vendredi 23 juillet 2021

Isabelle Ch. 02

 Texte de Aldo37.

 *****

Soirée chez notre vieux voisin.

Une fois rentrés chez nous, Isabelle me raconta l'entrevue. Le fils à Jean-Paul avait été très correct, courtois. Le poste qu'il lui proposait lui plaisait, était bien rémunéré, même mieux que celui qu'elle venait de perdre, et en plus, on lui ouvrait des perspectives d'avenir au sein de la société. J'en vins alors à lui parler de la partie érotique. Isabelle eût un peu de mal à en parler.

Il n'avait pas été grossier, ni macho. Il l'avait faite déshabiller lentement, avait profité du spectacle, l'avait pelotée et caressée partout, l'avait embrassée dans le cou, et délicatement masturbée. Puis il s'était déshabillé à son tour, Isabelle avait noté que lorsqu'il avait retiré son slip, il était déjà en érection. Ensuite, à genoux, elle l'avait sucé, puis lorsqu'il fût bien dur, il l'avait possédée, virilement, sortant son sexe dressé pour mieux le replonger dans le vagin mouillé, et en diverses positions, debout, sur le fauteuil, sur le bureau, en levrette sur la moquette, agrémentant la saillie de mots crus, comme font tous les hommes excités par leur partenaire. Il avait fini par jouir longuement sur ses fesses et ses reins.

Épuisés, ils étaient restés ainsi un moment, puis il lui avait donné un paquet de kleenex avec lesquels il avait essuyé le sperme qui coulait et maculait les fesses et le dos, puis Isabelle lui avait nettoyé le gland et la verge.

Il avait ouvert une bouteille de champagne, Isabelle avait apprécié ces quelques bulles. Assis sur le fauteuil de son bureau, il contempla Isabelle, entièrement nue, qui se levait pour se rhabiller, et il lui ordonna :

- Viens m'offrir ta bouche pour ranimer mon désir. J'ai envie de toi !

Isabelle vînt se mettre à genoux devant lui, et engloutit son sexe pour une savante fellation, qui produit bientôt le résultat escompté : la queue était bien raide, luisante de salive, prête à remplir son rôle.

Isabelle raconta qu'elle vînt elle-même s'empaler, face à lui, sur sa queue dressée. Ils baisèrent ainsi un bon moment, lorsqu'il sortit son sexe pour jouir sur la toison blonde. 

Encore une coupe de champagne, et Isa se rhabilla, non sans qu'il l'eût embrassée longuement en la caressant avant son départ.

Je dois vous avouer que ce récit, fait par Isabelle, m'avait fortement excité, je ne ressentais plus la jalousie des jours précédents, mais une grande excitation ! Nous étions couchés, Isabelle avait un combiné pyjama short – t-shirt. Je la caressai rapidement.

- Enlève tout ! J'ai envie de faire l'amour !

J'aidai Isabelle à enlever le t-shirt, et, tout de suite, mon visage plongea entre ses jambes. Je me mis à lécher goulûment la chatte de ma femme, léchant les lèvres, le clitoris, embrassant la toison. Je léchai chaque centimètre de cette chatte qui avait accueilli le sexe de son amant, j'embrassai ces poils qui avaient été souillés par son sperme. J'étais ivre d'excitation, j'aurais voulu à ce moment la voir prise devant moi !!

Isabelle n'eût pas le temps de me sucer, je me relevai, lui écartai les cuisses, et tout de suite, la pénétrai. Je la besognai à grands coups de reins, puis, me retirant, je la pris en levrette, en la tenant bien par les hanches, donnant de grands coups de reins, mon ventre claquant contre ses fesses, la secouant bien pour faire bouger ses seins. Isabelle s'offrait, tendant ses fesses.

- Tiens Isa.Tiens.Tiens.

- Tu aimes la bite hein ? tu aimes en prendre ?

Isabelle gémissait, criait.

- Il t'a bien prise, cet après-midi. Il t'en a mis aussi.petite putain ! Tiens !!!

Je ne me contrôlais plus.

- Je vais jouir. Ouiii… JE JOUIS !!!!!!

Je me plantai en elle, très profond, et me vidai dans sa chatte, tandis qu'elle partit en même temps en hurlant.

Je me retirai, allongé sur le dos, épuisé. Isabelle s'allongea aussi, haletante, la chatte ouverte. Le sperme commença à couler. Isabelle alla faire sa toilette intime. Lorsqu'elle revînt, elle me dit :

- Je ne t'ai jamais vu dans un état pareil !! Un véritabl
e étalon. On dirait que tu as pris un aphrodisiaque ! Tu m'as fais prendre un pied d'enfer !!

Je me levai pour la toilette, et me recouchai en câlinant Isabelle.

- Tu sais chérie, je dois t'avouer une chose. Ce que tu as fait cet après-midi, ça m'a mis dans un état !!

- Marc, je suis heureuse que tu le prennes comme cela, et qu'en plus, cela t'excite. Tu sais, je dois t'avouer que cet après-midi, ça n'a pas été désagréable. Il m'a prise, et cela m'a plu.  Ça a été un peu humiliant au début, mais pendant, tu sais, on oublie vite ! Mais c'est toi que j'aime, ne l'oublie jamais ! Même si je dois me donner quelquefois à Serge, ce sera pour respecter notre promesse, et ce ne sera que physique. Et puis, beaucoup de femmes mariées ont des amants qu'elles cachent à leur mari, toi, au moins, tu es au courant. Il y a aussi des couples échangistes, nous en avions parlé une fois. C'est un peu comme ça.

Nous nous endormîmes, enlacés tendrement.

Le lendemain, Jean-Paul nous appela pour nous demander de venir le voir vers 21h00. A l'heure dite, nous étions au rendez-vous, Isabelle dans une petite robe d'été légère. Jean-Paul me fit asseoir dans le fauteuil, tandis qu'il se mettait lui à côté d'Isabelle, sur le canapé en cuir. Il posa sa main sur la cuisse à Isabelle, la caressant négligemment.

- Dis donc toi, j'ai mangé avec mon fils, à midi. Il m'a raconté. Il paraît que tu es une chaude et qu'il ne faut pas t'en promettre. On va voir ça, rassure-toi !

Il caressait maintenant les seins, redescendait sur les cuisses Il avait remonté la robe en haut des cuisses.

- Maintenant, embrasse-moi !

J'avais la vision de Isabelle, embrassant notre voisin, qui aurait pu être son père, et qui se faisait peloter, la main s'insinuait maintenant sous le vêtement léger.

- Allez ! Enlève vite ta robe. On va passer aux choses sérieuses.

Isabelle se leva, la robe passa par-dessus ses épaules Elle apparût seins nus, juste vêtue d'un string noir en dentelle, et se rassit à côté de Jean-Paul. Il l'embrassait dans le cou, sur la bouche, longuement. Puis il descendit sur la poitrine, suçant les tétons, léchant les bouts déjà érigés. Je constatai qu'il avait passé la main dans le slip d'Isabelle, et qu'il la caressait et la masturbait frénétiquement.

Isabelle commençait à soupirer, et j'étais très honteux de la voir ainsi, offerte à notre voisin, cet homme qui avait 60 ans, et qui profitait de son corps !! Il lui retira son slip, levant une jambe puis l'autre pour le dégager.

- Allez, suis-moi dans la chambre, pour ce qu'on a à faire, ce sera plus pratique !

Isabelle, nue, le suivit.

- Ne reste pas plantée là, allonge-toi sur le lit !

Il retira prestement sa chemisette et son pantalon, il ne portait pas de slip, et avait une belle érection. Il se coucha au côté d'Isabelle.

- Maintenant, ma puce, tu vas t'occuper de moi !

Isabelle l'embrassa dans le cou, lui embrassa le torse, puis descendit, descendit. Il y eût un premier baiser rapide sur le sexe dressé, puis un second, et la fellation commença. Isabelle avait le sexe de Jean-Paul en bouche, et suçait.

- Humm. Oui, suce-moi bien.

Isabelle enfonçait le sexe profond dans sa bouche, le ressortait pour titiller le gland de la langue, lécher le long de la hampe dressée, puis lécher les couilles durcies par le désir, pour reprendre en bouche et recommencer la fellation.

- Ahhh oui, salope, pompe-moi bien à fond.

Isabelle s'activait. 

- Dis donc, elle est faite pour ça ta femme ! Une vraie salope !!!

- Arrête !! Tu vas me faire jouir !! Et j'ai envie de baiser, moi !!

- Mets-toi à quatre pattes, je vais te prendre en levrette !

Isabelle obéit. Il pointa le gland à l'entrée de la chatte de ma femme, puis la pénétra. Isabelle gémit lors de la pénétration, puis sur les premiers mouvements du ventre de Jean-Paul, puis sur le rythme du coït. Jean-Paul baisait maintenant Isabelle en cadence.

- Ah, salope, elle est bonne, ta chatte !

J'entendais clairement son ventre frapper les fesses d'Isabelle en cadence, et je voyais ma femme possédée devant moi par Jean-Paul, qui lui maintenait les hanches en la baisant, et qui, quelquefois, s'amusait à lui peloter les seins. Il se retira et s'allongea.

- Allez petite pute, viens t'empaler là dessus !

Isabelle l'enjamba, prit la verge pour la guider à l'entrée de son sexe, et retomba sur la queue.

- Oui voilà. Danse bien sur ma queue ! bouge bien !

Au bout d'un moment, les signes que je connais apparurent, Isabelle gémit de plus en plus fort, cria, bougea de plus en plus vite.

- Ahh oh oui OUI OUI ! je prends mon pied c'est bon !!

Isabelle jouit, pendant que Jean-Paul, bien sûr, s'ingénia à accélérer le mouvement, afin de donner des coups de bite encore plus puissants dans la chatte de ma femme. Isabelle épuisée, continuait à monter et descendre sur le pal qui lui transperçait le ventre.

- Attends, je n'ai pas joui, moi. Il faut me finir !

Il la fit remettre en levrette et la pénétra.

- Tu vas voir, je vais te défoncer !

Il limait furieusement Isabelle. Tout à coup, il se retira.

- Ça y est !!! Je jouis JE JOUIS!!! Tiens salope, prends mon sperme ! Oui Tiens !

Les longs jets gluants et blancs arrivaient sur les reins et les fesses d'Isabelle, en autant de flaques qui s'insinuaient et coulaient le long des globes charnus. J'ai cru qu'il n'en finirait pas de jouir !!! Les jets se succédaient sans pouvoir arrêter. Isabelle était couverte de sperme !

L'éjaculation se termina enfin, Isabelle, épuisée, s'affala sur le ventre, offrant la vision de ses reins et de ses fesses souillées.

- La salope, elle m'a vidé les couilles !!

Jean-Paul alla à la salle de bains, puis revint après sa toilette.

- Allez, vas te laver, tu as le cul plein de foutre !

Il lui lança une serviette avec laquelle Isabelle, tant bien que mal, s'essuya les fesses, puis elle alla prendre une douche rapide, tandis que Jean-Paul et moi allions boire un verre de champagne dans le salon.

- Dis donc, c'est un super coup, ta femme. Une super baiseuse. Tu arrives à la satisfaire tout seul ??

Jean-Paul était toujours nu. Isabelle une fois douchée revînt parmi nous, et voulu se rhabiller.

- Non, toi, tu restes comme ça, tu es bien à poil, non ?? Fais nous profiter de tes charmes, et sers-nous à boire !

Isabelle fît donc le service entièrement nue, pour le plus grand plaisir de son baiseur qui en profita pour lui caresser les fesses.

- Alors ma puce, tu as vu ce que je t'ai mis ?? Ça a eu l'air de te plaire, non ?? Tu es une sacrée baiseuse ! Rassure-toi, j'ai plein de projets pour toi Je t'en reparlerai en temps utile. En attendant, viens me sucer un peu, j'ai envie que tu me redonnes la trique !

Isabelle s'agenouilla devant Jean-Paul, et engloutit son sexe dans sa bouche.

- Huumm le pied. Boire une coupe de champagne en se faisant tailler une pipe par une salope pareille. Oui, suce bien, fais la grossir. Sors bien ta langue !

Sous la savante fellation, la verge commençait effectivement à durcir, et au bout de quelques minutes, elle fût de nouveau opérationnelle. Jean-Paul se leva d'un bond.

- Allez, mets-toi à genoux !

Isabelle à genoux, lui debout, il se masturba au-dessus de son visage.

- Humm… Ça vient. Oui ça vient.

- Allez, finis-moi ! Pompe !!

Isabelle suça.

- Humm je vais jouir. Branle-moi maintenant.VITE !!!

Isabelle se mit à le branler frénétiquement. Les deux premiers jets de sperme l'atteignirent en plein visage, le troisième sur les cheveux, et le quatrième sur le menton.

- Hummohh. Regarde ta femme comme elle est belle pleine de foutre.

Isabelle retourna très vite à la salle d'eau, pour se nettoyer le visage et les seins sur lesquels le sperme coulait et faisait de larges traînées. Ma femme réapparût vite, et Jean-Paul lui lança :

- On va arrêter là pour ce soir, car tu m'as vraiment vidé les couilles au dernier point. Tu baises bien, je suis content de toi. Maintenant, rentre vite avec ton mari, et fais lui la même chose, je suis sûr qu'il en crève d'envie !

Nous sommes rentrés, Isabelle était épuisée, et ce soir là elle s'est endormie très vite, pelotonnée contre moi, moi qui suis resté avec une envie furieuse en bas du ventre.

A suivre…

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