samedi 13 avril 2024

Prêtée au centre commercial.

 Texte de Béatrice (2013)

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Mon Maître m'offre surtout quand Il sent ou sait que je ne vais pas aimer ou être mal à l'aise...
 
Comme le WE dernier. On se baladait dans le centre commercial peu après l'heure d'ouverture ; lèche vitrine devant la boutique de lingerie Darjeeling, une parure m'attire. Monsieur le remarque et me demande si je la veux.
 
Comme j'acquiesce Il me dit :

- Ok on rentre et tu l'essayes.
 
J'entre en cabine et me déshabille, bien sûr le rideau laissé grand ouvert. Une fois nue, Monsieur me tend la parure que j'enfile, un bustier avec jarretelles, façon corset, lacet derrière, crochets devant, et un petit soutien-gorge brassière peu couvrant avec un string assorti. j'ai des bas chairs aujourd'hui mais tant pis.
 
Je me rechausse et, juchée sur les 12 cm de talons de mes escarpins noirs, je sors de la cabine pour mieux me montrer à Monsieur. Pas qu'à Lui bien sûr, mais il n'y a pas encore grand monde à cette heure.
Classique mais sexy.
 
Surprise ! Monsieur me tend des bas noirs pris dans le présentoir. Je m'assieds sur une chaise face aux cabines, retire chaussures et bas et enfile les bas noirs en prenant mon temps. Je sais que Monsieur trouve que c'est l'un des gestes les plus érotique chez une femme. Ca et se mettre du rouge à lèvres.
 
Enfin parée, je me lève et tourne sur moi même. Monsieur trouve ça pas mal, juste pas mal et me dit-il faut avoir envie de faire mieux ...Toujours !
 
Il me désigne alors une autre parure à 5 mètres de là, une guêpière noire résille et dentelles et un boxer assorti et me dit :

- Tu te changes et tu vas chercher l'autre tenue. Dans cet ordre si tu l'oses, et tu seras récompensée, sinon tant pis...

Je connais assez bien Monsieur, s'il l'a dit dans cet ordre c'est pour le faire dans cet ordre, mais comme IL m'a laissé le choix, j'hésite. Je me déshabille mais garde tout de même le string et quasi nue je vais chercher l'autre parure tête baissée.
 
Heureusement pas beaucoup plus de monde dans le magasin qu'en cabine, mais quand même, en tout cas pas la vendeuse sinon elle m'aurait vertement priée de me rhabiller avant de me virer.
 
Quand je reviens, la cabine est vide, pas de fringues ni de sac, et Monsieur n'est pas là… Je suis déboussolée, inquiète. Mon portable laissé sur le siège sonne. C'est Monsieur. Il me dit qu'Il est à une autre entrée du magasin et me voit. Comme je n'ai pas osé être nue pour chercher cette tenue Monsieur me dit que je dois la voler ou me la faire offrir, Il s'en fout, je me débrouille, puis je Le rejoins en face avec ou sans, c'est mon problème. J'ai 30 minutes, après Il repart sans moi à la maison.

J'ai perdu 5 minutes à reprendre mes esprits et savoir ce que j'allais faire. Les voler ? Impossible, où les cacher ? je suis nue sans ça. Alors j'enfile la guêpière, fixe les bas noirs, enfile le boxer et remets mes chaussures puis sors des cabines pour chercher qui supplier.
 
Finalement je décide de jouer la franchise et fonce voir la vendeuse en caisse. 

- Mademoiselle, mon ami est parti avec mon sac et mes habits et...

En voyant mon collier de chienne en cuir fermé par un cadenas, Elle m'interrompt et me dit :

- Ami ? pas plus ?

Un peu honteuse je dis :

- Oui, enfin, c'est mon Maître !

Son regard est réprobateur et je la sens tout autant aussi gênée que moi. Elle sait ce que c'est d'évidence, et je lui dis :

- Il m'a lancé ce défi, je dois voler ou me faire offrir cette tenue et le rejoindre en face, vêtue comme ça ou nue si je n'y arrive pas, mais Il part de toutes façons dans 30 minutes.

Elle me regarde à la fois amusée et désolée et me dit d'attendre dans la réserve au fonds du magasin, le temps de prévenir la direction. j'y vais en lui disant que je n'ai plus que 20mn.
 
Arrivent bientôt la patronne et un vigile. Pour faire court, ils m'ont écoutée, puis ont pris mon portable et sont sortis. Ils ont appelé Monsieur. jJe n'entendais rien mais je voyais qu'ils regardaient alternativement la boutique en face et moi, puis ils ont raccroché et sont revenus. Le vigile me dit alors :

- Tu dois t'agenouiller pour nous supplier. Tu proposes quoi ?

Je note immédiatement le tutoiement, et leurs regards déjà peu amènes tout à l'heure montrent maintenant que je ne suis plus grand chose à leurs yeux. Ils ne veulent, bien sûr, pas que je parte juste en promettant de revenir payer. Ce n'était pas la demande de Monsieur de toutes façons, mais j'aurai accepté la punition de Monsieur (que j'ai eu d'ailleurs rien que pour avoir eu l'idée).
 
Je propose de travailler pour elle une journée. Ils se regardent, la patronne hésite, s'apprête à parler puis fait non de la tête. Pas plus pour 2 jours. Le rouge aux joues, j'offre au vigile qu'il me baise, il hésite à son tour mais la patronne le devance et refuse. Je le lui propose aussi. Pas plus de chance. Ca devient délicat mais comme ils ont parlé à Monsieur et n'ont pas appelé les flics je sais qu'il y aura un arrangement, le truc est de trouver quoi et vite. Très vite.
 
je commence à flipper. Alors je lâche les mots, pleine de trouille :

- Ecoutez, ce sera ce que vous voulez... 

La patronne me regarde et dit :

- Mannequin lingerie 4 soirées de ventes privées à la boutique. Tu es menue, pas mal faite et présente bien pour mes clientes quadra.

C'est vrai que je suis encore bien faite et que je fais nettement plutôt 40 ans que mes 53 ans. Même au réveil.

- Et puis de toutes façons tu n'as pas le choix.

Quatre soirées en mannequin lingerie, je dis tout de suite oui, je m'en tire à bon compte. Sauf que le vigile dit à la patronne que lui n'y gagne rien. 

- C'est pas à vous que la parure coûte" répond-elle.

- Non, mais elle a proposé que je la baise.
 
Elle hésite une seconde puis hoche la tête :

- J’ai entendu son Maître, vous avez raison. D'accord. Mais pas de bruit, pas de suite ni de problème après.

Il m'attrape par l'anneau de mon collier de chienne en cuir, et sans se préoccuper que je sois toujours agenouillée m'entraîne au fond de la réserve pendant que dans son téléphone il dit que Monsieur Charlemagne est attendu au PC sécurité. J'entends que le message passe dans les hauts parleurs de la galerie mais je ne comprends pas de quoi il s'agit.
 
Je le suis à 4 pattes dans un couloir arrière d'une cinquantaine de mètres, réservé au personnel, et nous arrivons au PC sécurité. Là je comprends que son message était un code pour faire venir des collègues dans le bureau. Il y a deux types aux caméras et deux autres vigiles. Il leur explique TRES EXACTEMENT l'arrangement et mon état de femelle soumise. Monsieur n'a rien caché, je l'aime aussi pour ça, être fière de pouvoir me montrer sa soumise.
 
Ils m'ont baisée par tous les trous chacun leur tour durant largement plus d'une heure avant de reprendre leur poste mais je suis restée encore près d’une heure avec lui et ses collègues des caméras, qui heureusement ne filmaient ni les boutiques ni la pièce. Une douzaine de capotes y sont passées.
 
Du foutre encore sur les seins et le ventre, la chatte et la croupe irritées, il m'a reconduite à la réserve de la boutique. Nous avons attendus 10 minutes jusqu'à l'arrivée de Monsieur, et pour passer le temps j'ai dû de nouveau lui tailler une pipe. Il m'a alors remise à mon Maître en Le remerciant et Lui disant que c'était payé, mais que je devais encore 4 soirées de mannequin à la patronne de la lingerie.
 
J’étais d’une certaine façon fière d’avoir obéie à mon Maître, soulagée que ce soit fini, et surtout que Monsieur soit revenu me chercher car j’avais largement dépassé le temps fixé et Il aurait pu me laisser là toute la journée à disposition du vigile...
 
Tandis que nous traversions la boutique, sans me laisser me nettoyer, Monsieur m'a fait enfiler mon manteau par dessus la guêpière, le boxer et un bas filé avec une belle échelle.
 
Une fois dans la voiture, Monsieur m’a dit que la femme avait appelé pour Lui raconter l'arrangement entre nous trois et que ça durerait un peu plus de deux heures. Il a rajouté qu'Il était satisfait de moi.
j'en ai remercié mon Maître mais Il a continué en m'annonçant que je serais punie pour avoir osé proposer de revenir payer, désobéissance notoire, qui me vaudrait autant de coups de cravache que le prix de la parure, soit 20 chaque matin toute la semaine.
 
Que faire sinon encore remercier Monsieur ?

FIN

2 commentaires:

  1. Dommage que les fautes d'orthographe et les fautes de grammaire gâchent le texte.

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  2. Bien meilleur que beaucoup. Et pour les fautes, faut(es) pas exagérer.

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