mercredi 29 septembre 2021

Le chantage de Summer Ch. 17

 Traduction d'une histoire de Wilcox010.

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Summer doit se rendre dans un sex-shop.

Le sex-shop est situé dans un quartier commerçant bas de gamme avec salon de tatouage, salon de beauté, magasin de lingerie, Théâtre pour adultes et quelques magasins de meubles à prix réduit. Bill FRASER est propriétaire de l'immeuble où se trouve le sex-shop depuis plusieurs années. Lorsque l'ancien locataire n'a pas pu payer ses loyers il a repris le magasin. Il lui a même fait des menaces verbales indiquant qu'il pourrait intervenir physiquement si le locataire ne déménageait pas dans les temps.

Bill travaille dans le commerce des articles pour adultes depuis près de quinze ans. Il était autrefois de l'autre côté de la ville. Mais cet endroit est beaucoup mieux. Il y a une faible criminalité et la clientèle est de classe supérieure à celle qu'il avait auparavant. Bien sûr, il y a toujours certains clients bizarres qui sont le lot de telles entreprises, mais il avait toujours trouvé le moyen d'éloigner ce genre de clients de son commerce.

Bill FRASER est un homme très grand. Il mesure plus d'1m90, il a des cheveux blonds, une barbe de deux jours et il pèse 120 kilos. C'est un ancien joueur de football de haut niveau qui a gardé de nombreux contacts et est connu pour gérer beaucoup de biens immobiliers. C'est dans ce secteur qu'il a remarqué qu'il pouvait rendre service à des personnes hautes placées qui lui faisaient confiance pour être discret. En contrepartie, il pouvait profiter de transactions avantageuses et de saisies dans la région.

En raison de ses relations immobilières, on demandait de temps à autre à Bill de fournir des femmes à certains hommes en visite en ville. Le plus souvent ces hommes aimaient les femmes soumises, les femmes qui faisaient ce qu'on leur disait de faire, quand on leur disait de faire et sans aucunes plaintes. Bill suppose que ces hommes veulent se sentir aussi puissants dans une chambre que dans leur entreprise.

Au fil des ans, Bill fut en mesure de trouver des femmes de qualité pour répondre aux demandes de ses amis. Avec internet, Bill pouvait facilement identifier les femmes qui étaient de bonnes candidates pour être soumises, ces femmes étant le plus souvent mariées et femmes au foyer qui s'ennuyaient. L'écurie de Bill était variée. Il avait actuellement deux récentes diplômées du secondaire qui travaillaient pour lui dans son salon de bronzage au bas de la rue. Il avait aussi trois femmes mariées qui aimaient baiser et s'amuser de temps en temps. Il avait également deux salopes sept jours sur sept, vingt-quatre heures sur vingt-quatre à son service qui vivaient dans un de ses appartements en centre-ville.

Il lui avait fallu plusieurs mois pour soumettre complètement ces deux femmes. Une femme était mariée lorsqu'il l'avait trouvé en ligne sur le site « Femmes en manque de sexe ». A l'époque elle cherchait seulement à s'amuser, mais elle était la candidate parfaite pour être pleinement soumise. Sa transition vers une salope à part entière ne prit que deux mois et sa transformation en esclave à plein temps est l'une de ses meilleures réussites. Son autre salope à temps plein est une ancienne femme de chambre qu'il avait embauché comme concierge. Mais elle est en situation irrégulière. Il a donc été très facile de la faire chanter, car elle avait peur d'être expulsée.

Bill travaille actuellement sur une autre femme, mariée et agent immobilier. Lisa va être pour lui un défi, mais il a l'impression d'avoir identifié chez elle des besoins de servitude, même si elle domine les femmes qui travaillent pour elle.

Et maintenant, son protégé, Todd SPILLERS, lui livre une enseignante qu'il a découverte sur le site « Femmes en manque de sexe ». Cette femme s'est déjà soumise aux diverses demandes de Todd qui a su bien manœuvrer pour faire chantre sa professeure. Le garçon a montré à Bill toutes les photos qu'il a prises de Summer WAYNE dans différentes positons et situations. Bill lui avait recommandé d'emmener Summer chez Marco pour lui faire poser des piercings. Bill possède le bâtiment et Marco lui doit beaucoup de services.

Quand Summer arrive devant la porte du sex-shop, elle a la chair de poule. « Qu'est-ce que je fais ici? » se demande-t-elle en poussant la porte pour entrer dans le magasin.

Bill FRASER se tient derrière le comptoir et il voit la belle brune mature franchir le seuil du magasin. Elle est encore plus superbe que Todd ne l'avait décrit. Ses seins étaient bien visibles, car le chemisier qu'elle porte n'a plus que deux boutons et ses gros seins tendent les pans du pauvre vêtement. La jupe moulante est fendue jusqu'à mi-cuisse et sa tenue est complétée par des chaussures noires à lanières avec des talons de dix centimètres. Sandy avait appelé Bill pour lui dire que l'enseignante n'avait que sa jupe et son chemisier. Elle lui a dit aussi qu'elle l'avait baisée avec le gode-ceinture, mais qu'elle ne lui avait pas permis de jouir.

Lentement, les yeux de Summer s'adaptent à l'espace sombre. A l'intérieur du magasin se trouvent des lumières rouges, vertes et blanches qui clignotent. Elles sont reflétées par des miroirs posés contre les murs. L'enseignante regarde les étagères couvertes de films porno et de magazines X que James rapporte parfois à la maison. Elle voit aussi un panneau au-dessus d'une porte indiquant que des cabines vidéos se trouvent dans une autre pièce. Elle regarde attentivement autour d'elle jusqu'à ce qu'elle trouve le comptoir. Elle est surprise de voir un beau et grand homme derrière. Summer a toujours pensé que ces endroits étaient sordides et que quiconque tenait ce genre de magasin devait être également sordide.

Lentement, elle s'approche du comptoir en regardant l'homme derrière. Elle a l'impression que celui-ci la déshabille du regard. Ses talons noirs cliquettent sur le sol du magasin alors qu'elle avance. Cela attire l'attention des sept clients qu'elle vient de compter en regardant à travers les étagères de films X.

Bill a du mal à trier ses pensées. Il se demande comment un garçon de 18 ans a pu forcer une professeure d'anglais à l'université de devenir sa salope. Mais Bill voit tout de suite que Summer a l'étoffe de devenir une salope 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7. Il aurait aimé la trouver en premier. Mais bien qu'il fasse partie d'un monde peu scrupuleux, il ne peut se permettre d'empiéter sur les terres de l'un des fils de son meilleur client. Il va être honnête et donner à cette femme la formation que Todd avait demandée, puis il la renverra de sa boutique au plus tard à 19H50.

Bill regarde les seins de l'enseignante rebondir alors qu'elle s'approche du comptoir. Il remarque qu'elle ne le quitte pas des yeux et qu'elle fait ce qu'on lui avait dit, ce qui est un bon indice de sa soumission. Il la regarde et lui demande alors :

- Êtes-vous perdue Madame?

Summer reste immobile, ne sachant que dire. Elle avait espéré que l'homme saurait pourquoi elle était là et qu'elle ne devrait pas avoir une longue conversation avec lui. Elle regarde l'homme et dit :

- Monsieur, j'ai été chargé de vous donner cette liste.

- Qui vous a demandé de faire ça Madame? Demande Bill.

Summer est dans une telle situation qu'elle n'est pas prête à discuter avec un inconnu. Alors elle essaie de répondre le plus vaguement possible :

- Mon mari est en voyage et j'ai pensé que ce serait une bonne idée d'acheter ces articles en prévision de son retour imminent.

Summer tend lentement la liste à l'homme derrière le comptoir. Bill prend son temps pour déplier le morceau de papier et il sourit en voyant ce qu'il y a sur la liste. Il avait déjà fait ça quand Todd lui avait présenté sa salope Abby. Elle avait été très facile à briser, mais elle avait une tendance de dominante avec les femmes. Toutefois Abby aimait plaire aux hommes c'était sûr.

Todd lui avait envoyé les photos qu'Abby avait prises au restaurant avec Lisa, l'agent immobilier. C'était la première interaction entre une des salopes de Todd et une de ses salopes en devenir. Bill estime alors que Lisa risque d'être problématique pour Todd et Summer, donc il devra forcer Lisa à ne plus s'en occuper.

Il regarde Summer. Il voit que sa poitrine se soulève et il parie que ses paumes sont humides. Enfin il dit :

- Comment vous appelez-vous Madame?

- Qu'importe mon nom! J'ai juste besoin des articles sur cette liste. Allez-vous m'aider ou non? Répond courageusement Summer.

- Bon, premièrement tu viens dans mon magasin habillée comme une salope et tu me racontes un tas de conneries sur ton mari. Rétorque Bill.

Puis il continue :

- Deuxièmement, je pense que tu agis sur les instructions d'un homme dominant à qui tu veux plaire. Donc je te le demande une nouvelle fois, quel est ton nom, salope?

- Je ne vois pas en quoi ça fait une différence pour vous. Je suis ici pour acheter ces articles et si vous ne voulez pas m'aider, alors je devrais simplement aller ailleurs. Déclare Summer en espérant montrer qu'elle contrôle la situation.

- Eh bien salope, je ne crois pas que tu puisses aller ailleurs. En bas de cette note il est marqué que tu dois acheter ces articles ici. Alors salope, as-tu été chargée de venir dans mon magasin et de me remettre cette liste?

Prise au piège, Summer ne peut que répondre :

- Oui, on m'a dit de venir ici.

Bill dit alors froidement :

- Tu vois, ce n'est pas dur à dire. Donc maintenant dis-moi ton nom, salope!

Summer lui obéit et lui donne son nom. Puis elle lui demande de l'aide pour la liste. Elle devient nerveuse en voyant du coin des yeux que les clients du magasin ont commencé à se rapprocher. Elle peut sentir leurs regards sur elle. Un homme ose même la frôler en passant près d'elle.

- Bon Summer, tu n'as pas été très honnête avec moi et tu ne m'as pas dit qui t'avais envoyé ici aujourd'hui. Dit Bill.

L'enseignante est piégée. Cet inconnu l'interroge et les aiguilles de l'horloge s'approchent de plus en plus de 20h00. Elle ne veut pas être en retard pour retourner au salon de bronzage, car elle ne veut pas que ses affaires soient jetées au milieu du parking.

- S'il vous plaît, pouvez-vous m'aider pour mes achats et ne plus me poser de questions. Demande-t-elle.

- Cette liste est très spécifique. Il me semble que la personne qui l'a établi est quelqu'un à qui vous devez plaire ou lui faire plaisir. Alors qui est-ce Summer? Questionne encore Bill.

- c'est quelqu'un qui m'oblige à acheter ces objets. Avoue-t-elle.

- C'est une bonne première réponse, mais ça ne me donne aucune indication sur le genre d'homme qui vous force à venir dans mon magasin et à acheter une liste d'articles très érotiques. Alors dites-moi qui vous a envoyé? Ordonne Bill bruyamment.

- S'il vous plaît, aidez-moi! Supplie Summer.

- Fous le camp de ma boutique, salope! Crie Bill.

Il y a sept clients dans le sex-shop, ils écoutent attentivement l'échange. Ils sont tous excités par cette femme sexy debout devant le comptoir de Bill. Ils se disent que c'est juste une de ses salopes avec laquelle il s'amuse aujourd'hui. Mais plus ils regardent et plus ils écoutent, plus il devient évident qu'il s'agit d'une nouvelle femme. Chacun regarde son cul et essaie de voir sa poitrine à travers le tissu du chemisier.

- S'il vous plaît, ne me mettez pas dehors! Je dois acheter ces articles aujourd'hui ou j'aurais de gros ennuis. Supplie encore Summer.

Bill lui répond une fois de plus méchamment :

- Écoute salope, soit tu me dis qui t'a envoyé ici, soit tu te casses!

Summer est coincée. Elle ne voit pas d'autre solution pour se sortir de cette situation que d'être honnête et de dire à l'homme derrière le comptoir ce qu'il veut savoir. Cette position la tient sur les nerfs. Le fait qu'elle soit dans ce genre d'endroit et qu'elle soit forcée d'y être ont le même genre d'effet que les instructions et ordres de Todd. Elle sent sa chatte s'humidifier, mais elle ne comprend pas pourquoi. Son sexe lui fait encore mal à cause du gode-ceinture de Sandy au salon. Ses tétons pointent contre le chemisier et elle sait que ses piercings les font ressortir sur le tissu. Elle rassemble alors son courage et dit :

- Mon Maître m'a demandé de venir dans votre magasin pour acheter les articles de cette liste.

Bill décide de continuer à lui mettre la pression :

- Alors, ce n'était pas si dur, salope. Mais tu ne me l'as pas demandé poliment et tu ne m'as même pas demandé mon nom.

Summer répond rapidement :

- Je suis vraiment désolé d'être impolie, mais je suis mal à l'aise dans ce magasin. Je suis nerveuse, car je ne suis jamais venue dans un tel endroit de toute ma vie. Pouvez-vous me dire votre nom?

- Oui bien sûr, je suis Bill FRASER et je suis propriétaire de ce magasin ainsi qu de l'immeuble. Vous pouvez m'appeler Monsieur si vous voulez mon aide. Répond Bill.

- Monsieur, pourriez-vous s'il vous plaît m'aider pour ls achats de cette liste. Supplie Summer.

- As-tu une idée de ce qui se trouve sur cette liste, salope? Demande Bill.

- Non Monsieur, je ne sais pas!

- Va dans la pièce à gauche de ce comptoir, derrière le rideau de perles. Le premier élément de la liste est un bandeau. Tu en choisiras trois et je te rejoindrai dans quelques minutes pour t'aider. Dit Bill.

Summer se dirige vers la pièce indiquée. Elle est mal à l'aise, car les sept hommes dans la boutique se sont rassemblés près du comptoir et ont sûrement entendu sa conversation. Elle écarte les perles multicolores en étant contente que personne ne la suive. Elle entre dans la pièce et commence à regarder les murs à la recherche des bandeaux dont l'homme lui a parlé.

Elle est étonnée de tous les objets qui sont dans cette pièce. Sur le mur à la gauche de la porte, elle voit un large éventail de fouets, de raquette en bois, de gants en cuir, de laisses, de chaînes, de pinces et d'autres objets dont elle n'a aucune idée de leur utilité. Sur le plus grand mur, elle voit une vaste sélection de godes, vibromasseurs, plugs anaux dans différentes tailles. Elle voit aussi des harnais avec gode et plusieurs appareils sans fil un peu comme l'œuf vibrant qu'elle avait. Le mur du fond contient divers types de costumes à porter pour des évènements érotiques ou bizarres. Ils sont vraiment trop sordides et révélateurs pour que Summer puisse même penser à les porter.

Sur le dernier mur Summer trouve une grande variété de bandeaux pour les yeux, de masques en cuir, de nombreux types de menottes, des barres d'écartement, des écarteurs, des pinces à tétons, des pinces pour clitoris, des anneaux péniens, des dispositifs pour choquer, des lubrifiants variés. Mais ce que Summer trouve déplacé sur ce mur c'est le choix de robes courtes très étroites aux couleurs vives, le genre de robes que portent les prostituées dans la rue.

Au centre de la pièce, l'enseignante voit aussi un poteau en bois de la taille d'un poteau téléphonique de campagne. Sur toute sa longueur, du sol au plafond, il y a des pinces, des crochets et des chaînes. Summer s'inquiète quand elle le voit, elle a peur pour sa sécurité. Et elle se demande à quoi il peut servir dans cet espace public.

Elle s'approche du mur contenant les bandeaux et elle les étudie tous pendant un petit moment. Elle n'est pas pressée, car Bill n'est pas encore là. Elle peut l'entendre parler avec les autres clients.

Elle se décide pour trois bandeaux : un noir avec une bordure léopard, un en satin noir et un bandeau violet foncé qui s'enroule presque complètement autour de la tête avec une fermeture derrière alors que les deux autres avaient des fermetures velcro.

Puis Summer attend au milieu de la pièce, près du poteau, mais sans le toucher. Elle soulève sa jambe gauche et se balance sur le talon de ses escarpins noirs. Elle se demande combien de temps elle va devoir encore attendre dans cette pièce, car elle est mal à l'aise avec son contenu. Et elle s'inquiète des hommes qui sont juste à l'extérieur.

Elle regarde nerveusement l'horloge sur le mur qui indique 18H00. Elle sait que son temps est limité et elle ne veut pas arriver au salon de bronzage après 20h00. Elle tape nerveusement du pied sur le sol en linoléum. Elle remarque alors une odeur de désinfectant comme celui qu'elle utilise chez elle pour un nettoyage en profondeur.

C'est à ce moment que Bill entre dans la pièce avec deux des hommes qui se trouvaient dans la boutique.

- M'attends-tu patiemment salope? Demande Bill à l'enseignante manifestement nerveuse.

- Oui Monsieur, je suis patiente, mais pourquoi ces hommes sont-ils avec vous? Je croyais que nous resterions en privé. Demande Summer.

L'homme répond rapidement :

- Ces hommes sont des clients réguliers. Ils dépensent beaucoup d'argent avec moi et nous investissons ensemble dans l'immobilier. Alors je profite de leur présence ici pour leur montrer comment certains objets de cette pièce peuvent être utilisés sur une salope consentante. C'est une chance que tu sois entrée dans ma boutique alors qu'ils sont là.

- Mais Monsieur, pouvez-vous leur demander de partir pour que je puisse acheter les articles sur la liste et être de retour au salon de bronzage avant 20 heures. Supplie Summer.

Sans lui répondre, Bill se dirige vers elle et lui prend les bandeaux des mains. Il les tient devant le visage de la professeure pour voir l'effet que ça peut avoir sur elle alors qu'il y a d'autres hommes dans la pièce. Bill sait que ça énerve encore davantage la soumise de Todd. Il sait qu'il lui reste peu de temps pour jouer avec elle, mais il sait aussi qu'il faut qu'elle comprenne pleinement qu'elle n'est plus qu'une salope et une esclave de l'étudiant. Il faut lui apprendre que son corps, ainsi que son esprit sont des instruments de servitude envers son maître.

Bill choisit le bandeau violet qui s'enroule entièrement autour de la tête avec un fermoir. Il demande à Summer de le mettre. Quand celle-ci hésite, Bill gifle violemment la pauvre enseignante avec sa main droite. Elle trébuche ne arrière et manque de tomber, mais le poteau au milieu de la pièce la retient.

Avec des mains tremblantes et la joue piquante de douleur, Summer lève lentement le bandeau à ses yeux pour les couvrir complètement. Elle lève les deux bras au-dessus de sa tête pour essayer de l'attacher, ce qui fait soulever ses seins et tendre le tissu du chemisier. Finalement elle réussit à mettre complètement e bandeau en place. Son monde est plongé dans les ténèbres. Elle baisse ses bras sur le côté. Elle sait que Bill et les autres hommes sont toujours dans la pièce, mais elle se demande si les autres clients ne vont pas maintenant les rejoindre.

- Très bien salope! Maintenant lève les mains au-dessus de ta tête et pose-les derrière le poteau : ordonne Bill.

Summer obéit avec hésitation. Elle s'efforce de se calmer. Elle sait qu'elle est dans un mauvais endroit et dans une mauvaise position. Mais quelque chose chez cet homme fait que sa chatte s'humidifie et elle peut sentir ses mamelons durcir. En saisissant le poteau, elle peut sentir ses seins pousser le tissu de son chemisier. Elle craint que les boutons ne sautent.

Mais elle s'inquiète pour rien. Elle sent des mains sur son chemisier et elle comprend que les boutons sont enlevés, mais elle ne sait pas par qui. Une fois déboutonné, son chemisier s'ouvre et révèle sa poitrine, le début du bronzage. Ses seins se soulèvent au rythme de sa respiration.

Bill, debout devant l'enseignante, déchire le chemisier pour pouvoir l'ôter. Immédiatement Summer baisse ses mains pour couvrir ses seins dans l'intention de ne montrer à personne les piercings sur ses mamelons. La réaction du propriétaire du sex-shop est immédiate. Il gifle la professeure sur les deux joues puis il saisit ses mains, les lève au-dessus de sa tête et les accroche dans des fixations en cuir attachées au poteau. Ensuite, Bill prend les piercings entre ses index et ses pouces. Summer gémit de douleur alors qu'il commence à tirer et tordre les tétons encore sensibles e la pose de ces piercings le samedi précédent.

Puis elle laisse échapper un grand cri quand la douleur infligée par l'homme devient intolérable. Bill se penche alors près de son oreille gauche et crie :

- Dis putain qui t'as dit que tu pouvais enlever tes mains de salope du poteau?

- Je n'étais pas préparée à ce que vous déchiriez mon chemisier. Répond la pauvre enseignante.

- Je t'ai dit de m'appeler Monsieur , putain de salope! Crie une fois de plus Bill en tirant très fort sur les tétons de Summer.

Celle-ci a l'impression que l'homme va déchirer ses mamelons. Les piercings dorés sont tordus et tirés par son nouveau bourreau, alors elle ne peut que répondre :

- Je suis désolé Monsieur! Veuillez me pardonner!

Bill relâche alors la tension sur les seins de la femme. C'est une des premières leçons de la soirée. Son travail consiste à renforcer sa soumission à tout homme dominant avec qui elle entrerait en contact. Bill et Todd ont conçu une stratégie dans laquelle Summer passe du statut d'enseignante puritaine au statut de salope totale qu'ils savent qu'elle peut devenir. Ils en ont discuté longuement dimanche alors que Summer était asservie sexuellement par sa meilleure amie et la future salope de Bill, Lisa accompagnée de son mari Steve.

Bill avait demandé à Lisa de se rendre à la maison de l'enseignante, car il savait qu'elle devait s'allonger au soleil comme Todd lui avait ordonné. Bill savait que Lisa serait très dominante avec Summer et que Steve, son mari, serait un complice volontaire. Ce que Lisa ne réalisait pas, c'est que Bill commençait son travail sur elle pour la convertir en pute pour ses partenaires commerciaux. Il pourra éventuellement utiliser sa séance de domination sur Summer à son avantage? Et il sait aussi que s'il pousse Lisa plus loin sur l'enseignante, Todd sera furieux et l'aidera à asservir Lisa. Mais tout ça c'est pour plus tard. Ce soir, son travail est de dépouiller Summer de touts ses inhibitions avec le sexe forcé et de l'obliger à apprendre à sucer des bites.

Bill relâche les tétons de Summer, il entend un léger gémissement de soulagement sortir de sa bouche. Il se penche alors et attrape le tissu de la jupe de chaque côté de la fente. Puis avec ses mains puissantes il la déchire et l'arrache. Maintenant Summer est complètement exposée au propriétaire de la boutique, des deux clients dans la pièce ainsi que des autres hommes qui jettent des regards depuis le magasin.

Bill attrape ensuite la main gauche de Summer et il la détache du poteau. Il fait ensuite pivoter l'enseignante pour qu'elle fasse face au poteau et il attache de nouveau la main gauche au-dessus de sa tête.

- Alors salope, sais-tu quel est le prochain article sur la liste que tu dois acheter ce soir? Demande Bill.

- Non Monsieur! Répond avec calme Summer.

- Passe-moi cette barre d'écartement d'un mètre vingt contre le mur là-bas. Dit Bill à l'un des deux autres hommes.

Une fois que l'homme lui a rapporté la barre en acier inoxydable, ils attachent les chevilles de la professeure à chacune des extrémités avec des fixations comme des menottes couvertes de fourrure rose. Summer se retrouve attachée au poteau, les pieds vraiment écartés par la barre.

Bill et son assistant détachent alors les poignets de la femme du poteau pour les attacher aux crochets des attaches qui maintiennent ses chevilles. Ensuite Bill passe une large sangle de cuir avec des boucles aux extrémités sous l'abdomen de Summer. Puis il attache rapidement les boucles à une chaîne qui pend du haut du poteau. Cette sangle va aider à supporter le poids de Summer pour la suite.

L'homme passe en suite une fine lanière autour de chacun des coudes de l'enseignante en la serrant fermement, puis il la passe entre les coudes et l'attache à un crochet près du sommet du poteau. Dans cette position, Summer se tient fermement en place, penchée, avec son cul et sa chatte exposée à tout le monde.

Bill regarde le fessier de Summer. Il place sa main entre les fesses de l'enseignante et fait courir ses doigts du trou du cul jusqu'à sa chatte. Il est content de constater que Summer mouille, ce qui confirme ses soupçons et les dires de Todd qui a dit qu'elle pourrait être le genre de femme facilement contrôlable et influençable. Bill pousse légèrement les anneaux qui percent les lèvres de sa chatte. Il lui dit alors :

- Bon voilà, maintenant tu sais que tu dois acheter un bandeau et une barre d'écartement. Je vais te dire quel est le prochain achat. Il s'agit d'une raquette en cuir pour ton cul et tes punitions pour tes désobéissances.

- Oh mon Dieu non! Crie Summer.

Mais Bill ajoute :

- Oh, je vois que tu n'es pas prête à en choisir une. Alors je vais le faire pour toi. Mais d'abord nous devons en essayer quelques-unes pour nous assure d'avoir la bonne pour te punir de façon appropriée quand tu décevras ton Maître.

- Non s'il vous plaît Monsieur, je promets d'écouter et e toujours faire ce qu'on me dit! Supplie Summer.

Sans prêter d'attention à la femme ligotée dans sa boutique, Bill se dirige vers le mur sur lequel sont accrochés différents instruments de torture. Il passe la main sur les longs fouets en cuir, les martinets, les chats à neuf queues, et enfin différentes sortes de palettes en cuir avec divers types de poignées.

Summer de plus en plus effrayée alors qu'elle réalise que l'homme va la battre à mort avec ces objets et que personne ne saura jamais qu'elle était là. Mais elle se dit qu'il y a sept témoins qui l'ont vue entrer dans la boutique. Ils viendront sûrement à sa rescousse s'ils entendent ses cris.

Mais elle n'est pas préparée à ce qui se passe ensuite. L'homme qui a aidé Bill à l'attacher saisit une poignée de ses longs cheveux bruns à l'arrière de son crane et il tire soudainement sa tête vers le haut. Summer ouvre la bouche pour pousser un cri, mais celui-ci est étouffé par la bite de l'homme qui glisse dans sa gueule. Elle essaie de repousser cette queue envahissante hors de sa bouche, mais la douleur de son crane due au tirage de ses cheveux l'empêche de secouer la tête. Alors soudainement, elle mord la bite. Elle est contente d'elle quand l'homme grogne de douleur sous la morsure et sort sa bite.

Mais le sentiment de victoire de l'enseignante d'avoir pu empêcher le viol de sa bouche par l'homme est de courte durée quand il crie :

- Bill, Cette salope m'a mordu la bite!

Bill revient du mur avec les fouets et s'approche de Summer pour lui demander :

- Pourquoi mords-tu la bite que l'on donne à la salope de service?

- Je ne suis pas ici pour sucer des queues. Maintenant, laissez-moi partir et je ne raconterai à personne ce qui s'est passé ici aujourd'hui. Répond doucement la professeure d'anglais.

- Oh non salope, tu n'as pas fini ici, ça ne fait que commencer. Tu vois, tu dois comprendre qu'en présence d'un homme ; ton seul rôle et but dans la vie est de soumettre ton corps et ton esprit pour lui apporter du plaisir. Jusqu'à ce que tu comprennes ça, ta vie sera remplie de punitions et de douleurs. Gronde Bill.

Il attrape alors la même touffe de cheveux que l'autre homme avait tenu dans sa main avant d'enfoncer sa bite dans la bouche de Summer. Puis il demande à la femme attachée :

- Es-tu prête à te conformer à mes demandes, salope?

Summer secoue la tête et ferme sa bouche aussi fermement qu'elle le peut alors que l'assistant essaie de faire pénétrer de nouveau sa bite. Elle bouge sa tête d'un côté à l'autre pour empêcher l'homme d'accéder à sa bouche. Elle réussit à garder la bite loin de sa bouche quand Bill relâche ses cheveux. Elle peut alors baisser la tête et la garder loin de la queue de l'assistant.

Mais Summer ne s'attendait pas à l'explosion de douleur dans son cul. Alors qu'elle continue à bouger la tête dans tous les sens pour refuser de sucer la bite de l'homme, Bill s'acquitte de son devoir de lui faire subir la punition appropriée pour attirer son attention. Il ne veut pas abîmer le corps de la pauvre enseignante, mais il va faire en sorte que son esprit comprenne son rôle dans la vie à partir de maintenant.

La main droite de Bill qui tient la longue poignée de la raquette en cuir de cinquante centimètres de long fend avec force les airs et laisse sa marque sur les fesses de Summer sous le regard de l'assistant.

La professeure laisse échapper un cri déchirant lorsque la douleur du premier coup est rejointe par le deuxième coup plus violent sur son cul. Elle tourne la tête et veut protester, mais le bras de Bill s'abat de nouveau vers le bas et la raquette retrouve les fesses de Summer. Summer hurle de nouveau et le supplie d'arrêter.

Bill ne prête aucune attention aux cris de l'enseignante alors qu'il commence un assaut rapide sur son cul en feu. Il se concentre pour ne pas donner de coups deux fois au même endroit. Il les place de haut en bas en remontant jusqu'au bas du dos et en dessous de ses fesses jusqu'au sommet de ses jambes. Les cris de la femme s'intensifient à chaque fois qu'une douleur est rattrapée par la suivante.

Summer pense avoir compté dix coups sur son cul, mais c'est comme si un millier de petits feux éclataient partout dans son derrière. De plus, sa douleur est exacerbée par la sensation des mains rugueuses de Bill qui frottent ses fesses. Summer se souvient de la correction de Todd lundi soir, mais celle-ci est bien pire.

Ses pieds maintenus en place par l'écarteur en acier inoxydable, ses poignets enserrés dans les menottes et ses bras liés ensemble avec la lanière de cuir attachée au poteau contribuent à la douleur administrée.

Bill se penche à son oreille et demande :

- Vas-tu ouvrir cette putain de bouche et prendre la bite de mon ami?

Summer resserre ses lèvres et crispe sa mâchoire tout en secouant la tête d'un côté à l'autre. Cette réaction laisse de l'espoir à Bill. L'enseignante a encore de la volonté de résistance qu'il va briser. Et il sait qu'elle tombera encore plus dans la dépravation inévitable de sa condition.

Pendant un moment, Summer a l'impression qu'elle a peut-être gagné la bataille en refusant de sucer la bite d'un inconnu dans ce sex-shop. Mais son sourire narquois de victoire est de courte durée, car Bill lui administre dix autres coups avec la large palette en cuir.

Pendant un moment, les deux hommes laissent Summer seule et lui permettent de hurler de douleur après les vingt coups qu'elle a reçu. Toutefois Bill laisse la raquette sur son dos comme un rappel peu subtil de sa situation difficile.

Bill revient bientôt avec un smartphone après avoir activé un appel vidéo. Il retire le bandeau violet des yeux de Summer et il présente le téléphone devant son visage. Elle voit rapidement que le visage sur l'écran est celui de Maître T.

Son cœur se serre quand elle comprend que Bill est une extension de la domination de son élève sur elle. Elle se met à pleurer et détourne la tête du téléphone. Mais Todd n'est pas du tout d'accord :

- Salope, pourquoi ne fais-tu pas ce que mon ami Bill te demande?

Summer pleure de façon presque incontrôlable maintenant qu'elle comprend à nouveau sa situation comme elle lui avait été décrite à plusieurs reprises depuis qu'elle a envoyé cette photo compromettante dans un e-mail, il y a seulement six nuits. Aujourd'hui elle se retrouve attachée dans un sex-shop, complètement nue et venant d'essuyer la pire correction de sa vie. Mais cela n'est rien par rapport à la compréhension qu'elle est perdue et que sa vie va être réduite maintenant à plaire aux hommes qu'on lui indiquera.

- Maître T., je suis désolé, mais je ne connaissais pas Bill FRASER avant ce soir. J'essayais seulement d'acheter les articles que vous aviez listés dans la note laissée à Sandy. Sanglote Summer.

- Salope, regarde-moi! Commande Todd.

Summer tourne la tête et fixe ses yeux sur le petit écran qui est tenu par les grosses mains de Bill. Ses bras et son dos lui font mal et son cul la pique toujours à cause des coups administrés avec la raquette en cuir.

Calmement et tranquillement, car il est toujours en voyage et qu'il ne veut pas être entendu dit à l'enseignante soumise :

- Ne fais pas l'erreur de désobéir à Bill. Tant que je ne suis pas là, il est ton Maître. FAIS CE QU'IL TE DIT!

L'écran s'éteint et Bill range son téléphone. Il attend quelques minutes pour que Summer réfléchisse à ce qui a été dit. Lui et Todd avaient planifié de passer l'appel à 18h30 précises, alors Bill s'était appliqué à ce que Summer résiste jusque-là. Maintenant il sait qu'il est capable de briser davantage sa volonté.

« C'est vraiment dommage » pense-t-il. Summer WAYNE est une femme très séduisante. Son corps est en pleine forme, elle n'a que 40 ans et elle semble être une bonne professeure d'anglais. Bill n'arrive pas à comprendre pourquoi une femme comme elle pouvait se retrouver sur le site « Femmes en manque de sexe » alors qu'elle peut avoir n'importe quel homme. Maintenant, à cause de son erreur, son élève Todd a découvert qu'elle est une vraie soumise. Elle a besoin d'entraînement et correction, mais Bill sait déjà qu'elle sera une bonne salope. Dommage que ses talents soient gaspillés par un étudiant de 18 ans. Il pourrait l'utiliser pour ses affaires. Dans sa tête il se demande s'il va pas pouvoir négocier avec Todd plus tard.

Bill apporte une boisson qu'il a développée au fil du temps. C'est un genre de drogue du viol, mais ça ne rend pas la personne complètement inconsciente. Il sait par expérience que les ingrédients suppriment toutes inhibitions chez la personne, mais qu'ils augmentent aussi son appétit sexuel. Pour ce soir, il a augmenté la dose, car il ne veut pas laisser de chance à l'enseignante. D'une voix calme il dit :

- Tiens salope, bois ça! Je parie que ta bouche et ta gorge sont desséchées. Ça va te faire du bien!

Bill place le gobelet en plastique avec une paille devant la bouche de Summer. Elle boit jusqu'à la dernière goutte. Bill pense : « C'est ça, bois tout! Dans quelques minutes, tu ne te soucieras même pas de ce que je te fais ou de ce que je vais te faire faire. »

L'assistant de Bill est un vieil ami qui n'a jamais eu de chance. Il a été le banquier de Bill, mais la banque pour laquelle il travaillait a dû être fermée pendant la dernière crise bancaire. Il s'appelle Lee et il a été le banquier personnel de Bill. Il a été responsable de plusieurs financements pour l'acquisition de propriétés un peu spéciales de Bill. Au fur et à mesure que la richesse de Bill augmentait, la carrière de Lee progressait également. Malheureusement pour les deux hommes, l'économie s'est effondrée et les investissements dans des projets marginaux ont chuté de jour en jour. Bill faisait participer parfois son ami Lee dans le dressage de ses femmes. Il veut voir comment Lee réagit, car il veut le faire participer à la prise de contrôle de Lisa, l'agent immobilier qui les avait informés de plusieurs ventes d'immeubles intéressantes dans le passé.

Les deux hommes laissent Summer suspendu au poteau en attendant que la boisson trafiquée qu'elle vient de boire fasse effet. Cette boisson a souvent aidé Bill à soumettre des femmes. Mais certaines ont réagi beaucoup plus lentement à la drogue. Mais en fin de compte, Bill sait que cette boisson ainsi que des photos compromettantes font généralement l'affaire. Toutefois comme Todd a déjà beaucoup de photos pour forcer Summer à se retrouver dans cette situation de chantage où elle est maintenant, d'autres photos ne sont pas vraiment nécessaires.

Mais comme Bill a une collection photographique de ses conquêtes et qu'il se dit que Summer serait un bon ajout, il donne son appareil photo numérique à un autre homme en lui disant de tout photographier à partir de maintenant en s'assurant qu'aucun visage d'homme n'apparaisse.

Attachée dans cette position désagréable, les bras et les jambes de Summer commencent à s'engourdir. Tous ses muscles souffrent de divers degrés de douleur. Ses cuisses et ses mollets sont tenus en place par la barre d'écartement avec ses chevilles et ses poignets fermement attachés. Et elle porte toujours ses talons ; Avec les coudes attachés ensemble et tirés vers le haut par la lanière en cuir attachée au poteau au centre de la pièce, ses bras lui font très mal. Summer ne peut bouger ni ses bras, ni ses jambes. Tout ce qu'elle peut faire c'est de remuer ses mains, ses doigts et ses orteils. Inconsciemment ; elle continue à serrer et fléchir ses doigts dans le but de maintenir le sang qui coule dans ses membres. Mais son cul est toujours en feu. La palette en cuir, utilisée de main experte par Bill lui a infligé beaucoup de douleur en peu de coups.

Summer sent son esprit s'embrumer, mais elle pense que c'est à cause de la position dans laquelle elle se trouve. L'idée d'avoir été droguée ne lui vient pas à l'esprit. Elle redresse un peu la tête pour regarder autour dans la pièce. Elle voit les objets sur les murs. Elle essaie de voir dans son dos la raquette en cuir, mais elle n'arrive pas à se tordre le cou suffisamment. Elle se demande à quoi peut ressembler son cul en ce moment.

Elle commence alors à se sentir un peu faible et elle crie à Bill :

- Pouvez-vous me libérer s'il vous plaît, sinon je crois que je vais m'évanouir.

- Oh ne t'inquiète pas salope, c'est juste dû à la boisson que je viens de te donner. Dans quelques minutes ton corps va te dire qu'il a besoin d'être baisé. Répond Bill.

Summer demande rapidement :

- Qu'est-ce que vous m'avez donné?

Bill prend alors la raquette et donne rapidement cinq coups rapides et durs sur son cul.

- Qu'est-ce que tu dis, salope?

Summer demande alors docilement :

- Monsieur, que m'avez-vous donné?

Bill lui explique alors qu'il s'agit d'une boisson spéciale pour donner aux salopes un besoin de bites. De plus, elle rend plus sensible, les lèvres de chatte ainsi que les mamelons. Il dit également à la professeure d'anglais qu'elle recevra cent coups de raquette en cuir sur le cul si elle n'obéit pas à ses instructions ou si elle ne dit pas Monsieur à tous les hommes dans le magasin.

Bill prend la poignée de la raquette et place celle-ci sous le menton de Summer. Il lui lève la tête vers le haut en lui demandant :

- Comprends-tu salope?

Tout ce que l'enseignante peut répondre c'est :

- Oui Monsieur.

Bill enlève la raquette et Summer baisse la tête. Elle fixe le carrelage du sol qui un damier blanc et noir. C'est alors qu'elle commence à être dans le brouillard et elle vacille. Mais elle tient debout grâce à ses attaches. La douleur devient plus forte dans ses jambes et ses bras.

Summer entend alors beaucoup de pas dans la pièce. Elle se demande combien d'hommes sont entrés dans la pièce. Des mains abaissent le bandeau sur ses yeux, ramenant l'enseignante dans un monde sombre et effrayant. Bill prend position derrière lle et glisse le majeur de sa main droite dans sa chatte.

- Ah, juste comme je le pensais, du jus coule de ta chatte. Les drogues dans ta boisson fonctionnent. Dit-il.

Il commence à faire entrer et sortir son majeur du sexe de l'enseignante. Summer peut entendre les bruits de succion à chaque fois que le doigt est retiré de sa chatte. Bill ajoute son index à son majeur et continue à les enfoncer et les retirer. A chaque fois qu'il pénètre la chatte avec ses doigts il sent que Summer essaie de venir à leur rencontre. L'homme enfonce ses doigts profondément dans le sexe de la professeure et il ne bouge plus. Instinctivement, Summer commence à bouger d'avant en arrière contre la main pour se baiser sans aucune aide. Ses mouvements attirent l'attention des clients. En plus elle pousse des gémissements aigus à chaque fois que les doigts sont enfoncés plus profondément dans sa chatte. La drogue exerce sa magie sur la pauvre enseignante.

Sans avertissement, Bill glisse son majeur couvert de jus de chatte dans le trou du cul de Summer. Son plan est de garder le trou du cul de la professeure pour son plaisir après que les sept hommes se soient débrouillés avec elle. Il a pris une bouteille de lubrifiant sur une étagère et il fait couler le liquide dans la raie des fesses. Il prend le plug anal noir et commence à le frotter le long de la raie pour le couvrir de gel. Ensuite il place le plug à l'entrée du petit trou de Summer et pousse. Il rencontre un peu de résistance au début, mais en poussant fort il insère complètement le gros plug dans le cul de l'enseignante. Il lui dit alors :

- Le plug anal est le numéro quatre de ta liste!

L'objet n'est pas trop épais, mais il contient un vibrateur. Ce plug est un de ses favoris. Il a déjà utilisé un modèle similaire sur Lisa lorsqu'elle lui avait fait visité un immeuble. Sa réponse aux vibrations du plug avait été extraordinaire. Bill pense que Summer va bien aimer elle aussi.

Quand le plug est mis en route, Summer laisse échapper un cri de douleur. C'est une bonne chose pour Lee qui caressait sa bite devant le visage de la femme. Il savait qu'il baiserait la belle bouche à un moment ou à un autre. Lee adore les fellations, et se faire sucer la queue par une enseignante lui rappelle ses fantasmes de jeunesse à l'école.

Bill glisse trois doigts dans la chatte de Summer et il commence à faire des va-et-vient. Tout de suite il voit que la femme commence à pousser ses hanches sur ses doigts et il entend de faibles gémissements qui sortent de sa bouche. Tout ça lui confirme la soumission à la stimulation qu'elle reçoit.

Summer bouge de plus en plus vite son cul à mesure que la stimulation des doigts de Bill, les effets de la drogue et les circonstances de sa soumission lui font de l'effet. Bill sait que la boisson qu'il lui a donnée efface toute inhibitions qu'elle pourrait avoir, mais qu'elle amplifie aussi son excitation. Il sait par expérience que tous les hommes dans son magasin vont trouver un trou accueillant dans le corps de la pauvre professeure d'anglais.

Bill sort ses doigts de la chatte de Summer. Et il remarque que celle-ci continue à se balancer d'avant en arrière sans se rendre compte qu'elle n'a plus rie, dans la chatte. Elle agit ainsi sous la stimulation constante du plug anal vibrant. Cela veut dire aussi qu'il est temps qu'elle commence son entraînement à servir plusieurs bites avec sa jolie bouche. Ses instructions pour ses clients sont très claires : Ils ont le droit de lui baiser la bouche et la chatte, mais ils n'ont pas le droit de jouir en elle ou de faire des marques sur son corps. Cette session consiste à entraîner l'enseignante à faire plaisir aux bites chaque fois qu'on lui en offre une. L'idée est de faire dépendre ses orgasmes du fait d'avoir une queue dans l'un des trous de son corps.

Alors que Lee avance, il peut voir que la bouche de Summer est ouverte de désir. Il la regarde bouger d'avant en arrière contre des doigts qui ne sont plus en elle. Comme la bouche est béante, Lee glisse facilement sa bite dressée et bien dure. Summer n'offre aucune résistance et prend volontiers la bite de l'homme. Alors que Lee commence à enfoncer son engin profondément dans la bouche de cette salope, il voit un autre client de Bill se déplacer derrière elle. Le pantalon de l'homme tombe au sol entre les jambes de Summer et une énorme bite jaillit de son caleçon en soie.

L'homme pousse ses hanches en avant. Le niveau de sa queue est parfaitement positionné pour une poussée ascendante dans la chatte de Summer. L'homme est ravi que sa queue glisse sans efforts dans la chatte de la professeure. Il la retire sur quelques centimètres avant de la replonger entièrement dans l'antre humide et affamée. Il est remercié par les hanches de Summer qui viennent à sa rencontre. Il sent ses poils pubiens pressés contre les fesses féminines. Tout en regardant la base du plug anal dépassant du cul de Summer, il commence à la baiser avec plaisir. Il ne faut pas longtemps avant qu'il ait envie de jouir. Conformément aux instructions de Bill, il sort sa bite de la chatte. Et en plusieurs jets ils tapissent de son foutre les fesses et le bas du dos de Summer.

Juste au moment où la bite d'un autre client du sex-shop entre dans la chatte humide exposée, Lee commence à baiser rapidement la bouche de l'enseignante. Il a réussi à mettre toute la longueur jusqu'au fond de la gorge. Alors qu'il est sur le point d'éjaculer, la queue dans la chatte doit avoir trouvé le point G de Summer car subitement elle jouit. Lee a juste le temps de retirer sa bite de la bouche de la salope avant qu'elle ne gémisse longuement. Il gicle une bonne quantité de sperme sur son visage, son front, son nez et le bandeau violet. Le foutre coule sur ses joues jusqu'à son cou.

La bite de Lee est immédiatement remplacée par une autre qui commence aussitôt de baiser la bouche de la pauvre enseignante. Un peu plus tard, Summer a un nouvel orgasme. Les stimulations engendrées par ses liens, le plug anal vibrant, une bite dans sa bouche, une autre dans sa chatte font frémir son corps d'excitation.

Finalement, chacun des clients de Bill peut jouir deux fois, soit sur le visage, soit sur les fesses de Summer. Sa déchéance dans le sex-shop a pris presque deux heures. L'homme chargé d'enregistrer l'action rend l'appareil photo à Bill qui regarde rapidement la série d'images. Il est vraiment satisfait de la qualité des prises de vue et de la façon dont a été capturé la soumission totale de Summer.

Bill pointe de nouveau l'appareil photo vers l'enseignante et prend d'autres photos alors qu'elle est toujours attachée au poteau, les yeux bandés, les mains et les chevilles attachées à la barre d'écartement, du sperme dégoulinant de son corps. Elle a vraiment été couverte de foutre par ses clients. Sa chatte est encore bien ouverte après avoir été baisée par sept bites. Le plug anal vibre toujours dans son cul, gardant Summer dans un état de jouissance constant. C'est maintenant au tour de Bill FRASER de profiter de la belle professeure d'anglais.

Alors qu'il se place derrière elle, il se dit qu'il regrette qu'elle ne soit pas sa possession, mais celle de Todd. Il aurait pu faire de grandes choses avec elle. Toutefois pour le moment il est pressé d'enfouir sa grosse bite dans le cul de Summer. Il retire le plug et remarque que l'entrée est bien ouverte. Pour faciliter la sodomie, Bill fait couler du lubrifiant dans la raie de l'enseignante. Il regarde le liquide se diriger vers l'anus plissé. Puis il place son gland contre le trou, et d'un mouvement rapide, il pousse sa queue complètement à l'intérieur du passage serré de la femme attachée.

Comme par magie, Summer se met rapidement en mouvement et fait correspondre les coups de rein de Bill avec le balancement de ses hanches. En quelques minutes le corps de l'enseignante est terrassé par un autre orgasme alors que l'homme l'encule avec vigueur. Quand elle jouit, son cul commence à serrer la bite de Bill. Ceci, conjugué à l'excitation de la soirée, fait exploser sa queue dans les entrailles de Summer. A ce moment, il ne se soucie pas des instructions de Todd qui disaient que personne ne devait jouir à l'intérieur de sa salope.

Bill reste dans le cul de la femme alors que celle-ci continue de se baiser sur la bite encore dure. Il sent le corps féminin trembler encore et encore sous l'orgasme qu'elle avait tant besoin. Une fois qu'elle s'est calmée, Bill retire sa bite de son cul lentement/ Il remarque la traînée de sperme qui suit son gland. Le viagra est génial, pense-t-il.

Lee et Bill commencent alors à desserrer les liens qui avaient maintenu l'enseignante en place pour sa dégradation et sa soumission aux nombreuses bites. Summer s'effondre au sol lorsque les attaches de ses coudes et la sangle sous son abdomen sont enlevées. Elle n'est pas capable de se redresser physiquement, alors les deux hommes l'aident délicatement à se mettre à genoux. Lee détache les liens retenant les poignets de Summer à la barre d'écartement. Une fois ses mains libérées, la première réaction de l'enseignante est de se débattre sauvagement. Elle essaie de griffer ses bourreaux.

Bill attrape très vite les mains agitées de Summer. Et comme ses chevilles sont toujours attachées à la barre d'écartement, ses ruades la font tomber à plat sur son visage. Ses seins s'écrasent contre le sol couvert de linoléum froid et du sperme de tous les hommes. Elle essaie de relever, mais le foutre la fait glisser et ele retombe dedans. La barre d'écartement l'empêche de se lever et le sperme ne fait que rendre ses efforts inutiles. Bill la regarde en souriant.

Il presse son pied sur le dos de l'enseignante et la tient sur le sol pour ne plus qu'elle bouge. Alors Lee peut commencer à délier les chevilles de la barre d'écartement. Bill lui dit ensuite de mettre cette barre, le bandeau pour les yeux, la raquette en cuir et le plug anal vibrant sur le comptoir du magasin. Puis il demande d'aller chercher sur le mut, le modèle de gode à double tête de quarante centimètres. Ce gode est utilisé pour être introduit à la fois dans le cul et la chatte d'une femme, ou dans deux femmes différentes dos à dos. Bill a déjà utilisé cet objet avec ses soumises. Il imagine que le plan de Todd implique les deux façons.

Bill aide de nouveau Summer à se mettre à genoux. Ses yeux sont encore un peu vitreux, mais ça va mieux. En règle générale la drogue fait effet pendant une heure, mais comme il avait doublé la dose, elle met un peu plus de temps à se dissiper. Il veut que l'enseignante soit en forme avant de rentrer chez elle. Il ne veut pas qu'elle soit arrêtée et accusée d'être sous l'emprise de stupéfiants, ou qu'elle ait un accident, car ce ne serait pas bon pour lui et pour Todd.

Une fois qu'elle est stabilisée, Summer dit :

- S'il vous plaît, laissez-moi partir!

- Attends salope, ta tâche ici n'est pas encore terminée. Répond rapidement Bill.

Il jette la jupe déchirée de Summer sur son visage et il commande :

- Salope, nettoie le sperme sur le sol. Tu ne peux pas laisser mon magasin dans cet état.

Summer hésite ce qui lui vaut une poussée sur son cul par le pied de Bill. Ce n'est plus le moment d'être physiquement cruel envers l'enseignante, mais il faut juste insister fortement pour qu'elle accomplisse cette tâche.

Alors qu'elle tombe en avant, ses mains saisissent le chiffon qui était anciennement sa jupe. Sans rien dire elle commence à essuyer le sperme laissé par ses sept bourreaux. Quand elle a fini, elle lève les yeux et voit Bill devant elle. Sa bite est à moitié dressée et elle est positionnée juste devant sa bouche.

- Salope, il faut encore que tu nettoies ma bite qui sort de ton cul. Je ne peux pas rentrer et retrouver ma femme avec l'odeur du cul d'une salope sur ma queue. Dépêche-toi! Commande l'homme.

Bill place son gland sur les lèvres de Summer qui ne veut pas ouvrir la bouche. Alors l'homme saisit les piercings sur les mamelons et il les tire. L'enseignante hurle de douleur, ce qui lui fait ouvrir la bouche. Bill force alors sa queue sale dedans. Il relâche les tétons, attrape l'arrière de sa tête et commence à pomper sa bite dans et hors de la bouche.

Lee revient avec un gode de 25 centimètres avec une base plate qui peut être utilisé par une femme ou un homme pour s'asseoir dessus et se faire baiser en se balançant d'avant en arrière. Il pose ses mains sur les fesses de Summer pour la soulever légèrement, puis il glisse facilement la tête du gode dans la chatte béante. Avec sa bite profondément enfoncée dans la bouche de l'enseignante, Bill place ses mains sur ses épaules et il la pousse sur le gode qui est le sixième élément de la liste des objets à acheter.

Bien que l'objet ne soit pas enfoncé totalement dans sa chatte, il doit trouver un point sensible, car Summer subit un nouvel orgasme qui fait trembler son corps. Ses mains se posent alors sur la bite sale qu'elle commence à sucer avec sérieux. Bill baise sa bouche sans se soucier de l'étouffer ou non. Il veut que sa deuxième éjaculation tombe dans l'estomac de la femme. Il ne lui faut que quelques secondes avant qu'il éjacule et projette son foutre dans le fond de la gorge de Summer. Au même moment, il pousse sur les épaules de l'enseignante afin qu'elle s'empale encore plus sur le gode. Et bien sûr, elle jouit de nouveau.

C'est alors que Summer s'évanouit. Ses orgasmes, la drogue, la tension physique d'être attachée et les bites qui se sont succédées en elle l'ont complètement épuisée.

Alors qu'elle reste allongée sur le sol, évanouie, la femme de ménage mexicaine de Bill entre dans le magasin par la porte de derrière. Elle traîne Summer jusqu'aux toilettes et elle la nettoie pour enlever le plus de sperme possible. Mais elle ne lave ni ne brosse les cheveux de l'enseignante comme ordonné par Bill. Elle est étonnée aussi par les piercings et la chatte rasée de l'enseignante. Elle sait que cette femme a été utilisée sexuellement par plusieurs hommes comme elle en avait été victime il y a quelques années. Elle est un peu désolée pour la professeure, mais elle sait par expérience que les femmes aiment être humiliées et dégradées

Une fois qu'elle l'a nettoyée, la femme de ménage attrape une robe rouge accrochée derrière la porte. Ce n'est pas facile, mais elle arrive à enfiler le vêtement en le faisant passer par la tête et à tirer ses bras à travers les petites bretelles.

Summer se réveille sur le siège avant de sa voiture à cause de la sonnerie de son téléphone. Stupéfaite, elle regarde autour d'elle pour savoir où elle est. Elle se rend compte qu'elle est dans son auto. Elle voit la led de son téléphone clignoter sur le tableau de bord de sa BMW décapotable. Elle attrape l'appareil et se rend compte que son corps lui fait mal et qu'elle porte une robe moulante.

- Bonjour salope! As-tu apprécié ta soirée!

Ce sont les mots de Maître T. qu'elle entend.

- Oh mon Dieu Todd, qu'est-ce que tu m'as fait? Demande Summer.

- Salope, à qui penses-tu t'adresser?

La voix de Todd gronde à ses oreilles à travers le téléphone.

- Désolé Maître. Mais j'ai tellement honte et je suis en colère de la façon dont j'ai été traitée par votre ami Bill ce soir. Répond-elle.

- Bill m'a dit que tu ne t'étais pas complètement soumise à ses exigences et ses demandes. Il m'a dit qu'il avait dû t'attacher pour t'apprendre la soumission totale aux désirs des hommes.

- Il m'a droguée Maître T. et je ne me rappelle pas tout ce qui s'est passée ce soir.

- Eh bien salope, quand tu rentreras à la maison, tu y trouveras toutes les preuves dont tu a besoin pour retrouver la mémoire.

Enfin Todd dit à Summer qu'elle en a fini pour la soirée et qu'elle est libre de rentrer chez elle en voiture. Il ajoute aussi qu'elle doit appeler le service de remplacement des professeurs pour trouver un remplaçant pour le lendemain. Il lui donne une journée de congé sans qu'il intervienne, mais elle doit bronzer toute cette journée dans sa cour arrière dans son string de bronzage. Elle est dispensée d'insérer le plug anal. Par contre, elle doit porter les escarpins blancs et son collier d'esclave.

Quand elle raccroche, elle lève les yeux et voit Sandy à côté de la voiture. Le toit du cabriolet étant ouvert, Sandy peut parfaitement la voir assise sur le siège conducteur. La robe rouge que porte l'enseignante est troussée à sa taille donc elle peut parfaitement apercevoir le monticule chauve de sa chatte. Sandy tend un sac à Summer en lui disant qu'il contient tous ses effets personnels qu'elle avait laissés dans le salon. Elle lui remet également une enveloppe sur laquelle est écrit le mot « SALOPE ».

Sandy dit aussi à Summer de rentrer directement chez elle, de prendre un long bain chaud et de se coucher. Elle n'est pas autorisée à ouvrir l'enveloppe avant le lendemain matin.

Sur ces mots, Sandy se penche, attrape le menton de Summer pour attirer son visage vers le sien et elle dépose un baiser sans que l'enseignante ne résiste. Pendant qu'elle l'embrasse, Sandy glisse sa main libre entre les jambes de Summer et caresse doucement le clitoris engorgé. Puis elle enfonce un doigt entre les plis des lèvres de la chatte, passe les piercings et l'enfouit profondément à l'intérieur du vagin. Sandy amène Summer au bord de l'orgasme avant d'arrêter subitement. Puis elle s'éloigne alors que la professeure démarre sa voiture.

Alors qu'elle recule pour sortir de la place de parking, des larmes coulent des yeux de Summer pendant qu'elle bouge une main sur sa chatte pour frotter son clitoris douloureux.

A suivre...

lundi 27 septembre 2021

Isabelle Ch. 08

   Texte de Aldo37.

 *****

Obligée de se faire enculer par l'employé du courrier.

7h00.

Marc fît sa toilette, déjeuna, et partit au travail Il était 8 heures. Isabelle savait qu’elle devait se préparer. Se préparer à se donner, à s’offrir aux caprices de son patron. Se donner à Michel, cet homme qui la répugnait.

Elle prit un long bain, qui la relaxa et lui fît oublier un instant le programme de la journée. Puis elle se maquilla, se coiffa, et fît le choix de sa lingerie. Un slip brésilien en dentelle noire, en " V ", qui lui passait entre les fesses, et laissait celles-ci bien visibles, un soutien-gorge balconnets, un porte-jarretelles, et des bas noirs à couture. Elle choisit un t-shirt en velours, très moulant et très échancré, qui ne laissait rien ignorer de la poitrine et du sous-vêtement, puis enfila la mini-jupe en cuir. Elle était tellement courte qu’elle arrivait juste là où les attaches du porte-jarretelles fixaient les bas.

Isabelle réalisa soudain qu’elle ne pouvait passer toute la journée, jusqu’à 15 heures, dans son bureau en cette tenue, et décida d’appeler son directeur pour lui exposer la situation. Serge accéda à sa requête.

— Tu as raison Isabelle. Cela ne ferait pas très sérieux ! Je vais prévenir vos collègues de bureau que vous êtes en rendez-vous extérieur aujourd’hui. Cet après-midi, vous monterez directement dans mon bureau par l’accès parking. Au fait Isabelle, Michel vient juste de m’apporter le courrier. Il ne le sait pas encore, mais je vais lui faire un beau cadeau !!

Serge se mit à rire. Isabelle raccrocha.

La matinée passa très rapidement. Elle ne put rien avaler, et l’heure d’aller au bureau arriva.

14H15.

Isabelle, depuis le parking, monta directement dans le bureau du directeur. La secrétaire ne put s’empêcher de faire une réflexion.

— Eh bien dis donc Isabelle, aujourd’hui, tu es en tenue de combat !! Essaie de ne pas ameuter tout l’étage cette fois !!

Elle se mit à rire tandis qu’Isabelle entrait dans le bureau.

— Waouhhh !!!!! Parfait !!! Vraiment parfait !!! Tu es exactement comme je le voulais, c’est bien ! Je vois que tu es obéissante, cela m’évitera de te punir. Par contre, tout à l’heure, sois bonne au lit ! Ne le déçois pas !! Tu as intérêt à le satisfaire, je te préviens. Et n’oublie pas ce que je t’ai ordonné hier : tu lui fais mettre dans le cul ! Je veux qu’il t’encule ! Tu as bien compris ??

Isabelle hésita un instant et hocha la tête.

— Très bien ! Il est 14H30, il ne va pas tarder.

Isabelle eût le temps de boire un whisky, pour se donner du courage, non sans que Serge n’en profite pour lui peloter les fesses et la poitrine, quand soudain :

— Tiens ! Le voilà ! Je l’entends au service du personnel !

On entendit frapper à la porte.

— Entrez !

Michel pénétra dans le bureau, déposa quelques plis. Il détailla longuement Isabelle, et on put deviner à son regard ce qu’il pensait à ce moment précis.

— Michel, vous partez en courses je pense ?

— Oui, je termine et je vais en ville.

— Bon ! Vous allez emmener Isabelle, elle doit déposer un dossier urgent chez notre conseil !

Michel sourit.

— Ca monsieur, c’est avec grand plaisir que j’emmènerai Isabelle !! Je vais chercher le courrier, et je pars. Qu’elle vienne dans la voiture, je l’attends en bas.

— Très bien, Isabelle arrive, Michel !

Il sortit.

— Tu vois Isabelle, rien que de savoir que tu vas avec lui en ville en cette tenue, je suis sûr qu’il a déjà une belle bosse dans le pantalon !!

— Monsieur.je vous en prie, j’ai envie de rester ici avec vous J’ai envie de faire l’amour.

— Tu as envie de faire l’amour petite Isabelle ?? C’est fantastique ! Tu vas pouvoir t’éclater avec Michel !!!

Isabelle se mit à sangloter.

— Ah non ! Tu ne commences pas à chialer !! Tu ne vas pas nous en faire une cathédrale parce que tu vas prendre un coup de bite dans le cul ! Vas te faire une retouche de maquillage, et descends le rejoindre ! Il t’attend !

Isabelle s’exécuta, se mit un trait de crayon, sortit du cabinet de toilette.

— Tu y vas, tu baises, et tu rentres directement chez toi, tu m’appelles et tu me racontes tout en détails !!! Ne reviens pas ici, parce que je suis certain que je vais te défoncer !! Et avec ce que tu auras déjà pris avec Michel, il vaut mieux te reposer pour être en forme demain !

— Allez, au travail !

Isabelle, la mort dans l’âme, sortit. Arrivée dehors, Michel l’attendait dans la voiture de la société. Elle ouvrit la porte, s’assit à côté de Michel.

— Bonjour Isabelle, on y va !

La voiture démarra. Ils furent bientôt en ville. Michel paraissait très jovial.

— Dites donc, Isabelle, aujourd’hui, vous avez fait fort !! Vous voudriez exciter les hommes que vous ne vous y seriez pas prise autrement. Mini-jupe, t-shirt moulant, collants noirs, hauts talons, vous êtes très féminine, très aguichante.

Michel roulait toujours. Arrêtés à un feu rouge, il plaça soudain sa main sur la cuisse d’Isabelle. Il démarra, garda sa main sur la cuisse. Voyant que la jeune femme ne réagissait pas, il se mit à la caresser doucement.

— Dis donc, tu n’es pas farouche, toi !

Isabelle se rappelait les ordres du directeur. Il fallait concrétiser. Et même si Michel la répugnait, il fallait obéir, et ce le plus vite possible. Plus vite ce serait fait, plus vite ce serait terminé. Michel continuait à caresser sa cuisse. Isabelle, comme dans un rêve, s’entendit murmurer :

— J’ai envie de faire l’amour tout de suite. J’ai envie de faire l’amour avec vous !

Michel fût vraiment très surpris ! Une pareille occasion qui s’offrait à lui ! Si vite, il ne comprenait pas.

— Eh bien dis donc, tu ne perds pas de temps toi au moins ! Tu es directe ! 

Il arrêta la voiture. Tout de suite, il embrassa Isabelle dans le cou, et empoigna ses seins à pleines mains. Il tenta d’embrasser la jeune femme sur la bouche. Elle se déroba.

— Et alors ?? Dis tout de suite que je ne te plais pas ? Tu ne veux pas m’embrasser ??? Tu viens pourtant de dire que tu avais envie de moi. Allez, embrasse-moi ! Ne joue pas la dégoûtée !

Isabelle céda. La langue de Michel s’insinua bientôt dans sa bouche, s’enroula autour de la sienne, tandis que ses mains avides pétrissaient sa poitrine. Bientôt, elles passèrent sous la jupe.

— En plus, tu as mis des bas !! Tu fais réellement tout pour m’exciter, toi !!

Les caresses se faisaient plus précises, sur l’étoffe du slip.

— Non Non. pas ici. pas ici.

— Tu as raison ! On va trouver un lieu plus tranquille !

Michel démarra, ils roulèrent un moment, puis il s’arrêta. Isabelle le vit aller près d’une pharmacie et mettre une pièce dans un distributeur de préservatifs. Elle comprit qu’elle n’échapperait pas à ce qui l’attendait. Il revint, redémarra, puis le véhicule quitta la ville, arriva en banlieue, et ils se garèrent sur le parking d’une chaîne d’hôtels bon marché, à réception automatique.

— Ici, nous serons bien ! Et tu pourras gueuler autant que tu voudras. Dans ce genre d’hôtels, ils sont habitués à ce genre de rendez-vous !

Il paya la chambre, et ils arrivèrent à la 302. Ils entrèrent. Michel, tout de suite, se déshabilla. Une fois qu’il fût nu, Isabelle remarqua qu’il avait un long et gros sexe qui pendait entre ses jambes. Il alla à la salle d’eau prendre une douche et se laver le sexe. Pendant ce temps, machinalement, Isabelle alluma la télévision qui diffusait un feuilleton insipide. Michel réapparût au bout de 10 minutes, propre et sec.

— Eh bien poupée ! Ce n’est plus le moment de regarder la télévision ! Dépêche-toi de te déshabiller !

Isabelle éteignit le récepteur, se leva. Elle commença par enlever le t-shirt, puis la jupe. Elle apparût en sous-vêtements, sous l’œil admiratif de Michel qui émit un sifflement.

— Allez ! Désape-toi ! Vire le soutif et le slip !

Une fois seins et sexe nus, il la contempla.

— Humm dis donc, tu es bien gaulée, toi !!

Après l’avoir contemplée, il ordonna :

— Enlève ton machin, là, et tes bas ! Je veux te baiser complètement à poil !

Isabelle retira le porte-jarretelles, les bas, et les escarpins. Elle était maintenant nue devant lui.

— Super ! Viens t’allonger sur le lit, je vais m’occuper de toi !

Isabelle s’allongea. Michel grimpa sur le lit, l’embrassa longuement sur la bouche, puis l’embrassa dans le cou, descendit, embrassa et se mit à sucer les seins, embrassa le ventre.

— Je vais te bouffer la chatte !! Tu vas voir, je vais te faire monter au plafond !!

Il entreprit un cunnilingus, qui, au bout d’un moment, fit gémir Isabelle.

— OhOH ! .. ahhh. ohhh.. oui.oui.

— Tu vois, tu aimes ça, tu y prends goût Tu mouilles comme une salope. Maintenant, à toi de t’occuper de moi ! Je t’ai assez bouffé la motte, tu vas me sucer la queue !

Il s’allongea et Isabelle dut venir s’occuper de lui. Bientôt, elle lui prodigua une savante fellation.

— OH oui tu es experte toi, tu m’avales la queue ! Continue, lèche bien !

Le sexe était maintenant luisant de salive, il avait doublé de volume, était dressé, et prêt à l’emploi. Michel se leva soudain.

— Ca suffit ! Je vais te prendre !

Il bondit hors du lit, fouilla dans la poche de sa veste, et sortit la boîte de préservatifs.

— Tu vois, j’ai ce qu’il faut !

Il ouvrit un préservatif, l’enfila sur la verge.

— Mets-toi à quatre pattes ! Tends bien ton cul !

Isabelle se mit en position, et le sentit arriver derrière elle. Il la pénétra d’un coup brusque.

— HAN ! Tiens !

— Ah ! aie !

— AH OUI ! elle est bonne ta chatte, elle est trempée, ça glisse bien ! Humm tu sens ma grosse bite ?? tu la sens bien ???

Isabelle gémissait. Elle subissait le pilonnage de l’énorme sexe qui prenait possession de son vagin, qui allait et venait dans son ventre. De temps à autre, l’homme lui donnait de petites claques sur les fesses, et s’enfonçait encore plus loin en elle. Il changea de position, l’allongea, lui leva les jambes sur ses épaules, les rabattit vers elle tout en la prenant.

— Ah salope c’est encore mieux comme ça ! je te la mets encore mieux !

Il la prenait depuis déjà plusieurs minutes, il se retira,

— Allez ! remets toi à quatre pattes !!

Isabelle fût pénétrée rapidement.

— Tu te fais bien secouer, hein salope tu l’aimes ma queue !!

Isabelle se faisait prendre en levrette, elle se rappela de ce que Serge avait ordonné. Elle n’en avait vraiment aucune envie, mais elle s’entendit demander :

— Ahh. Prend moi par derrière, j’ai envie...

— QUOI ? Tu veux que je te la mette DANS LE CUL ???

Il continua à limer.

— Tu es vraiment une petite pute toi !!! Eh bien je vais te la mettre au cul puisque tu insistes !

Il se retira. Isabelle sentit le gros gland se poser sur son anneau.

— Doucement je vous en prie !

— T’inquiète poupée ! On va aller doucement !

Elle sentit la douleur, le gland s’insinuer, et tout à coup, le sexe pénétra en entier. Elle crût perdre connaissance, mais sentit le va-et-vient dans son anus, et la satisfaction de son baiseur.

— Ca y est ! Tu prends tout dans le cul, tu l’as presque à fond !!

Il débitait des obscénités en la possédant, ne s’occupant pas d’elle.

— Ah salope ! Si je m’étais douté voici quelques jours que je baiserais une nana pareille, la nana du patron en plus  ! Et si je m’étais douté que je lui casserais le cul ! TIENS ! Mais prends ça salope ! prends ma grosse bite !

Il s’agita plus rapidement, et Isabelle sentit qu’il jouissait. Il éjaculait dans le préservatif. Il se retira d’un coup, ce qui arracha un cri à Isabelle, qui s’affala à plat ventre sur le lit. Elle sentit un liquide chaud couler sur ses fesses et s’insinuer entre elles. Elle tourna la tête pour voir Michel vider le contenu du préservatif sur elle. Epuisée, elle ne pût réagir, et il le vida entièrement sur elle. Le sperme s’insinua entre ses fesses, coulant sur l’anus et les lèvres du sexe.

— Voilà ma puce ! Tu as pris tout mon foutre.

Il alla prendre une douche pendant que Isabelle était étendue, enspermée et épuisée sur le lit. Quand il revînt, il lui dit :

— Allez, debout ! Dépêche-toi, nous sommes en retard, et il faut encore passer chez l’avocat !

Isabelle passa sous la douche, et constata que Michel était là, ne perdant pas une miette de sa toilette intime. En sortant, il la coinça contre le mur, l’embrassa longuement, la pelotant partout, passant sa main sur la toison.

— Toi, tu as de la chance qu’on soit en retard, parce que je t’en remettrais bien un coup ! Mais ce n’est que partie remise, rassure toi !

Ils sortirent de la chambre, firent les courses, et Isabelle prit directement sa voiture sur le parking et rentra chez elle. Elle appela tout de suite son directeur.

— Oui, je sais ! Il vient de m’apporter du courrier, il m’a raconté votre escapade ! Il m’a dit que tu étais une sacrée salope, mais il ne m’a pas donné les détails. Je t’écoute ? Il a une grosse bite, au moins ?

— Oui oui son sexe est long et épais il est dur !

— Tu l’as bien sucé ?

— Oui, et il a apprécié.

— Il t’a prise en quelles positions ?

— Euh, allongée les jambes levées et deux fois en levrette je crois.

— Et pour la punition que je t’ai ordonnée ?

— C’est fait. Il me l’a fait.

— Il t’a fait quoi ??

—  la sodomie.

— Je veux t’entendre dire le mot, salope ! Dis-le !

— Il m’a enculée.

— BIEN ! Il te l’a mise où ?

— Il me l’a mise dans le CUL !

— Très bien !

— Il a éjaculé dans ta bouche ?

— Non, il a joui en moi, dans mon anus.

— Super ! Il a joui dans ton cul ?

— Oui dans le préservatif, et il l’a vidé ensuite sur mes fesses.

— Très bien ! Tu étais pleine de foutre alors ?

— Oui, j’avais son sperme qui coulait entre mes fesses.

— Humm...

— Ensuite, il m’a regardée faire toute ma toilette.

— Le salaud ! J’étais sûr qu’il était vicieux !! Bon, tu m’en as assez raconté, sois très sexy demain. Je vais m’occuper de toi.

Isabelle raccrocha. Elle eût juste le temps de se changer, et Marc rentra du travail.

A suivre...

samedi 25 septembre 2021

Le Pasteur se fait maquereau - 1ère partie

 Texte de Black Demon (Pastor's a Pimp) traduit par Coulybaca.

Cette histoire se suffit en elle-même, cependant elle est aussi la suite logique de "Violée et subjuguée en vacances" (Victim's Violated Vacation).

Le pasteur profite de la soumission de sa femme.

Alors que Le Pasteur Richard Knowlton assis dans son bureau préparait son sermon pour le dimanche à venir, il jeta un œil au travers du chemin dans la cuisine où sa ravissante femme, Nell préparait le repas.

Elle paraissait si belle, si naïve, si pure, si innocente. A sa vue Rich (comme il aimait qu'on l'appelle) se reporta quelques semaines plus tôt alors que Nell et son fils embarquaient avec ses parents sur le petit yacht. Il était prévu que Richard prenne l'avion pour les rejoindre sur l'une de leurs escales dans les îles. Leur faisant de grands signes il avait pris des photos de leur départ. Le soir même assis devant son ordinateur Rich avait transféré les photos et les avaient imprimées.

Puis il regarda mieux les clichés. Sur le dernier cliché, au premier plan sa femme et son fils lui faisaient leurs adieux, mais, dans l'arrière plan, on voyait le matelot bite en main, révélant clairement ses intentions.

Dès qu'il les eut rejoint, Rich apprit que ses rêves les plus salaces et ses fantasmes les plus lubriques concernant sa ravissante femme s'étaient réalisés. Alors que femme et enfant nageaient à proximité, ses parents faisant la sieste sur le pont supérieur, Rich avait fouillé le sac à main de Nell à la recherche de son journal intime, et y avait trouvé la terrifiante relation de l'asservissement auquel elle avait du se plier jour après jour.

Nell y avait consigné les moindres détails de son viol sur le pont supérieur dans l'obscurité de la nuit, puis les progrès de sa soumission aux désirs du pervers matelot. La bite palpitant dans son short, Rich lut cette dégradante relation de l'épreuve subie par sa femme.

"C'est ABOMINABLE : Il a fait ce qu'il voulait de mon corps. Il a juté dans mon ventre. Que vais-je faire ? Je ne peux pas prendre une douche vaginale. Je ne dispose d'aucune poire." écrivait-elle relatant les détails de ce qu'elle avait subi. Et plus loin :

"Il me fit agenouiller entre ses cuisses, pressant son gland contre mes lèvres, me maintenant la tête en place, doigts rivés dans ma chevelure.. Comme c'était humiliant. Il me baisait en bouche. Mon Dieu c'était horrible. Comment des hommes peuvent-ils dégrader des femmes au point de leur imposer ces caresses lubriques ?"

Et cela reprenait de plus belle :

"Et vers la fin, il me tira la tête en arrière. Et commença à retirer sa bite de ma bouche ! Je pensais qu'il allait se retirer entièrement de ma bouche. Mais il arrêta laissant le gland entre mes lèvres. Puis il gicla à gros bouillon dans ma bouche. Sa semence était si grasse qu'elle ne pouvait suinter de ma bouche. Il n'y avait aucune voie de sortie. J'étouffais, je devais soit avaler le torrent poisseux, soit m'asphyxier. Son éjaculation était si forte. Si copieuse. Si ignoble. C'était à la fois ignoble et méprisable."

Ils avaient abordé pour visiter l'île, se promenant main dans la main. Ils s'étaient séparés, Nell se dirigeant vers le bazar local tandis qu'il visitait le vieux monastère. Puis Richard rejoignit sa femme au bazar où elle faisait ses courses, la cherchant dans les diverses échoppes. Il la retrouva vite, les chevelures blondes n'étaient pas si courantes dans cette contrée, d'autant plus qu'à part quelques individus de type caucasien, tous les autres avaient des cheveux noirs d'ébène. Une tête blonde à quelques pas retint son attention, Richard s'approcha d'elle silencieusement, jetant un œil sur sa légère tenue estivale, qui la mettait pleinement en valeur.

Il remarqua alors qu'elle discutait avec quelqu'un au fond de la salle, mais sa vue était gênée par les clients qui allaient et venaient. Puis le noir pointa son doigt sur des garages, et Richard vit sa femme le suivre docilement le colosse noir qui ouvrait le chemin. Ils disparurent tous deux derrière les garages.

Contournant discrètement le coin des bâtiments, il vit sa femme et le noir disparaître dans les fourrés, il se rua alors sur leurs pas pour ne pas la perdre de vue. Il jetait des coups d'œil frénétiques, ayant perdu de vue sa femme et le noir, il progressait rapidement dans l'étroite allée taillée dans les broussailles. Enfin il parvint à les rejoindre, elle était allongée sur le dos, cuisses grandes écartées, un musculeux noir avait enfoui son visage entre les cuisses frémissantes de Nell, introduisant tout de go la pointe de sa langue entre ses babines juteuses.

Elle plongea ses doigts dans sa chevelure crépue, il lui semblait qu'elle s'arquait sur les talons pour amplifier le contact de sa foufoune avec la langue de son amant.

-"Ouiiiii... Oh ouiiiiiii... Bouffe moi la chatte Badai... Bouffe... moiiiiiiii... Je t'en priiiieeeeeee..." gémissait-elle sourdement.

Et tout en se tortillant convulsivement sur le sol, elle reprit :

-"Oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! Ouiiiiiiii..."

Richard vit soudain son corps s'amollir alors qu'un orgasme d'une extrême intensité lui fracassait l'esprit. Badai lui releva alors les jambes les plaçant sur ses épaules, puis il s'enfonça lentement dans sa fente détrempée. Richard vit avec surprise le corps de sa femme réagir immédiatement alors que Badai s'enfouissait profondément dans sa cramouille, elle agrippa son torse des mains et des chevilles. Richard entendait le joyeux luron haleter tandis qu'il allait et venait dans le sexe marécageux de sa femme.

Oshlurk... shlurk... shlurk.. shlurk !

Ces sons émanaient de leur étroite union. Ils baisaient comme des bêtes en rut. Avec une énorme stupéfaction il entendit son innocente femme réclamer :

-"Baise moi ! Fourre moi ta grosse bite dans la chatte ! T'es un vrai mulet noir. Bordel baise moi plus fort !"

Il la baisa encore pendant vingt bonnes minutes, ils jouirent tous deux simultanément s'étreignant passionnément. Puis le corps de sa femme s'amollit à nouveau. Richard regarda fixement la gosse bite que Badai extirpait lentement de sa cramouille marécageuse.

Badai fouilla alors dans sa poche, et en sortit un sifflet et souffla dedans à plusieurs reprises pour fêter son triomphe. Des indigènes surgirent alors des fourrés, venant de toutes les directions, ils entourèrent Badai et sa conquête. Mentalement Richard compta les indigènes qui avaient répondu à cet appel, ils étaient quatorze, ils se déshabillèrent tous prestement. Il n'entendit qu'un cri de douleur lorsqu'elle subit sa première sodomie.

-"Aieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee !"

Il fut évident pour Richard que Nell se réjouissait d'être devenue une Pouffe Pour Bites Noires, lorsqu'il la vit satisfaire cinq hommes en même temps. Elle s'était accroupie sur un homme qui la baisait en chatte, un second s'était glissé dans son cul, un troisième dans sa bouche et elle branlait allégrement les deux derniers.

Dix minutes plus tard, elle était rhabillée et elle repartait. Richard décida de regagner le grand bazar. La voyant fraîche et pimpante, il la héla agitant la main. S'en approchant Richard remarqua :

-"J'ai fait une longue visite au pasteur de cette paroisse, chérie. On a longtemps discuté, échangeant nos impressions sur nos différentes communautés.  Et toi qu'as tu fait ?"

S'exprimant calmement, posément, elle lui expliqua qu'elle s'était reposée, flânant au gré de sa rêverie. Il se demandait comment sa jeune femme si innocente, si naïve pouvait agir si normalement après ce qu'il avait vu.

Deux semaines plus tard, ils avaient regagné leurs pénates depuis quelques jours lorsque le téléphone sonna chez les Knolton. La coïncidence voulut que Richard se saisisse du combiné dans son bureau alors que Nell décrochait dans la cuisine. Il entendit sa femme dire :

-"Bonjour..."

Richard allait reposer le combiné lorsqu'il entendit une voix male inconnue, qui l'intrigua.

-"Madame Knolton ? "

-"Oui... Je..."

-"Mama Wanda m'a donné votre nom et votre numéro de téléphone. Si j'ai bien compris t'es une PPBN, une Pouffe Pour Bites Noires. Est ce bien vrai ? "

-"Oui je..."

-"Alors ma chérie quand et où veux tu te faire sauter ?"

- "Samedi soir... Chez moi... Mon mari assiste à une rencontre de bowling avec l'équipe de la paroisse et mon fils dort chez des amis."

Richard comprit qu'il devait trouver un remplaçant pour vendredi soir, puis il se prépara une cache d'où il pourrait assister aux exploits luxurieux de sa femme.

Depuis qu'elle avait reçu cet appel téléphonique, le cœur de Nell battait la chamade alors qu'elle se demandait ce qui l'avait poussée à répondre oui aux questions de cet homme, invitant pratiquement ce noir à venir la rejoindre chez elle alors que Richard et son fils seraient absents. Serrant les babines de sa fentine et ses cuisses, elle sentit sa bouche s'assécher alors qu'elle tremblait nerveusement.

-"Mon Dieu qu'ai je fait ? Un noir ? Un parfait étranger ? Il va venir vendredi soir. Pour me faire l'amour. Ou plutôt pour me baiser avec sa grosse bite noire." frissonnait-elle éperdue.

Se mordant les lèvres au sang, elle cligna des yeux à la vue du grand lit conjugal recouvert d'un jeté de lit ivoire. Elle avala sa salive en se représentant allongée sur le lit, nue, un musculeux noir dans la même tenue étendu sur elle l'embrochant de sa grosse mentule frémissante. A cette évocation, elle serra encore plus ses cuisses l'une contre l'autre, un flot de cyprine inondant sa foufoune et venant poisser le fond de sa petite culotte. Elle frémit en s'imaginant le grand noir baraqué se penchant sur elle pour l'embrocher la martelant de puissants coups de boutoirs. Le fond de sa petite culotte fut soudain trempé.

Rich sourit en la voyant préparer une jolie robe rose qu'elle voulait porter ce soir sur une paire de collants blancs et des hauts talons.

-"C'est ce soir que tu as réunion avec la bande d'auxiliaires féminines ? Est-ce votre réunion habituelle ou une session extraordinaire ce soir pour dire du mal de vos voisines ?" la taquina-t-il sachant très bien que cette réunion de travail était programmée de longue date sur l'agenda de sa femme.

-"Oh Rich... Tu sais très bien qu'il s'agit juste d'une réunion de travail et que pas une des participantes ne se permettrait de commérer sur ses voisines !"

Il éclata de rire en entendant sa réponse indignée. Sur ces mots elle se dirigea vers la commode où elle rangeait ses sous-vêtements, les sortant avant de prendre sa douche. Rich lui donna un gentil bisou d'adieu et l'avertit :

-"Je rentrerai très tard ce soir. Ne m'attends pas pour te coucher ! On doit boire une paire de bière à l'issue de notre réunion pour discuter entre hommes. Il faut que je participe de temps à autre aux libations de mes ouailles pour ne pas les vexer !"

Il lui signifiait ainsi discrètement qu'elle avait tout son temps pour se consacrer à son invité de ce soir. Alors qu'elle entrait sous sa douche, Rich se ruait dans son garage pour sortir en trombe et garer sa voiture quelques blocs plus loin, enfilant une chemise moins voyante en sortant de son véhicule.

Quelques minutes plus tard, ayant garé sa voiture à quelques blocs de sa maison, Rich se trouvait dans son jardin vérifiant que sa femme se trouvait toujours sous la douche. Entendant l'eau couler, il put pénétrer discrètement chez lui et se glisser à son insu dans les toilettes de la chambre conjugale. Une fois confortablement installé dans ce petit espace qu'il s'était préparé pour son usage personnel, il jeta un œil par les fentes de la porte et sourit largement en voyant qu'il avait une très bonne vue sur leur lit.

Lorsque Nell apparut dans la chambre et s'assit sur le lit, Rich l'observa attentivement tandis qu'elle enfilait précautionneusement ses collants.

-"Non chérie ne mets pas de collants ! Ton invité sera bien plus captivé par la vue de tes longues jambes nues !" aurait-il aimé crier à sa femme.

On aurait dit qu'elle venait de lire ses pensées, elle retira le sous-vêtement disgracieux et le jeta sur le lit. Uniquement vêtue d'une croquignolette petite culotte et d'un soutien-gorge en dentelle, elle enfila sa robe rose et les hauts talons qu'elle avait préparé avant le départ de Rich.

A 19 heures pétantes la sonnette tinta et Rich vit sa femme énervée, anxieuse, se ruer hors de la chambre. En peine confusion, il attendait de voir qui venait d'arriver, désolé de ne pas assister à ce qui se passait dans le salon. Puis il entendit des bribes de conversation entre sa femme et son client, il s'agissait d'un visiteur du genre masculin à ouïr sa profonde voix virile.

Il se refusait à quitter son abri de peur d'être découvert ce qui mettrait fin aux louches activités de sa femme, et plus spécialement aux ébats auxquels il se réjouissait déjà d'assister dans leur lit conjugal.

Un long quart d'heure plus tard, il entendit des bruits de pas résonner dans le vestibule, le couple se dirigeait vers la chambre, Rich sentit sa bite se mettre au garde à vous dans son caleçon. Puis Nell apparut un verre de son vin favori dans une main alors qu'elle guidait son invité de l'autre.

"Bordel, même avec les scènes auxquelles j'ai déjà assisté pendant les vacances, je n'aurai jamais pensé qu'elle puisse trahir ses vœux conjugaux dans notre lit !" pensait-il regardant avidement ce qui se passait.

C'est alors que Nell posa son verre sur la table de nuit et prit celui de son invité pour faire de même, il la vit alors rouler un patin passionné à son client.

-"Par l'enfer madame Knolton, t'es drôlement chaude pour une femme de pasteur ! Une sainte pute ! Par Jésus Christ t'es une vraie salope !" s'exclamait le grand noir que Nell avait introduit dans leur chambre conjugale.

Rich avala sa salive, incapable de contrôler sa respiration alors qu'il épiait ce qui se passait dans la chambre par les fentes de la porte des toilettes, son excitation monta encore en l'entendant rugir :

-"Bordel ma chérie... C'est bien la première fois qu'une femme de pasteur me roule un patin !"

Puis il vit le musculeux noir la pousser à s'agenouiller sur la moquette alors qu'il prenait place sur le sofa ôtant sa chemise, ils étaient à deux mètres de la porte des toilettes. Rich se pencha en avant pour mieux voir ce qui se tramait sous ses yeux, sa ravissante femme tendait les mains vers la braguette de son invité. Les yeux écarquillés comme des soucoupes, incapable de contrôler son souffle, il voyait sa ravissante femme branler son invité de ses doigts finement manucurés. Quelle contraste entre son apparente innocence et ses actes, elle le branlait maintenant vigoureusement à quelques centimètres de son visage. Lorsqu'elle pointa sa langue, titillant avidement son méat, le musculeux noir grogna de plaisir et la félicita :

-"Je n'aurais cru que ça puisse exister. Une ravissante femme de pasteur qui branle un homme comme une vraie pro !"

Rich serra les mâchoires en voyant sa somptueuse femme se pencher sur le bas-ventre de son client pour emboucher le plus profondément possible sa bite démesurée. Le noir lui saisit la nuque tout en mugissant :

-"Oh ouiiiiiiiiiiiiiii... Comme ça ma petite chérie... Suce moi bien... Prends là en entier dans ta bouche... Billy Ray va bientôt te donner une communion bien spéciale... Une dont tu n'as jamais profité à l'église..."

Il vit alors Nell déplacer sa main de la taille de son amant vers les centre de son entrecuisse. Il redoublait de grognements de plaisir commentant :

-"C'est ça ma chérie. Continue comme ça. Tes mains sont si douces ! Bordel triture mes couilles !  J'adore ça !"

Relevant et baissant la tête sur un rythme soutenu, la ravissante madame Nell Knolton lui taillait une pipe de toute première qualité. Son amant qu'elle venait de rencontrer quelques 20 minutes plus tôt, pourrait en attester, il agrippait sa longue chevelure blonde pour profiter à son aise des caresses de sa bouche. Son mari était fortement impressionné à la vue de l'enthousiasme qu'elle déployait pour satisfaire les appétits lubriques de son client, d'autant plus qu'elle n'avait jamais déployé de tels talents avec lui.

Billy Ray posa ses lunettes sur la table de chevet avant de se pencher sur elle, il tendit son ventre enfouissant la totalité de sa bite dans la gorge de Nell. Rich était sur le point d'exploser comme cet homme que suçait si avidement sa femme.

-"Ohhhhhhh... Ohhhhhhhhhhh... C'est le moment de communier madame Knolton. Oh ma chérie ! Bouffe mon foutre... Avale tout ! Oh Doux Jésus, t'es vraiment la reine des suceuses ma chérie ! Oh oui... Jamais tu ne communieras aussi bien avec du vin qu'avec le foutre de Billy Ray, aucune chance !"

Effaré, Rich vit sa ravissante femme continuer à sucer la bite de Billy Ray lui extirpant sa semence jusqu'à la moindre goutte. Il finit par la tirer en arrière extirpant sa bite mollissante de ses lèvres gonflées. Elle le regardait dans les yeux lorsqu'il se pencha sur elle lui roulant une pelle enfiévrée.

-"Hummmm... j'ai toujours désiré embrasser une femme de pasteur. Et si possible une ravissante femme de pasteur les lèvres engluées de mon foutre !" tonna-t-il ravi.

A son grand désarroi il entendit alors son innocente femme répliquer :

-"Eh maintenant que ton souhait d'embrasser une femme de pasteur les lèvres enrobées de ton épaisse crème est exaucé, as tu envie de déshabiller une femme de pasteur ? de foutre à poil une femme de pasteur ? De la dénuder pour la posséder dans son lit ? De la baiser à couilles rabattues ?"

Nell se retourna alors lui tournant le dos. Il tendit la main pour saisir le curseur de la fermeture éclair de sa robe. Zipppppppppppppppppppppp ! De tout évidence il venait de descendre la fermeture éclair. Il dégagea ses épaules et laissa choir la robe au sol, sa poitrine ferme fut bientôt dénudée, son soutien-gorge rejoignant sa robe au sol. Il malaxait maintenant ses nichons d'une main impatiente, titillant du pouce et de l'index ses mamelons raidis. Il lui embrassait le lobe de l'oreille tout en pétrissant ses nibards, il lui demanda :

-"Que doit faire Billy Ray pour donner du plaisir à la femme du pasteur ?"

Et tremblante elle répliqua d'une voix sourde :

-"Il faudrait lui bouffer le gazon Billy Ray. Elle adore se faire brouter le minou par un habile lécheur !"

Une fois la femme transportée sur le lit, assise sur le rebord du lit, jambes pendantes, l'homme lui enleva sa petite culotte la faisant rouler le long de ses cuisses, de ses mollets, avant de lui faire franchir la barrière de ses chevilles. Puis le géant noir s'agenouilla sur la carpette se retrouvant juste à bonne hauteur, le nez enfoui dans sa toison dorée.

Nell agrippait de ses petites mains manucurées les épaules de son amant. Rich la voyait s'arquer sur les talons pour mieux offrir sa féminité à la langue gourmande de son invité alors qu'elle crispait les doigts dans sa chevelure crépue.

-"Oh oui. Ouiiiiiiiiiiii... Bouffe moi le gazon Billy Ray. Encore.... Oh ouuiiiiiiiiiiii...  Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh."

Elle se mit à elle à hurler éperdue de bonheur, alors qu'on entendait les clapotis de l'habile langue visitant sa foufoune détrempée. Il était évident que Billy Ray prenait grand plaisir à brouter le gazon d'une ravissante femme de pasteur.

Une fois qu'elle eut joui sous ses caresses labiales, Nell resta mollement étendue sur le dos, jambes toujours pendantes alors que son invité se débarrassait de ses vêtements. Tout en se branlant, il disposait Nell à sa convenance, sur le dos, cuisses grandes ouvertes, offrant largement ses appâts, prête à subir ses assauts lubriques. Puis il la rejoignit sur le lit conjugal. 

Nell attrapa sa virilité entre ses petites mains la guidant à l'orée de sa féminité béante. Elle frotta le gland turgescent de bas en haut dans sa fentine exacerbée, apparemment elle voulait stimuler ses appétits tout autant que lubrifier sa grosse pine.

-"Ohhhhhh. Ta bite est si épaisse, si longue ! Ohhhhh oui, vas-y. Plongez ta grosse bite dans ma chatte ! Oh oui... Embroche moi ! Ouiiiiiiiiiiiii... Baise moi... Jute dans ma moule... Vide moi tes grosses couilles dans la foufoune !"

Rich passa une nuit de vendredi fort divertissante dissimulé dans son cabinet de toilette. Il put ainsi assister au final, alors que Nell à quatre pattes subissait un maître enculage de la part de Billy Ray qui lui labourait l'anus de coups de boutoirs d'une rare puissance, jamais Nell n'avait joui ainsi sous ses assauts.

Vers 22 heures, alors que Nell avait reconduit son invité à la porte, Rich saisit l'instant où elle reprenait une douche pour quitter discrètement le cabinet de toilette et partir sans avoir été repéré par sa femme. Dehors, sur le chemin menant à sa voiture, Rich se demandait quand elle recevrait un nouveau coup de téléphone de Billy Ray ou d'un autre noir voulant jouir des appâts de sa ravissante femme.

-"Bordel cela s'avérait si excitant ! Comment pourrai-je obtenir que Nell s'agenouille entre mes cuisses pour me sucer comme elle a sucé Billy Ray ?" s'interrogeait-il anxieusement.

Enfermé dans son bureau le lendemain, Rich avait bien du mal à se concentrer sur la rédaction de son prêche du dimanche, sans cesse des images de sa femme se faisant baiser par ce puissant noir défilaient sous ses paupières. C'était vraiment un coup de pot qu'il ait pris le téléphone lors de l'appel de Billy Ray.

Il cherchait un moyen d'espionner Nell, d'enregistrer les coups de fil pour en connaître le contenu et savoir quand il pourrait profiter à nouveau de la vue de sa femme faisant l'amour avec un noir, se faisant baiser par une grosse bite noire serait d'ailleurs un vocable plus approprié.

Il se souvint alors d'avoir regardé une émission télé montrant comment les détectives privés espionnaient leurs proies. Il avait alors appris que l'on pouvait acheter des micros à glisser dans les combinés téléphoniques permettant d'enregistrer toutes les communications.

Quelques semaines plus tard, dans son bureau, il écoutait, avec pessimisme les bandes enregistrées dans la journée, et comme chaque jour il fut déçu du résultat. A chaque coup de téléphone, Nell toute excitée se ruait sur le téléphone espérant visiblement que Billy Ray, ou tout autre noir lui ressemblant prenne rendez-vous pour la sauter.

"Bordel, elle doit en mourir d'envie après deux semaines de frustration !" pensait Rich se rappelant cette nuit où il n'avait pu se retenir, éjaculant une bonne douzaine de jets crémeux à peine quelques secondes après l'avoir pénétrée.

Ayant reçu un appel pressant d'un de ses paroissiens, Rich se rendit chez lui pour l'apaiser et le conseiller au mieux. Devant traverser la banlieue la plus misérable de la ville, Rich observa attentivement les putes qui arpentaient le trottoir cherchant à racoler des clients. De nombreux hôtels de passe bordaient la rue, certains portaient même des noms évocateurs comme : "l'hôtel sans nom". Chacun affichait le nombre de chambres disponibles et l'avis affirmant que les draps étaient changés après chaque location.

Sur le chemin du retour il passait devant un magasin appelé "Le monde de l'espionnage". Rich s'arrêta pour voir les produits en vente : minuscules caméras, micros dissimulés, GPS... Et bien d'autres gadgets destinées à enthousiasmer un espion amateur. Rich se demandait s'il existait d'autres articles autre que le magnétophone qu'il avait installé chez lui, d'autres produits qui lui permettraient de mieux espionner encore les agissements de sa petite femme chérie. S'emparant du catalogue il rechercha les articles qu'il pourrait tester.

Une fois les tests terminés, il appela son propre numéro à l'église, il trouva que le synthétiseur de voix fonctionnait bien déformant totalement la voix de la personne qui s'en servait.

Il revint sur ses pas pour observer le minable hôtel qu'il avait remarqué, il visita les chambres et comprit que le "l'hôtel sans nom" correspondait exactement à ce qu'il recherchait pour mettre à exécution le plan qu'il avait en tête. Se rendant à une cabine téléphonique proche, il utilisa le synthétiseur vocal pour appeler son numéro. Il savait pertinemment que sa femme disposait de toute sa journée avant que son fils ne rentre de l'école en fin d'après midi.

Comme le numéro de son portable était identifiable, il devait nécessairement passer son appel d'une cabine. Lorsque Nell répondit, Rich se servit du synthétiseur pour déguiser sa voix l'avisant d'entrée :

-"Mama Wanda m'a donné ton numéro de téléphone et ton nom... Si j'ai bien compris t'es une PPBN, une "Pouffe Pour Bites Noires". N'est ce pas ?"

-"Euh oui... Oui... C'est bien moi !" balbutia sa femme en guise de réponse, la référence semblait avoir allumé quelque choses dans son cerveau.

-"Voulez-vous me rejoindre immédiatement chambre 7 à l"hôtel sans nom" rue de Bourgogne... Je vous regarderai des toilettes... Je veux que vous fassiez le trottoir et que vous racoliez des clients ! Des noirs prêts à payer pour user de vos appâts... Dans un lit... "

Il précisa ensuite à se femme, qui réagissait comme si elle se trouvait sous sujétion, comment se vêtir et de quoi se nettoyer entre chaque client. 

Elle portait un ravissant petit tailleur jaune qu'elle avait acheté à Pâques lorsqu'elle se rangea avec nervosité dans le parking de "l'hôtel sans nom". Le temps de descendre de voiture et de verrouiller sa porte elle se trouva déjà en but aux avances d'un vieux noir qui lui demandait :

-"T'es ici parce que ton mari ne te donne pas assez de plaisir ma chérie ?. Allez chérie je suis sûr que Nate pourra satisfaire tes appétits ! Combien tu prends chérie ?"

Réalisant ce qui se passait sur le parking de l'hôtel, Rich se rendit dans les toilettes laissant la porte de la chambre entrouverte pour le couple qui arrivait. De sa cachette Rich vit sa femme réclamer 100 $ au vieillard, et les ranger dans son sac, se jetant immédiatement à ses genoux pour dégrafer sa braguette.

"Bordel on dirait une vraie pro !" réalisait Rich alors que la tête blonde de Nell bougeait de bas en haut entre les grosses cuisses noires.

Tout comme il l'avait fait avec Billy Ray, Rich observa sa ravissante femme priant ce type de lui brouter le gazon. Après une bonne baise, la chatte pleine du jus de Nate alors que sa femme regardait la porte se refermer, dans le cabinet de toilettes Rich éjaculait à grands jets sur la porte.

Son premier client parti , Nell prit une douche pour se nettoyer, puis elle se rhabilla sortit et revint un quart d'heure plus tard avec un autre client. Celui ci se fit d'abord faire une pipe, puis il la fit mettre toute habillée à quatre pattes sur le plancher. Une fois qu'il eut descendu sa petite culotte au bas de ses chevilles, le noir bâtard se mit à couiner en forçant son petit œillet si étroit. 

Puis elle termina comme il lui avait été ordonné en faisant monter un vieux salaud immonde qu'elle suça pour un malheureux billet de 10 $. Lorsque le vieillard lubrique atteignit le point de non retour, Nell précisa ce qu'elle voulait lui indiquant :

-"Jouis sur mon visage... Eclabousse moi le visage !"

Et comme il obtempérait, elle lui lécha la hampe de bas en haut. Elle frissonna alors que son estomac se révoltait à l'odeur mais elle devait complaire à l'homme enfermé dans le cabinet de toilette.

Le visage souillé, le devant de son tailleur vicié, son dernier client partit après lui avoir donné les 10 $ convenus. Nell fit alors le décompte de ses gains et rangea les billets dans le tiroir de la table de nuit. Le regard rivé à la porte du cabinet de toilette elle se demandait qui pouvait bien se cacher derrière, prenant plaisir à la voir se prostituer.

Elle hésita un instant à la porte de la salle de bain, elle voulait prendre une douche, puis se rappelant les consignes de son vil interlocuteur téléphonique elle se rappela qu'elle devait partir le visage couvert de foutre et ne pas se nettoyer tant qu'elle ne serait pas arrivée chez elle. 

Une vingtaine de minutes plus tard, une fois rentrée chez elle, le sortilège envolé, Nell avala sa salive avec horreur en reprenant pied dans la réalité en se regardant dans le miroir de la salle de bain. Son visage était couvert de taches de sperme séché, elle en avait jusque dans la chevelure, et son élégante veste de tailleur n'était plus aussi élégante. Et cette odeur répugnante qui lui soulevait le cœur, une odeur qui lui avait littéralement imprégné le visage lorsque le vieillard lubrique avait juté tout son foutre sur son visage avant de frotter son ignoble mentule sur ses joues.

Prenant 50 % des gains de Nell, il laissa le reste comme pourboire au gérant de l'hôtel, se ménageant ainsi sa complicité active à l'avenir, Il compta alors qu'il lui restait 120 $. Il se sentait un peu coupable d'avoir tiré profit de la prostitution de son adorable femme. Il aurait été normal qu'elle bénéficie de la totalité de ses gains, mais Rich se demandait déjà comment lui faire don de gains de la même valeur. Il pensa alors à un asile de vieillards proche qu'il avait visité et un brillante idée lui vint.

Il utiliserait le synthétiseur vocal pour convoquer à nouveau Nell à "l'Hôtel sans nom". Elle viendrait en aide à ses pauvres hères en les cajolant à concurrence de 120 $ l'après-midi. A 10 dollars le client, elle devrait cajoler une douzaine de ces immondes épaves pour réunir ses 120 $. Il la laisserait bénéficier de la totalité de ses gains cette fois. C'était là toute la ruse.

Rich sourit à pleines dents à l'idée de la mater, suçant et se faisant baiser par ces vieux bâtards noirs, l'un après l'autre, ce qui allait faire son régal. Ensuite il lui resterait à offrir son corps au gérant pour le remercier de sa complicité.

Et encore n'était ce là qu'un début, il comptait bien encore profiter de ses charmes longtemps, son train de vie pourrait vite en être amélioré alors qu'il satisferait pleinement ses instincts de voyeur. Il pourrait la faire baiser par deux, trois, cinq hommes qui la partouzeraient simultanément. Et pourquoi pas, il pourrait même organiser des gangs-bangs, ce n'est pas les clients qui manqueraient pour goûter aux appâts de sa charmante épouse, qu'elle soit ensorcelée ou pas.

A suivre...