vendredi 3 septembre 2021

Comment je suis devenu cocu et ma femme soumise Ch. 02

 Auteur inconnu.

Je laisse ma femme dans la cabine d’un camion.

Le gros n'a même pas pris le temps de vérifier si j'étais bien parti. Sarah est toujours assise sur le bord du lit, le gros est collé à elle à sa droite. Il lui caresse le genou avec sa main gauche. La couverture qui était destinée à ma femme est en boule dans un coin du lit. Celle-ci ne le regarde même pas et n'émet aucune protestation quand le gros allonge ses caresses jusqu'au milieu de sa cuisse. 

- Tu es bonne !  Lui dit-il tout en accélérant ses caresses.

- Avec ta tenue, on dirait une des petites chiennes de mes posters.

Ma femme ne bronche pas. Elle lui demande seulement :

- Ma couverture ?

- Je vais te donner mieux qu'une couverture ma salope !

Et il tire un grand coup sur le haut de mon épouse, laissant apparaître ses deux gros seins bronzés. Il passe son bras gauche derrière le dos de ma femme, et lui attrape ses deux nichons. Je bande comme un âne en voyant cela. Il commence à lui peloter les seins et lui pincer les tétons.

- Putain qu’est-ce qu’ils sont gros tes nibards.

- Qu'est-ce que tu fais ? Souffle ma femme en essayant de le repousser comme elle peut.

Mais l'autre n'en a cure. D'un coup il lui lâche les seins, la prend par le menton et lui dit :

- Suce mon doigt !

Ma femme ne bronche pas. Une petite claque s'abat sur le sein de ma chérie, qui grimace et émet un petit "HAN" de douleur, mais ne fait toujours rien. Paf ! Une deuxième s'abat à nouveau sur son sein, avec la même demande. Son sein a la marque des doigts.

- Tu me fais mal ! Bafouille ma femme en hochant la tête pour qu'il la lâche.

Le gros lui bloque le menton et lui ordonne :

- Tu veux plus que je te fasse mal ? Alors suce mon doigt, coquine !

Je me dis que ça va peut-être un peu trop loin et m'apprête à intervenir avant que cela ne dégénère, lorsque devant mes yeux ébahis, ma femme entrouvre la bouche laissant le gros y introduire son index. Celui-ci commence à le faire coulisser entre les lèvres de ma chérie qui se sont refermées, et elle le suce les yeux fermés. Ses lèvres sont creusées, elle met du cœur à l’ouvrage.

- C'est bien ! Regarde-moi dans les yeux ! Lui ordonne-t-il tout en lui malaxant chaque sein et lui pinçant les tétons. Ma femme ouvre les yeux et le regarde. Son regard a changé, il est toujours embué par l'alcool, mais il est plus lubrique.

- Écarte les cuisses maintenant !  Lui réclame-t-il. Pas de réaction de mon épouse qui suce toujours l'index. Paf ! Une petite claque sur le sein qui la fait pousser un petit cri étouffé. Ses cuisses s'écartent. Le gros prend la jambe la plus proche de lui, la passe par-dessus son genou, et entreprend une caresse du genou jusqu'en haut de la cuisse.

- Quelles jambes ! Dit-il en faisant cela à ma femme suçant toujours le doigt les yeux clos maintenant. Il arrive à sa chatte et lui lance un :

- Ton string est trempé.

Il décale le string sur le côté et contemple cette chatte épilée avec juste le petit ticket de métro au-dessus de la vulve. Il y introduit alors l'index et s'écrit :

- Mais t'es toute trempée ma salope !

Puis il ajoute deux doigts supplémentaires et entame une branlette en bonne et due forme. Je n'en crois pas mes oreilles. Ma femme rouvre les yeux, et le fixe avec le même regard qu'auparavant, tout en continuant à lui sucer l'index, en poussant des petits gémissements étouffés. Ma femme ! Elle, si belle, qui détestent ce genre de mec, moche, gras, vulgaire. Elle est sous son influence, complètement à sa merci, alors qu'elle le repoussait quelques minutes avant. Il ordonne, elle obéit. Est-ce l'alcool ? Sûrement. Un fantasme qu'elle avait au fond d'elle ? Peut-être. 

La scène à laquelle j'assiste est irréelle, je pensais qu'elle resterait à jamais de l'ordre du fantasme, surtout avec le physique du gars. Je sors mon sexe de mon jean et commence à me masturber doucement en regardant, de peur d'éjaculer trop vite.

- Tends tes beaux nichons vers moi ! Lui ordonne-t-il.

Elle s'exécute. 

- C’est bien, tu apprends vite ma salope.

Il enlève son doigt qui était dans la bouche de ma femme, attrape un de ses seins et se met littéralement à le bouffer, tout en continuant à la branler. À son visage, elle a l'air d'aimer ça. Ses yeux sont fermés, sa bouche entrouverte, et des petits soupirs se font entendre au milieu des bruits de succion. Le gros la bascule en arrière, la tête sur la couverture en boule. Par chance, celle-ci est dans le coin me laissant un bon angle de vue. Il continue de lui dévorer les nichons, l'un après l'autre cette fois. Sa main est presque entièrement dans la chatte de ma femme, qui a complètement écarté les cuisses et dont la respiration et les gémissements sont de plus en plus forts. Après quelques minutes de ce traitement, le gros se redresse, contemple quelques secondes mon épouse les jambes toujours grandes écartées et lui lance :

- J'étais sûr que t'étais une petite salope ! Je l'ai dit à Gilbert quand t'es revenue des toilettes, y voulait pas me croire !

Ma femme le regarde la bouche entrouverte, mais ne dit rien. Il enlève son T-shirt. Il est gras et poilu sur le torse et les épaules. Il fait de même avec son pantalon. La bosse qui se dessine à travers son slip est impressionnante. Moi qui n'ai pas à me plaindre concernant la taille ma queue, je suis interloqué. Il enlève son slip. En effet. Elle est large, et à première vue doit faire au moins 25 cm. Il la dresse fièrement devant ma femme et lui dit :

- J'en ai baisé des putes, sur l'autoroute ! Mais des beautés comme toi jamais ! Je vais te baiser comme jamais on t'a baisée ! Même pas ton petit mari ! Mais avant ça tu vas me sucer.

Je sais que Sarah n’aime pas trop ça, mais je la vois se mettre à quatre pattes devant lui. Elle pose délicatement ses lèvres sur le gland. Elle ouvre la bouche qui est bientôt déformée par la taille de l’engin. Le gros respire fort et l’encourage avec des mots plus obscènes les uns que les autres. Elle a de la bave sur le menton et des hauts le cœur quand il commence à prendre sa tête pour imposer le rythme. Il lui bloque la tête à plus de la moitié de sa tige. Je crois voir une larme. Je bande comme un taureau. Il finit par relâcher son étreinte et tapote son sexe sur le visage de ma tendre et chère. Il finit par l’attraper et la retourner comme une poupée.

Il se met à genoux entre ses cuisses, remonte le haut de ma femme qui n'est plus qu'une fine ceinture sur son ventre, lui attrape les chevilles, lui replie un peu les jambes et enfonce sa grosse queue dans sa chatte. Ma femme pousse un râle de plaisir. Il l'enfonce complètement et la ressort doucement. Il fait ça plusieurs fois. Je regarde son mandrin énorme entrer et sortir du fourreau de ma chérie. Je me branle de plus en plus doucement, car je suis prêt à exploser. 

- Elle te plaît ma grosse bite, hein ? Elle glisse bien dans ta p'tite chatte trempée, hein ?

Ma femme ne répond pas, mais je remarque que son regard est encore plus vicieux qu'avant. Pendant tout le temps ou le gros effectue ces allers-retours, elle fixe sa bite, et ouvre plus grand sa bouche à chaque fois qu'il la pénètre. Je remarque aussi qu'elle se caresse doucement le sein droit.

- Hein tu l'aimes ?

Et il se met à accélérer le rythme provoquant un rictus de douleur sur le visage de ma femme. Il lui ramone littéralement son étroit fourreau. Il lui lâche les chevilles et s'allonge sur elle, elle laisse retomber ses jambes pliées, les talons posés sur le lit. Il lui chope les deux seins et se met à les lécher et les téter à tour de rôle tout en la pilonnant. Son ventre et sa queue claque contre sa chatte. Ma femme a les yeux fermés, la bouche grande ouverte, et émet de grands gémissements sonores.

- T'aime ça petite pute ! Hein t'aimes ça ?

Pas de réponse.

- Dis le que t'aime ça !

Ma femme soupire un petit  Oui . Je lâche ma bite, je suis à deux doigts de venir.

-' Ah oui t'es une belle petite pute hein ? Hein ? 

Il lui met des petites claques sur le visage.

- Oui ! Soupire à nouveau ma femme.

Et il la pilonne encore plus fort, la faisant râler longuement de plaisir. Il la fait jouir ! Ce gros sac hideux la fait jouir. Et rapidement en plus.

- Ha ! Ha ! Ha ! C'est pas encore fini ma jolie ! Lui lance t-il alors qu'elle reprend son souffle.

Il lui bouffe encore les seins quelques secondes. 

- Tourne-toi sur le côté !

Et il la retourne dans ma direction comme une marionnette, passe derrière elle, lève une de ses jambes en la tenant par le genou, et s'enfonce à nouveau dans sa chatte. Il la pénètre à une vitesse moyenne, mais constante. Je reprends ma masturbation et regarde ma femme. Elle est superbe. Les yeux mi-clos, la bouche entre-ouverte, sa petite langue en sortant légèrement, ses gros seins bronzés ballottant au rythme des pénétrations. Dans cette position, je vois parfaitement la bite énorme du gros entrer en elle et en sortir aussi vite. Je me demande comment il fait pour tenir aussi longtemps sans jouir, en baisant une femme aussi belle. 

Il la baise comme ça pendant plusieurs minutes en mettant des fessées régulièrement qui font crier Sarah. Puis il lâche à nouveau sa jambe, la replie sur l'autre et l'enfile aussi sec. Je vois ma femme grimacer légèrement. Puis quelques secondes plus tard son visage se détend. Le gros en profite pour lui enfoncer un doigt, puis deux dans l'anus. Il accélère petit à petit en guettant sa réaction, puis en entre un troisième et entreprend un mouvement circulaire pour élargir le trou. Pourtant pas du tout habituée à ce traitement qu'elle me refuse depuis quelques années, ma femme n'émet aucunes protestations. Elle tourne la tête vers son amant. Sa bouche s'ouvre et se referme à chaque mouvement circulaire, et sa respiration se fait plus forte, mais elle ne bronche pas. Ce spectacle me rend un peu jaloux, mais l'excitation de voir ma femme dans cette situation prend le dessus.

- Je vais t'enculer ma jolie ! Tu vas aimer ça, hein petite salope ?! Rugit-il.

Tout à coup, j'entends un léger bruit métallique qui vient de la portière passager. Par réflexe, je remballe ma queue. La porte s'ouvre !

A suivre…

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