vendredi 3 mai 2024

Anaël et la grosse queue noire

Récit de Anael ou Benny ?

*****

Houla, je n’aurais peut être pas du faire ce concours de shots avec Marie il y a quelques minutes, la tequila ne m’a jamais fait de cadeaux ! Elle m’a mise au défi de boire un mètre de shots (12 verres) plus rapidement qu’elle, citron et sel compris, la perdante paierait la tournée… j’ai gagné ! Mais à quel prix !

Pour situer la soirée, mon amie Marie m’a convaincue d’aller boire quelques verres après notre service au restaurant où nous bossons, histoire de décompresser et, qui sait, faire de jolies rencontres.

Généralement je ne suis pas super enjouée par ce genre de soirée, un peu timide dans les lieux publics, un peu complexée face au regard des hommes, je joue la petite souris qui préfère rester dans son trou. Pourtant je ne suis pas repoussante, enfin je ne pense pas. Seulement voilà, j’ai quelques kilos en trop et une peur panique qu’on me repousse… Mais certains soirs, je me laisse entrainer, je mets en valeur ma poitrine plutôt généreuse, mes lèvres pulpeuses, mes yeux émeraude et, autour de quelques bières,  j’oublie que je ne rentre pas dans une taille 38.

Je sens que ca monte, les murs autour de moi commencent à tanguer légèrement, les visages deviennent flous… Tout va bien. Autour de la table poisseuse, dans ce pub à tendance Reggae, l’euphorie a gagné tous les visages. Ça crie, ça rit, ça s’enlace, ça se chuchote au creux de l’oreille, ça s’émoustille, ça s’embrasse. Je laisse la sensation de bien-être m’envahir, je suis bien.
 
Voilà que quelqu’un me tire de mon siège, direction la petite piste de danse où Marie se trouve déjà en compagnie d'un jeune homme que je n'avais pas remarqué jusqu’à maintenant. Je flotte… Ahhh l’alcool, je perds trop vite le contrôle lorsque j’en abuse, mais c’est tellement agréable ! Je regarde le visage de mon partenaire, je ne le connais pas non plus. Il me sourit et m’entraine dans un zouk endiablé. Je le suis, charmée par son assurance. Il doit avoir une trentaine d’année, il est grand, 1m90 au moins, sa peau est noire comme la nuit et ses yeux encore plus sombres. A travers sa chemise je sens ses abdos, il doit être superbement bâti. Il me dit quelque chose à l’oreille que je ne comprends pas bien à cause de la musique, il répète :

- Tu sais Anaël, pour bien danser le Zouk, nous devons avoir les bassins serrés au maximum !

Oui, donc déjà il connait mon prénom et j’ignore totalement pourquoi, mais bon, quelle importance, ce bel homme veut qu’on se rapproche, mais allons-y !
 
Il met sa main juste au dessus de mes fesses et me serre contre lui, et c’est reparti. C’est très agréable de se laisser guider, contrôler, il est ferme mais doux. Je ne sais pas combien de temps nous sommes restés à danser, ni combien de verres j’ai bu en plus dans la soirée, mais je me souviens qu’à un certain moment Marie m’a dit qu’elle partait avec Ernest :

- Ana, j’y vais, tu veux que je te dépose ou Martin te ramène ? 

Ok il s’appelait donc Martin, j’étais vraiment pas vivace ce soir ! J’ai voulu répondre mais mon professeur de Zouk m’a devancé :

- C’est bon Marie, je vais la ramener moi, rentrez bien. 

- Ok, parfait, alors bonne soirée ! Dit Marie avec un petit clin d’œil.

Nous avons encore dansé quelques temps, puis je me suis rendue aux toilettes pour me rafraichir un peu, histoire de reprendre mes esprits. J’étais là, devant le miroir, en train de me tamponner le front avec un peu de papier humide quand Martin est entré dans la pièce. Il est venu se mettre derrière moi et je voyais dans le miroir qu’il ne souriait pas du tout. Il m’a alors embrassé dans le cou, doucement, de ses lèvres charnues, il a passé ses bras autour des miens et m’a attrapé les seins, d’abord avec douceur puis avec plus de vigueur, de fougue. Et moi qui respirait de plus en plus fort. Ça m’excitait qu’il soit si ferme, et ça m’excitait que la porte des toilettes ne soient pas fermée à clefs.

— Tu sais que tu me fais bander Ana ? Me chuchota-t-il.

Toujours derrière moi, il rapprocha son bas-ventre de mes fesses et, effectivement, je pus constater ses dires.

- J’aime tes nichons, j’ai envie de les lécher, de les mordre Ana, tu me laisserais faire n’est-ce pas ma petite salope !

Ce dernier mot me fit tressaillir, je n’avais pas du tout l’habitude qu’on me parle comme ca, mais, à ma grande honte, j’avais ressenti un certain plaisir.

Tout à coup, une femme entra, je sursautai et me détachai de Martin, réajustant ma tunique. Martin, lui, fit un grand sourire à la demoiselle qui ne dit rien mais se dépêcha de rentrer dans une cabine WC.

- Je crois qu’il est temps que tu me ramènes. Ai-je soufflé, à peine remise de mes émotions.
 
Nous sommes partis du pub et avons rejoint sa voiture. Sur le chemin Martin ne décrocha pas un mot, mais, à un feu rouge, m’embrassa langoureusement. Puis il posa sa main sur ma cuisse et la laissa jusqu’à notre arrivée. Je ne savais pas si je devais lui proposer de monter ou pas, il n’attendit pas que je me décide, il descendit de la voiture, fit le tour, et m’ouvrit la portière. Lorsque je suis sortie il m’embrassa à nouveau, plus sauvagement cette fois-ci. Il me poussa contre la voiture et mit une de ses grosses mains sur mon sein droit et le palpa. Il prit une de mes mains et la posa de force sur son entre-jambes. Docile je me mis à le caresser et sentis une bosse impressionnante se former.

- Toi, t’as envie de ma queue, pas vrai salope ?
 
Incapable de répondre, je gémis doucement.

- Mets toi à genoux de suite ! dit-il en commençant à enlever sa ceinture.

- Quoi ? Tu rigoles, nous sommes au milieu de la rue ! Ai-je protesté.

- Ferme-la, y a personne dans cette rue, et puis la voiture nous cache. dit-il avec fermeté. 

- Allez, te fais pas prier, ça t’excite j’en suis sûr.

Et comme pour confirmer ce qu’il pensait il passa une main sous ma tunique, descendit mon leggins sur mes cuisses et mis une main dans ma culotte.

- J’en étais sûr, tu mouilles comme une chienne ! Alors maintenant tu la fermes et tu me suces !!

Il avait raison, j’étais ultra-excitée, et même si je tremblais de peur qu’on nous surprenne, l’alcool n’était pas totalement parti et je choisis de faire comme il disait. Je m’accroupis tout en restant adossée à la voiture et finis de dégrafer sa ceinture et son pantalon. Je descendis un peu son caleçon juste pour pouvoir sortir son membre qui, oh mon dieu, était énorme ! Une matraque d’ébène d’au bas mot 25 cm et épaisse comme un salami. Je me jetai dessus telle la salope qu’il voyait en moi.

- C’est bon ça, tu es une vraie bonne suceuse, t’en ai pas à ta première, espèce de trainée va, tu suces mêmes les cleb je parie, pauvre salope !

Et plus il m’insultait, plus je le pompais fort, alternant le léchage de ses testicules et l’aspiration de sa grosse bite.

- C’est bon arrête, je veux te baiser avant de gicler une première fois ! Lève-toi on rentre !

Je m’exécutai et ouvris la porte de mon immeuble avec peine tellement je tremblais. Lui ne prit même pas la peine de refermer son pantalon et, une fois dans l’ascenseur, m’ordonna de le branler jusqu’au 3ème étage. Une fois arrivés devant ma porte, je pris mes clefs et il me laissa à peine le temps de les tourner dans la serrure et de rentrer, il m’agrippa soudain par les cheveux, me tira vers le bas sur le sol du couloir de mon appartement, referma d’un coup de pied la porte d’entrée et m’obligea a avaler de nouveau son imposant membre.

- Allez, avale-moi tout ça, finalement j’ai envie de t’en mettre partout sur ta gueule de pouffiasse, pompe-moi bien, lèche mes couilles aussi !

Il me parlait vraiment comme si j’étais une merde, j’en avais les larme aux yeux, mais je n’avais pas envie que ça s’arrête alors je faisais de mon mieux pour le satisfaire, essayant de ne pas vomir lorsqu’il s’enfonçait trop loin dans ma gorge. Parce que c’est ce qu’il faisait, il me baisait littéralement la bouche en me tenant fermement la tête pour que je ne puisse pas atténuer ses coups de reins. Au bout de quelques minutes il se figea au fond de ma gorge et étouffa un long râle.

- AAHHhhhh ouaiiis ! Putain je te gicle sur la glotte ! Avale tou t! Je veux pas que tu recraches !! Ohhh c’est bon !!!

J’étais rouge écarlate car sa queue m’empêchait de respirer, j’ étais obligée de tout avaler, et quand il daigna enfin se retirer, je mis plusieurs minutes à récupérer une respiration normale

- T’es une bonne soumise ma petite Ana, tu seras récompensée dans quelques minutes le temps que je me remette ! 

Et il alla dans la cuisine se servir un verre de whisky.

Après m’être remise, j’entrai dans le salon où Martin s’était installé, le verre à la main.

- T’inquiète pas, je vais vite rebander si tu m’aides un peu, et je vais te faire ta fête, je vais te prendre la chatte comme ça ne t’es jamais arrivé. Et je vais t’enculer !

M’enculer ? Mais je n’avais jamais fait ça, et je n’en avais pas du tout envie, surtout avec un engin comme le sien. Il dut capter dans mes yeux une lueur de terreur car il se mit à rire.

- Ah ah ah, tu as bien entendu, je vais t’éclater le fion. Ce soir Ana, t’es ma pute, et une pute, ca ne refuse rien si ça veut être bien payée à la fin !

Il m’attira vers lui et m’assit sur ses genoux en m’embrassant. J’étais emplie de doute et de peur, qu’avais-je fait de faire entrer un inconnu chez moi, un homme qui, de par sa carrure imposante, pourra faire ce qu’il veut de moi par la force ? Et si je lui demandais de partir maintenant ? Après tout il ne va tout de même pas me violer ! Si ? Oh lala et sa bite, mais elle est trop grosse, même pour mon vagin, je vais avoir mal pendant des jours ! Il faut que je lui dise de partir !

Mais il ne me laissa pas le temps de dire quoique ce soir, il m’allongea sur le canapé, et commença à m’ôter mon leggins, avec une étrange douceur, comme s’il avait entendu mes pensées. Il m’enleva également ma tunique et je me retrouvais en sous-vêtement devant cet homme noir qui me regardait avec désir.

- Écoute, cette expérience, tu ne la regretteras pas, je te promets, lâche-toi, laisse-moi faire. Dit-il avec assurance.
 
Et il plongea sur ma poitrine dont il dégagea les tétons du soutien-gorge pour les embrasser, puis les lécher, les téter, les mordiller. Il m’avait convaincu ! C’était si bon, je frissonnai. Il descendit ensuite sur mon ventre, toujours avec sa langue et ses lèvres, pour ensuite arriver sur mon intimité, il fit glisser mon boxer le long de mes jambes et commença à me lécher avec adresse.

- C’est bien, t’es épilée entièrement, j’adore ça !
 
Il savait y faire, il ne fallut pas longtemps pour que je gémisse de plaisir. Il jouait avec mon petit bouton d’amour et je perdais la tête, c’était si bon ! Je mouillais comme une folle, et lorsqu’il introduisit deux doigts d’un coup dans ma grotte, un petit cri s’échappa de moi. Pendant qu’il me masturbait, il en profita pour passer sa langue plus bas, entre mes fesses, sur mon petit trou, ce qui eut pour effet de me filer la chair de poule comme jamais. Il s’y attarda un moment tout en remuant ses doigts dans mon vagin. Puis il posa son pouce contre mon anus et poussa légèrement, je me contractai.

- Laisse-toi aller, tu vas voir, tu vas adorer.

Et il enfonça son pouce… Ce n’était pas désagréable en fait. Il changea ensuite de doigt et mit son majeur, plus profondément, et ensuite son index. Il me branlait la chatte d’une main, et me sodomisait de l’autre, et moi je soufflais de plaisir.

- Ok, ca suffit, il est temps que je te baise maintenant, ma salope à moi !

Et là, plus de douceur, plus de tendresse, il me fit me lever avec rudesse, me retourna sur le canapé, la poitrine contre le dossier, m’écarta les cuisses et d’un coup, sans préambule, m’empala la chatte sur son mastodonte !

- Aaaahhhh arghhh mais tu es fou, tu me fais mal !!! Hurlai-je les larmes aux yeux.

- Ferme ta gueule sale putain, je t’ai dit que j’allais te baiser comme jamais, je tiens ma promesse. T’es une chienne ! Alors je te monte ! Je t’éclate la moule !!

Il sortit son énorme queue pour la rentrer plus fort encore, recommença, encore et encore. Je criai ma souffrance mais après quelques minutes je commençai à ressentir des ondes de plaisirs m’envahir. Il me défonçait et me tirant les cheveux et moi j’en redemandais.

- T’aime ça, dis-le que t’aime ça !

- Oui ouiii c’est bon, j’adore ta queue au fond de ma chatte, défonce-moi !

Il me tirait les cheveux et me claquait les fesses. Il me poussa de nouveau sur le canapé, me retourna, passa mes jambes sur ses épaules et s’enfonça de nouveau en moi, plus profondément encore. J’avais l’impression d’être transpercé de part et d’autre de mon corps. Il se pencha et mordit un de mes seins, ce qui me fit hurler de douleur.

- Mais putain ta gueule je t’ai dit !
 
Et il claqua ce même sein avec sa main, je pus retenir mon cri cette fois ci.

Après quelques minutes de ce traitement, il se retira, en nage, la bite toujours fièrement dressée et m’ordonna de me lever du canapé.

- Maintenant, trainée, tu vas te mettre à quatre pattes par terre illico.
 
J’obéis sans broncher, après tout je prenais un pied d’enfer avec ce mec !

Une fois à quatre pattes à même le sol, il me donna l’ordre de me cambrer au maximum.

- Comme une chienne qui donne son cul au berger allemand du voisin, dépêche !

Il se pencha, mis sa main entre mes cuisses, récolta de la mouille sur ma chatte et l’étala entre mes fesses. Je savais ce qui allait se passer, la peur me saisit à nouveau, surtout en jetant un œil sur son sexe, qui semblait encore plus gonflé qu’avant. Il s’agenouilla derrière moi, cracha sur mon anus, introduisit une nouvelle fois son majeur puis son index, fit quelques va et vient qui ne me firent pas mal une seconde.

- Tu vois, tu t’habitues, je savais que t'étais une belle salope, mais de là à accepter une première sodomie sans broncher, ça ça me tue !
 
Et là, il ôta ses doigts et posa son gland sur mon œillet. Il poussa et la douleur m’envahit, les larmes coulèrent d’un coup.

- Ooohhh aïe aïe arrête Martin arrête, tu me fais mal !

- Tu rigoles ou quoi ? Je vais te casser le cul ! Prends ça !

Et d’un coup il enfonça sa bite jusqu’à la garde dans mon fondement

- AAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHH AHHHHH Putain !!!! Ahhhh t’es taré, ah putain, ca fait trop mal !

Il n’en avait rien à faire de mes cris, de mes supplications pour qu’il arrête tout, il fit coulisser sa queue jusqu’à la sortie et la renfonça d’un coup, m’arrachant un hoquet de douleur, et il recommença encore. La douleur était immense et je me mis à me débattre. Il claqua mes fesses, m’attrapa un bras et le tordit dans mon dos pour que je cesse de gigoter. Cette posture m’obligeait à me cambrer encore plus.

- Arrête de te débattre, sinon je tu vas te péter le bras toute seule !
 
Je me calmai pour ne pas aggraver les choses. Il me ramonait le cul avec énergie. Je sentais toujours une grosse douleur mais bizarrement je commençais également à aimer cette douleur justement, elle était mêlée à autre chose, et même si chaque coup de butoir me faisait hoqueter, entre mes cuisses ma chatte recommençait à couler. Quelle salope j’étais !

- T’aime que je te dilate le cul, hein ma grosse salope ! Je sens bien que tu mouilles ! Vas-y, crie bien fort, j’adore ça, ça m’excite !

- Oh putain tu m’éclates le cul avec ta grosse queue, t’arrête pas putain oh oui !

- T’es qu’une truie qui aime se faire péter le cul, t’es bonne qu’à te faire défoncer, salope !

Il ne me ramonait plus maintenant, il me pistonnait carrément, comme un fou, il s’était relevé sur ses jambes, avait lâché mon bras pour attraper mes cheveux et les tirait en m’insultant, à bout de souffle.

- J’t’encuuuule ! Je te casse le cul !!!! Puuuuute !

Et il m’assena le coup de grâce en se plantant au plus profond de mon anus et en expulsant de longues giclées de foutre avec des soubresauts. Je tombai à la renverse et lui sur moi, chuchotant des mots sans queue ni tête et en inspirant et expirant très fort.

- salope… prise… truie… encore…. Pute…. Salope…. Salope… foutre… chienne…
 
Puis, il se releva, alla se rafraichir dans la salle de bain pendant que je m’assis, non sans douleur sur le canapé. Il revint, récupéra ses affaires, s’habilla sous mon regard interrogateur, je pensais qu’il resterait dormir au moins. Il prit quelque chose dans sa poche, une petite liasse de billet qu’il me jeta à la figure.

- T’es une bonne pute, je reviendrais te voir pour te mettre ton compte !

Et il disparut, claquant la porte sans un baiser, me laissant seule, humiliée mais heureuse.

FIN

mercredi 1 mai 2024

Hôtel des rencontres sévères - 1ère partie

 Bande dessinée de Claudio Trinca.

*****
A suivre...


lundi 29 avril 2024

Les débauches de mon épouse - Ch. 03

 Texte de Cadan (2011).

*****

Moi, son mari, je suis mis au courant.

Ce mercredi matin, je m’apprêtais à monter dans ma voiture pour aller faire quelques courses quand un homme d’une trentaine d’années m’arrêta :

- Vous êtes bien Monsieur C ?

- Oui, que voulez-vous ?

- Je voudrais vous parler de choses graves concernant votre épouse. Pouvez-vous m’accorder quelques instants ?

- Oui, mais…

- Suivez-moi dans ce café. 

Intrigué, j’accompagnai l’inconnu. Nous nous installâmes à une table un peu à l’écart.

- Ce que j’ai à vous dire n’est pas facile.

- Dites quand même. 

L’inconnu fouilla dans sa poche et en sortit une photo qu’il posa sur la table, retournée. Je pris la photo, et, là, stupeur. Sur cette photo, ma femme, C, toute nue, jambes écartées, mains derrière la tête, seins projetés vers l’avant, dans une pièce pas très propre.

- Mais qu’est-ce que c’est ? 

Silence de mon interlocuteur, mais nouvelle photo. Cette fois-ci, C est toujours nue, mais à quatre pattes, visiblement en train d’avancer. On aperçoit aussi les jambes d’une autre femme.

- Mais ce n’est pas possible ! 

Troisième photo. Cette fois-ci C est à genoux, en train d'écarter les lèvres de son sexe. Je suis abasourdi.

- Il faut que je vous explique. Votre femme a de fortes dettes. Elle fait ça pour éviter la police.

- Mais je vais vous payer.

- Cette somme-là ? 

Et il me présente une reconnaissance de dettes, signée par ma femme, pour une somme astronomique.

- Mais nous ne pourrons jamais. 

- Le problème n’est pas là. Présentez-vous demain à cette adresse avant midi. Vous comprendrez tout. Et pas un mot à votre femme, ou c’est la police. 

Et l’inconnu s’en va tranquillement. Je ne comprends rien : C toujours si sage quand nous faisons l’amour, là, dans ces positions dégradantes. Et que signifie ce rendez-vous ? 

Le lendemain, je quitte mon travail plus tôt et me rends à l’adresse indiquée. L’inconnu me demande où j’ai garé ma voiture. Il me demande de la cacher. Ensuite, il m’emmène dans une pièce où est assis un Nord-Africain d’une cinquantaine d’années.

- Monsieur C ?

- Oui.

- Vous allez voir des choses qui vont vous choquer. Cependant, je vous demande de ne pas réagir, de ne pas bouger, tant que je ne vous l’aurais pas dit. Cela pourrait vous amener de gros ennuis avec la police.

Le premier homme m’emmène dans une espèce de cagibi, avec une chaise pour tout mobilier, et une vitre sans tain qui permet de voir tout ce qui se passe dans la cuisine. J’attends. Une femme est en train de cuisiner, l’homme d’une cinquantaine d’années est assis derrière sa table, mon inconnu a disparu.

Soudain, peu après midi, la porte de la cuisine s’ouvre. Je reste stupéfait. C’est ma femme, c’est C qui vient d’entrer. Mais une C que je n’ai jamais vue. La première chose que je remarque, c’est le gros collier de chien clouté qu’elle porte autour du cou. Puis ce chemisier complètement transparent sous lequel ses seins apparaissent, sans aucun soutien-gorge pour les masquer. Et puis encore cette jupe, si courte qu’elle lui arrive au ras du sexe. Enfin des talons démesurés, elle qui ne porte que des tennis. Elle est, de plus, maquillée avec des yeux très noirs et un rouge à lèvres écarlate. Mais qu’est-ce qui lui est arrivé ? Soudain, j’entends les voix. Celle de cet homme :

- Alors, Lola, tu m’as obéi aujourd’hui ? 

Lola ? Pourquoi l’appelle-t-il Lola ?

- Tu vas m’expliquer ce que tu as fait, petite pute ? 

C ne bronche pas à l’insulte.

- Je me suis habillée comme vous me l’avez ordonnée, Maître. 

Je n’ai pas rêvé. J’ai bien entendu ma femme appeler cet homme maître.

- Dis-le-moi. Je veux être sûr que tu as bien compris.
 
- Oui, Maître. J’ai mis le collier de chien pour que vous puissiez m’attacher la laisse.

- Eh bien fais-le. 

C va vers la table, prend une laisse et l’attache au mousqueton du collier. Je suis sidéré, et pourtant, mon sexe commence à réagir à cette situation.

- Continue, chienne.

- J’ai mis un chemisier transparent, avec mes nichons à l’air. 

Elle a bien dit « mes nichons » !

- Je suis allée acheter la jupe ras la touffe au magasin que vous m’aviez indiqué…

- Au sex-shop, tu veux dire ?

- Oui, Maître, au sex-shop.

- Des gens t’ont vu ?

- Oui, Maître, trois clients ont assisté à l’essayage.

- Ils ont maté ton cul, ma salope ?

- Oui, Maître.

- Tout nu ?

- Non, maître, j’avais une culotte.

- Tu m’as encore désobéi. Donc tu sais que tu seras punie.

- Maître, je ne savais qu’il fallait que je ne porte jamais de culotte.

- Discute pas pouffiasse. 

Je suis au trente-sixième dessous. Ma douce et tendre femme qui parle de ses « nichons », de « sa touffe », qui va au sex-shop et s’exhibe devant trois inconnus. Non, décidément, je ne comprends plus rien.

- Et là, est-ce que tu m’as obéi ?

- Oui, Maître, j’ai le cul à l’air.

- Montre. 

Et C soulève sa jupe pour montrer son sexe nu.

- C’est bien. Continue, Lola. 

- Comme je n’ai pas de bas ni de porte-jarretelles, je suis venue les jambes nues. Et j’ai mis mes talons aiguilles.

- Bon, Lola. Maintenant comme d’habitude. 

Je vois alors C enlever son chemisier et sa jupe, en gardant ses talons. Puis elle se met à marcher devant l’homme qui regarde attentivement ses seins se balancer. Je suis atterré, pourtant mon sexe est tendu dans mon pantalon. Que va-t-il se passer maintenant ?

- Dis-moi quelque chose Lola.

- Je suis à poil pour vous, Maître.

- Tu fais des progrès, Lola. 

Je me rends bien compte que, si elle ne réagit pas aux insultes qu’on lui adresse, C a l’air heureuse (!) quand l’homme l’appelle Lola.

- Maintenant, tu vas appeler Youssef et prendre ta position. Aujourd’hui, c’est toi qui vas lui demander et ne te trompes pas, ou je double la punition.

- Bien, Maître. Je vois ma femme passer la tête par la porte de la salle (je rappelle qu’elle est complètement nue et que des clients de la salle pourraient l’apercevoir) et appeler doucement Youssef. Ensuite, elle se dirige vers le bureau, tend la laisse à « son maître ». Elle écrase ses seins sur le bureau, tend ses fesses vers la porte en écartant les jambes et redresse la tête pour regarder son bourreau (mais en est-il un ?). Mon inconnu d’hier entre dans la pièce.

- Baise-moi, Youssef. Baise-moi comme une salope. 

C’est ma femme qui demande. Youssef ouvre sa braguette et en sort son sexe qu’il commence à caresser en regardant le cul de ma femme. Dès qu’il atteint la rigidité suffisante, il l’approche du vagin de C, s’enfonce d’un coup sec qui la fait sursauter, et commence ses va-et-vient extrêmement puissants et violents. 

Les mains de l’homme pétrissent ses fesses, parfois même les claquent. C ne dit rien, ne bouge pas. Seuls ses seins frottent la table. Elle ne quitte pas des yeux celui qui tient la laisse. L’homme enfoncé dans le sexe de ma femme se raidit soudain. Je devine qu’il déverse son sperme en elle à gros jets saccadés. Nouvelle surprise. C se tourne, s’agenouille et lèche le sexe de Youssef, faisant glisser sa langue le long de la colonne, la tournant autour du méat. Elle ne s’arrête que quand le sexe qui l’a forcée est tout propre. Et elle attend, à genoux, bien écartée.

- Allez, maintenant, c’est l’heure de ta punition. Tu sais pourquoi.

- Parce que je ne suis pas sortie cul nu, Maître. 

Ces mots dans la bouche de ma femme ! Mais est-ce bien encore C de l’autre côté du miroir ? Et mon sexe tendu dans mon pantalon n’a-t-il pas raison de voir plutôt une fille hyper- bandante ? 

C se relève, approche de Monsieur Ali et se couche à plat ventre sur ses genoux. Quelle vision : le beau cul de ma femme est surélevé par sa position, ses seins sont écrasés sur le pantalon de l’homme et sa tête, prolongée de la laisse pend vers le sol. Elle a les cuisses légèrement écartées et on y voit les traces brillantes du sperme de Youssef.

- Tu as le choix de ta punition, Lola : fessée, martinet ou fouet ?

- Je préfère la fessée, Maître.

- Mauvaise réponse, salope. Tu aurais dû répondre "ce qui plaît à ton Maître". Alors, au lieu de 10 coups de martinet, tu en compteras douze. Marie, à toi !

Je vois la cuisinière s’approcher, le martinet à la main. Le premier coup tombe sur les fesses de C qui commencent à rougir. Stupéfait, je l’entends dire « un ». Les coups tombent régulièrement et ma femme continue de compter. Je n’en peux plus. Mon sexe est tendu au maximum. À « dix », j’entends Ali dire :

- Les deux derniers sur les nichons, Marie. Toi, la pute, mets-toi à genoux, mains derrière la tête. 

Je vois C se mettre à genoux, sans rechigner. Je la vois aussi trembler. Pourtant, elle a pris la position ordonnée. Je me rends même compte qu’elle a écarté les cuisses sans qu’on lui ait rien demandé. Marie s’est placée face à elle. Le premier coup cingle le sein droit. « Onze ». Le sein gauche. « Douze ». Les seins de C sont maintenant marqués de petites lignes rouges.

- Alors, Lola ?

- Je vous remercie de cette punition, Maître, parce qu’elle me rappelle ce que je suis.

- Et qu’est ce que tu es, Lola ?

- Votre… chose, obéissante, Maître.

- C’est bien, Lola. Ce soir, tu retournes au sex-shop. Tu devras acheter ce que le vendeur te présentera. N’oublie pas : cul et nichons à l’air et ton collier.

- Bien, Maître. 

Pour moi, c’est maintenant évident. C, ma tendre épouse, est devenue Lola, esclave sexuelle de cet homme qui ne l’a même pas touchée. Qu’allons-nous devenir ?

- Avant de partir, ta petite récompense. 

Que va-t-il encore se passer ? C, ou Lola, vient vers Monsieur Ali. Elle l’embrasse à pleine bouche. C’est donc ça. Je savais que les prostituées n’embrassaient jamais, sauf leur homme. Ali est devenu l’homme de C. Je ne sais pas si elle s’en est rendu compte. 

Enfin, C recule. Mais pourquoi garde-t-elle la bouche ouverte ? Ce n’est pas possible. Ali lui a craché dans la bouche et… elle a avalé. C s’est rhabillée, si on peut penser que c’est être habillée avec une jupe si courte et un chemisier transparent, sans aucun dessous. Elle a quitté la cuisine. Je l’imagine traverser la salle dans cette tenue, les regards des clients et leurs commentaires. Je suis KO. Ali se tourne alors vers le miroir et, avec un petit sourire ironique, me fait signe de venir le rejoindre.

- Alors, monsieur C. Vous avez compris ?

- J’ai compris que vous utilisiez mon épouse et que je ne laisserai pas faire.

- Vous ne laisserez pas faire ? Mais, cher monsieur, l’ai-je forcée en quoi que ce soit ?

- Non, mais…

- Croyez-moi, laissez Lola vivre sa vie avec moi et vous garderez C vivre avec vous. Sinon…

- Sinon, quoi ?

- Vous ne la verrez plus. Elle vous quittera. 

Je sais qu’il a raison. La C que j’ai vue est de plus en plus dépendante de ce monsieur. Il pourra l’amener à me quitter.

- Qu’attendez-vous de moi ? 

Ali sait qu’il a gagné.

- Pour l’instant, vous allez croire le boniment qu’elle va vous donner pour aller au sex-shop, ce soir. Et je ne vous interdis pas de la suivre, mais ne vous faites pas voir.

- D’accord. 

Ça y est. Je suis vaincu par ce type. C va aller au sex-shop, ce soir, vêtue comme une pute. Je le saurai et je ne pourrai rien y faire.

- Ensuite, vous accepterez tous les prétextes qu’elle vous donnera pour s’absenter le soir, la nuit ou les WE. J’ai des projets pour votre femme. 

Le salaud se moque carrément de moi. Il est en train de m’annoncer que ce que j’ai vu ce midi n’est qu’un apéritif à ce qu’il fera vivre à mon épouse.

- Enfin, si vous avez envie de mater, le cagibi vous sera ouvert… moyennant une petite contribution. Vous m’appellerez ici pour réserver. 

Il me propose carrément de payer pour voir ma femme me tromper. Pourtant, je sais déjà que j’aurai du mal à résister.

- Vous pourrez vous branler, dit-il en riant franchement. Mais, bien sûr, interdiction de participer. Maintenant, vous pouvez partir. 

Je suis dans la rue. La tête me tourne. Je revois les images de C : toute nue, sauf les talons (ce qui la rend encore plus excitante), le cul levé pour recevoir le martinet, les lanières qui claquent sur ses jolis seins, le sexe d’homme dans son ventre et, surtout, ce baiser particulièrement vicieux. Et dire que ce soir, je ne pourrai même pas remarquer les traces sur son corps. Je devrai accepter les excuses qu’elle me donnera pour aller au sex-shop. Pourtant, quelque chose en moi est excité par cette situation. 

Plus tard. Je suis rentré à la maison. C m’attend, vêtue d’une jupe longue et d’un pull ample à haut col. Bisous et échanges sur la journée. Tout est normal. Soudain, je l’entends m’annoncer qu’elle doit passer voir une collègue pour une banale histoire de boulot, qu’elle n’en aura pas pour longtemps, une heure ou deux. Elle est très calme et si je ne le savais pas, jamais je ne pourrais deviner où elle va.

- Bien sûr, ma chérie. Mais essaie de ne pas rentrer trop tard. 

Elle prend son sac, ses clés. Petit bisou. Elle est partie. Je regarde derrière les rideaux pour ne pas être vu. Elle, sur le trottoir, regarde les fenêtres de l’appartement. Je suis invisible. 

Elle monte dans sa voiture, mais le moteur ne démarre pas tout de suite. Je la vois enlever le pull sous lequel apparaît le chemisier qu’elle portait ce midi. Et, bien sûr, le collier de chien est à sa place. Ses seins doivent être bien visibles. Enfin, elle part. 

Je me précipite dans ma voiture et je la suis de loin. Je reconnais le quartier, plutôt chaud. Mais évidemment, à quoi d’autre pouvais-je m’attendre ? Je la vois, de loin, descendre de sa voiture. Les passants détaillent sa poitrine avec un grand sourire. Puis elle entre dans le fameux sex-shop. Sachant que je ne pourrais en savoir plus sous peine d’être remarqué, je décide de rentrer à la maison. 

C a poussé la porte. Le décor n’a pas changé. Quelques clients traînent toujours entre les étals qui montrent des nudités masculines et féminines exposées très crûment, lui semble-t-il. Mais qui est-elle aujourd’hui pour se faire ce genre de remarques ? Le serveur l’a vue entrer et se dirige vers elle.

- Ah, Lola, je t’attendais.

- Monsieur Ali m’a demandé de venir vous voir.

- Pardon ? 

D’un seul coup, C comprend.

- Mon Maître m’a demandé de passer. 

- C’est mieux. 

Les clients, tous des hommes, sont surpris de ce qu’ils viennent d’entendre. Ils fixent C, en particulier, ses seins visiblement nus sous le chemisier. Ils regardent aussi le collier et leurs yeux brillent. C est très mal à l’aise, mais elle sait qu’elle doit aller jusqu’au bout. Elle se doit d’obéir à Monsieur Ali, à son Maître. Elle ne connaît pas encore l’épreuve qui l’attend, mais elle a bien compris que celle-ci fait partie de son plan.

- Ton maître m’a demandé de la lingerie. Suis-moi. 

Le serveur l’emmène vers le fond du magasin. C’est là qu’elle avait vu, hier ces sous- vêtements criards et vulgaires. Mais si son Maître la veut comme ça…

- Voilà, c’est ça. 

Et il lui présente un slip rouge, bordé de noir. Le tissu est un tulle très fin qui ne cachera rien ni de son sexe ni de ses fesses. C veut le prendre, mais :

- Il faut que tu l’essayes. 

Elle lève un pied pour commencer à l’enfiler, mais :

- Enlève ta jupe. 

Ce n’est pas possible. Elle ne porte rien sous sa jupe, elle a… le cul à l’air. Les clients vont pouvoir voir ses fesses. Elle fait quand même tomber sa jupe, sans oser regarder les hommes derrière elle, et se dépêche de passer le slip, qui, elle en est sûre que ne cachera pas grand- chose. Les commentaires la giflent.

- Beau cul, dis donc.

- On doit être bien là-dedans.

- Tu baises, chérie. 

Et des rires… En remontant la culotte, elle se rend compte qu’elle n’a pas de fond. C’est donc ça, une culotte ouverte. Son sexe, encadré de deux fines lanières de tissu noir, est directement accessible. C’est vraiment une lingerie pour fille facile.

- Cambre-toi, dit le vendeur.

- Maintenant, prends tes chevilles à pleine main. Écarte les pieds. 

Les clients observent son sexe, présenté comme à l’étal.

- Il te va bien. Tu commences à ressembler à ce que ton Maître veut que tu sois. 

Il veut que je sois une fille toujours prête à recevoir un sexe d’homme, pense C. Elle ne peut plus rien lui refuser, et cela la panique, mais en même temps, elle sent ses tétons s’ériger. Honte et plaisir mélangés. Le soutien-gorge suit. 

- Enlève ton chemisier et passe ça. 

Ça, c’est un soutien-gorge, mais qui n’aurait pas de bonnet. Simplement, deux demi-cercles de tissu rouge qui se posent sous ses seins, avec deux bretelles rouge vif qui les remontent. Elle imagine l’image qu’elle donne aux voyeurs du magasin. Le vendeur, de lui-même ou sur ordre, elle ne le sait pas, l’emmène devant un miroir. Elle est donc obligée de voir. Et ce qu’elle voit dans la glace ressemble fort à certaines photos des livres et magazines du magasin. Quelle humiliation !

- Fais un petit plaisir à mes clients. Danse pour eux. 

Musique disco. C commence à se trémousser.

- Sois plus sexy.

- Regarde mes clients.

- Fais bouger tes nichons.

- Écarte les fesses. 

À chaque ordre, C s’enfonce un peu plus dans la débauche et la honte. Mais si c’est ce que son Maître veut… Elle sait que le vendeur a eu des instructions de Monsieur Ali, alors, elle obéit. Sous les sifflets, les insultes des clients, elle danse jusqu’au bout de la chanson.

- C’est bon. Tu les gardes sur ton cul, tu te rhabilles, tu me paies et tu te casses. 

C passe à la caisse et s’enfuit. Montée dans sa voiture, elle démarre. Mais, soudain, catastrophe. Que va dire son mari quand il verra ses nouveaux sous-vêtements ? Alors, arrivée en bas de l’appartement, elle les enlève pour les mettre dans la boîte à gants. Elle se rend compte, soudain, qu’un passant s’est arrêté à la portière et fixe, stupéfait, cette femme qui est nue jusqu’à la taille dans une voiture. Vite le chemisier. Elle attend qu’il soit parti pour rentrer chez elle.

- La soirée s’est bien passée, lui demandé-je ?

- Oui, nous avons bien travaillé. 

Tu parles qu’elle a dû bien travailler. Les images de ce midi et les interrogations sur ce qu’elle a pu faire ce soir décuplent mon désir. Je l’enlace et l’embrasse très violemment. C ne réagit pas même quand je remonte ma main le long de sa cuisse. Quand j’arrive au sexe, je ne suis pas surpris de ne pas sentir de culotte, pourtant, je lui demande.

- Mais tu ne portes pas de culotte ?

- Non, j’ai dû l’enlever chez ma collègue. Un petit accident de w.c. Tu comprends ? 

Tu parles que je comprends. Je comprends qu’elle me ment effrontément, mais je ne peux rien lui dire. Alors, je la pousse sur le canapé, sors avec difficulté mon membre turgescent de mon pantalon et la pénètre de toutes mes forces. C ne réagit pas. Elle tourne un peu la tête comme si elle ne voulait pas me voir. Je suis peut-être moins doué que Youssef. Très vite, j’éjacule dans son sexe. Elle me demande d’un air machinal, si c’était bon. Puis file dans la salle de bains. 

Je reste seul, honteux de ce que je viens de faire et je repense à ce que m’a dit Ali : à lui Lola, à moi C. Il faudra que je m’en souvienne et que je lui fasse l’amour tendrement, comme avant, si je ne veux pas la perdre irrémédiablement. Je ne suis pas de taille à lutter dans la perversité avec lui. 

Vendredi midi. Dernier jour de la semaine à devoir aller chez son maître. En est-elle soulagée, ou, au contraire, le regrette-t-elle ? Elle ne sait plus vraiment ce qui se passe dans sa tête. Ce qu’elle sait, c’est qu’elle traversera, ce midi, le restaurant, vêtue de sa jupe ras la touffe, de son chemisier transparent et de ses talons aiguilles ! Dessous, elle aura enfilé ses sous-vêtements de fille facile. Les clients du restaurant siffleront sur son passage, certains l’appelleront :

- Viens ici, chérie.

- Amène ton cul.

- T’as vu les nichons. 

Ça y est. Elle est entrée dans la cuisine, s’est placée debout devant le bureau de son maître et a commencé à se déshabiller : chemisier, jupe, sans même qu’Ali n’ait dû lui ordonner. De jour en jour, elle devient sa chose.

- Garde ta culotte, ton redresse-seins et tes talons. 

Et le scénario, qu’elle attendait recommence. La voilà, cassée en deux sur le bureau, le sexe offert par le slip ouvert. Elle entend Youssef entrer. Son doigt caresse ses lèvres intimes et leur extirpe un peu de liqueur féminine. Pour la quatrième fois, elle va se faire baiser par le serveur. Et dire que durant tout ce temps, son Maître ne l’a même pas touchée. Mais si c’est ce qu’il désire, elle obéira. Ça y est. Le sexe vigoureux du serveur l’a pénétrée. Les va-et-vient violents commencent. Malgré elle, son sexe est ouvert. Jets de sperme au fond de son ventre. Agenouillée pour nettoyer celui qui vient de la forcer. Et dire qu’elle commence à trouver cela normal. Quand elle a terminé, bizarrement, Youssef ne repart pas dans la salle. Il attend quelque chose.

- Lola, reste à genoux en me tournant le dos. Mains derrière la tête et fais redresser tes nichons. Garde la bouche ouverte. Ne bouge pas. 

Qu’est-ce que son Maître a prévu pour elle ? La position n’est pas très confortable et elle sent le jus masculin couler le long de ses cuisses. 

- Youssef, tu sais ce que tu dois faire. 

Youssef sort. Quelques instants plus tard, la porte s’ouvre et un inconnu entre. C a un sursaut, mais elle sait qu’elle ne doit pas bouger. Le visiteur détaille la bouche ouverte, les seins dirigés vers lui, le sexe offert, les cuisses écartées.

- Voilà, Marco. Je tiens toujours mes promesses. Qu’en penses-tu ?

- Pas mal, la femelle.

- Tu peux la baiser par la chatte ou par la bouche, comme tu veux. Elle est à toi.

- On doit être bien dans sa bouche. Elle avale ?

- Elle avalera.

- Alors, je crois que je vais la baiser par la bouche. 

Marco s’approche d’elle, ouvre son pantalon et en sort un sexe violacé. Il commence à se masturber en la regardant.

- Regarde bien ce que tu vas prendre. N’oublie pas de garder les mains derrière la tête. Je ne veux pas que tu me branles, je veux te baiser par la bouche. 

Il approche le gland de la bouche ouverte, l’introduit comme si c’était un sexe féminin. C sent l’engin glisser le long de sa langue et de son palais. Il ne s’arrête pas tant que le sexe n’a pas atteint le fond de la gorge. Elle en a des haut-le-cœur et de la salive coule de sa bouche. Il lui a pris la tête à deux mains pour qu’elle ne bouge pas et les aller et retour se poursuivent. C a l’impression que cela fait une éternité qu’elle a ce sexe dans la bouche. Soudain, elle le sent se déverser au fond de sa gorge. Mais il reste enfoncé en elle pour qu’elle soit bien obligée de tout avaler.

- Garde la bouche ouverte que je vérifie que tu n’en as pas perdu une goutte. Ali, tu as dégoté une suceuse de première. Cette salope a une bouche de rêve. J’espère que je pourrai encore en profiter.

- Je sais, Marco. Lola est une bonne petite pute. Et elle deviendra, j’en suis sûre une bonne gagneuse.

Pour la première fois, Monsieur Ali a associé les mots « Lola » et « pute ». Et, même si elle ne connaît pas le mot « gagneuse », elle pense bien que Youssef et Marco ne sont que les premiers à se servir d’elle. Elle ne veut pas le croire. Et, pourtant, sur moins de deux semaines, elle en est arrivée à se mettre systématiquement nue devant celui qu’elle appelle « Maître », à se faire prendre par derrière pendant qu’on la regarde, et, maintenant, on vient de la « baiser par la bouche ».

- Viens prendre ta récompense. Baiser profond, crachat dans la bouche. C récupère ses vêtements, pensant que la séance est terminée, mais…

- Attends, salope, je n’en ai pas fini avec toi. Il y a un repas privé dans le resto demain soir. C’est toi qui serviras. Tu peux t’habiller comme tu veux, sauf pour les dessous. Tu remets ceux que tu avais aujourd’hui. N’oublie pas de les laver, ils puent le foutre. Et tu vas chercher ce que j’ai préparé pour toi au sex-shop.

- Mais, Maître, demain c’est samedi. Qu’est-ce que je vais dire à mon mari ?

- C’est ton problème, pouffiasse. Tu es là, demain à 18 h. Démerde-toi. Et si tu continues à me contredire, je demande à Marie de sortir le fouet.

- Non, Maître, pardon. 

Dans la rue, elle ne pense qu’aux prétextes qu’elle pourra trouver pour sortir seule, ce soir et demain soir.

A suivre...

samedi 27 avril 2024

Une femme au foyer tout à fait soumise Ch. 03

Texte de Monique2.

*****

Ma semaine avec les artisans.

Le soir même, je racontai tout ça à mon mari. Cela l’excita, il me prit par tous les trous. Après m’avoir baisé un bon moment, il m’encula puis il me demanda de lui laver la queue avec du savon. A genoux il me fourra la queue dans la bouche et me lima jusqu’à se qu’il décharge, puis je lui léchai le gland pour faire disparaître la moindre trace de foutre.

On s’est couché et mon mari s’est endormi toute suite. Moi j’étais fatiguée de ma journée, mais en y repensant je me mis a mouiller. C’est pas vrai, après tout ce que tu t’es enfilée et tous ces doigts qui sont rentrés dans ton intimité, tu as encore envie de te toucher ? Et alors ! Je suis une grosse pute, une grosse salope et les hommes aiment ça. 

Alors je me mis à me caresser en pensant à ce qui m’attendait le lendemain, et je me suis endormie les doigts dans la chatte tout mouillée. 

Le mardi, mercredi, et jeudi, se déroulèrent comme le premier jour, sauf qu’ils venaient me voir le midi et le soir avant de partir. Plusieurs fois ils me demandèrent de faire ça à quatre mais mon mari me l’avait interdit, car le travail sur le toit était aussi important que la baise. Donc à mon très grand regret, je devais refuser, mais je leur promettais d’être leur esclave vendredi et plus vite ils auraient fini, plus vite je serais à leur disposition. 

Le chef continua à m’enculer assis sur lui pour qu’il puisse jouer avec mes gros nichons. Il jouait beaucoup aussi avec ma chatte à y mettre plusieurs de ses doigts. J’appris qu’il s’appellait Didier. 

Le deuxième, j’ai réussi à savoir comment il s’appelle avant qu’il me mette sa grosse bite dans la bouche, c’est Philippe. Lui continua à se faire sucer à me baiser et m’enculer et à décharger sur mon visage pour me voir me lécher les doigts. 

Pour Laurent, tout allait de mieux en mieux, il arrêta de m’appeller Madame et de me vouvoyer. Il bandait de plus en plus longtemps, il se faisait sucer en tripotant mes seins et me baisait mais entre deux, il adorait me voir me branler dans fauteuil, les jambes sur les accoudoirs et ça durait vraiment longtemps pour qu’il soit satisfait. 

D’ailleurs Philippe lui demanda de passer en dernier car il en avait mare d’attendre. Tous les soirs je faisais mon compte-rendu à mon mari, et il me prenait par tous les trous, mais j’avais arrêté de me branler je n’en pouvais plus. 

Le vendredi je me levai pour les accueillir et je demandai à Didier à quelle heure ils finiraient. Il me dit vers 13 heures, je lui dis que j’allais me recoucher et je me réveillerai vers midi pour être en forme pour eux trois. Il me prit les deux seins et les soupesa et me sourit.

-  Ok, nous essaierons de ne pas faire trop de bruit et fais-toi belle et prépare ton cul pour nous.

-  Me faire belle ! Mais je serais a poil et pour mon cul vous l’avez assez dilaté comme ça !

Et je me remis au lit en mettant le réveil à 11 heures 30. 

Vers 12 heures 30, mes trois gars arrivèrent par la porte-fenêtre, j’étais complément nue.

-  Bonjour messieurs, je suis toute à vous, prête a faire tout ce que voulez, je vous ai préparé des sandwichs et des bières.

-  Tu nous a fait attendre toute la semaine ma grosse pute, alors mets-toi à genoux, pendant que l’on se fout a poil ! dit Didier.

Je m’exécute. Philippe est le premier à me présenter sa queue, je la prends dans la bouche, puis Laurent se fait branler de la main gauche et Didier de la main droite. Je commence ma tournée de ces trois queues. Chacun leur tour , je les suce et branle, ça dure un bon bout de temps. 

Puis Didier décide de me mettre sur le canapé sur le dos, Philippe se met sur moi et met sa bite entre mes seins avant de les serrer pour limer. Didier se met face à Philippe et me présente sa queue. Laurent se met à lécher ma chatte et met ses doigts dans mon cul. Au bout d’un moment, Didier me présente ses couilles pour que je les lèche.

-  Arrête de me sucer les couilles, écarte mes fesses et lèche moi le cul ! 

Je lui écarte, et plonge la langue, le nez et la bouche dans son cul.

-  C’est un vrai plaisir de limer entre ses gros nichons à cette pute. Tu as raison Didier je vais me faire lécher le cul après.

-  Hé les mecs ! J’arrive a lui mettre quatre doigts dans le cul !

- Tu m’étonnes pas Laurent ! Elle un cul presque aussi dilaté que sa chatte, cette pute ! 

Didier fut le premier à se retirer.

-  Hé les gars ! Je vais manger un morceau, il va falloir se relayer sur cette pute, on ne tiendra pas la distance !

Philippe me fit me relever et me mettre à quatre pattes. Il dit :

-  Laurent, commence à l’enculer, moi je vais me faire lécher le cul !

Je sens la bite de Laurent entrer en moi et commencer à me ramoner le cul de plus en plus vite. Je mets les mains sur l’accoudoir, Philippe écarte ses fesses et je lui lèche le cul. 

Laurent arrête de me défoncer le cul, Didier est revenu, il fait mettre Philippe sur le canapé allongé sur le dos.

-  Allez grosse salope, tu vas t’empaler sur lui et je prendrai ton gros cul, une double ne devrait pas te faire peur !

-  Non, j’attendais ça depuis une semaine !

Aussitôt dit aussitôt fait, et me voilà prise en sandwich, et ils se mettent chacun leur tour à me défoncer la chatte et le cul de plus en plus vite. C’est le grand pied, je jouis en cascade. 

Au bout d’un moment je vois arriver Laurent qui me présente sa queue pour être sucé, il me la met dans la bouche mais j’ai du mal à le sucer correctement, car ils me défoncent tellement.

-  Hé les mecs ! Arrêtez de la défoncer comme ça, elle ne peut pas me sucer !

- Tu as raison Laurent, de toute façon je vais faire une pause je n’en peux plus !

Didier se retira pour que je puisse me relever.

-  Tu viens Philippe, on va boire une bière, laisse le petit s’amuser avec la pute !

Philippe acquiesça et ils partirent se restaurer. Je demande à Laurent d’aller me chercher une bouteille d’eau.

-  Ok Monique, mais pendant ce temps tu te mets sur le fauteuil, les jambes écartées !

Je m’exécute, il me tend la bouteille. D’une main je me branle et de l’autre je bois au plus grand plaisir de Laurent. Les deux autres se rinçent les yeux. 

Quand j’eus fini de boire, Laurent me présenta sa queue que je pris et je le suçai tout en lui caressant les couilles. Lui me prit les seins par les tétons et me les fit bouger dans tous les sens, cela me faisait un peu mal, mais dès qu’il arrêtait, quel plaisir. 

Philippe me demanda de me mettre à quatre pattes sur le canapé, passa derrière moi et se mit à me baiser. Laurent se mit devant pour je continue à le sucer, puis Didier remplaça Laurent dans ma bouche, et ainsi de suite, je suçai les trois et me fit baiser par les trois, chacun leur tour. 

Pour finir, je me mis à genoux entre eux, ils se mirent tous les trois à se branler et il déchargèrent sur mon visage. Je me mis à avaler tout ce qui était tombé dans ma bouche et il y avait un bon paquet.

-  On ne va pas lui demander de tout lécher, ça fait vraiment beaucoup ! dit Didier. 

Il prit la bouteille d’eau et me la vida sur le visage. Je m’empressai de leur laver la bite avec ma langue et ma bouche. Le premier bandait toujours mais les deux autre étaient revenus au repos. Cela ne m’empêcha pas de les décalotter et de laver leur gland avec la bouche. 

C’était fini, mes hommes se rhabillaient, puis chacun est venu pour m’embrasser et soupeser mes seins. Le dernier fut Didier qui me roula une pelle tout en tripotant mes seins et me dit :

-  Si on passe dans le coin on peut venir te voir ma grosse pute ? 

-  Oui, bien sûr, mais vous téléphonez avant car je ne suis pas toujours là, je fais des ménages dans le village ! 

Et il partit. Moi, je m’allongeai sur le canapé, mis la robe de chambre sur moi et m’endormis complètement vidée. C’est mon mari qui me réveilla.

-  Tu es morte chérie, vas te coucher, j’imagine que tu en a pris dans tous les trous, tu me racontera tes exploits demain. 

Le lendemain matin, tout en le branlant, je lui racontai dans tous les détails ma journée. Très excité il me prit par tous les trous et je jouis encore, je suis vraiment une grosse pute. Pour mes trois ouvriers, mon mari me dit que quand ils appelleraient, je devrais répondre par l’affirmative et leur consacrer tout le temps qui leur fallait. Vous imaginez bien que je les ai revus, mais ceci est une autre histoire.

A suivre....

jeudi 25 avril 2024

Changements de vie pour Jessica Ch. 24

Traduction du texte de Cathartico : "Jessica's Change Management"

****

Jessica et son cul à la fête d'anniversaire.

*** Semaine 3 – Toujours samedi soir***

Les trois étudiants gagnant du jeu de lancer de balles de ping-pong viennent de me baiser la bouche violemment. Je reste à genoux sur le sol, espérant pouvoir reprendre mon souffle et me reposer.

Justin détache mes poignets et mes bras. Ouf, ceux-ci sont enfin libres. Mais mon stagiaire tire les chaînes vers l’avant en les gardant enroulées autour de mes seins gonflés. Puis il les descend et les passe entre mes jambes. Puis de nouveau il saisit mes poignets et me tord les bras dans le dos pour remettre les menottes. Je suis encore attachée, impuissante.

Bon sang, Justin tire sur mon collier et me force à me pencher. Si bien que mes poignets remontent dans mon dos et tire les chaînes dans mon entrejambe. Elles pressent brutalement ma pauvre chatte.

- Ouillle ! Crié-je.

La façon dont les chaînes sont entourées autour de mon corps font qu’elles rentrent dans ma chatte. Au lieu de le faire comme précédemment avec mon short, il utilise cette fois des chaînes en métal. c’est douloureux.

Tandis que je pleurniche sur le mauvais traitement infligé à ma chatte, Justin me tire par le collier jusqu’à un canapé. Il est tellement vieux et usé que la couleur blanche a jauni et s’est transformée en crème. Ce canapé a sûrement connu des temps meilleurs.

Quoi qu’il en soit, Justin me pousse dessus, la tête dans le dossier. Le derrière en l’air, mon cul rond doit faire sensation. En regardant entre mes jambes, les gars ont une vue imprenable sur mes bijoux au nombril qui se balancent et mes nichons pressés contre le tissu jauni. Le stagiaire me dit :

- Allez Face de salope, mes copains ont vu trois de tes compétences. Montre-leur la quatrième. Prouve que tu es une pute anale bien entraînée. !

Je viens de subir un jeu ultra avilissant, alors je peux bien continuer. Les poignets attachés dans le dos j’arrive à atteindre mes fesses facilement. J’obéis donc à Justin.

Je saisis mes fesses avec mes doigts et j’appuie mes faux ongles longs sur ma chair tendre. Je pousse fort dessus avant de laisser mon cul se remettre en place en tremblant de façon sexy.

Puis j’écarte mes fesses pour montrer mon petit trou du cul plissé. Je passe mon index droit tout autour de mon sphincter, puis je l’enfonce dans mon anus. Lentement j’ajoute mon index gauche, puis mes deux majeurs l’un après l’autre.

Woaw, je me sens déjà bien remplie, mais il n’est pas question que j’arrête maintenant. En écartant les doigts j’ouvre peu à peu mon anneau anal. Mon trou du cul fait un clin d’œil aux garçons de la fraternité. Hi hi !

Lentement, je laisse mes doigts glisser à l’extérieur de mon trou du cul pour leur le montrer fièrement. Puis de nouveau je le poignarde avec mes quatre doigts. Encore une fois, je les écarte pour montrer mon trou du cul béant.

Justin s’approche de moi et dit :

- Ça baille pas mal poupée ! Mais nous ferions mieux de te mener à un autre niveau, hein les gars ?

Mince, j’ai un mauvais pressentiment. Bien sûr, sa suggestion est accueillie par les hurlements bruyants des autres garçons de la fraternité.

- D’abord, il faut que nous lubrifiions tout ça, non ? Continue le stagiaire.

- OOOOHHHHH ! Crié-je en réponse.

Alors que mes doigts étirent toujours mon trou du cul, je sens soudainement une humidité hyper collante sur mon anus. Justin vient d’incliner le gobelet rouge et il laisse couler le contenu de bave gluante. Celle-ci coule essentiellement dans mon cul, mais une partie reste collée à mes mains et mes faux ongles. Mon Dieu, je frissonne de dégoût.

- Allez salope, Fais des bulles pour nous ! Ordonne le stagiaire.

Hein ? Quoi ? Qu’est-ce qu’il veut ? Des bulles ? Sérieux ? Il plaisante ou non ?

Je comprends vite qu’il ne plaisante pas. Il me fait voir à quel point il est sérieux en se montrant brutal à la place.

CLAC

CLAC

- Héhé ! Voyons si ça clapote ! Commente-t-il en continuant les fessées qui font trembler mon corps de gauche à droite.

Mais il conclut :

- Non, je ne peux rien entendre. Tu dois essayer plus fort  de faire des bulles, Miss Face de Salope !

En regardant derrière moi, je peux voir les visages des six garçons qui regardent. Ils semblent apprécier le spectacle. Bon sang, j’ai l’impression qu’ils veulent me dévorer. Ça devrait me faire peur, mais au contraire ça m’encourage. Vous vous rappelez de mon lavage de voiture devant des membres du gang « LGZ » ? j’ai survécu à ça, donc je pense pouvoir gérer un groupe d’étudiants.

Sortant mes doigts avec mes faux ongles de mon trou du cul, je garde mes mains sur mes fesses pour les écarter largement et pour commencer à appuyer. Mais rien ne se passe. Alors je serre mon sphincter très fort avant de le desserrer. Mais toujours rien ne se passe. Je commence à serrer mon trou du cul et à le détendre plusieurs fois, mais toujours sans succès.

Je serre, je desserre, je serre, je desserre. Mon trou du cul clignote lamentablement. Le spectacle doit être génial pour les garçons de la fraternité parce qu’ils commencent à se branler en regardant. Mais je n’y arrive pas. La bave a coulé le long de mon cul, il ne doit pas y avoir assez dans mon petit trou pour que je réussisse à faire des bulles. Quoi qu’il en soit , mon salaud de stagiaire n’abandonne pas aussi facilement.

- Bon les gars, je crois que nous devons élargir ce trou avant qu’il ne puisse faire de vraies bulles ! S’exclame-t-il.

S’appuyant sur moi, Justin ne perd pas de temps et plonge directement son membre rigide entre mes fesses. Même si j’ai étiré mon trou du cul avec mes doigts, il résiste fortement à l’intrusion brutale. Mais ça ne dure pas longtemps, car mon stagiaire force et sa bite me pénètre très rapidement.

A cheval sur mon cul, cet enfoiré reste au-dessus de moi dans un angle parfait pour m’enculer. Chacun de ses coups de rein pousse mon corps dans le canapé. Je sens l’assise se comprimer. Je l’entends même commencer à grincer sous la pression.

CRIIIII CRIIII CRIIIII

- Ooohhhh ! Oooohhh ! Oooohhhh !

A chaque coup, mes genoux sont poussés dans le canapé, forçant ainsi mes pieds à remonter très haut dans les airs.  A chaque coup, les cuisses de Justin cognent mon cul et secouent mes fesses. Mon corps tout entier bouge de haut en bas intensément. Je suis littéralement bousculé entre la bite du garçon et le coussin du canapé sans pouvoir contrôler mon corps. Tout ce que je peux faire c’est de gémir.

CRIIIII CRIIII CRIIIII

- Ooohhhh ! Putain ! Oooohhhh ! Oui !

Mon Dieu, cette brute laboure mon trou du cul si fort et si vite. Il me prend le cul et me possède totalement. Il essaie de casser le canapé ou quoi ? De tout façon il résiste, donc Justin garde le rythme pendant les dix minutes suivantes.

- Écarte ! Dit le stagiaire en sortant sa bite de mon cul et en s’éloignant.

Rapidement je pose mes mains sur mes fesses et je les écarte pour montrer mon trou du cul béant. Bon sang, j’ai l’impression qu’il est bien ouvert et bien dilaté. En plus mes fesses se contactent et se détendent au rythme de mon souffle que j’essaie de récupérer.

Fermé, détendu, fermé, détendu…

- Ah ah ah ah ! Rigolent les garçons de la fraternité.

- On dirait que le trou du cul de Miss Face de Salope a sa propre vie.Il respire et baille ! Dit Stylé-Boy.

- Oui, mais il est aussi vide que sa tête. Donc il supplie pour être rempli ! Dit Matt pour se moquer encore plus.

- Prêt pour la prochaine vague de bave, poupée ? Demande Justin en positionnant le gobelet rouge au-dessus de mon cul.

Tous les gars applaudissent. Juste au moment où je pousse deux doigts bien manucurés dans mon trou du cul béant, je sens la bave couler dans mon cul et le long de mes mains. Beurrkkkk ! Mon corps entier sursaute et tremble furieusement. Je n’arriverai jamais à m’habituer à cette sensation gluante et collante.

Je n’ai pas l’occasion d’essayer de refaire des bulles, car Stylé-Boy est déjà sur moi. Les gars sont impatients de mettre leur bite dans mon cul. Et maintenant que Justin s’est écarté, ça se transforme un peu en une cohue bruyante.

Saisissant les chaînes, Stylé-Boy pousse mon corps jusqu’à ce que je m’agenouille latéralement sur le canapé. Dans cette position, mon visage est accessible du côté gauche et mon cul du côté droit. FBI-Boy saute alors sur l’occasion et se présente à ma tête. Il agrippe les chaînes et me tire brutalement en avant.

- OUILLLE !

Il a tellement tiré que les chaînes se sont enfoncées dans ma chatte douloureusement. Cependant, mon cri est vite étouffé par la bite du garçon qui me la fourre dans la bouche sans ménagement. Alors que sa longue et mince queue est à moitié passée entre mes lèvres, je suis tirée en arrière. Stylé-Boy a attrapé les chaînes à mes poignets et m’a tiré vers lui.

- Oooohhhhh !

Je gémis alors que mes gros nichons sont pressés contre le canapé. Avec la bave dans mon cul, son membre glisse facilement à l’intérieur. Il entre profondément jusqu’à ce que ses couilles touchent ma chatte. Puis je suis de nouveau tirée en avant. FBI-BOY a de nouveau saisi les chaînes pour empaler ma bouche sur sa longue bite.

En avant ! En arrière ! En avant ! En arrière !

- Umphhhh ! Oohhhh ! Umphhhh ! Ooooohhh !

Je gémis et pousse des cris étouffés pendant que ces salauds utilisent les chaînes pour me tirer d’avant en arrière.

Chaque fois que FBI-Boy tire, il enfonce les chaînes dans mon entrejambe et sa bite profondément et brutalement dans ma bouche. Par contre, Stylé-Boy se contente de tirer les chaînes. Il ne bouge pas du tout, laissant mon trou béant glisser sur son membre. Sa main libre est sur sa hanche dans une posture ultra-décontractée.

- Oohhhh ! UMMMRRRRRGGHHHH !

Mes gémissements se transforment soudainement  en des bruits étouffés. Apparemment FBI-Boy en a marre de la position décontractée de son camarade. Il saisit ma queue de cheval et enfouit son sexe tout au fond de ma gorge et il me tient comme ça. Même si j’ai des haut le cœur et que j’étouffe  avec sa queue dans ma gorge, je préfère ça au style paresseux de Stylé-Boy. Cet enfoiré ne m’utilise pas comme une poupée glamour sexy et haut de gamme, mais plutôt comme un outil de branlette passif. Quel con !

- Allez salope, montre-moi combien tu veux ma bite ! Ordonne FBI-Boy.

Il retire ses mains de ma queue de cheval et sort sa bite de ma bouche, puis il attend que je fasse un mouvement. Pendant ce temps, Stylé-Boy continue paresseusement de me tirer d’avant en arrière avec les chaînes pour m’enculer.

Sans perdre de temps, je me précipite en avant et j’engloutis profondément l’outil épais et charnu de FBI-Boy. Je réussis à lui faire toucher ma luette avant que l’étudiant derrière moi ne me tire vers lui. Mais il ne semble pas réagir continuant nonchalamment sa traction sur les chaînes d’avant en arrière.

Je lutte alors pour garder la queue dans ma bouche, mais Stylé-Boy est trop fort. Les tensions sur les chaînes font qu’elles se resserrent brutalement autour de mes nichons. Malgré la douleur dans ma poitrine, j’essaie de résister. Mais l’étudiant derrière moi arrive peu à peu à retirer mes lèvres du membre raide de son camarade.

- Argghhhh ! UMMMRRRRRGGHHHH !

Je m’étouffe sur la bite de FBI-Boy dès que Stylé-Boy relâche s prise sur les chaînes.

Avec enthousiasme je me laisse baiser la gorge. Je dois être vraiment pathétique en me montrant comme une femme mature qui se jette sur une bite d’étudiant. C’est vicieux et surtout super humiliant.

J’ai toutes sortes de pensées qui traversent mon esprit. Tout d’abord, le mépris total de Stylé-Boy m’excite vraiment beaucoup. Pourtant je me sens complètement inutile. D’un autre côté la baise de ma gorge prouve que je suis une pute de service bien entraînée. Pourtant c’est totalement dégradant. Tout compte fait, la combinaison des deux m’excite énormément, alors j’oublie mes interrogations.

Je remarque à peine que Stylé-Boy retire sa bite de mon cul pour laisser la place à FBI-Boy. Avec une claque sur mes fesses, l’étudiant me demande d’utiliser mes doigts manucurés avec mes ongles longs pour ouvrir mon cul afin qu’il verse encore une bonne quantité de bave hyper gluante dans le trou béant.

Le reste des garçons rugit de nouveau. Bon sang, les deux tiers du gobelet rouge ont du être versé dans mon cul. Il est presque rempli à ras bord !

- Allez petite pute, montre-nous que tu sais te servir de ton cul. Fais des bulles comme une bimbo Miss Face de Salope ! Ordonne Justin.

Hein ? Quoi ? Des bulles comme une bimbo ? Dois-je prendre cela comme une insulte ? Je ne mérite pas ça non ? Peut-être que si ! Après tout, je ne suis pas arrivée à faire des bulles avec mon cul auparavant. Je dois prouver que mon cul est une de mes compétences. Je veux dire que je ne peux absolument pas risque que ces étudiants doutent de mes compétences. Après tout je veux qu’ils me prennent au sérieux et pensent que je suis plus qu’une simple serveuse.

Mais je n’ai aucune idée de la façon dont je peux réussir. Quoi qu’il en soit, j’enfouis mon visage dans le coussin jauni du canapé et je soulève mon cul très haut. En écartant mes fesses, je commence à serrer et détendre mon sphincter à nouveau pour essayer de faire sortir la bave de mon cul.

- Woaw les gars, elle est bien remplie, on dirait une mer de bave la-dedans ! S’exclame Stylé-Boy.

- Ouais, avec une crête blanche mousseuse sur le dessus ! Répond FBI-Boy en accord avec son ami.

Grrrr ! La façon dont tous ces garçons se tiennent autour de moi et inspectent mon trou du cul béant et rempli de bave me fait littéralement sentir comme un morceau de viande.

- Au moins son cul est plus rempli que sa tête ! Se moque encore une fois Matt.

Bon sang, faut-il que je m’oppose aux moqueries constantes du roi de la fête d’anniversaire ? Avec la façon dont j’ai oublié mes limites si facilement, c’est un peu difficile de m’opposer à lui non ?

Même si je me sens bien remplie, ce n’est pas facile. Je serre et desserre mon cul, encore et encore. Mais rien ne se passe. J’essaie de pousser. Il faut que je réussisse, même si c’est vraiment dégradant. Alors je me concentre et je pousse plus forte en serrant mon cul.

BLOP ! BLOP !

Ça y est ! Vous avez entendu ? Quelque comme chose comme des bruits de bouillon sont sortis de mon cul alors qu’une partie de la bave fait des bulles au bord de mon trou du cul.

BLOP ! BLOP !

Maintenant je sens la bave déborder et piquer mon petit anneau. Je fais des bulles ! Je fais des bulles avec mon cul de bimbo ! Quel triomphe ! Non ? C’est dommage !

Blop ! PROOUUUTTT !

Oh non ! Non, non, non ! Je me suis tellement appliquée à faire des bulles que j’ai trop forcé. Un gros pet est sorti de mon trou du cul béant. C’est horrible !

- Ah ah ah ! Trop cool ! Ah ah ah ! Une salope péteuse ! Rigolent les gars.

Leurs rires ne font qu’augmenter mon embarras. Je suis mal à l’aise. Je me sens trop vulgaire. Je me sens totalement humiliée. Ce n’est vraiment pas cool. Quoi qu’il en soit, j’ai réussi à faire des bulles.

- Les gars, voyons si on peut faire en sorte que cette salope soit moins étroite du cul ! Suggère FBI-Boy.

Il a à peine fini de parler qu’il est déjà au-dessus de moi. En tirant sur les chaînes il enfonce totalement mon visage dans les coussins du canapé. Puis, suivant l’idée de Justin, il se met debout sur le coussin au-dessus de moi pour pouvoir m’enculer. Ainsi, il peut enfoncer à la verticale sa queue dans mon trou du cul dilaté et rempli de bave et crachats. Profitant de cette position idéale, il commence à m’enculer avec vigueur.

CRIIIIII CRIIIIII CRIIIIII

- Mmmmmpphhhh ! Mmmm ! Mmmmmpppphhhh !

Le canapé usé grince tandis que mes grognements sont étouffés par les coussins. A chaque coup de rein, mes genoux sont enfoncés dans le rembourrage du canapé et mes pieds sont forcés de monter très haut. Pendant ce temps tout mon corps ainsi que mes fesses tremblent comme si c’était de la gelée. La bite de FBI-Boy remue la bave et provoque de drôle de bruits.

SPLOSH SPLOSH

Quels bruits humiliants ! Quelle honte !

L’étudiant m’encule violemment jusqu’au moment où il retire brusquement sa bite de mon fondement. Un torrent de bave coule partout et mon trou du cul ne se referme pas.

PRRROOOUUUUTTTTT

Ce bruit de pet est provoqué par mon petit trou qui se referme enfin en expulsant encore de la bave.

- Péteuse ! Dit FBI-Boy joyeux.

J’ai honte ! Je crois que je vais mourir d’embarras. Je ne me suis jamais autant senti humiliée. Et entendre les garçons s’amuser de ma situation la rend encore pire.

Dès que FBI-Boy s’est écarté, Stylé-Boy prend la place. Apparemment, le scénario désagréable que je viens de subir l’a aidé à se débarrasser de sa nonchalance. Il est prêt à montrer à quel point il est un jeune taureau. Prenant exemple sur son camarade, il plonge son outil charnu et épais entre mes fesses et il commence à me sodomiser très violemment.

CRIIIIII CRIIIIII CRIIIIII

- Mmmmmpphhhh ! Mmmm ! Mmmmmpppphhhh !

Les bruits de grincement du canapé se mêlent une fois de plus à mes gémissements étouffés. Je commence à devenir enrouée. Avec force, l’étudiant enfonce mon corps dans les coussins. Il me baise si fort qu’il ne va sûrement pas tenir longtemps.

- Ohhhhh ! Soupiré-je quand il me lâche.

Je n’entends pas de bruits lorsqu’il retire sa bite. Si je n’étais pas aussi concentrée sur le plaisir qui commence à parcourir mon corps, j’aurais souri de son échec à faire comme son ami.

Quand Stylé-Boy est redescendu du canapé, Justin se positionne au-dessus de moi et poignarde mon cul avec sa bite. Je n’ai pas eu droit à une pause. Mon cul est là pour la récompense des gagnants du jeu.

Le stagiaire percute mon cul si fort que j’ai l’impression qu’il veut fendre le canapé qui grince. Après trois grands coups de rein, il retire sa queue tout en claquant violemment ma fesse droite. Cette claque me surprend si bien que je serre mon cul autour de sa queue qui se retire.

BLRRRRBBBB !

Un bruit dégueulasse suivi d’une fontaine de bave qui jaillit de mon cul est le résultat de son action. Trop vicieux !

- Péteuse ! S’exclame Justin comme FBI-Boy auparavant.

Ma peau est rouge de honte. Est-ce qu’ils pourraient arrêter de crier ce mot ?

Revenant sur le canapé, Justin recommence à m’enculer. Il me baise encore plus puissamment. Je suis certaine qu’il va arriver à casser le canapé bientôt.

BLRRRRBBBB !

Une fois de plus, le garçon a giflé ma fesse gauche tout en retirant sa bite de mon cul pour provoquer un nouveau son dégradant. Il continue ce manège pendant un moment et à chaque fois qu’il se retire, il me demande de pousser.

BLRRRRBBBB !

En écartant mes fesses, j’essaie d’obéir consciencieusement autant que je le peux. Chaque fois que je ferme et pousse mon cul, une giclée de bave sort de mon cul. Toutefois, ça devient de plus en plus difficile. Je force si fort que j’ai l’impression que je vais faire sortir mes tripes. Bon sang, être transformée en salope avec un trou du cul béant n’est pas seulement humiliant, mais c’est aussi un travail difficile.

Je perds le compte du nombre de fois où Justin m’empale. Vous croyez que compter tout en se faisant enculer est facile ? Comme si ! Quoi qu’il en soit le stagiaire est de nouveau sur moi et pénètre mon cul comme s’il n’arrivait pas à s’en lasser.

CRIIIIII CRIIIIII CRIIIIII

- Ouillllle !!!!

Avec un grincement extra fort, le canapé usé a finalement cédé et il s’est effondré. Il s’est littéralement plié en deux au milieu. Justin a réussi à sauter juste avant. Cependant, je n’ai pas eu cette chance. Avec un grand cris, mon corps a glissé très vite vers le bas.

- Ahahahah ! Ahahahaha !

Les étudiants sont morts de rire quand ils voient mon corps disparaître dans les ruines du canapé.

Mes bras sont coincés dans mon dos. Mon visage et mes genoux sont encastrés dans la structure cassée du canapé. Mes pieds et mes baskets à talons hauts sont les seuls éléments visibles qui sortent du canapé plié en deux. Je suis complètement figée et les rires moqueurs emplissent mes oreilles. C’est totalement dégradant.

Oh merde, Justin vient d’utiliser la pute d’anniversaire pour réduire en morceau le vieux canapé jauni. Il m’a utilisé comme une vraie poupée de baise. J’ai honte !

CLAC !

- Nous n’avons pas fini petite pute !

Justin me crie dessus tout en soulignant ses paroles avec une claque vraiment brutale sur mes fesses.

Vous croyez qu’il est facile de sortir d’un canapé cassé avec les bras enchaînés dans le dos ? Comme si ! En plus aucun des gars ne m’aide à me remettre sur pied. Ils se contentent de rire en me regardant ramper maladroitement pour sortir des restes du canapé.

Quand finalement je suis sortie du canapé, je regarde les vieux coussins et je vois une tâche humide dessus. Apparemment j’ai réussi à expulser toute la bave de mon cul. Mais je n’ai pas terminé, car les garçons n’ont pas encore joui.

Alors que Justin fait une pause, FBI-Boy attrape ma queue de cheval châtain doré et il me pousse à quatre pattes sur l’accoudoir du canapé cassé. Mes gros seins sont pressés sur le tissu. Heureusement il prend des coussins sur un autre canapé et il les place sous mes genoux pour qu’ils ne râpent pas le sol. Qu’il est prévenant !

Il se place ensuite au-dessus de moi et enfonce sa bite dans mon cul. Puis il me baise avec force. Il saisit ma queue de cheval et tire ma tête en arrière ce qui me fait fléchir le dos. A chaque coup de rein, ses cuisses s’écrasent sur mes fesses et me pousse vers le bas violemment. A chaque fois, l’onde de choc traverse mon corps et envoie des picotements dans ma peau. Et à chaque fois, les coussins glissent en arrière sur le sol.

- Arggghhhh ! Arrrgghhh ! Argggghhhh ! Grogné-je sous ce traitement.

FBI-Boy continue de m’enculer et les coussins glissent de plus en plus en arrière. Comme mes genoux sont appuyés dessus, mes jambes glissent sous moi. Quelques coups de rein plus tard, mes jambes sont totalement étirées et mon cul plane en l’air, comme s’il flottait librement.

Mais cela ne fait qu’accentuer l’impact de mon enculage. Mes fesses suspendues en l’air sont frappées ver le bas à chaque fois. Et comme mes bras sont toujours attachés dans mon dos, je ne peux pas non plus me tenir à l’accoudoir. A chaque coup, je suis poussée plus loin du canapé. Mes gros nichons frottent le tissu jauni. Ouille !

- Ohhhh ! Ummppphhh ! Argghhh ! Ohhh ! Je ne peux que grogner et gémit pendant que je suis bien enculée.

- AAAAAAAHHHHHHH ! Hurlé-je sur un coup de rein plus puissant que les autres.

Mon corps tombe. Et je ne peux pas contrôler ma chute, je ne peux pas la ralentir, car je ne peux pas utiliser mes mains. Je suis en chute libre.

- AAIIIIEEEEEEE ! Crié-je très fort lorsque l’étudiant saisit ma queue de cheval.

Ouille ! Il arrête ma chute une seconde avant que mon visage ne touche le sol. Ce coup sec renvoie ma tête en arrière tandis que ma poitrine s’aplatit sur le sol. Cette secousse est douloureuse.

Mais comme si de rien n’était, FBI-Boy continue à m’enculer tout en serrant très fort ma queue de cheval. Avec les jambes totalement étirées et largement écartées, je suis allongée sur le sol, mes seins aplatis. Dans cette position, chaque fois que sa bite pénètre mon trou du cul, elle s’enfonce plus profondément et je ressens beaucoup plus l’impact.

Mon Dieu, quelle sodomie ! FBI-Boy a plus de résistance que je me l’imaginais. Je suppose que c’est la jeunesse. Comme tous les étudiants, il a de l’endurance en excès.

- Écarte ! Commande-t-il simplement après avoir sorti sa bite de mon trou du cul ravagé.

Avec mes mains toujours attachées dans le dos, j’écarte mes fesses largement. Bon sang, je me sens vraiment dilatée et je veux montrer à ces gars que mon trou du cul peut vraiment bailler, une compétence de plus. Hi hi !

- Ouvre ! Ordonne Stylé-Boy en échangeant de place avec FBI-Boy.

Seigneur ! De toute évidence il n’est pas satisfait de la taille de mon trou. Je plonge alors mes deux index avec mes faux ongles dans mon anus déjà ouvert et j’écarte les parois. Mon Dieu, j’ai l’impression que mon trou du cul est devenu un gouffre.

L’étudiant passe alors les mains sous mon ventre et il relève mes hanches pour que mon cul se retrouve en l’air bien que mes jambes soient encore allongées. Il agrippe mes poignets et il enfonce férocement son outil bien raide dans mon trou du cul.

Il m’encule alors que mes doigts sont toujours en train d’écarter mon trou du cul. Stylé-Boy n’est plus paresseux, il me sodomise avec entrain. Penché sur mon corps son entrejambe cogne mon cul et pousse mon corps vers le bas.

Il m’écrase sur le sol alors que mes bras sont toujours liés et mes index sont dans mon cul. Coup de rein après coup de rein, il me tabasse jusqu’à ce que mon corps soit littéralement pressé sur le sol comme une crêpe. Mais cette fois-ci, l’étudiant pèse de tout son corps sur moi. Bon sang, j’ai même du mal à respirer.

Quand finalement il sort sa bite de mon cul, Justin attrape ma queue de cheval. Dès que stylé-Boy se déplace de dessus moi, le stagiaire tire sur mes cheveux. Je suis complètement épuisée et mon corps est tout mou. Justin se contente de me remettre à genoux.

Puis cet enfoiré se place devant moi en tenant sa bite. Il la relève contre son ventre pour laisser ses couilles pendre devant mes yeux. Docilement, j’avance la tête et je commence à prendre ses boules l’une après l’autre dans ma bouche pendant qu’il caresse sa queue.

Quand il pointe son engin sur mon visage, j’ouvre la bouche consciencieusement. Sa première giclée frappe mon palais. Les deux giclées suivantes atterrissent également entre mes lèvres. Seul la dernière touche ma lèvre supérieure. Je pense qu’il veut un pro de l’éjaculation.

Regarder ma bouche se remplir de sperme pousse les deux autres étudiants à leur paroxysme. J’ai à peine le temps d’avaler le foutre de Justin qu’ils se positionnent à droite et à gauche de moi à genoux et ils commencent à gicler. Leur objectif toutefois n’est pas aussi réussi que celui de leur copain. Même si une partie de leur sperme atterrit dans ma bouche, Stylé-Boy éclabousse son foutre sur mon nez tandis que FBI-Boy gicle principalement sur mon menton.

Justin libère alors mes bras dans mon dos, mais il remet les chaînes comme au début, mes poignets reliés au collier de mon cou. Mais maintenant j’ai les mains presque libres, donc je peux ramasser le foutre sur mon visage pour le mettre dans ma bouche. Je donne le spectacle de lécher mes doigts recouverts de sperme et d’avaler la semence des garçons. Cela me vaut des applaudissements des étudiants.

- Merde ! Quelle putain de vraie salope ! Où as-tu trouvé une telle pute ? Demande le gars au polo rose à Matt.

Bien sûr celui-ci répond en déformant complètement les faits :

- En fait, je ne l’ai pas vraiment trouvée. Dès qu’elle m’a vu dans le bureau, elle a été pressée que je la baise. Je veux dire que c’est une gonzesse assoiffée de sexe. Elle s’est transformée en jouet de baise juste pour attirer notre attention.

Quels mensonges ! N’importe quoi ! C’est vraiment éloigné de la vérité. Me faire poser toutes ces améliorations juste pour aguicher ces jeunes étudiants ? Comme si ! Quelle idée vicieuse ! Quoi qu’il en soit, cette histoire correspond au rôle que je joue ici à la fête d’anniversaire de Matt en tant que serveuse sexy et pute de service. Mais est-ce vraiment un rôle ? Je n’en suis plus si sûre, alors je me contente de sourire plutôt que de protester.

- Bien ! Toutefois n’oublions pas les règles de notre jeu ! Vous vous souvenez tous ? Nous étions d’accord que si cette salope ne réussissait qu’un lancer, les perdants obtenaient une revanche. Rappelle-t-il.

Puis Matt se tourne vers moi et dit avec colère :

- Tu ne veux pas te défiler n’est-ce pas face de salope ?

Zut, J’ai totalement oublié. J’imagine que mon esprit s’est perdu dans mes ébats sexuels. Hi hi !

Mais c’est vrai que j’ai accepté cette règle. Tout du moins, je n’ai pu m’y opposer. Je suis ici comme une simple serveuse et non comme une femme d’affaires. Est-ce que j’ai vraiment le choix de toute façon ?

Et puis peu importe ! Une autre tournée de bière-pong va prendre du temps non ? C’est une chance pour moi de me reposer. De toute façon, qui me dit que l’équipe de Cody, l’étudiant bronzé va gagner cette fois ? Justin et ses amis m’ont déjà baisé, donc ça n’a pas d’importance qu’ils me baisent une deuxième fois non ?

- Tu es sûr que tu vas gagner cette fois ? Dit Stylé-Boy à Cody.

- Oh, je ne parlais pas d’une revanche à bière-pong. Je parlais d’un match-revanche à salope-pong. Répond le garçon bronzé.

Hein ? qu’est-ce qu’il dit ? Non c’est pas possible ! Pas ça ! Quel enfoiré !

- OUAISSSS ! OUAISSSSS ! Crie le groupe de garçons en l’entendant.

- Mais…

- OUAISSSSS ! Salope-Pong ! Continuent-ils tous à crier.

- Mais…

-  OUAISSSSS ! Salope-Pong ! OUAISSSS !

Leur enthousiasme est si écrasant que je n’arrive pas à dire quoi que ce soit. Ils sont en train de me rouler. Je n’ai pas compris les règles comme eux. Mais je ne le ferais pas ! Pas ça ! Mais après tout, je suis ici en tant que serveuse un peu idiote non ? Ce n’est pas de ma faute si je me trompe, ce sont eux qui exagèrent.

Mais ce n’est pas vraiment leur faute non plus si j’ai mal compris les règles. Je suis intelligente et j’aurais du savoir. Alors que dois-je faire ? En fin de compte, je suis ici pour répondre aux souhaits des gars de la fête, et un autre match de Salope-Pong est en tête de leur liste de souhait non ?

- Ok ! Alors faisons un match-revanche de Salope-Pong ! s’exclame finalement Justin.

Mais mon stagiaire ajoute à l’adresse du garçon bronzé :

- Tu as quand même perdu le match. Alors que faisons-nous ? Je te propose que si la petite pute marque moins de points que ton équipe, vous pourrez gicler sur son visage, ça te va ?

Est-ce mieux ? Euhhh je ne crois pas.

- OUAISSSSSS ! Crient les gars pour accepter le deal.

C’est alors que Justin ajoute :

- Bien sûr, il faut que cette idiote puisse utiliser ses compétences. Miss Face de Salope nous a pas montré une grande habilité la première fois n’est-ce pas ?

Il s’exclame alors :

- Mais elle nous a montré qu’elle est une vraie salope. Alors elle va tirer les balles avec son cul !

Hein ? Quoi ? C’est quoi ça ? Tirer des balle de ping-pong avec mon cul ? Je le crois pas !

- OUAISSSS ! OUAISSSSS ! OUAISSSSS !

Bon sang, ils ne vont jamais arrêter de hurler ? Quoi qu’il en soit, je suis totalement défaite. Quelle idée vicieuse ! C’est trop humiliant ! Merde, Justin est en train de devenir un vrai salaud.

- OUAISSSS ! OUAISSSSS !

Les gars n’arrêtent pas de crier leur joie. Au lieu de cela, leurs cris deviennent de plus en plus forts, ils m’assourdissent. Je crois que l’affaire est scellée. Apparemment, étant donné que je suis une salope, je dois le faire.

- Alors Miss Face de Salope, tu ne veux pas impressionner tous ces gars ? Mais si tu le veux. Alors n’est-ce pas la meilleure façon en marquant des points avec ton cul ! Me dit Justin quand il remarque mes réticences.

Bien sûr, tous les étudiants continuent de crier. Justin est un vrai salaud. Il sait que j’aime que les hommes me m‘admirent, comme toutes les femmes d’ailleurs, alors il exploite cette faiblesse. Je veux dire que je sais qu’il me manipule. Mais même, je ressens le besoin de continuer et de taquiner les gars. Ils n’oublieront jamais Miss Face de salope, si je réussis ce coup, non ? Cette idée est bien trop tentante pour que je refuse.

Alors, en essayant de paraître audacieuse et effrontée, je prends l’initiative et je me dirige vers la table de ping-pong. En tirant sur mes chaînes, je m’appuie sur le bord et je remue mon cul d’un côté à l’autre. Tous les garçons de la fraternité se taisent et concentrent leur attention sur mes jolies fesses. Je suis contente.

Oh mince, leur attention m’encourage. j’oublie même pendant un moment à quel point cette situation est ridicule. Je grimpe rapidement sur la table. Dans mon état de surexcitation, je veux vraiment donner un beau spectacle à mes admirateurs, alors je rampe jusqu’à la première balle qui se trouve sur la table.

Je baisse mon visage et je la prends avec ma bouche. Pouahhh, cette balle a roulé sur le sol sale, elle est tombée dans des gobelets de bière et même dans certains remplis de bave. Elle n’est sûrement pas propre. Pourtant, je suis bien trop excitée pour laisser ce détail m’arrêter.

Même si le goût me fait avoir des hauts le cœur, je garde la balle blanche dans ma bouche avec une extrême soumission et je rampe jusqu’à Cody qui se trouve sur le côté gauche de la table. Bien sûr, mon côté soumis a choisi le gars bronzé comme premier gars.

Avec un sourire vicieux, je laisse la balle de ping-pong tomber de ma bouche dans sa main. Je donne l’impression d’être une chienne qui a été ramassée une balle. Bon sang ! Ensuite je rampe jusqu’à la balle suivante et je répète l’action jusqu’à ce que les trois joueurs de l’autre équipe tiennent une balle dans la main.

Enfin, je rampe au milieu de la table jusqu’à ce que mon ventre soit au milieu du filet. Puis je baisse mon visage et relève mon cul. Je suis contente de pouvoir prendre l’initiative et exciter ces jeunes garçons.

- Allez les gars, chargez mon lanceur ! Ronronné-je en appréciant la lubricité du moment.

Cody ne se laisse pas dire deux fois. Il a un rire méchant en se plaçant derrière moi. Il fait rouler la balle de ping-pong blanche sur ma chatte humide et dans la raie de mon cul jusqu’à mon petit trou. La balle reste bloquée entre mes fesses, même quand il enlève sa main.

- Putain les gars, regardez la balle. Ce trou du cul bien baisé a quand même l’air petit à côté. Génial ! S’exclame-t-il.

Oh seigneur, je n’ai pas réfléchi à la taille de la balle de ping-pong. Mais en la sentant coincée entre mes fesses dodues, je la sens énorme. Quel diamètre a une de ces balles ? C’est plus que gros non ? Il faut que j’apprenne à me taire. Vais-je pouvoir prendre quelque chose d’aussi énorme ? Ai-je dépassé mes limites ?

Peu importe, je ne peux plus revenir en arrière maintenant. Les étudiants sont beaucoup trop excités. Alors je bouge mon cul avec la balle blanche coincée entre mes fesses. Je dois donner un spectacle vraiment vicieux.

-Mmmmmm, allez, poussez-la à l’intérieur. Allez-y les garçons, chargez la salope, bourrez-la bien ! Soupiré-je.

Bon sang, ces mots sont vulgaires, ils m’ont échappé. Je ne voulais pas vraiment le dire de cette façon ! L’étudiant bronzé me prend au mot, et saisit la balle. J’ai à peine le temps de tendre la main pour écarter mes fesses avec mes faux ongles longs qu’il commence à appuyer.

- Ohhh ouille ! Grogné-je en sentant la pression sur mon sphincter déjà bien utilisé.

Comme si mon cul n’avait pas assez vu d’action aujourd’hui ! Toutefois il n’est pas encore assez lâche pour accueillir la balle. Mon trou du cul résiste et ne veut pas s’ouvrir. Tout en écartant plus mes fesses, j’essaie de me détendre au maximum.


- Ooohhhh… Uuummmm… Grogné-je encore.

Puis la pression est devenue trop forte et mon trou du cul s’est brusquement ouvert pour laisser la balle de ping-pong entrer. Oh seigneur, ça m’écarte vraiment le cul. Et j’ai l’impression que ça agrandit aussi mes intestins. C’est tellement inconfortable que je veux jouer rapidement. Je regarde par-dessus mon épaule pour chercher le gobelet en plastique rouge que je dois viser.

CLAC !

Une gifle cinglante vient de tomber sur mon cul et m’arrête.

- Tu n’as pas dit que tu voulais que ton gros cul soit chargé ? Attends d’avoir toutes les balles ou alors on considère que tu as perdu. Me dit Cody.

Hein ? Oui je l’ai demandé, mais pas comme ça, pas totalement. Mais bien sûr, le gars a compris comme il le voulait. Alors je me contente d’obéir. Je me retourne et je rampe jusqu’à l’autre côté de la table où se trouve Zach dans son polo rose. Je n’aime pas trop ce snobinard, mais il doit aussi m’enfoncer une balle de ping-pong dans le cul. Et Merde !

J’abaisse mon visage vers le bas et je redresse mon cul en écartant mes fesses avec mes mains pour lui présenter mon trou du cul. Le polo rose coince la balle entre mes fesses comme l’avait fait son copain, mais il ne pousse pas. Au lieu de cela, il attrape mes chaînes sous mes poignets et tire dessus pour que je me relève. En fait, il veut que la balle entre dans mon cul en m’empalant dessus.

La traction sur les chaînes me force à lever le visage de la table. La balle ne bouge pas. Quand il tire de nouveau, je cambre le dos. La balle ne bouge pas. Il tire alors d’un coup sec  et brutal qui me fait reculer de plusieurs centimètres sur la table. Mais la balle ne bouge toujours pas. Malgré tout il continue de tirer, bien que mes pieds pendent en dehors de la table.

PLOC

Finalement, la deuxième balle de ping-pong entre dans mon trou du cul. Enfin ! Elle étire encore plus mon cul en poussant la première balle plus profondément dans mes intestins. Vous pensez que j’avais besoin d’une nouvelle invitation pour ramper vers Josh dans sa chemise boutonnée à carreau ? N’importe quoi ! Consciencieusement, je rampe jusqu’au troisième membre de l’équipe perdante et je lui présente mon trou du cul déjà bien rempli.

- OOOHHHH Crié-je.

Au lieu de pousser la troisième balle dans mon anus, cet enfoiré vient d’enfoncer deux doigts dans ma chatte. Mais comme mon cul est bien plein, j’ai du mal à le supporter.

- Ouais, nous avons bien rempli le réservoir à merde de cette salope. Son trou du cul ne se ferme plus. On peut voir les balles dedans.

Alors que je grogne d’embarras et que je deviens rouge pivoine, il fait signe à tous les étudiants de jeter un coup d’œil dans mon cul grand ouvert.

- Ooooohhhhh… Aahhhhh…

Je gémis à moitié quand il presse ses doigts contre les balles à l’intérieur de ma chatte et qu’il les pousse.

- Ahahahahahah !

Tous les gars rigolent en voyant les balles bouger dans ma cavité anale.

Bizarre ! C’est une sensation tellement étrange. Je me sens douloureusement bien remplie, pourtant je suis excitée. Bon sang ! Je suis bien au-dessus de la simple excitation.

Josh continue à enfoncer ses doigts dans et hors de ma chatte jusqu’à ce que je puisse plus me retenir et que je commence à bouger des hanches sur sa main. Oh putain, quel amusement pour le groupe ! Finalement il garde ses doigts profondément enfoncés dans ma chatte et il presse la troisième balle de ping-pong contre mon cul.

A présent mon petit trou est complètement soumis. Sans bruit, la boule blanche glisse à l’intérieur. Toutefois elle ne rentre pas complètement. Mon cul est si plein qu’un tiers de la dernière balle de ping-pong reste en dehors de mon anneau anal dilaté.

- La machine à baiser, euhhh… La machine à lancer est complètement chargé ! S’exclame Justin théâtralement.

Donc, après m’avoir mise en place, la tête vers le filet et le cul de l’autre, il place un gobelet en plastique rouge près du bord de la table avec un geste dramatique. Je suppose que le moment est venu pour moi de tester ma compétence de tir anal. C’est gentil de la part de Justin de ne pas avoir placé le gobelet trop loin. Mais je suis vraiment nerveuse.

Alors je me dis : « Tu n’es pas la pour diriger, tu n’es pas là pour réfléchir. Tu es ici pour servir les garçons ». Cela me calme un peu, je m’inquiéterai des conséquences un autre jour. Pour le moment je suis ici comme jouet pour les étudiants.

Je regarde par-dessus mon épaule et je me déplace de quelques centimètres à droite. Un peu à droite, un peu à gauche, un peu à droite. J’essaie de placer mon cul en ligne avec le gobelet, mais j’ai l’impression de ne pas trouver le bon angle.

CLAC !

Une grosse claque donnée par Cody me fait arrêter mes mouvements. Je suppose que les gars commencent à perdre patience. Alors je vais tenter mon premier coup. En écartant mes fesses, je fléchis le dos pour lancer la balle. J’ai besoin de lui faire parcourir une certaine distance alors je force un peu. Je pousse soudainement et la balle gicle.

BBRRRRLLLBBBB !

La balle sort de mon cul et un reste de bave est expulsé avec bruyamment avec. C’est vraiment humiliant ! Toutefois la balle fait une courbe et je la vois se diriger vers le gobelet. Presque… presque… Mais elle atterrit sur la table juste devant le gobelet. Le rebond ? Je me souviens de la règle du rebond. Mais la balle rebondit au-dessus du gobelet rouge. Loupé ! J’ai raté mon premier coup, mais la direction n’était pas mauvaise du tout.

Bon, il faut que je m’y prenne autrement. Alors je me penche en avant jusqu’à ce que mes seins se balancent sous moi et que mes tétons touchent la table. C’est une meilleure position pour un tir en cloche. Du moins, je l’espère.

Je pousse brusquement, mais la balle ne sort pas ! Oh mince, elle est enfoncée trop profondément dans mon cul. Je pousse fortement et je sens la balle de ping-pong sortir lentement. En fait mon sphincter s’ouvre et se ferme autour de la balle au rythme de mes poussées.

- Clignote ! Clignote ! Crient les étudiants en voyant mes efforts.

Hein ? Clignote ? Sérieux ? Il pense à un clignotant en voyant mon petit trou s’ouvrir et se fermer. C’est dégradant. Je donne une dernière poussée et finalement la balle est éjectée. Je la regarde faire un arc de cercle, voler… Voler… Elle se rapproche du gobelet… De plus en plus près… Mais elle arrive et survole le récipient. J’ai poussé trop fort.

Bon sang de bon sang ! Deux essais et pas de points. J’ai déjà perdu. Je ne peux plus échapper aux conséquences, car l’équipe de Cody avait marqué deux points.

CLAC !

Bien sûr, Justin s’assure que j’ai compris le résultat en assénant une grosse claque sur mes fesses.Il me dit :

- Tu as perdu, petite pute ! Dommage ! Essaie de faire du dernier lancer un beau spectacle. Dis « clignotant » à chaque fois que tu nous fais un clin d’œil avec ton cul, Miss face de salope !

Quoi ? C’est idiot ! Je vais avoir l’air complètement stupide ! Mais je suppose que c’est ce qu’il recherche. Avec mes doigts manucurés et mes ongles longs écartant mes fesses, je baisse mon visage sur la table et je pousse. Mais rien ne se passe. J’ai l’impression que la balle est coincée dans mes intestins. Je pousse fort et je me contacte. Mon sphincter s’ouvre et se ferme violemment. La balle ne sort pas. Rassemblant toutes mes forces à nouveau, je pousse encore.

- Clignotannnnttt ! Pleuré-je en sentant mon trou du cul béer comme jamais.

- Clignotanntttt hihihi ! Dis-je en poussant à nouveau, le mot se transformant en un rire nerveux et embarrassé.

Oh seigneur, la balle est bien coincée dans mes entrailles et elle ne veut pas sortir. Je me prépare et je force à nouveau. Il faut que ça fonctionne, je ne suis pas stupide au point de ne pas pouvoir faire sortir une balle de ping-pong de mon cul.

- FFFFRRRRRTTTT ! GGGGGRRRRRRLLLGEEE !

Au lieu de la balle, ce sont des bruits inconvenants qui sortent de mon cul.

- Péteuse ! Crient les gars de la fraternité.

Oh non ! Je ne peux pas dire ce qui est le plus humiliant entre crier « Clignotant » ou faire des bruits de pets. La honte commence à me submerger totalement. Il n’est pas question que je n’y arrive pas, alors je me concentre sur la prochaine poussée.

- Clignooootttaaaaannnnt…hihihihihi !

FRRRRRTTTTTTT ! PLOC ! FFFRRRRTTTT !

Finalement, la balle sort de mon cul avec d’autres bruits dégradants. Mais ils ont été couverts par mes rires stupides et gênés. Ce tir a beaucoup plus de puissance alors la balle a survolé le gobelet en plastique rouge et elle est tombée sur le sol.

Mince, je n’ai pas réussi à marquer un seul point. Mais peu importe, ça n’a plus vraiment d’importance. Je suis ici pour divertir les garçons et non pas pour gagner un jeu à boire. Je pense avoir gagné au niveau du divertissement non ?

Dès que la balle touche le sol, les trois gars de l’équipe de Cody se dirigent vers l’un des vieux canapés usés.

Le jeune gars bronzé me dit alors :

- Viens ici salope ! Tu dois nous faire bien juter, mais d’abord tu dois nous faire bien bander. N’est-ce pas Miss Face de salope ?

Je peux voir que chacun des trois étudiants a un énorme renflement dans son pantalon. Toutefois ils n’ont pas encore sorti leur engin. Bon oui, je dois les faire jouir d’une manière ou d’une autre. Mais il n’est pas question que je les baise ou que je les suce. Donc il faut que je danse érotiquement non ?

Alors je descends de la table et je chancelle sur mes baskets compensés tout en balançant mes hanches d’un côté à l’autre de façon exagérée. Avec mon short court et moulant orange vif baissé et ma poitrine sortie du débardeur, il ne me reste pas grand-chose à enlever.

Mais tant pis, la perspective de danser pour ces étudiants me fait me sentir salope. J’ai déjà dansé pour les membres du gang de Daniel. C’est un bon boulot pour une poupée glamour non ? C’est mieux que de servir de la bière.

Alors que je m’approche de l’équipe perdante, les trois garçons se mettent à l’aise sur le canapé et écartent les jambes rapidement. Je me place entre les jambes de Snob-Boy et je m’accroupis. Posant mes mains sur ses jambes, je me penche en avant jusqu’à ce que mes gros nichons touchent son jean.

Bougeant les épaules, je fais littéralement rebondir es gros seins. En augmentant la vitesse, ils commencent à se balancer à droite et à gauche comme une pendule. Peut-être arriverais-je à hypnotiser les garçons hihihi ! Quoi qu’il en soit la chair tendre de ma poitrine gratte le tissu rugueux du jean ainsi que l’énorme renflement dessous.

A gauche ! A droite ! A gauche ! A droite !

Je secoue les épaules et j’essaie de le faire le plus rapidement possible sur l’entrejambe de l’étudiant au polo rose. Bon sang, j’ai l’impression que mes gros seins vont se détacher de mon corps. Bientôt, je sens que sa bite palpite à travers son pantalon, alors je m’arrête, il est prêt.

Saisissant la fermeture éclair de sa braguette avec mes faux ongles, je la descends et je sors sa bite de son jean avant de la branler deux fois. C’est tout ce qu’il lui faut pour jouir.

Même si j’ouvre la bouche consciencieusement et que je sors la langue très loin pour accueillir son sperme, la première giclée arrose ma joue droite et laisse une longue traînée blanche sous l’œil. Les deux giclées suivantes ne sont pas plus précises et éclaboussent encore ma joue droite.

Avec le côté droit de mon visage complètement plâtré, je me redresse et je me mets entre les jambes écartées de Josh. En me retournant, je lui présente mon cul nu et je commence à faire rebondir mes fesses comme si j’avais un mécanisme hydraulique dans les cuisses.

En reculant, je presse mes fesses contre sa poitrine et j’écrase ma douce chair contre son torse. Je m’accroupis en laissant glisser mon cul vers le bas de sa chemise jusqu’à ce que j’atteigne son entrejambe. En bougeant mes hanches, je frotte mes fesses sur le renflement de son pantalon.

Les mains posées sur les jambes du garçon, je reste dans cette position accroupie, mon cul en arrière et je commence à cogner son entrejambe. Je frappe le renflement dur de sa bite avec mon gros cul comme si j’essaie de déchirer son jean.

Balancer ! Frotter ! Frapper !

Je frotte mon derrière sur les genoux de Josh comme la meilleure strip-teaseuse de tous les temps. Pendant ce temps, le foutre gluant de Snob-Boy coule sur ma joue droite. Je sens la bite sous le pantalon devenir de plus en plus dure. Et soudainement l’étudiant saisit ma queue de cheval et m’oblige à faire demi-tour brutalement.

Avant même que mes genoux touchent le sol, il sort sa bite de son jean et il éjacule. Guidant ma tête en tenant fort ma queue de cheval, il tourne mon visage. Oh putain il ne gicle qu’une seule fois une quantité impressionnante de sperme qui recouvre ma joue gauche. Maintenant, mes deux joues sont tellement couvertes de foutre que j’ai l’impression de porter un masque au sperme.

Voilà, j’ai déjà fait jouir deux gars, il ne m’en reste plus qu’un. Lorsque je me positionne entre les jambes de Cody, l’étudiant bronzé, mon côté soumis reprend le dessus. C’est un connard tellement odieux et avec une estime de soi si imposante que la salope soumise en moi ne peut s’empêcher de ramper vers lui.

Accroupie entre ses jambes, je me penche et je prends mes seins par-dessous. Puis je presse fermement ma poitrine contre son entrejambe. Lentement il se laisse glisser, laissant mes gros nichons glisser sur son ventre et sa poitrine.

De haut en bas, je presse mes seins sur le haut de son corps jusqu’à ce que mes tétons soient bien durs. Je pense idiotement qu’ils pourraient couper le tissu de son polo tellement ils sont durs et pointus. Bien sûr cet enfoiré bronzé décide de ne pas me laisser faire. Il saisit brutalement mes seins pour les serrer violemment. Tout en les tenant, il prend le contrôle de mon corps pour le guider vers le haut.

Il n’arrête pas de tirer dessus jusqu’à ce que ma poitrine soit au niveau de sa tête. Il colle alors son visage entre mes nichons, puis il bouge rapidement sa tête d’un côté à l’autre tout en soufflant sur ma chair. Bon sang, ça fait claquer mes seins sur ses joues en créant un bruit bizarre. On dirait un moteur de bateau . Il s’amuse avec moi et mon côté soumis le laisse faire ce qu’il veut.

BRRRRRRMM ! BRRRRRMM ! BRRRMM !

Puis il commence à gifler mes seins des deux côtés, ce qui fait que ma chair tendre cogne fortement contre ses joues alors qu’il continue à faire du bruit de bateau à moteur. Finalement il se lasse de cet amusement et il resserre à nouveau ses mains sur mes nichons. Il serre fort et tire mon corps vers le bas en utilisant mes seins comme poignées. Il me plie de plus en plus bas !

- Ouvre ! Ordonne-t-il soudainement.

Ce n’est qu’un mot, mais je suis totalement sous son emprise alors je comprends immédiatement. Ma tête planant sur son entrejambe, je me précipite en avant et j’essaie de saisir la fermeture éclair de sa braguette avec mes lèvres. Mais je la rate. J’essaie une deuxième fois, mais je rate à nouveau.

S’impatientant de la stupidité de la pute de service, Cody serre encore plus fort mes seins et me tire en avant jusqu’à ce que mon visage soit fermement pressé contre son entrejambe. Ouvrant les lèvres, j’utilise ma langue pour tenir la fermeture éclair avant de tirer dessus. J’ouvre alors sa braguette et je laisse sa bite sortir.

- Branle-moi avec tes nichons, petite pute !

Son ordre ne fait pas partie de ce qui était convenu. Mais je n’objecte pas du tout. Je prends mes deux seins et je les enroule autour de sa bite déjà bien raide et gonflée. Puis je les fais glisser de haut en bas. En appuyant très fort, la chair de mes seins gonfle autour de sa bite pour lui fait un massage parfait.

Avec un grognement profond, il garde sa queue entre mes seins alors que ses couilles sont en train de bouillonner. Je suis en train de le traire et il éjacule contre mon menton, me prenant ainsi au dépourvu. Puis il sort sa bite de ma poitrine et pulvérise le reste de son foutre sur mes gros seins. Oh seigneur, le sperme de ces garçons recouvre mes joues ainsi que mes deux gros nichons.

 Comme les gars se sont bien vidés les couilles sur moi, Matt passe alors derrière moi et me remet sur pieds en tirant sur ma queue de cheval. Ouillle !

Les étudiants sont déjà occupés à commencer une autre partie de bière-pong. Ils se sont vidés et la pute de service est déjà oubliée. C’est vraiment dégradant d’être traitée ainsi. Maintenant, ils ne pensent plus qu’à s’amuser et boire.

- Bien, Miss Face de Salope a été bien enculée et arrosée ! Tu ne ressembles plus à rien. Va te nettoyer, puis occupe-toi du service, petite pute ! M’ordonne Matt après que je lui ai fait face avec un gros tiraillement sur ma queue de cheval.

Au moins, cet enfoiré reste concentré sur moi et non sur un jeu alcoolisé idiot. Quoi qu’il en soit, je lui suis un peu reconnaissant de son ordre, car je vais pouvoir faire une courte pause. A la hâte, je cherche mon short dans la pièce. Justin l’a simplement jeté dans un coin après me l’avoir enlevé.

Finalement, je le vois traîner sous la table de ping-pong. Oh Non ! Sérieux ? Je dois absolument me mettre à quatre pattes et ramper sous la table pour le récupérer pendant que le groupe d’étudiants joue à bière-pong. Bien sûr, mon cul reçoit une claque de chaque garçon que je croise sur mon chemin. Je me dépêche alors de remettre le short orange avant d’emporter toutes les bouteilles de bière vide avec précaution dans la cuisine.

Je suis complètement seule dans cette petite pièce. Tous les étudiants sont en train de danser ou de jouer dans les différentes pièces. J’ai donc un peu de temps devant moi ! Bon Dieu, que vient-il de se passer ?

Le jeu de salope-pong ? Complètement humiliant ! La séance de baise ? Au maximum ! Cependant, je ne me sens pas aussi humiliée que je le devrais. Au lieu de ça, j’ai apprécié l’attention de tous ces garçons. Bien sûr, je me suis conduite comme une strip-teaseuse professionnelle. Mais je parie qu’ils n’avaient jamais vu une meilleure pute et strip-teaseuse dans leurs soirées « alccol et salope ». J’ai vraiment prouvé que je suis bien plus qu’une simple serveuse.

Toutefois, je peux maintenant ressentir les conséquences de cette débauche géniale. Je veux dire que je suis toujours un peu éméchée et étourdie, mais je me sens aussi vraiment épuisée. Pendant toute cette session, j’ai agi de manière pétillante et énervée, babillant et gloussant tout le temps. Quelle idiote !

CLAC

Hein ? Quoi ? Qu’est-ce que c’est que ça ? Je sors de ma rêverie. Qu’est-ce qui se passe ?

A suivre…