jeudi 23 septembre 2021

Comment je suis devenu cocu et ma femme soumise Ch. 04

   Auteur inconnu.

Le camionneur lave ma femme.

Le gros défait maintenant les lanières de ses talons, l'aide à les retirer, et l'entraîne, docile, presque titubante, vers la cabine de douche, au bout du lit, à gauche du frigo. Il fait glisser la porte transparente de la cabine, entre le premier, aide ma femme à y pénétrer, dos à lui, et repousse la porte. Son pote, la queue à l'air, regarde dans ma direction et me fait un signe discret du pouce pour me faire comprendre qu'il s'est fait plaisir. Je tends mon poignet à travers le rideau, et lui désigne ma montre pour lui faire comprendre qu'il est temps d'en finir. Il me fait un signe positif de la tête, puis me montre la douche en haussant les épaules. Je tends l'oreille, car je ne les vois pas bien. L'eau coule, mais j'entends le gros.

- Je vais bien te laver ! Voilà ! Tes beaux nichons ! Oui ! Comme ça ! Ouaiiis ! Je les lave bien hein ? Ton ventre ! Ton beau p'tit cul !

Pour seule réponse ma femme pousse des petits soupirs. Le gros la caresse plus qu'il ne la lave. Son pote s'est remis à se branler en les regardant. Je bande aussi, mais je me focalise sur les bruits que j'entends.

- Lave-moi la queue ! Voilà ! Aaahhh ! Oui ! Branle la bien ! Ouais ! Suce-moi bien ma grande.

Je me dis que ce n'est pas possible. Qu'il n'en a jamais assez ! Ma femme non plus ! Qu'est ce qui lui arrive !

Des bruits de clapotis se font entendre maintenant, mêlés au bruit de l'eau. J'entends toujours les gémissements de ma femme, mais ils sont plus humides. Le gros pousse des petits râles étouffés lui aussi. J'imagine parfaitement la scène, en me masturbant : Ma femme dos à lui, en train de le branler, lui malaxant sûrement les seins, l'autre main lui doigtant sa petite chatte ou son anus, car ses soupirs sont trop faibles pour qu'il y ait introduit sa queue, Les deux se léchant la langue, entrecoupé de « Han ! » et de « Mmmh ! » de ma femme. Cela dure plusieurs dizaines de secondes puis je perçois le gros qui dit :

- T'es toute chaude ! T'en veux encore petite pute ! Hein ? 

Il coupe l'eau. Plus rien pendant trois ou quatre secondes, puis j'entends ma femme pousser un râle et haleter. Elle se met à appuyer ses gémissements et haleter plus fort encore. Là, je me dis qu'il est de nouveau en train de la sodomiser. Je regarde son pote. Il a les yeux exorbités, et se branle rapidement. 

- Oohhhh ! Ouiii ! Ce qu'il est bon ton cul de pute ! Je veux t’enculer toute ma vie. Brame le gros.

J'en ai la confirmation. Il est bel et bien en train de la sodomiser encore une fois. Je vois ma femme collée contre la vitre, ses gros seins aplatis. Je les entends souffler et gémir quelques dizaines de secondes, puis la porte de la douche s'ouvre. Ma femme en sort en haletant, le gros aussi juste derrière elle, les deux ruisselant d'eau. Je me rends compte qu’il la fait marcher alors qu’il est toujours dans son cul. Il la pousse jusqu'à l'endroit de la couchette la plus large. Son anus est totalement ouvert. Il lui lève une jambe, l'appuie dos contre lui, et debout, réintroduit sa grosse bite dans son anus.

- T'as vu ça Gilbert ? Glousse-t-il en l'enculant.

Je vois que ma femme s'est introduit deux doigts dans le vagin. 

- Elle en a jamais assez cette petite salope ! On devrait la ramener au relais et lui faire un gang-bang comme la petite de la dernière fois.

Gilbert dit que pourquoi pas et ma femme, elle, ne dit rien. Elle est debout, poussant des gémissements et des râles réguliers, une jambe en l'air, les seins ballottant, les yeux fermés, la bouche ouverte, la langue à moitié dehors, se doigtant la chatte pendant que le gros la sodomise. Je ne reconnais plus ma femme. Je commence à ressentir de la jalousie en la voyant si belle, totalement offerte à ce gros pervers, plus qu'elle ne le ferait pour moi. Mon esprit est complètement troublé, partagé par cette jalousie qui se réveille, et la vue de cette jeune femme superbe, ma femme, possédée sexuellement devant moi par cet homme dépravé, qui me pousse à me branler.

- Qu'est-ce que t'attends ? Viens ! Lance-t-il à son pote.

 L'autre se lève du lit, la queue à la main, se colle à ma femme, et se met à lui téter les seins. Elle rouvre les yeux, se doigtant toujours, et observe, avec ce regard de salope qui ne la quitte plus, cette bouche et cette langue qui lui lèche et lui gobe les mamelons de ses nichons. Gilbert joint ses doigts à ceux de ma femme dans sa chatte, et ils la branle tous les deux. Puis il les retire, ainsi que ceux de mon épouse, et la fixant dans les yeux, y enfile sa queue.

La voilà, de nouveau prise par les deux routiers en même temps, mais dans une position qui semble plus leur convenir. Le gros l'enculant toujours, lui a tourné la tête et lui lèche la langue. L'autre, lui maintenant la jambe en l'air, lui lime la chatte en lui bouffant les seins. Ma femme est déchaînée, elle gémit comme jamais elle ne l'a fait depuis le début de la soirée, et elle suce, et gobe même la langue du gros. Les deux la prennent comme ça pendant quelques minutes, le gros faisant passer la langue surexcitée de ma femme, en lui tournant la tête comme il le ferait avec une poupée, de l'un à l'autre.

Puis le gros se retire du cul de ma femme, demande à son pote d'en faire autant, et la met à quatre pattes sur le lit, en travers. Ma femme tourne la tête, et le regarde, attendant de voir ce qu'il va faire. Il pose un pied sur le matelas, appuie sur le bas du dos de mon épouse pour qu'elle se cambre, présente son gland à l'entrée de son cul, et y replonge sa queue. Il l'enfonce complètement et la ressort en lui écartant les fesses.

Je suis fasciné par le trou béant qu'est maintenant l'anus de ma femme. Il l’a complètement dilaté avec son gros mandrin. Il fait ça plusieurs fois, provoquant les râles de ma femme, puis il se met à la limer rapidement de toute la longueur de sa bite. Il insulte violemment Sarah. Son pote a approché sa queue du visage de ma femme. Elle le regarde quelques instants en gémissant, puis elle ouvre en grand sa bouche. Il lui prend la tête et lui enfourne sa queue dedans. Il imprime un mouvement de va et vient en la tenant par les cheveux, ressortant sa bite, lui faisant lécher le manche, avant de l'enfourner à nouveau et se branler entre ses lèvres. 

Je perçois par moment la langue ma femme qui s'enroule autour du gland. Elle aime le sucer. Le gros continue de lui limer l'anus en soufflant. Au bout de quelques minutes, son pote se bloque et est prêt à venir dans la bouche de ma femme, mais elle se soustrait à sa queue, en le repoussant, le faisant gicler sur son visage et sur le lit. Je viens pour la troisième fois, à nouveau sur le sol. J'ai la queue en feu. Gilbert lui n’est pas ravi, il regarde ma femme et lui dit :

- Je vais te faire regretter de pas avoir goûter à mon jus. Tu ne perds rien pour attendre.

Le gros la sodomise encore quelques secondes, puis se retire, sa grosse bite à la main. Il prend ma femme par les cheveux, approche sa bite de sa bouche en se branlant et lui lance :

- Tu vas l'avaler mon foutre à moi, ma petite salope !

Ma femme le regarde mais ne bronche pas.

- Ouvre la bouche, allez, ouvre la bouche ! Lui ordonne-t-il tout en se masturbant.

- Non ! S'il te plaît ! Gémit ma femme.

- T'es ma petite pute ! Ouvre grand je te dis !

Médusé, je la vois ouvrir timidement la bouche.

- Sort ta langue ! Crie le gros en se branlant.

Elle s'exécute. Le gros y colle son gland et jouit en répandant son sperme dessus. Du foutre coule de chaque côté de sa langue, mais un gros paquet blanc reste au milieu.

- Avale ! Ordonne le gros.

Elle hésite quelques secondes, le regarde dans les yeux, puis elle rentre sa langue dans sa bouche et avale en grimaçant.

- C'est bien ma jolie ! T'es la plus belle et la plus obéissante petite pute que j'ai jamais croisée !  Lance-t-il. 

Il lui enfonce sa queue gluante dans la bouche, la faisant hoqueter de dégoût.

- Bon ! On va peut-être la ramener à sa voiture ! Propose son pote.

- T'as peut-être raison mon Gilbert ! Répond le gros, sa queue toujours dans la bouche de ma femme.

Il regarde sa montre et ajoute :

- Son mec m'avait dit de le réveiller dans une heure. Et ça fait plus de deux heures ! S'esclaffe-t-il.

- C'est dommage, je l'aurais bien gardée avec moi cette petite. C'est pas tous les jours qu'on rencontre des petites salopes pareilles ! Dit-il en fourrant deux doigts dans la chatte de ma femme, qui le regarde vicieusement.

Il la doigte quelques secondes, puis il lui balance une claque sur le cul et gueule :

- Allez ma jolie ! Le moment est venu de retrouver ton petit mari.

Il se lève et lui lance son haut.

- Habille-toi vite avant que je change d'avis !

Ma femme enfile tant bien que mal son haut pendant que les deux routiers se rhabillent. Puis le gros ramasse les talons de ma femme et l'aide à les mettre.

- Bonne nuit Michel ! Et merci ! Lance Gilbert en se dirigeant vers moi.

Je m'écarte du rideau. Il sort et me pousse vers la porte. Je l'ouvre et nous sortons.

- Putain, elle aime la bite ta femme. Me chuchote-t-il.

Je ne réponds pas, un peu groggy par tout ce que j'ai vu et entendu.

- T'es cocu maintenant ! Mais il vaut mieux que ce soit de cette manière ! Insiste-t-il.

J'arrive vers ma voiture.

- Allez salut ! Bonne nuit ! Enfin si elle croise personne en chemin. Me lance-t-il.

Il s'éloigne. Je monte à l'intérieur de mon auto, entrouvre légèrement la fenêtre passager pour avoir un peu d'air, et attend, anxieux, que le gros me ramène ma femme. Les secondes me paraissent des minutes, puis j'aperçois deux ombres qui s'approchent de la voiture. Je fais semblant de dormir. J'entends quelqu'un se rapprocher de ma portière, puis plus rien. Les pas s'éloignent en direction de ma voiture, vers l'avant. J'entrouvre les yeux. C'était le gros. Je le distingue bien, car un réverbère n'est pas très loin de ma caisse. Il voulait sûrement vérifier si je dormais. Il prend ma femme, qu'il avait laissée devant le capot, par le bras et l'entraîne côté passager. Ils arrivent au niveau de la portière. Je m'attends à ce qu'il tape au carreau d'un instant à l'autre, je referme les yeux. 

- Allez, un dernier baiser. Demande l’homme à ma femme.

Je rouvre les yeux. Elle est dos à moi, le gros devant elle. Il ne parle plus. Je ne les vois que du haut des épaules jusqu'au haut des cuisses. Je perçois des « Mmmh » de lui, comme d'elle. Il est en train de lui rouler une grosse galoche, en lui caressant le bas du dos. Il descend sa main droite au niveau de ses fesses, et se met à les caresser à travers le fin tissu de son haut qui cache juste son cul. Je ne vois pas l'autre main. Il remonte le tissu, lui découvrant totalement la croupe. Sa main lui malaxe chaque fesse, deux doigts s'insinuant quelquefois le long de sa raie. Ma femme essaie de les repousser timidement.

- Ouais ! Mmmhh ! Sors ta langue ! Mmmhhh ! Grommelle le gros en introduisant maintenant son index et son majeur dans le sexe de ma femme.

Elle tente encore un peu de repousser sa main maladroitement, puis je la vois céder, caressant cette main qui la doigte. Elle lève sa jambe droite, la replie, genou contre la hanche du gros, lui permettant un accès encore plus facile à sa petite chatte. Et elle se tortille sous les pénétrations de ses gros doigts. Il la bascule légèrement, les épaules contre la porte. Je vois la partie supérieure du bustier de ma femme glisser jusqu'en bas de son dos.

- Ahhnn !.Mmmhh ! Gémit-elle doucement, alors que le gros s'est mis à lui sucer les seins, tout en continuant de la doigter.

Elle lui caresse les cheveux avec ses deux mains. La jambe toujours relevée, je la vois onduler et frotter son bassin contre la braguette du gros, alors que ce dernier continue de lui lécher les seins et de la branler.

« Putain ! C'est pas possible ! » Me dis-je. Qu'est ce qui arrive à ma femme. Elle est en train de se laisser tripoter, devant la voiture, au risque de se faire surprendre par moi son mari, et elle ne trouve rien à y redire. A ce moment-là, je me demande si je ne vais pas tout arrêter d'une manière ou d'une autre, mais je regarde la scène qui se déroule sous mes yeux, et je bande. Je bande comme un âne.

Je vois la tête du gros remonter au niveau du visage de mon épouse je présume, car elle est hors de mon champ de vision. Avec sa main droite il lui attrape la fesse dont la jambe est relevée, et accentue le frottement de sa chatte contre sa braguette, en continuant de la doigter.

- Ohh ! Quelle petite pute tu es ! Dit-il en la frottant contre sa bite.

Je me penche sur la droite, enjambant le frein à main, au risque d'être vu. Je suis à quatre pattes, la tête quasiment au niveau de la fenêtre passager. Ils sont trop occupés et ne me voient pas dans la pénombre de l'habitacle. Ma femme gémit, sa jambe droite toujours levée, sa langue frétillant comme un poisson autour de celle du gros, qui lui a pris les fesses avec ses deux mains et frotte sa chatte luisante de mouille contre la bosse énorme qui déforme sa braguette. Par moment elle gobe et suce cette langue comme si elle suçait une bite. Puis le gros retire sa main gauche de la fesse droite de ma femme, et effectue une caresse le long de sa cuisse relevée, en lui léchant le sein droit. Cette dernière paraît possédée. Elle continue de se frotter sur la bosse de l'entre-jambe du gros en poussant des gémissements.

- Ouuuhh ! Tu la veux ma bite ! hein petite chienne ? Hein ?

Pour toute réponse, ma femme pousse des soupirs la bouche ouverte, et ondule encore plus amplement du bassin, plus lentement, en le regardant dans les yeux.

- Ah ! Ah ! Si ton mec te voyait ! Lance-t-il.

Je me recule et revient rapidement à ma place initiale, de peur qu'il regarde par la fenêtre. Bon choix, le gros baisse la tête légèrement. Je ferme les yeux et ne bouge plus.

- Il dort comme un bébé ! Ou comme un bourré ! Ah ! Ah ! Ah ! Ohhh, s'il voyait comme sa petite femme est une salope ! Hein ?

Le son de sa voix me laisse à penser qu'il s'est relevé. Je rouvre les yeux. Mon épouse est toujours collée contre lui, la jambe droite toujours relevée au niveau de la hanche du gros.

- Tu la veux ma queue ? Lui redemande-t-il en lui caressant la cuisse.

Je me rapproche à nouveau doucement, comme un chat, de la fenêtre passager. Il lui a fourré l'index de sa main droite dans la bouche, et elle le suce docilement en le fixant du regard.

- Hein ? Tu la veux petite chienne ?

- Mmh ! répond-elle en faisant un signe positif de la tête.

- Demande-le moi gentiment ! Dit-il.

Il enlève son doigt de la bouche de ma femme. Et il attend, en continuant de lui caresser la jambe avec la main gauche, et en lui malaxant un sein avec l'autre.

- Je... la veux ! Souffle-t-elle timidement.

- Tu veux quoi ? Balance le gros, la mine réjouie.

- Ta queue. Lui répond-t ‘elle à voix basse.

- Ah oui ?

Avec sa main droite, il baisse sa braguette, plonge sa main dans son short, et en sort sa queue raide et énorme qu'il lui passe entre les jambes. Il plaque vraiment le bassin de ma femme contre lui, passe son autre main sous la cuisse relevée de cette dernière qu'il caressait pour la maintenir, et se met à frotter son mandrin de haut en bas contre sa chatte.

- Oohhh ! Tu dégoulines petite pute !

Il l’embrasse après cette phrase.

- Où tu veux que j'te la mette ? Demande-t-il en continuant ses frottements.

- Là ! Soupire-t-elle.

- Là où ? Glousse le gros.

Il lâche la cuisse de ma femme, qui la relève aussitôt en la frottant contre lui, prend sa queue, et commence à frotter son gros gland contre l'entrée de sa petite chatte.

- Où ? Redemande-t-il.

- Dans… Dans… ma chatte ! Expire-t-elle dans un feulement, en gémissant.

- Ok !

Et il rentre son gland dans le sexe de ma femme, qui pousse un râle étouffé. Il repasse sa main sous la jambe relevée de ma femme, et la lève plus haut, en la maintenant, écartant ainsi encore plus sa chatte, et la fait pivoter légèrement de côté. Je vois sa longue et grosse queue la limer, à quelques dizaines de centimètres de mes yeux. Avec l'autre main, il agrippe un de ses seins, et soulève le mamelon en direction de la bouche de cette dernière.

- Lèche ! Lui ordonne-t-il.

Ma femme sort sa langue et essaie de lécher le téton. Mais malgré sa belle poitrine généreuse, il manque quelques centimètres. Du coup le gros sort sa langue à son tour, et lèche à tour de rôle le mamelon et la langue de ma femme, tout en la pilonnant avec sa queue. Alors qu'elle essayait d'étouffer ses gémissements depuis le début, je me rends compte que quelques-uns sont de plus en plus sonores. Elle risque donc non seulement de me réveiller moi, j'étais éveillé de toute façon, mais aussi et surtout d'autres routiers dont les camions ne sont pas si loin de ma voiture. Je scrute les alentours. Un camion a sa cabine allumée juste à côté. Un gros black en descend…

A suivre…


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