lundi 24 février 2020

La nouvelle vie de Christine Ch. 20

La nouvelle vie de Christine - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte

Convoquée par le directeur de l'école.

Je reçus un nouvel appel de Nelson GOBERT le mercredi après-midi. Il semblait très excité :

- Le directeur a vu la vidéo. Il appelle Christine pour la convoquer ce soir à l'école. Bien sûr, je lui ai parlé de vous et de la situation.

- Et les autres enseignants? demandai-je.

- J'ai d'abord montré le film au directeur qui souhaitait un peu de temps seul avec elle. Je donnerai le film aux autres quand nous terminerons ce soir et peut-être seront-ils convaincus demain.

- D'accord. Dis-je en raccrochant.

Durant la journée, je ne vis pas Christine prendre d'appels téléphoniques. Mais à 16h55, elle m'appela pour me dire que le directeur de l'école voulait la voir ce soir à 19 heures. Inquiète, elle me demanda :

- Pensez-vous qu'il veuille parler de ce qui s'est passé vendredi soir.?

- Non ne t'inquiète pas salope. Répondis-je en raccrochant et attendant qu'elle descende de son bureau.

Sur le chemin du retour, je lui demandai pourquoi le directeur voulait la voir et elle me dit que c'était pour sa fille Alice. Je savais très bien que Nelson en était la cause et que nous avions convenu qu'Alice serait l'excuse

Alors que nous arrivâmes à la maison, ma belle-mère dit :

- Je n'ai pas envie d'aller à cette réunion ce soir.

Tout en entrant dans la maison, je rétorquai :

- Tu es obligée d'y aller. Toi ou ta fille pourriez avoir des ennuis si tu ne réponds pas à une convocation.

- Oui je sais. Dit-elle à contrecœur.

Christine se vêtit d'un pantalon et d'un chemisier strict sur un soutien-gorge classique. Le directeur ne lui avait rien demandé au sujet de ses habits. Il ne voulait pas l'alerter sur les principales motivations de la convocation.

Nous nous arrêtâmes sur le parking visiteur de l'école et entrâmes à l'intérieur. Nous restâmes quelques minutes à la réception puis nous entendîmes une porte s'ouvrir dans le couloir qui mène à la salle des profs et le bureau du directeur. Un homme assez grand arriva et se dirigea vers nous avec un grand sourire sur le visage. Il me tendit la main et me fit un clin d'œil :

- Bonjour, je suis Claude RINCLOT, directeur de cette école. Et vous êtes?

- Je suis le gendre de Christine. Je suis ici pour la soutenir moralement. Dis-je en souriant.

Il regarda de bas en haut ma belle-mère puis dit :

- Christine, nous nous sommes déjà souvent rencontrés n'est-ce pas?

Je sentis ma soumise mal à l'aise. Le directeur continua :

- Si vous voulez bien me suivre dans mon bureau.

Il tourna les talons et partit dans le couloir, suivi de Christine puis de moi. Nous le suivîmes dans son bureau qui était assez petit. Il avait disposé de chaque côté de son fauteuil en cuir deux sièges. Dans le coin, était disposée une table avec un téléviseur et un lecteur DVD. Il nous fit signe de nous asseoir. Il dit :

- Maintenant, je ne vais pas tourner autour du pot ou je le ferai un peu plus tard. Je vais donc passer à autre chose.

Il prit la télécommande du téléviseur sur son bureau et appuya sur un bouton en la braquant sur l'écran. La pièce fut bientôt emplie par des gémissements. A la télé, nous pûmes voir la scène de baise entre Nelson et Christine.

Le visage de celle-ci se décomposa quand elle comprit pourquoi elle était là encore ce soir. Elle se tourna vers le directeur qui avait les yeux rivés sur elle et qui dit :

- Maintenant Christine, je pense que vous serez d'accord avec moi. Ce genre de comportement est totalement inacceptable avec l'un des professeurs de votre fille. N'est-ce pas?

- Oui, je suis d'accord, mais....

Elle commença à se justifier devant le directeur mais celui-ci l'arrêta en levant la main :

- Il n'y a pas de Mais Christine. En tant que directeur de cette école, je ne peux pas tolérer un tel comportement dégradant des parents envers mon personnel... sauf si j'en profite aussi.

Un grand sourire se répandit sur son visage tandis qu'il continua :

- Comprenez-vous ce que je veux dire Christine? Vous n'êtes pas assez stupide pour ne pas comprendre que vous faites du bon travail. Dit-il en la regardant fixement alors que les sons de son orgasme sur la bite de Nelson remplissaient le bureau.

Bien sûr, à l'école, il était connu que Christine avait une bonne position dans son entreprise et qu'elle gagnait beaucoup d'argent. C'est ce que les gens pensaient, ne connaissant pas sa nouvelle promotion.

- Je suis ce que vous pensez Monsieur RINCLOT. Dit Christine en le regardant puis en se tournant vers moi sachant très bien que j'autoriserai le directeur à la baiser.

- Ça ne sert à rien de regarder ton ami. D'après ce que Nelson m'a dit, ton gendre est devenu ton maître Non?

Il profita de pouvoir poser des questions embarrassantes à ma belle-mère qui répondit :

- Oui c'est vrai.

- Et que dit Alain? Je suppose qu'il ne sait pas.

- Non, il ne sait pas. Confirma-t-elle.

De mon côté j'ajoutai :

- Pas encore non....

Ils se tournèrent tous les deux vers moi. Christine était nerveuse et le directeur se réjouissait du contrôle que j'avais sur ma belle-mère et de l'embarras de celle-ci à remettre en question ma menace de dire à son mari ce qu'elle était devenue.

Le directeur reprit :

- Donc Christine, si vous savez ce que vous êtes et si vous comprenez pourquoi vous êtes là, je vous suggère d'enlever vos vêtements un par un et de les empiler sur mon bureau.

Ma belle-mère était maintenant bien dressée. Elle avait été si souvent dans cette situation qu'elle comprit qu'elle n'y échapperait pas. Elle se leva en poussant sa chaise et avança au milieu du bureau. Je bougeai légèrement ma chaise afin de mieux voir son strip-tease humiliant.

Elle commença par son chemisier strict qu'elle déboutonna et enleva. Quand elle apparut en soutien-gorge, Claude lui dit qu'elle avait des seins fantastiques puis il lui demanda de continuer. Elle défit le bouton de son pantalon et descendit la fermeture éclair de la braguette laissant apparaître un peu de dentelle de la culotte. Elle se pencha pour déboucler ses chaussures. Ensuite elle laissa son pantalon tomber sur ses chevilles. Elle se pencha de nouveau pour le récupérer sur le sol et elle le plaça sur le bureau avec son chemisier. Sa petite culotte était en dentelle noire avec des petits nœuds rouges sur les bords.

- Tournez-vous. Demanda Claude.

Elle obéit, montrant son beau petit cul recouvert de dentelle noire.

- Remettez vos talons. Ordonna de nouveau le directeur.

Elle remit ses chaussures, et se mit en attente dos au bureau. Claude prit un moment à l'admirer puis il dit en souriant :

- Magnifique. Enlevez votre soutien-gorge.

Les yeux baissés, elle mit les mains dans le dos pour faire sauter le fermoir. Son soutien-gorge tomba légèrement avant qu'elle le saisisse. Elle se retourna et le déposa délicatement sur le bureau du directeur. Celui-ci put regarder ses gros seins avec les grandes auréoles autour de ses mamelons pointus. Il attrapa le soutien-gorge, le frotta entre ses doigts et trouva l'étiquette qu'il lut :

- 95 D!!!

Il cria presque en regardant ma belle-mère et en lui lançant un sourire lubrique. Il reposa le soutien-gorge et demanda :

- Maintenant voici le final, Enlevez le bas!

Christine attrapa l'élastique de sa culotte et commença à la baisser quand Claude l'arrêta :

- Demi-tour et penchez-vous!

Elle se retourna et recommença à baisser sa culotte tout en se baissant. On put voir tout d'abord son petit trou du cul, puis les plis de sa chatte bien rasée. Elle descendit le sous-vêtement jusqu'aux chevilles.

- Ne bougez plus! Demanda le directeur en regardant le cul et le sexe déjà humide de ma belle-mère.

Puis après quelques secondes, il ordonna :

- Apportez-moi votre culotte Christine.

Elle dégagea sa culotte de ses chevilles et se dirigea vers le directeur, la tête baissée et les yeux rivés sur sa mince bande de poils pubiens. Elle arriva près le bureau. Claude tourna sa chaise sur le côté pour lui montrer qu'elle devait lui amener au plus près. Elle fit le tour pour se placer juste devant lui puis elle lui tendit sa culotte. Il la prit et la posa sur son nez pour humer l'odeur de ma belle-mère. Il sourit et mit la culotte dans un tiroir de son bureau.

- Vous sentez bon Christine.

Il lui dit d'ouvrir les jambes puis lui fit signe avec son doigt d'avancer tout près de lui. Une fois qu'elle fut positionnée, il tendit sa main droite pour la gifler à l'intérieur de la cuisse droite juste en dessous de sa chatte. Instantanément, elle écarta les jambes. La main droite du directeur se posa sur son sexe et il glissa deux doigts en elle.

- Hummmmm. Gémit-elle, incapable de se contrôler.

- Soumise et mouillée, c'est comme ça que j'aime mes putes. Dit-il en la regardant.

Il commença à faire coulisser lentement ses doigts dans son vagin, savourant chaque instant et s'assurant qu'elle sente bien toute la longueur de ses doigts potelés. Il les retira puis les remit à l'intérieur en les poussant au maximum.

Christine avait fermé ses yeux. Soit parce qu'elle ne voulait plus voir le regard vicieux du directeur, soit elle ne voulait pas voir son visage alors qu'elle profitait de ses doigts et qu'elle poussait sa chatte sur sa main, demandant encore plus.

Même si ma belle-mère avait fermé les yeux pour ne pas montrer à Claude qu'elle appréciait ses doigts, celui-ci avait certainement vu le mouvement du bassin. Il lui demanda :

- Vous aimez mes doigts dans votre chatte, n'est-ce pas?

- Hummmmm...ummmm. Gémit-elle tout en avançant de nouveau le bassin sur sa main, signalant ainsi son approbation.

Elle poussa un petit cri quand le pouce du directeur écarta les lèvres de sa chatte pour localiser son clitoris. Il n'avait pas besoin de réponse, le comportement de la femme l'avait fait.

- Ohhhh! Votre clito est brulant. Dit-il en le frottant.

Il accéléra son mouvement, excitant de plus en plus le clitoris si bien que ma belle-mère jouit violemment en s'abandonnant. Ses jambes se dérobèrent sous elle et le directeur la tint par l'épaule tout en pompant sa chatte et caressant son clitoris, le temps que l'orgasme se termine.

Une fois qu'elle eut repris son calme, il enleva sa main de sa chatte et il lui demanda :

- Tournez-vous, penchez-vous, gardez les jambes écartées et attrapez vos chevilles avec vos mains.

Bien sûr, elle fit ce qu'il dit et une minute plus tard elle était en position. Elle ne résista pas quand le directeur prit de la mouille de sa chatte pour en badigeonner son anus serré. Il recommença une fois puis se pencha pour cracher directement sur son petit trou. Ensuite il trempa son index dans sa chatte pour le lubrifier une fois de plus puis il l'enfonça lentement dans son trou du cul.

- ARGHHHHH.

Christine gémit quand elle sentit qu'il violait avec son doigt son intimité anale. Suivit un gémissement plus profond ainsi qu'un gémissement d'acceptation quand le doigt entra entièrement.

Claude pilonna le passage avec un seul doigt pendant trois ou quatre minutes et je pus voir qu'il coulissait en elle avec une grande facilité. On aurait pu croire qu'il avait lu dans mon esprit car il ajouta un deuxième doigt à côté de l'index. Les deux coulissèrent aussi facilement sans que Christine de fasse de commentaires à l'intrusion supplémentaire. Donc après deux minutes encore, Claude rajoutait un troisième doigt à l'intérieur de son cul.

- Putain! Oh! Merde! Ahhhh!

Ma belle-mère se tortillait sur la main, ses fesses rebondissant alors que le passage s'étirait pour accueillir trois doigts.

Au même moment, le téléphone sonna sur le bureau. Le directeur répondit de sa main gauche inoccupée, trois doigts de l'autre main fermement coincés dans le cul de Christine.

- Ha oui. Je vais venir Nelson. Je suis juste en train d'apprendre à connaitre Christine un peu plus intimement après toutes ces années. Elle se familiarisera avec ma bite lorsque nous vous rejoindrons. A bientôt. Dit-il au téléphone avant de raccrocher.

Je n'ai rien demandé et le directeur n'a pas donné d'autres informations. Il a simplement demandé à Christine de se relever. Puis il se leva de sa chaise et se dirigea vers la porte en nous demandant de le suivre Ma belle-mère alla récupérer ses vêtements mais quand Claude la vit, il lui dit de les laisser car elle n'en aurait pas besoin.

Après avoir hésité, elle le suivit dans le couloir, complétement nue à part ses hauts talons qui cliquèrent sur le plancher. Je leur emboitai le pas.

Claude nous conduit vers la salle des professeurs. En nous approchant, nous pouvions voir qu'il y avait de la lumière à l'intérieur. Claude ouvrit la porte et nous laissa entrer, d'abord Christine puis moi et il referma la porte. Ma belle-mère se figea sur place et je faillis la bousculer. Je compris lorsque je vis Nelson ainsi que deux autres hommes assis dans des canapés.

Claude se tourna vers Christine et lui dit :

- Ne soyez pas timide Christine, venez voir Daniel et Georges, deux autres enseignants qui voudraient goûter à votre chatte.

Ils se mirent tous à rire. Ma belle-mère se tourna vers moi et me prit la main en me suppliant :

- S'il vous plaît, tous ces hommes enseignent à ma fille Alice.

Sur l'instant, je pensai que j'allais peut-être trop loin dans la soumission et l'humiliation à laquelle je la soumettais. Elle me serait peut-être reconnaissante si je la ramenais à la maison. Je réfléchis un moment, puis je retirai sa main de la mienne et je la retournai en face des quatre hommes qui attendaient. Lentement, elle avança vers les hommes assis.

- Stop! Dit Claude lorsque qu'elle fut au milieu des canapés, deux hommes de chaque côté.

Sur sa droite, étaient Claude et Nelson qui l'avaient déjà doigtée et baisée. A sa gauche se tenaient les deux autres hommes dont je ne connaissais que le prénom et qu'ils étaient enseignants. Je m'installai dans un fauteuil afin d'assister au prochain spectacle.

Les deux hommes étaient beaucoup plus jeunes que Claude ou Nelson. Ils devaient avoir la trentaine, étaient en forme et bien musclés. Je pensai qu'ils étaient en mesure de baiser ma belle-mère rudement.

- Christine, ne soyez pas impolie, dites bonjour à Daniel et Georges. Dit Claude.

Il pointa d'abord son doigt sur l'homme aux cheveux bruns puis sur l'autre au crâne rasé qui devait être Georges.

Christine se tourna vers ces deux hommes tout en essayant de cacher ses seins ainsi que les lèvres de sa chatte. Elle salua les deux enseignants avec un simple bonjour, avant de se détourner complétement gênée et humiliée.

Claude lui demanda :

- Allez Christine, vous pouvez faire mieux que ça. Je sais que vous ne les avez pas souvent rencontrés auparavant. Mais vous serez bientôt très familière avec eux, alors ne soyez pas timide et montrez-leur vos superbes seins et votre chatte.

Ma belle-mère rougit et baissa la tête, honteuse d'être ainsi dégradée et humiliée. Puis elle se tourna de nouveau vers Daniel et Georges, les bras ballant sur les côtés et les pieds légèrement écartés afin qu'ils puissent la voir complétement. Et elle dit :

- Je suis désolée d'avoir été grossière. Bonjour, je suis Christine, la mère d'Alice. Je suis heureuse de vous rencontrer.

- Nous sommes heureux de vous rencontrer aussi. Dit Daniel tout en lui faisant un clin d'œil.

Claude reprit :

- Voilà qui est mieux Christine. Maintenant pourquoi ne pas leur demander ce qu'ils pensent de votre corps.

Ce fut une humiliation de plus que de lui faire demander à ces étrangers ce qu'ils pensaient de sa plastique. Mais elle obéit :

- Que pensez-vous de mon corps Messieurs? Est-il bien pour vous?

Elle me jeta un coup d'œil, le visage encore rouge de honte et d'embarras.

- Pour être honnête, il semble bien pour une femme de votre âge. Mais j'ai besoin de voir de plus près avant de l'affirmer. Déclara Georges en se décalant sur un bord du canapé et en tapotant la place qu'il vient de laisser entre lui et Daniel.

Christine savait ce qu'ils attendaient. Elle se tourna vers Claude et Nelson ricanant et s'assit entre les deux enseignants. Immédiatement les mains de ceux-ci trouvèrent les seins et les mamelons. Ils furent malmenés par ces hommes qu'elle venait juste de rencontrer. Elle ferma les yeux, comme s'il cela suffisait à l'emmener loin de cette situation. Mais Claude lui ôta cette illusion :

- Gardez les yeux ouverts Christine.

Elle les rouvrit lentement puis fixa le directeur et l'homme qui avaient déjà abusé d'elle.

Les mains de Daniel caressèrent sa cuisse droite et montèrent toujours plus haut jusqu'à ce que ses doigts frôlent la région la plus intime de son anatomie. Il n'était plus qu'une question de secondes avant que de nouveaux doigts étrangers se posent sur son sexe.

- Ouvrez vos jambes. Lui dit-il à son oreille.

Christine leva la jambe droite et la posa sur sa jambe à lui. Sa chatte trempée par son orgasme sur les doigts de Claude était maintenant ouverte et accessibles aux deux jeunes enseignants. Leurs mains descendirent sur son sexe en même temps.

Les doigts de Georges trouvèrent en premier son trou. Il y entra facilement trois doigts tandis que Daniel écarta ses lèvres pour découvrir son clitoris encore sensible du jeu du pouce à Claude. Quand Daniel le pinça, elle eut un petit cri. Il le roula entre ses doigts pendant quelques secondes. Puis quand Georges retira se doigts, il en introduit trois des siens pour la baiser avec.

- Elle a mon approbation. Dit Georges en regardant Nelson et en s'amusant avec le clitoris de ma belle-mère.

- Qu'en pensez-vous Daniel? demanda Nelson.

- C'est très bien pour moi. Répondit-il en souriant.

Claude s'installa confortablement dans le canapé, les pieds posés sur le sol, ses genoux bien écartés. Je sus de suite ce qu'il allait arriver.

- Que diriez-vous de me rejoindre Christine et de vous familiariser avec ma bite? Dit Claude tout en montrant sa bosse dans son pantalon.

Ma belle-mère se leva, et après que son cul soit claqué par Daniel et Georges, elle se dirigea vers le directeur pour se mettre à genoux entre ses jambes. Elle défit son pantalon et alla pêcher sa bite à l'intérieur. Elle en sortit une grosse queue raide de 18 centimètres environ assez épaisse. Christine commença à le masturber.

Nelson prit l'initiative lui-même de sortir son membre et baisser son pantalon sur ses chevilles :

- Venez Christine. Je vous ai déjà vu vous débrouillez avec deux bites à la fois. Attrapez donc la mienne. Dit-il en secouant sa verge.

Claude déplaça ses jambes de façon qu'elle soit maintenant à genoux entre les deux, sa main droite sur la tige de Claude et sa main gauche attrapant celle de Nelson.

Du liquide pré-éjaculatoire sortait du gland de Claude si bien que chaque fois qu'elle glissait sa main sur le membre et le gland, elle étalait ce jus et lubrifiait la bite.

- Sortez vos bites messieurs, elle va vous rejoindre dans une minute. Déclara Claude.

Il attendit qu'ils aient libéré leurs membres puis il dit à ma belle-mère d'aller leur faire la même chose qu'à eux.

Elle se tourna et se dirigea vers les deux hommes plus jeunes. Elle se mit à genoux entre eux, tendit les mains et saisit les deux bites. Elle replia leurs prépuces et commença à les masturber en rythme. Daniel avait la plus longue queue des quatre, pas loin de 22 centimètres Tandis que Georges avait la plus petite aussi bien en longueur qu'en épaisseur, mais étant plus jeune elle paraissait solide.


Après cinq minutes, Claude dit à ma belle-mère de revenir vers lui et de se remettre à genoux dans la même position que précédemment. Mais pendant qu'elle masturberait Nelson elle devrait sucer sa bite. Donc, Christine tendit une main et saisit la bite de Nelson puis elle se pencha, ouvrit la bouche et engouffra la queue du directeur.

- Oh merde Christine! Votre bouche est faite pour sucer des bites. Dit Claude en posant une main sur la tête féminine afin de rythmer la fellation

Pendant ce temps, elle arrivait à masturber Nelson avec un mouvement régulier.

Claude n'était pas égoïste. Après quelques minutes, il lui demanda de le masturber et de sucer Nelson. Elle changea de main et se mit à sucer l'autre enseignant, qui avait déjà connu la bouche de ma belle-mère.

Puis elle fut envoyée vers les deux jeunes pour faire avec eux ce qu'elle venait de faire à Claude et Nelson.

Finalement, après qu'elle eut sucé les deux autres pendant cinq minutes, Claude demanda :

- Amenez vos fesses ici Christine. Voilà, tournez-vous et asseyez-vous.

En parlant, il la saisit par les hanches et la guida entre ses jambes, puis il appuya sur ses épaules afin qu'elle descende sur sa bite dressée. Mais sa queue glissa sur ses fesses alors il lui dit de guider son membre elle-même.

J'aimai voir Christine guider la bite d'un autre dans sa chatte. En dernier recours, elle aurait pu refuser mais comme elle le faisait c'est bien qu'elle voulait la queue en elle.

Elle attrapa le membre et le tint stable avec sa main droite. Elle mit sa main gauche sur la cuisse de l'homme pour garder son équilibre. Elle plana pendant quelques secondes au-dessus la bite dressée puis descendit lentement. Je sus que le sexe du directeur avait commencé à la pénétrer quand il s'enfonça dans le canapé avec un grognement. Elle enleva sa main et se pencha en arrière en mettant les deux mains sur la poitrine du directeur. Celui-ci lui saisit la taille et la poussa vers le bas afin de lui remplir la chatte.

- Ohhhhh ouiiiiii. Gémit-elle alors qu'elle s'empalait complétement sur lui.

- Chevauche-moi! Fut tout ce que dit le directeur décontracté sur son siège.

Il lui montra en la soulevant par sa poitrine et en la laissant retomber avec un grognement pour lui et un cri pour elle.

Une fois de plus, Claude montra qu'il n'était pas égoïste. Au bout de cinq minutes il la repoussa pour l'expédier vers Nelson. Celui-ci la garda face aux deux autres, la tira en arrière et enfonça lui-même sa queue dans sa chatte humide. Empalée, il la poussa en avant afin qu'elle pose se mains sur le sol pour se tenir et il la fit rebondir sur sa bite tout en giflant son cul.

- OHHHHH OUUIIIIII, Je jouiiiiisssss. Hurla-t-elle.

Elle se laissa tomber sur la queue et convulsa jusqu'à ce que son orgasme passe. Après une ou deux minutes, elle se souleva, titubante et elle chancela vers les deux jeunes enseignants attendant d'être prise par l'un d'eux. Finalement ce fut Georges qui l'attira vers lui et lui fit chevaucher sa queue.

Sa petite bite glissa facilement dans la chatte de ma belle-mère qui n'eut pas beaucoup de réaction en rebondissant sur cette queue, laissant ses seins frotter le visage de l'homme. Celui-ci profita de l'occasion pour prendre un mamelon dans sa bouche et le sucer. Au bout de cinq minutes elle se retira pour rejoindre Daniel et son gros membre.

Elle se tourna, dos contre sa poitrine et écarta les jambes au-dessus de lui de façon obscène. Daniel la poussa un peu et sa queue fut bientôt à l'entrée de la chatte humide et gonflée. Il la fit descendre sur lui lentement. J'avais une vue parfaite sur le gland de l'homme qui écartait les lèvres et la pénétrait jusqu'à ce que sa bite disparaisse complétement en elle. Elle cria et jura tandis que ce membre écartelait son vagin.

Quand Daniel poussa pour la quatrième fois sa queue tout au fond du vagin, Christine jouit à nouveau bruyamment :

- Ouiii Daniel, j'aime ta grosse bite, je jouiiissss, Arggggghhhh ohhhhhhhhhhhh.

Son orgasme fut si long et si intense que son corps ramollit et sa tête retomba, les yeux roulants dans leurs orbites.

Elle resta avachie sur le jeune enseignant pendant vingt secondes, le temps de se remettre. Puis elle se releva et se retira de la grosse queue, son jus suintant et coulant le long de ses cuisses. Claude se leva, la saisit et la coucha sur l'accoudoir du canapé puis il la pénétra par derrière. Nelson se positionna en face d'elle. Il n'eut pas besoin de lui dire ce qu'elle devait faire

Les quatre hommes échangèrent de place de nombreuses fois durant les vingt prochaines minutes, chacun prenant son tour dans la chatte humide ou la bouche accueillante. Ma belle-mère jouis une nouvelle fois, sur la bite de Daniel je crois.

Puis tandis que Claude était derrière elle, elle eut un cri aigu, qui me fit comprendre qu'il avait dû mettre sa bite dans son cul.

- Aie mon Dieu il est dans mon cul, il me sodomise...

Elle haleta, sentant Claude élargir le passage anal sous les yeux de ses collègues qui attendaient leur tour pour l'enculer.

- Un fois que j'aurais fini de baiser ton cul Christine, mes trois collègues me remplaceront histoire de mieux vous y habituer. Dit Claude tout en éperonnant son petit trou serré.

- Aie! Non! Pas tous les quatre dans mon cul s'il vous plait. Aiiiee! Supplia ma belle-mère en sentant tout au fond de son cul le membre du directeur.

- Vous pouvez suppliez tout ce que vous voulez, nous prendrons tous votre cul. Je vous suggère de la fermer.

Sur ces mots, Nelson lui saisit la tête et colla sa bite dans sa gorge afin de la faire taire. Il baisa sa tête comme sa chatte en disant encore :

- Vous ne dites pas qui ou comment vous allez être baisée.

- Ummmmppphhh ummmppphhh. Marmonna-t-elle.

- Est-ce clair salope? demanda-t-il en fourrant sa bite tout au fond de la gorge.

- Ummmmppphhh muuuph ummmphhh. Marmonna-t-elle encore, incapable de parler et remplie aux deux extrémités par deux bites.

- Maintenant, quand je vais enlever mon sexe de votre gorge, vous allez nous supplier de vous faire sodomiser par chacun de nous. Comprenez-vous salope?

Il pilonna sa bouche encore trois fois avant de se retirer, la laissant à bout de souffle.

- Et bien? Déclara Nelson ne voulant pas la laisser récupérer son souffle

- S'il vous plait... S'il vous plait, enculez-moi. Je veux que vous me sodomisiez tous avec vos grosses queues.

Elle haleta puis jouis de nouveau, Claude enterré profondément dans son cul.

- Qui est le prochain? Demanda Claude en laissant ma belle-mère, le cul ouvert mais commençant à se fermer.

Georges se porta volontaire et remplit le cul avec sa petit queue plus mince.

Nelson fut le prochain quand Georges lui laissa la place pour mettre sa bite dans la gorge de Christine. Celle-ci l'accepta avidement sans penser qu'il venait juste de son cul. Nelson la bourra violemment pour essayer de la faire jouir mais son travail acharné n'eut pas de résultat malgré tous les gémissements qu'il tirait de ma belle-mère. Daniel s'avança pour le remplacer.

- Oh non, pas vous...Dit Christine en regardant brièvement en arrière.

Daniel présenta son membre épais sur le passage étroit. Bien sûr, il avait été élargi par les trois autres bites précédentes mais pas assez pour l'épaisseur de celle de Daniel. Avec un grand sourire sur le visage, il dit :

- Si si c'est mon tour.

Il entra sa bite d'environ 4 centimètres dans le cul de Christine qui gémit :

- Oh merde, vous allez déjà me faire jouir.

Elle eut un autre orgasme quand le jeune enseignant conduit son membre totalement dans son cul, ses couilles venant taper contre sa chatte.

Ensuite il retira son membre sans en sortir le gland, puis il la pénétra de nouveau violemment. Il refit cela une dizaine de fois avant de la baiser normalement pendant cinq bonnes minutes comme il l'avait fait avec sa chatte humide.

Christine était comme une poupée gonflable. Elle était couchée sur l'accoudoir du canapé, la tête en bas, les seins se balançant sous elle, le cul en l'air sodomisé à plusieurs reprises par les hommes qui se relayèrent probablement trois ou quatre fois. Je perdis le compte quand ma belle-mère pleurnicha qu'elle allait encore jouir. Puis elle se tendit brièvement avant que son corps se détende sur la bite qui la sodomisait.

Alors que Georges prenait son cul pour la troisième ou quatrième fois, il déclara qu'il allait éjaculer. Christine, gémissante dit :

- Jouissez dans mon cul vous tous...

Un instant plus tard, les couilles de Georges se vidèrent dans le passage anal de la femme. Il laissa sa bite en place le temps de s'épancher complètement. Puis Claude passa en deuxième position. Il éjacula au plus profond des entrailles de ma belle-mère et, comme Georges, il attendit d'avoir les couilles complètement vidées avant de se retirer. Après s'être retiré, il fit le tour du canapé, attrapa la tête de Christine pas ses cheveux pour la relever afin d'engouffrer son membre dans la bouche pour se le faire nettoyer.

Nelson la laboura quelques minutes avant d'éjaculer lui aussi dans son fondement et de venir se faire nettoyer la bite de la même façon que Claude.

Enfin, Daniel, avec sa grosse queue déposa une quatrième charge tout au fond du cul de Christine. Dès qu'il se fut retiré, Claude ordonna à ma belle-mère de se mettre au milieu de la pièce, jambes écartées. Elle eut du mal à descendre du canapé et à obéir.

Ses jambes étaient flasques et elle dut lutter pour garder l'équilibre sur ses talons. Elle eut du mal à rester debout tandis que les hommes s'asseyaient autour d'elle et la regardaient. Le sperme commença à fuir de son trou du cul abusé pour tomber sur le sol entre ses jambes.

Elle baissa les yeux et elle rougit instantanément en se rendant compte de sa situation humiliante : debout, nue, du sperme s'échappant de son anus devant le directeur de l'école et trois professeurs de sa fille.

- Je pense que nous sommes tous d'accord sur le fait que cette petite réunion devrait devenir un événement mensuel. Donc, Christine, je vous invite à assister à toutes les réunions qui se tiendrons dans cette salle le dernier vendredi de chaque mois. Etes-vous d'accord? Me demanda-t-il en me regardant.

- Pas de problème, elle sera là. Répondis-je.

Claude demanda à Christine de la suivre à son bureau afin qu'elle récupère ses vêtements. Avant qu'elle ne s'habille, il lui ordonna de se pencher sur le bureau sur ses coudes. Ensuite il lui écarta les fesses afin de prendre quelques photos de sa chatte bien utilisée et de son anus qui laissait encore passer quelques filets de sperme.

Nous quittâmes l'école tous en même temps. Le directeur me remercia tout en m'indiquant qu'ils attendaient tous la fin du mois avec impatience.

Christine s'endormit dans la voiture. Dès que nous arrivâmes à la maison, elle alla directement prendre un bain puis elle se coucha. Elle avait été baisée pendant plus de deux heures par quatre bites. Et nous n'étions que mercredi donc elle avait encore deux jours de travail à divertir des clients.


A suivre...

Le bistro Ch. 01

Texte écrit en 2009 par Nadi69.

Découverte du bistro.

Hello, je m’appelle Nadine, j’ai 25 ans, petits seins, mince et mes fesses sont le fantasme de beaucoup d’hommes. En tous cas c’est ce que l’on me dit souvent. De nature soumise et obéissante, (l’un ne va pas sans l’autre) je corresponds, par Internet, avec Maîtresse Marie.
Celle-ci me demande de faire des tas de choses sexuelles et d’en apporter les preuves en lui envoyant des photos. Ce n’est pas toujours évident de lui obéir, surtout pour les photos, mais je fais de mon mieux pour la satisfaire.
Cette semaine elle m’a ordonnée de trouver un chantier et de me donner gratuitement aux ouvriers, de faire des photos et une description de ce qui se sera passé, puis, de lui envoyer, tout cela, via son e-mail.

C’est la première fois qu’elle me demande un truc de ce genre et j’ai une trouille pas possible, me rendant compte des risques encourus et de mon avenir, en acceptant cela.
Mais comment ne pas la décevoir si je ne m’exécute pas. Je me suis même demandé si ma Maîtresse n’était pas, en fait, un Maître car, ce genre de chose est un fantasme d’homme en général. Mais voilà, je suis une esclave obéissante et me voilà à la recherche d’un grand chantier.

En sortant de chez moi et me dirigeant vers l’arrêt du bus, je dois passer devant plusieurs petits bistrots de quartier, surtout fréquentés par des ouvriers et autres alcooliques notoires.
Un de ces bistrots est principalement fréquenté par des arabes et quelques noirs aussi. Comme quoi dans ce genre d’endroit, l’Islam n’a pas vraiment sa place.

Il fait assez beau en ce début avril et je me suis habillée courte et légère, un petit sac à dos pour mes affaires personnelles. Au moment de passer devant ce bistrot et comme d’habitude, je me fais « vanner » et « charrier » :

- Hé ! Ma jolie ! Vient donc goûter mon sucre d’orge

- Ta jupe est trop longue ! On ne voit rien !

- A ton âge on prend encore la sucette !

Et d’autres « vannes » tout aussi débiles, que les hommes un peu ivres et en groupes lancent aux filles pour les faire fuir. Mais, je ralentis le pas et une idée me vient tout à coup. Et si…

Et si, pour plaire à ma maîtresse, au lieu du chantier j’allais dans ce bistrot voir si leurs paroles valent leurs gestes.

Une grosse boule me monte à la gorge, mon estomac se noue mais, je sens les muscles de mon vagin se contracter par à coup. Je m’arrête, les quolibets se raréfient et lorsque je me retourne toute tremblante d’angoisse, ils s’arrêtent.
Je reviens sur mes pas et sans regarder personne, les yeux fixant le sol, je pénètre dans ce bistrot. Un silence total et impressionnant s’installe au fur et à mesure que j’avance à l’intérieur. Mon ventre n’est plus qu’un gros nœud, ma gorge est tellement sèche que j’ai l’impression de m’assécher complètement et pourtant mon entre-jambe me trahit.

- Ma parole !... Mais, je mouille ! Pensais-je

Mon angoisse diminue un peu et j’ose lever mon regard vers le bar. Derrière ce dernier se tient un homme assez fort d’une quarantaine d’années qui me regarde l’air méfiant et mauvais.

Enfin, après avoir lutté pour, ne pas faire demi-tour et me sauver au plus vite et au plus loin, je parvins contre le bar, enlevai mon mini sac à dos et le déposai à mes pieds. Trois hommes y sont accoudés et me regarde comme une extra-terrestre.

- Bon… Bonjour ! Fis-je avec une voix de petite fille

- ….

Le silence, le plus glaciale de mon existence, me répond. Dans le bistrot, je n’ose regarder personne et le silence est toujours aussi palpable.

- Je… Je… Je voudrais…. Je voudrais un café crème, s’il vous plaît. Demandais-je toujours avec une petite voix.

- Avec beaucoup de crème s’il vous plaît ! Continuais-je.

J’ai l’impression que ma voix a explosé dans ce silence et pourtant la dernière phrase, je l’ai chuchotée.

L’homme derrière le bar me regarde ou plutôt son regard à l’air de m’explorer. J’ai un petit rictus qui voudrait être un sourire qui se forme sur mes lèvres et mes yeux redescendent sur la poitrine de l’homme.
Quelques instant encore de silence et d’observation et l’homme se retourne pour faire mon café. Une parole, puis deux, puis trois emplissent le silence derrière moi mais elles semblent être chuchotées.

- Que vient faire une jolie fille comme toi dans ce bistrot ? Dit une voix à ma droite.

- Surtout avec si peu de vêtement ! Dit une autre derrière moi.

- Et avec des fesses pareilles ! Fis une voix très, très proche de moi sur la gauche.

En attendant qu’on me serve, j’ai baissé les yeux vers le comptoir et senti que l’homme sur ma gauche s’est rapproché de moi. Je sursaute lorsqu’une main épaisse et forte se pose sur ma fesse gauche et presse celle-ci.

Seul, la barrière de tissu de mon short très court et moulant sépare la paume de cette main à la peau de ma fesse. Mon ventre se noue encore et l’angoisse de ma gorge s’amplifie. Mais, je ne me dérobe pas de ce touché osé.

- C’est un peu dangereux ici pour une petite salope dans ton genre. Me dit la voix de gauche presque sur mon oreille.

- Voici votre café Mademoiselle ! Dit le patron.

- Et avec beaucoup de crème. Continue-t-il avec une voix plus forte pour que tout le bistrot puisse entendre.

- Mer… Merci beaucoup. Fis-je d’une voix angoissée.

L’homme à ma gauche me malaxe la fesse sans plus aucune retenue et tous les clients du bistrot doivent jouir d’un spectacle gratuit. C’est aussi à ce moment qu’une autre main se pose sur ma fesse droite et le bout des doigts glissent entre mes jambes. Les deux hommes sur ma droite se sont rapprochés au point de se tenir contre et derrière moi.

Je sens le souffle de l’homme derrière moi me chauffer la nuque et une main s’aventure sur mon sein droit, seulement protégé par un body moulant. Comme, je ne porte jamais de soutien-gorge, mon téton est accessible facilement et ne tarde pas à subir pincement et étirement.
Levant mes yeux paniqué vers le patron du bar, je vois ce dernier faire signe aux hommes qui m’entourent et me tripotent d’aller vers les toilettes.

Sans aucune violence mais avec fermeté, je suis entraînée vers les toilettes du bistrot. En fait, c’est l’homme qui me maintient par la fesse gauche qui, uniquement en me tenant celle-ci, me tire vers les WC. Les deux autres hommes suivent. Le bourdonnement des conversations reprend avant que je ne franchisse la porte séparant le bistrot des toilettes.

Mon sort ne semble plus intéresser que les trois hommes qui m’entraînent. Quelle erreur de jugement venais-je de faire ! Mais cela je ne le savais pas encore.

Celui qui me tient la fesse tout en me poussant vers l’avant, dans le couloir menant aux toilettes, glisse sa main dans mon short et malaxe ma fesse à même la peau cette fois.
Je suis poussée sur des casiers de bière qui encombrent ce couloir, un peu sombre et pas très propre. Mon body disparaît en moins d’une seconde. Des mains et des langues se collent à mes seins et mes lèvres. Une langue grasse et très humide pénètre ma bouche, pendant que des dents mordillent mon téton.
Mon short m’est enlevé aussi rapidement que mon body et c’est en string et baskets que les trois hommes continuent de me tripoter partout. Des doigts s’enfoncent dans mon anus et mon vagin et je me rends compte que mon angoisse se transforme en une jouissance énorme.

- Assied-toi petite ! Je vais t’en donner de la crème. Fait un des hommes en me poussant, par les épaules, vers le bas.

Les doigts et mains se retirent de mes orifices et je dois m’asseoir sur les casiers de bière. Une bouteille mal rangée dans le casier vient se placer juste sur mon anus alors qu’un sexe se pose contre ma bouche.

- Allez ! Suce petite ! Vient boire ton lait !

- Ah ! Putain ! Quelle salope cette gamine ! S’écrie une voix.

Deux mains ont empoigné ma tête et le sexe coulisse dans ma bouche au rythme que m’impose l’homme. En fait il me baise la bouche. Son sexe devient de plus en plus dur et une vingtaine de va-et-vient suffise avant que je sente son sexe avoir des soubresauts. L’homme place son sexe au bord de ma bouche afin que celle-ci se remplisse de sperme.
Mon excitation s’accentue de cette situation.
Un doigt vient de pénétrer l’entrée de mon vagin et caresse mon clitoris. La bouteille à l’entrée de mon anus semble vouloir s’enfoncer encore. Mes mains poussent sur, d’un côté une pile de casier de boisson et l’autre sur un mur rapetissant le couloir.

- Hé les gars, elle s’est mise une bouteille dans le cul, la salope !

- Enfonce-la à fond. Dit l’autre homme qui me tripote depuis le début.

Les sons qui sortent de la bouche de l’homme qui se vide dans ma bouche sont entrecoupés d’ordre :

- Haaaaaa ! B…Bois…Hoooooo ! Av…Avale ! Haaa aaa !

Et à chaque fois un jet remplit ma bouche et j’avale aussitôt. Mon excitation atteint son comble lorsque je me sens soulevée et reposée vivement afin que la bouteille s’enfonce vraiment dans mon derrière.

- Quelle salope ! Elle prend toute la bouteille dans son cul.

- Vite, je ne vais pas me retenir plus longtemps. Dit une voix en poussant celui qui finit de se vider dans ma bouche.

Il se retire et je reçois un autre sexe bien odorant pour remplacer celui qui vient de me quitter. La situation, l’odeur, la bouteille, les caresses, le sperme qui descend dans mon ventre et ce nouveau sexe dans ma bouche ont raison de moi et c’est un formidable orgasme qui me secoue dans tous les sens
.
Pendant plusieurs secondes voire deux ou trois minutes, je ne suis qu’un robot qui accepte tout ce qui se présente. Lorsqu’à travers mes yeux embués et mon excitation permanente, je vois que plusieurs hommes ont rejoint les trois autres et qu’ils font la file pour se vider dans ma bouche, je peux enfin me rendre compte de la situation dans laquelle je viens de me mettre moi-même
.
Assise sur le bac de bière, une bouteille coincée à fond dans mon cul et les sexes défilant et se vidant dans ma bouche sont pour moi une réelle révélation de ma nature profonde. Je peux donc me comporter comme une vulgaire pute à bar, avec tous les risques et en tirer une fabuleuse jouissance.

Maîtresse Marie aurait-elle découverte ma vraie nature rien qu’en discutant sur Internet avec moi ?

Je me pose toutes ces questions alors que le dernier homme me laisse la bouche pleine de son sperme et que la bouteille de bière dans mon cul commence à se faire douloureuse.

Je descends de la pile de bac et cherche mon body et mon short. Je trouve assez rapidement mon short et retire délicatement la bouteille de bière de mon derrière.

C’est à ce moment, penchée vers l’avant, dans ma main droite la bouteille de bière que je viens juste de retirer de mon cul et dans la main gauche mon short, que deux mains se posent sur mes hanches, qu’un sexe se présente à l’entrée de mon anus complètement distendu et qu’il me pénètre d’un coup de rein assez brutal.

Mon cri de surprise et de douleur est stoppé net par le spasme de ma respiration du à cette pénétration brutale.

- Voilà un petit cul comme je les aime. Fait la voix du patron.

Il commence à me ramoner les intestins, son sexe étant assez volumineux pour me faire mal; même si la bouteille de bière a élargi mon conduit anal.
La sodomie que je subis, fait monter en moi un nouvel orgasme. Je lâche la bouteille, qui résonne sur le carrelage et pousse mon cul vers le sexe qui semble battre tous les records de vitesse pour me pénétrer.

- C’est que t’aime vraiment cela ! Hein Salope ?

- Ou… ou…oui,… mon…sieur. Balbutié-je à chaque choc de son pubis sur mes fesses
.
- T’en fait pas petite, tu vas en avoir pour ton argent !

Il raffermit ses mains sur ma taille et son sexe devint dur comme de l’acier et dans un dernier enfoncement, il me maintient contre lui et je peux sentir chacun de ses jets dans mon ventre.
Je perds toute notion du temps et de l’espace pour sentir mon corps secouer par un orgasme sans précédent.

Lorsque je reprends mes esprits, je suis allongé en chien de fusil sur le carrelage froid et sale du couloir. Mon entre-jambe est humide de ma jouissance et du sperme suinte de mon anus distendu.

Je me relève péniblement et dans un brouillard de larme je cherche mes vêtements. Je trouve mon short à côté de moi et mon body dans le local des toilettes, pendu au bord d’un urinoir sale et malodorant.

Avançant vers l’unique évier du local, je m’appuie dessus pour me tenir passablement droite et je me regarde dans un miroir presque sans tain et complètement griffé. L’image que me renvoie ce miroir me met très mal à l’aise car mon visage est ravagé de salive et probablement de sperme. La saleté de mon visage va de pair avec la saleté du local et j’ouvre le robinet pour me rincer la figure.

Je remets mon short et mon body mais cette fois l’image que me renvoie le miroir est celui d’une vraie salope.

Le pensée que j’ai à cet instant précis est d’espérer que Maîtresse Marie soit fier de moi. Je n’ai évidement aucune photo à lui envoyer.

C’est le derrière meurtri et les mâchoires douloureuses que je reviens dans la salle du bistrot. Je n’ose regarder personne et me dirige vers la sortie.

- Héla petite ! tu n’oublies rien ?

- Je… Je… Dis-je en me retournant et regardant le patron du bar

- Tu ne penses quand même pas que je vais t’offrir ton café ?

- Heu… Je… balbutié-je en retournant vers le comptoir.

Je fais les quelques pas jusqu’au bar sur lequel traîne mon mini sac à dos, dont le contenu est étalé sur le comptoir. Dans un brouillard de larmes et de honte, je cherche mon porte-monnaie que je trouve ouvert et vide.

- Je… Je… j’ai plus d’argent, Hoqueté-je.

- Ben… je ne vois pas beaucoup de solution pour payer. Fais le patron, parlant assez fort pour que tout le bistrot entende ses paroles.

- Je… Je… Je vais chercher… de l’argent… et je viendrai… vous payer. Dis-je avec une petite voix de fille prise en faute.

- Donne-moi ta carte d’identité, je la garde jusqu’au paiement. Dit le patron.

Puis dans un geste sadique, il prend le bout de papier et lis à haute et forte voix mon nom et mon adresse. Je suis rouge de honte et furieuse en même temps.

- Tu vois petite quand on veut jouer à la pute, il faut le faire totalement, sauf que toi, tu le feras gratuitement. A partir de maintenant… Dit-il en laissant en suspend sa phrase
.
- Mais… Mais…

- A partir de maintenant tu viendras ici tous les soirs et tu soulageras ma clientèle. Il faut que le commerce marche. Tu pourras boire autant de café crème que tu veux. Termine-t-il en rigolant.

Je sors du bistrot en étant obligée de remercier le patron, pour sa gentillesse de bien vouloir me laisser rentrer chez moi sans payer mon café.

Je rentre chez moi et me met sous la douche toute habillée. Je laisse couler l’eau longtemps sur moi avant de me déshabiller et de me laver au savon.
Je sors de ma douche et me prépare un repas léger, lorsque la sonnette de mon appartement retentit.

Complètement hypnotisée par ce bruit de sonnette, je reste regarder la porte de mon appartement sans aucune réaction. C’est la deuxième sonnerie qui me fait sursauter et je me dirige vers la porte d’un pas hésitant. Je n’attends personne et je ne suis pas dans une tenue pour recevoir des amies ou amis.

- C’est qui ? Demandé-je.

- Ouvre salope ! Crie une voix.

Je comprends que mon cauchemar n’est pas terminé. De peur qu’il n’ameute mes voisins, j’ouvre la porte et c’est deux noirs qui entrent en me poussant. L’un d’eux s’adosse à ma porte et l’autre fait rapidement le tour de mon appartement.


A suivre ….

Sandra et le proprio (1ère partie)

Vint le jour fatidique de cette violente dispute.

Pourtant depuis un an que nous étions mariés, pas un nuage n'avait obscurci notre vie. Ce vendredi de fin juin où je me suis laissé emporter pour un rien, mit fin à cette vie de couple simple.

J'avais de gros soucis financiers et je venais d'être licencié depuis une semaine. Sandra travaillait, elle est secrétaire dans une boite de moyenne importance. Moi je suis informaticien… au chômage.

J'ai vingt-huit ans et ma femme en a dix-neuf. Cette dispute est venue du fait qu'elle venait de s'acheter quelques vêtements sexy. Le matin je ne l'avais pas vue, j'étais resté au lit. Elle revenait de son travail et je fus surpris de ces nouveaux habits.

Une minijupe à mi-cuisses, en cuir bleu et un haut en soie bleu clair, presque transparent. Sandra est une très belle jeune femme. Grande, un mètre septante-sept, mince avec un joli fessier magnifique et des seins à faire damner un Saint, 95 D, larges, ronds et lourds.

Ses cheveux blonds et ses grands yeux verts, la rendent très attirante. Mais là, habillée ainsi, elle était vraiment… trop… splendide. Je lui en fis le reproche et lui reprochant aussi de ne pas m'avoir montré ses fringues ce matin. Elle me sourit… bêtement en me disant qu'elle avait aussi acheté deux autres tenues tout aussi sexy pour l'été.

Alors, je lui demandais combien avait coûté le tout …

- Six cents Euros" me dit-elle naturellement et elle ajouta, sans compter les chaussures et les sacs, sinon neuf cent nonante Euros en tout.

Je crus défaillir. Mille Euros de fringues, alors que je suis viré et que les traites vont être impayées, sans compter le loyer. J'entrais dans une colère folle et la dispute commença.

Et tout y passa… Mon boulot, mes finances, mon caractère depuis quelques temps, mon abstinence sexuelle, etc… etc… Et aussi, sa désinvolture, sa non solidarité, ses tenues, ses dépenses, son look de pute, etc… Et encore, tout ce que nous ne pensions probablement ni l'un ni l'autre, mais que la colère et l'orgueil nous faisait dire.

Bien trente minutes plus tard, nous nous sommes calmés, pour repartir de plus belle, lorsque je m'aperçus qu'elle était nue sous ses vêtements. Alors, elle remit les mêmes vêtements, me regarda dans les yeux et me dit :

- Alain, tu sais, tu n'es qu'un pauvre con !

Elle sortit et claqua la porte de la maison. Quelques heures plus tard, je l'appelais sur son portable, mais il était éteint. Sans cesse j'appelais mais sans résultat. Elle rentra tard dans la nuit. Le dimanche matin, elle me dit :

- Alain, ne recommence plus jamais cela, je te préviens, jamais !

Je m'excusais et lui promis de ne plus recommencer. Mais de ce jour, Sandra changea totalement. De presque soumise elle devint non pas autoritaire mais c'est elle qui décidait.

Elle était maintenant toujours habillée sexy. Un mois passa et arriva le mois d'août. Elle était en congé. Inutile de dire que nous ne pouvions partir en vacances.

Nous n'avions pas payé le loyer de juillet et le propriétaire avait été aimable d'attendre. Le 5 août, alors que nous étions dans le jardin à faire la sieste, le propriétaire vint. Sandra était les seins nus avec un string.

Je le fis entrer dans la maison et lui expliquais que mes indemnités de chômage ne me seraient payées que début septembre. Il ne voulut rien savoir et exigea un paiement immédiat et argua qu'il était, en plus, très inquiet d'apprendre que j'étais licencié.

Je réussis à le faire patienter jusqu'au lendemain. Affolé, nous ne pouvions obtenir de crédit du banquier qui voyait nos prélèvements de crédit et connaissait notre endettement. Je pris donc la voiture et partis chez mes parents pour essayer de leur emprunter de l'argent.

Mais arrivé chez eux, j'appris par les voisins qu'ils étaient partis quelques jours. Je rentrais bredouille et avec Sandra, nous étions très stressés, nous ne savions comment faire. Sandra dit :

- Il ne faut pas qu'il te trouve ici, je lui dirai, justement, que tu es parti chez tes parents pour leur demander de l'argent et comme ils habitent loin, tu ne seras de retour que dimanche soir.

Je fus ravi de cette idée. Le samedi matin, vers onze heures, nous étions dans le salon, en tenue d'été, elle en robe légère et moi en caleçon, quand il sonna au portillon et je me dissimulais vite dans le bureau.

Elle le fit asseoir dans le salon et lui expliqua exactement ce qui était prévu. Mais il entra dans une colère telle que les voisins durent entendre. Il me traita de tous les noms et de fainéant.

Demandant à Sandra ce qu'elle faisait avec un idiot pareil. Il sortit son téléphone portable et dit qu'il allait appeler son ami huissier pour pratiquer une saisie conservatoire et l'exécuter dans le même temps.

Sandra le supplia de n'en rien faire, qu'elle ferait ce qu'il voudrait pourvu qu'il ne lui inflige pas pareil déshonneur. C'est alors, qu'il dit froidement :

- Ecoute petite, si tu es d'accord, on peut s'arranger, tu es jolie et tu me fais sacrément bander, alors si veux faire tout ce que je veux… pas de problème, je suis prêt à tirer un trait sur les deux mois de loyer à certaines conditions…

- Lesquelles, dit Sandra apeurée ?

- Simple… tu acceptes de baiser avec moi ces deux jours, en attendant ton con de mari et tu ne me dois plus rien !

- Mais…

- Il n'y a pas de mais, c'est cela ou l'huissier dans une heure !

Je pestais, je voulais sortir et lui casser la figure, mais il était grand et fort. La cinquantaine, il semblait un colosse, c'est vrai qu'il était ex-militaire.

Sandra faisant celle qui réfléchissait vit la porte du bureau entre-baillée. Elle me devina plutôt qu'elle me vit. Elle me regarda, froidement, puis se retourna.

- Je n'ai pas d'autre choix, j'accepte…

- C'est un bon choix, jeunette, allez, alors déshabille-toi, fais-moi voir ce que je viens d'acheter !

Sandra obtempéra et se trouva nue devant l'homme.

- Va m'attendre dans le jardin !

- Nue ?

- Oui nue, salope !

Elle sortit et le propriétaire enleva aussi tous ces habits. Il était nu et bandait à moitié. Je voyais tout et sa queue me parut énorme. Probablement le double de la mienne tant en longueur qu'en épaisseur.

Ses couilles étaient grosses comme des oranges. Il caressa son appareil génital et sortit dans le jardin. J'ouvris doucement la porte et j'allai les épier derrière un rideau.

Il avait déjà pris Sandra dans ses bras et l'embrassait à pleine bouche, ses mains la caressaient sur tout le corps, les fesses et les seins. Puis il s'allongea à même le gazon et dit :

- Viens me sucer, petite.

Hésitante, Sandra s'y résolut mais dit :

- Les voisins, ils peuvent nous voir…

- Je me fiche des voisins et s'ils voient, tant mieux, ils sauront…

Alors Sandra s'agenouilla entre ses cuisses, regarda le sexe de l'homme et dit :

- Mais il est énorme, il est trop gros !

- Ah cela te change de celui de ton mari, n'est-ce pas ?

Elle ne répondit pas. Elle prit l'engin dans sa main gauche et emboucha un bout de la bite tendue. De sa main droite elle malaxa les couilles. Elle suçait la queue avec avidité, je m'en rendis compte.

Je pleurais doucement, je voyais ma femme se vendre pour payer le loyer... Je regardais ma femme sucer une queue qui n'était pas la mienne. Trois minutes durant elle s'activa… et je me rendis compte que je bandais en contemplant le spectacle, je me caressais sur le caleçon.

Le propriétaire fit mettre Sandra sur le dos, écarta ses cuisses et lui enfonça un doigt dans la chatte…

- Mais c'est qu'elle mouille la salope, elle est toute excitée de m'avoir sucé la bite !

Il retira son doigt et sans autre préparation positionna son gland sur la vulve de Sandra. Il poussa et le gland pénétra le vagin, Sandra poussa un cri étouffé, il poussa encore et entra totalement jusqu'aux couilles, Sandra cria cette fois franchement.

Ma femme était prise, ouverte par la queue énorme de son amant. Sa tête allait de gauche à droite et ses râles étaient bruyants. L'homme se retira et commença de la baiser de toute sa puissance. Je voyais très bien le sexe entrer et sortir. Il était vraiment énorme et Sandra ne tarda pas à jouir fortement.

- Ah la petite pute, elle jouit comme une jeune salope !

Il la prit longuement ainsi, la faisant jouir trois fois avant de s'enfoncer en elle pour libérer son sperme au plus profond de ma femme. Ils restèrent soudés l'un à l'autre puis Sandra le repoussa et s'enfuit.

J'eus juste le temps de regagner mon bureau sans qu'elle me voie. Le sexe à l'air, je me branlais et je jouis dans un mouchoir. Je devinais qu'elle se lavait. L'homme entra dans le salon et appela Sandra :

- Viens ne t'habille pas, reste nue et sers-nous des boissons.

Ils discutèrent dans le salon.

- Alors, jeune Sandra, tu vois, ce n'était pas la mer à boire, et c'était bon non ? Ah au fait je m'appelle Serge.

Sandra le regarda en fronçant les sourcils et avec une mimique de la bouche.

- Quoi, tu as pris ton pied trois ou quatre fois, tu rigoles…

Sandra ne parlait toujours pas.

- Alors, c'était comment ?

- C'était bien !

- Bien seulement ?

- C'était bon !

- Tu regrettes ?

- Non, mais j'espère que vous tiendrez parole !

Il se leva, fouilla dans sa sacoche et sortit les quittances des loyers qu'il remit à Sandra.

- Non seulement, je tiens parole mais je te fais confiance, j'espère que toi aussi tu tiendras parole jusqu'à demain soir…

- Et si mon mari rentre avant ?

- Tu te débrouilles pour qu'il ne rentre que dimanche soir…

Sandra apporta les boissons, elle se promenait nue comme naturellement devant ce quinquagénaire qui aurait pu être son père. Après un moment, il dit :

- Viens me sucer, chérie !

Sans rien dire Sandra le leva et s'agenouilla entre ses jambes, elle le suça immédiatement... Elle y mettait du cœur et de la volonté. J'en fus étonné et même jaloux.

Il l'arrêta et la fit asseoir sur le fauteuil, il était face à elle, la queue à bonne hauteur de sa bouche. Il y introduisit son sexe démesuré. Elle prenait ses couilles dans ses mains.

Il baisait sa bouche et s'y enfonçait régulièrement au plus profond, manquant de l'étouffer. Soudain, il stoppa et ne laissa que quelques centimètres de sa bite dans la bouche de ma femme.

- Je décharge, salope, je jouis, j'éjacule dans ta bouche de pute… avale mon sperme, avale tout !

Il râla et Sandra reçut toute la quantité de sperme. Elle suça la bite en se retirant et avala d'un seul coup. Puis elle reprit le sexe en bouche et le suça encore. La salope, elle en redemandait...

Elle qui avait toujours refusé que je jouisse dans sa bouche, elle avait permis à cet homme de le faire et avait même avalé son sperme. J'enrageais, je ne comprenais plus rien.

- Formidable ma jeune amante, tu suces très bien et tu te comportes comme une vraie professionnelle. Ton mari est un homme heureux !

- Mon mari n'a jamais eu droit à cela !

J'en restais scié, pourquoi disait-elle ces mots ?

- Ah bon… et alors, pourquoi, moi ?

- J'en avais envie, c'est tout !

- Parfait, parfait, je suis donc privilégié et en avance sur ton cocu de mari…

- Oui, on peut voir les choses ainsi…

Je les voyais entrer et sortir de la maison pour le jardin et vice et versa. Ils discutaient de choses et d'autres et semblaient bien s'entendre. Je crevais de jalousie et m'impatientais de questionner Sandra. Mais je savais que je devais rester planté dans mon bureau…

Le soir, ils mangèrent dans le jardin et j'entendais leurs rires. Sandra se rendit plusieurs fois à la cuisine mais n'eut aucun regard vers la porte du bureau. Toujours nue, elle vaquait…

Enfin ils rentrèrent, lui derrière elle, la serrant contre lui, lui pelotant les seins. Dans ses bras, elle semblait une petite poupée fragile. Elle le guida vers notre chambre…

J'attendis un moment et j'osais ouvrir délicatement la porte du bureau, je m'avançais dans le couloir qui mène aux chambres, il y en a trois…

La porte était largement entrouverte. Par chance la lumière du couloir n'était pas allumée, mais la veilleuse de la chambre oui. J'attendis ainsi quelques minutes et aussitôt que je compris qu'ils étaient en action, je me risquais dans la chambre d'amis juste en face de la notre, dont je laissais la porte entre-baillée.

J'avais une vue complète sur le lit. La tête dans les coussins, Sandra était possédée par notre propriétaire qui la prenait en levrette : il la prenait fortement à grands coups de reins. Les mains sur les hanches de ma femme, il la prenait. Sandra râlait en permanence et criait ses jouissances continues, cela dura ainsi au moins trente minutes.

L'homme s'arrêta et suça le cul de Sandra un long moment. Puis il la prit de nouveau, la faisant encore jouir. Je voyais qu'il enfonçait son pouce dans le cul de Sandra. Il s'arrêta de nouveau et guida son sexe sur l'anus offert.

- Non cria Sandra, non pas par-là !

Je fus rassuré de cette dénégation.

- Tu es à moi pour ce week-end et tu ne dois rien me refuser…

- Mais je ne savais pas que...

- Il n'y a pas de limite, tu m'appartiens, ton corps m'appartiens…

- Je vous en prie, non pas cela, je ne l'ai jamais fait, pas même avec…

- Avec qui ? Ton con de mari, cela ne m'étonne pas, mais tu vas y passer…

Il tenait Sandra fermement d'une main et de l'autre il guidait sa bite. Il appuya fortement et l'anus bien préparé s'ouvrit non sans mal pour Sandra. Le bout était dans le cul. Sandra le suppliait d'arrêter.

Mais, lui pressait doucement, il savait qu'il avait gagné. Il s'enfonçait sans écouter les gémissements de l'enculée. Quand il fut bien à fond, il demeura ainsi sans bouger.

Sandra pleurait, mais le bougre savait y faire, il fit un retour de moitié de s'enfonça de nouveau très lentement. Il sortit totalement et pénétra la chatte toute mouillée, puis il l'encula à nouveau et cette fois pour y rester.

En quelques minutes seulement, il avait réussi à enculer ma femme avec son sexe énorme alors que j'avais toujours été refusé avec mon petit sexe. Doucement il permettait au cul de Sandra de s'adapter à son enculage et à la grosseur de sa bite, tant et si bien que j'entendis des soupirs de plaisirs sortir de la bouche de Sandra.

C'est elle d'ailleurs qui parla la première.

- Oh ! Serge, je n'aurais jamais cru… c'est bon, c'est si bon, continue, oui, encule-moi, encule-moi comme une putain, comme la pute que je suis !

- Dis que tu aimes ma bite, salope.

- Oh ! Oui, oui, je l'aime ta bite dans mon cul, dans ma chatte et dans ma bouche !

- Tu ne pourras plus t'en passer, je viendrai te prendre souvent, si tu veux.

- Oh ! Oui, tout le temps, tout le temps, Serge…

- Et ton mari ?

- Mon mari sera cocu par toi, continue, encule-moi !

Il l'encula encore longtemps avant de crier :

- Je vais jouir dans ton cul ma chérie, je vais t'inonder le cul !

- Oui, viens, viens dans mon cul !

Ils crièrent ensemble, Sandra jouit encore de se faire enculer et il envoya tout son sperme dans le cul de celle qui était, il y a encore quelques heures, ma fidèle épouse. Je regagnais vite mon bureau…

Le lendemain, ils petit déjeunèrent dans le jardin, ils étaient toujours nus. Je remarquais que Sandra était tout à son aise. Elle l'embrassait d'elle-même et attrapait souvent sa bite au passage. Je l'entendis même dire :

- Qu'est-ce que tu m'as mis ce matin, j'ai la chatte ouverte, et ton sperme colle mes poils.

- Et c'est pas fini…

- Oui, oui, j'en prendrais bien encore.

Effectivement, après une sieste réparatrice, il la prit dans le jardin, puis l'encula encore une fois. Cela dura encore plus longtemps que la veille, il l'enculait sans ménagement, il avait enduit son cul de beurre et il pouvait pénétrer sans problème.

Sandra se déchaînait et implorait son enculeur de se retenir de jouir. Mais il jouit. Il se planta au fond de ses entrailles pour y déverser son sperme. Sandra hoquetait de plaisir :

- Serge, Serge, je suis à toi, tu m'as révélée, je ne pourrai plus me passer de toi, maintenant !

- Je viendrai souvent t'en mettre un coup, rassure-toi !

- Oui, Oui…

Vers dix-sept heures, Sandra attira son amant dans la salle de bain. Elle savait que je devais arriver. Je sortis donc de ma cache et à dix-huit heures j'entrais. Ils étaient au salon, nus. Je pris mon air le plus étonné, le plus offusqué :

- Mais enfin qu'est-ce que cela signifie ?

- Eh bien cela signifie, pauvre idiot, que ta femme a payé les loyers que tu es incapable de payer, voilà ce que cela signifie !

- Comment, je ne comprends pas…

- Explique nos accords à ton mari…

- Alain, Serge a accepté d'annuler les loyers dus, j'ai d'ailleurs les quittances, contre un week-end avec moi !

- Avec toi ?

- Oui, nous avons eu des rapports sexuels contre les loyers, tu vois, dit-elle agacée.

- Mais enfin et moi dans tout cela ?

- Toi tu économises les loyers, Sandra a fait ce qu'elle pensait devoir faire et moi je suis satisfait de m'être envoyé une si jolie jeune femme. Tout le monde est content !

- Content, content, vous en avez de bonnes, vous, c'est de ma femme qu'il s’agit !

- Oui et donc tu es cocu et content !

- Alain, il faut bien reconnaître que Serge a été un gentleman et pour tout te dire, j'y ai pris beaucoup de plaisir !

- Quoi ?

- Ta femme te dit qu'elle a aimé que je la baise !

- Ah bon, elle a aimé ?

- Oui, Alain, j'ai aimé et si tu veux savoir, j'ai joui plus qu'avec toi, Serge a une queue énorme, et il faut aussi que tu saches que je lui ai tout donné de moi.

- Qu'est-ce que cela veut dire ?

- Je l'ai sucé, j'ai avalé son sperme et il m'a enculée !

- Qu'est-ce que tu dis, il…

- Oui tu as bien entendu…

Je m'effondrai dans un fauteuil et fis semblant d'être atterré.

- Maintenant que…

- Maintenant je rentre chez moi et tu n'as plus de problème de loyer…

Il remit ses vêtements et partit.

Seuls, avec Sandra nous avions beaucoup à nous dire.

Sandra et moi nous étions sans un mot, assez désemparés, il faut bien le dire. Je comprenais qu'il fallait dire quelque chose pour débloquer la situation.

- Je suis confus, enfin tout mon esprit et confus et je ne sais plus que penser, tout est allé tellement trop vite

- Trop vite, oui c'est ça, trop vite

- Je crois que tu devrais parler, expliquer ton état, maintenant, comme chez le psy, en quelque sorte

- Non je préfère que tu parles le premier, toi aussi tu dois avoir à dire

- C'est vrai mais je suis coincé, comme paralysé … Je ne sais pas par où commencer … Tout est si confus en moi. En fait c'est comme si j'avais rêvé, tu es là devant moi et je ne sais plus si c'est réellement arrivé. J'ai vu ma femme se donner à un autre homme pour résoudre une situation financière difficile, mais j'ai aussi observé qu'elle y avait pris beaucoup de plaisir et j'ai aussi été très excité de la voir ainsi prise par cet homme.

- C'est vrai, au début j'étais dans une sorte de dégoût envers toi et moi, puis le sexe a pris le dessus et je n'ai plus pensé qu'au sexe. Mais je ne savais pas que toi aussi, tu aimais.

- Et tu es allé très loin, tu lui as donné plus que tu ne m'a jamais accordé …

- C'est vrai aussi, je ne sais pas pourquoi mais je n'étais plus moi-même, je vivais ces moments de sexe, il faisait de moi ce qu'il voulait

- A quoi bon maintenant se poser ce genre de questions, je constate que tu es plus sensuelle qu'on pouvait l'imaginer

- C'est plus que vrai, je me suis révélée être une sacrée pute, tu devrais dire

- C'est exactement ça, tu t'es comportée comme une pute

- Tous les hommes, aiment les putes paraît-il …

- Sans doute, mais lorsque c'est leur femme, comme c'est le cas …

- Eh bien tu as une pute à domicile, de quoi donc te plaindrais-tu?

- Que ma pute est aussi celle d'un autre et que c'est cet autre qui l'a faite pute

- Des mots, des mots tout ça

- Ok, mais maintenant?

- Maintenant, on verra

Dans notre chambre, nous étions allongés sur le lit, côte à côte, dans la pénombre, sans bouger, sans parler. Je revoyais ma femme se faisant prendre et surtout se faisant enculer, sur ce même lit, sur le lit conjugal. A quoi pensait-elle ?

- A quoi penses-tu " demanda-t-elle ?

- A toi …. Et à lui

- Moi aussi

- Je vous vois, j'ai tout vu, tout ce que vous avez fait, dans le salon, dans le jardin et ici, sur notre lit

- Je me doutais bien que tu nous regardais

Elle se lova contre moi et m'embrassa. Puis elle prit mon sexe. Le branla. Il était dur.

- C'est vrai qu'il est petit, comparé à celui de Serge

- Et ça te fait quel effet ?

- C'est drôle, cette énorme différence

Elle me suça...

Je la basculais sur le lit et n'y tenant plus je la pénétrais. C'était inhabituel, elle mouillait considérablement et j'entrais en elle comme dans un gouffre béant. Mon sexe nageait dans son vagin.

Elle soupirait. Je m'efforçais de donner de grands coups de reins. Mais excité comme je l'étais, je ne tins pas longtemps et je jouis en elle avec un plaisir comme je n'en avais jamais eu... Nous n'avions pas parlé.

Elle me caressa les cheveux et murmura :

- C'était bon, et toi ?

- Je n'ai jamais ressenti pareil plaisir. Je pensais à la queue de Serge. Et aussi physiquement, je ne t'ai jamais senti aussi accueillante et douce.

- Moi, même si je n'ai pas joui, c'était très bon, c'était cérébral, je pensais aussi à Serge et à toi que j'avais fait cocu avec lui, à son sperme et à ton petit sexe … c'était très bizarre

Nous nous sommes endormis et n'avons plus reparler de ça durant 4 jours...

Puis alors que nous rentrions de promenade, le téléphone sonna. Sandra décrocha. C'était Serge. Il lui demandait de venir chez lui ce soir.

Elle lui dit non … Puis qu'elle le rappelait dans un moment. Elle m'informa de sa demande et me demanda ce que j'en pensais.

- C'est à toi de décider

- Non, toi aussi tu as ton mot à dire, bon il y a le loyer prochain qui arrive et aussi je suis ta femme

- Oui, le loyer … Mais sincèrement, si je fais abstraction de cet avantage financier, j'ai très envie que tu ailles avec lui, je suis tout excité à l'idée que tu te fasses prendre encore par Serge

- Je dois avouer que j'en ai aussi très envie

Elle se prépara, elle mit une de ses nouvelles tenues. Une minijupe évasée, très courte et un T-shirt moulant ses gros et beaux seins. Je voyais bien qu'elle n'avait pas de soutien-gorge. Je la regardais en l'admirant.

- Je ne mets pas de culotte ?

- Non, c'est mieux sans

- Aaahhh, mon chéri est un cocu volontaire, alors ?

- Je suis très excité, j'ai hâte que tu sois déjà rentrée

- Patience, je ne suis pas encore partie

Elle quitta la maison à 20 h 30.... J'attendis jusque vers 3 heures du matin puis je m'endormis.

Au matin je me réveillais à 9 heures. Sandra n'était pas rentrée. Je m'occupais comme je pouvais mais j'étais très énervé. Puis les heures passèrent, je m'excitais de cette situation. Imaginant Sandra avec Serge.

Le soir arriva et la nuit, toujours pas de Sandra. Le dimanche matin, puis le dimanche soir.... Je fus réveillé le lundi matin … par une main sur mon épaule. J'ouvris les yeux. Sandra était à côté de moi. Allongée, nue.

- Quelle heure est-il ?

- 9 h 45

- Tu m'as manqué, beaucoup manqué

- Je t'aime, Alain

- Moi aussi je t'aime Sandra

Elle se mit à genoux sur le lit et vint poser sa chatte sur mes lèvres. Je sentis une odeur forte de sexe.

- Lèche moi, lèche ma chatte pleine de sperme de mon amant, il m'a prise encore ce matin de bonne heure

Je léchais et je reçu un choc. Je goûtais à ce mélange de mouille et de sperme. C'était bon, c'était bandant. Tout me coulait maintenant dans la gorge et je buvais.

- Suce mon cocu de mari, suce le sperme de celui qui a pris ta femme, suce cocu, suce bien bois, avale

- Hummm, hummmm, ne pouvais qu'articuler

- Oh si tu savais, si tu savais …

Elle me libéra de son emprise, se mit à genoux et me dit, viens baise moi. Je me précipitais et je la pénétrais.

- Alors, c'est comment aujourd'hui

- Large, très large et d'une douceur extrême

- C'est normal, il m'a prise 6 ou 7 fois depuis vendredi soir

- C'est bon de baiser ta chatte dans cet état, j'imagine sa queue dans cette place

- Si tu savais comme j'ai jouis avec lui, comme j'aime sa queue … il m'a rempli de sa queue et de son sperme

- J'imagine, oui, tu es une vraie salope, maintenant et je t'adore

- Attend, tu n'as pas encore visité mon cul, tu vas voir, viens dans mon cul

Je me retirer, à regret, de sa chatte et poussais mon sexe à l'entrée de son cul. Je fus surpris et j'y entrais presque sans forcer. Il était ouvert. Je m'y engouffrais en entier.

- Tu m'encules toi aussi, mon amour, mais tu m'encules après mon amant, c'est lui qui m'a dépucelée le cul, avec son énorme bite qui me fais jouir du cul

- Tu m'excites, ma pute chérie, tu m'excites et je vais jouir

- Oui, c'est ça jouis. Tu sais Alain, je crois que lui aussi ne peux plus se passer de moi, tu sais ce qu'il m'a dit …

- Noonnnn

- Il m'a dit qu'il n'avait jamais baisée une jeune femme de 19 ans et que dorénavant, si je voulais, je serais aussi sa femme et que je lui appartiendrais, qu'il me ferais découvrir les choses du sexe.

- Tu lui as répondu quoi?

- J'ai dit OUI, oui, oui, que je serais à lui, que je me donnais à lui et que s'il voulait de moi, je serais sa femme et que je lui appartiendrais avec plaisir

- Ahhhhhh, je jouis, mon amour, je décharge

- Joui, oui joui, sale cocu

Je n'en pouvais plus et je m'écroulais sur le lit d'avoir trop eu de plaisir et la tête pleine de ce que venais de me dire Sandra. Nous avons dormi … Dans l'après-midi nous avons reparlé de tout ça.

- C'est vrai tout ce que tu m'as dit ce matin ?

- Absolument, et si tu veux, je suis prête à jouer le jeu avec lui et toi

- Comment ça, explique

- Je ne te cache pas qu'avec Serge, je m'éclate, je n'ai jamais été prise comme il me prend. Il faut dire qu'il a … le matériel et qu'il sait y faire. Et que sincèrement, j'ai très envie de vivre autre chose, sexuellement et amoureusement. C'est très excitant cette situation. J'ai envie de la vivre à fond.

- Jusqu’où ?

- Sans limite

- Tu penses que nous ne risquons pas de nous perdre

- Non, j'en suis certaine, mais c'est toi qui devras être fort et me faire confiance

- Je te fais confiance … Et de toute les façons, si je n'étais pas d'accord, c'est ça qui nous perdrait

- Je ne sais pas, mais je t'avoue avoir envie de cet homme en permanence

- Alors, essayons

- Il nous invite dans sa maison de près de Montpellier au bord de la mer

- Nous ?

- Oui moi et toi

- Ah, quand ?

- Nous partirions ce week-end pour 15 jours

- Tu es d'accord ?

- Moi oui, et toi ?

- Oui

- Tu es sûr ? Tu crois que tu es prêt ?

- Oui, moi aussi je veux vivre cette aventure.

A suivre...

dimanche 16 février 2020

Ecole privée Ch. 08

Ecole privée - - Soumission - chantage - récit érotique

15 -- L'enculée.

Maxime contourna lentement Anne, savourant ce qui allait arriver. Elle le sentit s'agenouiller derrière elle et relever ses hanches.

- Ce trou est sec! Se plaignit-il.

Anne espéra un moment qu'il utilise plutôt sa chatte humide. Mais au lieu de ça, il cracha plusieurs fois sur son trou du cul, puis il tira un de ses bras en arrière.

- Frotte ton trou du cul et mouille-le. Puis colle un doigt dedans.

Le visage d'Anne devint écarlate. Enfoncer son doigt dans son trou du cul devant tous les garçons? Elle enfouit son visage dans le tapis et obtempéra. Elle frotta son petit trou à plusieurs reprises puis essaya de pousser son doigt à l'intérieur. Elle sentit que le garçon crachait encore sur son cul.

- Assez, maintenant je mets ma bite dans ton cul. Décida Maxime.

L'enseignante sentit le membre dur du garçon contre son ouverture serrée. Elle gémit quand il augmenta lentement la pression. Elle sentit son sphincter céder et elle gémit de douleur.

- S'il te plaît Maxime, va doucement.

Le garçon rigola.

- Doucement? Éric dit que tu es une pute. Je ne suis pas gentil avec les putes. Tu vas aimer que je t'encule durement, tu vas voir.

Il sembla hésiter un moment, puis il poussa en avant et Anne cria quand son cul fut transpercé.

- Ouais c'est ça, baise cette garce. Je parie qu'elle va avoir un orgasme avec ça.

- Allez Maxime ; encule-la bien profond.

Le garçon n'avait pas besoin d'être encouragé. Après avoir ouvert son cul avec sa queue, il la poussa tout au fond puis commença à la pilonner. Elle entendit le claquement de ses hanches contre ses fesses, mais tout ce qu'elle sentait c'était son cul douloureux. Elle gémit bruyamment, mais cela sembla encourager le garçon.

- Aowww, ce trou est très bien, vraiment serré. Dit Maxime en deux coups de rein.

Il attrapa les cheveux de l'enseignante et lui releva la tête.

- Tiens, regarde putain, je vais te faire jouir en t'enculant. Cria-t-il en donnant des coups plus profonds.

Il n'en fallut qu'une douzaine avant que le garçon gémisse tout en déchargeant sa semence dans son cul.

- Aaaahhh c'était bon. Gémit-il à bout de souffle tout en se retirant.

Anne s'effondra sur le sol en essayant de garder ses jambes jointes pour éviter la honte du sperme coulant de son cul. Mais elle ne put se reposer. Robert se leva de sa place.

- Allez enculée, je vais te montrer comment ton cul va bien se faire défoncer.

Trop fatiguée pour résister, Anne rampa. Il la plaça face sur le canapé et remonta son derrière. Sa queue aurait dû glisser facilement dans le trou du cul distendu, mais sa bite était plus grosse que celle de Maxime. Robert lui attrapa les cheveux comme une bride.

- C'est comme ça qu'une salope comme toi devrait être traitée. Siffla-t-il.

Il enfonça brutalement sa queue et commença à la pilonner. Anne était sûre qu'elle aurait des bleus le lendemain matin. Toutefois, la douleur disparut après un moment. Elle était impuissante alors que Robert l'utilisait comme une pute bon marché.

Emme espéra que c'était terminé quand il éjacula, mais David était déjà en train d'attendre, nu, souriant, sa queue bien raide à la main.

- Hé, attends, il faut qu'elle se repose un peu. Elle doit avoir mal partout. Ce n'est pas un jouet et ça risque d'être mauvais pour elle.

Surprise, Anne leva les yeux et vit Pierre, toujours habillé. David Sourit.

- Oh tu crois? Ici salope!

Il montra à Anne l'endroit devant le canapé où Pierre était assis. Avant qu'elle ne réagisse, il l'avait attrapée et jetée sur les genoux de Pierre. Son visage pouvait sentit l'érection du garçon à travers son jean. David explique alors à Pierre :

- Un, mon ami, c'est un jouet, un jouet de sexe et nous ferons ce que nous voudrons avec. Et deux, elle a peut-être mal, mais cette salope profite de chaque minute. Je vais te le montrer.

Il releva les fesses de sa professeure et glissa sa queue dans son cul facilement. Anne se dit que son anus devait être béant après avoir été utilisé par les deux garçons précédents. David la baisa lentement pendant un moment, puis il attrapa sa jambe gauche et la retourna sans sortir sa bite de son cul.

- Maintenant regarde bien Pierre. Regarde sa chatte alors que je la sodomise. Regarde comme elle est jolie, humide et avide de bite. Si elle a mal c'est parce qu'elle n'a pas de bite dans sa chatte.

Anne se mordit la lèvre en sachant que c'était vrai. Son cul était douloureux et sa situation dégradante, mais elle était toujours excitée. Et elle le montrait. Allongée sur les genoux de Pierre, les jambes écartées, elle ne pouvait cacher l'humidité de sa chatte. Elle voyait que Pierre regardait et elle sentait son érection sous elle.

- Je la veux! Déclara Pierre.

Il la repoussa et se déshabilla à la hâte. David prit son temps et la baisa lentement. Lorsque Pierre laissa tomber son short, il eut droit à un sifflement élogieux.

- Bel engin Pierre! Cria quelqu'un.

Le garçon ne réagit pas mais se rassit sur le canapé. David retourna de nouveau l'enseignante. Et soudain, elle sentit une bite dure appuyer contre son clitoris.

- OHHHH. Gémit-elle en essayant de capturer la queue entre ses petites lèvres.

Pierre respecta son désir et elle eut alors le plaisir divin d'une bite bien raide qui glissa dans sa chatte nécessiteuse. Le fait que la bite de David soit toujours dans son cul ne diminua pas le plaisir. Au contraire, ça l'augmenta. Et lorsque les deux commencèrent à la baiser, elle perdit tout contrôle.

- Ohhhhh oui, c'est si bon. Oui s'il te plaît, ne t'arrête pas, baise-moi plus profondément.

Elle savait qu'elle se donnait en spectacle, elle en avait honte. Mais elle ne pouvait s'en empêcher. Elle oublia tout à part la sensation merveilleuse d'une grosse bite dans sa chatte. Rien d'autre ne comptait. Elle ne se rendit plus compte du temps qui passait alors que son orgasme se développait en elle. Elle sentit David ajouter son sperme à celui qui était déjà dans son cul. Puis Pierre accéléra et elle jouit en criant, sans même se rendre compte qu'il éjaculait dans son ventre. Elle s'effondra sur le jeune garçon.

- Tu vois camarade, tout ce qu'elle avait besoin c'était une bite dans sa chatte.

Anne entendit vaguement la voix de David, mais elle était trop épuisée pour s'en soucier. La voix suivante pénétra le brouillard de son cerveau.

- Bien Pierre, il semble que tu aies donné à notre chienne un orgasme. Mais elle n'avait pas demandé la permission. Tu n'es pas à blâmer, tu voulais la baiser ce qui est ton droit. Cette chienne aurait simplement dû se retenir. Il semble qu'elle mérite une punition. Mais pas maintenant. Nous allons remettre ça à demain, lorsque nous aurons plus de temps pour en profiter. En outre, je dois admettre que je bande. Je vais donc aller dans l'aile des filles et laisser Belinda profiter de ma bite. Debout salope!

MAURICE entraîna Anne dans sa chambre où il l'attacha pour la nuit.

- Fais de beaux rêves grosse vache! Dit-il en éteignant la lumière.


16 -- Habile de la langue.

Au moment où il arriva, le lendemain matin, Anne avait désespérément envie de faire pipi. Mais il prit son temps pour la délier et lui expliquer ses tâches du jour.

- Ecoute bien salope, je ne le dirais qu'une fois. Ce soir à 20 heures, tu viendras dans la salle commune et tu demanderas ta punition. Jusque-là, tu ne quittes pas le bâtiment et tu seras disponible pour tout. Si tu veux quitter ta chambre, tu demandes la permission à l'un des gars. Compris?

- Oui Monsieur. Mais s'il vous plaît Monsieur, puis-je aller dans l'aile des filles, j'ai besoin de faire pipi et de me laver.

MAURICE sourit.

- Je devrais te garder ici et te laisser te pisser dessus. Mais je suis un gars sympa, tu le sais n'est-ce pas? Alors vas-y.

Il finit de la libérer et la regarda alors qu'elle se dépêchait d'enfiler des vêtements et de prendre une serviette. Ironiquement il lui tint la porte. Anne se précipita dans l'escalier pour rejoindre l'aile des filles et arriva aux toilettes juste à temps. Ce fut un énorme soulagement pour elle. La dernière chose qu'elle voulait était de donner au garçon la satisfaction de la voir se pisser dessus. Quand elle eut fini et qu'elle sortit de la cabine pour aller aux douches, elle tomba nez à nez avec Katia ANNIEL qui avait un sourire radieux sur le visage.

- Oh merveilleux Mme POISTOUT! Vous savez que vous m'avez énormément manqué. Je m'étais promis de ne plus jouer avec ma chatte, mais j'étais tellement excitée que je l'ai fait deux fois.

La jeune fille sourit malicieusement.

- Mais maintenant, je ne vais pas avoir à le faire. Vous allez lécher ma chatte à nouveau n'est-ce pas? Elle est toute propre, je viens de sortir de la douche.

Anne ne voyait aucun moyen de s'échapper sans expliquer sa situation. Alors elle se contenta s'acquiescer. La jeune fille s'exclama :

- Génial, ma chatte me démange déjà. Elle sera complétement humide quand nous arriverons à ma chambre. Oh merde, on ne peut pas. Lydie dort et on ne peut pas le faire devant elle ou elle voudra que vous la léchiez aussi.

Elle avait l'air malheureuse alors qu'Anne poussait un soupir de soulagement silencieux. Mais les yeux de Katia s'illuminèrent.

- Vous savez quoi? Nous pouvons le faire ici Mme POISTOUT. Nous pouvons verrouiller la cabine pour que personne ne nous dérange. Je vais m'asseoir et vous pourrez me faire jouir avec votre merveilleuse langue.

- Mais Katia, ici? Dans les toilettes?

Un regard irrité traversa le visage de Katia.

- Et alors? Vous avez bien fait des pipes à tous les garçons ici.

Résignée, Anne respira profondément et ouvrit la porte d'un box. Le sourire revint sur le visage de la jeune fille. Elle entra, laissa tomber son peignoir et s'assit sur la cuvette. L'enseignante ferma soigneusement la porte derrière elles. Elle n'avait pas besoin d'être découverte avec Katia dans les toilettes. Quand elle se retourna, elle vit Katia plisser le nez.

- Whaou, vous sentez le sexe Mme POISTOUT. C'est ce que je sens quand je joue avec ma chatte. Et c'est ce que sent Lydie quand elle se fait baiser. Qu'avez-vous fait la nuit dernière? Baisé tous les garçons?

Anne ressentit un moment de panique, mais se mit rapidement à genoux et poussa son visage dans la chatte odorante de Katia. Celle-ci commença tout de suite à gémir et Anne espéra qu'elle oublierait ses questions. La jeune fille avait raison, sa chatte était inondée et elle jouit sous la langue de Anne, répandant son jus sur le visage de la professeure. Celle-ci nettoya la chatte avec diligence pour en finir au plus vite. Être à genoux dans des toilettes publique en train de lécher son élève n'était pas quelque chose qu'elle aimait. Cette pensée la fit sursauter. Servir ses élèves semblait être ce qu'elle allait faire tout le week-end. La voix de Katia brisa sa rêverie.

- Ohhh Mme POISTOUT, vous savez, j'ai eu un fantasme. Oh oui c'est tellement bon, mais moins vite, je veux vraiment en profiter.

Anne ralentit légèrement.

- Oui un fantasme vraiment vicieux. Je n'osais pas le dire mais comme vous m'avez dit que ça ne vous dérangeait pas de me lécher la chatte après que j'ai fait pipi, maintenant que je suis toute propre, pourriez-vous me lécher le cul aussi?

Sans attendre de réponse, elle changea de position et leva les jambes. Anne était sur le point de refuser avec indignation, quand elle se retrouva tout à coup en train de lécher le cul de Katia.

- Ahhhhh, c'est tellement excitant.

Les doigts de la jeune fille se posèrent sur sa chatte et la frottèrent vigoureusement. Anne hésita puis continua à lécher. Au moins comme ça, ce serait bientôt fini. Katia continuait à se doigter devant les yeux de l'enseignante.

- Oui, léchez mon trou du cul, ça me fait tellement du bien. Pourquoi n'avez-vous pas deux langues pour me lécher le cul et la chatte en même temps? Ce serait parfait. Oh oui oui, plus vite maintenant, je jouis, ouuiiiiii!

La jeune fille eut un nouvel orgasme, projetant un peu de son jus sur le visage d'Anne. Puis elle se détendit, haletante. Anne attendit à peine que son orgasme soit terminé pour se relever de cette position humiliante. Mais Katia était épuisée et elle ne pouvait sortir de là en laissant la jeune fille avec les jambes écartées. Il lui fallut une minute pour récupérer et elle fit un grand sourire.

- C'était incroyable Mme POISTOUT, je n'aurais jamais pensé pouvoir réaliser mon rêve et trouver quelqu'un qui lèche mon trou du cul. C'est trop vicieux n'est-ce pas? Mais vous l'avez fait si habilement, surtout à la fin quand vous avez enfoncé le bout de votre langue dans mon petit trou.

Elle souriait alors qu'Anne rougissait. C'était déjà assez pénible de le faire, mais entendre la fille en parler la faisait trembler.

- Allez Katia, je dois prendre une douche.

A regret l'étudiante se leva et Anne ouvrit la porte. Lydie était appuyée contre un mur et souriait autant que Katia.

- Vous avez enfoncé votre langue dans son petit cul Mme POISTOUT? Allez-y, prenez une douche. Mais ensuite, vous viendrez dans notre chambre et ça sera mon tour. Je suis sûre que vous voudrez faire un peu plus de travail parascolaire pour rendre vos étudiants heureux. Dépêchez-vous!

Elle resta appuyée contre le mur, tandis qu'Anne, muette, la tête penchée, se dirigeait vers les douches. Lydie la regarda se déshabiller et se laver. La professeure était engourdie et se la va sans réfléchir. Après s'être séchée, Lydie lui désigna la porte et elle suivit la jeune fille dans la chambre qu'elle partageait avec Katia. Lydie laissa tomber sa robe de chambre et s'assit en écartant immédiatement ses jambes.

- Bon, voyons comment après la mignonne petite chatte de Katia, tu aimes en lécher une vraie, une qui baise régulièrement. Tu lécheras d'abord ma chatte puis tu pourras essayer mon trou du cul.

- Lydie, s'il te plaît... Essaya de discuter Anne.

- Tais-toi! Katia et moi partageons une chambre, et maintenant nous te partageons. Je préfère sa langue, mais je vais me débrouiller avec la tienne ; Mets-toi au travail!

Que pouvait-elle faire d'autre? Elle était de plus en plus humiliée. Elle s'agenouilla devant Lydie et regarda sa chatte bien poilue avant de commencer à la lécher. La jeune fille avait un goût amer et fort, et ses poils épais entraient constamment dans sa bouche. Mais elle savait qu'elle n'avait pas d'autre choix. Quand sa langue entra plus profondément dans la chatte, elle pensa avoir détecté le goût du sperme. Elle se souvint de Katia disant que Lydie avait souvent des relations sexuelles avec ceux qui voulaient. Les mains de la fille attrapèrent sa tête et la poussèrent plus profondément entre ses lèvres poilues et humides. Elle la tint comme ça un moment puis elle dit :

- Voyons maintenant à quoi ça ressemble de se faire lécher le cul.

Anne était sur le point d'étouffer. Lydie n'avait clairement pas encore pris de douche et elle goûta à sa sueur. La fille la garda sur son cul pendant quelques minutes puis elle tira sa tête pour plus de léchage de chatte. Anne perdit le compte du temps qu'elle passa aux pieds de son étudiante. Celle-ci ne semblait pas pressée de jouir et elle bougeait sa tête alternativement sur son sexe et son cul. Finalement, les mains se crispèrent sur ses cheveux, et Lydie jouit dans la bouche d'Anne. Immédiatement après, elle la relâcha. Puis elle sourit et dit :

- Pas mal. Je ne te prenais pas pour une lécheuse de chatte, mais plutôt pour une salope avide de grosses bites. Mais à partir de maintenant, je suppose que tu vas être notre lécheuse de chatte à Katia et moi. Katia t'utilisera surement plus souvent que moi. Généralement je trouve assez de bites pour me satisfaire. Mais j'avoue qu'une bonne langue après une bonne baise est plutôt agréable.


A suivre...

Éducatrices Ch. 04

Educatrices - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte

Le piège se referme sur Sylvie la gouine.

Après une nuit entière de repos, Françoise sentit une vague caresse le long de son dos, Miloud éveillé le premier se frottait insidieusement contre sa croupe, cherchant à la sodomiser en douceur.

Il écarta largement les deux rotondités épanouies, dégageant nettement sa cible.

Puis pressant du gland l'œillet sensible, il força.

La brûlante douleur transperça Françoise, elle ne réalisait pas encore ce qui se préparait, seul son anus durement sollicité palpitait d'affolement, le reste de son corps était encore engourdi, à demi plongé dans les brumes du sommeil.

D'une poussée violente, le gland mafflu pénétra le goulot du petit sanctuaire crispé, la douleur fulgura dans ses reins.

Pensant sortir d'un cauchemar, elle reprit rapidement pied dans la réalité, empalée par une bite qui frayait impérieusement son chemin dans son intestin frémissant.

Miloud, sans plus se soucier de ses gémissements arc-bouta, et le gros cylindre s'enfonça lentement jusqu'à la garde au cœur de sa gaine distendue.

Déjà, la souffrance s'estompait, remplacée par une bienfaisante impression de plénitude.

Son boyau culier avait entièrement absorbé le gros rouleau de chair, Miloud se sentait pris comme dans un étau.

Au ras des couilles, le sphincter tressautait lui étranglant la tige comme un collet le lapin au sortir du gîte.

Se trémoussant avec entrain, contre le glorieux pétard, il entama son branle d'avant en arrière, certain de ne pouvoir se contrôler longtemps, tant son plaisir était grand.

Muscles tendus à craquer, enserrant la pine dans son fourreau de velours, totalement éveillée, le ventre affolé, elle se mit à ruer contre son pubis.

Un incroyable orgasme montait dans ses reins conquis, elle en voulait encore plus, s'empalant jusqu'à la racine sur le prodigieux braquemart, l'empoignant de ses sphincters comme avec un poing qu'elle aurait resserré et desserré en mesure pour mieux contrôler, retarder le flux qu'elle savait imminent .

Sans se poser d'autres questions, elle prétendait profiter à fond de ce chibre qui l'emplissait tant, provoquant tant de plaisirs nouveaux, inconnus, incongrus.

Dans un grand jaillissement il ne tarda pas à se déverser dans le cul dompté, l'inondant de son foutre chaud.

Lors de son retrait, l'anus béant, elle sentit la liqueur grasse suinter de son anus, lui poissant la chatte.

Elle dut s'essuyer soigneusement l'abricot avant de passer jupe et tee-shirt tandis que Miloud s'habillait.

Sur le pas de porte elle rencontra Charles et Stephan tenant enlacée une Murielle aux yeux soulignés de larges cernes noirs.

Elle eut tout de suite l'explication, de ces larges marques de fatigue, Stephan expliquait, vaguement admiratif :

- Putain tu parles d'une salope... On vient de se la faire en sandwich... Je te raconte pas!

Les deux éducatrices veillèrent toute la matinée sur les jeunes puis les envoyèrent à la télé lorsque Miloud les appela :

- Françoise... Murielle... L'autre salope, monte aux groupe... A vous de jouer!

Toutes deux s'avancèrent vers l'arrivante.

-- Bonjour... Francoise Ledoux... Murielle Degat... Se présentèrent-elles.

-- Sylvie Bonnart, je connais déjà Murielle de vue, mais... Vous Françoise, c'est la première fois que je vous vois ici le week-end...

-- Murielle s'ennuyait seule avec les gamins... Elle m'a demandé de lui tenir compagnie... Mais entrez on discutera mieux autour d'un verre... Suggéra Françoise .

-- Avec plaisir... Je m'ennuie à crever dans l'infirmerie, je cherchais quelqu'un pour passer le temps... Avoua l'arrivante.

Toutes trois s'installèrent sur les fauteuils profonds de la salle de vie, les deux éducatrices, comme l'avait ordonné Miloud, se placèrent face à leur invitée.

Les jambes légèrement écartées, elles semblaient ne pas être conscientes que dans cette position, l'infirmière pouvait tout détailler de leurs chattes velues.

Un éclair intéressé brilla dans l'œil de Sylvie, visiblement, tout en conversant, elle comparait discrètement les deux touffes, la fréquence de ses regards indiscrets indiqua bientôt la craquette qui captivait le plus son attention.

Visiblement elle appréciait plus particulièrement la blonde cramouille de Françoise.

Celle ci, comme convenu, multiplia les effets de cuisse, se levant et se rasseyant pour faire le service, se frottant, comme par inadvertance contre Sylvie, lui permettant ainsi d'apprécier la fermeté de sa poitrine, le soyeux de ses cuisses, l'ampleur de son cul.

Il devint bientôt évident pour tous que Sylvie goûtait fort ses contacts furtifs, elle évaluait la silhouette de Françoise, fort gênée d'un intérêt si palpable.

Elles amenèrent petit à petit, insensiblement la nostalgique jeune femme à se confier, lui arrachant peu à peu, sans heurt des confidences plus intimes, qui permettraient aux garçons de la connaître mieux, de déterminer plus clairement son profil...

De la savoir gouine ne suffisait pas, il en fallait plus pour mener à bien leurs desseins.

Brisant la conversation, l'infirmière les quitta, invitant cette nouvelle amie qu'elle convoitait à se joindre à elle , le soir même pour l'apéritif.

Après son départ, les deux jeunes femmes firent leur compte-rendu aux garçons impatients d'en savoir plus.

La quarantaine, Sylvie était mariée, mère de trois grands enfants.

Elle avait débuté comme infirmière dans un hôpital de la région, puis s'était consacrée à l'éducation de ses trois enfants, le salaire confortable de son mari leur avait alors permis de vivre largement.

Ils avaient acquis une maison 6 ans plus tôt, et de ce fait remboursaient des traites élevées parfaitement supportées par le budget initial.

Mais malheureusement, l'année précédente, la situation avait brusque-ment évolué, ses jumeaux ayant dépassés les dix-huit ans fatidiques, le couple avait perdu les allocations familiales ce qui était encore supportable.

Mais la dessus son mari perdit son emploi, et ne retrouva qu'un boulot de surveillance inintéressant, sous-payé, l'éloignant du foyer du vendredi soir au mercredi midi.

La seule solution, permettant de palier aux pertes financières, avait été son retour dans la vie active.

L'IME à partir de cette année ayant ouvert un internat permanent, elle avait postulé pour ce poste relativement bien payé et autorisant une vie conjugale en rapport avec l'emploi du temps de son mari.

Cependant elle se sentait très seule, le peu d'activité réelle de son boulot, la contraignant à rester inactive, désœuvrée, dans de longues gardes stériles, peu mouvementées, elle cherchait à lier avec le personnel de service, cherchant un dérivatif à son ennui.

-- On lui en collera du dérivatif à la vieille... D'autant plus que c'est tout bon... Elle ne peut pas se permettre de scandale... Elle perdrait son boulot, et pour en retrouver un autre... Si on tire des vidéos bien juteuses... On l'a à notre pogne! Commenta Charles.

-- J'ai l'impression que c'est Françoise sa préférée... Alors ce soir t'as intérêt à lui jouer le grand jeu... On sera dehors! Intervint Miloud.

-- Mais j'ai jamais fait ça avec une femme... C'est dégueulasse... Je n'y arriverai pas... Je ne saurai pas comment... Se révolta Françoise.

-- Tu te débrouilleras... T'inquiètes pas... Elle te montrera, faut jamais perdre l'occasion d'apprendre... De toute manière on te demande pas ton avis... N'oublie pas les photos! La menaça perfi-ement Miloud.

Françoise n'insista pas plus, elle ne pouvait pas se le permettre, et Miloud le savait, elle opina de la tête.

Lui flattant les reins, Miloud accepta sa reddition, dédaignant de la commenter plus.

La journée se déroula normalement, la sieste fut l'occasion de quelques enconnages, pipes et enculages mais ce fut surtout Murielle qui fut sollicitée, Françoise devait garder tout son influx pour le soir.

A dix neuf heures tapantes, elle se rendit à son rendez-vous, Miloud avait veillé à sa tenue.

Elle arborait un tee-shirt sur sa peau nue.

Les pointes de ses seins, raidies par l'angoisse, cherchaient à perforer le coton, si elle avait déjà entendu parler de caresses entre filles, elle n'avait jamais pratiqué, d'ou son angoisse.

Sa jupe courte révélerait immanquablement l'absence de culotte dès qu'elle s'assiérait.

Avec un grand sourire Sylvie lui ouvrit la porte, elle s'était aussi parée pour la rencontre, à chacun de ses pas ses cuisses fuselées s'évadaient par les fentes de son déshabillé noir plus fait pour suggérer la richesse de ses formes que pour les voiler.

-- Je me suis mise à mon aise... Annonça-t-elle tout en invitant Françoise à s'asseoir.

Dès ce premier mouvement elle entrevit la chatte dénudée de Françoise, elle ajouta moqueuse :

- Toi aussi à ce que je vois!

Deux verres d'alcool plus tard, l'atmosphère se fit franchement plus chaleureuse, l'ambiance se réchauffait, Sylvie confia à Françoise le poids de sa solitude.

A la conversation futile de l'après midi, succéda des confidences plus intimes, l'infirmière semblait brûler ses vaisseaux, par petites touches elle amena le débat sur un plan plus personnel préparant sournoisement le terrain pour l'assaut qui devait suivre.

Elle, si gaie dans la vie courante, dépérissait à Moyembrie, sa nature exubérante ne pouvait se contenter de trois jours et trois nuits d'abstinence.

Tenant ces propos, Sylvie s'était levée, avait contourné la chaise de Françoise et s'appuyait maintenant lascivement contre son dos.

Sur ses épaules Françoise éprouvait la tendre chaleur de la poitrine de la belle inassouvie qui se penchant apercevait dans l'échancrure du tee-shirt le sillon médian séparant les deux globes veloutées.

Les gestes de Sylvie se firent plus enveloppants, tout en discutant elle avait posé la main sur l'épaule de Françoise.

Imperceptiblement, elle la laissait glisser, dans l'ouverture béante du col, elle entama des caresses furtives sur le haut des lourdes masses.

Malgré elle Françoise commençait à se sentir troublée, si au début elle avait refréné son instinct qui la poussait à rejeter brutalement la main envahissante, peu à peu son esprit s'échauffait, de se savoir épiée par ses possesseurs la mettait dans tous ses états, et comme la caresse insidieuse éveillait dans toute sa poitrine des petits élancements de plaisir!!

Sylvie, constatant l'évolution favorable de ses entreprises se fit plus tendre et plus nette dans ses intentions, elle empauma un robert, le massa longuement, estimant sa densité, sa fermeté.

Puis elle glissa la main dans le sillon velouté sous le sein et en de lentes rotations remonta vers l'aréole dont la peau se granulait, un soupir s'échappa des lèvres de Françoise qui avouait ainsi son trouble, son émoi à sa tentatrice.

Profitant de l'abandon passager de Françoise, Sylvie lui dénuda lentement le torse, caressant maintenant ses deux seins, dressant pareillement les deux tétons dardés.

Ses lèvres se posèrent sur la peau tendue, de la langue elle assiégea l'un des mamelons, puis aspira à pleine bouche le téton durci, le téta goulûment, le mordillant et le léchottant.

Des éclairs de plaisir explosaient maintenant dans la tête de Sylvie, elle tendait son buste vers la bouche de sa partenaire.

Relevant la tête, Sylvie lui prit les lèvres, sa langue moite s'immisça dans la bouche grande offerte franchit la barrière des dents, s'entortilla, agile et enveloppante, autour de celle de Françoise qui s'alanguissait sur sa chaise.

Profitant de son avantage, Sylvie remonta doucement la jupe sur les cuisses charnues qui déjà se disjoignaient, d'une main elle suivit la voie largement dégagée du pubis atteignant la fourche poilue, deux doigts coururent le long de sa fente, s'imprégnant du jus onctueux, qui peu à peu débordait du con survolté.

Elle s'empara du clitoris déjà dressé hors de son capuchon protecteur, le pinça, l'agaça jusqu'à complet affolement.

Cet affolement gagnait maintenant tout son corps, son ventre embrasé se pressait à la rencontre des doigts, oubliant tous ses préjugés, Françoise vibrait sous les caresses son corps aspirait à plus.

Contournant la chaise Sylvie se laissa couler aux genoux de Françoise, sa tête s'enfonça comme un coin entre les cuisses largement ouvertes, offrant toute la motte à la convoitise de la séductrice, elle posa ses lèvres sur la fente velue et embrassa longuement la déchirure.

De la langue elle explora les recoins de sa féminité débusquant à nouveau le bourgeon de chair qui cette fois s'érigea tel un petit bec au sortir de l'œuf.

La langue se faisait maintenant envahissante, la salive et le jus séminale se mélangeaient détrempant la moule de plus en plus accueillante.

La langue en rouleau, elle fraya son chemin dans l'étroit passage qui s'adapta immédiatement à la conformation de ce tendre envahisseur, après toute une série de caresses profondes elle quitta la douce tiédeur du sexe englué pour suivre le périnée, et malgré le rebord de la chaise parvint à caresser de la pointe la rondelle mauve de l'anus palpitant.

Profitant du total désarroi de sa proie, Sylvie termina son effeuillage et c'est totalement nue que Françoise assista au strip ultra rapide de sa débaucheuse.

Immédiatement, ne lui laissant pas le temps de se ressaisir elle lui reprit les lèvres et l'attira fermement vers le lit qui leur tendait les bras.

Les deux corps nus se pressèrent l'un contre l'autre tandis que lèvres à lèvres les deux gouines se palpaient mutuellement le corps, éprouvant la fermeté des fesses rebondies, envahissant les sillons profonds des culs ouverts avant que les doigts raidis ne se perdent dans les intimités de l'une et de l'autre.

Françoise avait maintenant tout oublié de ses préventions initiales, elle ne pensait plus qu'à la joie de son corps qui exultait sous des caresses jusqu'ici inconnues.

Se relevant, Sylvie se retourna et s'installa tête bêche sur Françoise, lui livrant la vision de la fourrure rousse qui lui envahissait tout l'entre cuisse.

Tandis que Sylvie reprenait ses caresses labiales, Françoise s'attarda dans la contemplation du premier sexe féminin qu'on lui livrait ainsi.

Tout concourait à l'affoler, la douce tiédeur qui émanait du con juteux, l'odeur intime de la rousse qu'elle respirait à plein nez, les élancements de son ventre embrasé qui maintenant l'enflammaient.

Se remémorant la caresse qui tout à l'heure l'avait tant émue elle épiait les mouvements spasmodiques de l'anus ridelé, qui s'entrouvrait de façon obscène sous ses yeux ébahis, bientôt elle ne put plus se retenir et curieusement, au lieu de tester le goût de la craquette qui lui était offerte, sa langue se posa sur le sphincter anal, tenta de le forcer de la pointe, parvint à le pénétrer doucement.

Les fortes effluves qui parfumaient le trou du cul ardent agissaient comme un aimant sur elle.

Quittant le pertuis écartelé sa langue suivit le périnée, tout aussi odorant, avant de séparer les lèvres pendantes de la jeune bacchante et de mignoter son con tout à fait gluant.

Au contraire Sylvie abandonnait le siège de sa cramouille trempée pour s'aventurer vers son anus qui à son tour se mit à vibrer sous les coups de langue envahissants.

Le délicieux 69 dura longtemps, chacune voulant se repaître des avantages de l'autre, les corps soudés frémissants de longs frissons voluptueux, elles se perdaient dans un océan de stupre.

Elle entendit vaguement Sylvie farfouiller dans sa table de nuit, sans y prêter plus d'attention.

Un ronronnement discret se fit entendre et brusquement un objet rond se glissa dans sa fente et la parcourut en vibrant.

L'image de l'énorme godemiché qu'avait employé l'infirmière la veille, s'imprima derrière ses rétines, elle eut, à cette image mentale un violent recul, mais allongée sous sa partenaire, défaillante elle ne pouvait pas opposer une bien grande résistance.

Le groin volumineux du postiche parcourut toute sa crevasse avant de venir menacer sa vulve et de lentement s'y introduire.

Le passage fut éprouvant, mais bientôt elle sentit la totalité du leurre lui distendant le vagin à le faire craquer, les frémissements de l'engin l'entraînèrent en un orgasme fabuleux.

Pour ne pas être en reste avec son initiatrice elle enfonça brutalement deux doigts joints dans son anus, le forçant à accepter la pénétration, à admettre index et annulaire bientôt rejoints du majeur.

Le cul secoué de spasmes se contractait autour des doigts fouineurs, les serrant à les écraser, la craquette domptée enveloppait le vibreur trans-mettant à toute la matrice les rudes sensations éprouvées.

Rapidement l'orgasme ravagea les deux femelles lubriques les laissant pantelantes et anéanties allongées l'une sur l'autre.

Reprenant leurs esprits elles se redressèrent lentement, et le geste mou revêtirent, l'une jupe et tee-shirt, l'autre sa courte chemise de nuit.

Après un court instant de silence, Françoise révéla à sa partenaire d'amour :

- C'est la première fois avec une femme... Je ne l'avais jamais fait!

- J'espère que cela t'a plu... Pour une première tu t'es bien fait gougnotter? Demanda Sylvie, l'air satisfaite

- Tu l'espérais bien pourtant... Sinon pourquoi venir nue sous ta jupe?

A ces paroles, Françoise se rappela brutalement les raisons de sa venue, et rougissante de confusion, elle dut travestir la vérité.

-- Oui, peut-être inconsciemment... Répliqua-t-elle

-- Mais jamais je n'aurai cru que...

Sylvie la coupa :

- Allons ne boude pas ton plaisir... On recommencera... Si tu veux j'ai une amie qui vient demain soir, tu pourras te mêler à nos jeux... Je ne connais pas de meilleur moyen de combattre l'ennui!

- On verra demain... Mais pour l'instant je dois aller coucher les gosses! Souffla Françoise franchissant le pas de porte.

- - Viens demain... La pria Sylvie

- - Je ne connais pas de meilleure lécheuse que Fabienne... Tu verras elle a le feu et cul, et... Comme avec son vieux mari elle a rarement sa ration... Même mon gode elle le prend dans le cul! Un volcan je te dis...

Abrégeant la conversation, sur un dernier signe de la main, Françoise s'engagea dans le sentier qui la ramènerait vers les groupes.

A peine un coude du chemin la dérobait-elle aux yeux de sa rousse amie, que les trois comparses la rejoignirent, la braguette déjà ouverte, Miloud lui intima :

- Eh ben ma cochonne... Quel spectacle... On a là un reportage auquel elle aura bien du mal à résister... Mais... En attendant suces-nous... On en peut plus d'attendre!

S'agenouillant dans l'herbe du talus, elle suça tour à tour les trois bites tendues à éclater et une nouvelle fois ce jour, le nez dans les poils des trois compères, du sperme crémeux lui emplit la bouche, se déversa dans son arrière-gorge et elle avala la semence de ses maîtres.

La soirée se déroula calmement, les deux filles passaient de genoux de l'un aux genoux de l'autre, leurs charmes offerts à toutes les caresses des plus légères aux plus insinueuses.

Ils commentèrent la situation, estimant qu'ils avaient là matière suffisante pour soumettre la belle, puis ayant obtenu quelques maigres précisions de Françoise concernant la future visiteuse de l'infirmière, ils décidèrent, à toutes fins utiles d'envoyer Murielle acheter une bande vierge le lendemain.

Se promettant un avenir des plus enthousiasmant, avec des cohortes de femelles dociles, qui leur obéiraient au doigt et à l'œil ils gagnèrent leur chambre.


Cette nuit Françoise se partagea entre Charles et Miloud, elle suça l'un tandis que l'autre l'enculait et c'est après un dernier sandwich qu'ils s'endormirent , elle réalisa alors, que comme l'avait prédit Murielle elle espérait maintenant que rapidement Sylvie les rejoindrait.

Satisfaire la lubricité de Miloud lui suffisait amplement et ce soir elle était moulue, ses reins, son trou du cul lui faisaient mal, son anus la brûlait.

Peu accoutumée à de tels assauts c'est avec plaisir qu'elle verrait sa servitude amoindrie par l'intervention d'une tierce personne.

Le dimanche se déroula sans événement particulier, Françoise et Murielle satisfèrent leurs suborneurs de la bouche, du con et du cul mais déjà leur esprit banalisait leur soumission, elles avalaient le foutre par leurs trois orifices consacrés à cette office, uniquement soucieuses de satisfaire leurs maîtres, se pliant à leurs moindres désirs.

Le soir ils surveillèrent l'infirmière, Françoise ayant tu l'invitation ne se vit pas dans l'obligation de participer.

Ils revinrent avec une nouvelle bande tout aussi croustillante.

Satisfaits de leurs week-end ils s'organisèrent une petite partouze se tapant à trois, successivement les deux bacchantes.

Pour terminer la bande vidéo, tandis que Françoise accueillait trois mecs, l'un dans le cul, l'autre dans le con, le troisième dans la bouche, Murielle filmait la bête à trois dos, puis elles échangèrent leurs rôles et ce fut Françoise qui mit en boite Murielle embrochée sur les trois bites qui la secouaient d'importance.

La dernière nuit fut plus calme, au réveil, avant de quitter furtivement la chambre, Françoise fit une dernière gâterie à Miloud qui lui ordonna :

- Au briefing ce matin, tu te porteras candidate au poste vacant de seconde éducatrice de week-end... Ce sera plus pratique que de trouver des excuses vaseuses toutes les semaines... Tu n'en seras que plus à disposition!

- Mais , mes enfants, comment vais-je...

- Tu t'en occuperas plus dans la semaine... Enfin si tu ne veux pas que je me serve des photos... Tu sais ce que tu dois faire...

- Je me débrouillerais... Abdiqua-t-elle consciente que menace ou pas, de toute manière elle se serait conformée à sa volonté.

-  Ça vaut mieux pour toi ma salope... Dorénavant, c'est tous les week-ends, et... Quand je passerai te voir dans la semaine, que tu t'occuperas de ma bite... Et de celles de mes copains... L'avertit Miloud attribuant cette prompte reddition à sa menace.

Elle acquiesça, convaincue que maintenant qu'elle avait accepté une première fois de se plier à ses volontés, il était trop tard pour revenir en arrière .

Quelque part, son corps ne lui appartenait plus, il réclamait son du, peu habitué à de si fougueux amants, à de tels assauts, il ne pouvait plus se satisfaire de la vie rangée et pépère qu'elle menait auparavant, la tiède fornication de son mari lui paraissait bien mièvre en comparaison.


Elle devait accepter le joug pour lui permettre à nouveau d'exulter.

A suivre...