mardi 9 avril 2024

Les débauches de mon épouse - Ch. 01

 Texte de Cadan (2011).

*****

Premiers pas dans la débauche.

J’ai épousé une femme avec qui je vis depuis maintenant plus de 30 ans. Lorsque je l’ai rencontrée, je n’étais pas son premier amant, mais nous avons vécu une longue histoire d’amour, malgré tout ce qui a pu lui arriver, quasiment depuis notre mariage. Je vais vous raconter sa première «aventure», telle qu’elle me l’a racontée puis telle que je l’ai vécue.
 
Nous étions mariés depuis quelques mois. Elle avait alors 22 ans et travaillait comme institutrice dans une grande ville du nord de la France. Laissez-moi d’abord vous la décrire telle qu’elle était à l’époque : grande (1m74), mince, avec une superbe poitrine (95C) qui attirait les regards, même si elle ne faisait rien pour cela. 

Elle avait pris l’habitude d’aller déjeuner dans un restaurant ouvrier proche de son lieu de travail, car cela lui permettait de se déstresser. Un jour qu’elle avait oublié son argent, le garçon lui avait dit de ne pas s’inquiéter, et qu’elle pourrait payer en fin de mois. Aussi prit-elle l’habitude de déjeuner et de porter l’addition sur sa note. 

Un jour, après son repas, le garçon lui tendit la note, d’autant plus importante que cela faisait plusieurs semaines qu’elle déjeunait sans payer, mais surtout que la note était majorée d’intérêts très importants. Elle indiqua au serveur qu’elle ne pouvait payer cette facture immédiatement, mais celui-ci ne la laissait pas sortir et haussait le ton sous les regards des autres clients. Très gênée, elle lui demanda un délai. Le garçon lui répondit qu’il ne pouvait l’accorder sans l’autorisation du patron et lui ordonna d’aller le demander elle-même. Il la poussa alors vers la cuisine. Elle portait ce jour-là un pull sur un jean et des chaussures à talons compensés. Lorsqu’elle entra dans la cuisine, elle vit la cuisinière en train de récurer ses fourneaux et le patron, assis derrière un bureau encombré de papiers. Ali, le patron était un maghrébin d’une cinquantaine d’années, corpulent. Il fumait un cigare. Il la regarde s’approcher :

- Qu’est-ce que tu veux ?

- On vient de me donner ma note, mais vu la somme, je voudrais vous la régler en plusieurs fois.

- Mais je ne suis pas la soupe populaire. Cet argent, tu me le dois et chaque jour passé augmente les intérêts.

- Je vous en supplie, faites-moi ce plaisir. 

Il est assis et la regarde, debout devant lui. Ce regard la gêne profondément, mais elle ne peut rien faire que subir en attendant son bon vouloir. Le silence dure.

- Mais où sera mon plaisir à moi ?

- Je vous paierai le plus rapidement possible.

- Il me faut un acompte immédiatement.

- Comme vous voudrez.

Et il lui dit :

- Je veux savoir à qui j’ai affaire. 

C. ne comprend pas, mais soudain :

- Allez, déshabille-toi. Je veux voir comment tu es foutue.

- Mais monsieur…

- C’est ça, ou les flics. Allez, dépêche-toi. 

Elle est coincée : emmenée au poste pour grivèlerie ou se montrer à cet homme. Elle prend sa décision et enlève son pull, laissant apparaître un soutien-gorge blanc qui masque ses seins.

- J’attends !

Elle descend son jean qui tombe sur ses chaussures. Elle voit alors le flash d’un appareil photo. Ali l’a photographiée en slip et sous-tif. Elle en rougit de honte et se cache derrière ses mains. Mais Ali poursuit, sèchement : 

- A poil !

Elle enlève le soutien-gorge et ses seins apparaissent, avec leurs aréoles pâles, mais raidies par la honte. C’est au tour du slip de se retrouver par terre. Ali examine les poils de sa toison, très fins qui laissent voir le haut des lèvres.

- Les chaussures aussi, je te veux toute nue. 

C. se retrouve alors à poil et les pieds nus sur un carrelage pas très propre. Elle a gardé une main devant sa poitrine et l’autre devant son sexe, elle a les yeux baissés et les joues rouges. Nouveau flash.

- Les mains derrière la tête. 

C. a conscience qu’elle va s’exhiber pour la première fois devant un inconnu, mais que faire d’autre à ce moment précis. Elle met les mains comme demandé, ce qui a pour effet immédiat de faire se redresser ses seins. Encore un flash.

- Tourne-toi !

Elle fait demi-tour et se rend compte alors que la cuisinière et le serveur sont en train de l’observer. La honte grandit pendant qu’Ali photographie maintenant ses fesses offertes.

- Regarde-moi et écarte les jambes.

- Plus que ça !

Gros plan sur les lèvres de sa chatte.

- Ouvre ta chatte avec tes doigts. 

Photo.

- Tourne-toi et écarte tes fesses !

- Cambre-toi !

- Caresse tes tétons !

- Suce ton doigt comme si c’était une belle bite !

- Bouche ouverte !

- Couche-toi sur le sol et écarte grand les jambes !

- À quatre pattes !

- Essuie le sol avec tes nichons !

Et à chaque position ordonnée, flash de l’appareil photo.

- Il faut que j’aille travailler. Je vais être en retard.

- Il faut que j’aille travailler… qui ?

- Il faut que j’aille travailler, Monsieur !

- Bien, petite salope. Mais n’oublie jamais que tu devras toujours m’appeler Monsieur.

- Bien, Monsieur. Puis je-y aller, Monsieur ?

- Vas-y, mais laisse ta culotte sur la table. Tu viendras la chercher demain midi. Si tu ne viens pas, les photos de ta chatte et de tes nichons atterriront chez tous les parents d’élèves. Je t’attends ici, demain, à midi. Et maintenant, dégage. 

C. enfile rapidement ses vêtements, n’oublie pas de poser son slip sur la table et part à l’école, la tête tournante de ce qui vient de lui arriver, qu’elle voudrait n’être qu’un cauchemar. Pourtant la sensation de la fermeture éclair sur la peau nue de son pubis lui rappelle que c’est bien la réalité. Que va-t-il se passer demain ? Comment faire pour que son mari (moi) ne se rende pas compte qu’elle a les fesses nues ?

Heureusement pour elle, je n’étais pas encore rentré et elle a pu se vêtir normalement avant mon arrivée. Toute la soirée et une grande partie de la nuit, elle s’est demandé ce qui allait lui arriver le lendemain, les photos l’empêchant de se défiler aux ordres de Monsieur Ali. Toute la matinée de ce vendredi, C. a beaucoup de mal à se concentrer sur les mathématiques et le français. Dans sa tête tournent les images de la veille. Elle entend encore la voix de Monsieur Ali. Que va-t-il se passer ce midi ? Même si elle a eu d’autres expériences sexuelles avant moi, jamais elle n’avait fait cette expérience de la soumission. Et elle ne peut pas dire qu’elle y a pris goût, non pas du tout. Mais elle sait qu’elle est coincée : la dette, les flics, la honte… Le temps passe vite, très vite. C’est déjà la pause du midi, les élèves sortent. Voilà C. seule devant son destin modifié, imposé, obligé par un maître tout puissant.

Elle sort de l’école, traverse la rue et se retrouve devant la porte du restaurant. C. pousse la porte. La salle est pleine d’hommes qui la regardent. Le serveur lui fait signe de la tête de passer dans la cuisine. Le cauchemar recommence. Ali, assis derrière son bureau, lui adresse un bref coup d’œil avant de replonger dans son assiette. C. reste debout, ne sachant quoi faire.

- À poil ! Je ne devrais pas avoir à te le dire. 

C. se déshabille immédiatement et attend, debout devant la table, les mains croisées devant son sexe. Elle est rouge de honte. L’attente dure. Pendant ce temps, le serveur entre et sort plusieurs fois, sans se gêner pour fixer ses fesses, ses seins. Ali relève enfin la tête, la fixe dans les yeux.

- Enlève tous tes bijoux. Je te veux toute nue. 

C. enlève son alliance, sa bague, son collier. Elle n’a plus rien sur le corps. À ce moment, Ali fouille sur la table et lui lance un collier pour chien, large, en cuir noir et clouté.

- Attache-toi ça. 

Puis il lui jette une laisse qu’elle doit mettre au collier. Photo avec la laisse qui se termine entre les cuisses de C., photo avec la laisse dans la bouche, photo avec la laisse tenue par le serveur. Puis :

- Bien, tu es venue pour manger. Ton assiette est là. 

C. voit une assiette emplie de semoule posée dans un coin de la cuisine.

- À quatre pattes, et tu manges toute l’assiette sans les mains. 

C. s’agenouille puis avance vers le coin de la pièce. Elle a conscience de ce qu’elle montre : une femelle avec les fesses en l’air et les seins qui ballottent à chaque pas. Photos. Elle baisse la tête et tente de manger le plat qui lui est proposé. Cela fait beaucoup rire Ali et la cuisinière qui ne privent pas d’échanger des propos salaces :

- Quelle belle chienne !

- Quelle salope tu veux dire !

- On doit pouvoir bien s’amuser avec cette pouffiasse ! 

Ce discours inquiète beaucoup C. qui sait qu’elle est coincée, mais aussi que chaque nouveau jeu l’enfonce encore un peu plus.

- Allez, reviens ici. 

C. se redresse et revient se présenter devant Ali. La belle jeune femme est nue, bras le long du corps, le visage barbouillé de semoule. Ali ne se prive de regarder sa poitrine, dont les tétons sont érigés par la honte, le ventre plat barré par la laisse de chien dont la boucle effleure le pubis.

- Je pense que je pourrai récupérer mon pognon. Qu’en penses-tu ? dit-il à la cuisinière.

- À condition qu’elle soit bien obéissante, cette pute.

- Mais elle sera obéissante, sinon c’est les flics pour la dette et la perte de son boulot avec les photos.

- Hein, tu seras obéissante, petite chienne ?

- Oui, Monsieur.

C. a répondu, la tête basse, des larmes dans les yeux. Elle ne sait pas où tout cela va la mener, mais elle est sûre qu’elle n’a pas le choix.

- À genoux, maintenant.

- Écarte bien les cuisses. 

Gros plan sur les seins, sur la chatte bien visible entre les cuisses écartées.

- Youssef, viens ici !

- Tu vois cette femelle à genoux, tu vas te branler et gicler sur ses gros nichons. 

C. est effarée. Elle voit le serveur sortir son sexe de son pantalon, s’approcher d’elle, toujours à genoux et commencer à se masturber sans un mot en détaillant chaque partie de son corps. Le sexe imposant semble la viser. Photo.

- Regarde bien, petite pute. Youssef va t’asperger et tu vas me remercier. 

Les yeux exorbités, C. voit le sexe se raidir encore plus, puis, soudain, un puissant jet de sperme s’abat sur ses seins. Ils sont couverts de cette substance blanchâtre et collante. Photos encore.

- Merci Monsieur.

- De quoi ?

- De m’avoir fait asperger de sperme, Monsieur. 

Quelle honte pour C. Elle est toute nue, à genoux sur un sol pas très propre, les seins couverts de sperme et elle s’entend remercier son bourreau. Pourtant ce n’est pas encore fini.

- Étale la crème sur tes nichons. Masse-les bien. 

Et C. obéit. Elle se frotte les seins avec le sperme du serveur. Ceux-ci en deviennent tout brillants et les tétons, malgré elle, pointent. Nouvelles photos.

- Bien, ma salope. Maintenant tu vas pouvoir aller au boulot.

- Rhabille-toi, mais tu me laisses ton slip et ton soutif.

- Mais Monsieur, je ne peux pas…

- Ta gueule. Obéis, un point c’est tout. 

C. renfile donc son jean et son pull, enlève le collier de chien et la laisse et pose ses sous-vêtements sur la table. Ce faisant, elle se rend compte que ses seins ballottent, indiquant l’absence de soutien-gorge.

- À lundi. Tu porteras une jupe et un chemisier boutonné. 

C. sort de la cuisine. Elle traverse le restaurant où quelques dîneurs la suivent du regard. Quelques-uns la sifflent. Elle entend même :

- Elle est à poil là-dessous. 

L’après-midi va être longue.

A suivre...

3 commentaires:

  1. bravo excellent recit

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  2. Une chienne qui se révèle. Le patron, le serveur et les clients vont bien s'amuser sans parler de son mari qui ve aussi en profiter. Bon scénario

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  3. tres excitant et bien écrit... J'aime..

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