prouve que tu avais envie de te faire piner comme ça, là, sur la couchette !

- Mais voyons... 

À ce moment, c'est une claque que donne François en se levant brutalement de la couchette, puis il enchaîne :

- Tu ne l'ouvres que quand je t'interroge, c'est compris maintenant ?

- Oui Monsieur ! Dit la jeune fille en pleurant et en se frottant la joue.

- Quel est ton prénom ?

- Sophie, Monsieur.

- Parfait Sophie. Bon, reprenons alors, je suis sûr que tu aimes te faire prendre en levrette, je me trompe ?

- Non Monsieur...

- Non quoi, connasse ? tu aimes ou pas ?

- Oui Monsieur, j'aime cette position...

- Bien, là encore je vois que tu aimes être soumise et sous l'homme, prise comme une bête, que tu aimes être à la merci des mecs ! 

Et, comme il ne reçoit toujours pas de réponse après une bonne minute, il poursuit d'une voix incisive :

- Je me trompe, peut être ?

- Non Monsieur, vous avez raison.

- Alors maintenant, dis moi pourquoi tu pleures quand je te traite de salope, de truie en chaleur, de pute ? Ce ne sont même pas des injures pour toi, je ne décris que le fond de ta personnalité là, non ?

- Eh bien non !

- Non ! Eh bien, elle est bonne celle là ! Regarde-toi un peu... 

Sophie a les yeux rougis par les larmes mais elle ne pleure plus pour le moment. Elle relève la tête et fixe François d'un regard froid. Ce dernier se lève, fait lentement le tour de la fille nue, se replace juste devant elle, la dépassant de plus d'une tête et, en la toisant, continue plus durement encore :

- Attends... Tu prétends ne pas être une grosse cochonne ! Mais regarde-toi, bon sang, tu passes ton temps à poil, tu te laisses peloter par n'importe qui, tu restes nue devant moi sans chercher à te cacher. Je peux même toucher tes nichons sans que tu ne dises rien... 

Et sur ces derniers mots, il s'empare du sein droit de la jeune fille et le malaxe.

A suivre...

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