vendredi 5 avril 2024

Changements de vie pour Jessica Ch. 22

Traduction du texte de Cathartico : "Jessica's Change Management"

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Humiliée à la fête d'anniversaire.

*** Semaine 3 – Samedi ***

Ramassant le plateau, je me retourne et je pars. J’ai le visage tout rouge quand j’entre dans la cuisine, le débardeur relevé, les seins à l’air et les lèvres de ma chatte dépassant de mon short orange.

La bouteille de vin pétillant est toujours sur le comptoir. Éméchée comme je suis, j’aurais dû boire un verre d’eau pour retrouver mes esprits. Pourtant je me verse un verre de Prosseco pour tenter de me débarrasser de ma honte. Encore une fois, je le vide trop vite.

Je sens immédiatement son effet. L’alcool m’apaise. Je me sens plus légère.

Après avoir empli le plateau de bières fraîches, je retourne dans la grande salle de la fraternité. En arrivant à la grande table en bois, je remarque que Matt est parti. Je m’arrête alors à côté de Snob-Boy. Les gars jouent toujours au jeu du conducteur de bus. Ils approchent de la finale, alors ils crient et s’agitent bruyamment.

- Hé les garçons ! Comment se passe le jeu ? Qui doit conduire le bus cette fois ? Demandé-je immédiatement aux jeunes étudiants.

Puis je fais la moue en ajoutant :

- Oh les garçons, vous n’étiez pas aussi agités quand c’était mon tour. Bien qu’il ait été bien plus excitant, hi hi hi !

Bon sang, je ressens totalement le besoin d’interagir avec ces gars. Je bavarde et babille rapidement sans aucune inhibition. Il faut dire que je me suis toujours montrée bavarde lorsque je suis ivre.

Mais les garçons me prêtent à peine attention. Quand je veux donner une bouteille de bière fraîche à Snob-Boy, il me dit de la donner plutôt à Blondy-Boy. Je dois me pencher au-dessus de la table parce que le jeune étudiant est assis de l’autre côté.

- Oups les garçons, j’espère que je n’interromps pas votre partie ! Continué-je à babiller en suivant les instructions de Snob-Boy.

Me penchant en avant, mes gros seins pendent et cognent presque contre le dessus de la table. Et l’étudiant snob a une vue parfaite sur les lèvres de ma chatte rasée qui s’échappent de mon petit short orange. Après avoir donné la bière à Blondy-Boy j’essaie de me redresser. Mais Snob-Boy m’arrête en mettant sa main sur mon dos pour me maintenir en place.

- Tu ne veux pas être impolie et interrompre mon inspection, n’est-ce pas Missy Face de Salope ? Me gronde-t-il.

Hum non. Je ne veux pas être impolie. Je ne veux pas me conduire mal. Je ne veux pas être une rabat-joie.

Hello, je ne suis pas une casseuse d’ambiance ! Ce jour est censé être amusant pour tout le monde non ? J’aurais dû être étourdie de honte à cause de mon comportement sans retenu. Pourtant un sentiment de gaîté couvre rapidement mon premier sentiment d’embarras. Je me sens tellement vivante.

Alors j’attends patiemment, penchée sur la table, mes gros nichons pendants et je continue à babiller. Pendant ce temps Snob-Boy vérifie longuement les lèvres gonflées de ma chatte. Je ne peux m’empêcher de le taquiner en secouant mon gros cul. Quelle salope je suis !

Tout en donnant une claque à mes fesses, l’étudiant me libère et m’envoie voir le garçon suivant. Bien sûr, tous les gars suivants l’imitent en me faisant me pencher sur la table pour tendre une bière à leur copain de l’autre côté. Ils arrêtent même de jouer à leur jeu pour se concentrer sur l’inspection par-derrière de ma chatte et de mon cul avant de me renvoyer avec une claque sur mes fesses.

Voilà, j’ai toute l’attention des garçons ! Je savais bien qu’ils ne pouvaient pas me résister. Ce qui me fait sentir bien vivante, tellement heureuse.

Au cours de ma distribution de bière, chaque gars de la fraternité devient plus effronté que le précédent. Même si le suivant, l’étudiant de première année aux cheveux bruns, est saoul, il réussit à saisir les lèvres de ma chatte. Il les écarte tellement que je perds l ‘équilibre et trébuche en arrière.

- Hi hi hi ! Arrête ça ! Tu n’es pas censé faire ça ! Gloussé-je d’un air penaud.

Cependant mes protestations sont si faibles que les gars ne les prennent pas au sérieux et continue à s’amuser avec moi. Honnêtement, je ne crois pas que je veux réellement résister. Mais, comme d’habitude, j’avais ressenti le besoin de dire quelque chose pour essayer de garder un peu de dignité.

Frappant mes fesses, il m’envoie vers Blondy-boy. Il a déjà bu la bière que je viens de lui remettre et il est presque aussi ivre que son camarade de première année. Pourtant il réussit à attraper les lèvres de ma chatte entre ses pouces et ses index.

- Putain ! Regardez ça mes amis ! Un ruban au centre, les lèvres de chatte sur les côtés, on dirait une bouche à la verticale ! Hé hé hé ! S’exclame Blondy-Boy.

- je… Suis… Une… Foufoune… Une… Pute… De… Foufoune… Dit l’étudiant de première année en serrant les lèvres de ma chatte en rythme avec chaque mot.

Merde, cet idiot donne l’impression que ma chatte est en train de parler. C’est trop vulgaire hou la la !

- Ah ah ah !

Les rires rugissants des garçons de la fraternité résonnent dans mes oreilles.

Oh mon Dieu ! Mon visage rougit profondément. Ça devrait être vraiment embarrassant non ? Cependant, je me sens plus comme un jouet sexy et joyeux. C’est juste pour les rires et l’amusement non ?

- je… Suis… Une… Foufoune… Une… Pute… De… Foufoune…

Le jeune blond se moque de moi une seconde fois avant de claquer mes fesses et m’envoyer chez Gel-Boy.

Celui-ci décide d’aller plus loin. Il tend la main et soulève mon nichon droit. Puis il le lâche brusquement ce qui fait rebondir mon nichon de haut en bas. Il fait de même avec mon sein gauche.

- Compétence une !

Plop !

- Compétence deux !

Plop !

Je n’ai absolument pas besoin que l’on me demande de commenter ses actions. Mes nichons sont mes meilleurs atouts après tout, non ? En tout cas j’ai servi toutes les bières. Donc je suis sur le point de quitter la grande salle pour remplir le plateau.

Je retourne à la cuisine avec une seule bouteille pleine sur le plateau. Une fois de plus, mon visage est tellement rouge que je prends quelques gorgées de bière. Ouf ; c’est tellement éreintant.

Juste avant d’atteindre le comptoir, j’entends des pas derrière moi. Je ne réagis pas assez vite et je sens deux mains se poser sur mes hanches pour m’arrêter. Regardant par-dessus mon épaule, je vois qu’il s’agit de Matt qui me retient.

- Penche-toi en avant ! Dit-il simplement.

- Quoi ? Maintenant ? Ici ? Demandé-je complètement surprise.

- Oui maintenant ! Il est temps que j’ai mon cadeau d’anniversaire ! Répond Matt avec un air malicieux et excité.

- Ok, Ok c’est votre anniversaire ! Dis-je.

C’est sûr, il est plutôt convaincant. Mais non, arrêtez ! Ne devrais-je pas me rappeler de quelque chose ? Une intention ou quelque chose comme ça ? Quelque chose concernant des limites ? Oh oui c’est vrai, les limites ! Je suis tellement ivre que j’ai presque oublié les limites que j’avais fixées à Matt pour cette fête. Oups !

- Mais Matt, je vous ai dit pas de baise devant vos copains. Rappelé-je rapidement à mon hôte arrogant.

J’aurais pu me soumettre et montrer à tous les gars de la fraternité mon intimité, mais c’est une limite que je ne veux pas franchir.

- Tu ne vois pas de mes amis ici, n’est-ce pas ? Me dit Matt en me désignant la cuisine.

D’une certaine manière il a raison je suppose. Il n’y a personne d’autre dans la cuisine. Tous ses amis sont en train de s’amuser avec leur jeu à boire. Toutefois, la porte est grande ouverte. N’importe qui peut nous surprendre à tout moment.

- Mais… Et si vos copains venaient chercher un verre ? Dis-je pour ne pas céder si facilement.

- Hein ? Se servir à boire ? Mais c’est ton boulot, tu as oublié ça, petite salope. Ne t’inquiète pas, Foufoune, si mes copains veulent une bière ils appelleront la pute de service.

Bon, son raisonnement se tient. Je sais que tous ces étudiants sont super paresseux. Ils m’ont déjà fait courir et les servir sans se lever de leur chaise. Donc je pense qu’il est sûrement mieux de laisser Matt me baiser ici plutôt que dans les autres pièces.

Bon d’accord, il a réussi à me persuader, même si je n’ai pas été vraiment ferme. De toute façon, Matt n’attend même pas mon approbation. Avant même d’avoir la chance de poser le plateau sur le comptoir, il m’a arrêté et il me dit de la garder sur ma main tendue. Tout en équilibrant le plateau sur ma paume droite, je me penche en avant.

Zut, ce n’est pas facile, surtout avec la bouteille de bière ouverte sur le plateau.

Mais Matt s’en fiche. Il passe directement à l’essentiel. Comme si j’aurais dû m’attendre à autre chose ? Présenter mon gros cul bombé dans une position penchée est une vraie invitation pour lui de me donner quelques claques. A chaque seconde qui passe, je m’attends à sentir le premier coup.

Craaaaacccccc !

J’entends alors le son du tissu que l’on déchire. Ce salaud a enfoncé son index dans le petit trou fait un peu plus tôt dans mon short orange et il a tiré pour l’agrandir. Ce coup sec me fait trébucher sur mes baskets blanches compensées à talons hauts.

Arf ! Le plateau ! Je perds presque l’équilibre et je le laisse presque tomber au sol. Pour le retenir, j’attrape la bouteille de bière avec ma main gauche. Ouf !

CLAC !

Une claque violente fait trembler ma fesse gauche et me fait trébucher à nouveau.

- Est-ce que je t’ai permis de tenir le plateau à deux mains, Missy Face de Salope ? Tu es la serveuse ici ! Tu n’es quand même pas assez stupide pour ne pas savoir tenir un plateau, n’est-ce pas Pute à Foufoune ? Gronde Matt.

Euhhh… Est-ce vraiment le problème d’être stupide ou non ? Je ne crois pas, mais je ne veux pas discuter avec Matt non plus. Je veux dire qu’il a raison de dire que je suis la serveuse aujourd’hui, alors….

CRAAAAACCCC !

Oh seigneur ! Matt continue à agrandir le trou jusqu’à ce que mon short soit complètement déchiré. Je trébuche à nouveaux sur mes talons compensés et je dois avec habileté contrebalancer le plateau pour empêcher la bouteille de tomber.

Mon petit short orange ne ressemble plus à rien maintenant. Derrière, il ne s’agit plus que de bandes de tissu qui barre mon cul. La moitié inférieure de mes fesses sort en dessous et la moitié supérieure sort par le trou élargi. Quelle salope ! Cependant, le devant du short est toujours intact. La fine bande de tissu est coincé dans mon entrejambe, entre les lèvres de ma chatte.

Ziiiiippppp !

C’est le bruit de la braguette de Matt. Je pense que ça répond à la question de savoir ce qui va suivre. Attrapant le haut de mon short, ce salaud l’abaisse jusqu’à ce que le trou fraîchement déchiré permette d’accéder à ma chatte.

Ouf, il vient de libérer mon entrejambe. Il a fait tout son possible pour exposer les lèvres de ma chatte et maintenant il fait le contraire. Je n’ai pas subi toutes ces douleurs et cette humiliation pour rien .

Mon sexe maintenant accessible, Matt glisse facilement sa bite dure à travers le trou du short en polyester orange. Pointant son gourdin sur ma fente il le pousse à l’intérieur de mon ventre. Malgré le mauvais traitement, ma chatte est si humide qu’il me pénètre facilement, ne rencontrant qu’une légère résistance. A la réflexion, c’est probablement à cause du traitement subi.

- Putain de salope, ça rentre comme un couteau dans du beurre. Tu es vraiment une pute facile et pas chère aujourd’hui. Nous ferions mieux de te traiter comme telle. S’exclame Matt en commençant à pilonner ma pauvre chatte.

Mon Dieu, ce connard m’utilise simplement comme un jouet jetable que l’on baise rapidement. Pourtant, je suis gentiment penchée en avant et ma chatte est tellement mouillée qu’il me baise facilement. Est-ce bizarre ?

Oh putain ! Oh non ! Non ! Non ! Il baise ma chatte ! Il ne devrait pas !

- Matt, votre bite est dans ma chatte. Mais je suis seulement votre pute anale, vous le savez ! Protesté-je.

- Tu es mon cadeau d’anniversaire et j’utilise mon cadeau comme je le veux, Foufoune ! Rétorque simplement Matt.

Bon… Je suppose que ce salaud arrogant n’en a rien à faire des règles de Daniel. Ou peut-être qu’ils se sont mis d’accord pour des règles différentes pour sa fête d’anniversaire sans me le dire. Peu importe, de toute façon, je ne peux pas l’arrêter et lui demander poliment de s’asseoir et de discuter des règles maintenant, n’est-ce pas ?

Avec sa queue enfouie dans mon antre humide, Matt utilise son pied droit pour écarter mes jambes au maximum. Comme ça, j’ai encore plus de mal à rester en équilibre sur mes baskets compensées. Puis il agrippe durement ma queue de cheval pour tirer ma tête en arrière, me faisant me cambrer pendant qu’il accélère et me pilonne brutalement.

Ah maintenant je comprends pourquoi il avait demandé que je porte une queue de cheval. Comme ça il a une prise parfaite pour me maintenir en place.

- Prête pour la baise la plus dure que tu n’aies jamais eue ? Dis-moi salope ? Me demande Matt en faisant coulisser toute la longueur de sa bite dans et hors de ma chatte ?

- Oh mon Dieu ! Gémis-je en savourant cette queue en moi.

Merde, je suis tellement excitée. Que je devienne une serveuse simple d’esprit pour tous les garçons de la fraternité a bien fonctionné. C’est tellement humiliant que c’est aussi très excité. Je supplie alors Matt :

- Oui ! Votre pute de serveuse est prête. S’il vous plaît, Baisez-moi fort !

- Si tu le demandes si gentiment petite salope ! Répond Matt

Après ces mots, il commence à poignarder ma chatte encore plus fort et plus rapidement. S’il ne me tenait pas avec la queue de cheval, je serais tombé. Je me contente de pousser des cris de plaisir pendant qu’il me baise.

A chaque poussée dans ma chatte humide, ses couilles rebondissent contre ma peau et mes fesses ondulent violemment à cause de l’impact. En même temps mes seins se balancent sauvagement d’avant en arrière en rythme avec mes grandes boucles d’oreilles.

Pendant ce temps, je dois jongler avec le plateau sur ma paume droite. Ça devient de plus en plus difficile avec le balancement de mon corps, mon ivresse, l’excitation et tout ça. En fait c’et un miracle que la bouteille be bière ne soit pas encore tombée.

Lâchant ma queue de cheval, Matt passe ses mains autour de mon corps. Il attrape chacun de mes seins avec une main et il commence à les tripoter et à les serrer grossièrement. Sans le garçon qui me tient en place, je dois m’agripper au comptoir avec ma main libre pour essayer de garder le plateau en équilibre. Cependant mon corps est toujours penché et la bouteille vacille dangereusement à chaque coup de rein du garçon dans ma chatte.

Putain il me pousse en avant. A chaque fois mon corps bascule, mon bras tremble et vacille. Garder le plateau en équilibre devient très difficile. Je ne vais pas pouvoir le tenir plus longtemps. La bouteille de bière pleine commence à se balancer d’avant en arrière. Je veux l’attraper et la stabiliser avec ma main libre, mais Matt attrape mon bras et le tire dans mon dos.

A chaque coup de rein, la bouteille menace de tomber et de renverser son contenu. Je me fais baiser par-derrière en essayant frénétiquement de garder un plateau en équilibre. Quel spectacle je dois donner ? Ça doit être comique ! Heureusement qu’aucun des garçons de la fraternité n’est là pour regarder.

- Hé hé hé ! On dirait que la pute n’arrive pas à gérer son travail de serveuse. Elle est trop stupide pour ça !

C’est Gel-Boy que je viens d’entendre rire derrière moi. Quoi ? Qu’est-ce que c’est que ce bordel ? Que fait-il ici ? D’où vient-il ?

- Je suis content de m’être arrêté sur le chemin en allant pisser. Continue-t-il.

Zut ! Les toilettes sont juste à côté de la cuisine. j’ai complètement oublié ça. Merde, une de mes limites vient d’être franchie. Un des garçons me regarde me faire baiser. De plus, il ne montre aucune volonté de partir. Mais même si je ressens une profonde gêne, c’est de ma faute, n’est-ce pas ? J’ai totalement oublié la possibilité pour les gars d’aller aux toilettes.

- Hé hé hé ! Si la pute à Foufoune est trop stupide pour faire son travail de serveuse correctement, elle devra nettoyer ses dégâts. Dit Matt à Gel-Boy tout en continuant de me pilonner comme un marteau-piqueur.

Mon corps tremble à cause des violents chocs de ses coups de rein, mais aussi à cause de mon embarras et de mon plaisir. Même si ma chatte est presque engourdie à cause du gros gourdin qui la remplit, elle palpite de manière incontrôlable.

Un autre coup de rein me fait basculer en avant. Je suis trop occupée par mon plaisir que je réagis trop tard. Ma main fait un écart et la bouteille de bière tombe. Oups !

Au même moment, les mains de Matt sur mes seins se ferment et tout son corps se raidit. Il laisse échapper un grognement sourd pendant que sa bite gicle son foutre dans mon ventre. Cela suffit à déclencher en moi un orgasme puissant que j’accueille en sanglotant de joie.

Mon Dieu, Je viens de jouir en me faisant baiser par le salaud que je méprise le plus tout en étant regardé par un de ses amis. C’est vraiment honteux ! Même si mon côté soumis accepte pleinement cette situation humiliante.

L’orgasme traverse mon corps, vague après vague. Mon excitation et mon humiliation en prolongent les effets. Lorsque je reprends un peu conscience, je vois que je tiens toujours le plateau. Surprenant ! Cependant, la bière s’est répandue en une grosse flaque. Quel dommage !

- Tu t’es bien amusée petite pute ! Maintenant retourne au travail et nettoie ça ! Ordonne Matt.

En plaçant le plateau sur le comptoir, je cherche des yeux un chiffon pour nettoyer ou quelque chose comme ça. Ce salaud présomptueux ne fait rien pour m’aider.

- Utilise ton haut, Foufoune ! C’est juste un bout de tissu de toute façon ! Commande-t-il.

Hein ? Totalement consternée, je regarde tour à tour Mat et son ami. Mince, il y a aussi Snob-Boy. Il vient juste d’entrer dans la cuisine. Ce sont deux amis de Matt qui me regardent maintenant me soumettre.

Alors que je suis encore choquée, Matt met son idée à l’œuvre. Il saisit le tissu blanc de mon débardeur et il le baisse sur mes seins. Ma poitrine couverte, il presse sa main dans mon dos pour me faire pencher.

En fermant les yeux, j’essaie de dissiper la honte procurée par les deux amis de Matt qui surveille mon humiliation. Matt ne me lâche pas et pousse mon corps vers le bas jusqu’à ce que mes nichons pendent juste au-dessus du plateau. Avec une autre poussée dans le dos, il presse ma poitrine dans la flaque de bière.

- Oooohhhh !

Le tissu blanc absorbe instantanément le liquide. Mais comme il ne peut cependant pas absorber tout le liquide, la bière s’infiltre et mouille la chair de mes gros seins.

Pouah, c’est collant ! c’est dégoûtant ! c’est révoltant !

Attrapant les chaînes juste sous le collier en strass, Matt commence à me tirer dans toutes les directions les nichons sur le plateau. Ma poitrine couverte du débardeur essuie la bière. Mes seins sont utilisés comme une serpillière. C’est vraiment dégradant !

Le tissu blanc est complètement trempé. En fin de compte, il n’arrive pas à absorber toute la bière. En attrapant ma queue de cheval, Matt tire brusquement ma tête vers le haut. Puis il prend le plateau et le soulève au-dessus de mon visage. Puis ce salaud attend que je comprenne ce qu’il va faire.

Il me faut quelques instants avant de comprendre. Puis, j’ouvre la bouche en grand. Matt incline alors le plateau et la bière restante déborde et se déverse.

Pouah ! Le liquide frappe ma bouche et la remplit rapidement. La quantité est trop importante et ma bouche déborde très vite. La bière collante coule le long de mon menton et tombe sur mon décolleté et ma poitrine.

- Aaaaahhhhhhh !

Pour augmenter mon humiliation, cet enfoiré de Matt me jette le reste de bière à la figure. Je suis prise au dépourvu et le liquide me gicle au nez. En poussant des cris bruyants, je sursaute quand la bière entre dans mon nez.

Ce n’est pas marrant ! Pas marrant du tout ! Même si les trois étudiants se moquent de la pute de service qui poussent des cris. Plus ils ricanent, plus je pleure. Il me faut donc un peu de temps pour me remettre.

- La ferme salope ! Arrête de pleurnicher, c’est pénible ! Essaie de te rendre utile et occupe-toi du service, salope ! Dit Matt pour me faire taire.

Il avance vers moi. Puis il saisit l’ourlet de mon short et le remonte brusquement en me soulevant sur le bout des orteils. AIIEEEE ! Il est sérieux ? Il recommence cet enfoiré !

- Il faut que mes copains voient les lèvres de ta chatte, n’est-ce pas ? On pourrait les appeler des babines de chatte n’est-ce pas ? Hé hé hé ! Dit-il pour se moquer de moi.

Des babines de chatte ? Ça me semble plutôt mignon non ? Quoi qu’il en soit, mes lèvres sortent devant et mon gros cul sort par l’énorme trou à l’arrière. Peut-on encore appeler ça un short ? Je ne crois pas.

Alors que je suis occupée à examiner les changements dans ma tenue, Matt quitte la cuisine en avec ses deux copains. A ma grande honte, Gel-Boy et Snob-Boy ont immédiatement bombardé Matt de question sur la qualité de ma chatte. Entendre le salaud arrogant décrire le plaisir de me baiser avec des détails crus me fait rougir.

Avant de me diriger vers les autres salles pour servir encore des bouteilles de bière, je termine la bouteille de vin pétillant qui se tient toujours sur le comptoir. Il aurait été dommage de gaspiller le reste de cette bouteille non ?

Ouf ! Je ressens tout de suite les effets de l’alcool. Tout d’un coup je me sens beaucoup plus détendue, légère et joyeuse. Je pense que ça me désinhibait complètement. Hi hi !

En me dirigeant vers la salle de loisir, je suis un peu bancale sur mes jambes. Mais bon, il s’agit d’une fête ! Tout le monde s’amuse !

La lumière dans la pièce est tamisée et la musique est très forte. Depuis la dernière fois où j’avais amené une tournée de bière, les étudiants avaient transformé cette salle en piste de dans improvisée avec une boule disco tournoyant dans une lumière stroboscopique colorée. C’est cool.

En regardant tout autour, je remarque que tous mes stagiaires sont rassemblés ici. Matt et Justin sont assis dans un canapé confortable alors que Taylor danse avec d’autres étudiants. Quand j’entre dans la pièce, les garçons s’immobilisent et me regardent. Oh ouais, ils voient bien mes babines de chatte sortir de mon short devant, mes fesses qui sortent du short dans mon dos, et mes nichons bien dessinés sous le débardeur trempé de bière.

- Hé salope ! Pourquoi ne vas-tu pas rejoindre mes amis sur la piste de danse ! Me crie Matt.

Ouais ! Éméchée comme je le suis, j’ai envie de danser et m’amuser. Non ! Malgré mon ivresse, je suis douloureusement consciente de mes talents de danseuse. Je n’ai jamais été bonne dans ce domaine. La danse n’est pas une de mes compétences, pas comme mes gros nichons, hi hi !

- Oh je ne sais pas ! Je ne suis pas très douée pour la danse. Répondis-je, réticente à me montrer en spectacle.

Puis j’ajoute :

- En plus, il faut que je serve ces bières, il n’y a pas de place pour poser le plateau.

Matt rétorque alors :

- Hé les gars, vous arrivez à croire ça, cette salope prend son travail au sérieux. Laisse-moi t’aider !

Il me fait signe de les rejoindre. Je m’approche alors de lui. Il me laisse remettre le plateau plein à Justin. Quelle surprise, il m’aide en me tenant les poignets.

- HEIN ???? Hurlé-je quelques secondes plus tard.

Matt vient de tirer mes poignets vers le bas et comme ils sont reliés à mon cou par les chaînes, je suis obligée de me pencher et je me retrouve les poignets pendants entre les jambes. Alors, Matt les attache à mes chevilles. Je suis piégée dans cette position.

Ah merde ! Les chaînes relient mon collier à mes chevilles. Je ne peux plus me redresser. Je suis attachée dans une posture penchée, mon dos à l’horizontal.

- Nonnnnnn !! Continué-je à me plaindre.

Ce salaud vient de placer le plateau sur mon dos. Il est en équilibre avec les bouteilles de bière. Quel enfoiré, il vient littéralement de me transformer en table d’appoint humaine. Il vient de me réduire à un simple objet. C’est encore une fois vraiment vicieux et dégradant.

- Oh mon Dieuuuu !

Je ne peux pas m’arrêter de gémir. La situation est si absurde que les rires se mélangent à mes plaintes. J’ai du mal à rester immobile et le plateau oscille sur mon dos. A tout moment, une bouteille peut tomber. A tout moment de la bière peut être renversée. C’est vicieux ! C’est dégradant ! c’est hilarant pour les étudiants.

CLAC !

- Aiiieeeee !

Une grosse claque sur mon cul me fait basculer en avant. Et cela fait également glisser le plateau. Attachée dans une telle posture, je ne peux que hurler et gémir en réponse. Mes baskets compensées ne m’aident pas non plus. Je vais tomber.

Houla, j’essaie désespérément de me stabiliser, mais les bouteilles oscillent dangereusement. Puis l’inévitable se produit . Nonnn ! Une bouteille tombe et cogne contre une autre. C’est une réaction en chaîne ! Toutes les bouteilles sont sur le point d’être renversées.

En cognant les unes contre les autres, les bouteilles produisent un son de verre qui va se briser. Mais juste à ce moment, Matt saisit les deux bières et les soulève avant que le liquide ne sorte. Les bouteilles restantes continuent de vaciller jusqu’à ce que je retrouve enfin mon équilibre.

- Tu veux danser maintenant, Pute à foufoune ? Me demande Matt.

- Oui Matt, je veux danser, j’en ai vraiment envie ! Répondis-je immédiatement.

Attachée ainsi dans une posture pliée, je ne suis pas bien. Je suis trop éméchée pour rester immobile. Être réduit à une table d’appoint aurait dû être très humiliant. Mais dans mon état d’ébriété, ça ressemble plus à une farce de jeunes garçons. C’est juste pour rigoler non ?

- Sers toutes les bières et tu pourras danser, salope ! Me dit Matt pour me donner un moyen de m’en sortir.

Oui, c’est ma chance ! Danser sera toujours mieux que ça. J’aurais peut-être l’air maladroite, mais peu importe. Tout sera mieux que ça.

- Hé les garçons ! Dis-je en direction des étudiants en train de danser.

- HÉ LES GARÇONS !

Je dois crier très fort pour surmonter la musique.

- Vous avez l’air d’avoir chaud à force de danser. Vous avez sûrement besoin d’une bière. Elles sont bien fraîches !

En regardant les gars, je remue mon cul pour leur montrer les bières sur mon dos. Mais ce n’est pas vraiment malin. Les bouteilles recommencent à vaciller et je dois rapidement rester immobile. Il faut que je fasse attention à ne pas renverser les bouteilles avec un autre mouvement brusque. Attirer les garçons et m’occuper du plateau en même temps est vraiment difficile. C’est comme marcher sur une corde raide.

Une fois la chanson terminée, j’attire l’attention des garçons. Deux vieux étudiants approchent. L’un des deux, avec un petit ventre à bière, porte une chemise sombre avec le slogan approprié « Tu veux une bière ? » ? l’autre porte une casquette de base-ball à l’envers.

- Hé les gars, cette pute n’est pas douée, mais c’est elle qui fait le service. C’est son boulot de vous apporter la bière. Dit Matt au deux gars pour les arrêter avant qu’ils ne m’atteignent.

- Ouais c’est ça ! Applaudit Bière-Boy.

Les deux gars s’arrêtent. C’est pas cool, Matt ! Espèce de salaud ! Tu ne peux pas t’arrêter de m’embêter, n’est-ce pas ? Sérieux, c’est vraiment méchant.

Comme les deux gars se sont arrêtés et ne s’approcheront pas plus près, je suis obligé de venir à leur rencontre. Mais mes poignets sont attachés à mes chevilles. Je dois coordonner mes membres tout en tenant en équilibre le plateau sur mon dos. Petit pas après petit pas, j’avance. Pas après pas, le plateau tremble.

- Elle-ne-peut-pas-danser ! Elle-ne-peut-pas-danser ! La-seule-chose-qu’elle-sait-faire-c’est-piétiner !

Les garçons de la fraternité chantent une version modifiée d’une vieille chanson à boire pour se moquer de mes difficultés à avancer.

Quelle moquerie ! Trop rigolo ! Pourtant je ne peux m’empêcher de sourire à leur blague.
Il n’y a que cinq mètres pour atteindre les garçons, mais c’est plus facile à dire qu’à faire. Premier mètre, deuxième mètre, le plateau commence à glisser. Merde, je panique, car je ne peux pas prendre le risque que les bouteilles tombent par terre.

Troisième mètre, le plateau glisse toujours vers l’avant. Il est sur le point de tomber. Panique totale ! Quatrième mètre, il heurte le derrière de ma tête. Ouille ! Il vacille dangereusement de gauche à droite. Cinquième mètre, il est toujours là ! Casquette-Boy prend deux bières et Bière-Boy deux lui aussi. Le plateau a tenu et il est vide. J’ai réussi !

Hourra, j’ai réussi à servir les garçons sans en renverser partout.

Matt semble impressionné. C’est-à-dire qu’il a pris le plateau vide sur mon dos et il a libéré mes poignets de mes chevilles. Si ce n’est pas un compliment, je ne sais pas ce que c’est ! Super, je suis ravie d’être de retour en position verticale. Je peux à nouveau bouger librement, même si mes poignets sont toujours enchaînés avec mon cou.

Voilà, je suis prête à danser maintenant. Est-ce que j’aurais l’air classe ? On s’en fout ! Matt m’a annoncé comme une strip-teaseuse et pas seulement comme une serveuse non ? Je vais montrer à tous ces garçons que j’ai plus à offrir que la serveuse.

Sur mes hauts talons, je me pavane sur la piste de danse improvisée. Avec Bière-Boy et Casquette-Boy, il y a seulement Taylor et un étudiant de deuxième année aux cheveux noirs et avec une barbe habilement coupée. Matt et Justin restent affalés sur le canapé, préférant me regarder. Ils sont ennuyeux.

Les quatre autres étudiants ont la gentillesse de me laisser entrer dans leur cercle. Je fais le tour des gars, un par un en passant l’ongle long de mon index sur leur menton. Sexy ! Après le dernier gars, je commence à taper du pied en rythme.

Ai-je mentionné que je ne suis pas la meilleure danseuse. Et mes baskets compensées ne m’aident pas vraiment. Peu importe, je ne suis pas là pour gagner un concours de danse. Non, je suis là pour lâcher prise et passer un bon moment.

Gauche, gauche, droite, droite.

Gauche, gauche, droite, droite.

Dansant sur place, je continue à taper du pied. Tout va bien, je suis dans le rythme. Mes mouvements deviennent plus sauvages quand je commence à balancer mes hanches et à lever mes bras en l’air. Je peux sentir mes grosses fesses bien rondes trembler à travers le trou de mon short orange. Très sexy !

Gauche, gauche, droite, droite… Droite, droite, droite.

Oups, je suis en train de perdre pied. Je titube vers la droite ! Je tombe !

Mais juste avant de m’écrouler au sol, je réussis à retrouver l’équilibre. Ouf ! Je suppose que l’alcool m’a rendu plus légère. Hi hi ! Bien sûr les garçons l’ont vu, c’est super embarrassant.

Pour éviter d’autres mésaventures je danse près de Barbe-Boy. Instantanément il profite de cette chance pour mettre son bras autour de ma taille et il m’attire plus près de lui jusqu’à ce que nos jambes s’entremêlent. Pliant légèrement les genoux, je commence à bouger en rythme en balançant mes hanches de gauche à droite. L’étudiant ajuste ses mouvements aux miens de façon que nous nous balancions ensemble sur la musique.

Oups !

En arrière... En arrière...

Barbe-Boy m’a poussé et me fait trébucher en arrière. Sérieux ? Les jambes flageolantes, je titube en arrière et je ne réussis pas à me stabiliser jusqu’à ce que je tombe sur Casquette-Boy. Heureusement il saisit mes hanches et me tiens fermement. Quelle classe !

M’attirant vers lui, je sens la peau de mon cul nu se presser contre son entrejambe. En pliant les genoux, je commence à me frotter contre le jeune étudiant. Il adapte ses mouvements en gardant son entrejambe pressé contre mes fesses. A travers son jean, je peux sentir sa bite durcir. Je suppose que je fais de l’effet à ce garçon. Hi hi !

Agrippant mes hanches, il guide nos mouvements pendant que nous dansons sur la piste improvisée. Lentement et prudemment, ses mains commencent à parcourir mon corps. Il me tire vers lui en pressant ses mains sur mon ventre nu juste au-dessus de ma chaîne de taille en strass. Puis il les glisse vers le haut en passant les doigts sur ma peau jusqu’à ce qu’il atteigne mon débardeur trempé de bière et le dessous de mes seins. Quel effronté !

- Oups !!

En avant… En avant…

Pour imiter son copain barbu, Casquette-Boy me pousse et me fait trébucher en avant. Il est sérieux ? En tombant en avant, je heurte Taylor la tête en premier et je rebondis presque sur sa poitrine musclée. J’ai l’air si petite par rapport à sa silhouette aux épaules carrées. Reprenant mon équilibre, je continue à danser sur place pendant que l’étudiant noir se penche pour mettre sa tête à côté de la mienne.

- Tout va bien Miss BRATZ ? Demande-t-il en chuchotant presque.

Il semble tellement timide, comme c’est mignon ! Même si le stagiaire noir est devenu plus entreprenant au cours de la semaine dernière, il reste quand même plus sur la réserve que les autres stagiaires. Daniel m’avait parlé de Taylor et de son rôle durant cette fête d’anniversaire non ? Oui, je me souviens. Ils s’étaient arrangés pour que Taylor garde un œil sur moi. Je suppose qu’il prend sa mission au sérieux.

- Oui bébé, tout va bien. Je vais bien. Ronronné-je en caressant le menton de ce jeune avec mes faux ongles longs.

Son inquiétude est gentille, mais je n’en ai pas besoin. En ce moment j’apprécie de danser. J’apprécie l’attention que l’on me porte. Je vis l’instant, savourant le regard des garçons. J’aime être la femme sexy qui chauffe et excite les garçons de la fraternité. C’est tellement plus facile que de diriger une équipe d’employés de bureau. Beaucoup moins stressant et plus excitant. Moins difficile et plus satisfaisant.

- C’est une fête, alors amusons-nous ! Crié-je en levant mes bras en l’air et en m’éloignant de Taylor.

Tourne… Tourne… Tourne…

Oups ! J’ai trop tourné sur moi-même que je me suis cognée contre le canapé sur lequel sont affalés Justin et Matt. Celui-ci me tient alors que je trébuche. C’est vraiment gentil. Toutefois il ne me renvoie pas vers la piste de danse.

Au lieu de ça, il se lève et me tourne pour que je lui fasse face. Et soudainement, il attrape le tissu de mon débardeur imbibé de bière juste au milieu de mon sein gauche et il le déchire. Il fait un trou assez grand pour montrer mon aréole. Puis il fait la même chose sur mon sein droit. De cette façon il expose le bout de mes nichons alors que le débardeur trempé de bière se tend sur mon buste.

Quel enfoiré ! Ma tenue était déjà bien ridicule auparavant, mais maintenant elle fait vraie salope. Oui c’est ça, extrêmement salope ! Mes tétons sortent du débardeur blanc, mes lèvres de chatte sortent du short devant et mes fesses sortent du trou dans mon dos. L’uniforme de serveuse ne ressemble plus à rien. Je suis pathétique dedans !

Maintenant, tous les gars peuvent voir mes mamelons. Dire que je m’étais battue pour que ça n’arrive pas. Mais je ne peux plus rien y faire. Peu importe, ils voient déjà mes lèvres de chatte et deux d’entre eux m’ont vu me faire baiser. Et alors ?

Après avoir donné cette nouvelle touche à ma tenue, Matt me pousse pour que je retourne sur la piste de danse. Je tourne jusqu’à ce que je tombe sur Bière-Boy. J’ai les bras en l’air alors je les mets autour de son cou. La musique m’emporte, j’entre en transe et je danse autour de l’étudiant. Puis je me rapproche et nous dansons serrés l’un contre l’autre comme un couple. Hi hi !

En me trémoussant, je commence à frotter mon corps contre le sien. Je peux sentir sa chaleur. Je peux sentir sa bite durcir et se presser contre mon bassin. C’est agréable. Bière-Boy pose alors ses mains sur mes fesses. Il commence à pétrir ma chair nue en m’attirant fermement contre lui jusqu’à ce que mes tétons soient pressés contre son tee-shirt. Le tissu rugueux frotte contre mes mamelons sensibles.

Cependant, bien avant la fin de la musique, Bière-Boy me montre qu’il est à la hauteur du surnom que je lui donne. Il est bien plus bancal sur ses jambes que moi et il se fatigue plus rapidement. Se penchant en avant, il me pousse en arrière.

- Oups !!

En arrière… En arrière… En arrière…

Je pousse un cri alors que nous reculons. Avec ses mains sur mon cul nu, nous restons toutefois enlacés. J’ai du mal à arrêter le mouvement avant que nous heurtions un mur. Bon sang, son ventre à bière le rend beaucoup plus lourd que moi !

Gauche, gauche, gauche ...

En avant, en avant ...

Droite, droite, droite …

En arrière… En arrière… En arrière…

Je fais de mon mieux pour continuer à danser. Mais Bière-Boy ne m’aide pas du tout. Je suppose qu’il trouve ça drôle. Bien sûr, les autres étudiants rigolent. Alors que ce gars me tient solidement, nous basculons d’avant en arrière et de gauche à droite. Avons-nous l’air ridicules ? Peut-être ! Probablement, mais peu importe !

Quand la chanson se termine, Bière-Boy relâche l’emprise sur mes fesses, alors je me tourne pour me dégager de ses bras. Mais je ne veux pas m’arrêter de danser. Agitant la main vers Matt, je lance aux deux garçons assis sur le canapé :

- Allez les garçons, dansez avec moi ! Vous n’aurez peut-être pas toujours l’occasion de danser avec Miss Face de Salope !

- Que dirais-tu de danser pour nous au lieu d’avec nous ? Répond Matt.

- Viens ici petite pute ! Dit-il avec insistance en désignant le sol entre eux deux.

Danser c’est danser non ? Haussant les épaules, je me dirige vers le canapé. En balançant mes hanches je commence à danser sur place pour eux deux. Avec les bars au-dessus de ma tête, mes mouvements deviennent plus frénétiques tandis que je secoue ma tête en rythme avec la musique ce qui fait remuer ma queue de cheval sauvagement. Oh, et mes nichons tressautent tout autant, ce que les garçons ont bien remarqué. Hi hi !

- Tu te souviens de la présentation que tu m’as demandé de finir lundi, petite salope ? Me demande soudainement Matt.

Hein ? Quoi ? Pourquoi demande-t-il ça ? Pourquoi il se soucie du travail tout d’un coup ? Pour le moment je m’en fiche, moi. Alors…

- Euhhh… Non, pas vraiment. Dis-je avec confusion en arrêtant de balancer mes hanches.

- Hé ! T’ai-je dit que tu devais arrêter de danser espèce d’idiote. Me dit immédiatement ce salaud.

Oups, je n’ai même pas remarqué. Mais quoi ? Veut-il que je réfléchisse à sa question ou que je continue de danser sur la musique ? Faire les deux à la fois me semble difficile. C’est une fête, donc la danse me parait la meilleure solution. Peu importe ! C’est plus amusant de toute façon alors je recommence à remuer mes hanches en écoutant la musique.

- Alors petite prostituée, tu veux que j’affiche les données sous forme d’histogrammes ou de graphiques en courbes dans cette présentation ? Demande Matt.

Oh seigneur ! Pourquoi ne peut-il pas laisser tomber ce sujet ennuyeux ? C’est sa fête après tout, et je ne suis pas vraiment d’humeur à penser au travail. Sérieusement ! En essayant de ne pas faire attention à sa demande, je me trémousse plus sauvagement, ce qui fait balancer ma poitrine encore plus.

- Tu ne veux pas m’entendre parler de graphismes, Foufoune ? Continue Matt qui manifestement ne veut pas laisser tomber le sujet.

- Euhh… je ne sais pas ! Dis-je finalement en continuant à secouer mon cul.

- Histogramme… Histogramme… Oh c’est le truc qui ressemble à un graphique à barre, non ? Ajouté-je.

Bon sang, danser et réfléchir ne vont pas du tout ensemble. C’est vraiment dur.

- Les graphiques en courbes sont plus jolis ! Hi hi ! Décidé-je en riant bêtement.

Mes deux stagiaires échangent des regards et rigolent. Je suppose qu’ils attendaient une réponse différente. Peu importe ! J’ai raison. Les graphiques en courbes contiennent plus d’informations et ont une meilleure apparence.

- Si tu le dis petite idiote. Si c’est la principale raison… Dit Matt.

Même si je remue frénétiquement mon cul et mes seins, ce salaud arrogant continue de me harceler de questions sur cette présentation stupide sans faire attention à mes efforts.

- Tu voudras commencer par une anecdote comme tu le fais toujours, Foufoune ?

Matt me pose une nouvelle question.

- Bien sûr, c’est comme ça que l’on commence une présentation. Laissé-je échapper.

Quelle question stupide ! J’ai toujours donné une anecdote sur la vie réelle avant d’introduire le sujet. Il doit bien le savoir. Sérieusement, ce n’est pas la première présentation qu’il crée pour moi.

- Quelle anecdote veux-tu utiliser petite pute ? Demande encore Matt.

A force de danser, je suis à bout de souffle ce qui ne m’aide pas à réfléchir à la question du stagiaire.

- Quel est le sujet de la présentation ? Demandé-je en haletant.

Une fois de plus, les feux gars échangent des regards et rigolent. Se moquent-ils de moi ? On dirait ! Pourtant la façon dont je bouge mon cul et ma poitrine n’est pas une raison de rire, mais plutôt de baver.

- Oh petite idiote, tu es tellement excitée que tu as oublié ? Il s’agit de la dernière fusion. Celle sur laquelle tu apportes des conseils stratégiques. Dit Matt en se moquant de moi.

Est-ce qu’il vient de me parler comme à une petite fille qui a oublié ses devoirs ? Hein ? Je suis une directrice d’entreprise. Une directrice qui danse dans une fête de jeunes garçons dans une tenue qui ne cache plus rien : Hi hi !

Ça ne fait rien. Sa moquerie m’aide à me souvenir du projet. Et merde, le client et son projet sont super ennuyeux. Ça ne vaut vraiment pas la peine d’y penser maintenant.

- Allez les garçons, dansez avec moi ! Dis-je pour essayer de faire changer d’idée les deux stagiaires.

Me penchant en avant, je saisis leur bras pour essayer de les faire lever du canapé. Mais Matt et Justin ont un autre plan. Tenant mes bras, chacun d’eux détache un bracelet en strass, me libérant ainsi de mes chaînes. C’est sympa !

Oh mon Dieu non ! Ils ne m’enlèvent pas mes chaînes. Au lieu de ça, chaque garçon met le bracelet autour de son propre poignet. Assis à droite, Matt attache le bracelet gauche à son bras gauche. Assis à gauche, Justin attache le bracelet droit à son bras droit. Je me raidis.

Gauche, gauche, gauche…

Je chancelle sur la gauche lorsque Matt bouge son bras et tire sur la chaîne.

Droite, droite, droite…

De toute évidence, Justin ne veut pas être en reste. Bougeant son bras, il tire pour me traîner de l’autre côté.

Gauche, Gauche…

Droite, droite…

Oh putain ! Les deux stagiaires tirent alternativement sur les chaînes pour me faire basculer d’un côté à l’autre. Je fais des aller-retours entre les deux. Puis ils commencent à me tirer en rythme sur la musique. Oh mon Dieu, c’est vraiment comme s’ils faisaient danser une marionnette.

- Danse petite pute, danse ! Hurle Matt pour m’encourager.

Veut-il dire que je ne me balance pas assez ? Et puis quoi encore ? En remuant mes hanches, je recommence à faire rebondir mes seins et secouer mon cul en rythme avec la musique pendant que les deux gars s’amusent à faire bougre leur marionnette.

- Alors salope, qu’est-ce que c’est que l’anecdote que tu veux pour la présentation. ? Questionne Matt.

Gauche, Gauche…

Droite, droite…

- Oh oh oh ! Haleté-je à cause de l’effort.

Vide, mon esprit est vide. j’essaie de réfléchir, mais je n’y arrive pas. Je suis tellement occupée à suivre les mouvements des garçons sans trébucher et en dansant que je ne peux rien trouver.

- Euhhhh… Fusion ? Fusion, c’est… un genre de… changement, non ? Ai-je pensé à haute voix.

Puis je continue :

- Comme vous le savez, j’ai fait quelques changements ces derniers temps. Comme changer ma coiffure avec une frange et des reflets dorés. Hi hi hi !!!

En écoutant mes paroles, les deux stagiaires ne peuvent plus se retenir. Ils commencent à rire si fort qu’ils oublient même de tirer sur les chaînes. Ils sont écroulés sur le canapé, pliés de rire littéralement.

Quoi ? C’est un projet de changement. Et il s’agit de mon expérience de vie avec mes propres changements. D’accord, ce n’est pas la meilleure anecdote de tous les temps. Mais ont-ils une meilleure idée cependant ? Je ne crois pas.

- Waouh, Foufoune ! C’est la meilleure réponse qu’une stupide employée de bureau puisse jamais donner. On va te laisser danser avant que tu réfléchisses à des choses importantes hein ? Ça ira mieux petite pute ! Dit finalement Matt.

- Euhhh… est-ce une moquerie ou un compliment ? Je ne peux pas vraiment le dire. Mais pendant que je danse, ça me semble bien.

Gauche, droite, gauche, droite…

Oh ! Avec une autre traction sur la chaîne, Matt me fait chanceler à gauche. Seulement le temps que Justin réponde en tirant et en me faisant basculer sur la droite. Pendant tout le reste de la chanson, les stagiaires me tirent et me font trébucher de gauche à droite. Ils tirent si brusquement que mes seins s’écrasent sur les chaînes. Les deux gars s’amusent bien avec leur marionnette. Pour sûr !

Ce n’est pas comme ça que je veux danser. Cependant c’est toujours mieux que de répondre à des questions sur le travail. Je me sens vraiment manipulée. Mais c’est un beau spectacle pour les invités de la fête. J’ai toute l’attention des garçons. Trop bien ! Même Taylor et les autres gars ont arrêté de danser et se sont approchés pour regarder ma poitrine se balancer et mon cul remuer.

Quand la chanson est terminée, Matt et Justin lâchent soudainement les chaînes. Ils réussissent à les libérer simultanément. Si bien que je suis totalement surprise et que je perds l’équilibre.

En arrière, en arrière, en arrière…

BOUM

En titubant en arrière, je perds l’équilibre et je tombe. C’est mon cul qui heurte le sol et fait un gros bruit. Oups, je ne suis pas gracieuse.

- Ah ah ah ah ah ! Ah ah ah ah ah ! Ah ah ah ah !

Les éclats de rire des gars augmentent.

Oh mon Dieu ! On ne s’est jamais autant moqué de moi. Je n’ai jamais ressenti un tel embarras. J’ai tellement honte que je reste simplement assis sur mon cul pendant que les étudiants se moquent de moi. C’est vraiment dégradant.

Finalement Matt et Justin s’approchent de moi et m’aident à me relever en me tirant par les bras. Ils en profitent pour me remettre les bracelets reliés par une chaîne à mon collier. Ouf, je suis libérée d’eux. Mais  vraiment fait l’idiote en dansant pour tous ces garçons.

- Hé petite pute, on dirait que tu t’es mise la tête de travers. Tu es un peu ivre n’est-ce pas ? Pourquoi n’irais-tu pas te rafraîchir avant de servir une nouvelle tournée, Foufoune ? Me dit alors Matt.

Hein ? Quoi ? qu’est-ce qu’il arrive à Matt. Je suis étonnée de cette évolution des choses. C’est tellement inattendu de la part de ce connard. Mais il n’a pas besoin de me le dire deux fois. Je suis beaucoup trop éméchée, donc je suis plus que ravie d’avoir cette chance de faire une pause.

Rapidement, je me dépêche de quitter la pièce et de monter les escaliers pour rejoindre la salle de bain principale. Matt m’avait dit de me rafraîchir et je me suis dit qu’une douche rapide ferait des merveilles pour mon état. En entrant dans la douche, je me suis vraiment détendue. La sensation de l’eau chaude sur ma peau est géniale. En frottant mon corps, j’apaise toutes les douleurs dues à la fête.

Et pendant ce temps, mon esprit n’arrête pas de penser à la soirée « alcool et salope ». Inévitablement ma main glisse entre mes jambes et commence à taquiner mon clitoris pendant que je me rappelle danser pour les gars de la fraternité, me faire baiser dans la cuisine par Matt et servir les gars dans une tenue sexy.

Je flageole sur mes jambes. Je dois m’appuyer contre la paroi en verre de la douche quand un orgasme éclate dans mon corps. Avec un long gémissement, ma chatte se contracte très violemment et je jouis longuement sous l’eau chaude qui coule en cascade le long de mon corps.

En sortant de la douche, je me sens vraiment comme une vraie salope hors de contrôle. Bon sang, jusqu’à maintenant, cette fête d’anniversaire a été très humiliante. Pourtant je suis totalement excitée. J’ai alors l’impression d’être en chute libre dans le trou de la soumission ultime. Et je m’en fous, je ne veux pas que ça s’arrête.

Après m’être essuyée, je suis surprise. Sur une étagère de la salle de bain se trouve un nouvel uniforme de serveuse entièrement intact. Alors je le mets avec empressement. Apparemment, Matt a pris des précautions et a acheté plus d’un uniforme. Avant de quitter la salle de bain, j’éprouve le besoin de vider ma vessie. Avec tout le vin pétillant que j’ai bu aujourd’hui, j’ai vraiment besoin d’uriner.

Alors que je suis assise sur les toilettes, la porte de la salle de bain est ouverte et Matt entre. Comme toutes les portes de la maison il n’y a pas de serrures, mais je n’y avais pas vraiment prêté beaucoup d’attention auparavant. Oh seigneur ! Son entrée me surprend totalement si bien que je me fige et que j’arrête subitement de pisser. Mince, je ne peux pas uriner devant un public !

- Tu pisses ou quoi, Miss Face de Salope ? Me demande durement l’étudiant.

- Je… Euhhh…  Oui… J’étais en train de… faire pipi. Mais je ne peux plus avec vous ici . M’excusé-je.

Merde ! D’habitude j’aurais crié et fait du scandale si quelqu’un avait osé m’interrompre. Mais je suis beaucoup trop ivre et trop soumise en sa présence, alors, à la place, je m’excuse.

- Tu es ma chienne aujourd’hui ! Alors tu pisses comme une chienne, Foufoune ! Grogne Matt.

- Hein ? Pardon ? Que dois-je…

- Aiiee ! Crié-je avant d’avoir pu finir ma phrase.

Ce salaud vient d’attraper ma queue de cheval pour me mettre debout.

- C’est la fraternité « YAMOS » ici ! Une maison de gars ! Ici tout le monde pisse debout ! M’explique-t-il.

Quoi ? D’accord, mais je suis une fille. Je ne pourrais pas ! Je ne le ferais pas ! Je ne l’ai jamais fait auparavant !

- C’est pas… S’il vous plaît, ne me faites pas faire ça ! Supplié-je docilement.

J’ai honte à la simple pensée. Non, c’est même plus que de la honte. Et instantanément je rougis de gêne. Mais ma vessie se rappelle à moi, j’ai vraiment envie de faire pipi.

CLAC

CLAC

Matt me donne deux grandes claques qui me font gémir et rougissent encore plus mes joues, même si elles étaient déjà écarlates de honte.

- Oh, ne t’inquiète pas petite pute. Je vais te le faire faire. Et pas seulement. Je vais même te faire supplier pour ça, salope idiote. Si tu refuses, je vais traîner ton cul dans la grande salle et je t’obligerai à pisser dans ton short devant tous mes copains. C’est ça que tu veux ? Dit Matt avec colère.

Bien sûr que non ! Ça serait bien pire avec plus de public ! Faire pipi dans mon short ? Je mourrais de honte à coup sûr !

- Je vais essayer Monsieur. Je ferai de mon mieux. Bégayé-je en cédant très vite à la domination de Matt.

CLAC

CLAC

Deux autres gifles sur mon visage me font pleurer pathétiquement. Je passe d’un pied sur l’autre avec frustration. Pourquoi ? A quoi cela sert-il ?

- Tu n’as pas supplié Miss Face de Salope ! Me réprimande ce salaud.

Grrrrr ! Je sais que je n’ai pas supplié, mais j’ai cédé à son caprice non ? Dois-je vraiment lui demander ? Ça devient évident car Matt reste sévère et renforce sa demande avec deux autres grosses claques sur mes joues. Maintenant, elles me piquent comme si elles étaient en feu.

- S’il vous plaît, Matt, laissez-moi pisser comme votre chienne ? Merci Monsieur de me laisser faire pipi debout. Dis-je rapidement.

Oh mon Dieu, quel mensonge ! Je ne suis pas reconnaissante, mais totalement embarrassée. C’est très avilissant. De plus, ma pression dans ma vessie est devenue intolérable. Je me mets alors debout au-dessus de la cuvette et j’essaie de me détendre. Toutefois, avec Matt qui me regarde attentivement, je reste bloquée. Je n’arrive pas à faire pipi. J’essaie de me détendre. J’essaie de forcer. J’essaie de toutes mes forces, mais rien n’y fait.

- Alors stupide salope, vas-y ! Crie Matt vraiment agacé.

CLAC

- OUILLLEEE !

Je hurle de douleur car il vient de gifler ma chatte. Bon sang, il vient vraiment de frapper ma chatte. Mais la surprise me distrait et je lâche prise. Un flot d’urine jaillit. Ça y est, je fais pipi debout. Je rougis profondément pendant que mon pipi se déverse dans les toilettes. Cependant, une partie coule le long de ma cuisse, ce qui me fait trembler de dégoût. Beurk, je me pisse dessus, c’est dégoûtant.

Même si ça ne prend que trente secondes avant que je finisse d’uriner, cette épreuve me parait beaucoup plus longue. Et ce n’est pas encore fini. Ce salaud arrogant ne me laisse même pas me nettoyer. Pouvez-vous croire ça ? Au lieu de ça il m’attrape par ma queue de cheval, m’éloigne de la cuvette et m’oblige à m’agenouiller sur le carrelage.

- Tu as pu te soulager, Foufoune. Maintenant c’est à mon tour. Tiens ma bite ! Dit-il.

- Hein ? Quoi ? Non… Euhhh… Je n’ai jamais fait ça, vous savez… Protesté-je docilement.

Je suis si choquée que je n’arrive pas à perler de manière cohérente. Mais avant que je puisse me reprendre, Matt prend a main et la pose sur sa bite. Son membre charnu n’est pas dur, mais assez long pour que je le guide vers les toilettes. Toutefois, ma main tremble comme une feuille, alors j’ai du mal à viser la cuvette avec cette queue.

- Tu vois que ce n’est pas difficile, même pour une idiote à gros nichons comme toi ! M’encourage Matt quand ma main se stabilise.

Il met alors sa main sur ma tête et me caresse le crâne comme il le ferait avec un chien bien obéissant. Puis un jet chaud sort de sa bite ! Beurk, c’est dégueulasse !

Totalement révoltée, mais aussi super fascinée, je regarde. Je me sens complètement humiliée mais aussi super excitée. Alors que le long flux d’urine de Matt tombe dans les toilettes avec un bruit de gargouillis, je me demande comment je suis tombée si bas. Je suis une dirigeante d’entreprise intelligente et sophistiquée à genoux dans des toilettes d’une maison de garçons en train de tenir la bite de l’un d’eux pendant qu’il pisse. C’est presque hilarant !

- Tu es fière de tes faux ongles n’est-ce pas, Miss Face de Salope ? Me demande Matt quand le flot d’urine se calme finalement.

- Utilise-les pour nettoyer les dernières gouttes, Foufoune ! Ajoute-t-il après que j’ai hoché la tête pour approuver.

Pardon ? Quoi ? Sérieux ? Oh putain ,encore une autre mauvaise idée de Matt ! Encore une épreuve pour moi ! Ça ne finira jamais ?

Une fois de plus je perds mon sang-froid et je me mets à trembler de dégoût et à cause de l’humiliation. Toutefois je ressens aussi une vague d’excitation intense. C’est un vrai geste de soumission. Après tout, j’ai tenu sa bite pendant qu’il pissait non ? C’est juste un autre petit pas dans ma soumission, rien de plus. En plus mes ongles vont être utiles pour une fois, non ?

Tenant son outil charnu dans ma main gauche, je tends l’index de ma main droite lentement et je fais glisser mon ongle long sur le gland de Matt ! Beurk !

- EUUURGGGGHHHH !

A la seconde où mon doigt est sur s bite, ce salaud recommence à uriner. Dégueulasse ! Il m’a prise totalement au dépourvu, pissant sur mes doigts bien manucurés ? Le liquide coule partout sur ma main ! BEURK ! Je sens la pisse chaude sur mes mains. Elle dégouline de mes poignets dans la cuvette des toilettes. Pouahhhh !

Mais mes gémissements et mes hurlements de dégoût ne font que rire ce salaud de Matt. Même si j’ai l’impression de trembler et d’être complètement écœurée, je garde consciencieusement mon doigt sur son gland. Pourquoi suis-je aussi obéissante ? Je ne sais  pas !

C’est vraiment étrange. La domination vraiment brusque de Matt est trop écrasante pour moi. J’ai envie de sombrer encore plus profondément dans la soumission. Je ne peux pas m’arrêter. Est-ce que je le voudrais ? Je crois bien que non, je suis trop fascinée.

Le flux de liquide continue à couler. Bon sang, il doit se retenir depuis longtemps. Finalement il stoppe pour la seconde fois. Il a enfin fini. Ouf !

Il se retourne pour me faire face et il me caresse la tête de nouveau, comme s’il me félicitait de ma volonté de me soumettre. Je tiens toujours sa bite flasque dans ma main gauche, même si j’ai retiré mon ongle de son gland. Je secoue ma main droite trempée d’urine en l’air, en espérant fait s’égoutter le liquide si collant. Mais ça ne marche pas.

- NOOOOONNNNNN ! Crié-je soudainement avec une fois forte.

Il recommence de pisser. Il arrose mon débardeur blanc. Il est en train de pisser sur ma poitrine et mes seins. Il m’a encore prise au dépourvu. Mince ! J’ai tellement envie de tirer ma main de côté pour dévier le flux d’urine et le guider dans la cuvette des toilettes. Mais Matt est plus rapide que moi.

- Tu m’as fait un cadeau en mettant cette tenue, petite pute. Maintenant, c’est à mon tour de te faire un cadeau. Déclare-t-il.

- Marque-toi comme étant ma chienne ! Douche tes nichons avec ma pisse, Miss Face de Salope !

Oh non ! Enfoiré ! Beurk ! C’est trop humiliant et tellement dégoûtant. Je me sens totalement rabaissée devant mon stagiaire.

La domination de Matt est si puissante que je suis prise dans son étreinte. Du coup, mon esprit est obscurci et me rend faible. Mais non ! Je ne peux pas laisser faire ça ! Daniel est le seul autorisé à me dominer ! Personne d’autre ! Mais pourquoi ai-je donc suivi les ordres de Matt sans aucune objection.

Docilement, avec une main ferme, je pointe la bite de ce garçon sur mon débardeur, laissant son jet d’urine gicler partout sur le tissu blanc et mes gros nichons dessous. Ma peau commence à briller et le tissu blanc devient plus sombre et transparent en quelques instants.

Dire que je viens de mettre cet uniforme propre il y a juste quelques minutes. Maintenant, Matt le salit totalement. Je comprends ! Ce crétin arrogant m’a permis de m’habiller proprement simplement pour pouvoir tout gâcher à nouveau non ? Trop vicieux ! Trop dégradant !

Je me bats très fort pour empêcher mon corps de trembler. L’odeur qui remplit mon nez est très rance et la sensation sur ma peau beaucoup trop collante. C’est bien trop dégueulasse pour que je réussisse à réprimer l’horreur qui fait rage à travers moi, si bien ma peau se recouvre de chair de poule et que je me contracte. Cependant la fascination de cet acte et le frisson engendré l’emporte peu à peu sur mon dégoût. Et ma chatte palpite si fort qu’elle vibre presque.

Quoi qu’il en soit, je soupire de soulagement lorsque le flux d’urine cesse pour la troisième fois. La vessie de Matt doit être entièrement vide maintenant. Vous croyez pas ? Il a du pissé près d’un litre non ? Une fois de plus ce connard me caresse la tête. Apparemment mon corps est marqué comme il l’a voulu.

- Maintenant lèche ma queue et nettoie-la, Foufoune : Commande-t-il simplement.

Pardon ? Pouah ! Quelle idée ! Je n’aime pas ça. Je ne veux pas sucer sa bite juste après qu’il vient de finir de pisser. Toutefois, comme sa domination reste écrasante, je ne réfléchis pas deux fois.

Alors je caresse sa bite plusieurs fois jusqu’à ce qu’elle devienne semi-dure et je la porte à ma bouche. Je peux voir une goutte d’urine pendre au bout de son gland. En fermant les yeux, j’essaie de l’oublier. Je suce simplement une bite. Rien de plus. Je suce simplement une bite. Rien de plus. Récitant ce mantra sans arrête, je pose mes lèvres sur son engin.

- Mmmmmmmmppphhhh !

Un jet d’urine jaillit de sa bite. Il pisse encore ! Il pisse dans ma bouche !

Putain de merde ! J’étouffe avec le liquide ! Connard, il m’a encore prise au dépourvu !

Le flot d’urine m’a tellement prise par surprise qu’il se précipite dans ma gorge. Le goût est si dégoûtant que tout de suite j’ai des nausées et des hauts le cœur. Pouah ! Beurk ! Pouah !

- Garde-la dans ta bouche et avale-la salope ! Tu ne veux pas rejeter mon cadeau n’est-ce pas ? Dit Matt négligemment.

Malgré un véritable dégoût, ça ne m’est pas venu à l’esprit. Oh seigneur, que fais-je ? C’est ignoble, vraiment dégradant.

Après avoir laissé couler les premiers jets d’urine des coins de ma bouche, ses paroles m’incitent à fermer consciencieusement mes lèvres autour de sa bite et laisser sa pisse au goût rance s’accumuler dans ma bouche. Ce salaud a vraiment un contrôle impressionnant de sa vessie. Il remplit ma bouche du liquide jaune et s’arrête une nouvelle fois.

Gardant, le liquide nauséabond dans ma gueule, j’espère qu’il va me permettre de le cracher dans la cuvette des toilettes. Dans l’expectative, je lève les yeux vers lui et j’attends. J’attends, j’attends, mais la permission ne vient pas.

- J’ai dit : Avale salope ! Me rappelle Matt très durement.

Garder le liquide âcre dans ma bouche est déjà écœurant. J’ai la nausée et avaler ne va pas arranger cela. Ma chatte, cependant, vibre plus fort que jamais. Je ne peux pas désobéir. Je ne peux tout simplement pas.

- Eurghhhh… Eurggggghhhh… Beurkk… Gémis-je en avalant finalement la pisse de ce salaud.

Argghhhh ! Le liquide amer et rance coule dans ma gorge comme de l’acide. Mon corps tout entier se soulève de dégoût et mon estomac est tout retourné. Toutefois j’arrive à tout garder ce qui me rend fière de moi.

Ça me dégrise aussi instantanément. Mon esprit s’éclaircit. Plus d’ivresse ! Plus de babillage inutile ! Avec ma tête plus claire cependant, le goût devient encore plus horrible et la situation encore plus avilissante.

- Mmmmpppphhhhh !

Dès que j’ai avalé, un autre jet de pisse jaillit de la bite de Matt. Même si ce n’est plus qu’un mince filet plutôt qu’un torrent, je gémis encore et je me mets à trembler. Pissant dans ma bouche, cet enfoiré arrogant attend que j’avale.

Il pisse. j’avale. Il pisse. J’avale. Il pisse. J’avale.

A dessein, ce salaud pisse une petite quantité et attend que j’ai avalé pour recommencer. J’ai la tête qui tourne, la bouche qui pue et la langue poisseuse. Pourtant ma chatte me brûle.

Puis la vessie de Matt est enfin vide. j’attendais ça depuis longtemps. L’épreuve est terminée. j’en ressors désenivrée et dégoûtée. Mais était-ce vraiment une épreuve ? Après tout, ça avait envoyé des ondes de plaisir dans ma chatte. En réfléchissant bien, c’est quand même la chose la plus dégoûtante que j’aie jamais vécue.

- Maintenant Miss Face de Salope, descends et montre à mes amis comment je t’ai marquée comme ma chienne ! M’ordonne Matt.

Avec ma tête rouge de honte, je me lève. L’humiliation me recouvre entièrement. j’ai l’impression d’être soudée au sol, incapable de bouger. Mais la fête est loin d’être terminée. Et je n’ai même pas vu Daniel avec son plan. Est-ce que ça va fonctionner ? Mes doutes sont encore plus importants même si je n’ai pas pensé au plan depuis le début de la fête.

A suivre...

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