Texte de Monique2.
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Ma semaine avec les artisans.
Le soir même, je racontai tout ça à mon mari. Cela l’excita, il me prit par tous les trous. Après m’avoir baisé un bon moment, il m’encula puis il me demanda de lui laver la queue avec du savon. A genoux il me fourra la queue dans la bouche et me lima jusqu’à se qu’il décharge, puis je lui léchai le gland pour faire disparaître la moindre trace de foutre.
On s’est couché et mon mari s’est endormi toute suite. Moi j’étais fatiguée de ma journée, mais en y repensant je me mis a mouiller. C’est pas vrai, après tout ce que tu t’es enfilée et tous ces doigts qui sont rentrés dans ton intimité, tu as encore envie de te toucher ? Et alors ! Je suis une grosse pute, une grosse salope et les hommes aiment ça.
Alors je me mis à me caresser en pensant à ce qui m’attendait le lendemain, et je me suis endormie les doigts dans la chatte tout mouillée.
Le mardi, mercredi, et jeudi, se déroulèrent comme le premier jour, sauf qu’ils venaient me voir le midi et le soir avant de partir. Plusieurs fois ils me demandèrent de faire ça à quatre mais mon mari me l’avait interdit, car le travail sur le toit était aussi important que la baise. Donc à mon très grand regret, je devais refuser, mais je leur promettais d’être leur esclave vendredi et plus vite ils auraient fini, plus vite je serais à leur disposition.
Le chef continua à m’enculer assis sur lui pour qu’il puisse jouer avec mes gros nichons. Il jouait beaucoup aussi avec ma chatte à y mettre plusieurs de ses doigts. J’appris qu’il s’appellait Didier.
Le deuxième, j’ai réussi à savoir comment il s’appelle avant qu’il me mette sa grosse bite dans la bouche, c’est Philippe. Lui continua à se faire sucer à me baiser et m’enculer et à décharger sur mon visage pour me voir me lécher les doigts.
Pour Laurent, tout allait de mieux en mieux, il arrêta de m’appeller Madame et de me vouvoyer. Il bandait de plus en plus longtemps, il se faisait sucer en tripotant mes seins et me baisait mais entre deux, il adorait me voir me branler dans fauteuil, les jambes sur les accoudoirs et ça durait vraiment longtemps pour qu’il soit satisfait.
D’ailleurs Philippe lui demanda de passer en dernier car il en avait mare d’attendre. Tous les soirs je faisais mon compte-rendu à mon mari, et il me prenait par tous les trous, mais j’avais arrêté de me branler je n’en pouvais plus.
Le vendredi je me levai pour les accueillir et je demandai à Didier à quelle heure ils finiraient. Il me dit vers 13 heures, je lui dis que j’allais me recoucher et je me réveillerai vers midi pour être en forme pour eux trois. Il me prit les deux seins et les soupesa et me sourit.
- Ok, nous essaierons de ne pas faire trop de bruit et fais-toi belle et prépare ton cul pour nous.
- Me faire belle ! Mais je serais a poil et pour mon cul vous l’avez assez dilaté comme ça !
Et je me remis au lit en mettant le réveil à 11 heures 30.
Vers 12 heures 30, mes trois gars arrivèrent par la porte-fenêtre, j’étais complément nue.
- Bonjour messieurs, je suis toute à vous, prête a faire tout ce que voulez, je vous ai préparé des sandwichs et des bières.
- Tu nous a fait attendre toute la semaine ma grosse pute, alors mets-toi à genoux, pendant que l’on se fout a poil ! dit Didier.
Je m’exécute. Philippe est le premier à me présenter sa queue, je la prends dans la bouche, puis Laurent se fait branler de la main gauche et Didier de la main droite. Je commence ma tournée de ces trois queues. Chacun leur tour , je les suce et branle, ça dure un bon bout de temps.
Puis Didier décide de me mettre sur le canapé sur le dos, Philippe se met sur moi et met sa bite entre mes seins avant de les serrer pour limer. Didier se met face à Philippe et me présente sa queue. Laurent se met à lécher ma chatte et met ses doigts dans mon cul. Au bout d’un moment, Didier me présente ses couilles pour que je les lèche.
- Arrête de me sucer les couilles, écarte mes fesses et lèche moi le cul !
Je lui écarte, et plonge la langue, le nez et la bouche dans son cul.
- C’est un vrai plaisir de limer entre ses gros nichons à cette pute. Tu as raison Didier je vais me faire lécher le cul après.
- Hé les mecs ! J’arrive a lui mettre quatre doigts dans le cul !
- Tu m’étonnes pas Laurent ! Elle un cul presque aussi dilaté que sa chatte, cette pute !
Didier fut le premier à se retirer.
- Hé les gars ! Je vais manger un morceau, il va falloir se relayer sur cette pute, on ne tiendra pas la distance !
Philippe me fit me relever et me mettre à quatre pattes. Il dit :
- Laurent, commence à l’enculer, moi je vais me faire lécher le cul !
Je sens la bite de Laurent entrer en moi et commencer à me ramoner le cul de plus en plus vite. Je mets les mains sur l’accoudoir, Philippe écarte ses fesses et je lui lèche le cul.
Laurent arrête de me défoncer le cul, Didier est revenu, il fait mettre Philippe sur le canapé allongé sur le dos.
- Allez grosse salope, tu vas t’empaler sur lui et je prendrai ton gros cul, une double ne devrait pas te faire peur !
- Non, j’attendais ça depuis une semaine !
Aussitôt dit aussitôt fait, et me voilà prise en sandwich, et ils se mettent chacun leur tour à me défoncer la chatte et le cul de plus en plus vite. C’est le grand pied, je jouis en cascade.
Au bout d’un moment je vois arriver Laurent qui me présente sa queue pour être sucé, il me la met dans la bouche mais j’ai du mal à le sucer correctement, car ils me défoncent tellement.
- Hé les mecs ! Arrêtez de la défoncer comme ça, elle ne peut pas me sucer !
- Tu as raison Laurent, de toute façon je vais faire une pause je n’en peux plus !
Didier se retira pour que je puisse me relever.
- Tu viens Philippe, on va boire une bière, laisse le petit s’amuser avec la pute !
Philippe acquiesça et ils partirent se restaurer. Je demande à Laurent d’aller me chercher une bouteille d’eau.
- Ok Monique, mais pendant ce temps tu te mets sur le fauteuil, les jambes écartées !
Je m’exécute, il me tend la bouteille. D’une main je me branle et de l’autre je bois au plus grand plaisir de Laurent. Les deux autres se rinçent les yeux.
Quand j’eus fini de boire, Laurent me présenta sa queue que je pris et je le suçai tout en lui caressant les couilles. Lui me prit les seins par les tétons et me les fit bouger dans tous les sens, cela me faisait un peu mal, mais dès qu’il arrêtait, quel plaisir.
Philippe me demanda de me mettre à quatre pattes sur le canapé, passa derrière moi et se mit à me baiser. Laurent se mit devant pour je continue à le sucer, puis Didier remplaça Laurent dans ma bouche, et ainsi de suite, je suçai les trois et me fit baiser par les trois, chacun leur tour.
Pour finir, je me mis à genoux entre eux, ils se mirent tous les trois à se branler et il déchargèrent sur mon visage. Je me mis à avaler tout ce qui était tombé dans ma bouche et il y avait un bon paquet.
- On ne va pas lui demander de tout lécher, ça fait vraiment beaucoup ! dit Didier.
Il prit la bouteille d’eau et me la vida sur le visage. Je m’empressai de leur laver la bite avec ma langue et ma bouche. Le premier bandait toujours mais les deux autre étaient revenus au repos. Cela ne m’empêcha pas de les décalotter et de laver leur gland avec la bouche.
C’était fini, mes hommes se rhabillaient, puis chacun est venu pour m’embrasser et soupeser mes seins. Le dernier fut Didier qui me roula une pelle tout en tripotant mes seins et me dit :
- Si on passe dans le coin on peut venir te voir ma grosse pute ?
- Oui, bien sûr, mais vous téléphonez avant car je ne suis pas toujours là, je fais des ménages dans le village !
Et il partit. Moi, je m’allongeai sur le canapé, mis la robe de chambre sur moi et m’endormis complètement vidée. C’est mon mari qui me réveilla.
- Tu es morte chérie, vas te coucher, j’imagine que tu en a pris dans tous les trous, tu me racontera tes exploits demain.
Le lendemain matin, tout en le branlant, je lui racontai dans tous les détails ma journée. Très excité il me prit par tous les trous et je jouis encore, je suis vraiment une grosse pute. Pour mes trois ouvriers, mon mari me dit que quand ils appelleraient, je devrais répondre par l’affirmative et leur consacrer tout le temps qui leur fallait. Vous imaginez bien que je les ai revus, mais ceci est une autre histoire.
A suivre....
Un mari "candauliste" qui aime savoir que sa femme s'offre à d'autres hommes . Une petite bourgeoise devenue une belle salope. Rien de meilleur comme épouse. Le mari devrait emmener sa soumise dans les bars et les clubs libertins pour la voir s'offrir
RépondreSupprimerpourquoi toutes les epouses ne font pas la meme chose??
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