dimanche 29 novembre 2020

Cauchemar à la villa de campagne Ch. 08

 Histoire de Méfistho

Fin des vacances.

Suite à cette nuit d'une perversité sans nom, nous nous levons très tard. Les deux paysans et le serveur sont rentrés terminer de décuver. Ils ont emmené Jules avec eux ; Jules c'est l'âne qui a enculé tante Claudine.

Le métis et ma sœur ont baisé toute la nuit et sont restés dans la voiture. Tante Claudine s’est levée avec un mal de cul pas possible. Elle semble en souffrir même si, ayant appris à la connaître, je sais que c'est pas la honte d'avoir été enculée par un âne mais la douleur elle-même qui l'a fait souffrir. Peut-être même qu'elle ne s'en souvient même pas tant elle était ivre. En la voyant, on se demande ce qu'elle a pu faire. Souillée de toute part avec de la boue séchée suite à la séance d'arrosage, elle fait penser à une sauvage. Ses cheveux sont maculés de boue. Je m'étonne encore qu'elle n'ait pas plus mal au cul après Jules. Mais il est vrai que des bites dans le cul, elle en a eu pas mal. Après son mariage raté, elle n'a pas perdu son temps et malgré son manque d'attribut féminin, elle compensait par sa réputation de femme facile. Michèle, ma cousine a vomi toute la nuit tant elle a bu et baisée. Elle suivait les traces de sa mère en dépravation. Elles ont une certaine complicité marquée par une rivalité. En boite, Michèle attirait les mecs car plus jeune et mieux fournie. Mais tante Claudine se débrouillait pour mettre le grappin si possible sur les petits copains de sa fille. Des fois ça marchait, d'autre fois non.

Il ne manque que ma mère, Isabelle, et le gitan. Le métis me confirme qu'il l'a emmenée à Marseille. Il me dit aussi, sans sourcilier, qu'il l'a emmené voir quelques amis très spéciaux et qu'il est sûr à cent pour cent qu'ils vont lui faire faire la pute à la sortie des bars. Je suis dépité : ma mère qui va faire comme les putes alors qu'elle ne les aimait pas. Si elle avait su qu'elle-même un jour serait obligée de le faire. 

Nous rassemblons nos affaires et retournons à la maison de campagne. Le métis prend les choses en main. En arrivant, tous le monde se succède à la douche. Tante Claudine a droit au jet d'eau. Je prends Liza à part et lui demande de parler au métis, car mon père arrive demain en fin de journée. Ce serait horrible s'il voyait tout ça. Mais voilà qu'elle me regarde droit dans les yeux.

- Ils ont tout prévu ! maman sera de retour à temps et tout sera rangé !

- quoi ?

- Ils vont tout ranger. Ils ne veulent pas laisser des traces de quoi que ce soit et veulent faire croire que l'on était toutes consentantes ! c'est pour ça qu'ils ont mis les paysans et le vendeur dans le coup !

- Tu veux dire que ces salauds vont s'en tirer ?

- Oui ! et regarde tata Claudine et Michèle ! elles étaient d'accords à tout ça ! pour elles , ce n'était qu'une sauterie de plus ! Moi, j'ai joué le jeu avec le métis pour éviter d'être baisée par les autres !

- Et comment oser porter plainte, ce serait oser révéler que j'ai baisé avec ma sœur, ma mère, ma cousine et ma tante ! Ce serait honteux !

- Je sais. Par contre ce soir, ce sera dur pour nous ! mais le pire , ce sera maman à Marseille ! le gitan va lui faire faire la pute, tu te rends compte ?

- Tu es sûre qu'ils vont la prostituer ?

- Oui !

- Mais pourquoi elle ?

- C'est le gitan qui se venge des bourgeoises ! Il a été traumatisé dans son enfance par une famille qui exploitait ses parents !

- Je n'y crois pas ! je pense que c'est sa perversité qui l'a poussé ! il a pas d'excuse !

Je savais que dès lors, tout changerait dans ma famille à cause de cette maudite maison et de ces salauds. J'observais les gars s'afférer au rangement avec la collaboration de tante Claudine et Michèle. Ce sont elles qui auraient dû faire les putes et non ma mère. Elles semblent se ficher du sort d'Isabelle. Après ça , les rapports familiaux ne seront plus les même. Je me rendais compte qu'en plus, tous s'en tireraient.

Nous sommes obligés de participer au rangement Lysa et moi. Je regarde ma tante Claudine : Elle est restée nue comme si c'était normal. Le soleil commence à taper. Michèle et Lysa sont en maillot de bain. Les filles font leur bronzage et en particulier Tante Claudine qui a quand même mis des lunettes de soleil. Avec ses 55 kilos pour son 1M70, elle ressemblait à une crevette. Sa peau était devenue très foncée et elle était difficilement reconnaissable.

Michèle, n'avait juste que le bas en maillot. Ses seins menus et fermes étaient offerts aux rayons du soleil. Lysa tente de se préserver. Elle se savait protégée par le métis, mais on ne sait jamais.

En une heure et demie, tout était propre. Les dizaines de bouteilles d'alcool vides dans des sacs. Rapidement, les derniers gars commencent à boire le reste des stocks de bières et de whisky. Avec la chaleur et l'ivresse, leur besoin de sexe les reprennent. Michèle se retrouve prise en levrette sans qu'elle ait le temps de dire ouf.

Lysa s'est éclipsée. Tous sont focalisés sur ma cousine qui en prend plein les orifices d'un seul coup. Tante Claudine s'occupe des fellations car bien que moins attirante, elle connaît l'art de donner du plaisir. Michèle se retrouve à quatre pattes avec deux sexes dans la bouche. Entre temps, un gars s'est glissé en dessous elle. Il est passé entre ses jambes et lui à d'abord léché la chatte. Il est resté un bon moment à chercher et à lui exciter le clito. Elle mouille aussitôt la langue lui effleurant l'organe de jouissance. Ensuite, Il remonte vers les seins et lui mordille les tétons . La poitrine de Michèle n'est certes pas grosse, mais elle est ferme et arrondie, un peu comme celle de ma sœur Lysa. Ainsi, elle se retrouve pénétrée par les trois orifices en même temps car un autre voyou s'est mis derrière elle avec la ferme intention de s'occuper de son anus. Ils éjaculent presque en même temps et Michèle en reçoit tant qu'elle est obligée de recracher le surplus ne pouvant avaler. Je reste à mater ma cousine se faire baiser et j'en arrive à bander de cette situation. Je me rapproche du groupe en train de s'occuper d'elle. Ses gémissements en disent longs. 

Mes derniers scrupules à baiser ma cousine s'effondrent. Surtout lorsque je repense à son comportement : elle et tante Claudine. Je mets mon sexe gonflé à bloc dans sa bouche. Elle me regarde et me suce avec un air malsain et pervers. Elle en rajoute même en me mordillant le gland. Cette gâterie m'excite. La situation grotesque aussi. Je me mets complice avec nos kidnappeurs. Je me retiens de juter dans sa bouche. Mon sexe est alors saisi par tante Claudine. Elle l'englobe aussitôt. A son regard, je peux voir qu'elle me le suce avec envie. Elle me lèche les couilles et me branle avec tout son savoir faire de salope. Là, je suis trop excité pour résister. Je la plaque au sol et me met à la baiser, à baiser ma propre tante sur le gazon desséché. Même si je n'avais aucun attrait pour ma tante Claudine, l'excitation provoquée par Michèle et elle-même m'avait donné envie de baiser. Tante Claudine m'accueillait les cuisses grandes ouvertes. En observant son visage dévoré de plaisir, j'eus un réflexe malsain et pervers. Je me mis à l'insulter de tout les noms et elle semblait aimer ça.

- Tu es vraiment qu'une salope, une traîtresse, une pute.

Sur le coup, je me rends pas compte que je la soulève. Un bref instant, j'ai même eu l'impression que j'allais la casser tant elle était maigre. Son corps nu et bronzé accentue encore sa maigreur. Ma bite est enfoncée au plus profond d'elle et j'entends ses gémissements. J'observe ses seins minuscules aux tétons qui durcissent. Elle a la tête renversée et la bouche ouverte. C'est bizarre. Je me remets à l'insulter copieusement. Dire que cette femme, qui est ma tante, s'est faites enculée par un âne. Je me retire d'elle et la retourne sans ménagement. Elle est surprise. Je regarde alors son anus. Comment une bite aussi énorme a t'elle pu ne pas avoir laissé de trace. A moins que...Que ? Elle a dû se faire sodomiser par des objets bien plus gros. Je me mis à délirer alors et écarte ses deux fesses maigres. J'écarte son trou et là je lui enfourne mon sexe.

- C'est pas un âne, mais c'est la pine de ton neveu, salope !

Elle sort une sorte de râle. Mais comme un gémissement de soulagement, long. Sa peau devient alors toute humide. Elle se met à hurler de ...plaisir. Elle se met alors à dire des insanités pas possible en gémissant.

- Je veux que vous me bourriez tous, tous !

Alors excité par ses encouragements et par les autres autour qui me demandent d'y aller fort, je me mets à la limer. Le corps maigre et bronzé est secoué par mes violents coups de reins. Mon sexe est gonflé comme jamais, avide de jouissance. Je suis au fond d'elle pres à lui juter dans le cul. Après l'avoir bien limée, voilà que je jute en elle tout ce que j'ai en gémissant de plaisir. Elle aussi est heureuse d'être baisée et surtout enculée par son propre neveu, le fils de son frère.

Vidé, Je cède ma place aux autres. Excités par ma prestation et les encouragements de ma tante, Ils lui font passer un mauvais quart d'heure anal. Mais peu m'importe alors le sort de ma tante. Écœuré de sa perversité, de la mienne , je laisse les deux femmes à leur sort et me dirige vers la maison pour prendre une boisson. Voilà que j'entends des gémissements à nouveau : C'est ma sœur Lysa. Elle se fait baiser dans la cuisine par le métis. Elle est à poil sur la table de la cuisine tandis qu'il la prend en levrette. Ses cheveux sont décoiffés et j'ai l'impression qu'elle se comporte comme une vraie salope sous les coups de reins du métis. Ils ne me regardent pas et je fais comme si de rien était. C'est alors que Lysa se tourne vers moi et à son regard, je sus qu'elle prenait un plaisir immense à se faire baiser devant moi. Ça m'étonne d'elle, certes, mais au point d'être heureuse de se faire baiser devant son frère. Remarquez, dans l'état d’écœurement que je suis, je suis pres à tout. Le métis nous observe nous dévisager l'un et l'autre et il semble trouver la situation excitante. Je l'entends gémir en se lâchant en elle. Lysa se met à gémir à son tour. La vue de Lysa à poil et se faisant baiser comme ça me redonne de la vigueur. Le métis regarde ma gaule et me dit :

- Vas-y, baise ta sœur si tu veux ! profites en car après elle va rejoindre les autres !

- J'ai déjà baisé ma tante ! attends un peu !

- Tu la baiseras plus tard alors !

Et il emmène Lysa dehors pour la donner à ses amis. Elle croyait qu'en restant avec lui elle échapperait à ça mais non. Je réalise alors par les comportements de Tante Claudine, Michèle et Lysa, que ces salauds étaient parvenus à leur fin. Les femmes n'éprouvaient même plus d'inhibition à baiser avec n'importe qui. Ils avaient fait de ces bourgeoises de vraies salopes en chaleur mais peut-être l'étaient-elles déjà au fond d'elles même.

Je regarde par la fenêtre en entendant des rires. C'est tante Claudine entrain de « s'amuser » avec les chiens. Elle a vraiment de la vigueur, elle. Mais la venue de Lysa a dû attirer l'attention des autres et ils ont dûla laisser. Lysa est à son tour prise sur l'herbe avec Michèle sur le gazon. Un vrai baisodrome. Les deux jeunes filles se laissent prendre de toutes les façons possibles. Elles en rajoutent encore et encore en gémissant de plaisir : un plaisir malsain. Le comportement de Lysa m'effraie même tant elle semble avide de sexe. Ma cousine, ma tante et ma sœur sont baisées ainsi jusque tard dans la nuit.

Pendant que je dormais, je sentis une forme se glisser prés de moi : Lysa. Aucun mot ne fut échangé, mais nous passons à l'acte immédiatement. Elle était déjà nue, car elle avait passé de mec en mec. Elle s'empala direct sur mon sexe en érection. A moitié endormi, je me laissais dominer par elle. Elle sent le sexe de son propre frère en elle et se met à bouger. Je reprends mes esprits et je vois ce visage de salope au-dessus de moi, ses cheveux tombant, me regarder. Elle fait des petits sauts de reins pour stimuler mon sexe. Je me mets à peloter ses deux seins ronds et ferme. Elle sourit et balance sa tête en arrière en gémissant. Empalé au plus profond de ses entrailles, mon sexe ne peut très longtemps se retenir de répandre son foutre. Son piercing au nombril est vraiment excitant et j'aurais aimé le lui lécher si elle m'avait pas pris par surprise. Je me vide en elle, dans le corps de ma propre sœur. Et il y a quelques heures, j'ai baisé ma tante. Voilà au final ce que ces ignobles salauds ont fait de nous : des pervers, des assoiffés de sexe sans tabou. Aurais-je imaginé un seul jour baiser avec ma propre sœur ? Une fois vidé, elle s'affala sur moi, suante et visiblement satisfaite de s'être tapé son frère, dormit avec moi jusqu'au lendemain.

Après tout se passa vite. Le lendemain midi, les hommes s'en allèrent nous laissant seuls avec ce qui c'était passé durant ces derniers jours. Michèle et Lysa étaient en maillots quand les hommes partirent repus de baise. Tante Claudine était allongée sur l'herbe à prendre le soleil. A poil bien sur. Les femmes ne parlèrent même pas de ce qui s'est passé. L'idée d'appeler les flics n'était même pas envisageable de peur d'avouer ce que l'on avait fait.

Le silence était néanmoins long et pesant. Nous ne voulions pas revenir sur ce qui s'était passé pendant cette semaine. Puis je repense à ma mère : elle est toujours pas là. Ce fut vers 15 heures qu'une grosse BM la déposa. Ma mère en sortit et la voiture démarra en trombe. Elle était fringuée comme une pute et maintenant, plus rien ne laissait à douter qu'elle avait été prostituée la veille : Minijupe, talon haut et décolleté pas possible. Elle n'avait pas de soutien-gorge ni de slip. Sur ses seins et ses cuisses, quelques bleus qui en disaient hélas trop long. Elle alla se servir un verre de whisky puis brisa cet affreux silence.

- Voilà, ils sont partis ! Claude va arriver, il faut nous changer et mettre le reste au propre !

Nous fûmes surpris pas le sang froid d'Isabelle. Personne n'osait lui demander ce qui lui était arrivé et surtout, ce qu'elle avait enduré. 

- Maintenant, je dois aller faire une petite course et je reviens ! Si Claude revient, dites-lui que je suis allé acheter à manger !

- Maman, on peut venir avec toi si tu veux ?

- Non, mon chéri ! Je dois y aller seule !

Elle partit après avoir enfilé une robe décente. En fait, elle allait voir le serveur et les deux paysans pour les convaincre de rester silencieux. Le serveur fut d'accord et ne voulait pas d'ennui. Mais les deux paysans furent plus durs à convaincre et Isabelle dut acheter leur silence en leur offrant son corps. Ils lui firent les plus grosses saloperies qu'ils pouvaient, car ils savaient que c'étaient leur dernière sauterie avec cette bourge aux gros seins. Nue sur une botte de paille, elle fut prise par les deux ivrognes qui déjà avaient entamé la journée avec de l'alcool. C'était des brutes alcooliques et Isabelle en avait hâte de terminer avec cette corvée. Ils avaient malaxé sa poitrine de façon rude et lui avait fait mal. Ils la sodomisèrent mais heureusement, elle évita Jules.

Elle revint presque en même temps que mon père avec des victuailles(offertes par les paysans pour offrir à son mari et soi-disant pour se faire pardonner). Claude sembla ravi de tous nous voir mais s'étonna de nos visages fatigués. Il s'installa donc et fit comme un vacancier normal. Mais nous , nous savions ce qui avait eu lieu ici.

Le soir, il baisa avec ma mère. Nous entendîmes les bruits. Elle avait fait en sorte que cela se passe dans le noir pour éviter qu'il remarque les bleus. S'il savait que sa femme avait eu les orifices souillés par des dizaines et des dizaines de sexes. S'il savait que sa femme, la mère de ses enfants, avait été prostituée la veille et s'était offerte à deux vieux porcs pour qu'ils ne disent rien.

Tante Claudine et Michèle s'en allèrent deux jours plus tard. Nos rapports avec elles avaient changé à cause de leur comportement complice avec les kidnappeurs. Pour moi, ce serait pour toujours de belles salopes ces deux-là. Tous le monde a essayé de se comporter normalement. Ma mère dévia un peu en s'habillant court par réflexe sans doute .Mais elle fut gentiment rappelée à l'ordre par mon père. La fin des vacances arriva et Lysa rejoignit son ami. Elle lui cacha bien entendu ce qui s'était passé. Hélas, les lois de la nature ne purent empêcher de cacher son secret qu'elle transforma en adultère de vacance. Elle fut enceinte (elle le garda) et accoucha 9 mois plus tard d'un petit métis.

Entre-temps , elle avait rompu avec son ami. Lysa est maintenant maman célibataire et exemplaire. Ayant choisi d’élever seule son enfant, elle a arrêté ses études et travaille comme serveuse de bar. Elle a juste des copains occasionnels, car elle a gardé sa passion pour la baise.

De leur côté, Michèle et Tante Claudine continuent leurs sorties. Mais la aussi, Michèle attend un heureux évènement mais n'ayant rien avoir avec la maison de campagne. Il aura suffi d'une nuit sans capote et cela n'a pas loupé. A la naissance du petit garçon, Tante Claudine a changé et est devenue une grande mère parfaite. Michèle est bientôt prof d'anglais et s'est mariée (je plains quand même son mari qui risque d'avoir de sacrées cornes).

Pour mes parents, ce fut autre chose. A la pharmacie, les gens commencèrent à jaser. En effet, Ils ne comprenaient pas le changement d'attitude d'Isabelle. Elle qui était si prude d'habitude. En allant juger par moi-même je vis avec quelle audace elle s'habillait sous sa blouse et surtout avec quelle audace elle mettait ses gros seins en valeur et la clientèle devenait exclusivement masculine. Je savais que ça avait à voir avec la maison de campagne mais comment le dire a mon père ? Les disputes éclatèrent au sein du couple. Ma mère eut quelques aventures avec des clients peu scrupuleux bien qu'elle soit mariée.

Un an après, mes parents divorcèrent. Ma mère choisit de quitter le domicile conjugal et s'installa comme par hasard vers Marseille. J'allais lui rendre visite dans son nouvel appart de temps en temps, car je devais rester dans ma ville natale, avec mon père, pour la suite de mes études. Un soir nous parlâmes de cette semaine de folie. Je décidais alors de lui poser la question de cette fameuse dernière nuit. Elle ne me dit rien. Quelque temps après, Je découvris qu'elle se prostituait . De pharmacienne bourgeoise, ma mère était devenue une pute nymphomane.

Et pour la maison de campagne : elle a été vendue à un jeune couple avec leur deux enfants : Une famille modèle bien sûr. La femme, la trentaine, est plutôt pas mal . Elle est blonde et elle a de gros seins. J'en connais une qui va passer un sale quart d'heure l'été prochain.

FIN.


vendredi 27 novembre 2020

Bourgeoises hautaines rééduquées Ch. 04

Ecrit en collaboration avec Verdu.

Partie de Poker.

Didier

Il est 21 heures. Charlotte frappe à la porte. Je la fais entrer et lui dis de se mettre au milieu de la pièce. Je la regarde attentivement. Ressemble-t-elle à une femme sexy ou à une pute, je me le demande. 

— Soulève ta jupe ! Ordonné-je. 

Elle obéit. Je vois qu’elle a un string qui rentre bien dans ses fesses et qui devant moule bien sa chatte. Pour m’amuser, j’attrape la ficelle du string sur le bas de son dos et je tire brutalement. Elle a un cri de douleur. Je dis alors : 

— Qu’y a-t-il ? Le string te rentre trop dans les fesses. Tu peux l’enlever si tu veux. 

Elle hésite un peu et doit se dire qu’avec la jupe courte c’est vraiment trop osé, alors elle répond. 

— Non, Monsieur ! 

Je passe alors devant elle et je déboutonne deux boutons de son chemisier pour que l’on puisse bien voir son soutien-gorge qui retient sa grosse poitrine. 

— Voilà, c’est mieux, suis-moi ! 

Nous sortons de mon appartement, descendons au parking, et montons dans mon coupé de luxe. Je démarre et sors du garage souterrain. Je vois que Charlotte est perplexe, elle ne sait pas où je l’emmène. Je lui dis alors : 

— Il faut que je passe prendre quelqu’un ! 

Elle ne bronche pas. Je la vois regarder par la fenêtre pour voir où l’on va. Je sors dans la banlieue et prends des rues de plus en plus minables. Bientôt, devant un petit immeuble défraîchi, on aperçoit une silhouette féminine, une jupe extra courte, un décolleté honteux. Je suis sûr que Charlotte se demande si je ne vais pas ramasser une pute. Je m’arrête devant la femme qui veut monter devant. Elle ouvre la porte passager. Charlotte se tourne vers elle. Sur le visage des deux femmes s’affichent de l’effroi et de l’horreur. Elles se regardent et toutes les deux parlent en même temps : 

— Madame de Villaret, vous, que faites-vous ici ? 

— Mademoiselle Chalon, vous, que faites-vous ici ? 

La femme monte sur la banquette arrière. Je sens du remue-ménage dans ma voiture, les deux femmes essayant de se couvrir du mieux qu’elles peuvent. Je suis obligé d’intervenir : 

— Stop ! Expliquez-moi ! 

— Mademoiselle Justine Chalon est l’institutrice de Clotilde ma fille ! C’est honteux d’être habillé ainsi ! Me dit Charlotte. 

— Vous avez vu votre accoutrement Madame de Villaret ! répond du tac au tac Justine 

Je sens que l’ambiance va s’envenimer si je ne les calme pas. Alors je dis avec mon autorité naturelle : 

— Ça suffit ! Ce soir vous êtes mes deux chiennes et pas autre chose ! Je ne veux plus vous entendre. Compris ! 

— Oui Monsieur ! répondent-elles en cœur. 

Nous roulons pendant une vingtaine de minutes avant que je me gare devant un immeuble cossu des beaux quartiers. Nous descendons de la voiture et je sonne à la porte. Un homme assez gros et imposant vient ouvrir. Quand il me voit, il crie derrière lui : 

— C’est Didier avec le divertissement ! 

Il me prend dans ces bras et me fait une accolade qui manque me briser la colonne vertébrale. 

— Comment vas-tu, je suis content de te voir ! me dit-il. 

— Oh je sais que tu n’en veux qu’à mon argent ! Rigolé-je 

Je vois qu’il regarde derrière moi les deux femmes qui restent immobiles. 

— Allez, entrez ! On fera les présentations ensuite. 

Il nous conduit dans un grand salon. Au centre se trouve une table ronde avec des jetons et six chaises. Contre le mur sont disposées deux tables couvertes de petits fours et de bouteille. À l’opposé se trouve un grand canapé. Le sol est couvert d’un immense tapis marocain. Au mur sont accrochées çà et là différentes peintures. 

Dans la pièce se trouvent déjà quatre hommes qui sont au buffet en train de boire. Quand ils me voient, ils sourient et viennent me dire bonjour. Ils ne peuvent s’empêcher de regarder les deux femmes derrière moi. Justine semble sereine alors que Charlotte, elle, semble vraiment gênée. Elle n’arrête pas de tirer sur sa jupe. Pour régler les choses, je dis : 

— Bon je vais faire les présentations. Justine toi tu connais déjà ces messieurs. 

— Oui Monsieur ! 

— Mais Charlotte ne les connaît pas elle. Messieurs, voici Charlotte, bourgeoise coincée. Je tiens à vous avertir d’une chose. Ce soir elle n’est là que dans le cadre de son éducation, donc on ne la touche pas ! 

Je vois mes amis un peu dépités, mais ils savent que je ne parle pas pour rien dire, ils respecteront mes paroles. 

— Charlotte, voici mes amis d’enfance, des vrais amis. Le gros imposant c’est Pierre, banquier de son état. Le grand mince c’est Marc, ses restaurants font la meilleure cuisine que je connaisse. Le petit trapu c’est Éric, entrepreneur du bâtiment, la référence si on veut construire une tour de trente étages. Le barbu musclé c’est Philippe, propriétaire d’une écurie de course qui a gagné tous les grands prix. Et enfin le dernier, c’est celui qui a le moins réussi de nous, Alain, il est fonctionnaire, colonel de l’armée de terre au ministère. 

Je vois Alain faire la moue puis rire avec les autres de son statut de simple fonctionnaire. Charlotte écarquille les yeux, ne sachant trop que dire ou faire. Elle essaie de se cacher du mieux qu’elle peut derrière moi. 

C’est alors que Pierre s’avance vers Justine, lui met la main sur les fesses et l’emmène au buffet pour lui servir un verre. 

— Toujours le même tarif ? Je suis pressé de commencer ! dis-je. 

— Oui 10 000 ! L’enveloppe est dans le coin ! me répond Pierre du bout de la pièce en tripotant les fesses de l’institutrice. 

Je me déplace et vais ajouter mes 10 000 euros en espèces dans l’enveloppe qui en contient déjà 50 000. 

— Je vais vous plumer les gars ! dis-je. 

— Rêve toujours, c’est pour moi, l’état paye trop mal ! me répond Alain avec un grand sourire. 

Nous nous installons tous à la table de poker. Je dis à Charlotte de se mettre juste derrière moi et de ne pas bouger. Les autres la regardent obéir docilement. Elle est rouge pivoine, ce beau rouge que seules les rousses peuvent avoir. Pendant ce temps-là, Justine, habituée de nos soirées poker s’est glissé à genoux sous la table. 

— Bon les gars, comme d’habitude hein ! Gâterie pour celui qui gagne la main. Le premier qui perd et sort de la table va s’amuser ailleurs, dit Pierre. 

Il donne les cartes et la partie commence. C’est Marc qui gagne la première main. Tout de suite, il déboutonne sa braguette et sort son sexe. Immédiatement, Justine se place entre ses jambes et engouffre sa bite. Mon ami ne peut retenir un petit gémissement de bien-être. Toutefois, la partie continue et cette fois-ci c’est Alain qui gagne cette main. Le même scénario se produit, il sort sa bite et Justine vient le sucer. Je gagne la troisième main et je fais comme les autres, je sors mon sexe et Justine vient me sucer. Elle est vraiment devenue une experte. Je jette un coup d’œil par-dessus mon épaule et je vois Charlotte qui fixe Justine d’un air meurtrier. Elle qui n’a pas encore eu droit de pouvoir me sucer, elle voit l’institutrice de sa fille me faire une fellation experte. J’ai l’impression qu’elle est un peu jalouse. 

Peu importe, bientôt Justine s’éloigne de moi pour aller voir un des autres joueurs. , Marc est éliminé par manque de jetons. Nous décidons alors de faire une pause et de nous restaurer. Nous allons tous au buffet. Charlotte me suit comme un petit toutou. Pierre me dit alors : 

— Dis Didier, nous ne pouvons pas toucher à ta princesse, mais nous pouvons peut-être regarder. 

— Pourquoi pas ! dis-je. 

Je me tourne vers Charlotte et lui dis : 

— En position au milieu de la pièce ! 

Elle hésite, rouge de honte. Alors je me contente de froncer les sourcils. Lentement elle se déplace au milieu de la pièce, déboutonne son chemisier pour le laisser tomber à ses pieds. Le soutien-gorge et le string suivent peu après. Enfin Charlotte écarte les jambes et met les mains sur la tête. Elle regarde le plafond pour ne pas nous voir. Elle est vraiment rouge, l’humiliation et la honte doivent être à son comble. Mes amis tournent autour d’elle et se lancent des commentaires sur sa plastique. Je crois qu’elle doit prier pour pouvoir disparaître. 

Après avoir grignoté et bu, nous décidons de reprendre la partie. Je passe derrière Charlotte et je lui chuchote : 

— Rhabille-toi, tu as bien réagi ! 

Je la vois sourire légèrement avant qu’elle ne se jette sur ses vêtements. Peu après elle revient se placer derrière moi et la partie recommence à cinq. Pendant ce temps, Marc s’est assis sur le canapé et se fait sucer par Justine à genoux entre ses jambes. Les perdants ont la primeur sur l’institutrice. 

Bientôt c’est Philippe qui sort de la partie. Il ne perd pas de temps. Il avance vers le canapé en défaisant son pantalon, puis il soulève le derrière de Justine pour pouvoir l’embrocher facilement. L’institutrice pousse un gémissement. Philippe la besogne pendant qu’elle suce Marc. Charlotte derrière moi est horrifiée. L’institutrice de sa fille, si sévère d’habitude, se fait baiser comme une vulgaire pute. 

La partie de poker continuant, c’est Alain puis Éric qui sortent de la partie. Ils rejoignent le canapé et Justine doit s’occuper maintenant de quatre bites. Alors que nous jouons en tête à tête Pierre et moi, la pièce s’emplit de gémissements et de cris de plaisir. Justine tourne entre mes quatre amis qui lui baisent à tout de rôle sa bouche, sa chatte et son cul. 

Nous arrivons presque à la fin de la partie. Pierre regarde ses cartes et me dit : 

— Je te propose un truc Didier ! Tu as moins de jetons que moi et je vais faire tapis ! Si tu veux suivre, tu peux mettre ta copine pour compléter. Si je gagne, elle est à moi ! 

Je regarde ses jetons, il doit bien avoir pour 55 000 alors que moi il ne me reste que 5 000. je me tourne pour regarder Charlotte et savoir ce qu’elle en pense. Ses yeux me supplient de refuser alors que sa bouche esquisse un non. Je continue de la regarder et je dis : 

— OK Pierre, ça marche ! Si tu gagnes, elle est à toi ! Tourne tes cartes ! 

Charlotte est horrifiée, son visage se décompose et des larmes apparaissent au coin de ses yeux. Pierre tourne ses cartes. Je le savais, il bluffait et je suis sûr qu’il voulait faire peur à Charlotte. Je tourne les miennes et gagne ainsi la partie. Pierre me fait un clin d’œil et fait semblant d’être dépité. J’entends derrière moi, Charlotte souffler de soulagement. 

Mon ami va rejoindre les autres alors que je recule ma chaise et demande à Charlotte de s’asseoir sur mes genoux. Nous regardons mes amis s’amuser avec l’institutrice. 

Pierre s’est déshabillé. Il est vraiment gros. Il se fait sucer puis s’assoit sur le canapé. Il demande à Justine de venir s’empaler sur lui. Elle obéit. Pierre mordille ses mamelons pendant qu’elle bouge de haut en bas sur sa bite. Bientôt, Alain passe derrière elle et force sa queue dans son cul. Marc, Philippe et Éric se placent de chaque côté d’elle et lui font sucer leur bite à tour de rôle. 

L’orgie va bien durer une bonne demi-heure. La jeune institutrice va se faire prendre par tous les trous et dans toutes les positions. Mes amis vont jouir plusieurs fois et lui faire avaler des litres de foutre. Son cul, sa chatte et sa bouche sont constamment remplis. Les cris et gémissements emplissent la pièce. 

Pendant ce temps j’écarte les jambes de Charlotte toujours sur mes genoux et je glisse ma main sous le tissu fin du string. Comme je m’y attendais, elle mouille abondamment. Je la regarde et je vois qu’elle est fascinée par le spectacle qui se déroule devant elle. Je lui chuchote alors : 

— Tu as été une bonne chienne. Tu as droit à une récompense. Tu as la permission de jouir ! 

Je plante deux doigts dans son intimité et mon pouce sur son clitoris et je commence à doucement à la titiller. Il ne faut vraiment pas longtemps avant qu’un orgasme fasse trembler son corps et qu’elle ne s’écroule sur moi, ivre de plaisir. 

Alors que mes copains, épuisés, abandonnent l’institutrice un à un, Charlotte se remet lentement. Elle regarde Justine écroulée sur le canapé et complètement éreintée, du sperme sortant de son cul et sa chatte. Je dis à Charlotte de se lever et je vais boire un dernier verre avec mes amis pour laisser le temps aux deux femmes de se préparer à partir. 

Quelques minutes après, je prends congé de mes amis en les remerciant. Ils me sourient et me charrient un peu sur ma chance. Ils veulent prendre leur revanche le plus tôt possible. Je sors de chez mon ami, les deux femmes me suivant silencieusement. Justine a du mal à tenir sur ses jambes, elle est complètement épuisée. 

Je conduis jusqu’à chez elle pour la déposer ? Alors qu’elle va sortir de la voiture, je récupère l’enveloppe, contenant les mises que j’ai gagnées et je lui tends. Étonnée elle hésite, mais après quelques secondes elle la saisit et rentre chez elle. L’école va être dure demain matin. Je vois Charlotte me regarder bizarrement. Je redémarre alors et je lui explique : 

— Justine est une gentille fille. Elle n’a simplement pas de chance. Pour son premier poste, elle est affectée à cinq cents kilomètres de ses parents et son petit ami. Sa mère est malade et son père au chômage. Elle leur envoie un peu d’argent tous les mois. C’est normal que je l’aide un peu. Dis-je avec un sourire de carnassier. 

Charlotte ne dit rien et réfléchit tout au long du voyage. Aurais-je donné une leçon à cette bourgeoise hautaine ? Je rentre dans le parking, me gare et nous sortons du véhicule. Je dis à Charlotte : 

— Comme tu t’es bien tenue ce soir tu as droit à une autre récompense. Accroupis-toi ! 

Elle obéit. Je sors mon sexe et lui présente devant le visage. Elle n’hésite pas à ouvrir la bouche et commence à me sucer. Elle s’applique du mieux qu’elle peut, mais je vois bien qu’elle manque d’expérience. Je mets mes mains derrière sa tête et commence à forcer sa gorge. Elle a du mal à respirer. Je relâche la tension et je lui baise la bouche comme je le ferai d’une chatte. Quelques minutes plus tard, j’éjacule dans sa bouche puis je me retire. Elle me montre sa bouche pleine de mon foutre et elle déglutit avant de tirer la langue et de me montrer qu’elle a bien tout avalé. 

Nous rentrons respectivement dans nos appartements après cette soirée bien animée.

******

Charlotte

Monsieur Didier ouvre et je pénètre dans son entrée. Il me regarde de haut en bas en silence. Je comprends qu'il m'évalue. Il me demande de soulever ma jupe, je m'exécute. Il ne dit rien, mais il tire sur la ficelle du string. Cela me fait mal et je ne peux pas retenir un cri de douleur. 

— Qu’y a-t-il ? Le string te rentre trop dans les fesses. Tu peux l’enlever si tu veux. 

— Non-Monsieur ! dis-je. 

Vu la longueur de ma jupe, je ne peux décemment pas rester à poil dessous. Il vient devant moi et ouvre deux boutons du chemisier. Je pense que c'est un moindre mal même si le soutien-gorge est parfaitement visible. Je suis un peu surprise, mais il me demande aussitôt de le suivre et nous prenons sa voiture pour aller chercher quelqu'un. Au vu des quartiers que nous traversons, j'imagine qu'il a dû demander à une pute de nous accompagner. Qu’elle n'est pas ma surprise quand je découvre celle qui ouvre ma portière, n'ayant pas vu que la place passager est occupée, Mademoiselle Chalon, la maîtresse de Clothilde. Elle est vêtue encore plus vulgairement que moi. Que fait-elle là ? Monsieur Didier la connaît aussi ?

— Madame de Villaret, vous, que faites-vous ici ? 

— Mademoiselle Chalon, vous, que faites-vous ici ? 

Je tente de cacher autant que possible ma poitrine et je vois que Mademoiselle Chalon fait de même. Aussitôt, Monsieur Didier nous demande de nous expliquer, il devait ignorer que nous nous connaissons. Le ton monte vite entre elle et moi, mais Monsieur Didier nous rappelle à l'ordre et nous nous taisons pendant qu'il conduit.

Après une petite demi-heure, il s'arrête devant un immeuble cossu où nous entrons. Je découvre un homme bedonnant qui crie à la cantonade : 

— C’est Didier avec le divertissement ! 

Je suis un peu surprise de voir ces deux s'embrasser de cette manière, cela m'étonne de Monsieur Didier, mais je ne suis pas au bout de mes surprises. Comme Justine, je reste immobile, je me dis que si j'imite son comportement, je ne risque pas de faire d'erreur. Nous les suivons dans un grand salon où tout semble prêt pour une soirée poker entre hommes, entre amis même.

La décoration de la pièce est raffinée, le propriétaire des lieux n'est pas dans le besoin, cela se voit. J'aperçois aussi quatre autres hommes devant un buffet qui boivent du champagne dans des flûtes qui me semblent être en cristal. Ils nous fixent. Je baisse les yeux et tire le plus possible sur ma robe en me dandinant un peu.

La manière humiliante dont il me présente me fait rougir encore plus, mais je suis rassurée quand il dit que je suis intouchable. C'est vrai que j'avais un peu peur de servir de morceau de choix pour ces hommes qui même s'ils semblent fortunés n'en sont sûrement pas moins des hommes avec des envies à assouvir.

Il me présente alors ces hommes. Ce sont des amis d'enfance, j'ai du mal à retenir leurs prénoms, mais j'avais raison, ils ont tous des situations plus que confortables, sauf un qui est officier au Ministère des Armées.

L'un d'eux, Pierre, il me semble, s'approche de Justine et lui plaque la main sur les fesses pour la conduire au buffet. Je reste près de Monsieur Didier et je comprends alors qu'ils sont tous effectivement très fortunés. Même si je gagne bien ma vie, la somme mise en jeu est plus que mon salaire mensuel.

Ils s'installent autour de la table. Monsieur Didier me demande de rester immobile derrière lui, je vais faire pot de fleurs, toute la soirée. Je me sens frustrée, humiliée une fois de plus alors que je vois Justine passer sous la table. En fait, je suis peut-être mieux debout. Surtout quand j'entends la règle édictée par Pierre.

— Bon les gars, comme d’habitude hein ! Gâterie pour celui qui gagne la main. Le premier qui perd et sort de la table va s’amuser ailleurs, dit-il.

La partie commence, Marc l'emporte et je vois Justine filer entre ses cuisses. Et ainsi de suite, elle va sucer les gagnants. J'ignore s'ils éjaculent sa bouche, mais je peux entendre leurs gémissements de bien-être. C'est alors que Monsieur Didier gagne. Justine vient donc lui prodiguer une fellation qui le met dans un état de contentement absolu. Elle sait y faire cette garce. Pour le moment, je n'ai pu que le masturber avec mes doigts et les lécher ensuite.

Au bout d'un nombre de tours que je n'ai pas suivi, Marc est éliminé. Ils font alors une pause pour aller se restaurer, cela me fera du bien de bouger aussi, je commence à avoir mal aux pieds à rester immobile.

Soudain Pierre demande à Monsieur Didier, s'ils ne peuvent pas toucher, ils aimeraient voir. Je comprends vite qu'il s'agit de moi. En effet, il me demande de me mettre en position au milieu d'eux. Je suis rouge de honte, moi qui suis assez pudique, je vais devoir me mettre nue devant ces six hommes dont cinq que je ne connais pas et devant l'institutrice de ma fille. Comme je le fais devant Monsieur Didier, je commence à me dévêtir, mes vêtements forment un tas à côté de moi. Vu la chaleur que je ressens à mes joues, je dois être rouge écarlate quand je pose mes mains sur ma tête et que j'écarte mes cuisses.

Les hommes ne se gênent pour me reluquer sous toutes les coutures et pour faire des commentaires salaces et grivois sur mes fesses, ou plutôt mon cul, comme ils disent et mes seins. Là, ils parlent de mamelles de vache. J'aimerais pouvoir quitter cette pièce à toutes jambes. Ils mangent et boivent tandis que je reste immobile, plantée au milieu de la pièce. Enfin, Monsieur Didier m'autorise à me rhabiller.

Je me replace derrière lui et la partie continue, derrière moi je peux entendre les gémissements de Justine, besognée par les perdants, et les grognements de ceux-ci. Au bout de nombreux tours, ils ne restent plus que Monsieur Didier avec une toute petite pile de jetons face à Pierre qui semble être en veine ce soir.

— Je te propose un truc Didier ! Tu as moins de jetons que moi et je vais faire tapis ! Si tu veux suivre, tu peux mettre ta copine pour compléter. Si je gagne, elle est à moi ! 

À ces mots, je suis tétanisée. Monsieur Didier me regarde. Je l'implore du regard de refuser, va-t-il me comprendre, je lui dis non en silence. Et je l'entends accepter.

— OK Pierre, ça marche ! Si tu gagnes, elle est à toi ! Tourne tes cartes !

Une bouffée de chaleur m'envahit, ce n'est pas possible. Je retiens mes larmes. Mais quand les cartes sont révélées, je pousse un soupir de soulagement.

Monsieur Didier me demande alors de m'asseoir sur ses genoux. Je peux voir le groupe formé par les cinq hommes et Justine. Je suis bien contente de ne pas être à sa place. Pendant ce qui me semble être une éternité, je vois les hommes se succéder en elle, aussi bien sa chatte et sa bouche que son cul. Ils jouissent plusieurs fois, jamais je n'avais vu cela, chez François, c'est plutôt j'éjacule et je m'endors. Justine boit plusieurs giclées de sperme. Son vagin déborde de foutre, je réalise même que les hommes viennent se faire sucer alors qu'ils viennent de l'enculer. Comment imaginer cela quand on la voit si austère à l'entrée de l'école pour nous accueillir ? Je ne pourrais plus jamais la voir comme avant, et elle ne me verra plus comme la maman hautaine de Clothilde qui prend de haut cette jeune institutrice sans expérience, je l'avoue. Une question me taraude quand même, comment a-t-elle pu en arriver là ?

Pendant que je fixe ces corps comme un lapin hypnotisé par les phares d'une voiture, je sens la main de Monsieur Didier écarter mes cuisses et se glisser sous mon string. Il me dit alors quelque chose qui me fait plaisir, j'en aurais presque joui instantanément quand j'ai senti ses doigts entrer dans ma chatte trempée.

Il ne me faut pas longtemps pour jouir sous ses doigts.

Il me demande alors de me lever, je le vois se diriger vers ses amis qui en ont enfin fini avec Justine allongée inerte sur le canapé. Ils boivent un dernier verre et nous repartons.

Après avoir déposé Justine chez elle, je regarde Monsieur Didier, interloquée. Il vient de donner l'intégralité de ses gains soit 60 000 euros à la jeune institutrice, cela représente deux ans de salaire pour elle. Il a beau m'expliquer que ses parents connaissent de grandes difficultés financières, j'ai du mal à l'accepter. Je réalise que Justine n'est qu'une pute de luxe. Elle est en couple pourtant, mais je sais maintenant que cela ne trouble pas Monsieur Didier. Cela va-t-il m'arriver aussi ? Veut-il cela avec moi ?

Dans le parking de l'immeuble, il me regarde en souriant, et me dit :

— Comme tu t’es bien tenue ce soir tu as droit à une autre récompense. Accroupis-toi ! 

Sans hésiter, je prends la position et quand il sort son sexe de son pantalon devant mon visage, je sais ce que je dois faire.

Je commence à le sucer. Je n'ai pas le savoir-faire de Justine, mais je m'applique. Quand il appuie sur ma tête pour s'enfoncer davantage, je manque de vomir. Il me tient alors et il utilise ma bouche comme un sexe, c'est lui qui contrôle et non, moi. Il finit par jouir dans ma bouche et il se recule. Toujours accroupi, j'ouvre la bouche pour lui montrer son sperme, puis avale et lui remontre ma bouche vide.

Il semble satisfait et sans un mot, nous prenons l'ascenseur pour regagner nos appartements.

Quand j'arrive, Rachel est endormie sur le canapé. Je la laisse dormir, mais je dépose son enveloppe sur la table du salon, avec un petit mot pour lui demander si jeudi entre 19h00 et 20h00, elle peut venir garder Thomas et Clothilde. Et je me dirige vers mon lit pour me coucher. La nuit va être courte, il me reste à peine trois heures avant que mon réveil sonne.

A suivre... 


mercredi 25 novembre 2020

Pour Sauver Son Mari - Ch. 02

Fiction de Bedo traduite par Coulybaca.

Soumise aux gardiens.

En entrant dans la salle des visites, je vois plusieurs gardes assis aux tables, regardant une personne étendue sur le plancher.

En m'approchant, je vois que c'est Vicky, elle est nue et a les yeux fermés, ses jambes sont largement écartées, son visage est gluant de sperme, il en déborde aussi de sa chatte.

Je m'approche me tenant tranquille.

- A qui le tour? Demande le gros sergent.

Un vieillard fait un pas en avant en disant :

- Moi.

Tous les hommes se mettent à psalmodier :

- Gramps.... Gramps... Gramps ...

Gramps relève ma femme et la dispose à quatre pattes.

- Je n'ai pas vu un si beau cul depuis la mort de ma femme! Anderson tu apprécies le beau cul de ta femme?

A ces mots, Vicky ouvre les yeux et à quatre pattes comme une chienne elle jette un coup d'œil circulaire et rencontre mon regard éperdu.

Elle me regarde fixement sans dire un mot, et quand elle voit que je ne peux lui être d'aucun secours, elle laisse tomber sa tête et écarte les jambes plus largement pour que Gramps puisse plus facilement s'imposer entre ses fesses.

Il lui fouille la chatte du doigt en extirpant quelques gouttes de foutre déposées par son prédécesseur. Il en enduit son trou du cul, puis il plante son doigt profondément dans son œillet anal et lui fait faire des petits cercles jusqu'au moment où Vicky décrispe ses sphincters.

Lorsqu'elle est bien relaxée, il enlève son doigt et remet plusieurs couches de foutre, puis il plonge deux doigts dans son trou du cul.

Vicky crie de douleur, cherchant à échapper à cette intrusion infâme dans ses reins.

D'autres hommes s'approchent et la tiennent tandis que le vieillard enfonce ses deux doigts joints dans son fondement. Un spectateur la gifle pour la faire tenir tranquille et lui colle dans la bouche un chiffon sale abandonné sur une table.

- Eh bien mon jeune ami, regarde bien comment on prépare le cul d'une meuf. Tout d'abord on lui met un doigt, qu'on agite lentement le temps qu'elle se calme. Puis deux, et on la laisse se calmer à nouveau. Tu peux ensuite planter ta bite dans son petit trou. Suivant les hommes, deux ou trois doigts ont à peu près la même taille qu'un gland. Si tu peux lui mettre deux doigts, alors tu peux lui mettre la bite.

Il rit alors, heureux de sa plaisanterie. Le vieillard continue à amadouer sa pastille en commentant.

- Il faut alors s'assurer qu'elle ne peut plus bouger. J'avais l'habitude de coucher ma femme le ventre sur un oreiller avant de l'enculer. Elle n'aimait pas ça mais elle savait qui était le maître de maison. Si tu veux être le maître chez toi il faut enculer ta femme au moins une fois par mois. Quand l'as-tu enculée pour la dernière fois?

Je secoue la tête en haussant les épaules.

- Jamais... Je ne l'ai jamais sodomisée...

Le visage fendu par un large sourire, le vieillard réplique alors :

- Mets-toi derrière elle et encule-la maintenant. Tu dois prendre charge de ta maison. Viens, agenouille toi dans son dos et fais ce que je te dis. C'est ta femme, C'est à toi de lui casser le cul!

Comme j'hésite, le gros sergent intervient :

- Ou tu encules ta femme mon garçon, ou bien c'est Boone qui t'encule, à toi de choisir!

Vicky me regarde longuement et dit d'une voix sourde

- Vas-y mon chéri, je t'aime.

Je m'agenouille derrière ma ravissante femme et pose mon gland à l'orée de son anus. J'hésite à nouveau, le vieillard m'encourage alors :

- Vas-y mon gars, fore ton chemin dans son intestin!

Je presse alors lentement mon brugnon contre son œillet pendant qu'elle pleurniche à gros sanglots. Mon gland franchit son sphincter, je m'enfouis lentement dans ses reins. Une main posée sur mon épaule le vieillard me pousse dans le dos me forçant à empaler ma femme. Il me pousse jusqu'au moment où mes couilles frappent son anus distendu. Elle crispe ses sphincters m'étranglant littéralement la hampe.

- Calme-toi! Plus tu te raidis, plus tu auras mal. Lui conseille le vieillard la dévisageant de près.

Je la sens se décontracter et j'entame d'amples vas et viens dans son étroit petit anneau dompté. Elle accepte son enculade en s'efforçant de se décontracter, aussi continuai-je à l'enculer langoureusement.

Le vieillard me conseille alors :

- Tu dois lui faire comprendre qui commande. Tu dois la baiser rudement qu'elle sache que tu feras ce que tu veux d'elle et de son corps. Elle t'appartient. Si tu lui fais mal, ne t'inquiète pas, elle en guérira. Et maintenant casse lui le cul bordel de merde!

Sentant ses sphincters anaux s'assouplir, j'accélère mon allure. Ses nichons se balancent au rythme de mes coups de boutoir. Ils frappent son torse puis repartent dans la direction opposée lui fouettant les épaules. J'avais bien souvent assisté à ce spectacle dans le miroir en pied en face de notre lit lorsque je lui faisais l'amour. Cela m'avait toujours prodigieusement excité. Le vieillard avait dû voir des scènes du même ordre dans le passé, ça excitait tous les spectateurs.

Je la chevauche rudement quelques minutes, après quoi, je fuse dans son intestin palpitant alors que le vieillard me félicite :

- Bon boulot mon gars! Continue. N'arrête pas tout de suite.

Je m'efforce de m'enfouir totalement dans son anneau distendu.

- Arrête, je t'en prie. Tu me fais mal. Pleurniche-t-elle sourdement.

Le vieillard me conseille rapidement :

- Continue à la bourrer, c'est le meilleur moyen de la mater. Dorénavant tu te serviras de son trou du cul selon tes désirs.

Je continue à la molester en dépit de ses protestations. Je finis de me vider dans ses entrailles, puis je m'extirpe de ses flancs pantelants.

Le vieillard prend ma place et d'un seul élan enfourne sa bite dans son trou du cul palpitant. Il ne tarde pas à la chevaucher sauvagement. Tout le monde est surpris de le voir éjaculer cinq minutes plus tard. Tout le temps de son enculade Vicky pleure doucement. Finalement, il jaillit à son tour dans ses profondeurs, son foutre se mélangeant au mien.

L'assistance regarde silencieusement Vicky bouger ses jambes ankylosées. Avant qu'elle en termine le dernier garde s'agenouille dans son dos, descend son pantalon et son caleçon sur ses genoux et pénètre vivement sa foufoune.

Fascinés, ils regardent tous le sperme s'écouler de son trou du cul lui engluant la hampe. Alors qu'il la pénètre, il introduit du foutre provenant de son cul dans sa chatte déjà engorgée. Ses nibards dansent, épousant le rythme de ses coups de boutoir. Il avait vu la ravissante jeune femme faire des pipes, se faire encorner et enculer, cela l'avait tant excité qu'il jaillit immédiatement.

- Eh bien Sanderson que penses-tu de tout ça? Aimes-tu voir d'autres hommes sauter ta femme? Je suppose que non! De toute manière on s'en fout. Elle viendra nous satisfaire chaque semaine jusqu'à ta libération. Si l'on n'est pas satisfait de ses services, Boone aura une nouvelle fiotte à enculer. Toi bien sûr.

Le gros sergent ordonne aux gardes de reprendre le travail et s'assoit alors que j'aide ma femme à se relever. Elle fond en larmes dans mes bras :

- J'ai mal, si mal. Pleurniche-t-elle à mon oreille.

- Je t'aime ma chérie.

Elle commence à se rhabiller lorsque le gros sergent l'arrête.

- Jimmy, où es-tu? Demande-t-il dans le combiné téléphonique.

- J'arrive. Répond Jimmy.

- Sanderson, je vais te demander un service. Depuis des années on se partage les faveurs des épouses de prisonniers. Il s'est toujours fait les meufs que je venais de baiser, et réciproquement. Il sera bientôt là. Maintenant qu'on est d'accord, il te protégera.

Je vois alors entrer Jimmy et Boone. Je regarde le gros sergent et je dis :

- Pas lui. C'est lui qui en a après moi.

- Ça t'étonne n'est-ce pas? Eh bien maintenant il va te protéger. Aussi longtemps que ta femme nous obéira sagement. Que veux-tu Boone? L'interroge le gros sergent en souriant à pleines dents.

Le colosse noir s'approche de la femelle blonde et s'assoit à mes côtés. Se tournant vers moi il m'avise :

- Je veux baiser ta femme! Jimmy m'a dit qu'il t'avait cassé le cul. T'as aimé ça Sanderson? Je parie que oui! Dit-il n'escomptant pas de réponse.

- Eh bien c'est mon tour maintenant! Je vais la baiser avec la plus grosse queue qu'elle ne verra jamais. Elle ne pourra plus jamais se satisfaire de ta chétive petite saucisse.

Se relevant, il se débarrasse de son pantalon.

- Viens ici salope! Dit-il lui attrapant les tétons.

- Bordel, ta poitrine est magnifique, n'est-ce pas Sanderson? Ouais tu sais bien comment sont ses nibards! Ses tétons sont érigés. Dit-il en les pinçant durement.

Elle recule cherchant à échapper à son emprise. Le colosse attire Vicky à lui, la traînant par les cheveux.

- Ne fais plus jamais ça salope. La menace-t-il rageusement.

Elle se met à trembler. Il saisit ses deux mamelons entre ses doigts et les pince vicieusement. Cette fois Vicky ferme les yeux, elle accuse la douleur. Il la pince jusqu'à ce qu'elle se mette à hurler et le supplie de cesser. Il lâche ses mamelons et pelote avidement ses seins.

- Ils sont vraiment magnifiques, je pourrai jouer avec pendant des heures. S'esclaffe Boone.

- Tu n'as qu'un quart d'heure avant qu'elle ne nous quitte. Elle revient la semaine prochaine. Le prévient alors le gros sergent.

Boone cesse son pelotage et la saisit par ses mèches blondes. Il s'étend sur le sol et l'attire sur lui. La tenant toujours par ses cheveux, il la force à s'accroupir et de se positionner au-dessus de sa bite. Elle tâtonne à la recherche de la monstruosité de Boone pendant qu'il la maintient contre lui, tirant douloureusement les cheveux.

Finalement, ayant trouvé son monstrueux gland, elle cherche à l'insérer dans son vagin. Tenant l'énorme bite à la racine elle essaie de l'enfouir dans sa chatte, encore et encore, mais n'y parvient pas, la différence de taille étant trop grande.

- Je n'y arrive pas. Dit-elle sourdement cessant toute tentative.

Boone lâche sa chevelure et elle s'assoit sur lui. Elle relève ses fesses et se positionne sur l'énorme gland qui presse le centre de sa féminité. Il est très long et très épais, jamais elle n'a vu une bite de cette taille hors norme.

Il se plaque contre son dos et la regarde tenter de lubrifier son gland en le frottant entre ses babines poisseuses. Elle y parvient en promenant son gland, puis sa hampe dans ses replis marécageux, elle se frotte de bas en haut sur toute la longueur de son gourdin, sans se faire pénétrer. Sa bite ne fait qu'effleurer l'ouverture de sa caverne.

Elle poursuit ce petit jeu pendant plusieurs minutes. Je circule autour d'eux et je vois sa moule secréter des flots de cyprine. Fasciné je regarde le spectacle de son petit cul nacré orné d'une blonde toison, se lever et s'abaisser le sur la grosse hampe noire. Je m'excite à la vue de ce spectacle obscène.

Vicky prend alors sa bite en main et la place à l'entrée de sa grotte inondée. Elle n'a pas encore sa bite en elle, elle l'excite sous nos yeux ébahis, elle l'excite au point de le faire gicler. Cela faisait des années qu'elle se livrait à ce petit jeu avec moi, et j'adorais ça.

Elle commence alors à pousser vers le bas. L'énorme bourgeon s'insère lentement entre ses babines alors qu'elle gémit sourdement. Elle s'abaisse encore sur sa bite, lui souriant de toutes ses dents. Elle l'excite cet homme qui me bat si cruellement depuis deux mois.

Je me penche pour mieux voir et voit la monstruosité noire disparaître peu à peu dans le vagin distendu de ma femme.

Elle arrête lorsqu'elle pense qu'elle ne peut pas aller plus loin et elle commence à le chevaucher comme elle l'aurait fait d'un étalon. Elle se défonce sur sa queue. J'adorai quand elle me faisait cela, toutefois, elle ne pourra pas s'empaler totalement sur cet énorme pieu noir.

Il la pelote pendant qu'elle le chevauche, lui massant ses gros nichons, lui pinçant tendrement les mamelons à chaque frôlement de sa poitrine.

Elle s'arque sur les talons et grommelle :

- Ooooohhhhhh!

Cet étranger la fait jouir. Elle se fait baiser par l'homme qui me frappe depuis des mois.

L'entendant jouir, Boone jouit à son tour. Il projette jet après jet son immonde jus au fin fond de son utérus, s'enfonçant jusqu'à heurter le col de son utérus. Il extirpe sa bite de sa chatte pantelante et lui interdit de bouger.

- Sanderson, viens ici et fais-toi sucer par ta femme qui vient de se faire prendre par un vrai mâle!

Je me lève et m'approche d'eux. Elle m'embouche alors qu'elle vient de se faire baiser par mon tourmenteur et qu'ils ont tous deux joui sous mes yeux. Et voilà qu'il veut me voir gicler dans la bouche de ma femme alors qu'il se presse encore tout contre sa chatte blonde. Le gros sergent intervient alors :

- Allez les gars, le spectacle est terminé, vous devez regagner vos cellules.

Boone lui jette un regard menaçant et dit :

- Mon nouvel ami doit d'abord jouir dans le bec de sa femme!

Il se sent proche de moi, je le sais. La bite de Boone est à nouveau érigée, Vicky s'assoit dessus. Je pense que cet homme vient d'utiliser mon innocente femme et d'en abuser en face de moi, et j'ai dû assister impuissant à son viol.

Alors que cette réalité s'impose à moi, je vomis des torrents de foutre dans sa gorge accueillante. Comme d'habitude elle avale tout. Je me vide les couilles dans sa bouche, puis je me retire.

Debout auprès d'elle, j'aide Vicky à se démancher de la grosse bite noire. Je dois tirer fort car elle est véritablement empalée sur lui, un plop sonore et elle est libérée.

Alors qu'elle se tient à ses côtés, chancelante, du foutre s'écoule lentement de sa chatte luisante sur la poitrine de l'homme. Je l'aide à se tenir droite, du foutre s'égouttant sur le sol. Il lui ordonne de lécher le sperme s'étalant sur sa poitrine. Elle s'abaisse et obéit léchant la flaque de foutre qui englue son torse.

Le gros sergent laisse retomber son pantalon sur ses chevilles et clopine vers elle haletant comme un chien. Elle ne l'a pas vu arriver dans son dos alors qu'elle s'apprête à lécher la flaque de foutre souillant le plancher.

Elle le sent lui saisir les hanches pour la pénétrer à nouveau. Après avoir enduré un sexe monstrueux, la bite de ce dernier ne lui fait ni froid ni chaud. Elle ignore cette intrusion dans son ventre se bornant à terminer le nettoyage du sol.

Le gros porc se met à trembler convulsivement et injecte une nouvelle dose de foutre dans l'utérus de ma femme asservie. Il ne reste que quelques secondes en elle, puis il se retire, se redresse et dit à Jimmy de nous ramener dans nos cellules respectives.

Vicky me prend dans ses bras et m'embrasse tendrement me disant qu'elle m'aime, puis elle se retourne et commence à se rhabiller.

- Et moi? N'aurai-je pas droit au baiser d'adieu? Réclame Boone.

A moitié vêtue, Vicky s'approche de lui. Elle veut lui donner un bisou sur la joue, mais il se retourne vers elle et l'enlace étroitement, puis il enfonce profondément sa langue dans sa bouche l'explorant jusqu'aux amygdales. Elle se tient les mains le long du corps et se laisse faire.

- On se reverra bientôt chérie. Lui dit-il alors que Jimmy nous emmène.

Boone me dit que désormais il sera mon protecteur, mais qu'il veut baiser ma femme chaque semaine en guise de remerciement.

- Ce sera toi ou ta femme. Je baiserai l'un de vous deux. Me prévient-il en regagnant sa cellule.

Jimmy, me ramenant en cellule, me confie à quel point il est heureux de s'être fait faire une cravate de notaire par ma femme. Il ajoute que de toutes les femmes de détenus qu'il a baisées, c'est la mienne qui a la plus belle poitrine, et comme je rentre dans ma cellule, il poursuit :

- La semaine prochaine je l'enculerai moi aussi! T'es d'accord Sanderson?

******************************

Le lendemain je discute avec quelques amis du viol de ma femme. Je suis surpris d'apprendre qu'ils s'en sont pris à la plupart des femmes de détenus toujours de la même façon.

Ils emploient toujours les mêmes procédés. Ils créent de toutes pièces un problème fictif et ils font chanter les femmes en mettant en balance la sécurité de leurs maris.

- Et personne n'a cherché à faire cesser ce manège? Quelqu'un veut-il vraiment faire cesser ces chantages? Questionné-je aigrement.

- Et que pourrions-nous faire? Demande l'un d'eux.

- Nous y avons bien pensé, nous avons cherché des solutions, se plaindre? Mais la vie de la prison repose sur eux. Aussi que penseraient les autorités de nos plaintes? Qui croiraient-ils? Et s'ils vont violer nos femmes dans nos maisons en représailles. Ils intimident tout le monde et savent comment s'y prendre pour nous éliminer.

- Ils sont déjà allés chez vous? Je ne le savais pas. Iront-ils chez moi? Demandé-je troublé.

- Tu peux le craindre! J'ai vu ta femme. Ils iront chez toi s'occuper d'elle. Réplique-t-il sombrement.

- Bordel! M'écrié-je. Il faut que je prévienne Vicky! Elle ne s'y attend pas. Je leur casserai la gueule. Je le jure.

- Tu n'as aucun moyen de la contacter avant demain. Et encore faudra-t-il que tu obtiennes l'autorisation de téléphoner! Répond mon ami rageusement et il ajoute :

- Et on ne t'a pas encore tout dit! Ils filmeront ta femme pendant qu'ils s'amuseront avec elle. Puis ils montreront le film aux amateurs de films pornos de la prison. Tout le monde pourra voir ta petite femme se faire baiser. Ils se branleront en regardant la cassette. Ta femme se fera violer et ces hommes se branleront à ce spectacle. Tout le monde est impatient de voir ta femme nue se faire violer.

A suivre...

lundi 23 novembre 2020

Erika, esclave sexuelle - Ch. 02

Traduction d'un texte de HotStuffPrya.

Nous faisons les boutiques.

 J'ai donné 30 minutes à Erika pour se nettoyer et revenir à mon appartement. Il lui reste 5 minutes. Je m'assoie sur le canapé et zappe sur la télévision. Je passe les chaines sans vraiment faire attention à ce qu'il y a sur l'écran. Je pense à ce qu'il vient de se passer.

Erika a dépensé l'argent que lui avait laissé sa mère pour payer le loyer. Un peu désespérée elle m'a offert de me payer en nature. Mais pour prix de mon silence, je lui ai fait une offre qu'elle pouvait difficilement refuser. Elle a accepté de devenir mon esclave sexuelle jusqu'au retour de sa mère dans trois semaines. Je rêvais de ce moment depuis deux ans. Elle se pavanait et m'excitait chaque fois que je la voyais.

Maintenant elle est à moi. Je la possède et je peux faire ce que je veux avec elle.

Il reste deux minutes. Je m'appuie contre le dossier du canapé et je regarde son string et son soutien-gorge qui sont restés sur le sol de mon salon. Ma bite commence à se redresser. Je l'ai déjà baisé une première fois brutalement. Je l'ai sodomisée et pénétrée sa bouche entièrement. Mais je veux sa chatte. Je dois être patient car je dois être sûr qu'elle prend la pilule. Je n'aime pas utiliser des préservatifs. Et je ne veux pas prendre le risque que cette prostituée soit enceinte.

Alors que les trente minutes sont presque écoulées, je la vois dans l'escalier. Ses cheveux sont humides et elle est enveloppée dans une serviette. Elle me contrarie déjà. Elle ne respecte pas la règle numéro 2 qui indique que, sauf indication contraire, dans mon appartement elle doit toujours être en sous-vêtements.

Alors quand elle arrive je me lève et lui demande calmement :

- Qu'est-ce que tu fais?

Elle me regarde, confuse. Je lui rappelle alors la règle numéro 2. Ses yeux s'élargissent et elle dit :

- Oh merde!

Rapidement elle enlève la serviette. Elle se tient là complétement nue. Ses tétons se dressent sous l'air frais. Je remarque que sa chatte est bien rasée. Je lui dit :

- Une heure n'est pas encore passée et déjà tu ne respectes pas les règles.

Je lui ordonne de retourner dans sa chambre, de mettre des sous-vêtements et de m'attendre.

Ensuite, je fais les cent pas dans mon salon en réfléchissant à une manière amusante de la punir. De bonnes idées me viennent. Je souris et je descends à son appartement. Elle m'attend dans son salon habillée d'un soutien-gorge rouge avec une culotte en dentelle assortie. Elle a bon goût en matière de lingerie. J'entre dans sa chambre et fouille son armoire. Je trouve une petite jupe noire ainsi qu'un haut rouge. Je les lui jette en lui disant de les mettre. J'ai décidé qu'elle m'accompagne au centre commercial.

Pendant que je conduis pour y aller, je lui rappelle une fois de plus qu'elle est mon esclave. Elle doit m'obéir et faire tout ce que je lui demande. Je me gare et nous entrons dans le centre. Je me dirige directement vers un magasin de lingerie et Erika me suit. Le magasin est presque vide. En milieu de semaine il y a peu d'acheteurs, en particulier à cette époque. Je vois une seule vendeuse qui se trouve derrière le comptoir et qui répond au téléphone. Elle lève à peine les yeux lorsqu'Erika et moi passons devant elle.

Je regarde les rayons et choisit un bel ensemble de lingerie blanche. Je le trouve parfait et je demande à Erika de l'essayer. Nous allons derrière vers les cabines d'essayage. Ma soumise entre dans l'une d'elles, enlève se vêtements et enfile la lingerie. Quand elle a fini, elle m'appelle. Je lui demande alors de sortir. Nerveusement, elle m'obéit tout en regardant autour d'elle s'il y a quelqu'un. Ces sous-vêtements blancs accentuent ses courbes. Elle est superbe.

Je regarde à gauche et je vois un peu plus loin trois hommes assis en train d'attendre leurs femmes je suppose. Je les appelle pour leur demander s'ils peuvent m'aider à choisir. Au début ils m'ignorent jusqu'à ce que l'un d'eux voit Erika. Il se lève rapidement et s'approche.

Les deux autres jettent un coup d'œil et semblent soudainement intéressés à vouloir me donner un coup de main.

- Bonjour les gars! pouvez-vous m'aider? je ne sais pas si ça lui va vraiment? Demandé-je en désignant Erika.

Celle-ci devient d'un rouge vif encore plus intense que quand je l'ai giflée pour m'avoir désobéi il y a deux heures.

- Erika, montre aux gars! Tourne sur toi-même qu'ils puissent voir de tous les côtés.

Celui qui se nomme Tom dit :

- Woah l'homme, elle est chaude.

- Putain oui! Déclare Jason, le deuxième homme.

Le troisième se mord juste les lèvres.

- Alors qu'est-ce que vous en pensez? Demandé-je.

Erika se tient debout juste devant nous. Avec ses mains elle essaie de se couvrir.

- Ca lui va très bien, mais je crois que des sous-vêtements rouges devraient mieux la mettre en valeur. Déclare Tom.

- Je pense que vous avez raison. Dis-je.

Puis j'ordonne à Erika :

- Enlève le soutien-gorge et la culotte.

Elle essaie de retourner dans la cabine mais je lui dis que ce n'est pas la peine, elle peut tout enlever là. Elle me regarde, se demandant si je plaisante mais mon regard lui signifie que je suis sérieux. Nerveusement elle fait glisser sa culotte qui tombe au sol, puis elle dégrafe le soutien-gorge et l'enlève. Elle saisit rapidement la lingerie rouge et l'enfile pour essayer de cacher son corps. Malheureusement, le tissu est si fin qu'il ne couvre pas grand-chose de son anatomie.

Les trois hommes hochent la tête, remerciant silencieusement Tom d'avoir suggéré qu'elle se change.

- C'est beaucoup mieux. Elle est parfaite. Dit Jason.

- Peut-elle se tourner? demande Tom.

Je jette un regard à Erika qui comprend et se tourne immédiatement. Je laisse les trois gars admirer son beau derrière.

- Ca lui va vraiment très bien. Dit l'un des hommes.

- Quel cul! Dit un autre.

Enfin, je dis à Erika qu'elle peut tout enlever et se rhabiller. Elle se penche pour ramasser les sous-vêtements qui sont sur le sol et se tourne vers la cabine quand je lui dis qu'elle peut se changer là. Encore une fois, elle enlève la lingerie rouge, s'agenouillant pour ramasser la culotte. Je lui demande alors de mettre ces sous-vêtements sur un cintre pour qu'ils ne se salissent pas. Elle regarde autour d'elle et dit :

- Mais je ne vois pas de cintre Maître.

Quand elle prononce le mot « Maître » je peux sentir trois paire d'yeux qui me regarde avec admiration. L'homme silencieux, Billy, Hoche la tête avec approbation.

- J'en vois un là-bas. Dis-je en montrant du doigt.

Elle regarde et rougit aussitôt. Le cintre est assez loin de l'autre côté de l'allée qui mène à cette section. Je devine ce qu'elle pense alors j'ajoute :

- Faut te dépêcher avant que quelqu'un n'arrive.

Elle court pour aller le chercher et revient très vite. Elle y accroche le soutien-gorge puis la culotte. Alors qu'elle va partir, je l'arrête et lui dit qu'il est grossier de ne pas remercier les hommes qui nous ont aidés. Je lui demande de faire un câlin à chacun ainsi qu'une bise pour leur gentillesse.

Elle s'arrête, refroidie. Maintenant son visage est d'un beau rouge betterave. Mais elle réussit à prononcer :

- Oui Maître.

Elle s'approche d'abord de Tom, le responsable de sa nudité et elle l'enlace. Celui-ci l'entoure de ses bras et la serre fort. Il veut que ça dure. Quand il la lâche enfin, elle l'embrasse sur les joues.

Elle fait de même avec Jason qui l'a également serrée très fort pendant quelques secondes. Enfin elle s'approche de Billy et lui fait aussi un câlin.

Celui-ci met immédiatement ses mains sur les fesses d'Erika et les serre fort. Quand elle le quitte, il claque son cul durement. Erika est surprise. Elle s'arrête et se retourne pour lui lancer des éclairs avec ses yeux. Mais rapidement, elle s'éloigne de lui, complétement embarrassée et furieuse de ce qui s'est passé.

Elle se penche, ramasse les sous-vêtements et disparait dans la cabine d'essayage.

Une fois partie, Billy parle pour la première fois :

- Oh mec, je vais venir ici plus souvent.

Les trois hommes me remercient pour le spectacle et s'en vont.

Quelques minutes plus tard, Erika et moi sortons du magasin et allons à la cafétéria pour déjeuner. Nous nous servons et allons nous assoir.

En face de moi, derrière Erika, se trouvent trois adolescents qui n'arrêtent pas de la mater. Je demande alors à la jeune fille de s'appuyer sur la table et de m'embrasser. Je sais très bien, que dans cette position, sa jupe se relèvera.

Quand elle m'obéit, les jeunes ont une superbe vue sur son derrière. Rapidement un des jeunes prend son téléphone et prend des photos. Je fais rassoir Erika et je lui dis de manger.

Une demi-heure plus tard, nous partons pour un magasin vidéo que je fréquente rarement. Je veux louer des films mais je veux surtout exhiber ma soumise.

Je suis déçu qu'il n'y ait personne dans le magasin à part l'employé. Je choisis films et jeux vidéo et je vais au comptoir où Craig, le vendeur, m'attend. Il jette souvent des regards en coin sur Erika mais il me souris quand je m'approche de lui.

- Votre numéro d'adhérent s'il vous plait? me demande-t-il.

- H12TY9. Dis-je.

Il tape le numéro dans son ordinateur et me dit :

- Hum, Monsieur, il y a une pénalité de 50 euros sur ce compte.

- Une pénalité?

- 50 euros, pour un jeu que vous n'auriez pas ramené : Halo pour Xbox.

- je l'ai rendu. Vérifiez s'il vous plait. Pas question que je paie pour un jeu que j'ai rendu.

- Désolé Monsieur, je ne suis qu'un employé. L'ordinateur dit que le jeu manque donc je ne peux pas vous laisser prendre ceux-ci si vous ne payez pas la pénalité.

- Merde! Dis-je en me retournant.

Je vois Erika et je souris. Je me retourne vers l'employé et je demande :

- Craig n'est-ce pas?

- Oui.

- Pouvons-nous faire un arrangement. Vous effacez cette pénalité et moi je fais quelque chose pour vous.

Craig me regarde bizarrement et répond :

- Si vous payez la pénalité, je l'effacerai.

- Ce n'est pas ce que je veux dire. Vous voyez la fille là-bas. Dis-je en montrant Erika qui regarde les nouveaux films sortis.

- Oui et alors?

- Si vous faites disparaitre cette pénalité, je lui demanderai de vous sucer la bite ici et maintenant.

Craig ricane car il n'y crois pas. Il dit :

- Désolé. Payez ou partez!

Je ne suis pas certain qu'il puisse se permettre de parler aux clients. Mais j'ignore son ordre en lui disant de bien regarder. Je me retourne et capte le regard d'Erika. Je lui demande d'enlever sa culotte et de me l'amener. Elle jette un coup d'œil honteux vers le vendeur mais nerveusement elle m'obéit. Elle soulève sa jupe et retire sa culotte. Puis elle approche et me la donne.

Je mets le bout de tissu sur le comptoir et demande à Craig si nous sommes d'accord. Rapidement, ses yeux quitte Erika et retourne à l'ordinateur pour solder la pénalité de mon compte.

Je dis alors à la jeune fille :

- Erika, passe derrière le comptoir et remercie Craig de m'avoir aidé.

Elle comprend et passe la mini-porte entre le magasin et le derrière du comptoir.

- Hé! Est-ce qu'elle peut enlever sa jupe?

- Bien sûr!

Erika enlève sa jupe et s'agenouille. Craig a déjà baissé son pantalon et sortit sa bite. Elle prend le membre entre ses mains et lèche la hampe. Sa langue court du bas de la bite jusqu'au gland. Craig gémit quand elle touche la tête de sa queue. Puis elle commence à le sucer. Sa bouche descend le long du membre facilement. La bite de Craig n'est pas aussi grosse et épaisse que la mienne si bien qu'elle n'a pas de mal à le sucer. Le vendeur peut sentir le fond de sa gorge et sa langue tourner autour de sa bite.

Erika prend les couilles de l'homme dans sa main et commence à les masser. Puis sa tête accélère le mouvement de haut en bas. Craig agrippe ses cheveux et baise sa bouche rudement.

Tandis qu'Erika fait la chose pour laquelle elle est née, Craig se penche et tâte son cul. Il écarte les fesses et introduit un doigt dans son trou serré. Ensuite, il glisse ses doigts dans la chatte humide.

- Ggggppppttttthhh! est le seul son que peut dire Erika.

- Quelle baise! Cette chienne est trop bonne. Suce mieux!

Erika continue à pomper l'homme de plus en plus vite jusqu'au moment où il est prêt à éclater. Craig sort alors sa bite de la bouche de la jeune fille et lui dit :

- Ouvre grand!

Elle obéit et de puissants jets de sperme frappe sa langue. Elle avale rapidement et utilise le dos de sa main pour s'essuyer la bouche. Craig tapote la tête d'Erika en disant :

- Bonne fille, bonne fille!

J'approche du comptoir. Erika se relève et Craig me dit :

- A chaque fois que tu as besoin viens me voir.

Erika me regarde et demande :

- Ma jupe?

- Oh, je crois que je l'ai laissée là-bas. Dis-je en montrant l'autre bout du magasin.

- Dépêche-toi. Rajouté-je.

Erika repasse la mini-porte du comptoir et se dirige vers l'autre côté de la boutique. Craig et moi la regardons s'éloigner à demi nue.

- Elle a un cul si serré. Dit le vendeur.

Puis il me demande :

- Combien je dois te faire sauter de pénalités avant de pouvoir l'enculer?

- Je ne sais pas. Nous verrons la semaine prochaine lorsque je reviendrai.

Pendant ce temps, Erika recherche sa jupe. Mais la porte du magasin s'ouvre et les trois adolescents vus à la cafétéria pénètrent dans la boutique.

- Oh putain! Dit celui qui a des cheveux bouclés quand il voit ma soumise, le cul à l'air.

Ses copains regardent et sont bouche bée devant le spectacle. Je regarde et les interpelle :

- Salut les gars! Que se passe-t-il?

Le mec aux cheveux bouclés me regarde et dit :

- Hé gars, ta meuf est nue au-dessous de la taille.

Craig dit alors :

- Ouais. Et elle vient de me faire une super fellation. Elle sait sucer cette chienne.

Les jeunes se dirigent vers moi tout en gardant un œil sur Erika. Celle-ci est debout, figée de honte. Elle essaie de cacher son intimité avec les mains et elle jette des regards autour d'elle pour essayer de trouver sa jupe, mais en vain.

- Hé Monsieur, que faut-il faire pour qu'elle nous suce nous aussi? Demande le jeune avec une veste rouge.

Je regarde un des sac à dos de ces jeunes et je vois un Ipod Touch qui dépasse. Je demande nonchalament :

- Est-ce un vrai Ipod Touch?

- Oui c'est ça!

Puis il réagit et dit :

- Hého je ne peux pas te le donner, il vaut près de 300 euros.

- Ok, pas de problème. Je crois que je ferais mieux d'y aller. Dis-je en commençant à me diriger vers la sortie.

- Attends! Dit un deuxième jeune.

Puis il se tourne vers son copain et lui dit :

- T'es sérieux? Elle va tous nous sucer. Cette occasion ne se représentera jamais. Donne-lui ton truc.

Le propriétaire de l'Ipod Touch regarde Erika en s'humidifiant les lèvres puis ils regardent ses copains et dit :

- D'accord mais je veux qu'elle enlève son chemisier aussi et son soutif.

Nous concluons l'affaire et il me donne l'appareil. Alors j'appelle Erika. Comme une bonne salope, elle se rapproche de nous puis reste immobile, ses mains couvrant son sexe. Je lui ordonne d'enlever son chemisier et son soutien-gorge. Elle me regarde et dit :

- Oui Maître.

Après avoir obéit, elle se retrouve nue devant nous, cinq hommes qui la regardons avec plaisir. Un des s'avance mais Craig dit soudainement :

- Attendez, allez dans la réserve du magasin, je ne veux pas que quelqu'un d'autre puisse voir.

Nous sommes tous d'accord et Craig nous montre la pièce où Erika entre en premier suivie par les trois jeunes.

Quand j'entre dans la pièce à mon tour, Erika est déjà à genoux en train de sucer un des garçons. Un autre, pantalon baissé, bite dans la main tourne autour de la jeune fille et la tripote. Il attrape un sein et le malaxe brutalement avant de le gifler. Le troisième jeune s'est baissé et commence à doigter sa chatte.

Celui qui profite de la fellation met ses mains sur la tête de la jeune fille et force sa bite tout au fond de la gorge soumise. Il commence des va-et-vient brutaux. De la salive suinte du coin de la bouche d'Erika et goutte sur ses seins et ses genoux. Les deux autres sont maintenant debout de chaque côté d'elle. Ils ont mis leur bite dans les mains de mon esclave pour qu'elle les masturbe.

Soudain, celui qui est sucé crie qu'il est sur le point de jouir. Alors il sort sa bite au moment où un jet de sperme jaillit. Le flux de liquide séminal frappe Erika sur le visage. Le premier jet tombe sur son œil droit et sa joue. Le deuxième atterrit dans ses cheveux.

Ensuite, un des deux autres jeunes poussent celui qui vient d'éjaculer et enfourne sa queue bien raide dans la bouche de la jeune femme. Il la baise quelques secondes puis grogne. Il gicle dans sa bouche. Elle avale tout.

Le dernier garçon se présente alors devant elle. Erika engouffre sa bite comme celles des autres. Le jeune baise sa bouche encore plus violemment que ses copains. Puis il saisit la femme par ses cheveux et force sa tête contre son bas-ventre. Il la garde dans cette position pendant un moment avant de la relâcher. Puis il sort sa bite et arrose de sperme Erika. Il couvre tout son côté gauche du visage ainsi que ses cheveux.

Alors que les jeunes se rhabillent, je regarde Erika dont la figure et les cheveux sont recouverts de sperme.

Un des jeunes me dit :

- Quelle belle pute Monsieur!

- Elle vaut vraiment l'Ipod Touch. Dit un autre.

Alors qu'ils sortent de la pièce, chacun me remercie d'un signe de tête. Je demande à Erika de se relever, de sortir derrière eux et de les remercier de s'être laissés sucer. Puis de s'habiller que nous puissions partir.

Elle m'obéit, se lève, sort de la réserve. Les trois jeunes bavardent avec Craig quand Erika dit :

- Merci à vous tous de m'avoir laissé vous sucer. Je vous remercie pour votre gentillesse.

Du sperme tombe du long de son menton sur ses seins. Elle saisit ses vêtements et les enfile rapidement.

Nous partons du magasin et allons à la voiture. Une fois installés dans celle-ci, je dis à la jeune fille :

- La prochaine fois, ne me désobéis pas!

- Oui Maître

A suivre...


samedi 21 novembre 2020

Femmes de cocus - 2ème partie.

 Elles cocufient leur mari avec des blacks. Les pauvres cocus le savent, mais ne peuvent rien y faire.

 ****

Solange et Gabriel sont mariés depuis 20 ans.

Gabriel est ingénieur en géologie.  Il est employé par une grande firme mondiale. A 45 ans, il est nommé directeur d'une mine de zinc dans un pays d'afrique.

Malheureusement Gabriel est un couard et ne prend plus tellement le temps de s'occuper de sa femme Solange.

Celle-ci, un peu perdu  en pleine brousse, dans un pays qu'elle ne connait pas, sans amis, s'ennuie. Pour seul distraction, elle va souvent faire ses courses dans le village voisin. Elle s'arrange toujours pour être bien coiffée et bien habillée. Elle aime attirer les regards.

Un jour, un incident se passe dans la mine de zinc et les employés africains se mettent en grève. Gabriel reçoit des instructions du siège de sa société. Il obéit et refuse de discuter des revendications des grévistes. La grève s'enlise.

Au bout de quelques jours, Gabriel s'inquiète de ne pas voir revenir sa femme du village où elle est partie faire les courses. C'est alors qu'il reçoit une photo de son épouse à demi-dénudée encadrée de deux jeunes noirs avec le texte suivant : "Nous gardons ta femme le temps que tu acceptes nos revendications".

Gabriel va se battre pendant une semaine pour faire la liaison avec le siège et les grévistes. Il veut à tout prix parvenir à un accord pour retrouver sa femme. Et il y arrive enfin. 

Le soir du jour où est signé l'accord, une jeep ramène sa femme. Quand il la voit, il est effrayé. Elle tient à peine sur ses jambes, ses vêtements sont déchirés, elle est poisseuse d'une substance bizarre. Gabriel va l'emmener sous la douche, la déshabiller et la laver. Il va se rendre compte que sa chatte et son cul sont distendus, que la substance poisseuse est du sperme.

Pourtant sa femme a un air extatique sur le visage. Après qu'elle se soit reposée, il veut qu'elle lui raconte ce qui lui est arrivé, même s'il devine les évènements. Mais Solange refuse de dire quoi que ce soit.

La vie reprend son cours à la mine. Mais Solange se rend de plus en plus souvent a village et en revient toujours avec un sourire d'extase. Gabriel comprend qu'il est maintenant cocu pour toujours.

 *****

Léonard est Catherine sont mariés depuis quinze ans. Léonard est directeur informatique dans une petite société et gagne assez d'argent pour que Catherine ne travaille pas.

Depuis deux ans leur relation est devenue houleuse. Ils s'engueulent sans cesse, ne font plus l'amour.

Mais depuis un mois, Léonard trouve que le comportement de sa femme a changé. Elle est plus calme, ne fais plus d'histoires et semble plus épanouie. Alors Léonard tente de remettre en route leur vie sexuelle, Mais Catherine s'y oppose en prétextant des migraines ou autres excuses.

Léonard n'est pas un idiot. Il comprend que quelque chose se passe. Alors il décide de cacher des caméras dans toute sa maison qu'il peut consulter au bureau.

Des le premier jour où il voit la vidéo il comprend. Vers 10 heures le matin, il voit sa femme se déshabiller et prendre un drôle de collier rouge au fond de l'armoire avant de le fixer autour de son cou.

Puis elle se met à genoux dans l'entrée de leur appartement, jambes écartées, mains sur les cuisses, paumes ouvertes. Léonard se rappelle de cette position de soumission qu'il a vu dans un film porno dans sa jeunesse.

Bientôt la porte de leur appartement s'ouvre et il voit entrer deux jeunes noirs. Il connaît le premier, il s'agit de Dembo, le fils de leur concierge. Il l'entend alors dire :

- Alors Sékou, je t'avais pas dit que je possédais une grosse salope blanche ?

L'autre noir est ébahi. Alors Dembo ajoute !

- Tu veux qu'elle te suce ? Ouvre la bouche salope !

Léonard voit ma femme ouvrir grand la bouche alors que l'autre jeune homme sort sa bite. Quand il la présente, Catherine  l'engouffre  et s'applique à faire une superbe fellation au jeune noir qui commence à jouir de plaisir.

- Et tu vas voir, elle a une chatte et un cul qu'elle adore que l'on défonce ! ajoute Dembo.

Avec consternation, Léonard va voir par l'intermédiaire des caméras sa femme se faire baiser dans toutes les positions. Mais c'est excitant et il bande. Il ne dit rien à Catherine le soir. Mais dorénavant, tous les matins, ils espionne sa femme qui va recevoir Dambo, des fois seul, mais souvent accompagnés de nombreux copains qui sont trop heureux de pouvoir se soulager dans une femme mature soumise.

 ******

Julien et Caroline sont mariés depuis 20 ans. Ce ne fut pas un mariage d'amour. En fait, Julien est le directeur de la production d'une grande entreprise internationale. Il est le protégé du grand PDG qui lui a demandé il y a quelques années d'épouser sa fille qui ne trouvait pas de mari convenable.

En fait Caroline est une nymphomane  soumise. Comme Julien est un gars très gentil et ne possède  malheureusement qu'une bite dans la taille moyenne, sa femme n'a jamais été satisfaite avec lui.

Julien est cocu et il le sait car Caroline n'hésite pas à inviter des hommes, surtout des blacks, chez elle pour se faire baiser.

Ce soir, Julien rentre du boulot. Après avoir ouvert la porte du garage il voit sa femme Caroline à quatre pattes par terre. Elle est en train de se faire enculer par un noir alors qu'un autre est allongé devant elle. Quand elle le voit elle gémit :

- Oooohhh ! Ne... ! Oohhh ! Ne faites pas attention c'est mon cocu de mari ! Ohhh Oui continue de m'enculer !

Après avoir jeté un coup d'œil au mari, le noir qui sodomise Caroline lui met une grande claque sur le cul et lui ordonne :

- Ferme ta gueule salope et suce mon pote ! Ensuite on changera de place.

Julien secoue la tête et entre dans sa maison alors que son épouse prend en bouche le braquemart noir de l'homme devant elle. Julien sait qu'elle rentrera que quand elle sera satisfaite. 

Il n'est même plus gêné par le fait de savoir si le voisinage sait qu'il est cocu. Il sourit, car de toute façon il a le privilège de choisir sa secrétaire au travail et celle qu'il a en ce moment est très efficace.

 *****

Sylvie a 50 ans. Elle est mariée à Philippe depuis 28 ans. 

Malgré deux enfants aujourd'hui majeurs, le couple n'a plus de relations sexuelles depuis longtemps. Ils savent tous les deux que leur conjoint va voir ailleurs pour assouvir ses besoins. Mais si Philippe savait avec qui sa femme le trompe, il n'aimerait surement pas.

Comme Philippe gagne beaucoup d'argent, Sylvie ne travaille pas, mais est bénévole dans plusieurs associations d'aide aux personnes défavorisées.

Un jour, elle est chargée de distribuer des vêtements à des réfugiés africains qui vivent sous les ponts du périphérique à Paris. Ce sont principalement des sénégalais qui ont pour simple travail de vendre des petites tours Eiffel à la sauvette au Trocadéro. 

La distribution se passe bien, les réfugiés sont heureux d'avoir de nouveaux vêtements. Ils sont tellement heureux qu'ils les essaient immédiatement. Ils se mettent nus sous l'œil gêné de Sylvie.

Le regard de la femme mature est bientôt attiré par l'objet énorme qui pend entre les jambes d'un jeune qui s'appelle Youssouf. Elle ne peut s'empêcher de passer sa langue sur ses lèvres. et ce geste est vite repéré par le jeune garçon. 

Youssouf appelle alors Sylvie qui s'approche lentement sans pouvoir écarter son regard de la bite du jeune noir. Celui-ci fait semblant d'enfiler un pantalon qui ne va pas et demande à la femme de  l'aider. Sylvie est rouge et excitée. Elle essaie de garder contenance et d'aider le garçon à mettre le pantalon. Sa main va heurter la queue pendante et elle va avoir l'impression d'avoir subi une brulure.

Youssouf va habilement discuter avec Sylvie. Il va profiter du trouble de la jeune femme pour apprendre son nom et son adresse.

Plus tard , il va la voir chez elle et au bout d'un certain temps ils vont devenir amants.

Sylvie est complétement hypnotisée par la grosse queue du sénégalais. Elle aime tellement l'avoir en elle qu'elle se retrouve bientôt complétement soumise à Youssouf qui en profite.

Ce mercredi matin, elle doit prendre le jeune noir en voiture pour aller faire un tour à la campagne. Quand elle le voit elle est un peu déçu car il est accompagné. Elle aime bien l'avoir seul, mais elle ne dit rien pour ne pas le mettre en colère.

Ils vont s'arrêter dans un pré à l'écart de toute civilisation. Youssouf va alors lui ordonner :

- La couverture par terre et à poil ! Vite salope !

Sylvie a appris à obéir très vite. Bientôt elle se retrouve nue, agenouillée sur la couverture, les mains dans le dos. 

Elle ne sait pas pourquoi, mais Youssouf aime bien lui mettre un bandeau sur les yeux. Dans le noir elle va sentir une bite se poser sur ses lèvres. Elle ouvre la bouche automatiquement et elle sent la grosse queue pénétrer sa bouche. Elle sait qu'il s'agit de celle de son Maître car elle a mal à la mâchoire tellement elle est épaisse. Après l'avoir sucé un peu elle l'entend dire :

- Debout !

Elle se lève et Youssouf la guide pour qu'elle s'appuie contre la voiture. le jeune noir va guider sa bite sur sa chatte complétement inondée et il va la pénétrer d'un coup de rein profond. L'excitation et la taille du mandrin du jeune sénégalais vont provoquer immédiatement un orgasme à Sylvie. Elle va gémir de plaisir pendant que le jeune noir la laboure pendant dix bonnes minutes. Elle aura un autre orgasme.

Finalement, le jeune homme la remettra à genoux et éjaculera une grosse quantité de foutre qu'elle avalera sans sourciller. Puis il dira à son pote :

- Elle est à toi, amuse-toi !

Le pote de Youssouf va profiter d'elle pendant un bon moment et elle va se laisser faire, heureuse d'avoir pu satisfaire son homme.

Ca ne gêne pas Sylvie de participer à des gang-bangs, d'être prêtée à d'autres hommes (peut-être même louée) pourvu qu'elle puisse parfois se faire baiser par son Maître.

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