dimanche 7 avril 2024

Une femme au foyer tout à fait soumise Ch. 01

Texte de Monique2.

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Les deux vieux.

Je m’appelle Monique, j’ai 43 ans, mesure 1m56 et pèse 65kg, un tour de poitrine 95D, on peut considérer que je suis un peu grosse. Je suis mariée depuis 15 ans, j’ai toujours été portée sur le sexe. Depuis mon mariage, mon mari m’a plongée dans ses fantasmes et petit à petit, je me suis soumise à tout, je me rase la chatte à sa demande, je ne porte pas de culotte et les collants me sont interdits. Je porte des décolletés sans bien sûr de soutien-gorge. il est le maître, je suis l’esclave consentante bien sûr. Nos rapports ne sont pas SM, mais je suis totalement soumise et mes trois trous sont à sa disposition.

Depuis un certain temps, je fais des ménages chez des gens, et je vais deux fois par semaine chez Marcel, un monsieur de 68 ans qui doit peser au moins 120kg et qui a du mal à marcher. Bien sûr mon mari m’oblige à ne pas mettre de culotte. Je ne suis pas très heureuse, car les vieux ça ne me plaît pas trop, mais mon maître me le demande alors j’obéis.

Marcel s’est bien rendu compte que je ne portais pas de culotte et que mes seins étaient en liberté. Chaque fois que je bougeai, ses yeux étaient rivés sur ma poitrine. Un jour, Marcel a eu un problème de plomberie et m’a demandé si mon mari pourrait arranger ça. Au retour mon mari m’a déclaré :

- Marcel m'a dit qu’il s’était rendu compte que tu ne portais pas de culotte. Je lui ai dit qu’au lieu de regarder il devrait toucher.

Bien sûr, le vendredi suivant, même si ça ne me plaisait pas trop, je devrai laisser faire. Quand je suis arrivée chez Marcel, il était dans son fauteuil et m’a demandé de ramasser un livre tombé devant lui. Je me baissai. Il avait une vue sur mes seins. Il a tendu la main en passant dans l’échancrure de mon décolleté et les a soupesé en me regardant droit dans les yeux, en me disant :

- Ton mari m’a dit que tu étais une grosse pute à ma disposition.

Son petit jeu dura un bon moment. Tout en me triturant il continuait à sourire, et il me dit :

- Tu as des loches superbes ma salope !

Je repris mon ménage. Je me trouvais dans la cuisine quand Marcel s’approcha de moi en fauteuil roulant, il me passa une main sous la jupe et me mit deux doigts dans la chatte.

- Continue de laver et écarte les jambes !

Il continua de fouiller ma chatte. J’avais de plus en plus de mal à réprimer mon plaisir. Ce vieux cochon assis dans son fauteuil, son ventre débordant, qui était en train de rentrer ses gros doigts dans mon intimité et il me faisait jouir. Je mouillais de plus en plus.

- Ton mari me l’avait bien dit, tu es vraiment une grosse salope, tiens passe-moi le beurre sur la table !

Il prit le beurre et s’enduisit les doigts, puis il écarta mes fesses pour m’enduire la rondelle. Il rentra un doigt puis deux dans mon cul et commença un va-et-vient, son autre main par-devant me rentra trois doigts dans la chatte. Moi debout et ce vieux dans fauteuil, ma perversion prenait le dessus sur mon dégoût de ce vieux porc, je jouissais comme une pute que j’étais devenue.

À la fin du ménage, il me demanda de venir dans la salle à manger, il était dans son fauteuil et il avait sorti sa queue.

- Ma salope pour finir tu vas me pomper, mets-toi à genoux entre mes jambes !

Tout en m’agenouillant, je constatai la petite bite qu’avait ce vieux cochon. Je lui pris la queue dans la bouche en entier et d’une main je lui caressai les bourses comme me l’a appris mon mari. Il jouit dans ma bouche et me dit de tout avaler.

Le soir je racontais ma journée à mon maître tout en le masturbant des deux mains. Ça lui a beaucoup plu, et il me dit de continuer comme ça et de faire exactement ce que le vieux voulait.

Le week-end passé, je retournai chez Marcel dès le lundi. Dès mon entrée dans la salle à manger il me dit :

- J’ai pensé à toi, et tu vas faire le ménage à poil !

Je protestai en lui disant que j’allais me salir, mais il me répondit que ça n’avait aucune importance, qu’à la fin du ménage je prendrai une douche devant lui. Je me déshabillai.

- Tu as vraiment de grosses loches ma salope !

Je commençai le ménage. Il me suivait dans son fauteuil roulant et me donnait des ordres :

- Quand tu passes le balai, fais bouger plus tes nichons ! Baisse-toi plus pour passer le chiffon, je ne vois pas bien ton gros cul !

Un moment j’eus envie de faire pipi. J’allai aux toilettes, toujours suivie par Marcel. Il m’interdit de fermer la porte pour qu’il puisse m’admirer dit-il. Je m’assis sur les toilettes et me mit à pisser. Il était dans tous ses états le vieux porc. Quand j’eus fini, je me levai pour m’essuyer. Il m’ordonna de sortir et de lui donner le papier, il allait m’essuyer lui-même. Il me dit d’écarter les jambes et il commença à passer le papier sur ma chatte. Il me dit :

- A partir de maintenant chaque fois que tu viendras, tu iras pisser et je t’essuierais !

Ensuite je dus passer la loque. Il me dit de ne pas prendre de balai, de me mettre à quatre pattes. Bien sûr, il me suivait dans toutes les pièces pour profiter de la vue. Il fallait que je fasse bouger mes nichons dans tous les sens.

A la fin du ménage, il me dit d’aller prendre une douche. Je ne pouvais pas fermer la porte pour qu’il profite de me regarder me laver et je devais bien insister avec le savon sur mes seins ma chatte et mon cul. Puis je me séchai très vite, car il m’appelait dans la salle à manger où je dus me mettre à genoux pour le sucer comme la dernière fois. Il jouit assez vite, sûrement excité par les deux heures passées.

Le soir même, je racontais tout à mon mari sans omettre aucun détail, tout en le branlant.

Une semaine s’était passée. Le dimanche soir un coup de téléphone, mon mari le prit, en raccrochant il se tourna vers moi et me dit :

- Tu vas avoir une bonne surprise demain chez Marcel !

Le lundi, arrivée dans la maison, je rentrais dans la salle à manger, je vis Marcel et un autre homme aussi vieux que lui. Il me dit :

- Salut ma salope, je te présente Jean-marc, un vieux pote à moi. Il est venu pour voir tes gros nichons et ton gros cul, fous-toi à poil !

Je m’exécutai. Une fois nue il me demanda de m’approcher. Arrivée près d’eux, les deux vieux se mirent à me toucher partout, Marcel s’occupait de ma chatte et de mon cul et l’autre de mes nichons. Il n’arrêtait pas de les pétrir et de les faire bouger dans les sens.

Au bout d'un bon quart d’heure, je ne savais plus où j’étais, des doigts dans le cul autant dans la chatte et ce vieux dégoûtant qui me roulait des pelles. A la fin de ce traitement, je dus faire le ménage, suivie par les deux vieux qui n’arrêtaient pas de me tripoter. Je dus aller pisser devant eux et me faire essuyer par leurs soins, bien entendu leurs gros doigts en profitèrent pour explorer encore une fois ma chatte, je dus prendre une douche et Jean-marc me savonna sous les ordres de Marcel, il me savonna les seins dans tous les sens puis la chatte et mon cul en y rentrant plusieurs doigts. A la fin, ils me firent mettre à quatre pattes sur une table basse, Jean-marc passa derrière moi pour me baiser et je suçai Marcel qui tripota mes nichons.

Au bout d’un certain temps, Jean-marc arrêta de me baiser pour m’enculer, il rentra sa queue très facilement car pendant les deux heures il n’avait pas arrêté d’élargir ma rondelle, et Marcel s’était amusé à me mettre une carotte dans le cul. Marcel jouit le premier, et j’avalai tout et je lui essuyai la queue avec la langue. Pour Jean-marc, ce fut un peu plus long, mais il jouit dans mon cul. Il me demanda d’essuyer le foutre qui coulait de mon cul avec les doigts, et de me lécher jusqu’à que plus rien ne coule. Après pour finir, Marcel m’ordonna de m’asseoir sur la table pour me branler devant eux les jambes écartées.

Le soir je racontai tout ça à mon mari et il me fit la totale et je peux vous dire que sa queue est vraiment plus grosse que celle des vieux. Je vais le lundi et vendredi chez Marcel et il profite de mes trous toujours autant. De temps en temps Jean-marc est là et il s’amuse bien avec moi, et je prends de plus en plus de plaisir. Comme dit mon mari, je suis un sac à foutre ! Je vais chez Marcel depuis trois mois.

PS : J’ai augmenté l’heure de ménage à Marcel.

A suivre...

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