mercredi 3 avril 2024

Cocu content, mais pas trop - Ch. 07

 Récit de Atortetadore (2010)

*****

Un nouveau DVD.

Dans le sixième épisode, que je pensais bien être le dernier, je vous racontais comment Mathilde m’a quitté et je vous avais fait partagé le contenu de deux DVD sur les trois que j’avais reçu.

Depuis le dernier épisode ma vie a, en apparence, changé. J’ai retrouvé du travail. Je suis maintenant VRP, ce qui me laisse assez de souplesse quant à mon emploi du temps. Je ne suis pas très doué mais je m’en sors pas mal, juste assez pour gagner ma vie et surtout assez pour ne pas me faire virer. Dans ce milieu, rien ne fait foi, l’argent pour l’argent, rien n’est laissé au hasard. Technique de vente, méthode, psychologie, etc...

En quelques mots : Je déteste ce Job !!!

Bref, je vivote tant bien que mal. Mathilde et moi ne sommes toujours pas divorcés et je ne sais pas ce qu’elle devient. Plus de nouvelles depuis que j’ai reçu les DVD. J’avoue qu’elle m’était, par moment, presque sortie de la tête. Ce n’est que le soir quand je rentre, le plus tard possible de préférence et rarement à jeun, mais bien alcoolisé, que je mesure l’étendu des dégâts et la misère affective dans laquelle je me suis mis. Vous ne pouvez imaginer, pour certains d’entre vous, à quel point on peut faire le point sur un tas de choses qui nous semblaient complètement futiles, sans importance, anodines et qui une fois misent bout à bout, avec un peu de recul et beaucoup de souffrance vous apparaissent comme une évidence.

J’ai été nul !!! Point !!!

Ce constat se finit toujours par un verre ou deux et quelques cigarettes.

J’ai, depuis, eu une aventure avec ma voisine que je n’avais même pas remarqué avant. Une famille qui habite au dessus, des « cassos » comme on dit. Elle, une grande brune, plutôt bien gaulée, et idiote à n’en plus pouvoir. Une gueule de marchand de chien et un tempérament de blonde. Toujours les cuisses ouvertes. Quand je pense que pendant toutes ces années je ne m’étais rendu compte de rien. Ou je n’avais pas voulu me rendre compte que j’avais la dernière des salopes deux étages au dessus tellement j’étais bien avec Mathilde.

Bref tout cela fera sans doute l’objet d’un autre récit, parce que la aussi, y a matière à raconter.

Nous sommes Vendredi. Je hais le week-end parce que je n’ai rien à faire. J’adore le week-end parce que je ne suis pas obligé de faire ce boulot de merde. Je rentre du boulot vers 20h00 et prend le courrier. Pubs, pubs, pubs et re-pubs, factures, bien évidemment et une enveloppe kraft sans timbre, donc déposée sans nul doute directement dans ma boîte aux lettres. Dessus mon prénom au feutre indélébile noir.

Je monte les escaliers doucement en regardant cette lettre et mes pensées se sont tournées instantanément vers Mathilde, alors qu’à l’intérieur de l’enveloppe tout porte à croire, de part la forme que je devine, qu’elle contient un disque.

J’entre, pose le courrier sur la table de salon, me sers un verre, allume une cigarette. Comment est-ce possible ? Pourquoi après tout ce temps ? J’aurai presque fini par l’oublier. J’hésite à ouvrir cette enveloppe. Je n’ai pas regardé le dernier DvD. Ca fait presque 6 mois maintenant. Quand je revois la chronologie des évènements, j’ai publié le premier texte alors que Mathilde m’a déjà quitté. Oui six mois ce sont écoulés depuis qu’elle m’a quitté et quatre mois depuis la réception des 3 DVD.

Délicatement, je décolle le rabat de l’enveloppe, comme si j’avais l’intention de la refermer plus tard pour que personne ne sache que j’ai vu ce qui avait à l’intérieur. Comme pour me faire croire que ce que contient l’enveloppe ne m’intéresse pas et que je ne l’ai pas ouverte parce que je me fous de ce qu’elle devient. Reflexe idiot mais pourtant nécessaire.

A l’intérieur un DVD. Je frisonne. Je le sors doucement de l’enveloppe, il est protégé par une petite pochette plastique que j’ouvre tout aussi méthodiquement que l’enveloppe. Puis le pose sur la table devant moi.

Que vais-je trouvé dans ce foutu DVD? Que vais-je encore apprendre sur les sordides activités de ma femme ? Qu’a, encore, inventé Bernard pour m’humilier ?

Je continue de boire. Encore et encore et encore, jusqu’à être bourré à en vomir. C’est d’ailleurs ce qui arrive. J’ai vidé la bouteille de Jack Daniels et fini mon paquet de clopes. Je suis à 4 pattes la tête dans la cuvette des chiottes à vomir tripes et boyaux. Je suis mort. Comment puis-je être aussi sûr que c’est elle ? C’est elle !!! J’en suis sûr et c’est tout. Je me traine jusqu’à la paillasse qui me sert de lit.

Je me réveille en sursaut. J’ai la tête prête à exploser. Je jette un œil au réveil. Trois heures du matin. Un troupeau de bisons repasse dans mon cerveau pendant un instant. J’ai la tête qui tourne, j’ai un haut le cœur mais ça passe. Je m’assois sur le bord du lit crasseux puis me dirige tant bien que mal vers le salon. J’aperçois le DVD posé sur la table du salon. Je me décide. Allez courage.

J’insert le DVD dans le lecteur. Je me sers un grand whisky et allume une cigarette. Le film n’a pas encore commencé que déjà je sens mon cœur accélérer et mon sexe palpiter dans mon pantalon. Décidément, je ne suis pas guéri.

L’image est noir, puis soudain un salon. On dirait un boudoir, décoré à l’ancienne par de vieux meubles qui doivent valoir une fortune et en face de la caméra un canapé deux places. Puis soudain une voix :

- Vas y Mathilde c’est à toi !

Soudain Mathilde apparait à l’écran, vêtue comme la dernière des putains. Je suis abasourdi de la voir dans cette tenue. Elle porte un mini robe rose hyper décolleté jusqu’au milieu du ventre dont les pans de tissus sont attachés sur la nuque, essayant vainement de dissimuler ses gros seins. La robe s’arrête quelques centimètres sous les fesses et remonte dans le dos pour rejoindre l’attache sur la nuque par une espèce de petit bijou. Je constate mis à part ça que le dos est nu et que l’on aperçoit très facilement le galbe des seins par le côté, elle ne porte évidemment pas de soutien gorge. Outrageusement maquillée de rose surligné de noir sur les paupières de même que son rouge à lèvre, elle porte de grandes boucles d’oreilles brillantes en forme de gros anneaux. Puis le tout assorti de chaussure à talon rose d’une hauteur incroyable qui fait qu’elle se déhanche d’une manière complètement obscène. 

Elle a tout le look d’une fille qui vas jouer dans un film de cul. A cinquante ans, je trouve ça pathétique et pourtant je bande déjà comme un âne. Elle arrive donc du fond de la salle. En fait le tour comme s’il était prévu que je puisse la détailler. Ses gros seins ballotent sous sa robe et on aperçoit parfois par l’échancrure, sous les bras, la totalité de son sein. Ses jambes son nues, et ses mollets tendues par la hauteur de ses talons. Elle a maigri. Elle a perdu au moins 15 kilos. Elle est belle fine, musclée, magnifique pour son âge.

Puis elle s’assoit sur le canapé et croise les jambes. Repassant la scène au ralenti on peut très rapidement se rendre compte qu’elle ne porte rien sous sa robe. C’était prévisible. Je suis atterré, excité, affolé, décontenancé. Je ne sais plus quoi faire : arrêter, continuer, me masturber. J’avale mon whisky est m’en ressers un autre. Rallume une cigarette et tire nerveusement dessus.

Toujours cette voix que je ne reconnais pas :

- Tu peux y aller.

Elle regarde cette personne puis revient vers la caméra.

- Bonjour Laurent. Bernard viens de me dire que tu avais reçu les DVD de nos différentes rencontres. J’avoue avoir été fâchée sur le coup car je ne voulais pas que tu puisses avoir le plaisir de partager ces instants de pur bonheur avec moi, mais, après coup, je me suis dit que ça pourrait être une belle vengeance et que finalement tu ne méritais pas mieux. En effet, je suis finalement heureuse que tu aies pu voir comment, alors que nous étions encore ensemble, Bernard, que tu m’as fait rencontré, s’est si bien occupé de moi. Mais ce qui m’excite le plus c’est que tu aies aussi pu voir une de mes plus belles performances avant celle de ce soir. Car se soir je vais repousser les limites de ce que je pensais pouvoir faire et accepter. Et tu vas en profiter. Je peux te dire que ce que tu as vu dans le 3ième DVD que tu as reçu n’est rien à coté de ce soir.

Putain, mais qu’est-ce qu’il y a sur ce putain de DVD que je n’ai pas voulu regarder ? Qu’est-ce que j’ai raté de si important ? Et d’abord, où est ce DVD. Je me lève et commence à fouiller dans le capharnaüm. Impossible de remettre la main dessus. Arrête !! Réfléchis !!! Essaye de te souvenir de ce que tu en as fait, espèce de poivrot dégénéré.

Je m’assieds un moment fixant Mathilde souriante sur l’écran en pause de la télé. Puis soudain je me souviens. Il est dans le tiroir du bahut avec les factures. Je me lève, ouvre le tiroir, jette les enveloppes sur la table de salle à manger, prends la pochette et reviens m’assoir. Remets en mode lecture.

- Bien voilà, je pense t’avoir tout dit. Je te souhaite une bonne branlette, secoue bien ta petite bite et apprête-toi à voir ta femme, puisque je le suis encore, te cocufier comme tu en rêve depuis longtemps. J’espère que tu vas bien en profiter. Encore une chose. Je vais demander le divorce et j’espère que tu crèveras seul la bite à la main comme un conard que tu es. Bye pauvre naze.

Son regard est dédaigneux, haineux, je sens de la colère et de la hargne. Elle me déteste. C’est sûr. L’image se coupe et revient sur le boudoir et c’est Bernard qui est maintenant assis à la place de Mathilde.

- Mon pauvre Laurent. Qu’est-ce qu’elle t’a mis. Elle n’y est pas allez de main morte. Hein ? Mais que veux-tu c’est la vie. Au fait ! Petite bite et gros lâche comme tu es, je suis sûr que tu n’as pas osé regarder le 3ième DVD. Alors un conseil. Regarde-le avant celui là. Ca te donnera un avant goût et ça te permettra de te demander ce qu’elle peut bien être capable de faire après ça. Allez !!! Je te laisse c’est qu’on a du pain sur la planche. Mais avant regarde bien.

- Mathilde !!! Viens ma belle salope. Viens me sucer !

Mathilde revient dans le chant de la caméra et s’assied à coté de Bernard. Elle défait méthodiquement la braguette et sort le monstre demi bandé. J’avais oublié qu’elle était si grosse.

- Tu as vu mon chéri. Dit Mathilde en regardant la caméra. Tu as vu comme elle est grosse. Ca c’est de la bite. Une vraie bite d’homme. Si tu savais combien j’en ai sucé et prise dans tout les trous des comme ça, tu serais impressionné.

- Si tu fermais un peu ta gueule. Je t’ai demandé de me sucer.

Aussitôt elle se jette sur la queue de Bernard qui déjà fourre la main dans ses cheveux pour lui imprimer le mouvement.

- Que c’est bon ça. De ne plus être obligé de filmer en douce. Regarde Laurent comme le plan et l’angle de vu est bien meilleur.

Mathilde suce la queue en fixant la caméra. Elle s’applique à bien le sucer tout en malaxant ses grosses couilles. Je bande. Je sors ma queue de mon boxer et commence à me masturber. Très rapidement Bernard bande à fond et commence à s’énerver. Il bourre la bouche de Mathilde comme un forcené. Elle apprécie le traitement. Il l’étouffe à moitié en lui fourrant sa queue à fond dans la bouche, jusqu’au fond de sa gorge.

- Vas y prends la toute, veille trainée. Régale-toi. Ohhh !! Putain oui je vais tout te foutre dans la gueule. Ouiiii !!!

Puis il se tend. Je vois Mathilde déglutir les yeux fermés. Elle avale tout jusqu’à la dernière goutte. Puis nettoie bien la queue de Bernard avant de la remettre dans le pantalon et de refermer la braguette. Puis elle se réajuste comme si de rien était et disparait du champ. Bernard me regarde, me fait un clin d’œil.

- Allez !!! Cette fois on y va. Profite bien.

L’image devient noire et je coupe avant que la prochaine scène apparaisse. Je ne sais plus quoi faire. Pourtant je suis dans tous mes états. Je bande comme un fou. Il faut que je sache cette fois. Je ne suis pas un lâche.

Je me lève est sort le DVD en le remettant délicatement dans la pochette puis insert le 3ième DVD de l’autre fois. Puis appuie sur Play.

Une petite musique débute. Puis un canapé. Une mise en scène bizarre. Le titre apparait : Le casting de Mathilde.

La voix off : Bonjour à tous. Aujourd’hui notre ami Bernard, que vous connaissez tous pour ses talents de rabatteur, nous amène une quinquagénaire nommée Mathilde. Je sais que d’habitude nous ne recevons que des jeunettes, mais il a vraiment insisté pour que nous la recevions et on ne pouvait pas lui refuser ça. Il nous a dit que c’était sa nouvelle petite trouvaille, que nous n’allions pas être déçus, qu’elle avait un super potentiel et un tempérament de feu. Comme vous le savez, on aime les bonnes grosses salopes qui aiment la bite, alors espérons qu’elle soit à la hauteur. Si son casting est convainquant on lui donnera peut-être un petit rôle.

Ca frappe. La caméra se dirige vers la porte et s’ouvre. Sur le pas de la porte, Bernard suivie de Mathilde. Bernard porte un pantalon de ville, une chemise largement ouverte sur ses poils avec une grosse chaine en or ainsi que des grosses bagouses et des lunettes noires. Il fait vraiment l’effet d’un mac. Mathilde, qui suit juste derrière, porte un grand manteau de fourrure. Elle est maquillée comme une pute : gros rouge à lèvre, mascaras, couleur sur les paupières, etc. Elle porte un petit bandeau noir autour du cou serti de petits brillants. Le plan s’élargit un peu et fait un plan sur ses pieds gainé de nylon dans des chaussures ouvertes aux talons vertigineux. J’ose à peine imaginer ce qu’elle peut porte dessous.

La voix :

– Bonsoir Bernard, tu connais la maison, accompagne Mathilde jusqu’au salon.

Bernard :

 – Salut Abdel. Content de te revoir. Merci d’avoir accepter de nous recevoir.

La voix ;

- C’est tout naturel. Tu sais bien que je ne peux rien te refuser.

La caméra filme en suivant Mathilde qui du fait de ses hauts talons se déhanche diaboliquement, puis le couple s’assied sur le canapé. Le dialogue s’installe entre la voix et Mathilde.

- Bonjour Mathilde.

- Bonjour

- Alors Mathilde. Dis-nous ce qui t’amène ici ? Et raconte-nous un peu ton parcours.

- Eh bien. J’ai 50 ans. Je suis mariée, sans enfant. Et mon mari avait comme fantasme de me voir faire l’amour avec d’autres hommes. Alors un jour nous sommes allés dans une boite échangiste. Nous y sommes retournés deux ou trois fois et à chaque fois il me traitait comme une pute. Jusqu’au jour où il m’a présenté Bernard avec qui j’ai fait l’amour le soir même pendant que mon mari dormait. J’ai tellement joui que j’ai eu envie de le revoir et depuis nous vivons « ensemble » si l’on peut dire.

- Et ton mari ?

- Je l’ai quitté.

- Pourquoi ?

- Parce que je ne suis pas sa pute mais sa femme. Alors tant qu’à être traitée comme telle autant que ce soit avec quelqu’un qui me fasse vraiment jouir et qui sait de quoi il parle.

- Ok !!! Ca a le mérite d’être clair. Alors du coup, maintenant tu fais les quatre cents coups avec notre ami Bernard et son gros braquemard. Ha ha ha !!!

Mathilde baisse les yeux, honteuse.

- Mathilde si on parlait de tes pratiques. Tu aimes sucer ? Tu avales ?

- Oui j’aime bien sucer une grosse queue et j’avale parfois.

- Bien et la sodo ?

- Oui j’adore.

- Cool !!! Qu’elle est ta position préférée ?

- La levrette.

- Ah oui et pourquoi ?

- Parce que j’aime sentir mes seins pendre dans le vide. Ca m’excite tout particulièrement.

J’écoute très attentivement. Je ne veux pas en perdre une miette. Je me caresse doucement sur le canapé en sirotant des whiskys. Je suis fasciné par la décontraction avec laquelle elle répond aux questions sans aucune pudeur. Mathilde a bien changé. Elle avec qui on ne pouvait discuter de rien. Qui n’aimait pas forcement sucer, ni qu’on lui bouffe la chatte et encore moins qu’on la sodomise. Voilà qu’elle dit en redemander. J’hallucine. Elle était si prude, si réservé, que je voulais la décoincer un peu et j’en ai fait la dernière des putains.

- Excellent. J’adore les femmes comme toi. Je suis sur qu’on ne va pas regretter de t’avoir fait venir.

Bernard souris. Un sourire qui en dit long. Pervers, vicieux, malin, comme si il savait déjà ce qui allait se passer.

- Tu aimes le SM ?

- Non. Pas vraiment. Ce n’est pas mon truc d’avoir mal.

- Même si ça apporte le plaisir ?

- Je ne sais pas. Surement que ça doit dépendre des circonstances.

- Ok !! L’uro ? Le scato ?

- Je n’ai jamais pratiqué ce genre de chose. J’avoue que ça ne m’attire pas vraiment.

- Pas vraiment ?

- Non je ne vois pas quel plaisir on peut en retirer.

- Ok. Mais tu n’es pas fermée à l’idée.

- Ce n’est pas que je sois fermée. C’est juste que pour pratiquer certaines choses, il faut encore qu’elle soit pratiquée dans de bonnes conditions. Je ne dis pas que si je suis vraiment très excitée, que dans un moment de folie, de plaisir et de jouissance, je ne sois pas capable de faire des choses que je n’aurais pas forcément faite avant.

- T’es vraiment géniale.

- Merci, mais j’essaie d’être sincère comme me l’a demandé Bernard.

- Bien. Je vois que tu as un joli manteau de fourrure. Je suis certain, connaissant Bernard comme je le connais, qu’il y a une surprise la dessous. Je vois déjà que tu portes de très haut talons et apparemment des bas, mais si tu nous montrais ce que tu caches la dessous.

Mathilde regarde Bernard qui lui fait un signe d’approbation de la tête puis se lève. Fais glisser son manteau et le jette sur le fauteuil. A ce moment là, la voix siffle et moi je reste bouche bée. Mon dieu qu’elle est belle. Quelle tenue magnifiquement portée. Je me mets à bander rien qu’en la voyant. Je vais tenter de vous la décrire. Déjà le premier truc qui m’a surpris, c’est le piercing au nombril. Un magnifique diamant, ou du moins ça y ressemble, sur un ventre plat musclé. Elle a du faire beaucoup de sport ces derniers temps. Je regarde ma brioche mélancolique. Je n’ai vraiment plus rien à voir avec elle.

Elle est donc vêtue d’une guêpière seins nus noire en dentelles transparentes avec des jarretelles accrochées à de magnifiques bas résilles dont le haut est superbement brodé. Puis un string fendu assorti, fente au travers de laquelle on a volontairement fais sortir les grandes lèvres. Entre elles une ficelle.

- Mathilde, dis moi ? C’est quoi cette ficelle ?

- Des boules de Geisha. Bernard voulais que j‘arrive déjà excitée. Pour me détendre plus facilement.

- Magnifique. Vraiment. Tu veux bien te retourner ?

Mathilde se retourne sans répondre.

- Penche-toi en avant.

Mathilde se penche et prend appui sur l’assise du canapé offrant une magnifique vu sur son postérieur fendu par la ficelle du string. Entre ses fesses on aperçoit quelque chose.

- Ecarte tes fesses.

Mathilde pose la tête contre le dossier du canapé puis pose ses deux mains sur ses grosses fesses et les écartes largement. On peut voir qu’elle a un bijou sur l’anus.

- Tu as un plug dans le cul ?

- Oui !

- Et bien ma salope, tu nous as fait la totale. Bernard tu es un génie. Bernard montre nous un peu ce plug que tu lui as mis.

Bernard se lève et doucement enlève la ficelle du string d’entre les fesses de Mathilde et attrape le bout du plug et tire doucement. On peut voir l’anus de Mathilde réagir et s’écarter pour laisser apparaitre la partie évasée du Plug de 4 ou 5 cm de diamètre. Il tire doucement et fini par le sortir complètement du fondement de Mathilde qui pousse un soupir de plaisir.

- Dis donc Bernard elle a l’air d’aimer ça. Remets lui pour voir ?

L’anus, qui était resté ouvert un court instant se détend sous la pression du Plug que Bernard lui remet dans le cul. Il entre facilement malgré la taille qui reste raisonnable. Doucement il commence un léger va et vient dans le cul de Mathilde sans le sortir complètement mais juste sur la partie la plus évasée puis le remet. Mathilde, dont les seins pendent de façon obscène sous elle commence à remuer du cul.

- C’est qu’elle aime ça cette trainée. Vas y ouvre lui bien l’anus parce qu’elle va en avoir besoin.

Bernard retire le plug et lui fourre direct deux doigts dans le cul. Il la lime copieusement et Mathilde commence vraiment à apprécier le traitement. Il lui laboure vraiment le cul. Je suis impressionné de voir comment elle prend les deux doigts. Il lui met le plug dans la bouche pendant qu’il lui astique le fondement. Il enlève ses doigts pour montrer à la caméra qui fait un gros plan comme son cul est dilaté. Puis il tire sur les boules de Geisha et les enlève de sa chatte. Elles sont luisantes de mouille.

- Très bien les enfants. Mathilde tu sais pourquoi tu es là ce soir ?

- Pas tout à fait. Un casting ?

- Oui en quelque sorte, mais c’est plutôt un test de capacité.

- Ah ?

- Oui, On a invité quelques amis pour qu’ils te testent.

- Quelques ?

- Oui trois exactement.

- Ok

- Assois-toi et regarde ce qu’on t’a réservé.

Mathilde s’assied cul nu sur le canapé, les seins pendant. Arrive trois lascars déjà nus avec entre les jambes des braquemards comme Bernard. Mais en plus long. Ils sont trop bien montés. Mathilde en reste la bouche ouverte de surprise et ses yeux se mettent à briller.

Aussitôt les mecs commencent à l’entreprendre en lui tripotant les seins, en faisant rouler les tétons entre leurs doigts. Ils l’insultent copieusement puis rapidement lui fourre une queue dans la bouche pendant qu’un autre lui bouffe la chatte, le dernier lui malaxe ses grosses mamelles. Le mec qui se fait sucer lui défonce la bouche.

- Vas y prends tout pétasse. Je vais te la mettre jusqu’aux amygdales.

- Argggghhh !!! fait Mathilde dont les yeux commencent à pleurer tellement il va profond.

Je pourrais vous décrire l’ensemble du DVD mais ça serait trop long. Tout ce que je peux vous dire c’est que pendant près de deux heures elle s’est faite défoncée comme une chienne par tous les trous. Pipe, sodomie, double pénétration, double vaginale, fist de la chatte, gorge profonde. Ils l’ont giflée, fessée, insultée comme la dernière des dernières et pour finir lui ont tous giclés sur la figure, les seins et dans la bouche. Même Bernard a participé et à la grande surprise de tous c’est fait sucer direct en sortant de son cul et il a tout fait avaler en lui éjaculant au plus profond de la gorge.

Moi j’ai fini par éjaculer sur la table du salon comme un porc, complètement exténué. Mathilde, elle de son côté, recevait les félicitations du jury, en lui promettant qu’ils allaient très bientôt se revoir. Pour une scène encore plus chaude. Mathilde les remercie pour leur confiance et leur dit que ce sera avec plaisir.

L’image se coupe et gros plan sur Bernard.

- Salut Laurent. Voilà la fin de l’aventure de ta femme pour l’instant. A l’instant où je te parle elle dort. Je suppose que tu n’es pas surpris après ce qu’elle vient de prendre. Dis-toi bien que ce que tu viens de voir n’est rien à côté de ce que je lui réserve. Je vais faire de ta femme un garage à bite, un sac à foutre. Je te promets qu’elle ne vivra plus qu’avec une seule idée en tête : Se faire baiser et cela n’importe où, n’importe quand et avec n’importe qui. Et quand j’en aurais fini avec elle, elle aura pris 20 ans et sera juste bonne à faire la pute dans un rade à 10 sous. Tu n’es qu’un pauvre type. Mais je te promets de te redonner de nos nouvelles quand ça en vaudra la peine. Bye.

Puis le plan s’écarte. Mathilde est assise à côté de lui. Elle sait donc ce qu’il veut faire d’elle. J’en suis scotché, atterré et anéanti comme jamais je ne l’ai été. Détruit et excité à la fois.

FIN.

2 commentaires:

  1. Je ne peux me faire à l’idée que ce soit la fin de cette histoire. J’aurais aimé voir l’évolution de Mathilde et sa déchéance. Jusqu’où Bernard l’a amené et si elle a réussi à sortir de cette spirale avant d’être usée comme il le dit…

    RépondreSupprimer
  2. Quel récit !! Dommage que le texte soit parsemé de fautes d'orthographe et de grammaire. Une meilleure relecture serait un plus.

    RépondreSupprimer

Merci de vos retours