La nouvelle vie de Christine - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte
Rendez-vous à l'école avec le professeur de sa fille.Quelques jours après le dîner au restaurant avec Christine, et son comportement honteux avec Nelson le professeur d'Alice et Paul le père de la meilleure amie de sa fille, Je réfléchis à ce que Nelson m'avait dit. En milieu d'après-midi je lui téléphonai.
- Bonjour, Nelson, je vous écoute. Dit-il.
- Salut Nelson, vous souvenez de moi avec Christine l'autre fois. Demandai-je.
Il répondit en riant :
- Oh bien sûr, je ne risque pas d'oublier. Que puis-je faire pour vous?
Je devais lui demander en espérant qu'il accepte ma demande absurde.
- Je me suis rappelé d'une chose que vous m'avez dit l'autre soir.
- Oui, c'était quoi? Demanda-t-il l'air intéressé.
- Vous m'avez dit une chose qui était peut-être anodine pour vous. Mais elle m'a donné des idées que je voudrais concrétiser. Voyez-vous, Christine est ma pute soumise et j'aime bien la mettre dans des situations incommodes ou humiliantes où elle doit se soumettre et baiser des hommes différents.
- J'ai compris cela l'autre nuit oui. Continuez, je suis impatient d'entendre la suite.
Maintenant que je savais qu'il était intéressé, je pouvais poursuivre :
- Vous avez parlé des autres enseignants et du directeur. Vous vous demandiez ce qu'ils penseraient du comportement de ma belle-mère. Et comment ce serait mal vu si d'autres parents d'élèves le savaient aussi. C'est ce que j'aimerai qu'il se produise Nelson.
- Je vois.... Continuez...
- Combien d'hommes enseignent dans votre école, le directeur et vous compris?
- Avec le directeur et moi nous sommes huit hommes.
- Certains d'entre eux ne voudront peut-être pas participer mais je suis sûr que vous connaissez ceux qui voudront un peu d'action. Ce serait bien aussi de pouvoir soumettre ma belle-mère au directeur de l'école de sa fille. Si vous avez besoin de preuves pour convaincre les autres que vous ne délirez pas, alors donnez un rendez-vous à Christine à l'école pour faire des photos pendant que vous la baiserez.
- Oui j'ai compris. Déclara Nelson.
- Je veux essayer cela. Si vous pouvez m'aider alors passez-moi un coup de fil. Sinon, pas de soucis, nous pourrons toujours organiser une rencontre seulement entre Christine et vous.
- Je vais voir ce que je peux faire et je vous rappelle. Dit-il avant de raccrocher.
Content de moi, je décidai de battre le fer tant qu'il était chaud. J'appelai Paul et je lui dis à peu près les mêmes choses qu'à Nelson. Je lui demandai s'il pouvait trouver d'autres papas intéressés. Je lui dis aussi que je comprenais que ce pourrait être gênant pour lui et les autres hommes de tromper leur femme. Je lui parlai de ma conversation avec Nelson et lui suggérai qu'ils pourraient organiser des réunions agréables à l'école.
Heureux de la façon dont les choses se passaient, j'allai sur mon ordinateur regarder les images transmises pas les caméras du bureau de ma belle-mère. Elle était occupée avec un étranger, surement un client qui ajouterai un petit pécule à ce que je recevrais à la fin du mois. Je savais qu'elle avait été déjà bien occupée ces premiers jours du mois et il restait encore beaucoup avant la fin. Mon enveloppe risquait d'être grosse.
A la fin de la semaine, le vendredi matin, mon téléphone sonna et je vis s'afficher le numéro de Nelson.
- Hello Nelson, Vous avez des nouvelles à m'annoncer? demandai-je en riant.
- Il va me falloir des preuves. Certains enseignants ne me croient pas lorsque je leur dis que Christine est une salope. Je pensais lui demander de passer ce soir à l'école pour lui parler de sa fille Alice.
- Pas de problème, appelez-la et surtout dites-lui comment vous voulez la voir habillée.
- Ok, c'est ce que je vais faire.
- Combien d'hommes sont intéressés Nelson? et le directeur est OK lui aussi? Demandai-je.
- Avec moi nous sommes 4, directeur inclus. Mais ils veulent une preuve d'où la réunion de ce soir.
- Ok. Nous nous voyons ce soir. Dis-je en raccrochant.
Ce fut au milieu de la pause déjeuner de Christine que je la vis répondre au téléphone et dire « Nelson » dans le combiné. Elle écouta attentivement pendant quelques minutes puis dit un timide « oui » avant de raccrocher.
Ensuite, elle reprit le téléphone et tapa un numéro. Mon smartphone sonna.
- Soumise? dis-je.
- Maître? Nelson GOBERT m'a appelé et m'a demandé d'être à l'école à 18 heures pour discuter du comportement d'Alice.
- D'accord. Je t'emmènerai.
- Il a dit que je devais porter une jupe courte sans culotte et un chemisier blanc sans soutien-gorge avec talons et bas.
Elle semblait confuse. Elle se demandait surement pourquoi elle devait se vêtir de façon indécente pour discuter de sa fille à l'école.
- Rappelle-toi qu'il y a à peine une semaine, tu lui suçais la bite sur un parking. Donc s'il veut que tu sois habillée de cette façon alors tu t'habilles de cette façon. Ok salope? Je passe te prendre à 17h00. Dis-je avant de raccrocher.
Ce soir-là, nous quittâmes la maison vers 17h50. L'école n'était pas loin. Christine s'était habillée comme demandé. Nous nous sommes garés sur le parking des enseignants qui était désert à part une petite voiture bleu que je supposai appartenir à Nelson. Il nous fallut à peu près une minute pour atteindre l'entrée latérale de l'école. L'air vif extérieur avait durci les mamelons de Christine qui maintenant pointaient sous le tissu du chemisier.
Nelson avait demandé à ma belle-mère de le rencontrer dans la salle des professeurs au bout du couloir après le bureau du directeur. Christine marcha devant moi, connaissant les lieux pour y être souvent venue lors de précédentes réunions de parents. Elle poussa la porte de la salle des professeurs et entra. Je la suivis, laissant la porte se refermer derrière moi.
Nelson était assis sur un fauteuil en face d'un grand canapé beige et d'autres fauteuils. Il avait un grand sourire sur le visage. Derrière lui, sur un trépied, se trouvait une caméra. Il dit :
- Heureux de vous voir disponible Christine. Pourriez-vous venir ici?
Il montra le sol en face de lui et de la caméra. Puis, en me désignant un fauteuil dans un coin il me dit :
- Je vous ai gardé cette place.
Alors que la raison de cette réunion commençait à venir à l'esprit de ma belle-mère, elle demanda :
- Pourquoi cette caméra Monsieur GOBERT?
- Nous enregistrons toutes les réunions avec les parents d'élèves maintenant au cas où il y aurait des problèmes. Mais vous n'allez pas poser de problèmes n'est-ce pas Christine?
Il la détailla de haut en bas, laissant ses yeux s'attarder sur son décolleté et ses gros seins.
- Pensez-vous être habillée correctement pour une rencontre avec le professeur de votre fille? Demanda-t-il.
- Non M. GOBERT. Répondit-elle en rougissant.
- Alors pourquoi êtes-vous habillée comme une pute?
Il voulait pouvoir enregistrer sur le film pour ses collègues le comportement soumis et de salope de ma belle-mère.
Elle me regarda espérant un soutien mais elle ne rencontra qu'une expression d'indifférence à sa situation. Alors elle répondit :
- Parce que vous m'avez demandé de m'habiller ainsi M. GOBERT.
- Prouvez-moi que vous ne portez pas de culottes Christine et nous pourrons commencer la réunion. Remontez votre jupe autour de votre taille.
Elle attrapa l'ourlet de sa jupe de chaque côté de ses jambes. Puis elle la remonta au-dessus de ses fesses et de ses hanches si bien que la jupe était maintenant enroulée autour de sa taille. Sa chatte et sa motte pubienne bien taillée étaient maintenant bien visibles par Nelson et la caméra.
- Parfait! Maintenant ouvrez votre chemisier et montrez-moi votre superbe poitrine.
Il se repositionna dans son fauteuil tandis qu'une bosse dans son pantalon grandissait à chaque bouton du chemisier enlevé.
- Ohhhh, ils sont magnifiques Christine.
Un grand sourire éclaira son visage pendant qu'il louchait sur les seins nus. Un silence remplit la salle. Nelson détailla Christine qui se dandinait inconfortablement d'un talon sur l'autre. Le regard de l'homme s'attarda sur le corps féminin pendant trois longues minutes de silence. Je m'assis tranquillement dans le coin, laissant Nelson continuer ses questions.
- Pourquoi êtes-vous ici ce soir Christine?
- Je suis ici pour discuter de ma fille Alice avec vous Monsieur GOBERT. Répondit-elle bêtement.
- Honnêtement, pensez-vous que vous êtes ici pour parler de votre fille? Dit Nelson en riant.
- Maintenant je ne crois pas M. GOBERT. Répondit-elle calmement.
- Avez-vous besoin que je vous explique pourquoi vous êtes là ou avez-vous compris? Si c'est le cas, pouvez-vous me dire pourquoi pensez-vous être ici?
Ma belle-mère changea maladroitement de position sur ses talons. Elle était embarrassée et humiliée par les questions du professeur de sa fille. Elle savait que sa réponse allait être enregistrée.
- Je suis là pour avoir des relations sexuelles avec vous M. GOBERT. Dit finalement Christine.
Elle baissa la tête et ne vit pas le sourire vicieux de Nelson qui avait la preuve maintenant du comportement de salope de la mère de son élève. Il ne lui restait plus qu'à la filmer en pleine action et il pourrait montrer la vidéo à ses confrères.
- Au moins, nous nous comprenons. Asseyez-vous sur le fauteuil là et gardez vos jambes ouvertes.
Il pointa son doigt vers le siège à droite du canapé afin d'avoir une vue directe de la caméra. Ma belle-mère se dirigea vers le fauteuil et s'assit sur le bord, les jambes assez ouvertes pour que les lèvres de sa chatte se séparent un petit peu.
Nelson se leva et marcha vers elle, s'arrêtant entre ses jambes, son pantalon bombé à moins de 20 centimètres de son visage. Il se pencha pour attraper le mamelon droit et le serrer.
- Ouch! Haleta-t-elle tandis que l'homme roulait le mamelon entre ses doigts tout en le tirant en hauteur.
- Sortez ma queue Christine. Demanda-t-il en continuant de torturer le téton.
Ma belle-mère savait qu'elle n'avait pas le choix. Elle détacha la ceinture de l'homme, descendit sa braguette, tira le pantalon vers le bas avec ses deux mains exposant ainsi le caleçon avec un gros renflement. Le pantalon sur les chevilles fut rapidement suivi par le caleçon. La bite jaillit frappant le menton de Christine.
La queue dansa devant son visage. Avant que Nelson ne lui dise quelque chose, elle tendit la main, caressa les couilles et avec l'autre main guida la verge dans sa bouche.
- Oui super Christine. Vous avez compris pourquoi vous êtes là. Gémit Nelson.
Elle ferma sa bouche humide sur le membre qu'elle enfonça dans sa gorge jusqu'à ce que son nez touche le pubis.
- Fantastique! gémit encore l'homme.
Elle sortit le sexe de sa bouche afin de le lécher puis elle le replongea dans sa gorge.
Je regardai attentivement tandis qu'elle lui faisait une fellation de professionnelle, n'oubliant pas de sucer ses grosses couilles, léchant sa bite de haut en bas, attardant sa langue sur le gland.
En voyant le visage de Nelson ainsi que ses petits grognements et ses gémissements, je sentis qu'il n'était pas loin de jouir, soit sur le visage de ma belle-mère, soit dans sa gorge. Il haleta :
- Oh merde, ça vient!
Il repoussa légèrement Christine, prit sa bite dans sa main et la pointa sur son visage.
Ma belle-mère savait qu'elle ne devait pas se déplacer. Elle devait rester docilement sur place, la bouche ouverte, la langue tirée comme je lui avais appris.
- Argghhhh, prenez salope!
Il cria tandis que sa queue pulsa dans sa main et le premier des quatre jets de sperme épais vola sur toute la longueur du visage de ma soumise, l'éclaboussant du front au menton. Les trois décharges suivantes s'ajoutèrent à son visage et son cou collant.
Nelson la tira en avant par les cheveux et elle ouvrit la bouche pour prendre la queue et les brins de sperme s'y accrochant.
Il lui fit sucer sa bite pendant 10 minutes afin qu'elle raidisse à nouveau puis il commanda :
- Reculez un peu et écartez bien les jambes. Il est temps pour vous de prendre ma queue dans votre chatte.
Elle recula sur le fauteuil, s'allongea et écarta les jambes de telle façon qu'elles reposent sur les accoudoirs.
Nelson baissa les yeux sur sa chatte et sourit :
- Regardez comme vous êtes mouillée Christine alors que je ne vous ai pas encore touchée.
Il avança sa main et glissa facilement deux doigts dans son vagin alors que son pouce chercha son clitoris.
- Ummmmmm... Gémit ma belle-mère en avançant son bassin sur les doigts du professeur.
Il pompa sa chatte cinq ou six fois puis retira brutalement sa main. Le bassin de la femme se releva, cherchant à être rempli.
- Regardez comme vous êtes désespérément à la recherche d'une bite. Voulez-vous la mienne Christine?
Nelson se mit à genoux sur le bord du coussin et positionna son gland à l'entrée du sexe de ma belle-mère qui résista à l'envie de s'empaler sur celui-ci. Il demanda de nouveau :
- Voulez-vous ma bite Christine?
Celle-ci se souleva sur les coudes pour pouvoir regarder le membre planant à quelques centimètres de son ouverture et elle dit en serrant les dents :
- Oui Monsieur GOBERT, je veux que vous me pénétriez. Faites le...J'en ai besoin.... S'il vous plait.
Pendant qu'elle le suppliait, l'homme la pénétra vivement jusqu'à la garde.
- Ohhhhh mon Dieu Ouiiiiii. Hurla-t-elle de plaisir.
Je pensai que le film que Nelson était en train de réaliser dépassait toutes ses espérances. Durant les dix prochaines minutes, il baisa ma belle-mère durement et profondément, lui provoquant deux orgasmes. Puis il se retira et lui réclama une fellation lente. Je pensai qu'il voulait ralentir son excitation pour pouvoir la baiser plus longuement. Mais je me trompai car il me regarda et me demanda :
- Qu'en est-il de son cul?
Je ne mis pas longtemps à réfléchir et répondre :
- Christine est une pute donc je ne crois pas que ça la dérangerait de prendre votre bite dans son cul. Mais pourquoi ne lui demandez-vous pas?
Nelson attrapa les cheveux de ma belle-mère et les tordit afin qu'elle le regarde :
- Je vais vous sodomiser Christine. Cela vous pose-t-il un problème?
Il la tint par les cheveux jusqu'à ce qu'elle réponde.
- Non M. GOBERT, il n'y a pas de problème.
Il lâcha ses cheveux et lui ordonna :
- Alors à quatre pattes et le cul en l'air!
Elle obéit et fut bientôt la tête en bas, le cul relevé. Nelson se positionna derrière elle et lubrifia un doigt avec l'humidité de sa chatte. Puis il enfonça ce doigt dans son anus. Elle commença à gémir et ses gémissements s'amplifièrent tandis qu'il tournait son doigt dans le cul afin d'élargir le passage pour son membre.
Lorsqu'il sentit qu'elle était prête, il saisit sa bite et frotta son gland à l'entrée du petit trou. Christine, affamée, agita ses fesses. Il ne la fit pas attendre longtemps. Tenant son sexe, il appliqua une légère pression jusqu'à ce que le passage s'ouvre puis il glissa sa queue complètement à l'intérieur.
- Ohhhhh mon Dieu. Cria Christine, le cul rempli par le sexe du professeur de sa fille.
En me regardant, Nelson dit :
- Son cul est serré.
En riant je lui répondis :
- Ce ne sera plus le cas après que vous l'aurez baisé n'est-ce pas?
- Je suppose que non. Répondit-il.
Se retournant vers Christine, il ressortit légèrement avant de la pénétrer violemment de nouveau.
Ma belle-mère jouit encore une fois pendant les trois minutes d'agressions anales de Nelson et la façon dont elle se cabra et serra les cuisses me fit imaginer que le sexe de ce pauvre homme devait être compressé à mort. Deux à trois minutes plus tard, il jouit lui aussi et déversa son sperme dans le cul accueillant.
Il retira son sexe fané et fut stupéfié de voir ma belle-mère se retourner et le prendre dans sa bouche afin de bien le nettoyer.
- Vous êtes une salope d'enfer Christine. Dit-il avant de ranger sa queue et se rhabiller correctement.
Une fois que ma soumise fut elle-même habillée, nous sortîmes de l'école et je dis à Nelson que j'attendais son appel.
A suivre.....
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