Traduction par Coulybaca du texte Victim's Violated Vacation de Black Demon.
Une femme de pasteur subit un viol, puis un sortilège vaudou.
Une femme de pasteur subit un viol, puis un sortilège vaudou.
De retour dans la maison vide, Richard Knolton s'assit avec un pincement au cœur, il regrettait de ne pouvoir prendre plus de temps libre, son travail et ses responsabilités de pasteur lui prenaient trop de temps.
Richard regrettait de ne pas avoir pu accompagner sa femme Nell, Tom son fils de dix ans et sa belle famille parti pour une croisière à Antigue, mais dans dix jours il prendrait un vol et les rejoindrait le temps d'un week-end, d'ici là il devrait vaquer tout seul à ses occupations qu'elles soient laïques ou religieuses.
Son beau-père, ayant récemment pris sa retraite, avait emprunté le luxueux cabin-cruiser d'un riche ami pour emmener sa famille en croisière. Richard avait amené femme et enfant jusqu'au port et avait passé une bonne heure en leur compagnie dans le luxueux yacht, il se disait que cette croisière serait vraiment très plaisante. Il pensait que c'était un peu risqué de partir avec un seul homme à bord, mais avec son beau père, un homme de soixante ans, il se sentait pleinement rassuré. De plus à sa grande surprise, son beau-père le prévint qu'il serait assisté par un petit équipage pendant la croisière.
- Un coup de pot Richard ! Je les ai trouvés au Yacht-club. Ils retournent sur un atoll à une trentaine de kilomètre d'Antigue. Ils ne me coûtent que le prix des provisions. Je peux ainsi me consacrer à notre petite famille !
Puis il lui présenta les deux membres d'équipage.
Comme une grosse partie de la cargaison était déjà dans les cales, il se débrouilla pour passer un peu de temps avec Nell sur la plage, main dans la main comme de jeunes amoureux. Jetant un œil sur les photos d'elle qu'il avait pris sur la plage, il se félicita d'avoir une aussi ravissante femme.
Se dirigeant vers l'armoire à provisions où ils rangeaient les alcools pour les invités, il se versa une bonne ration de whisky, ajouta quelques glaçons, il était déterminé à se comporter sans se soucier du qu'en dira-t-on.
Depuis 9 ans qu'ils vivaient ici, il s'était toujours comporté comme un individu politiquement correct tout au moins devant sa famille et sa communauté, et il s'en lassait. Respecté de la communauté, qui l'avait élevé sur un piédestal, lui confiant la responsabilité religieuse de la paroisse, Richard se devait de se comporter ainsi, jour après jour. Il lui semblait être une poudrière prête à exploser à tout moment, mais il se contrôlait et tous voyaient en lui un homme très mesuré.
Sa femme elle-même n'avait jamais décelé ses penchants pervers, elle pensait qu'il se rendait deux nuits par semaine à l'église pour préparer ses sermons du dimanche, alors qu'il visionnait des films pornos sur son magnétoscope dans son bureau.
Prenant sa caméra, il jeta un œil sur les images de sa femme qu'il avait capté sur la plage. Fermant les yeux, Richard se représentait sa jolie jeune femme de 32 ans vêtue d'un léger corsage bleu sur un short blanc debout sur le pont alors que Tom lui faisait adieu de la main sur le bateau se dirigeant vers la haute mer. S'il n'avait pas su son âge, Richard aurait pu croire que sa jolie femme n'avait que 25 ans.
"Elle est si belle, j'ai tant de chance d'avoir une femme aussi jolie et sérieuse que Nell. Non d'un chien, dommage qu'elle soit encore si innocente et naïve à son âge !" se disait-il.
"Je rêverai de la voir un peu moins naïve et un peu plus salope" pensait-il au fin fond de son esprit laissant courir son imagination.
Imagination ou pas, Richard s'était rendu compte, que sur les docks, il n'était pas le seul à contempler le ravissant corps de sa femme. Jamal, un des matelots qui lui avait été présenté, lui avait souri largement du pont supérieur. Richard aurait juré, qu'à l'instant précèdent, il avait les yeux braqués sur Nell, alors qu'il se pourléchait les lèvres comme s'il se préparait pour une fête.
Qu'allait il advenir ces prochains dix jours ? Tenterait-il de séduire Nell pendant la croisière ? Accepterait-elle que ce grand corps luisant s'étende sur elle ? lui permettrait-elle de fourrer sa bite dans son innocente petite chatte ?
"Ou peut-être chercherait-il à la prendre de force, l'épinglant sur le plancher du pont, il la forcerait à écarter les cuisses puis il la violerait." Laissait-il divaguer ses pensées lubriques.
Puis il regarda mieux le cliché, au premier plan sa femme et son fils lui faisaient leurs adieux, mais, dans l'arrière plan, on voyait le matelot bite en main, révélant clairement ses intentions.
Au même instant, à bord de la "Demoiselle en Détresse", les grands yeux de Jamal étaient braqués sur la jolie femme qui avait remplacé son léger corsage, son short et ses tennis par un mignon petit bikini orange. Comme elle était étendue sur une serviette sur le pont se faisant dorer au soleil, Jamal apporta une tasse de thé frais à la succulente beauté. Jamal repensait au moment du départ, il savait que le mari blanc l'avait vu reluquer sa jolie femme, il s'était délibérément pourléché les babines signalant ses intentions lubriques, . Le mari n'avait pas bronché, pas émis une seule protestation, de toute manière comment pourrait-il l'empêcher de mettre en œuvre son projet.
- La jolie femme serait bientôt la seule "Demoiselle en Détresse" à bord lorsqu'il lui aurait fourré sa grosse bite dans la chatte, se promettait-il lubriquement.
On appelait la femme d'une cinquantaine d'années qui voulait retourner chez elle, Mama Josie, un abrégé de son véritable prénom Joséphine. Elle faisait la cuisine à bord ce qui libérait la mère de Nell, lui permettant de se relaxer avec les autres.
Mama Josie semblait très sympathique et amicale, elle plaisait à tout le monde et s'avérait, de plus, une excellente cuisinière. Mais au fond d'elle même, Mama Josie était une chienne aigrie, elle était toujours aux aguets, à la recherche d'une faille à exploiter qui lui rapporterait de l'argent ou de la joaillerie.
Une semaine plus tard, alors qu'ils avaient jetés l'ancre dans un calme lagon de l'île de Managua, à environ vingt miles d'Antigua, Nell se réjouissait de voir arriver une pirogue qui allait emmener Jamal sur l'îlot.
- Enfin, je vais pouvoir prendre un bain de soleil sans sentir ses yeux collés sur mon corps. Il m'a déshabillé du regard chaque fois que j'ai essayé de bronzer pendant la croisière.
Nell frissonna. Puis elle pensa à l'effet évident de son corps menu sur ce matelot qui ne cherchait pas à cacher de vibrantes érections qui déformaient l'avant de son short.
Mama Josie était volontairement restée à bord pour leur cuisiner le repas du soir ainsi que le déjeuner du lendemain, avant de jouer les guides pour leur faire visiter l'îlot.
- Je vais faire un tour jusque chez moi, de l'autre côté de l'île, cela me facilitera les chose pour demain. Les avisa-t-elle.
Comme ils disposaient de quelques jours pour se relaxer avant de se rendre à Antigua chercher le mari de Nell lorsque son avion se poserait, ils pensèrent que ce serait une merveilleuse expérience d'explorer cet îlot encore riche de traditions, pas encore gangrené par le tourisme.
Nell décida de dormir à la belle étoile, dans la nuit rafraîchie par une légère brise tropicale une fois qu'elle aurait couché son fils. Prenant un coussin et juste une couverture légère, elle plaça une chaise longue rembourrée qui lui servirait de matelas sur le pont. "C'est merveilleux. Si seulement Richard était avec moi." pensait-elle rêveusement, espérant que les prochains jours, la séparant de son mari, passeraient rapidement.
Tout le monde était couché, seules des lanternes éclairaient le pont. Avec juste ses parents et son fils à bord, Nell n'avait plus à se soucier de ses tenues. Elle alla se changer et opta pour un grand tee-shirt porté sur une petite culotte.
Mais, une demi heure plus tard, des vaguelettes se formèrent autour du bateau, ces vagues étaient créées par un nageur, c'était Jamal qui regagnait furtivement le bateau. En approchant la ligne d'ancre, Jamal repéra la chevelure dorée nimbée par le clair de lune. Il sourit sachant que fille et mère dormaient sur le pont avant cette nuit, il longea le flanc du bateau gagnant silencieusement l'avant.
Nell bougea lentement, elle pensait qu'une bestiole venait de se poser sur son bras, elle s'éveilla brusquement alors qu'une grosse main la bâillonnait. Un frisson de terreur la parcourut de la tête aux pieds, le gigantesque corps penché sur elle semblait l'épingler sur le pont. Elle avait machinalement tendu les mains dans un geste d'autodéfense. Une grande patte noire les avait réunies dans sa main et les lui maintenait au dessus de la tête. Une gigantesque ombre noire d'un homme se découpant sous la lueur de la lune, c'est tout ce qu'elle parvenait à distinguer de son agresseur.
- Vous m'avez rendu fou cette dernière semaine madame Knolton ! Je suis venu à la nage de l'île pour te le dire madame Knolton ! Si tu cries lorsque je vais enlever ma main, je t'étripe comme ces poissons que nous avons attrapés la semaine dernière !
Nell avait reconnu la voix de son assaillant, et comme elle l'avait vu éventrer des poissons pour les vider, elle savait à quel point il était habile avec son couteau. Elle le pensait capable de mettre ses menaces à exécution.
- S'il vous plait ! Maintenant que vous me l'avez dit, partez ! Je vous en prie ! Laissez moi ! Murmura-t-elle doucement de peur d'éveiller l'attention de ses proches.
Mais en sentant la main calleuse caresser ses cuisses nues, Nell se mit à craindre le pire alors que les doigts de Jamal remontaient sous ample son tee-shirt.
- S'il vous plait ! Ne faites pas ça ! Je vous en prie... Non ! Pleurnicha-t-elle sourdement de peur de réveiller sa famille.
Il releva son maillot, dénudant ses seins. Elle frissonna alors qu'il lui pinçait le téton gauche. De peur de réveiller ses parents et son fils, Nell pleurait silencieusement tandis qu'instinctivement ses tétons se dressaient sous la rude caresse. Il captura son autre téton. Le titillant de la pointe de la langue, il l'amena rapidement à darder. Essayant désespérément de serrer les cuisses, Nell sentit la bataille perdue lorsqu'il roula sa culotte sur ses mollets.
- "Lève les jambes que je puisse t'enlever ta petite culotte madame Knolton chérie..." ordonna-t-il impérieusement.
De peur des représailles si elle refusait, elle leva la jambe droite puis la jambe gauche, lui permettant de lui ôter aisément son frêle rempart. Elle sentit la ceinture de son agresseur lui heurter l'estomac lorsqu'il porta le fond de sa petite culotte à ses narines.
- "Et maintenant chérie, écarte tes cuisses pour accueillir Jamal, écarte ces jolies jambes dont tu t'es servie toute la semaine pour m'allumer " Commanda-t-il.
Sachant ce qui pouvait arriver si elle désobéissait, elle sut qu'elle ne pourrait éviter le viol. Quelle qu'en soit la manière, un viol reste ignoble, mais savoir qu'un colosse noir allait la pénétrer avec sa grosse bite la terrifiait. Nell pensait à ce que Richard penserait d'elle après. Voudrait-il encore la toucher ? Accepterait-il de lui faire encore l'amour alors qu'une brute noire l'aurait possédée !
- "Allez, écarte tes cuisses pour Jamal, madame Knolton... Ou bien Jamal doit-il descendre égorger les gens dans leur cabine... Je commencerai par la cabine arrière..."
Il s'agissait de la cabine que Nell partageait avec son fils, comme elle l'avait demandée à son père dès le début de la croisière. A contre cœur, elle se força à écarter les cuisses. Elle renifla piteusement alors que Jamal pressait sa virilité contre sa foufoune.
- "Non... S'il vous plait... Pas ça... Je vous en prie... Non !" pleurnichait-elle sourdement.
Serrant les dents, fermant les yeux, elle se ferma comme une huître, priant pour que son violeur ne la blesse pas, et que surtout qu'elle parvienne à rester inerte sous ses sollicitations lubriques.
- "Nonnnnnnnnnnnnn Nonnnnnnnnnnnnnn Nonnnnnnnnnn !" gémit-elle entre ses dents serrées alors qu'un pénis bien plus gros que celui de son mari s'enfouissait dans son étroite chagatte.
- "Nonnnnnnnnnnnnn Nonnnnnnnnnnnnnnnnn !" soupirait-elle alors que l'agrippant par les hanches, Jamal accentuait encore la profondeur de l'empalement sur a grosse bite.
Instinctivement ses muscles vaginaux enserrèrent l'envahisseur, plongeant Nell dans la honte. Alors que son violeur allait et venait langoureusement dans sa chatte embrasée, Nell ne pouvait empêcher ses jambes de la trahir, se verrouillant dans son dos musclé.
- "Nonnnnn Nonnnnn Nonnnnn !" gémissait-elle maintenant suivant le rythme de ses coups de boutoir.
Elle chercha à excuser la trahison de son corps :
- "Ommmmmmmmmmmmmmm Mmmmmmmmmmmmmmmm !" gémissait-elle encore au travers de ses dents serrées alors qu'elle sombrait dans un orgasme qu'elle refusait, perdant tout notion du temps.
Mais Nell revint rapidement sur terre en réalisant que son violeur allait éjaculer dans son ventre fertile. Elle se tortilla sous lui cherchant à le déloger de sa chatte, Elle se mit à sangloter en le sentant s'enfouir jusqu'à la garde dans sa caverne avant de lui inonder l'utérus de ses jets épais.
Une heure plus tard, sentant qu'on l'enveloppait dans une couverture, Nell entendit la douce voix de Mama Josie.
- "Que t'arrive-t-il ma poupée ? Qui t'as fait cela ?"
- "C'est... C'est Jamal ! Il est revenu à la nage... Et... Il m'a... Il m'a violée Mama Josie !
- "Quel fils de chienne ! Je t'emmène voir le chef demain, tu lui raconteras tout. Ce bâtard va se faire castrer !" la conseilla Mama Josie.
- "Oh non... Non... Je ne veux pas qu'on sache que je me suis fait violer ! Ni mes parents, ni mon mari ! Mama Josie, j'ai besoin d'une bonne douche vaginale ! Auriez vous une poire ? Je ne m'en suis plus servi depuis que mon mari utilise des préservatifs quand je risque d'être féconde. Je dois me curer le vagin." Constata simplement Nell.
A sa grande consternation, Mama Josie lui répondit qu'elle n'avait pas de poire à lui proposer, mais qu'elle allait dans sa cabine lui chercher un puissant abortif.
Cette chienne de Mama Josie descendit dans sa cabine et gloussa en sortant une botte de piments de son sac. De retour sur le pont, elle prit un seau et récupéra un seau d'eau salée, elle versa alors une bonne dose de piments dans l'eau qu'elle brassa de la main.
- "Tiens ma petite caille, c'est ce que les femmes des îles prennent quand elles ne disposent pas de poire pour se curer le vagin."
Mama Josie se marrait intérieurement à la vue du spectacle qui se déroulait sur le pont. La naïve beauté, cuisses grandes écartées, suivant les conseils de Mama Josie, avait inséré le goulot d'une bouteille de plastique sa chatte, et elle se douchait les muqueuses avec la solution concoctée par Mama Josie. En fait il s'agissait d'une mixture que Mama Josie venait de composer. En quelques minutes l'innocente jeune femme se trémoussa sur le pont, la chatte en feu. Mama Josie gloussait de plaisir.
Enroulée dans sa couverture, Nell se perdit dans la fraîche nuit, la chatte toujours embrasée. Mama Josie l'avait rassurée lui disant que la sensation de brûlure prouvait que le remède était efficace, il indiquait clairement que la potion tuait tous les spermatozoïdes que Jamal avait pu lui injecter dans la cramouille.
Nell priait pour que ce soit vrai, ce serait un désastre si pour elle se retrouvait enceinte des œuvres de son agresseur noir. Que pourrait-elle faire alors que son mari tenait des prêches enflammés contre l'avortement et qu'elle même participait à des marches anti-avortement, elle ne pourrait même pas utiliser cette solution si elle se retrouvait grosse.
Mama Josie détestait les filles aussi pures et naïves que cette jeune femme aux ardeurs momentanément assouvie. Mama Josie la regardait fixement, déçue de voir une source de gains disparaître aussi rapidement. Elle avait constaté son impact sur Jamal et s'en était réjouie. Elle avait gagné un peu d'argent en facilitant les plans de Jamal, en allumant les lanternes ce qui avait permis à Jamal de regagner la bateau pour assaillir cette petite salope. Outre le fait que Jamal l'ait payé pour l'aider dans ses projets, Mama Josie avait pleinement savouré le viol de cette jeune imbécile blanche par le voyou noir. Mais sa plus grande récompense ne tarderait pas à venir, si elle parvenait à remettre la jeune innocente entre les griffes du chaman local, madame Wanda. Elle se foutait pas mal des humiliations dégradantes qu'elle avait subies, en fait elle se réjouissait à l'idée de voir cette naïve jeune femme transformée en pouffe pour bites noires.
Arrivé à l'aéroport comme programmé, Richard prit un taxi pour l'amener au port de plaisance. Il fut tout surpris de voir sa ravissante femme se jeter dans ses bras les larmes aux yeux, il pressentit que quelque chose de terrible s'était passé. Mais il ne put approfondir son impression, Tom son fils lui tendant les bras pour l'embrasser. Comme Nell essuyait ses yeux larmoyants, il se demanda ce qui pouvait bien lui causer un tel ennui. Mais comme ils avaient prévu d'avoir un tête à tête dans les eaux calmes de l'autre coté de l'île, ils auraient tout le temps d'en discuter.
Le soir même, après souper, une fois que Tom et les parents de Nell se soient retirés dans leurs chambres respectives, Richard saisit la main de sa femme. Il la retint contre la vitre séparant le pont des cabines.
- "Que se passe-t-il chérie ? " Questionna Richard lui étreignant étroitement les doigts.
Il entendit Nell renifler tout en baissant la tête honteuse, puis elle bégaya piteusement :
- "La nuit où nous avons mis l'ancre devant l'îlot de Managua, Jamal débarqua sur une pirogue qui l'amena à terre. Aussi ai-je pensé que je pouvais maintenant dormir au clair de lune en toute sécurité ! Mais une fois que je me fus endormie, il est revenu ! Il est revenu à la nage pour m'assaillir sur le pont du bateau. Je ne pouvais rien faire. Je ne pouvais pas résister. Il avait menacé de tuer tout le monde si je criais, s'ils venaient à mon secours." sanglotait sa femme, puis elle reprit :
- "Mais je n'ai pas répondu à ses assauts... Chéri... Je suis restée inerte, je te le jure !"
Mais à la voir sangloter ainsi, Richard suspecta qu'elle ne lui disait pas tout. Qu'elle lui cachait délibérément certaines choses. Bras autour de ses épaules, Richard attira sa jolie femme contre lui et embrassa son visage couvert de larmes, cherchant à la réconforter.
- "Tu as fait ce que tu as pu chérie... Tu ne pouvais pas mettre en péril Tom et tes parents. Tu n'as pas pu faire autrement."
Cœur battant la chamade, Richard sentait son excitation monter. Ayant remarqué l'attitude du matelot noir le jour de leur départ, il ne doutait pas qu'il l'avait prise contre sa volonté. Qu'il l'avait violée comme il l'avait imaginé. Richard avait une folle envie de connaître les détails sordides de ce viol crapuleux, mais il ne pouvait décemment pas lui demander, tout au moins aussi vite, il devait tout d'abord l'apaiser, la réconforter. C'est alors qu'il trouva un moyen d'obtenir des détails tout en cachant ses véritables motivations :
- "Chérie, tu dois te débarrasser de cette phobie. Il serait bon que tu te vides l'esprit. De tout me dire pour te laver l'esprit une bonne fois pour toute..." Lui conseilla-t-il sardoniquement.
Après un long moment du silence, Nell bégaya :
- "Il s'est servi de la chaise longue comme d'un matelas."
Pointant le doigt sur le pont avant, elle poursuivit :
- "J'étais étendue là-bas. Je n'avais emmené qu'un coussin et une couverture légère Je portais un vaste tee-shirt et juste une petite culotte quand ce matelot de malheur est arrivé. Je fus effrayée de me réveiller bâillonnée par une grosse main noire. C'est là qu'il m'a menacé de tuer tour le monde si je criais ou si j'appelais à l'aide. Il releva mon maillot et m'ôta ma petite culotte."
Richard brûlait d'avoir plus de détails, il manifestait déjà une forte érection révélatrice de son état d'excitation. Finalement, elle lui fournit les détails croustillants qu'il attendait lorsqu'elle poursuivit tout en pleurnichant :
- "Il me dit que si je refusais d'écarter les cuisses, il descendait dans les cabines étriper Tom et mes parents. Qu'il commencerait par la cabine que je partageais avec Tom. Je dus lui obéir chéri. Je ne pouvais pas le laisser tuer Tom. Et alors... Il me viola. Il mit sa grosse mentule dans mon sexe. Mais je te jure... Je suis restée inerte... Je n'y ai pris aucun plaisir... Aucun. Je serrais les dents et le laissait faire, m'obligeant à l'accueillir étendue sur la couverture, me laissant violer dans l'espoir de ne pas être blessée et que tous sortiraient vivant de cette épreuve."
Richard se rendait compte qu'il était tout prêt de l'explosion.
- C'est bon chérie... Tu es en vie et tu as sauvé tout le monde. Je t'aime Nell chérie. Ca ne change rien." Lui dit-il, apaisant son angoisse.
La nuit même, ayant pris la cabine qu'occupait la cuisinière, une fois sa femme profondément endormie, Richard se glissa hors du lit et retourna sur le pont supérieur. Il se dirigea droit vers l'endroit qu'elle avait désigné du doigt, l'endroit où elle dormait. Richard se pencha sur la rampe de métal et ferma les yeux se représentant ce bâtard de colosse noir qui avait lorgné Nell si avidement alors qu'il se tenait sur le quai. Il était noir comme la nuit. Il se représentait la grosse bite foncée écartelant la foufoune de sa femme, c'était si excitant qu'il sortit sa pine pour se branler.
L'après-midi suivant, alors que les parents de Nell prenaient un bain de soleil, Richard vit sa femme mettre à jour son cahier intime, comme il la voyait faire depuis qu'il la connaissait. Il n'avait jamais lu ces carnets que Nell rangeait soigneusement dans sa table de nuit, il respectait trop son autonomie pour s'y autoriser. Mais maintenant il brûlait d'envie de le lire, sachant qu'elle devait y consigner des détails intimes qu'elle ne lui avait pas révélé la nuit précédente.
C'est alors que Tommy accourut, il avait vu un banc de tortues et voulait aller les observer de plus près. Richard dit alors qu'il n'était pas fana de la plongée sous marine, et se tournant vers Nell, il ajouta :
- "Et toi aimes tu plonger ? Tu te débrouilles bien mieux que moi dans l'eau !"
Elle dit alors à Tommy qu'elle l'accompagnait et elle enfila son maillot de bain, et ramena son journal intime dans la cabine. Il surveilla Nell et Tommy qui rejoignaient l'endroit où Tommy avait aperçu le banc de tortues, puis une fois qu'ils furent loin, il se dirigea vers leur cantine, et ouvrit précautionneusement la porte, sans faire de bruit intempestif. Il fouilla son grand sac de plage à la recherche de son journal intime.
Il cherchait fébrilement les pages concernant la semaine précédente reprenant les notes depuis le départ de la croisière, lorsqu'il avait intercepté le regard lubrique que posait Jamal sur sa femme. "Le matelot Jamal me fait frissonner. Lorsque je prends un bain de soleil sur le pont, il me déshabille littéralement du regard". Au deuxième jour, elle avait noté : "Jamal me dévore des yeux à longueur de journée, spécialement lorsque je prends des bains de soleil !"
"Il est évident qu'il crève d'envie de me posséder à voir la bosse qui déforme son short !" consignait-elle le troisième jour. Le quatrième jour elle avait écrit les mêmes commentaires que les trois jours précédents. Le cinquième jour elle s'interrogeait : "Le mythe concernant les noirs est-il vrai ? Il ne cherche absolument pas à dissimuler ses érections !". Le sixième elle confirmait : "Au vu de la bosse déformant son short je crois que ce n'est pas un mythe !". Et enfin le septième : "Dieu merci, il a quitté le bord ! Quel soulagement de voir la pirogue l'emmener sur l'île !"
Puis elle avait laissé un large intervalle avant de noter en script, avec d'énormes caractères :
"ABOMINABLE". Puis il lut le compte rendu du viol tel que Nell lui avait narré la nuit précédente. Tout était conforme, jusqu'au moment où elle avait prétendu être restée inerte sous lui, mais c'est là que les choses se corsaient. "J'ai tenté désespérément de ne pas répondre à ses assauts, mais mes sens me trahirent. Mes jambes se dressèrent, mes chevilles se verrouillèrent dans son dos alors que me saisissant aux hanches, il s'enfouissait au plus profond de mon intimité. J'ai essayé, j'ai désespérément tenté de rester sans vie, mais sa bite était si longue, si épaisse, coulissant sans fin dans mon pertuis accueillant. Je n'ai jamais ressenti de telles sensations, comme si je planais dans l'espace, un millier d'étoiles explosant à mes cotés" lut-il brûlant de connaître la suite.
Puis un autre paragraphe commençait aussi par "C'est ABOMINABLE : Il a fait ce qu'il voulait de mon corps. Il a juté dans mon ventre. Que vais-je faire ? Je ne peux pas prendre une douche vaginale, je ne dispose d'aucune poire."
Il tourna la page, et découvrit bien plus de commentaires, bien plus. Richard ouvrit des yeux comme des soucoupes, sa queue durcit dans son short alors qu'il lisait maintenant : "J'espérais que Jamal quitterait le bord son forfait accompli, mais il ne le fit pas. Il en voulait encore plus. C'était si abominable, si dégradant de faire ce qu'il voulait, mais que faire ? Il pouvait blesser, voire tuer mon fils et mes parents si je ne faisais pas tout pour lui plaire. J'avais des nausées rien que d'y penser. C'était si dégradant de devoir emboucher son pénis ! Mon Dieu, il m'a obligée à lui sucer la bite".
Richard se représentait la scène, au bord de l'explosion. Impatient il reprit sa lecture : "Il me fit agenouiller entre ses cuisses, pressant son gland contre mes lèvres, me maintenant la tête en place doigts rivés dans ma chevelure. Comme c'était humiliant ! Il me baisait en bouche. Mon Dieu c'était horrible. Comment des hommes peuvent-ils dégrader des femmes au point de leur imposer ces caresses lubriques ?"
Et cela reprenait de plus belle : "Et vers la fin, il me tira la tête en arrière et commença à retirer sa bite de ma bouche ! Je pensais qu'il allait se retirer entièrement de ma bouche, mais il arrêta laissant le gland entre mes lèvres. Puis il gicla à gros bouillon dans ma bouche. Sa semence était si grasse qu'elle ne pouvait suinter de ma bouche. Il n'y avait aucune voie de sortie. J'étouffais, je devais soi avaler le torrent poisseux, soi m'asphyxier. Son éjaculation était si forte, si copieuse, si ignoble. C'était à la fois ignoble et méprisable.".
Tournant une nouvelle page, Richard lut la description de l'intervention de Mama Josie : Mais le remède local s'avéra trop fort pour mon corps non accoutumé à ce genre de pratiques, cela me brûlait, spécialement lorsque j'urinais, des heures après avoir pris la potion. Je priais pour que soit efficace, que cela m'épargne tout risque de grossesse, d'autant plus que j'avais enduré ces terribles brûlures toute la journée."
Et les confidences se poursuivaient : "Etant donné nos croyances et les responsabilités de pasteur de Richard, je me voyais mal rencontrer le chef spirituel du village. J'hésitai à aller voir ce docteur que préconisait Mama Josie, mais en désespoir de cause, je me résignai à aller le voir à la grande joie de Mama Josie. Elle m'entraîna dans la hutte de Mama Wanda. L'encens qui embaumait la hutte m'irrita la gorge, alors que j'avais toujours le vagin en feu."
Richard lut que Mama Wanda lui avait alors donné une liqueur sirupeuse, aussitôt une vague de chaleur avait envahi son corps des pieds à la tête, et Mama Josie expliqua son problème à la chamane. "Je me serai crue dans un de ces vieux films où Mama Wanda aurait été une prêtresse vaudou qui aurait chanté et psalmodié tout en manipulant des poupées de chiffon. Mais l'encens et la boisson absorbée avaient calmée mes appréhensions. Il me semblait que mon esprit s'évadait de son enveloppe charnelle tandis que Mama Wanda psalmodiait d'incompréhensibles incantations. Je me rappelais seulement que le remède indigène s'était avéré trop puissant pour la première fois que je l'utilisais et que cette sensation de brûlure que j'endurais depuis en découlait tout naturellement. Puis elle me dit que je devais me faire masser pour apaiser mes nerfs, on m'appliqua un baume liquide qui soulagea mes brûlures."
Et les confidences se poursuivaient. Plus loin il lut : "Je ne me doutais pas à quel point cette visite allait s'avérer surprenante ! Je ne me souviens plus de grand chose, juste qu'aux chants succéda un délicieux massage de mon corps. Je me sentais comme toute neuve lorsque le massage se termina. Au son des incantations de Wanda, le merveilleux massage m'avait relaxé de la tête aux pieds, même le feu dans mon ventre s'était calmé. Je me demande bien ce que contenait ce baume miraculeux. La séance terminée, les sensations de brûlure avaient disparues, le baume bienfaisant avait tout gommé !"
Entendant des voix sonores à l'arrière pont, Richard réalisa que sa femme et son fils revenaient au bateau et allaient grimper à bord. Il reposa le journal de sa femme là où il l'avait pris, referma la porte, et remonta sur le pont pour aider Tom et Nell à escalader l'échelle.
"Mon Dieu, j'ai si souvent rêvé que Nell me faisait une pipe ! Jamal a du se croire propulsé au 7ème ciel lorsqu'elle l'a sucé. Comme j'aurai aimé assister à ce spectacle.". Richard ne pensait pas un seul instant à l'humiliation de sa femme forcée d'accorder de la bouche cette caresse dégradante, il se disait seulement qu'il aurait aimé se tenir dans l'obscurité épiant le colosse noir forçant Nell à prendre sa grosse bite dans la bouche.
"Mon Dieu, et ce bâtard lui a giclé dans la bouche ! Elle avait du avaler de copieuses rasades de sperme !" s'affola-t-il.
Comme Nell se tenait sur le dernier échelon la séparant du bord, Richard sourit largement à la vue de son corps vêtu d'un classique maillot de bain jaune.
"Hummmm... Normalement Nell porte un bikini lorsque l'on va faire de la plongée. Peut-être culpabilise t-elle après avoir pris des bains de soleil en bikini... Elle pense peut-être avoir trop révélé de ses charmes... Qu'elle a inconsciemment allumé le matelot... provoquant ainsi son propre viol." Richard se représentait son corps se tortillant sous les assauts de Jamal qui la possédait férocement.
Tandis que Nell prenait une douche pour laver son corps des résidus salés, Richard referma la porte de la cabine afin de terminer la lecture des deux derniers paragraphes qu'il n'avait pas achevé.
"J'étais surprise de constater qu'une chamane comme Mama Wanda puisse se référer à un organisme chrétien, le PPBM ou Parti Progressiste du Bienheureux Messie. Mama Josie me suggérait vivement de les rejoindre lorsque je serai de retour chez moi, ils se préoccupaient principalement du sort de femmes dans ma situation." Avait-elle écrit.
Et finalement il termina en lisant les remarques notées cet après-midi même avant que Nell n'aille plonger en compagnie de Tom pour observer le ban de tortues : Je suis si soulagée d' avoir révélé mon horrible épreuve à Richard cette nuit, et de constater qu'il m'aime toujours en dépit de ce viol. Mais je me sens si coupable de ne pas lui avoir dit toute la vérité... C'est juste que je n'ai pas pu me résoudre à le faire. Je ne sais pas si c'est pour épargner Richard ou si c'est pour m'éviter de devoir avouer que j'avais pris un certain plaisir à ces actes qui devraient me répugner."
Richard soupira comme elle admettait plus loin : En fait je lui ai menti en lui cachant que je n'avais pas pu rester tout le temps inerte. Mais comment aurai-je pu lui dire que mon corps m'avait trahi et que j'avais pris un certain plaisir à être ainsi assaillie. Que j'ai eu un formidable orgasme... Le plus intense que j'ai jamais eu, juste avant qu'il ne m'inonde de sa vile semence ! J'ai aussi omis de raconter une bonne partie de l'épreuve en lui cachant que non seulement Jamal avait possédé mon corps, mais que de plus j'avais du lui sucer la bite. C'est si honteux. Jamais je ne pourrai dire à Richard que j'avais du consentir à lui faire une fellation."
"Le Parti Progressiste du Bienheureux Nestor, Je n'ai jamais entendu parler de cet ordre ! Jamais depuis que je suis pasteur " Se dit Richard, mais il existait tant d'organisations religieuses qu'il n'était pas étonnant qu'il ne les connaisse pas toutes. "Comment une chamane comme Mama Wanda pouvait-elle appartenir à une telle congrégation, alors qu'elle était si isolée sur son île" S'étonna-t-il fugitivement.
L'après midi même il visitait la petite île avec sa belle famille. Comme Tom s'intéressait aux armes et aux tenues des natifs, ses grands-parents l'emmenèrent visiter le musée local consacré aux mœurs et coutumes indigènes,. Nell préféra faire quelques courses au bazar voisin.
Ayant vu une église chrétienne le long du chemin, Richard décida de la visiter, pour se confesser d'avoir ressenti un plaisir pervers à l'écoute du récit de l'épreuve endurée par sa femme. En arrivant dans l'église, il tomba sur un prêtre assis sur une chaise devant le portail. Richard lui demanda :
- "Vous êtes le pasteur de cette communauté ? "
Comme le prêtre acquiesçait, il lui tendit la main et se présenta. Tout en visitant l'église sous la conduite de son collègue, Richard se décida à le questionner :
- "Avez vous déjà entendu parler d'une certaine Mama Wanda qui réside sur un îlot à vingt miles d'ici ?"
Au vu de la grimace qui déforma son visage, il était évident que le pasteur Mollway savait certaines choses sur cette femme.
- "Oh que oui j'ai déjà entendu citer ce nom ! C'est un chef spirituel indigène. Ce n'est pas une simple chamane. Je pense que c'est une prêtresse de l'archaïque culte vaudou. Les sortilèges... Les présages... Les malédictions... Les enchantements... Personne ici n'oserait se brouiller avec elle. C'est l'incarnation du mal...." L"informa le brave pasteur.
Cependant il n'avait pas connaissance du Parti Progressiste du Bienheureux Nestor.
En fait Mama Wanda avait implanté ce sigle, le PPBN en le faisant correspondre officiellement au Parti Progressiste du Bienheureux Nestor comme elle l'avait écrit en majuscule dans son journal intime. Mais en fait la véritable signification du sigle PPBN était implantée dans son inconscient profond, et cela n'avait rien à voir avec la signification officielle. Ce sigle déclenchait en elle une immédiate soumission à celui qui l'utilisait, d'ailleurs ce mot de passe avait été immédiatement testé par Mama Wanda.
Cependant les événements vécus par Nell sous influence avaient été effacés de sa mémoire, elle n'avait donc pas pu les noter dans son journal intime. En fait, Mama Wanda, avec l'aide du sorcier noir, le guérisseur dont lui avait parlé Mama Josie, lui avait lancé un sortilège.
- "Madame Knolton" avait-il intimé sous hypnose,
- "La vraie signification de PPBN est Pouffe Pour Bites Noires, cela veut dire que désormais tu dois te comporter comme une putain devant obéir aux noirs lorsque l'un d'entre eux utilisera cette formule. Tu devras faire tout ce qu'il veut, te plier à toutes ses fantaisiesn, ses volontés. Répète après moi : Je suis une Pouffe Pour Bites Noires."
- "Je suis une Pouffe pour Bites Noires."
- "Encore."
- - "Je suis une Pouffe Pour Bites Noires."
- "Encore."
- "Je suis une Pouffe Pour Bites Noires."
- "Encore."
- "Je suis une Pouffe Pour Bites Noires."
Nell, en transes, répétait sans fin cette sentence, l'implantant définitivement dans son inconscient.
Le grand sorcier guérisseur pénétra dans la hutte, Mama Wanda le regardait opérer, il la tira par le coude l'amenant à se relever de son tabouret puis il ordonna :
- "Déshabille toi pour Mamba !"
Sous sa totale emprise, Nell délaça ses tennis et les rejeta au loin, puis elle enleva son short, sa petite culotte suivit puis son corsage et son soutien-gorge.
Une barre de bambou horizontale lui rentrait dans l'estomac, bras tendus devant elle, Nell frémit lorsque les grosses mains lui massèrent les épaules. Puis ce fut le tour de son ventre, de ses cuisses, de ses fesses enfin les doigts habiles empoignèrent ses tétons les roulant, les étirant lubriquement et enfin les adroites mains s'occupèrent de sa chatte, les doigts effleurant les babines tandis que du pouce il lui massait le clito.
- "Ommmmmmmmmmmm Mmmmmmmmmmmmm !" Gémissait-elle envoutée.
Ce massage s'avérait si enivrant, exactement comme Mama Wanda lui avait prédit. En fait les grosses mains qui manipulaient si habilement ses tétons appartenaient au sorcier guérisseur, et c'était sa bite plongée dans son sexe qui lui massait si délicieusement la foufoune.
Le culte de Mama Wanda s'était développé d'abord dans les îles, puis il avait gagné d'autres pays importés par les émigrants îliens, qui lui faisaient d'importantes donations. Les donations s'amplifièrent lorsqu'elle commença à livrer de jeunes innocentes à la convoitise des membres. Bientôt les membres de la secte habitant le même état que nos pasteurs seraient informés qu'ils disposaient d'une nouvelle victime.
Richard était soucieux, il se demandait quel type d'envoûtement cette chamane avait bien pu émettre à l'encontre de Nell.
- "Ne savez vous pas plus de choses sur elle, pasteur Mollway ? Après tout, vous êtes le chef religieux de votre communauté. Croyez vous vraiment en ces histoires de sortilèges, de malédictions, de vaudou ?"
Le pasteur Mollway hocha la tête soulignant son ignorance. Puis Richard rejoignit sa femme au bazar où elle faisait ses courses, la cherchant dans les diverses échoppes. Il la retrouva vite, les chevelures blondes n'étaient pas si courantes dans cette contrée, d'autant plus qu'à part quelques individus de type caucasien, tous les autres avaient des cheveux noirs d'ébène.
Une tête blonde à quelques pas retint son attention, Richard s'approcha d'elle silencieusement, jetant un œil sur sa légère tenue estivale, qui la mettait pleinement en valeur. Il remarqua alors qu'elle discutait avec quelqu'un au fond de la salle, mais sa vue était gênée par les clients qui allaient et venaient. Puis le noir pointa son doigt sur des garages, et Richard vit sa femme suivre docilement le colosse noir qui ouvrait le chemin. Ils disparurent tous deux derrière les garages.
Contournant discrètement le coin des bâtiments, il vit sa femme et le noir disparaître dans les fourrés, il se rua alors sur leurs pas pour ne pas la perdre de vue. Il jetait des coups d'œil frénétiques, ayant perdu de vue sa femme et le noir, il progressait rapidement dans l'étroite allée taillée dans les broussailles. Il ne parvenait pas à les rejoindre, Richard s'affolait puis il entendit un homme rire à gorge déployée, s'esclaffant :
- "Alors comme ça Mama Wanda a fait de toi une Pouffe Pour Bites Noires ?".
Et Richard entendit la voix monocorde de sa femme répliquer :
- "Oui... Oh oui... Je suis une Pouffe Pour Bites Noires... Je vous en prie, faites de moi ce que vous voulez... Baisez moi... Plongez votre grosse bite noire dans ma chatte détrempée..."
S'avançant lentement, il rampa sur les genoux et les mains pour ne pas se faire surprendre, Il observait le couple étendu sur l'herbe fraîche des rives du fleuve. C'est alors qu'il réalisa que Nell devait être envoûtée, à l'évidence elle était entièrement sous l'emprise du noir qui l'accompagnait.
La queue toute raide dans son short, Richard était follement excité de voir sa jeune femme nue entre les bras de ce colosse noire qui la baisait puissamment. Et tandis qu'il la prenait, Richard se branla lascivement contemplant les jolies cuisses de sa femme verrouillées sur le torse de son amant. Richard savait maintenant que l'homme s'appelait Badai, mais il se demandait ce que pouvait être l'âne auquel il faisait allusion.
- Est-ce qu'âne était le synonyme de bite dans leur langue ? Ou peut-être bien qu'il s'agissait du surnom de Badai... Parce que sa bite était aussi grosse que celle d'un âne. Méditait Richard.
- "Oui baise la avec ta bite de mulet..." l'encourageait-il silencieusement.
C'est alors, qu'à sa grande stupéfaction, il vit sa femme remonter les genoux le long de ses flancs, enserrant la bite de Badai entre ses pieds, elle le branla alors lascivement révélant à Richard une technique qu'il ignorait.
Badai avait empaumé ses seins et jouait avec ses mamelons dardés, puis tandis que Richard giclait, il se laissa tomber en avant enfouissant son visage entre les cuisses frémissantes de Nell, introduisant tout de go la pointe de sa langue entre ses babines juteuses.
- "Oh mon Dieu, il lui bouffe le gazon ! réalisa Richard espérant bien qu'un jour il pourrait lui faire la même chose.
Alors qu'il relâchait sa prise sur les chevilles de Nell, Richard vit sa femme refermer ses cuisses sur sa tête verrouillant ses chevilles dans son dos. Puis, elle plongea ses doigts dans sa chevelure crépue, il lui semblait qu'elle s'arquait sur les talons pour amplifier le contact de sa foufoune avec la langue de son amant.
- "Ouiiiii... Oh ouiiiiiii... Bouffe moi la chatte Badai... Bouffe... moiiiiiiii... Je t'en priiiieeeeeee..." gémissait-elle lourdement.
Et tout en se tortillant convulsivement sur le sol, elle reprit :
- "Oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! Ouiiiiiiii..."
Richard vit alors son corps s'amollir alors qu'un orgasme d'une extrême intensité lui fracassait l'esprit. Badai lui releva alors les jambes les plaçant sur ses épaules, puis il s'enfonça lentement dans sa fente détrempée. Richard était fort surpris de voir le bulbe épais pénétrer aussi aisément l'étroite foufoune de sa femme, c'est alors qu'il réalisa que sa chatte devait s'être considérablement élargie après la visite de l'épaisse bite du matelot. Richard vit avec surprise le corps de sa femme réagir immédiatement alors que Badai s'enfouissait profondément dans sa cramouille, elle agrippa son torse des mains et des chevilles.
- "Humm... La jeune femme blanche est douce et belle... Badai devra remercier Mama Wanda de lui avoir fait profiter de cette belle dame..."
Richard entendait le joyeux gars haleter tandis qu'il allait et venait dans le sexe marécageux de sa femme.
"Oshlurk shlurk shlurk shlurk !". Ces sons émanaient de leur étroite union.
Ils baisaient comme des bêtes en rut. Avec une énorme stupéfaction il entendit son innocente femme réclamer :
- "Baise moi... Fourre moi ta grosse bite dans la chatte...T'es un vrai mulet noir... Bordel baise moi plus fort..."
Il la baisa encore pendant vingt bonnes minutes, ils jouirent tous deux simultanément s'étreignant passionnément. Puis le corps de sa femme s'amollit à nouveau. Richard regarda fixement la grosse bite que Badai extirpait lentement de sa cramouille marécageuse. Alors il regarda Badai fouiller dans sa poche, en sortir un sifflet et souffler dedans à plusieurs reprises pour fêter son triomphe.
Quelques secondes plus tard, des sons similaires provinrent de toutes les directions. Tout surpris Richard se demandait ce qui allait se passer. Richard était vraiment content de s'être caché dans les broussailles lorsqu'il entendit des bruits de pas venir dans leur direction. Des indigènes surgirent alors des fourrés, venant de toutes les directions, ils entourèrent Badai et sa conquête. Richard entendit nettement Badai commenter :
- "C'est un cadeau de Mama Wanda ! Elle a fait de cette jolie blanche une Pouffe Pour Bite Noires et elle souhaite que vous la testiez."
Mentalement Richard compta les indigènes qui avaient répondu à son appel, ils étaient quatorze. Ils se déshabillèrent tous prestement.
Il n'entendit qu'un cri de douleur lorsqu'elle subit sa première sodomie, il fut évident pour Richard que Nell se réjouissait d'être devenue une Pouffe Pour Bites Noires, lorsqu'il la vit satisfaire cinq hommes en même temps. Elle s'était accroupie sur un homme qui la baisait en chatte, un second s'était glissé dans son cul, un troisième dans sa bouche et elle branlait allégrement les deux derniers.
Une heure et demi plus tard, les noirs repartirent chacun de leur coté. Richard resta regarder sa femme qui s'était plongée jusqu'à mi-cuisses dans le fleuve. Lorsqu'elle s'accroupit dans l'eau fraîche, Richard la regarda longuement s'asperger la chatte et le corps, se lavant des grosses taches de sperme qui la couvrait des pieds à la tête. Puis, jambes grandes écartées, elle se cura le vagin avec les doigts.
Dix minutes plus tard, elle était rhabillée et elle repartait. Richard décida de regagner le grand bazar. La voyant fraîche et pimpante, il la héla agitant la main. S'en approchant Richard remarqua :
- "J'ai fait une longue visite au pasteur de cette paroisse, chérie, on a longtemps discuté, échangeant nos impressions sur nos différentes communautés. Et toi qu'as tu fait ?"
S'exprimant calmement, posément, elle lui expliqua qu'elle s'était reposée, flânant au gré de sa rêverie. Il se demandait comment sa jeune femme si innocente, si naïve pouvait agir si normalement après ce qu'il avait vu.
Deux semaines plus tard, ils avaient regagné leurs penates depuis quelques jours lorsque le téléphone sonna chez les Knolton. La coïncidence voulut que Richard se saisit du combiné dans son bureau alors que Nell décrochait dans la cuisine. Il entendit Nell dire :
- "Bonjour..."
Richard allait reposer le combiné lorsqu'il entendit une voix male inconnue, qui l'intrigua.
- "Madame Knolton ? "
- "Oui... Je..."
- "Mama Wanda m'a donné votre nom et votre numéro de téléphone. Si j'ai bien compris t'es une PPBN, une Pouffe Pour Bites Noires. Est ce bien vrai ?"
- "Oui je..."
- "Alors ma chérie quand et où veux tu te faire sauter ?"
- "Samedi soir... Chez moi... Mon mari assiste à une rencontre de bowling avec l'équipe de la paroisse et mon fils dort chez des amis..."
Richard comprit qu'il devait trouver un remplaçant pour vendredi soir, puis il se prépara une cache d'où il pourrait assister aux exploits luxurieux de sa femme.
FIN
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