Texte de 2004 écrit par Nathalie D et Sabine Delamontagne.
Aujourd’hui, l’un de mes livreurs s’est décommandé, je saisis cette opportunité et les deux heures de liberté qui me sont concédées pour aller m’aérer et déjeuner paisiblement.
Au volant de ma petite voiture, mon esprit vagabonde et, à l’image de ce feu tricolore passant au vert, en un éclair, il me vient une idée. Je fais un petit passage par « La petite cabane de frite » et décide de faire une surprise à mon homme en allant le chercher à son travail. Aujourd’hui, c’est décidé, je vais déjeuner en sa compagnie et, peut-être qu’il sera mon dessert…
Élégante et sexy, je ne fais pas pâle figure : je porte un pantalon noir en stretch, il moule bien mes formes que certains trouvent vulgaires. Un joli bustier assorti et à fines bretelles, très près du corps, met mes grosses mamelles bien en valeur.
Secrètement, je me dis que je vais bien les méduser les collègues de bureau d’Alain; ils parleront de moi en bien et mon homme sera fier de moi. Je devine même, qu’après mon passage, certains d’entre eux iront se branler dans les toilettes en pensant très fort à moi. J’aime cette idée, les chauffer en sachant que je ne me donnerai jamais à eux et en finale, les deviner grimaçant de plaisir derrière un lavabo, les imaginer serrant vigoureusement leur verge, s’astiquant avec persuasion, avant de jouir nerveusement et en abondance sur la faïence du lave-mains.
Alors que je m’immobilise à un feu rouge, je pense surtout à moi et à mon plaisir : je vais sentir tous ces regards sur moi, une attention particulière pour mes grosses fesses et mes gros seins. Ce matin, je m’étais regardée dans la psyché et le doute m’avait pris, alors pour ne pas être trop sexy, j’avais tout de même enfilé un long poncho noir pour cacher ma tenue, ainsi que mes rondeurs. Mes cheveux étaient tirés en arrière, en queue-de-cheval et tout à l’heure, avant de quitter l’entreprise, j’avais redonné un peu de fraîcheur à ma belle frange bombée au-dessus de mes yeux maquillés.
Nous y sommes, faute de place, je vais me garer sur l’emplacement réservé aux visiteurs. Alors que je sors de mon auto, je remarque un homme, le regard braqué sur moi. Je n’y fais pas attention et alors que je me dirige vers l’accueil, une certaine curiosité me pousse à me retourner et à découvrir qu’il me regarde toujours avec insistance. Sandwichs en mains, je rentre dans le grand hall de l’entreprise de mon chéri ; la secrétaire de l'accueil me regarde des pieds à la tête avant de me dire :
- Je suppose que vous êtes Nathalie, l’amie d’Alain ?
Intriguée, je n’ose répondre, mais lui demande comment elle a fait pour deviner. Avec un petit sourire narquois, elle m’explique :
- Alain parle souvent de vous ! Il vous décrit comme une "charmante petite boulotte à mèche brune " !
Je lui souris timidement sans trop savoir s’il s’agit d’un compliment... ou pas ?! Une fois dans les bureaux, ses collègues m'expliquent qu’il est temporairement en clientèle... Déçue, avec mes deux sandwichs en main, je me prépare à repartir lorsqu’un des collaborateurs me propose de l’attendre bien tranquillement dans la salle de réunion. Il me dit qu’Alain reviendra dans une vingtaine de minutes et deux autres de ses confrères me le confirment. Je les regarde tous les trois, l’allure de deux d’entre eux me rassure, leurs élégances me charment et devant le déluge de sourires commerciaux, docilement, j’accepte de patienter.
La salle de réunion est très grande, une table rectangulaire s’étale sur toute la longueur de la pièce. Au fond, un petit escalier mène à une estrade où trône un pupitre. En éteignant les lumières, le plus audacieux me demande de monter sur l'estrade, puis il allume un rétro projecteur qui m’éblouit le visage. En ombre chinoise, je les vois s’asseoir… Ils sont trois ou quatre, l’un d’entre eux me demande de regarder le tableau des statistiques projetées au mur. Le leader commence à me faire un cours d’économie que je trouve vraiment ennuyeux, parler de son entreprise semble lui procurer beaucoup de plaisir !? Je suis lasse de ce jeu et je m’interroge : mais qu’elle est la nature profonde de ces gens qui bandent devant des colonnes de nombres ?
Je ne sais pas ce qu’il se passe ! Au fond de la salle, la porte s’ouvre, l’un d’entre eux appelle quelques collègues dans le couloir. Il me semble les entendre jargonner :
- Venez voir la meuf d'Alain !!!
À présent, ils sont une dizaine et je ne peux tous les voir, certains profitent du noir pour brailler dans l'anonymat le plus complet "À POIL !!!" ou bien "MONTRE-NOUS TES MICHES !!!", alors que tous les autres se bidonnent...
Alors que je songe à quitter cette estrade où je me sens la risée de tout le monde, un homme se veut rassurant et monte me rejoindre... Il est râblé… mais bien gras, limite obèse et franchement laid derrière ses lunettes de premier de la classe ! Quand il s’immobilise près de moi, j’ai cette certitude : cet homme n’est pas marié et ça doit faire un bout de temps qu’il n’a pas touché une femme. Il se tourne vers son public :
- Laissez la demoiselle tranquille, sinon je vais tout dire à Alain !
En disant cela, il pose sa main protectrice sur mon épaule, puis me regarde :
- Excusez -les ! Ils sont éreintés, nerveux, n’en dites rien à Alain !... Ce sont des jeux entre mecs ! Vous savez ce que c’est ?
Je suis pétrifiée de peur, partager entre l’envie de rester et celle de partir. A cet instant, une seule chose est soulignée par mon esprit : mon prêcheur a les dents jaunes !!! C’est une abomination et devant mon silence, il commence à caresser mon visage en me reposant cette même question :
- N'est-ce pas ? Il ne faudra rien dire à Alain... D’accord ?
Dans la salle, les autres ne disent plus rien, je ne sais plus où me mettre et comment réagir. Il profite de mon état de béatitude et ne me laisse pas le temps de répondre, il pose sa main sur ma bouche en disant "Chuuttt...". Soudain, une voix anonyme s’esclaffe : « EH DIS !!! ELLE EST BONNE LA GROSSE D’ALAIN !!! » Quelques rires s’élèvent, mon hôte n’en pense pas moins et me fait pivoter, il me prend pas le bras, ses doigts tergiversent sur mon poncho. Le gros m’emmène sur le devant de l’estrade... Devant ses camarades de bureau, il reprend son sermon :
- Je vous trouve bien lubrique avec la demoiselle !!! Mademoiselle n’est pas grosse : à peine enrobée, mais n’est-elle pas ravissante ?
En disant cela, il se permet de retirer le chouchou qui retenait ma chevelure pour la laisser glisser de chaque côté de mon visage. Ses longs doigts pénètrent ma crinière brune, à la manière d’un peigne, afin de donner un peu plus de volume à mes cheveux. À cause du rétro projecteur, je suis éblouie et ne devine pas l’expression de leur visage, mais je les imagine bien, tous ensemble en train de focaliser leur regard sur ma coiffure. Certains doivent bander dans leurs pantalons de toile…
Moi, mon corps entier est tétanisé, je ne bouge plus, l’émotion m’a submergé, je me débats avec mes certitudes et en fin de compte, je me sens bien nue face à eux. L’homme se retourne sur moi et profite de ma passivité pour me prendre par les hanches ; lentement, il commence à me faire danser sur une musique imaginaire. Ça me rassure, je rentre dans son jeu et plus encore, quand certains commencent à donner le rythme en tapant dans leurs mains. Alors que mon cavalier entreprend de s’arrêter, dans le public, d’autres l’incitent à poursuivre :
- Vas-y !!! Tu l’emballes !!! Vas-y !!!
Maintenant, il se colle derrière moi et passe ses mains sous mon poncho, il y cajole ma généreuse poitrine... Les deux mains de mon peloteur déforment le fin tissu de mon bustier, des doigts habiles et coquins font glisser les bretelles sur mes épaules… laissant tomber le petit artifice à mes pieds.
Ainsi, je suis seins nus sous mon poncho. Je ne peux rien dire, le copain d’Alain a dû sentir mon excitation au moment même où il est venu derrière moi : je serais stupide de dire : « je ne veux pas ! » et ainsi, faire ma bêcheuse, alors que sous ses doigts durcissent mes gros tétons de garce refoulée.
C’est de plus en plus manifeste, une bosse presse sur mes grosses miches, elle est dure, énergique et bien à point. Mon homme des cavernes grogne ; nerveusement, il déboutonne sa braguette et après avoir relevé mon poncho, il vient frotter son outil contre mes fesses, sur mon pantalon en stretch noir. Je suis gênée, car à ce rythme, il va laisser des marques plus ou moins douteuses… Mais mon esprit préfère s’intriguer, je sens sa verge de plus en plus dure sur mes fesses et à cet instant, je me sens très bien… Moi-même…
- Attention !!! Voilà Alain !!!
La secrétaire était rentrée d’un seul coup dans la salle ! Un type se dévoua et sorti de la pièce pour éviter que mon amour ne nous surprennent. Pendant que la secrétaire devait retenir Alain à l’accueil, mon vicieux s’énerva en essayant de baisser mon pantalon. Finalement, il ne put le descendre que sous les fesses. Maintenant, j’ai chaud, je ferme les yeux et savoure ce plaisir d’être bousculée. Quand il déplace la ficelle de mon string sur le coté de ma fesse gauche, je m’abandonne… et quand il commence à faufiler ses doigts sur ma vulve proéminente, je me sens honteuse devant tous ses regards lancés dans ma direction. Tout cela se passe sous le poncho, mais les spectateurs ne sont pas dupes...
A présent, les hommes se lèvent et, en rang, montent tous sur l'estrade. Peu à peu, ils commencent à me toucher et, certains même, se disputent la meilleure des places... J’ai des mains de tous âges sur le corps, ma poitrine est maltraitée et mes fesses sont populairement tripotées par des doigts dépravés.
Comme un objet, je passe de main en main, certaines agrippent mes cheveux et les tirent pour m’attirer vers la honte. Ils me mettent derrière le pupitre et m’obligent à me pencher en avant. D’un coup, je sens un sexe me pénétrer le vagin. Stupéfaite, sans rien dire, je m’agrippe du mieux possible au pupitre. Déjà, je miaule… L’un des collègues de Alain s’amuse à allumer le micro, puis me le place devant la bouche en me tenant bien par les cheveux. Chaque petit gémissement de ma part résonne dans la pièce. Cela donne l’impression à mon gros baiseur d’être une véritable " bête de sexe ". Même si je rechigne à tous ça, je décide de m’abandonner à tous mes opportunistes. Ma fierté vient de s’envoler, autant prendre du plaisir en me persuadant que, peut-être, l’un d’entre eux sera le futur directeur de Alain ?!
Mon baiseur se déchaîne, il me fourre de plus en plus vite avant de cracher son premier jus dans mon utérus… Il ne se retire pas et à chaque hurlement, il gicle en moi. Un autre prend la relève, puis un autre… puis un autre… Maintenant, mes baiseurs ne veulent même plus me prendre par le vagin tellement je suis " remplie " de foutre et c’est tant mieux pour moi : j’ai mal ! J’ai l’impression qu’une demi-douzaine de types se sont excités et déversés en moi ! Déjà, je me sens refoulée leur foutre, leur semence…
Un type relève mon poncho bien haut sur mon dos, il doigte mon anus, puis, je sens son gland pousser sur ma petite rondelle. Avec mes mains, j’écarte mes grosses fesses aux maximums et pendant que mon trou, discret, subit la défiance du gland turgescent d’un gros calibre, les collègues d’Alain encourage le candidat :
- Encule-la !!! Encule-la !!!
Tous ces encouragements me vont droit au cœur et m’excitent… Je suis aux anges... Soudain, mon petit trou cède sous la pression du membre viril, le diamètre imposant déforme mon sphincter qui se détend. Mon cœur se soulève, je vais perdre connaissance !!! Sans respect, sa queue s’enfonce en moi, me déchire et il me secoue le cul dans tous les sens, comme pour mieux me vider le vagin du sperme que je libère entre mes cuisses.
Devant le micro, je feule telle une nymphomane, je sens un jus chaud m’inonder le rectum pendant que des doigts s’enfoncent dans la graisse de mes fesses. La douleur est moins forte, moins acérée ; peu à peu, je m’habitue à ce calibre qui me déchire l’anus. J’ai du mal à respirer, je ressens tout juste des soubresauts dans ce pieu enfoncé en moi, sans un mot, mon étalon est en train de se vider dans mon cul comme un gros porc de ferme. Il retire sa queue et tout de suite, un autre prend sa place. Il ne laisse pas le temps à mon intimité de se refermer. Je n’ai pas le temps d’inspirer que déjà, il m’arrache un premier cri de douleur… C’est horrible ! Je ferme les yeux, j’ai mal, je vais pleurer tellement j’ai mal, mais je serre les dents en me persuadant que c’est aussi pour Alain que je fais ça !
Une fois mes deux orifices gavés de sperme, mes " reproducteurs " me placent à genoux pour sucer les derniers qui n’ont pas jouis. Je sens mes réservoirs se vider sur l’estrade, couler, mais je m’en moque. Puis toutes ses verges devant moi qui demandent mes lèvres et ma bouche : comment dire, non ? Je ne sais même pas qui je suce, tout ce que je sais, c’est que tour à tour, ils viennent tous sur ma langue pour se décharger de leur semence. Maintenant, j’en ai plein la bouche et je l’avale pour ne pas salir mon poncho.
Peu à peu, j’estime que l’essentiel est fait. Il y a moins de personnes sur l’estrade. Ecoeurés, les trois derniers qui n’ont pas joui en moi n’osent même pas mettre leurs queues dans un de mes trous, tellement qu’ils me trouvent repoussante. Je suis dégoûtante et hideuse, une vraie truie ! Le sperme ruisselle par fil à la commissure de mes lèvres...
Les derniers salauds ne veulent pas rester sur leur faim et ils décident de se branler tous les trois autour de ma tête. Je replace mes cheveux derrière mes épaules, je les regarde tous les trois en passant vulgairement ma langue sur mes lèvres encombrées de foutre, je repasse mes doigts sur mon menton qui dégouline de sperme tiède. Soudain, un premier jute dans mes beaux cheveux, le second l’imite, avant que le dernier bouscule les autres pour gicler sur mon visage. Chacune des trois verges jouit à son tour et chacune me déstabilise, ma mèche brune est ébranlée par deux gros traits de semence… Mes joues, mes paupières, mon nez sont précieusement éclaboussés par d’épaisses giclées chaudes et gluantes. Mes doigts sont un rempart pour éviter au déluge de foutre de couler sur mon poncho.
Quelques minutes plus tard, je me retrouve seule dans la pièce, j’empeste le foutre et la honte est marquée sur mon visage. J’aurai quand même aimé jouir, rien qu’une seule fois !? Combien était-il eux à jouir ? Je pose une main sur le sol, malheureusement, mes doigts baignent dans une mare de foutre frais et poisseux. Où est Alain ? Que va-t-il dire ? Je suis fatiguée et je me sens sale ! À peine suis-je debout, que la secrétaire m’ordonne de dégager au plus vite. Je remets mon pantalon et m’enfuis comme une voleuse, oubliant mon petit bustier sur l’estrade. Je suis seins nus sous le poncho : ils me font mal ! D’ailleurs, j’ai mal de partout, ma chatte, mon cul, mes fesses souffrent... Mes cheveux ruissellent de sperme, j'ai la frange qui dégouline devant le visage.
Une fois à la maison, je vais directement dans la salle de bain pour me laver.
Le soir même, Alain me raconte sa journée. Il m'explique que ses collègues se sont tapés une vraie salope, qu'elle a fait ça gratuitement pour le plaisir ! Pour finir, il résume en disant que c’est "le genre de nana qu'on baise, puis qu'on jette comme un kleenex !".
- Tout ce que tu détestes, chérie !
Et moi, je lui réponds en l'embrassant tendrement sur la joue.
FIN
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