jeudi 29 juillet 2021

La tournée d'Aline Ch. 04

  Texte de Le Normand

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 Les bourgeois.

Aline, jeune postière poursuit sa tournée mouvementée dans le quartier résidentiel de cette petite bourgade de Normandie. Elle tente de faire bonne figure malgré sa tenue souillée par les traces de sperme. Elle évite le regard des passants, allant très vite d’une boite aux lettres à la suivante quand le ciel bleu laisse la place à des nuages annonciateurs d’averses. Celles-ci ne tardent pas à éclater.

Sous la pluie, le corsage d’Aline colle à sa peau, le rendant quasiment transparent et mettant en évidence la jeune poitrine ferme aux tétons durcis. C’est ainsi que la jeune postière, écarlate de confusion, sonne à l’entrée d’un pavillon, dont elle connaît la rigidité apparente des occupants, pour remettre un paquet.
 
Yvette, la cinquantaine élégante, grande et mince brune aux cheveux courts ouvre et découvre une jeune postière qui tremble de froid et de honte.

- Bonjour, Madame, un paquet en recommandé pour vous… Articule difficilement Aline.

- Ah oui, mon mari va être content, mais ne restez pas sous la pluie, entrez mademoiselle ! Lui répond Yvette dont le regard ne peut se détacher des atouts dévoilés de la jeune femme.

Elle la fait entrer dans le vestibule et face à la détresse de la jeune femme lui propose un café et de se sécher. Aline n’ose refuser d’autant que la pluie redouble. En toute confiance, elle suit Yvette vers la salle de bain. 

Pour se sécher, Aline ôte son chemisier et sa jupe. Elle est donc nue quand elle entend Yvette lui proposer de passer ses vêtements dans le sèche linge, le temps que la pluie se calme.
 
Aline n’a pas le temps de répondre que la porte s’ouvre, dévoilant sa nudité à Yvette qui marque un temps d’arrêt pour admirer la beauté de la jeune femme. Son regard s’attardant sur la chatte lisse et gonflée de désir de la jeune postière. Sans un mot, Yvette s’empare de la jupe et du chemisier en proposant à la jeune femme de prendre une douche compte-tenu de sa tenue.

- Prends ton temps, je vais déballer le paquet et sans doute l’essayer sur mon mari ! Dit –elle en quittant la jeune femme le sourire aux lèvres.

Une fois sortie de la douche, Aline entend des gémissements et des râles. Intriguée mais curieuse, « vêtue d’une seule serviette de bain, Aline ouvre délicatement la porte de la salle de bain. Les bruits et les soupirs sans équivoque viennent de la chambre conjugale dont la porte est entrebâillée.

Aline découvre ainsi Yvette totalement nue mais harnachée d’un gode ceinture dont l’emballage traîne à terre face à un homme un peu grassouillet à genoux devant sa femme. Celui-ci suce avec application le gode en masturbant une queue courte mais épaisse, sous les encouragements de sa femme. Satisfaite par l’action de son Raymond sur le gode, Yvette lui ordonne de se mettre à quatre pattes sur le lit. Elle lui écarte les cuisses et s’empare d’un gel qu’elle étale avec plaisir dans la raie, jouant avec l’entrée de l’anus avant d’y pénétrer lentement mais fermement un doigt puis un second élargissant la rondelle de son époux.

Raymond soupire de plaisir et lui demande de l’enculer. Sa femme présente enfin le gode à l’entrée de l’anus. Le sexe artificiel écarte les chairs de Raymond qui tend ses fesses pour mieux être pris tout en encourageant sa femme.

Yvette commence un lent va et vient dans le cul de son mari, s’enfonçant plus loin à chaque pénétration. Raymond gémit, partagé par la douleur et le plaisir qu’il sent envahir son cul, son ventre et l’ensemble de son corps. Plaisir qui redouble quand Yvette se retire pour le pénétrer d’un coup lui remplissant l’anus avec le sexe artificiel puis elle accélère le rythme en prenant fermement ces hanches pour mieux l’enculer.

La scène réveille le feu intérieur qui sommeille dans le ventre d’Aline. Elle se caresse en s’introduisant un doigt dans la chatte de nouveau humide tandis que son pouce stimule son clitoris. Encouragée par les râles de plaisir de Raymond mais aussi par l’action procurée par le double gode fiché dans son vagin, Yvette accélère encore le mouvement et sodomise sans ménagement son mari jusqu'à parvenir ensemble à la jouissance, à un orgasme intense.

Le calme qui suit cette jouissance des deux époux écroulés l’un sur l’autre, est troublé par les gémissements d’Aline également emportée par un orgasme qui la submerge de plaisir. Découvrant la présence de la jeune femme, Raymond est le plus vif à réagir. Il attrape Aline par le bras et la traîne dans la chambre découvrant à la fois la nudité et la beauté de la jeune femme. 

- Il s’agit de notre jeune dévergondée de postière à qui j’ai proposé de sécher ses vêtements trempés. Comme tu le constates, il s’agit d’une petite salope qui ne porte aucun dessous. Dit Yvette à son mari

- A mon avis, nous pouvons l’utiliser pour notre plaisir. Ajoute-t-elle.

- Sans aucun doute ! Répond le mari qui glisse un doigt dans la fente humide de la jeune femme.

- Elle est mouillée, la salope. Constate Raymond.

- Oui… d’abord ma petite tu vas sucer mon Raymond pour qu’il te baise pendant que je l’encule une nouvelle fois… ensuite nous verrons…allez au turf… !

Raymond s’allonge sur le lit, la jeune femme à genoux entre ses cuisses s’empare d’une queue flasque et commence une masturbation lente du membre qui ne tarde pas à réagir. Sa langue experte lèche les testicules, monte jusqu’au gland quelle s’amuse à sucer comme un cornet de glace puis redescendant jusqu’à l’anus largement ouvert. Yvette en profite pour faire des photos en gros plan.
Aline prend totalement en bouche le sexe l’aspirant, le suçant, jouant de la langue sur le gland arrachant des gémissements à Raymond qui maintient la tête de la jeune femme pour mieux lui baiser la bouche.

Durant ce temps, Yvette caresse la jeune femme, lui fouillant la chatte et humidifiant son anus avec sa mouille pour préparer celui-ci. Sans ménagement, elle écarte les fesses d’Aline et l’encule très rapidement d’un coup, elle pénètre le gode entièrement dans l’intimité de la jeune femme lui arrachant un cri de douleur.

Après la surprise et sous les assauts d’Yvette, Aline connaît alors des instants merveilleux de plaisir contractant les muscles de son cul. Elle jouit plusieurs fois de suite avant de connaître un orgasme dans un dernier assaut d’Yvette qui hurle son plaisir et de recevoir le sperme du mari, par de longs jets dans la gorge. Raymond lui maintient la tête la forçant à avaler sa liqueur et à nettoyer le sexe qui reprend aussitôt de la vigueur.
 
Yvette ôte alors le gode ceinture et en pare la jeune femme. Pour qu’elle encule à son tour Raymond pendant que celui-ci va prendre sa femme en levrette. Aussitôt dit, le trio se met en position, Raymond après un rapide léchage du sexe et du cul de sa femme, présente son gland et le fait pénétrer sans difficulté tant l’envie d’Yvette est forte. 

Dans un même temps, Aline écarte les fesses de Raymond et le sodomise à fond. Elle synchronise son mouvement dans le même rythme que Raymond dans le sexe de son épouse. Celle-ci exprime bruyamment son plaisir et se masturbe le clitoris avec vigueur. Raymond se retire du sexe de son épouse et lui basculant le bassin dégage son cul pour l’enculer d’un coup.

Une série de gémissements, de cris de plaisir accompagnent ce « train » du plaisir anal… pendant un long moment s’enculant tantôt avec vigueur, tantôt avec douceur conduisant le trio vers les sommets de l’extase.

Dans un dernier sursaut Raymond décharge dans le cul de sa femme qui contracte tout les muscles de son corps dans un orgasme intense. Elle en tremble de bonheur. Raymond écroulé au côté de sa femme ordonne à Aline de nettoyer à la fois son sexe et le cul d’Yvette. Celle-ci s’exécute avec plaisir.

Il est temps de quitter le couple, après quelques derniers baisers et caresses, revêtue de ses vêtements sec, Aline que le plaisir rend plus sexy, reprend d’un pas guilleret sa tournée qui touche à sa fin.

A suivre…

mardi 27 juillet 2021

Billy Boy Ch. 02

Traduction d'un récit de Shooter3704 par Coulybaca

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Dépendance.

Tout semblait se passer comme si à la vue de ces cassettes elle était repartie d'un bon pied. Elle était redevenue ma June adorée et c'était fantastique de refaire l'amour avec elle.

Elle revoyait son amie Tammy. En fait au printemps, à quelques exceptions près, June avait repris un comportement des plus normal. Elle se rasait régulièrement la toison, et bientôt lassée de le faire, elle se fit faire une épilation électrique, j'aimais le contact de son pubis glabre. L'autre changement, c'est qu'elle conservait le langage populaire de ses suborneurs.

J'en avais oublié les cassettes, June les avait transférées sur un DVD et je savais qu'elle le regardait parfois, alors que je travaillais. Cela ne me gênait pas outre mesure. Elle avait gardé un autre témoignage de ces jours difficiles, ses mamelons étirés semblaient toujours être érigés, même lorsqu'elle dormait.

Tammy MacCall la visitait fréquemment, c'est une petite brune, un peu joufflue, avec une grosse poitrine, une forte personnalité, une belle plante. Lors de nos noces, on s'était beaucoup amusé à tenter de deviner si ses gros nibards rentreraient dans sa robe de demoiselle d'honneur. Elle travaillait aussi dans l'informatique, ce qui leur faisait une chose de plus en commun. Elles étaient amies depuis leurs années collège.

Un après-midi, alors que je rentrais plus tôt que d'habitude, je trouvai June et Tammy visionnant le DVD rapportant les aventures sexuelles de June, je ne sus que dire. C'était un viol, mais elle ne semblait pas le considérer ainsi, le terme de viol ne lui semblait pas bien adapté. En tout cas, j'arrivai comme d'ordinaire dans le salon lorsque j'entendis le son familier de la cassette, j'avais vu la voiture de Tammy parquée devant la maison, c'est pourquoi je savais qu'elle était là. J'étais assez surpris que June partage ce DVD avec quelqu'un, même avec une amie aussi proche que Tammy.

- "Mon Dieu, June !" s'exclama Tammy.

- "Je ne l'aurai jamais cru si je ne l'avais pas vu de mes yeux ! C'était donc ça votre voyage de noce !"

- "Eh oui c'est ainsi. C'est mon voyage de noce." 

Je me glissai silencieusement dans l'entrée, les écoutant attentivement.

- "En deux jours, j'me suis fait baiser plus que les autres femmes en 1 an."

- "As tu pensé en mourir ?"

- "Oh , oui tu sais. C'était l'enfer. D'abord j'ai été terrifiée. Je croyais qu'ils allaient me tuer."

- "Sacré tempérament !" murmura Tammy se penchant pour mieux voir ce qui se passait à l'écran.

- "T'as vécu le rêve de bien des femmes. Se faire violer par des noirs impitoyables. C'est quand même mieux que de toujours manger des patates !"

Les deux filles gloussèrent en chœur.

- "C'était pas des patates, mais qu'est ce que j'ai eu comme sauce ! A eux tous ils ont bien éjaculé deux litres de foutre. Le plus souvent dans ma chatte."

- "Tu veux bien me faire une copie de ce DVD ? J'aimerai bien le regarder quand je me gamahuche avec mon gros boute joie."

- "Non seulement je peux, mais je veux t'en faire une copie !" rigola June.

- "Mais pourquoi un gode ? Qu'est devenu ton dernier ami ? Celui dont je n'ai jamais retenu le nom !"

- "C'est de l'histoire ancienne. " répliqua Tammy

- "Bon Dieu, faut que j'arrête de regarder ce film, je sue comme une truie et je suis en train de tremper la surface de ta chaise. Sais-tu comment les contacter ?"

June ne répondit pas.

- "Je suis désolée pour ton copain, que s'est-il passé ? "

- "Oh c'est bien simple. Il ne connaissait que la position du missionnaire et ne se montrait pas très empressé au lit. Un p'tit coup en vitesse et bonsoir madame. Ce que je veux vraiment, c'est des gars comme ça !" dit-elle pointant son doigt sur l'écran.

- "Un homme capable de me baiser plus de cinq minutes."

- "T'aurai besoin d'un homme comme Bill ."

- "C'est toujours bon pour un couple d'avoir des orgasmes fastueux !"

- "T'es une belle salope de me dire ça. Comment se comporte t-il par rapport à ces gars. A-t-il vu la cassette de ton viol ? "

- "Par l'enfer... Il me fait l'amour plusieurs fois chaque nuit. Je n'ai jamais à le lui demander. Il est toujours prêt. Vraiment Tammy, il s'est comporté comme un amour face à tout ça. Aucun jugement. Pas de reproches. Il a accepté ce qui était arrivé. Tammy je ne suis pas aussi conservatrice que tu le crois. Te prêter Bill ne me créerait aucun problème. Note bien que j'ai dit prêter."

La conversation prenait une tournure des plus captivantes.

- "D'accord Tammy ? regarde. C'est une partie fort intéressante. C'est la première fois qu'ils m'ont fait grimper aux rideaux, c'est ainsi qu'ils disaient, j'avais une bite dans le cul, une seconde dans la chatte et j'en suçais une troisième."

- "Jusqu'ici je pensais que ce n'était pas possible ! "rigola Tammy.

- "Oh Mon Dieu, c'est vraiment incroyable, je n'ai jamais vu une aussi grosse bite, je parle de celle que t'as dans le cul !"

- "Oh oui, elle vraiment énorme ! C'est Travis le sadique enculé de sa mère, il aime faire mal, tu vas avoir du mal à le croire, c'est la première bite que je prenais dans le cul ! "

- "Je croyais que Tommy Thornton t'avait enculée lorsqu'on était au lycée." commenta Tammy, les yeux rivés à l'écran.

- "Cela m'étonnait bien que ce bouffeur de chatte t'ait enculée !" se marrait Tammy.

- "Tu parles il a bien essayé de m'enculer, mais il n'était bon que pour une chose, il aimait me bouffer le gazon, c'est la seule raison pour laquelle je flirtais avec lui !".

- "Bill t'encule t-il ? "demanda Tammy. Cela fait plus d'un an que vous êtes ensemble."

- "Par Dieu non, Bill est un fouteur de minet. Je ne pense même pas que l'idée d'emprunter l'autre voie lui soit venue ! même pour changer. Ce n'est pas que je m'en plaigne. Ce que fait Bill est toujours très bien fait. Tu devrais l'essayer tu verrais bien."

- "Nous avons échangés des petits amis auparavant, mais je pensais que c'était fini maintenant que tu étais mariée !" commenta Tammy.

- "Evidemment, je n'ai plus qu'un homme à échanger. Enfin, tant pis. Si ça ne t'intéresse pas !" répondit June."En tout cas, tu peux m'emprunter Bill quand tu veux !"

- "Tu ne me provoquerais pas si tu savais à quel point je peux être salope !" rigola Tammy, et elle ajouta :

- Cela fait deux mois que je n'ai pas baisé. Et pourquoi voudrait-il baiser avec moi alors qu'il t'a toi dans son lit !".

- "Je ne plaisante pas Tammy " continua June "Bill sauterait sur l'occasion de te baiser. J'en suis sûre. Tes nibards l'ont toujours fasciné. Dis-le moi quand tu te sentiras prête. Flute je n'ai pas vu le temps passer, il faut que je prépare le repas !".

- "N'oublie pas de me faire une copie de ta cassette." rappela Tammy, "Elle est vraiment super. Tu sais, il ne faut pas que tu la montres à n'importe qui ! "

Je ressortis de la pièce discrètement et je revins dans la cuisine en claquant la porte. Les deux copines me rejoignirent dans la cuisine, rouge et haletante bien qu'elles affichaient un air nonchalant. Je roulai un palot à June, et les surpris toutes deux en faisant de même avec Tammy. Tammy cherchais encore à reprendre haleine lorsque je les quittais pour me changer.

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Le soir même, alors que nous étions au le lit, June me demanda :

- "Pourquoi as-tu roulé une pelle à Tammy tout à l'heure ? Cela ne me gêne pas, mais tu l'as drôlement choquée."

- "Je suis arrivé quand vous regardiez la cassette " confessai-je "J'étais un peu vexé parce que je ne suis pas un objet qu'on échange. Je t'ai entendu proposer à Tammy de m'emprunter. J'ai voulu savoir si elle appréciait ton offre."

Après une courte pause, June constata calmement :

- "Oh.. Je vois... Qu'as tu entendu exactement ?"

- "Je suis arrivé alors que sur le DVD tu te faisais baiser par trois hommes en même temps. J'en ai entendu assez pour te dire que je connais une petite femme qui va se faire enculer ce soir. J'y ai déjà pensé, mais tu as raison. Je suis tout d'abord un chasseur de foufoune, mais ce soir, je sens que je vais faire une exception !"

Et cette nuit, je l'ai enculée pour la première fois, mais comme j'étais libre de choisir, je l'ai prise aussi plusieurs fois par la chatte, June m'offrit son anus sans aucun problème, je n'ai pas joui dans son trou du cul, je préférais me vider les couilles dans sa chagatte.

- "Je dois t'avouer quelque chose..."me murmura-t-elle à l'oreille.

J'allais sombrer dans le sommeil, mais ces quelques mots attirèrent mon attention.

- "J'ai reçu un mail de Reggie ! "

- "Quand ça ? "

- "Ce matin même. Il voulait savoir si je pensais encore à sa grosse bite noire."

- "Comment a-t-il déniché ton adresse e-mail ?"

- '"Elle figure sur ma carte professionnelle." me répondit June et elle ajouta :

- "Ils ont fouillé mon sac lors du viol. Je suppose que c'est comme ça qu'il l'a eue. Pas un d'entre eux ne savait où l'on habite."

- "Ta carte ne comporte-t-elle pas aussi ton numéro de téléphone ?"

- "Non je pense qu'il n'y a que mon numéro professionnelle à Chicago" 

Je réfléchis un long moment à ces révélations.

- "Et que lui as-tu répondu ?"

- "Rien pour l'instant. Je n'ai pas répondu à son mail. Je voulais savoir comment tu le prendrais auparavant."

Je ne savais pas encore comment me comporter face à cette information, d'une part, j'aurais aimer tuer de mes propres mains ce bâtard, mais j'étais assez honnête avec moi même pour admettre que d'autre part la cassette avait été pendant longtemps mon principal sujet de préoccupation, mais maintenant que June semblait en avoir pris son parti.

- "Réponds à ce bâtard si tu le veux ! " concédai-je finalement.

- "Cependant réponds moi franchement : que vas-tu répondre à la question concernant sa grosse bite ?"

June resta muette un long moment, je pensai qu'elle s'était assoupie contre mon épaule.

- "J'ai toujours été franche avec toi mon chéri. Et j'entends bien continuer à l'être. Je ne veux pas de mensonges entre nous. Dans cet esprit de vérité, je lui répondrai que j'ai souvent pensé à sa grosse bite. Pas seulement à la sienne d'ailleurs, mais aussi à toutes les bites qui m'ont pénétré ces jours là."

Cela ne me choquait pas, il était évident qu'elle devait y penser, et comme on regardait le DVD presque tous les jours.

- "Ils m'ont utilisée pendant quasiment 48 heures. Je n'ai pu dormir qu'environ 8 heures. Personne ne pourrait oublier cela. Ni même s'empêcher d'y penser !

- "Quand tu diras à ce pourri que t'as souvent pensé à sa grosse queue, précise lui bien que je possède un port d'arme. Tu pourras ajouter que moi aussi je me rappelle sa saloperie de queue noire qui t'as fait grimper au rideau ! "

Je dois admettre que je haïssais toujours autant cette saleté de bâtard.

- "Ca fait un beau sujet de conversation ! " rigola June.

- "Ce serait dur d'évoquer tout ça avec nos parents, lorsqu'ils viendront nous voir ! 

- "Oh oui maman... C'est Reggie un ami qu'on a connu en voyage de noce..."

Mes idées de vengeance m'assombrissaient, mais cette fois je ne pus me retenir de rires aux éclats. Nous nous sommes tus pendant un long moment et je me rendormais lorsque June reprit :

- - "T'aimerais te faire Tammy ? Je crois que c'est vraiment un bon coup ! Bill, tu dors ?"

Comme je ne savais pas quoi lui répondre, je fis semblant de dormir, pensant que c'était vraiment une drôle de conversation entre époux. 

Finalement vendredi arriva, j'escomptai passer un bon week-end, June ne m'avait plus rien dit me concernant ou concernant Reggie.  En fait l'ironie voulait que nous pensions à lui tous les deux, mais pas dans les mêmes termes ni pour les mêmes raisons. La curiosité me démangeait, mais j'attendais que June me fasse des confidences. Je pensai souvent à l'attirance de June pour les grosses queues noires, ainsi qu'à son semi viol. Je suis sûr que je pensais cela parce que j'avais été réduit au rôle de spectateur passif, que je n'avais absolument pas pu influer sur les événements. Le fait que June avait été défoncée par de nombreuses bites noires ne m'ennuyait pas trop, ce qui m'ennuyait c'est de n'avoir eu aucun contrôle sur ces événements.

Je veux dire, que je savais que June était loin d'être vierge lorsque nous nous sommes mariés, nous avions vécu longtemps ensemble avant de nous marier sous la pression familiale, et je savais qu'elle avait eu des relations sexuelles avant de me connaître. En fait elle avait été très active dans ce domaine. Ce que je détestais le plus, c'est le sentiment de peur que m'avait inspiré cette épreuve, et en réalité je haïssais Reggie de m'avoir fait ressentir cette terrible peur.

J'étais encore dans l'entrée lorsque June me tendit un verre de bière fraîche, habituellement je bois directement à la cannette.

- "Merci chérie" dis-je acceptant le verre, "Ta journée s'est bien passée ?"

- "Une excellente journée" me répondit June me souriant.

- 'Et toi, comment s'est passée ta journée ?"

Je lui répondis que c'était la même routine que d'habitude, je me changeai et nous nous assîmes dans le patio. June était inhabituellement joyeuse, et je pensai qu' elle attendait quelque chose qui n'allait plus tarder.

- "Bill, te rappelles-tu m'avoir dit de recontacter Reggie ? "

J'acquiesçai d'un hochement de tête.

- "Je l'ai fait, je lui ai dit que tu serais content de le recevoir." gloussa-t-elle joyeusement.

- "Que tu serais heureux de le prendre pour cible. Il ne m'a pas répondu, aussi je pense qu'il décline mon invitation".

- "Pitié" soufflai-je sourdement.

- "Oui, mais ce même jour j'ai entendu parler de Travis."

- "Vraiment ? le sadique ! >M'exclamai-je tout surpris."

- " Oui, le sadique."

- "Il veut être sûr que tu comprennes qu'il n'avait rien à voir dans mon kidnapping."

J'attendis la suite.

- "Je lui ai répondu que tu le savais bien."

- "C'est très bien" concédai-je sourdement. "Je ne lui mettrai que trois balles dans le coffre au lieu des six que je destine à Reggie. Pourquoi se soucie-t-il de ce que je pense ?"

- "Il voudrait me baiser à nouveau."

Cette précision me surprit.

- "Je suppose que ce que tu veux vraiment savoir, c'est si je suis d'accord ? Et toi aimerais-tu qu'il te baise à nouveau ?"

- "J'aimerai bien" me répondit-elle me passant la main dans les cheveux.

- "Peut-être pas Travis en personne, d'ailleurs, mais quelqu'un dans son genre !"

Enfin, elle se libérait. Je réfléchis tandis qu'elle allait rechercher de la bière. Lorsque qu'elle fut revenue, je lui dis que si Travis savait où nous habitions, Reggie le saurait rapidement. Je lui expliquai que si je revoyais Reggie, cela se terminerait mal et que je risquerai de me retrouver en taule. En tout état de cause ce serait une sale situation, June hocha la tête tandis que je parlais.

- "Je pense que t'as raison." me rétorqua-t-elle piteusement, affichant une tristesse certaine.

- "Regarde moi dans les yeux June" avançais-je après un long silence.

- "Tu aimerais te faire violer à nouveau par des noirs ? Un gang bang en fait. Pourquoi ne pas chercher des participants plus proches que cette bande de trous du cul ? Par l'enfer, la ville est pleine de noirs qui ne demandent qu'à te baiser ! Au moins ainsi on pourrait contrôler la situation."

- "Tu veux dire que tu serais d'accord ? Que je pourrai me faire baiser par des grosses bites noires ? C'est bien ce que tu sous entends ?"

En fait, je n'y avais jamais pensé, mais, à force de regarder la vidéo, tout cela s'était banalisé lentement, June avait goûté à la marginalité et elle voulait recommencer.

- "Tu es vraiment le meilleur des maris dans ce putain de monde ! En fait... Ce viol était aussi dramatique qu'intense. C'est du moins ce que je ressens maintenant !  Es-tu sûr que tu pourras assister à un gang bang où je me ferai défoncer le connil et le trou du cul encore et encore ?"

- " En fait, j'en bande rien que d'y penser " lui répondis-je vulgairement.

- "Mais cette fois, je veux y assister, et même y participer, mais laisse moi te poser une question... Lorsqu'il ce salaud t'assénait des coups de spatule sur le clito, tu m'as dit qu'il t'avait fait très mal, était ce donc si méchant ?"

- "Bigrement méchant même ! Tout au moins les premiers coups que j'ai reçu. Mais lorsqu'il m'a frappé sur le clitoris, il était si sensible, que j'aurai joui au moindre souffle l'effleurant. Mon clito semblait autonome. On pouvait dire la même chose de mes tétons. J'ai eu un tel orgasme que je me suis presque évanouie. La frontière entre plaisir et douleur est très étroite. J'ai appris cela ! Je n'ai aucune envie d'être martyrisée, mais je ne pourrai sûrement pas condamner celui qui me martyriserait. "

- "Veux-tu que je te frappe le clito ?"

- "Je pense que c'est quelque chose qui t'arrive comme ça. Pas quelque chose que l'on planifie. Tu as bien vu qu'il fallait deux hommes pour me tenir cuisses grandes ouvertes. Tu l'as bien vu ! Je pense qu'en fait cela fait partie des choses qui vous arrivent comme ça, sans les avoir voulues. C'est la partie du DVD que tu préfères, n'est ce pas ?"

Je dus bien admettre que c'était vrai.

- "Pourquoi ne le ferais-tu pas à Tammy, c'est le genre d'expérience qu'elle voudrait connaître !"

- "J'aimerai bien, mais Tammy est très musclée, il me faudra bien trois autres hommes pour m'aider, tout seul, je n'ai aucune chance d'y parvenir !"

- "Je t'aiderai" me répondit June toute souriante. "la tête du lit d'invité est assez solide pour me supporter lui tenant les jambes en l'air, assise sur son torse pendant que tu lui asséneras des claques sur la chatoune."

La proposition de ma femme me laissa pantois. Pantois mais cependant intrigué, il apparaissait que plusieurs options différentes se faisaient jour, June allait préparer un plan pour me livrer Tammy, tandis que je planifierai son gang bang.

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Je pensai avoir de gros problèmes pour trouver des participants à mon projet, et le premier était que je n'avais pas la moindre idée de l'endroit où je pourrai dénicher des volontaires, bien sûr, la ville était pleine de noirs, mais je n'en connaissais pas un seul, du moins c'est ce que je pensais. Plus je réfléchissais, moins je trouvais de solutions valides.

Un des jours qui suivit ma conversation avec June, à la quincaillerie locale, je tombais sur ancien pote, Benny Carter. Il m'informa rapidement qu'il était maintenant avocat, je discutai avec lui à bâtons rompus en attendant mon tour.

- "Au fait Bill, te rappelles-tu Ross Greene, il était en classe avec nous. Il vit ici maintenant." me dit-il comme nous sortions du magasin.

Et comment que je me souvenais de Ross, un colosse noir, le joueur le plus grand et le plus musclé de l'équipe de football américain du lycée ? Ross trempait toujours dans des magouilles minables,

- " Eh bien, je le représente actuellement" poursuivit Ben comme je hochai la tête.

- "Ce bon vieux Ross, il trempe toujours dans des magouilles ? 

- "Il possède une librairie pour adulte qui a été saccagée il y a quelques jours. Tu l'as probablement lu dans les journaux. En fait, il trempe dans des histoires de prostitution. Je le mentionnais, parce que, si je me souviens bien, que vous étiez copains au bon vieux temps."

Ross Greene, cela ne pouvait pas tomber mieux. Mes parents avaient rapidement mis fin à notre relation, ils pensaient que Ross exerçait une mauvaise influence sur moi, c'était vrai d'ailleurs, et c'est ce qui m'attirait chez lui. Je me débrouillai pour me procurer le nom de sa librairie, je me proposai de renouer avec lui.

Le remplacement de mon bouton de sonnette attendrait encore quelque temps, pour l'instant, une visite chez Ross s'imposait. Je n'avais jamais fréquenté les librairies pour adulte auparavant, mais j'avais visité d'autres boutiques spécialisées, sa librairie correspondait à mes attentes. On y trouvait des piles de livres et de magazines empaquetés au centre du magasin, divers objets érotiques étaient pendus au mur. Une enseigne au néon indiquait le chemin à suivre pour trouver les machines vidéo, une femme âgée, les cheveux teints en bleu était assise à coté de la caisse, je fis un tour de salle avant d'approcher la douairière.

- "Vous cherchez quelque chose ?" s'enquit la vieille femme.

- "Je cherche monsieur Ross Greene."

- "Avez-vous rendez-vous avec lui ? "

- "Non... En fait je suis un de ses vieux amis. " annonçai-je rapidement, ajoutant :

- "En fait un copain de lycée."

Elle me jeta un coup d'œil soupçonneux, m'observa un bon moment et appuya sur un bouton au mur. Presque immédiatement, une véritable montagne noire apparut.

- "Un de tes vieux copains !" annonça la vieille femme me désignant du doigt.

Ross avait bien changé depuis nos années lycée, il me dévisagea un bon moment et soudain un large sourire éclaira son visage.

- "Enfant de salaud !" beugla-t-il s'avançant vers moi.

- "C'est bien toi Bill Williams."

Il m'étreignit entre ses bras musclés, il me serra à m'étouffer contre son buste.

- "Juste Bill pour toi ! " souriai-je en me dégageant de son étreinte musclée,

- "J'ai rencontré Ben Carter dans une quincaillerie en ville, il m'a dit que t'habitais dans le coin, c'est pourquoi je me suis empressé de te faire une petite visite."

- "Mon vieux copain ! " beugla Ross en me dévisageant,

- "T'as pas tellement changé, toujours aussi pâle. Es-tu sûre que ta visite ne choquera personne dans ton entourage ?"

Ross n'avait pas apprécié outre mesure les raisons de notre séparation.

- "C'est bon... N'en parlons plus si tu veux bien. Je prends mes décisions moi-même maintenant. J'ai entendu dire que tu avais des ennuis ? "

- "Une tonne d'emmerdes oui..."

- "Mary, on va prendre un pot !" hurla-t-il à la vieille femme m'entraînant hors de sa boutique vers le petit bar du coin.

En dégustant un bon café, nous discutâmes le bout de gras, histoire de découvrir ce que nous étions devenus.

- "Dis-moi comment se fait-il que je te retrouve dans une librairie ? " lui demandai-je, les premiers échanges terminés.

- "En sortant du lycée, je me suis engagée dans les forces aériennes. Je me suis barré. Je me suis marié.  J'ai divorcé. Un de mes oncles possédait une librairie en ville. Trop petite pour y travailler à deux. Aussi il m'a financé et j'ai ouvert cette boutique. La meilleure affaire que j'ai jamais faite. Juste une licence à acquérir. J'ai remboursé mon oncle dès la première année et je me suis installé. J'ai acheté la maison, j'en avais marre de payer une location. J'ai un travail légal et je paie mes impôts comme n'importe quel citoyen ordinaire. "

- "Et en ce qui concerne les bruits comme quoi tu ferais dans la prostitution ?"

Ross sourit, et jeta un cou d'œil panoramique histoire de s'assurer qu'il ne traînait pas d'oreilles indiscrètes.

- "Cela dépend de ta façon d'appréhender les choses, Billy !" répondit Ross baissant le ton.

- "Je profite d'une faille dans la loi."

Et changeant de sujet :

- "Hey, j'ai appris que tu venais de te marier, c'était dans les journaux. "

J'admis qu'effectivement j'avais fait le grand plongeon. Je ne sais toujours pas pourquoi, mais je racontais à Ross, en détail, le déroulement de notre voyage de noce, le rapt et ses conséquences actuelles.

- "Je voulais tuer ce bâtard. Et les autres salauds de participants."

- "Et elle qu'en pense-t-elle ? "

Je lui répondis que June avait maintenant tourné la page, après une longue période d'indécision, je lui révélais aussi que June rêvait de revivre ces événements, il fronça les sourcils de surprise.

- "Je peux le comprendre." répliqua-t-il après quelques instants de réflexion. "Elle a aimé se faire baiser par des grosses bites noires, et elle voudrait retrouver ces sensations inattendues. Ca arrive souvent."

Nous avions déjà vidé plusieurs tasses de café, plus que de raison.

- "Retournons à la boutique, on va discuter de ton problème. "

Il y avait plusieurs clients dans le magasin, apparemment de bons clients, Ross les appelait par leurs noms, la vieille femme semblait gênée, mais elle encaissait imperturbablement leur argent.

- "Que fait cette vieille femme dans ta boutique ?" lui demandai-je alors que nous nous asseyions dans son bureau.

- "C'est tout une histoire. C'est une ancienne call-girl. Elle a gagné énormément d'argent. Elle a eu des hauts et des bas. Son métier est diversement apprécié. Depuis elle dirige une petite troupe de call-girls.  Je l'ai prise dans ma boutique parce qu'elle a besoin d'un lieu sûr où exercer. "

Il s'appuya contre le dosseret de son fauteuil et m'étudia attentivement.

- "Que veux-tu faire pour ta femme, mon cher Billy ? "
J
'avais essayé de le persuader d'arrêter de m'appeler ainsi, mais, j'avais abandonné.

- "Je ne vois que deux solutions : ou tu refrènes ses envies et vous allez rapidement vous brouiller, où tu l'encourages et tu rentres dans son jeu !

- "C'est aussi ce que je me dis. "

- "As-tu une photo de ta femme ?"

Je lui montrai une photo que je montrais rarement, elle était torse nue, j'avais pris cette photo juste peu avant notre mariage . Il jeta un œil attentif sur la photo.

- "Eh ! Un beau petit lot ! Elle a l'air bien chaude. Tu devrais me la présenter. "

C'était exactement ce que j'avais en tête, mais je fus surpris qu'il réagisse si vite.

- "J'ai exactement ce qu'il lui faut. " Ajouta-t-il avec un sourire démoniaque.

Je dus attendre dimanche après-midi pour le présenter à June, Ross avait été pris une bonne partie de la nuit précédente. Ca tombait bien, Tammy aussi était fatiguée et avait été indisponible la nuit précédente. J'indiquais à Ross le chemin de ma maison et lui promit un bon repas et de la bière à volonté.

En le quittant, je m'étais procuré des entraves pour chevilles et des menottes, Ross m'avait assuré que c'était ce qui convenait le mieux, y ajoutant de la bande velcro et des sangles afin de ne pas marquer les corps. Je voulus savoir pourquoi il voulait des menottes, il me répondit qu'il les utiliserait pour immobiliser June, et peut être bien pour me paralyser. Je pensai en avoir assez dit sur ma vie actuelle et mes préoccupations. Il mit un vibro aspirateur dans mon sac et me conseilla de l'utiliser sur le clito et les tétons de June.

- June ne savait pas que Ross était noir et costaud. Je voulais qu'elle soit surprise en le voyant. Je lui avais juste dit que j'avais invité un vieux copain d'école à partager notre repas, dimanche midi. Cela lui suffisait, la vue des menottes l'excitait beaucoup plus.

****************************************

J'ai une vieille passion, lorsqu'il fait beau et que l'on dispose d'un grill, je me transforme en cuisinier. June a appris à me laisser faire, j'avais acheté des grillades et de la bière, j'allumai le barbecue, mon boulot était terminé, Tammy et June installées sur de confortables fauteuils dans le patio, se chargeaient de surveiller la cuisson.

Le temps que cela cuise, on avait vidé quelques verres de vins et quelques cannettes de bière. Comme attendu, les convives bien échauffés, la discussion dévia sur le sexe.

- "June m'a dit que tu avais visionné le DVD de son rapt, Bill ? "intervint Tammy ajoutant :

- "As tu aimé ?" 

Je lui répondis qu'en effet j'avais apprécié le visionner.

- "Et quel moment préfères-tu ?"

- "Difficile à dire Tommy. En fait j'aime la totalité du film. Il est aussi chaud et excitant du début à la fin."

- "D'accord, mais y a bien un moment que tu préfères aux autres ?"

- "En fait, je préfère deux moments : lorsque qu'elle s'empale sur une bouteille, et lorsqu'ils lui maltraitent les mamelons. "

- "Eh ben Bill "s'exclama Tammy riant aux éclats,

- "Moi mon moment favori c'est lorsqu'elle reçoit des coups de spatule sur le clito. Combien de fois as-tu regarder cette scène en bandant ? "

- "C'était sauvage. "ajouta Tammy

- "Elle aurait pu être blessée. "

- "Ca ne fait pas si mal que ça, tu sais Tam" répliqua June.

- "Ca a rendu mon clito hyper sensible, mais rien que le fait d'être nue et sans défense change toute la situation. As-tu déjà essayé le sado-masochisme ou quelque chose du même genre ?"

- "Comme quoi ?"

- "La soumission par exemple."

- "Ah oui, ce genre de choses..."

- "T'as déjà essayé oui on non !!!!"

- "C'est pas comme toi June. J'ai toujours eu une petite vie rangée moi !"

La conversation s'éternisa sur ce thème.

- "Allez viens avec moi  Tammy" dit June se levant et lui saisissant un pied.

- "Tu vas essayer !" 

Tammy protesta sourdement. Je vidai mon verre attendant que June m'appelle. Peu de temps plus tard, je gagnai la chambre d'ami, Tammy gisait nue sur le lit, membres tendus vers le haut et le bas, chevilles et poignet liés à la tête et au pied du lit. Tammy maudissait June et lui ordonnait de la délivrer, lorsqu'elle me vit dans la chambre, elle se débattit furieusement. Elle menaça June de terribles représailles corporelles, elle rougit, empourprant sa grosse poitrine.

- "Du calme chérie... Laisse toi aller. Tu voulais savoir ce que ça fait, c'est bien ce que tu voulais ? Ce soir tu es notre petite chienne et tu vas faire tout ce qu'on veut. Tu veux que Bill te bouffe la chatte ? C'est une de ses spécialités, il fait ça très bien. Montres lui Bill !"

Je me déshabillai et pris place sur le lit, je saisis ses cuisses la maintenant immobile le temps d'insinuer ma langue dans ses replis onctueux. June me caressait les couilles; Tammy respirait de plus en plus difficilement alors que je lui bouffais langoureusement le gazon, sa grosse poitrine était érigée, je la suçai jusqu'à ce qu'elle explose à deux reprises.

- "Occupe toi de son clito, contentes toi de quelque petite tapes !" me dit June me tendant une spatule que je m'étais procuré à l'épicerie du coin.

J'assenai quelques coups de spatule sur le clito de Tammy, elle poussa des hurlements à réveiller les morts, heureusement nous n'avions pas de voisins proches. Je repris les légères claques sur son clito. Tammy hurla et se tortilla, elle pouvait voir son clito gonfler sous les coups. Encouragé par June, je cessai les coups et saisis son clito entre mes lèvres.

A peine avais-je son clitoris entre les dents que Tammy était secoué par un fulgurant orgasme, elle gémit et baragouina je ne sais quoi, mais ses paroles étaient étouffées, je levai la tête pour voir pourquoi, June s'était installée tournée vers moi, son entrecuisse reposant sur son visage.

- "Tammy m'a déjà bouffé la moule !" me dit June.

- "Ne fais pas attention à ça. T'en apprends tous les jours n'est ce pas ? "

Je n'aurai jamais pensé que Tammy était une bouffeuse de chattes.

- "Continue de la sucer. Et maintenant fourres lui ta bite dans la moule. Et baise là jusqu'à l'os."

Je fis ce que June voulait, je lui mordillais le clito rapidement, puis je la fourrais, m'enfonçant jusqu'aux couilles dans sa cramouille détrempée, au même instant, June remua vivement sur le visage de Tammy.

- "Cette salope m'a mordu." m'expliqua June en grimaçant.

- "Si tu recommences tu vas me le payer ma petite Tammy !" la menaça June.

- "Je suis désolée ma June chérie..." murmura Tammy misérablement.

- "Je ne le referai pas. Je te le jure." Dit-elle alors qu'une fois de plus elle sentait un puissant orgasme monter.

- "Reviens sur mon visage... Je te jure. Je ne te mordrai plus. "

Ne sachant pas si Tammy suivait ou ne suivait pas une certaine contraception, je me retirai, June me termina alors dans sa bouche.

Je m'étendis à leurs cotés et regardai June jouer avec le corps de Tammy. Son clito gonflait encore sous ses caresses lascives. Lorsque June se releva, je suçai les tétons de Tammy, un instant plus tard, je rampai sur son corps et me fit une cravate de notaire entre ses grosses mamelles. A chaque passage devant ses lèvres, Tammy me suçait le gland, je compris tout de suite que ce devait être une sacrée suceuse.

Nous avons délivré Tammy, puis quelques instants plus tard, ce fut June qui se retrouva entravée sur le lit. Après tout l'occasion était trop belle. J'avais été trop doux avec Tammy, elle se montrait bien plus cruelle avec June, en quelques minutes le clito de June fut rouge écarlate et avait doublé de volume.

June se mit à grincer des dents lorsque Tammy saisit son clito dardé entre ses lèvres, elle ne put le supporter bien longtemps, poussant un long cri de lamentation elle jouit encore et encore sous les caresses de Tammy.

Quelques instants plus tard Tammy s'allongea contre le flanc de ma femme et se mit à jouer avec ses tétons étirés.

- "Tu sais chérie..." dit soudain Tammy.

- "J'ai vraiment aimée être entravée. Tu sais pourquoi ? "

June se tourna vers elle et hocha la tête, sa respiration était encore hachée.

- "Te rappelles-tu la première fois que tu m'as demandé de te sucer la chatte ? Ca avait été divin. Tu te souviens. Ensuite, chaque fois que tu te sentais bien excitée tu me mettais ta chatte sur la figure et tu jouissais quand je te suçais. Chaque fois qu'un de ses amants la laissait insatisfaite, notre petite June venait se faire sucer... Tu ne m'as jamais rendu la pareille, mais ce soir... Je jure bien, que ça va être ton tour de me bouffer le gazon."

Sur ces mots, Tammy gagna la tête du lit et se disposa tournée vers moi, son entrecuisse reposant sur les lèvres de June.

- "Et maintenant tu vas me bouffer le chatte pendant que je sucerai ton petit mari. "

Elle me fit signe de prendre position sur le lit pour qu'elle puisse m'emboucher. C'était étrange de voir Tammy habituellement douce et tendre se comporter ainsi. Tammy s'avérait une sucrée suceuse de bite, en un rien de temps elle m'a fait jouir dans sa bouche, l'instant d'après, elle s'étendait sur June et elle se faisait un 69. June cessa toute résistance et participa pleinement à ce 69 de gouines qui me faisait un fol effet. Je découvris ce que deux jeunes femmes pouvaient faire ensemble, un homme n'y avait pas sa place mais je me contentai du rôle d'observateur fasciné. J'étais épuisé bien avant la fin de la nuit, c'était une nouvelle découverte pour moi, deux femmes étaient capables d'épuiser n'importe quel homme.

*************************************************

- "Ross ma femme June, June mon vieux copain Ross."

Ils se regardèrent étonnés, Bien plus June que Ross d'ailleurs, elle me murmura :

- "Il est pour moi ?"

je hochai affirmativement la tête.

- "Bordel ! " me souffla Ross l'enveloppant d'un regard admiratif.

Elle portait un short blanc et un léger corsage sans manches.

- "Tu m'avais dit qu'elle était jolie, mais t'étais bien en dessous de la vérité mon vieux Billy".

- "La bière est prête dans le patio... Suivez moi. "

- "Je vous rejoins dans un instant" nous dit June.

- "Je termine la cuisine et je me change."

Comme si je ne savais pas qu'elle ne portait que son chemisier et sa blouse !

- "Ta femme, c'est une vraie poupée... Si elle est aussi chaude que tu le dis. Je pense à quelque chose qu'elle aimerait certainement."

Qu'entendait-il par là ?  Assis dans le patio, nous savourions un bon demi bien frais.

- Je pense qu'elle aimerait que je lui fourre ma grosse bite dans la foufoune" s'exclama Ross d'une voix forte. "On ferait bien mieux connaissance !"

A cet instant, June sortit de la maison. Elle l'avait forcément entendue, elle avait enfilé un short plus petit et un tee-shirt si fin qu'on voyait clairement son soutien-gorge balconnet noir.

- "Comment est la bière ?" demanda June.

- "Dois-je en sortir d'autres ?"

Je l'assurai que ça suffirait.

- "Il ne nous manquait que votre douce présence... " la complimenta Ross

- "Venez vous asseoir à mes cotés. dit-il s'installant sur le canapé "Il n'est pas très large mais on a juste assez de place..."

Elle s'exécuta, il posa sa grosse main sur sa cuisse bronzée.

- "Racontez moi votre voyage de noce !" avança Ross.

Le salaud, sans aucune hésitation, il abordait ce sujet périlleux.

- "On m'a dit que c'était toute une aventure !  Avec un certain goût de pénis noir... N'est ce pas ? "

June me jeta un coup d'œil moqueur tout en hochant la tête.

- "On m'a dit aussi que les grosses bites noires vous manquent. Je suis juste celui qu'il vous faut !" ajouta-t-il posant sa main dans son entrejambe.

- "Qu'en pensez vous ?"

Je vis la main de June saisir sa bite au travers de son pantalon.

- "C'est bien ainsi ! "sourit-elle espièglement.

- "Si elle était un peu plus grosse, on pourrait dire que c'est une belle bite !"

Nous nous sommes regardés quelques instants interloqués, et Ross pouffa d'un rire communicatif.

- "Et en plus elle est drôle ! J'adore les salopes qui ont le sens de l'humour ! Ne te tracasse pas pour ça ma jolie June... Je pense être assez bien monté pour t'exploser ta petite chatte" s'exclama-t-il vidant sa bière.

June n'était pas une grande buveuse de bière, elle préférait les cocktails, où même un bon vin.

- "Quand t'auras ma bite dans la moule... Tu ne feras plus la fine bouche" martela Ross " Allez sors là de mon jean et admire la grosse bite qui va bientôt te défoncer ! T'es pas prête de revoir une telle mentule !"

June me regarda fixement, elle me fit un signe de tête, les événements s'accéléraient. June semblait sereine, c'est une main tremblante, seul témoignage de son émoi, qu'elle tendit vers sa fermeture éclair. Il l'aida en se levant, un long gourdin jaillit de sa braguette, une colonne d'environ 35 centimètres de long, June qui la mesura plus tard trouva effectivement 36 centimètres, et d'environ 7 centimètres de diamètre.

Sa vue coupa le souffle à June, cette grosse bite était vraiment impressionnante, elle prit le gourdin de chair en main, et l'étudia quelques instants, rêveuse, d'autant que sous ses manipulations elle grandit et grossit encore, ça en devenait effrayant.

- "Finalement, dit June tout doucement, je crois qu'on peut effectivement considérer que c'est une belle bite "

Bien sur on aurait pu en rester à, mais June le l'entendait pas de cette oreille, on aurait dit qu'elle craignait qu'elle ne prenne encore de l'ampleur si elle la relâchait.

- "Alors June, penses-tu que ta jolie petite chatte rousse pourra avaler mon gourdin noir ? " lui demanda Ross ironiquement.

Elle fit un signe de tête, sans quitter des yeux l'énorme phallus elle semblait fascinée par l'aspect de la grosse queue de Ross.

- "Est-ce que les noirs qui t'ont baisé avaient un membre d'une aussi belle taille ?"

June secoua la tête en signe de dénégation.

- "Lèves toi et montres moi comment t'es foutue ma jolie petite salope. Vires tes fringues et montre moi où tu vas te la mettre ma queue."

June n'obéit pas assez vite à son goût, il saisit un de ses tétons au travers du tee-shirt et du bonnet de soutien-gorge et le pinça assez fort, elle comprit le message et s'empressa de se débarrasser du tee-shirt et du soutien-gorge. Il l'arrêta avant qu'elle n'enlève son petit short, il lui dit de faire quelques pas, de contourner la table.

- "Nom de Dieu . j'adore ses grosses mamelles blanches." s'esclaffa Ross tout guilleret.

Je pensai que tous deux avaient oublié ma présence, je pensai pouvoir lui faire confiance, et soudain, je n'en étais plus si sûr.

- "Viens ici ma petite pute blanche et frottes toi les seins contre ma grosse queue..."

June vint vers lui et s'agenouilla, elle prit sa grosse bite en main et la frotta contre ses seins.

- "Seigneur Dieu, Je n'ai jamais vu une telle monstruosité." murmura-t-elle effarée.

Il étira ses deux tétons, June ferma les yeux.

- "Oui, on va bien s'amuser ma petite chienne !" dit Ross riant aux éclats.

- "Montre moi ton connil, petite salope ! " ajouta-t-il.

- "vire ton short et montre au bon vieux Ross ta délicieuse petite foufoune."

June obéit, elle enleva son petit short et se tint entièrement nue devant Ross, je remarquais que son clito était encore gonflé, ultime témoignage de sa nuit de débauche, je vis aussi que ses babines luisaient d'humidité, indice évident de son émoi.

Ross lui fit signe d'approcher, elle vint vers lui, enfourchant ses jambes, Ross la regardait dans les yeux lorsqu'il l'empoigna par son clito dardé et l'attira à lui. Elle poussa une plainte gutturale, qui s'amplifia lorsqu'il inséra un doigt dans sa chatte, de l'autre main il la pencha vers lui et il prit ses lèvres, lui roulant un luxurieux palot, puis il introduisit un second doigt dans sa moule, et entama un vigoureux branle.

Elle poussait des petits cris plaintifs alors qu'elle accompagnait des hanches les mouvements giratoires des doigts dans sa chagatte, l'orgasme montait. Ross retira ses doigts de sa foufoune et promena son gland dans les replis de sa fente détrempée, ses hanches tremblaient alors qu'elle émettait des sons incompréhensibles. C'était très excitant, bien plus que la cassette.

Ross joua avec les charmes de June pendant quelques minutes l'excitant considérablement. Puis il la saisit aux cuisses qu'il écarta impitoyablement amenant sa cramouille fiévreuse au contact direct de son épaisse colonne.

Je regardai totalement fasciné cette grosse verge disparaître lentement dans sa petite chatte rousse. June se pencha, offrant ses tétons aux lèvres de Ross, elle miaulait comme une chatte en chaleur, ses abdominaux se contractaient et se détendaient sur un rythme élevé, elle jouissait, je les contournai pour changer mon angle de vue.

Sa grosse colonne était maintenant entièrement dans son ventre, ses fesses reposaient sur ses cuisses, je m'accroupis afin de mieux voir lorsqu'elle se souleva, elle ne garda que le tiers de son gourdin enfouit dans sa grotte, je voyais clairement ses muqueuses se retrousser, accompagnant les mouvements de l'épaisse hampe, elle se laissa retomber brutalement s'empalant jusqu'à l'os puis recommença son petit manège, au début elle se mouvait lentement, mais peu à peu elle accéléra le rythme poussant un cri aigu chaque fois qu'elle s'empalait jusqu'à la racine.

Je bougeai, les regardant cette fois de coté, je la voyais se visser sur sa monstrueuse colonne. Ross, des dents, étirait un de ses tétons elle avait les yeux fermés, son visage affichait un sourire extasié, elle ne m'avait jamais parue aussi belle, elle ouvrit les yeux alors que je me tournais vers elle, elle me sourit, elle cessa un instant sa chevauchée, le temps de me rouler une pelle, puis elle reprit sur le même tempo.

- "Ou est votre chambre Bill ? Montres moi le chemin. " me dit Ross se relevant, June toujours empalée sur sa grosse bite.

- "On sera mieux sur un lit..."

Je lui indiquai le chemin de la chambre d'hôte.

- Alors ma petite salope tu aimes avoir ma grosse queue dans ta petite chatte de blanche ?" demanda Ross la déposant sur le lit avant de s'enfouir à nouveau dans sa caverne distendue.

- "Oh ,oui... Doux Jésus ! Ouiiiiii..." haleta June.

- "Baise ta petite salope blanche. Fourre ta grosse bite noire dans mon chaton. .Baise moi jusqu'à l'os mon salaud !"

Son orgasme montait de seconde en seconde, du bout du lit je voyais que Ross se démenait maintenant dans un véritable marécage, elle avait coulé comme une fontaine, je n'aurais jamais cru qu'une femme puisse secréter autant de cyprine en un si court moment.

Ross la baisa allongé sur elle pendant une bonne quinzaine de minutes, il la disposa en levrette et la baisa comme une chienne, June l'encourageait, elle le suppliait d'amplifier son rythme, d'approfondir ses empalements.

Une puissante odeur de musc envahit la chambre, c'est encore quelque chose qu'on ne peut pas apprécier sur une vidéo, ça et le bruit ténu d'une bite coulissant dans un étroit pertuis bien lubrifié.

- "Allez, à toi de me baiser. " suggéra Ross s'étendant sur le dos.

- "Lèves ton cul et viens faire le boulot !"

June s'installa sur lui, le chevauchant, elle guida son membre gluant dans sa chatte crémeuse, puis elle le chevaucha comme un cow-boy monte un bronco sauvage.

Cela ne prit que quelques minutes, et Ross grogna et déchargea un flot de foutre dans son utérus, elle continua sa chevauchée alors que le foutre dégoulinait le long de sa hampe poissant son pubis avant de s'écouler en une large flaque sur le drap. Son trou du cul vibrait au rythme de ses coups de boutoir, on aurait dit une cible mouvante.

Dans un grand soupir, June roula sur le flanc et resta étendue sur le dos cuisses grandes ouvertes, le chaton englué de foutre. Je montai sur le lit, m'installai entre ses cuisses et plongeai ma queue dans son cloaque marécageux, lorsque ma pine fut bien graissée, je me retirai et m'enfouis dans son trou du cul, June poussa un glapissement aigu et jouit immédiatement, J'étais heureux de la faire jouir tout comme Ross, on pouvait compter sur ma mentule.

June était insatiable, elle s'impatientait voulant avoir de nouveau la monstruosité de Ross dans son ventre. On la baisa en sandwich dans un bel ensemble, elle en voulait encore ! 

Malgré mes craintes elle insista pour que Ross l'encule, je me sentis vexé de la voir réclamer cette gâterie que je venais de lui prodiguer, il dut batailler ferme pour s'enfouir dans son étroit trou du cul, le distendant irrémédiablement.

Il était presque 9 heures lorsque la faim nous obligea à cesser momentanément notre séance de baise, June prit une douche tandis que j'allumais le barbecue, Ross me regardait sortir les steaks marinés et les disposer sur le grill.

- "Le problème est plus sérieux que je ne le pensais !"

Je lui demandais ce qu'il entendait par là...

- "C'est ta salope. Une bite noire ne lui suffira pas longtemps. Il va falloir trouver du renfort avant qu'elle nous tue d'épuisement. Est-elle toujours aussi chaude ?"

Je l'assurai que ce n'était pas toujours le cas, qu'aujourd'hui c'était spécial, elle retrouvait pour la première fois le goût d'une bite noire.

- "Peut-être bien..." s'exclama Ross

- "On lui a suffit pour cette nuit, mais la prochaine fois j'amènerai d'autres participants, je trouverai facilement des volontaires pour baiser ta pute de femme. Je me demande bien combien il faudra de queues pour la combler !"

Nous retournâmes au lit vers 10 heures et la fête reprit, à minuit, cherchant un deuxième souffle, tout comme Ross, je me demandai combien il faudrait de bites pour l'épuiser ?

Elle laissa Ross repartir chez lui vers 3 heures du matin, je dormai déjà depuis un bon moment lorsqu'il partit.

FIN.


lundi 26 juillet 2021

Ma femme Thérèse - Ch. 03

 Texte proposé par Harrycovert . Vous pouvez lui envoyer un petit mot d'encouragement à l'adresse cvertharry@gmail.com.

 *****

- Au fait, Me lance Patrice, on a bien mangé, tu cuisines aussi bien que tu suces ! (il rit) Mais par contre pourquoi t’es tu rhabillé, désormais ta tenue ce sera nu, avec juste ton petit tablier rose ! compris ? 

Il me jette un regard sévère.

- Sinon tu vas te faire baffer !

Je baisse la tête, vexé.

- Allez, fous toi à poil, d’ailleurs il est l’heure d’aller au lit, j’ai très envie d’enculer ta femme ! Je vais te laisser regarder, ça va te plaire ?

- Euh !

- Dis moi vite que tu as envie de regarder ta femme se faire enculer où tu en prends une !

Je suis rouge de honte. Tout en me déshabillant je marmonne :

- Oui, euh, j’ai envie de regarder ma femme se faire enculer ! heum !

- C’est bien cocu, en plus je suis sûr que tu le penses même si c’est difficile à admettre et à dire ! Hihi ! Mais ça va venir !

- Allez Thérèse, arrive ici !

Ma femme est déjà nue, rougissante. Elle s’approche.

- Mets toi à quatre pattes ma jolie, et cambre toi bien qu’on voit ton joli petit trou !

Ma femme obéit, la voici dans la position désirée par son amant, ses petits seins qui ballotent sous elle, son gros cul rebondi bien exposé.

- Ecarte bien les jambes, voilà ! Toi le cocu tu vas lui écarter les fesses, tu te mets face à moi et tout en ouvrant le cul de ta femme tu me suces ! Exécution !

J’obéis, troublé en sentant sous mes mains la chair douce des fesses nues de mon épouse que j'écarte doucement dévoilant son anus brun. Je vois la main de Patrice qui s’approche. Avec deux doigts il pénètre son sexe dont les grandes lèvres pendent un peu, il la branle un moment, je vois son index et son majeur qui fouillent le con de ma femme . Cela fait un petit floc floc !

- Elle mouille vite ta femme. Commente son amant.

Pendant ce temps j’ai englouti sa bite que je sens grossir en bouche ! slurp slurp gloup gloup ! Je le pompe tandis qu’il branle ma femme. Sa queue est grosse est dure, et moi-même j’ai la queue raide, à ma grande honte je bande.

- Bon allez on va changer de trou !

Et de ses doigts gluants de cyprine, il commence à caresser l’anus de ma femme qui couine doucement, puis il enfouit son index dans son cul, il le tourne, le fait aller et venir. Manifestement ça entre bien.

- Allez cocu,  lâche ma bite, prend la en main et présente la au cul de ta femme !

J’obéis, troublé. Je tiens sa grosse queue que je présente devant le petit trou de mon épouse.

- Pousse la dedans allez, c’est un peu comme si tu enculais ta femme avec ma bite !

Il rigole. Je pousse avec ma main, il pousse lui aussi et je vois sa queue qui pénètre le cul de Thérèse qui gémit. Hummmm ohhhh, elle feule.

- C’est bon ma salope hein ! Ouii oh oui ! Tu vas voir quand je vais te faire enculer par les copains de ton cocu !!! Hihi !

Il est rouge de plaisir et se met à lui limer le cul de plus en plus vite. Il donne de bons coups de bite. Ses couilles rebondissent sur les fesses de Thérèse. Elle râle. Oooooh hummm ! Et lui han han ! Je m'écarte la bite en feu. Le spectacle de ma femme se faisant enculer par son amant me met en transe. Je n’aurais jamais pu imaginer cela.

- Prend la tablette et filme nous, cocu ! Me lance Patrice. Allez filme l’enculage de ta femme ! 

Et me voici tablette à la main immortalisant son enculage.

- Ca va plaire sur le net  ! murmure t- il.

Je suis soufflé, il va montrer ça ?

Enfin dans un grand râle de plaisir, il jouit en elle et je devine le jet de sperme qui envahit le rectum de ma femme qui se met elle aussi à jouir bruyamment :

- hummmm !! Oh ouiii ouiii c’est bon, je jouis ouiiii !

Il se retire de cul de Thérèse, la queue légèrement maculée de merde.

- Viens me la nettoyer cocu, lèche la merde de ta femme !

Il est aux anges. J’hésite. CLAC, une gifle retentissante :

- Quand je donne un ordre !

Je m'exécute ! Slap slurp je lèche sa queue qui débande doucement. C’est un peu amer, je grimace.

- Allez, dis que c’est bon !

- C’est bon.. marmonné-je.

Il ricane :

- Il va falloir t’habituer ! Bon je vais aller laver ta femme ensuite au lit ! A la douche Thérèse, je vais te laver des pieds à la tête ! J’adore laver une femme !!!

Tendrement il aide ma femme à se relever et, la prenant par le bras, l’entraîne vers la douche.

- Viens cocu, viens me regarder laver ta femme ! Hihi ! Tu vas voir comme je m’en occupe bien !

Il fait entrer ma petite femme nue dans la douche, la pousse et entre à ses côtés, prend la pomme en main et ouvre l’eau, règle la température, et se met à asperger Thérèse. Il arrose son corps, n’oubliant aucun endroit, son visage, ses épaules, ses seins puis son dos et ses fesses. Il lui fait écarter les jambes, le jet gicle sur son sexe, puis il dit :

- Ecarte tes grosses fesses ma chérie que je t’arrose ton trou du cul !

Le jet inonde l’anus de ma femme. Elle a les yeux fermés et se laisse arroser. Il coupe l’eau ;

- Bien on savonne maintenant !

Prenant le gel douche il s’en enduit les mains et commence à savonner le corps nu de ma femme,
lui massant doucement chaque endroit. Il commence par le visage comme avec le jet puis lui masse les épaules, ça mousse, ses seins sont malaxés couverts de mousse. Il descend sur le ventre, savonne entre ses cuisses. Je vois ses mains qui glissent sur sa peau, ses doigts pénètrent son sexe, il continue sur ses jambes, ses cuisses, remonte derrière, lui savonne consciencieusement les fesses, puis de nouveau lui fait écarter les fesses. Il lave son petit trou, je vois son index qui pénètre son anus, il se tourne vers moi en souriant :

- Il faut laver l’intérieur !

Son doigt effectue quelques allez et retour dans son petit trou ! malgré la honte que je ressens à contempler ma femme qui se fait laver des pieds à la tête, je me rends compte que j’ai la trique, ma petite bite dressée, et décalottée, et je n’y peux rien. Il ricane :

- Et bien mon cocu, ça te plait on dirait ?

- Bon allez, je rince et je vais l’essuyer. Ensuite au dodo ! Je la baiserai peut-être dans la nuit, je verrai ou bien demain matin !

Ma petite femme rincée, essuyée, il la ramène dans notre chambre.

- Allez au lit !

Il se glisse sous les draps en compagnie de ma femme, nus tous les deux. Il se penche vers elle et prend sa bouche en un long baiser, leur bouche collée, les langues mêlées.

- Viens à coté, cocu, on va se serrer ! Tiens prend ma queue dans ta bouche, j’ai quelque chose à demander à ta femme !

Je m’exécute, prend sa queue molle dans ma bouche.

- C’est bien  ! dit-il, tu commences à être bien soumis, ça m’évite de te baffer !

Il sourit.

- Bon Thérèse, voilà ce qui m’intrigue : lorsque j’ai pris connaissance de ton aventure lors de ton mariage, j’ai bien compris que tout ce qui t’était arrivée avait été tramé par ta sœur ! exact ?

- Oui c’est vrai !

- Alors pourquoi tant de haine, hihi ! Tu lui as fait quelque chose ?

Je vois le visage de ma femme qui se crispe. Je connais les faits et je ressens la même gêne que Thérèse à l’évocation de ces faits.

- Alors ? Dis moi !

- euh... euh... Fait ma femme, c’est un peu gênant !

- Allez, dis moi tout, je sens que ça va m’amuser !

- Et bien, commence Thérèse, nous sortions toujours ensemble avec Marylène, ma sœur on cherchait plus où moins des garçons. Un jour, on a fait connaissance de Bruno, il nous a plut très vite, alors on l’a un peu dragué. Il était timide, il me plaisait mais ma sœur a mis le grappin dessus, elle lui a tout de suite roulé une pelle et se l’ai approprié ! Ca m’a un peu vexé et j’ai été déçue, mais tant pis ! Je savais qu’ils sortaient régulièrement ensemble, mais un jour on s’est rencontré, il était seul, alors je lui ai demandé comment ça allait avec ma sœur !

 ****

-Tu es content ? elle te plait ?

- Oui ,oui !

- Elle baise bien ?

- Euh... Quoi !

-Tu la baises quand même ?

- Euh, non pas encore !

- Ah bon ?

- Elle te suce au moins ?

- Euh non, elle me le fait avec la main !

- Elle te branle, c’est tout ? tu la fous à poil quand même ?

- Elle ne veut pas, elle m’a dit que j’aurai tout quand on sera mariés !

- Je rigole ! Tu n’as même pas vu ses nichons ?

- Euh non !

Comme ça m’amusait alors je lui ai dit :

- Tu veux voir les miens ?

- Euh euh ! Je ne sais pas !

J’ai pris sa main et l’ai posée sur ma poitrine. Il a pincé un peu mes bouts.

- Allez vas-y, mets les à l’air, je veux bien moi !

J’ai pris ses mains et les ai glissées sous mon pull. Alors il a commencé à me l'ôter, je l’ai aidé à dégrafer mon soutien gorge car il n’ y arrivait pas.

Pendant le récit de ma femme, je sens sa bite qui grossit lentement dans ma bouche.

Il a mis ma poitrine à nu, il était tout rouge. Il a caressé mes seins et les as pris en bouche me tétant comme un bébé. Je sentais mes petits bouts qui durcissaient. J’était excitée du coup et je sentais la mouille qui envahissait mon sexe. j’avais envie de lui !

-Tu veux voir le reste maintenant ? je lui ai dit !

Il était cramoisi: 

- Oh ! je veux bien !

- Allez vas-y, fous moi à poil !

Il a défait la fermeture de ma jupe, il l'a baissée, et a descendu ma culotte. Il ouvrait de grands yeux. Quand j’ai été nue, il m’ a regardée sous tous les angles, je voyais bien que j’étais la première femme qu’il  voyait nue. Il a plongé son visage dans ma touffe et m’a embrassé la chatte. Ca me chatouillait, je lui ai dit :

- A moi maintenant de te déshabiller !

On était allés se promener au bord de la rivière et c’était désert. Il m’ a regardé, l’air ahuri. Alors j’ai agi !
- Allez, laisse-toi faire !

Et je l’ai entièrement déshabillé. Il s’est laissé faire, mais je voyais qu’il avait un peu honte. Je l’ai fait s’allonger sur le dos et je me suis penché sur sa jolie bite qui commençait à durcir et je l’ai prise en bouche. J’ai commencé à le sucer, puis voyant son excitation, je me suis mise au dessus de lui et je me suis enfilée sur sa queue. Je l’ai baisé, il était encore puceau bien sur. Il a juté presque tout de suite. Et c’est ainsi que je me suis mise avec lui. On a commencé à sortir ensemble et on a baisé à chaque fois.

Du coup il a laissé tomber ma sœur. Elle compris ce qui se passait assez rapidement, et on ne se voyait plus. Je croyais que c’était tassé mais je me suis trompée. Nous étions Bruno et moi à l'entrée du Carrefour pour acheter des bricoles à manger quand Marylène a surgi :

- Tiens voilà ma salope de sœur ! A t- elle crié, la voleuse de mari. Elle m’a volé mon fiancé.

Elle s’est approchée de moi et m'a attrapé les cheveux à pleine main.

 *****

Patrice sort sa queue de ma bouche. Tu veux continuer l’histoire, cocu ? Raconte ce que tu as vu ! Allez vas-y !

*****

Euh.... J’ai voulu intervenir mais elle n’était pas venue seule, deux de ses copines l’accompagnaient et s’étaient glissées à mes cotés Alors quand j’ai avancé, j’ai senti mon bras retourné : un arm lock ! La fille, une grande rouquine, m'a murmuré à l’oreille :

- Je suis deuxième dan de judo, si tu bouches ça casse ! 

Et pour me faire comprendre elle a assuré la prise. Un arm lock bien fait ça coince l’épaule, le coude, le poignet et même les doigts si on veut. J’ai poussé un cri de douleur et je n’ai plus bougé. Une autre de ses copines, une petite brune s’est mise à côté pour cacher la scène, ainsi personne ne pouvait voir ma situation. D’ailleurs les gens qui commençaient à s’attrouper avaient un autre sujet d’attention que moi. En effet, Mary avait commencé à cogner Thérèse, d’abord de bonnes gifles puis des coups de poing tout en continuant à l’insulter et prendre les gens à témoins en l’accusant de nouveau de lui avoir volé son fiancé : 

- Vous vous rendez compte ma propre sœur, salope !

Thérèse essayait de se protéger le visage comme elle pouvait, sans même essayer de riposter. Alors Mary a commencé à tirer sur le corsage de Thérèse, elle a arraché les boutons de devant, on lui voyait son soutien gorge. Thérèse essayait de cacher sa poitrine :

- Arrête ! laisse moi !

- tu vas voir salope ,tu aimes montrer ton cul, je vais te foutre à poil !

Et elle a tiré sur le corsage pour lui ôter. Il y avait de plus en plus de monde autour des deux femmes :

- Oui  ! Oui, à poil la salope ! Ont commencé à gueuler des gens, Voleuse de mari, même les femmes la conspuent ! Vous avez raison, foutez là à poil !

Encouragée par ces cris Mary redoublait de vigueur, le corsage était sur les bras de Thérèse, Mary lui tira sur les bras pour l'ôter. "Non non" pleurnichait Thérèse, alors Mary recommence à la cogner afin que Thérèse se laisse faire, mais devant son visage Mary en profite pour lui arracher, elle le jette dans la foule, et s’attaque à l'agrafe du soutien- gorge qu’elle fait sauter d’ un coup. Thérèse essaie de le garder en serrant les bretelles mais Mary la cogne de nouveau, sa lèvre saigne un peu, CRAC le soutien- gorge vole dans les airs. Des mains avides s’en emparent. Méchamment Mary lance :

-Allez le reste !

Thérèse recule seins à l’air, visage tuméfié. Elle pleurniche :

- Non non pas ça  ! implore –t elle.

Alors Mary la tire par les cheveux, l’amène au sol. Elle la plaque sur le dos et vivement s’assied sur son visage. Elle enserre son buste avec ses fesses et se penche vers la jupe de Thérèse qui a remonté bien haut dévoilant ses grosses cuisses pâles. Je vois les mains de Mary qui commencent à descendre la fermeture éclair de la jupe. ZIP ! Thérèse s’en rend compte et agrippe les bords de la jupe avec ses deux mains. 

A présent on entend de toutes parts des :

- A poil à poil !!!

Je suis stupéfait, ma petite Thérèse va être mise nue en public. Et je sens que ma zig s’est redressée dans mon slip. Ca me fait bander. et le pire c’est que les deux femmes qui me tiennent s’en rendent compte :

- Hihi, ça le fait bander de voir sa chérie mise à poil devant tout le monde !

Et je sens deux mains qui se posent sur ma braguette. Ces garces me pressent la queue me faisant triquer plus. Elles se mettent à me branler à travers mon pantalon. je murmure :

- Non non arrêtez !!!

Pendant ce temps Mary a pris une des mains de Thérèse dans les siennes et l’on voit qu’elle deplie tranquillement chaque doigt de Thérèse pour libérer la jupe. Ca y est, une main a lâché, Mary en profite pour tirer sur la jupe, elle l’éloigne ainsi de la main de Thérèse qui ne tient plus que l’autre bord. On voit déjà sa hanche nue ainsi qu’un bout de fesse. Les cris de la foule redoublent !

- A poil à poil !!! (rires quolibets) Ca y est presque !

Mary recommence la même opération sur l’autre main. Bien sûr ses deux mains viennent à bout de la seule main de Thérèse, alors Mary se redresse brusquement attrapant la jupe, elle tire emportant le vêtement accompagné du collant et de la culotte de Thérèse. Elle tire, passe les chevilles, puis les pieds. Thérèse ne peut rien faire, elle est nue, la jupe, les collants et le slip volent dans la foule !! (cris applaudissements rires insultes) !!!

Mary lui tire les cheveux et la fait relever.

- Allez debout salope, montre toi debout entièrement nue !

Sa petite touffe à l'air, elle essaie désespérément de cacher son corps. CLAC CLAC Mary la gifle.

- Baisse tes mains salope, allez ! Baisse les qu’on te voit sinon je te cogne encore !

Thérèse laisse tomber ses bras le long de son corps.

- Regardez la, la salope, prenez la en photo la voleuse de mari, elle est bien punie !

- Puisque tu aimes jouir salope, lance Mary à sa sœur, tu vas te branler devant tout le monde !

- (rires)  Ouais !!!

- Quoi ? Fait Thérèse, non non !

Mary s’approche et se remet à la frapper, coups de poings, claques. Elle frappe le ventre, le visage, puis se penche et lui claque les fesses. Elle l’empoigne, la courbe et se met à la fesser, mais pas une petite fessée, de grands claques sonores sur son gros cul qui commence à rougir.

Thérèse gigote, implore, supplie :

- Arrête, arrête ça me brûle ! S’il te plait !

- Alors tu obéis ? tu te branles sinon je recommence !

Thérèse est à bout. Elle baisse la tête, vaincue, sans force, le corps douloureux.

- Alors vas-y, branle toi !

Affolé je vois ma future femme qui avance sa main droite vers son sexe, hésitant encore. Mary s’avance menaçante, main levée !

- Non non  ! Fait Thérèse.

Et elle glisse son index vers son con. Je suis rouge de honte et d’excitation.

- Regarde ta femme qui se branle en public !

Je sens leurs mains qui s’activent de plus en plus vite sur ma queue raidi dans mon slip. Là-bas Thérèse agite son doigt, elle l’entre en elle, le tourne, le glisse du haut en bas, puis chatouille son bouton.

- Vas-y salope, branle toi bien  ! Insiste Mary, et fais-toi jouir, tant que tu n’auras pas joui tu continueras à te branler.

Elle a sorti un portable de sa poche et filme sa sœur :

- Ca va me faire un bon souvenir ! Ricane-t-elle, et pas qu'à moi vu le nombre de portables de sortis hihi !

En effet presque tout le monde a soit filmé soit photographié Thérèse pendant son déshabillage forcé et maintenant pendant son branle. Je la regarde, toute nue, ses doigts, car dorénavant elle a plusieurs doigts dans sa chatte. Elle s’active, elle a les yeux à demi fermés, sa main va de plus en plus vite. serait-ce à cause de la honte qu’elle est aussi excitée ? sans doute ! Et voici qu’elle a un sursaut, on la voit enfoncer trois doigts dans son con et couiner.

- hummm humm  ! Fait-elle,  HAAAAAAA !

Elle jouit. Elle vient de se faire jouir devant tout le monde. Elle enlève doucement sa main d’entre ses cuisses.

- C’est bien salope, allez je te laisse, tu te démerdes pour rentrer à poil, tu verras ça avec ton futur cocu !

A ce moment la rouquine enfouit sa main dans mon slip et me branle à main nue, je ne peux plus résister je jouis moi aussi, je décharge dans mon slip. La fille retire sa main en ricanant :

- Hé bien tu as eu aussi ton petit plaisir ! Regarde on dirait que ta femme se fait embarquer !

En effet plusieurs jeunes mecs ont attrapé Thérèse et l’entrainent vers le fond du parking. Affolé je les suis de loin, ils sont au moins une demi douzaine. Thérèse n'essaie même pas de se défendre. Je les vois soulever ma chérie, ils la tiennent à trois, lui écartent les cuisses, un la tient par le buste et les deux autres lui tiennent les cuisses et les fesses, alors un mec se place devant elle et il la pénètre. Je vois ses fesses qui bougent. Il lui donne de bons coups de rein. Au bout d’une minute, il s’écarte en rigolant :

- Au suivant !

J'avale ma salive de travers, ils vont la baiser chacun leur tour. Elle se fait bourrer, les mecs rigolent. Bientôt c’est au tour de ceux qui la tenaient et les rôles sont inversés. Les six mecs l’ont tringlée, ils la reposent au sol. Une grande claque sur les fesses :

- Allez salut salope! On te laisse !

Thérèse toute nue, tremblante, reste là sans savoir que faire, évitant le groupe de mecs. Je vais vers elle, elle un soupir de soulagement quand elle me voit :

- Où étais-tu ? soupire-t-elle.

Je lui explique que les copines à sa sœur m’avaient coincé.

- Ca ne fait rien, vite ramène moi !

Je mets mon pull autour de ses épaules pour la cacher un peu et sous les rires, les moqueries, je la ramène à notre voiture.

- Oh chéri, pleurniche-t-elle, tu as tout vu ? Tu ne vas plus vouloir de moi !

- Mais si ma chérie, je t’aime encore plus !

Elle pose son visage sur mes genoux tandis que je démarre la voiture. Elle renifle :

- Ca sent drôle  ! Oh chéri, tu as déchargé ? Hein, ça t’a excité ?

- Euh, je ne sais pas pourquoi !

Elle me fait un pauvre sourire !

- Ca ne fait rien, je préfère ça !

A suivre...

dimanche 25 juillet 2021

Monique Ch. 03

Traduction d'un texte de « Kayce 69 »

**********

Monique continue d'être gang-banguée chez elle.

J'arrivai chez moi vers dix-huit heures. J'ouvris la porte d'entrée et j'appelai Monique. Des gémissements vinrent du salon. J'ouvris la porte, étonné. Et je vis ma femme attachée sur la table à manger, étendue de tous son long, les bras au-dessus de la tête et les jambes attachées.

Elle avait un demi-concombre fourré dans la bouche et l'autre moitié enfoncé dans sa chatte que les bâtards avaient rasée. Elle était couverte de sperme gluant et de petites griffures sur les cuisses, les seins et sa chatte. Elle avait un message griffonné sur le ventre : « Si elle ne veut pas nous faire jouir, c'est nous qui allons la faire jouir ».

je déliai délicatement Monique qui sanglota dans mes bras :

- C'étaient les hommes du cinéma. Ils sont entrés et m'ont attrapée. J'ai combattu, mais ils étaient trop nombreux. Ils m'ont baisée tout l'après-midi. Ils m'ont attaché au lit et se sont amusés avec moi jusqu'à ce que je sois folle d'excitation et que je les laisse faire tout ce qu'ils voulaient. Je leur ai aussi fait tout ce qu'ils voulaient, je ne pouvais pas m'en empêcher et ils m'ont même regardée me masturber.

*****

Je ris intérieurement en entendant mon mari dire :

- Merde, j'ai oublié qu'ils avaient eu ton sac à main et tes clés. Je vais faire changer les serrures.

Il me soulève et m'aide à aller à la salle de bain où il peut soigner mes poignets et chevilles douloureux. Puis il essuie le sperme sur mon corps. Quand il me regarde, je lui souris.

Je le regarde et pense : « C'est ça, soit gentil avec moi, eux ne l'étaient pas »

J'espère qu'il ne remarquera pas que je suis en train de mouiller en pensant à la baise que les quatre gars m'ont donnée.

Mon Dieu, quelle journée!

******

Alors que je rangeais des serviettes, je me regardais dans le grand miroir de la salle de bain. Je portais des petites sandales blanches, un short rouge et un petit haut court. Je trouvais que mes seins étaient fermes sans soutien-gorge. J'étais sexy, mes cheveux fraîchement lavés rebondissant sur mes épaules. Je suis descendu au salon puis je me suis dirigée vers la cuisine. J'aurais du être alerté par une odeur de cigarette froide, mais non.

J'ai ouvert la porte de la cuisine et je suis resté figée. Un homme assis à la table m'a dit :

- Bonjour, il semble que tu aies manqué notre rendez-vous du vendredi. Donc nous te rendons visite.

Je me suis retournée pour m'enfuir, mais un autre homme s'est déplacé entre la porte et moi, puis il m'a saisie par-derrière. J'ai frissonné en sentant ses mains sur mes bras, un étrange sentiment envahissant mon corps. Mais je devais me battre.

J'ai giflé l'homme puis je lui ai griffé le visage jusqu'à ce que d'autres mains s'emparent des miennes et m'immobilisent. Je me suis retournée vers celui qui semblait être le chef.

Je lui ai crié de sortir de chez moi, mais il a juste souri et il m'a dit :

- A genoux salope, c'est là ta place.

On m'a donné un coup de pied par-derrière et je suis tombée par terre. Mes bras ont été tirés au-dessus de ma tête et quelqu'un les a tenus solidement au point de me les arracher.

Le chef a souri à ses trois complices avant de dire :

- Hé bien, Monique a l'air très bonne à manger. Ne devrions-nous pas enlever ce petit short rouge?

Je tremblais, mais était-ce de peur ou d'excitation?

Je savais que s'ils commençaient, ça serait très difficile de les arrêter. Alors j'ai décidé de dire :

- S'il vous plaît, ne me faites rien. J'ai de l'argent, prenez-le et allez-vous-en!

L'homme m'a répondu alors :

- Combien et où?

Je lui ai dit qu'il était dans le bureau. Il a disparu pour réapparaître en comptant l'argent. Puis il m'a regardé et a dit :

- Je pense que ça vaut beaucoup moins que de te baiser.

Mes bras sont tellement tirés que la douleur m'a faite crier et dire :

- Prenez-le et partez!

L'homme s'est penché sur moi en disant :

- Ok Monique, on le prend et on s'en va!

Il a fourré l'argent dans sa poche puis il a ôté sa veste. Quand il a commencé à défaire son pantalon, je me suis plainte :

- Non arrêtez, vous avez dit que vous partiez!

Il a baissé sa braguette et il a sorti sa grosse bite en me disant :

- Oui nous partons, mais dans environ cinq heures. Maintenant arrête de te plaindre et mets ta bouche autour de cette bite.

*****

Monique regarde son mari alors qu'il lave le sperme collant entre ses seins. Elle joue la victime épuisée et souillée, mais elle se souvient bien de ces cinq heures.

******

Je me souviens du goût de son énorme queue, le gros morceau de viande sur ma langue et la traînée de salive qui sort de ma bouche quand il la baise. Avec mes bras levés et mon visage baisée par une bite, il a été facile pour deux d'entre eux de se mettre de chaque côté de moi, de relever mon petit haut et commencer à titiller mes seins avec leur bouche.

J'ai senti l'humidité se former entre mes jambes. J'ai gargouillé autour de la queue qui tapait ma gorge, son propriétaire se faisant plaisir dans ma bouche et ne se souciant pas de ce que je voulais.

Soudain une main s'est posé sur ma cuisse. J'ai senti des doigts passer le bord de mon short, puis aller chercher ma culotte.

Ensuite d'autres doigts se sont posés sur mon autre jambe, caressant l'intérieur de ma cuisse avant de passer sous mon short. Les deux mains se sont disputées pour atteindre ma culotte.

Les bouches sur mes seins suçaient, mordaient. Des doigts les comprimaient pour former des monticules de chair en forme de cône, ce qui permettait aux tétons d'être presque avalés. La manière dont l'homme me baisait la bouche et les dents sur mes seins m'ont excitée. Mais lorsque deux doigts se sont enfoncés de force dans ma chatte humide, j'ai senti que j'allais bientôt être traversée par un orgasme.

Soudainement, ma langue a senti la bite palpiter et gonfler. L'homme a éjaculé une grosse quantité de foutre dans ma gorge. J'ai avalé autant que j'ai pu avant qu'il ne se retire. Alors que je déglutissais, je me suis forcée à baisser la tête et regarder les autres mains et bouches s'amuser. J'allais jouir.

J'ai commencé à balancer mes hanches sur les doigts qui m'envahissaient et j'étais prête à les inonder de mon jus, mais le chef avait d'autres idées!

- Emmenons-la en haut!

Ils n'ont pas eu besoin de forcer pour me traîner à l'étage, car je les ai laissés faire. Mais je me suis débattue quand ils ont voulu me faire entrer dans la chambre. Mais ça n'a servi à rien. Je me rappelle combien j'étais mouillée quand ils m'ont allongée sur le lit et dénudée.

Mon Dieu, je mouille encore. J'espère que mon mari pense que c'est autre chose.

Mon cœur battait à tout rompre lorsque j'ai vu l'un des hommes poser un sac sur le lit et en tirer une corde. Mes genoux ont été écartés et attachés avec la corde aux pieds du lit.

Puis l'un d'eux a passé une corde autour de mon cou et il l'a attaché à la tête de lit. Enfin ils m'attachent aussi les mains sur le devant. Leur chef me regarde et dit :

- Tu la fermes ou je te fais bâillonner!

Alors que je secoue la tête, je vois l'un d'eux entrer dans la chambre. Il porte des pots de yaourt et un concombre que j'avais dans le frigo.

Les hommes se déshabillent et me regardent. Puis le chef sourit et me dit :

- Mais avant que nous te baisions tous, je crois que nous avons faim.

Il ouvre un pot de yaourt et commence à l'étaler sur mes seins puis mon ventre après avoir levé mes bras. Alors que j'ai les jambes écartées il passe un bon moment à faire couler un autre yaourt sur mon monticule pubien. Le liquide se fraie bientôt un chemin dans la fente de ma chatte. C'est froid et excitant.

L'homme tire la langue et lèche le contour du pot de yaourt avant de le jeter par terre et dire :

- Le dîner est servi les gars!

Tous sautent sur le lit et se mettent à lécher le yaourt. La sensation est incroyable. Les langues lèchent mes mamelons et ma chatte. Comme je suis déjà bien mouillée je me mets à gémir, mais ça ne me satisfait pas complètement.

Mon corps a besoin d'une bite, alors je gémis tout en leur murmurant de me baiser. Mais ils continuent de me tourmenter, de m'exciter sans me laisser jouir.

Tous le yaourt est léché et leurs langues ralentissent alors je gémis de frustration. Le chef me regarde, prend le concombre et le frappe dans sa main.

- Tu veux te faire plaisir?

Je fixe le long légume puis l'homme et je dis :

- Allez-y s'il vous plaît!

Mais l'homme secoue la tête et me donne le légume. Ma chatte est en feu alors je glisse le concombre vers le bas.

J'ai déjà utilisé mon vibromasseur alors je sais comment faire. Je sens le légume toucher les plis de ma chatte, mais avant de pouvoir le pousser en moi, on me l'arrache :

- Voyons d'abord ce que tu peux faire avec tes doigts. Et si tu es une bonne fille, tu pourras finir avec ça.

Bien que mes mains soient attachées, je peux toujours frotter mon clitoris. Je ferme les yeux en jouant avec mon sexe. Bientôt mes doigts me font encore plus mouiller.

Avec mes genoux grands ouverts j'ouvre les yeux et regarde le mouvement obscène de mes hanches qui vont à la rencontre de mes doigts. Je commence à gémir alors on me redonne le concombre :

- Allez Monique, donne-nous un bon spectacle!

Il ne faut pas me le dire deux fois, je pousse le gros légume vert dans ma chatte et je me baise avec jusqu'à ce que je jouisse dans un grand cri.

C'est alors que les hommes recouvrent mon corps une nouvelle fois de yaourt et les langues frénétiques m'attaquent encore. Je continue à me baiser avec le concombre en me disant que je n'en peux plus, mais mon corps réagit de nouveau.

Les hommes me disent alors que je vais être vraiment baisée les quatre heures qui vont suivre.

Tandis qu'ils me détachent, leurs paroles m'excitent, mon corps me picote de partout et j'entends :

- Allez, on va s'amuser avec elle, on est venu la baiser alors baisons la!

Je me souviens avoir essayé de leur parler, de leur expliquer qu'ils ne pouvaient faire ça à la maison, mais ils ne voulaient pas m'entendre, ils voulaient seulement m'embrasser et me baiser.

Et c'est ce qu'ils font tous. Je prends les deux premiers, un dans ma bouche et l'autre dans la chatte. Puis deux autres me prennent en double.

Après quelques fellations, ils m'emmènent dans la salle de bain où ils rasent ma chatte. Je veux les arrêter, mais bientôt je branle ma chatte. La mousse froide m'excite davantage.

Quand ils ont fini, ils ne s'arrêtent pas de jouer avec mon sexe chauve. Ils le lèchent et bien sûr ça m'excite. Je ne suis plus que leur jouet qu'ils baisaient à leur guise. Je crie alors qu'ils me mordent, mais je ne leur demande pas d'arrêter.

A la fin, je sais que je dois faire quelque chose pour cacher que je les avais laissés faire, alors je les supplie de m'attacher.

Je suppose qu'ils vont juste me lier les pieds et les mains et me laisser sur le canapé. Mais ils m'attrapent et m'allongent sur la table du salon sur laquelle ils m'attachent. Ils coupent le concombre en deux et font des trous dedans pour passer une corde.

Ils en fixent d'abord une moitié dans ma bouche pendant que deux d'entre eux me baisent sur la table. Puis ils bouchent la chatte avec l'autre moitié du concombre.

Ils rigolent tous alors que l'un d'eux écrit quelque chose sur mon ventre et ma chatte rasée.

Je reste étendue là, le concombre me gardant excitée et mouillée jusqu'à ce que mon mari rentre à la maison.

Allez, vas-y, nettoie-moi. Je vais faire comme si j'étais une victime innocente. Je suppose que ça ne se reproduira plus et que nous continuerons notre vie tranquille.

*****

Je rentre ce mardi à la maison et comme vous le devinez elle est encore attachée, cette fois-ci jambes écartées sur le lit.

Je ne sais pas encore comment ils sont entrés, mais ils l'ont encore baisée. Cette fois ils sont arrivés à dix heures du matin, donc ils ont profité de sa chatte, de son cul et de sa bouche toute la journée. Ils ont apporté une fine canne et son cul est couvert d'un entrelacement de fines rayures rouges.

Ces bâtards l'ont encore rasée, enlevant tous les poils qui commençaient à repousser. Ils ont fait comme si elle leur appartenait. Non seulement ils l'ont fouettée, mais son corps est encore couvert de petites morsures. Pour finir je peux voir une vingtaine de pinces à linge qui ornent ses seins et sa chatte.

Elle me regarde les yeux pleins de larmes. Je ne peux pas lui crier dessus, alors je vais chercher de la crème avant d'enlever les épingles. Je ne la regarde pas, elle pense peut-être que je la blâme.

****

Monique fait ressembler son sourire à une grimace pour cacher ses vrais sentiments, son excitation comme ce matin lorsqu'à dix heures elle aperçoit une silhouette bouger dans le jardin. Son cœur s'est emballé. Elle se souvient.

*****

Je crois avoir vu un mouvement, donc je descends les escaliers et j'ouvre la porte de derrière. Je regarde attentivement, puis je rentre en laissant la porte ouverte.

Je sors du produit d'entretien du placard de la cuisine, attrape un plumeau et vais dans le salon. Mon corps me picote.

Puis j'entends de la précipitation derrière moi. Je me retourne et je vois qu'ils sont plus nombreux cette fois-ci. Des bras me saisissent et je reconnais la voix :

- Bonjour Monique! Prête pour une autre journée de baise? Ne dis rien, nous savons que tu aimes ça!

Je vois six hommes alors que mes vêtements sont déchirés. Je me dis que je peux me débattre et m'enfuir, mais encore une fois ce n'est pas possible. Dès que je suis nue ils me traînent sur le canapé. Je vois l'un d'eux ouvrir un sac et en sortir une canne fine. Je crie en la voyant.

Chacun d'eux s'amuse ensuite à me fouetter le cul avec la canne. Ils me tiennent immobile et ne s'arrêtent pas avant que je ne pleure vraiment. Ils comprennent alors que j'accepterai de faire tout ce qu'ils veulent pendant la journée.

Je me souviens que le chef m'a dit :

- J'espère que tu as fini de crier, car ta bouche va faire autre chose que parler. Tu ne connais pas nos deux nouveaux amis, mais nous leur avons parlé de toi et de ta bouche. Ils adorent se faire sucer. Donc nous avons décidé qu'ils allaient nous accompagner aujourd'hui pour s'amuser.

Alors que trois d'entre eux me montent dans la chambre, les autres vont à la cuisine et récupèrent de quoi manger et boire. Nous restons dans la chambre toute la journée.

Je ne vais pas vous ennuyer avec la séance de baise de la journée. Les deux nouveaux étaient cruels, ils m'ont fait mal jusqu'à ce que je tienne mes seins serrés pour pouvoir branler leur bite entre. Puis ils m'ont baisé la bouche violemment. C'est eux aussi qui m'ont rasé. Les autres s'étaient plaints que j'étais poilue, mais c'était une humiliation supplémentaire pour m'exciter.

A la fin je suis tellement épuisée qu'ils perdent tout intérêt dans leur jeu. Je suis incapable de les satisfaire, alors il m'attache au lit.

Pour me ranimer, ils trouvent des pinces à linge. Dès que je suis bâillonnée et impuissante, ils posent les pinces sur les endroits les plus sensibles de ma chatte et mes seins.

Alors que je pleure de douleur, ils se moquent de moi en me secouant pour essayer d'enlever les pinces. Je suppose que de voir mes seins ballotter ont dû les exciter, car ils m'ont encore baisé et couvert de ce qu'ils appellent leur carte de visite avant de partir.

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Eh bien cher lecteur, lorsque je rentre à la maison ce soir, ma femme est penchée sur le dossier de la grande chaise longue, jambes écartées, son vibromasseur en route dans sa chatte. Elle a une pince à linge sur chaque mamelon et elle gémit comme une salope en bougeant ses hanches et en grognant orgasme après orgasme.

Son joli corps, ses cheveux et son visage sont couverts de sperme séché. Je pense qu'elle a été baisée par beaucoup d'hommes toute la journée. Je la regarde et je monte prendre une douche.

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Monique tourne la tête et le regarde partir. Alors qu'elle a un nouvel orgasme, elle se demande où il va. Mais cette question disparaît rapidement quand elle commence à se souvenir de la journée.

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Je crois que c'est le destin qui m'a fait aller au garage aujourd'hui.

Je me souviens qu'il était dix heures quand je finis de me baiser avec mon vibromasseur. Mais je ne suis pas satisfaite, je veux quelque chose pour mon cul et je sais qu'il y a des tubes en plastique dans le garage.

Je laisse mon vibromasseur sur le lit et je vais regarder. Je n'ai que mon peignoir et mes pantoufles alors que je farfouille dans l'établi. Je suis ennuyée de ne pas trouver quelque chose de suffisamment propre pour mon cul et d'être toujours aussi excitée.

Quand je rentre à la maison, mon peignoir est par terre avant que je ne puisse penser à quoi que ce soit, et des bras puissants me soulèvent.

Les six hommes de la dernière fois sont dans mon salon. Ils me traînent par terre et je me retrouve à sucer une bite alors que je suis assise sur une autre. Ils font comme s'ils sont chez eux.

Je pense alors que mon mari était assis la nuit dernière sur la chaise sur laquelle on me penche pour me baiser par-derrière. Je regarde les marques laissées par nos verres de vin sur la table basse alors que l'on m'encule violemment.

Je sais que je me rappellerai ce moment ce soir en regardant la télévision. Mais pour le moment je ne vois qu'une paire de couilles qui se balance devant mes yeux avant qu'une grosse queue se plaque contre ma bouche pendant qu'une autre bite s'enfonce entre mes jambes.

Bientôt de la nourriture et des boissons jonchent les tables alors que je suis dans mon salon à me faire baiser par quiconque en a envie.

Il arrive un moment où la compréhension de la situation est claire. Notre esprit ne peut pas trouver d'excuses pour ce que l'on est.

Ils aiment me baiser et leur résister est futile. De plus j'ai besoin d'être baisée et c'est mon corps qui gouverne mon esprit. Je me souviens bien avoir supplié le chef quand les deux gars cruels ont commencé à tordre et tire mes mamelons, mais il s'est contenté de dire :

- Quelqu'un peut faire taire cette salope! Collez-lui une queue dans la bouche, elle adore ça. Elle est devenue une bonne suceuse de bites.

Puis ils m'emmènent en haut et trouvent le vibromasseur. Mon tourment qui suit cette découverte est incroyable.

Ils ont apporté du ruban adhésif avec eux afin de pouvoir m'attacher lorsqu'ils mangent, boivent ou se reposent.

Donc ils attachent mes mains dans mon dos et il enfonce le vibromasseur profondément en le mettant en marche. Les vibrations me rendent folle.

Alors je roule sur le sol en jouissant. Les mains attachées dans le dos, je ne peux pas retirer l'objet de torture alors je me tortille sur le sol et j'implore leur miséricorde. Mais je ne vois que leurs visages assoiffés qui rient de mon tourment. Ils me forcent à profiter de chaque minute.

Ensuite ils m'humilient en me forçant à ramper pour leur tailler une pipe alors que mon cul remue sous le vibromasseur. Je m'agenouille devant eux, les mains toujours dans le dos et je les suce jusqu'à ce qu'ils éjaculent dans ma bouche.

Cela continue pendant longtemps. Puis, quand il enlève le vibromasseur, je dois m'assurer de les faire bander à nouveau pour qu'ils me baisent.

Ça dure toute la journée. Pendant six heures, ils baisent ma chatte, mon cul et ma bouche avant d'en avoir fini avec moi.

J'aurais dû deviner que ce n'est pas terminé lorsqu'ils me descendent au salon. Mais je suis un peu dans les vaps, mon corps est complètement douloureux. Ils m'attachent alors sur la chaise penchée sur le dossier, mes mains tirées et attachées vers le bas, les jambes largement écartées.

Ils mettent ma petite culotte noire trempée de sperme dans ma bouche et le garde en place avec trois bandes de l'adhésif.

Mon cul est claqué plusieurs fois avant qu'ils enfoncent de nouveau le vibromasseur, qu'ils l'allument et qu'ils collent du ruban adhésif pour qu'il ne tombe pas. Les vibrations me rendent folle.

Je veux crier contre eux, je veux leur dire qu'ils ne peuvent pas me laisser comme ça, attachées et impuissantes en attente des orgasmes qui vont se produire.

Mais les hommes rangent leurs affaires, s'habillent et s'en vont. Le dernier s'assure que le gode tienne bien avant de poser une pince à linge sur chacun de mes tétons durs et sensibles.

J'essaie de le supplier, mais je ne réussis qu'à lécher ma culotte imbibée de sperme. Bientôt je gémis à cause d'un orgasme et l'homme sort de la maison. Je gémis encore lorsque j'entends la porte se refermer derrière lui.

Maintenant, je sais que quand je veux baiser, j'ai besoin de plusieurs hommes et de leurs queues bien dures. J'ai perdu le compte du nombre de fois où j'ai joui avant que mon mari rentre à la maison. En parlant de lui, où est-il putain?

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Je descends au salon, mais cette fois je ne la détache pas. Je préfère bien la baiser. Elle est attachée et bâillonnée avec sa petite culotte imbibée de sperme, donc elle ne peut rien dire.

Je retire alors le vibromasseur et je m'enfonce dans sa chatte pour la baiser rudement.

J'ai donc écrit les situations de ces derniers mois. Je ne sais pas si Monique est forcée ou si elle gère ça à son avantage. Et je ne sais pas si je le saurais un jour. Mais j'ai toujours entendu dire que si tu ne sais pas comment combattre ton ennemi, il vaut mieux le rejoindre.

FIN.