mardi 13 juillet 2021

Monique Ch. 02

 Traduction d'un texte de « Kayce 69 »

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Gangbanguée par des ouvriers.

Rapidement, nous partîmes en voiture. Le retour à la maison se fit en silence. Ensuite, je préparai deux verres et nous nous sommes assis dans le salon. En la regardant, je lui dis :

- Bon.

Elle prit une grande gorgée de son verre, me regarda et s'éclaircit la gorge :

- Je ne voulais pas aller jusque-là. Ça a échappé à tout contrôle. S'il te plaît, crois-moi! Je t'aime, peux-tu me pardonner?

Je dévisageai ma belle femme. Mais je dois être honnête. Tout ce que je pouvais voir, c'était sa bouche grande ouverte avec la bite d'un étranger à l'intérieur. Mais je répondis :

- Oui, je t'aime aussi. Mais j'ai besoin de savoir pourquoi et de connaître tous les détails. Quand je saurai tout, alors nous pourrons peut-être résoudre ce problème.

Elle me sourit. Je pense que les mots « je t'aime » lui avaient redonné du baume au cœur. Je serrai les dents dans l'attente de ce qu'elle allait dire.

- Tu te souviens des quatre hommes qui sont venus pour installer la salle de bain et le chauffage central?

Je hochai la tête.

- Eh bien, ça se passa le mercredi. Si tu te rappelles, j'avais une séance de photo le matin. Alors j'étais partie avec toi sans rien ranger à la maison.

Elle prit une autre gorgée.

- Je m'étais habillée d'un petit haut léger et d'une jupe courte avec des bas. Tu sais que je me suis toujours sentie sexy de parader avec des jupes courtes à plis au ras des bas et des petits chemisiers. Lorsque je suis revenue à la maison, les ouvriers travaillaient dans notre chambre. Donc je ne me suis pas changée et j'ai été ranger la maison. S'il te plaît, puis-je avoir un autre verre?

Je la servis. Elle me remercia quand je lui tendis le verre. Puis je retournai m'asseoir.

- Je me suis lavée puis je suis retournée dans la chambre pour faire le lit. Bêtement, je me disais que ça devait paraître en désordre pour les ouvriers. Donc je suis entrée, j'ai souri aux deux hommes qui travaillaient sur la tuyauterie et je me suis mise à refaire le lit. J'étais penchée pour tirer la couverture vers le haut quand je sentis une main me caresser le dos de la jambe. Je voulais l'arrêter mais c'est comme si j'avais reçu une décharge. Je restai immobile. Ils savaient et je savais que je respirais fort. Quelque chose m'empêchait de bouger alors ils devinrent plus hardis. Je sentis la main remonter plus haut sur ma cuisse. J'allais dire non quand une seconde main m'a touchée. Je sentis mes genoux buter contre le lit. Maintenant les mains me chatouillaient sur ma peau nue juste au-dessus des bas. J'étais sur le point de les arrêter quand la porte s'ouvrit et qu'un troisième homme entra.

Ma femme prit une longue gorgée de boisson et continua :

- Cet homme était le plus âgé et le plus grossier du groupe. Il me regarda alors que j'étais penchée sur le lit, les mains de ses collègues sous ma jupe. Il rigola et dit : « Qu'avons-nous ici? Est-ce une femme au foyer solitaire qui a besoin d'être baisée? ». Il passa de l'autre côté du lit pour se trouver face à moi et ajouta : « Bien chérie, si ton mari ne peut pas le faire et que ta chatte sous-utilisée demande une baise, nous allons te satisfaire ».

Les yeux de Monique se relevèrent et me regardèrent pour observer ma réaction. Je sus que j'étais sur le point d'entendre des choses que je n'avais pas vraiment envie de savoir. Elle continua :

- L'homme âgé mit sa main sur ma poitrine et la serra. Idiotement, je n'avais pas remis mon soutien-gorge. Alors je gémis de douleur tandis qu'il souriait. Il dit : « Oh oui, ils sont jolis, gros et bien fermes. Je pense aussi que tes tétons doivent se dresser. Je pense que ça ne va pas te déranger si je jette un œil. J'ai bien l'impression que ça ne va pas te déranger si nous sautons les formalités et que nous te déshabillons tout de suite. Tu as l'air d'avoir un beau corps donc il faut nous le montrer. Et je suis sûr que ta chatte est déjà chaude et humide. ». Je savais que ça devait s'arrêter. Avec du mal j'ai réussi à dire non et j'ai essayé de m'enfuir. Je voulus m'agenouiller sur le lit, je devais m'échapper. Mais alors que je mis un genou sur le lit, les hommes saisirent mon autre jambe. Ce qui fit que mes cuisses étaient grandes ouvertes.

Ma femme finit son verre et continua sans me regarder. Je vais vous retranscrire exactement ce qu'elle m'a dit.

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J'ai essayé de les supplier. Je leur ai demandé d'arrêter ce qu'ils faisaient. Mais un des hommes mit son genou derrière le mien, me prenant au piège, jambes écartées. Il me sourit en me disant :

- Oui, oui, peut-être plus tard, mais d'abord je veux prendre ça dans mes mains.

Ses mains tripotèrent mes seins et trouvèrent bientôt mes tétons durcis. Il commença à les pincer en continuant :

- Je crois que ça sera bien pour nous deux quand je les aurai dans ma bouche.

Il commença alors à me déboutonner le chemisier. Je tendis la main, mais les deux hommes derrière moi avaient atteint ma culotte. Pendant que l'homme jouait avec mes mamelons, ils avaient tiré le tissu de ma culotte sur le côté et leurs doigts exploraient mon intimité. Je ne pus les empêcher d'enfoncer leurs phalanges dans ma chatte et mon cul. Leurs bras tenaient mes jambes, leur bouche embrassant et léchant mes cuisses.

Je dus reposer ma main pour me stabiliser, alors l'autre homme continua à déboutonner mon chemisier. Il arracha les deux derniers boutons et il eut accès à ma poitrine. Je ne pouvais pas l'arrêter. Il était méchant et prenait plaisir à pincer et tordre mes mamelons.

Puis le quatrième ouvrier est arrivé. C'était le plus jeune. Il cria en voyant ce qui se passait.

Oh mon Dieu, comment cela a-t-il pu m'arriver? j'étais penchée sur notre lit, un homme jouant avec mes seins, roulant mes tétons entre ses doigts, et deux autres me doigtaient le cul et la chatte. Et je ne les arrêtais pas.

Le jeune garçon m'enleva mon chemisier avant d'attaquer ma poitrine avec sa bouche. Au même moment les autres déchirèrent ma culotte et continuèrent à enfoncer leurs doigts dans ma chatte et mon cul.

Leurs mains bougeaient très vite et je les sentais en moi. Ma tête tomba et je ne pus m'empêcher de gémir. Le vieil homme continuait de tripoter mes seins et il se moquait de moi alors que je les laissais faire ce qu'ils voulaient de moi.

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Je sentis que ma femme avait besoin d'un autre verre alors je m'empressai de lui verser sans rien dire. Et elle continua.

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Tout en me malmenant, les hommes ont commencé à me soumettre. Le patron a tiré mes mains vers lui. Il m'a fait ouvrir son pantalon et il m'a dit que je devais sortir sa grosse bite. Il a saisi mes cheveux et a dit :

- Allez salope, tu ne nous arrêteras pas. Tu peux bien faire semblant de résister mais tu sais que nous allons te baiser. D'ailleurs nous allons commencer avec cette mignonne petite bouche qui est prédestinée à sucer des bites.

Il tira ma tête jusqu'à sa queue trempée de sueur et il me força à la prendre dans ma bouche. Sa bite était longue et épaisse. C'était horrible, mais il me fit la sucer.

Alors que ma bouche grande ouverte était remplie avec ce membre, je ne pouvais empêcher les autres de se servir de moi. Leurs mains étaient entre mes jambes et ils baisaient ma chatte et mon cul pendant que le jeune continuait à sucer mes seins.

Ce n'était pas tendre. Ces hommes étaient très rudes. Le patron me tenait fortement et me forçait à baisser la tête, pour emplir ma bouche de son membre. Il me tenait par les cheveux et faisait monter et descendre ma tête sur sa bite jusqu'à ce que ses hanches cognent mon visage. Il a tenu ma tête alors qu'il jouissait, remplissant ma gorge de son sperme.

J'ai toussé et j'ai craché son jus. Il m'avait presque étouffé avec sa bite sale, mais il s'en foutait. Puis ces hommes m'ont enlevé ma jupe. Honnêtement, j'ai essayé de les arrêter, mais ils me tenaient les mains pendant qu'ils jouaient avec mon corps, me tripotaient, suçaient et tiraient mes mamelons, enfonçaient leurs doigts dans ma chatte et mon cul. Ils m'embrassaient et leur langue envahissait ma bouche jusqu'au moment où ils me firent tomber sur le lit.

Je ne portais plus que des bas. Un homme m'a saisi brutalement la tête. J'ai senti une bite entre mes jambes alors que l'on tournait mon visage pour que je suce une autre queue. Le gars me tenait fermement la tête et il a ouvert ma mâchoire en la tirant vers le bas avant de forcer toute la longueur de sa bite bien raide dans ma bouche.

J'étais couchée sur mon lit, notre lit conjugal et je suçais une queue alors que mes jambes étaient tenues grandes ouvertes face à un autre homme. Celui-ci prenait du plaisir à jouer avec ma poitrine, ses doigts tordant mes tétons tandis que sa bite s'enfonçait dans mon ventre. Je pouvais voir les deux autres hommes se déshabiller. Je savais qu'ils allaient m'utiliser à leur tour. Je n'étais plus qu'une putain ordinaire pour eux. Mais j'étais baisée si rudement que je ne pouvais pas dire non

***********

Ma femme but la moitié de son verre très vite. Je suppose qu'elle était excitée et honteuse de me raconter tout ça. J'attendis qu'elle continue, mais ce ne fut pas long.

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Un troisième homme s'est approché. Encore une fois, je ne pouvais pas l'arrêter. Il prit la place de l'autre. Il me pinça le nez et me tint fermement la mâchoire pour enfoncer sa bite dans ma bouche. Ces ouvriers me tenaient les bras et et m'empêchaient de bouger jusqu'à ce que je finisse de sucer l'homme et que j'avale sa décharge de foutre. Ils se moquèrent de moi pendant qu'il giclait dans ma gorge. Puis un autre ouvrier vint se placer devant ma bouche et me présenta sa queue.

J'avais déjà mal à la bouche, mais en regardant cette longue bite bien dure, je n'ai pu m'empêcher de la vouloir. Lui ne le savait pas, car il a dit à ses copains de bien me tenir, qu'il voulait aussi me baiser le visage et vider ses couilles dans ma bouche. Mais j'allais le laisser faire.

Ils ont rigolé en me positionnant à genoux. Ils savaient que je ne pourrais pas arrêter de sucer leur bite. Alors, quand les doigts jouaient avec mon cul, ma chatte, qu'ils bougeaient en moi et qu'ils s'amusaient avec mes mamelons, je devenais de plus en plus excitée.

Ils se tenaient autour de moi en me disant qu'ils avaient décidé que la meilleure façon de me faire tenir tranquille était de remplir ma bouche avec une queue. Et qu'il fallait que je les laisse faire, parce que si j'essayais de les arrêter, ils utiliseraient leurs doigts pour exciter ma chatte.

Tandis que je suçais la bite dans ma bouche, l'un d'eux a pensé que ce serait amusant de me mettre sur le visage de leur chef.

L'homme avec sa queue dans ma bouche n'a même pas arrêté de me baiser alors qu'ils me mettaient sur le visage du patron. Cet homme avait une longue langue et il était expert en léchage de chatte. Je n'ai pas pu m'empêcher de gémir alors qu'il titillait mon clitoris et enfonçait sa langue plus profondément dans ma chatte. Mon excitation était incontrôlable.

Les autres se sont amusés avec mes seins. C'est à ce moment-là que j'ai pris la bite plus profondément dans la gorge. l'homme qui me baisait la bouche m'a demandé alors de caresser ses couilles jusqu'à ce qu'il jouisse.

C'est là qu'ils ont compris que j'étais prête à jouer avec eux. Les remarques grossières ont commencé, ils ont ti en m'humiliant :

- C'est une bonne suceuse, elle en demande toujours plus. C'est une salope, nous allons pouvoir faire tout ce que nous voulons. Cette chienne va se laisser utiliser. Qui veut commencer à la baiser?

Le jeune garçon qui devait juste être majeur se moquait de moi en jouant avec mon sein gauche. Il disait :

- Allez Monique, ça ne te gêne pas si je te baise? J'ai déjà giclé dans ta bouche donc joue avec ma bite, pose tes mains dessus et caresse le pour que je sois le premier à utiliser ton joli cul serré.

Le quatrième homme suçait mon mamelon droit. C'était nouveau pour moi tous ces hommes qui me tripotaient, qui voulaient me faire ce qu'ils voulaient. Je les regardais avec leurs bites toutes longues et bien dures. J'étais sur le point d'être gangbanguée. Je savais qu'ils allaient tous me baiser et que je n'arrêterai pas d'avoir des orgasmes.

Et j'avais raison, j'ai été baisée toute l'après-midi. Quand les uns finissaient, les autres recommençaient. Il était impossible de les arrêter, ils me baisaient en continu, parfois à un ou deux en même temps. Mon Dieu, je ne pouvais pas les arrêter. J'ai bien essayé de me débattre et de les frapper avec mes mains, mais ils rigolaient en bloquant mes bras puis leurs doigts recommençaient de m'exciter et leurs queues suivaient peu après. Et cela pas seulement une fois, mais encore et encore.

*****

Elle but l'autre moitié de son verre et continua.

*****

J'ai encore le souvenir d'être allongée sur notre lit, du sperme s'échappant de ma chatte et de mon cul qui venaient juste d'être baisés, et de regarder, épuisée, les hommes vicieux qui viennent de profiter de moi sortir de la chambre.

*****

Elle prit une profonde inspiration.

*****

Je me vois encore lever les mains pour dire non au suivant qui s'approche de moi. Mais il se contente de repousser mes bras alors qu'il s'allonge sur le lit.

Il commence à m'embrasser, tenant ma tête alors que sa bouche broie la mienne. Puis ses mains tripotent mes seins et ils jouent avec mes mamelons,

S'ils étaient plusieurs, alors un autre attaquait ma chatte avec ses doigts ou sa langue et jouait avec mon clitoris. Et alors je me rendais et j'entendais les ricanements moqueurs alors que j'ouvrais les jambes pour qu'ils me baisent à nouveau.

Je ne pouvais pas te le dire. Comment aurais-je pu te dire que j'avais été enculée dans notre lit, que j'avais pris tellement de positions pour que ma chatte, mon cul et ma bouche soient utilisés tous l'après-midi par d'autres hommes, que mes mamelons étaient douloureux d'avoir été continuellement sucés et tirés.

J'ai essayé de me faire pardonner même si j'étais courbaturée. Comme j'étais toujours excitée, j'ai essayé de te faire l'amour ce soir-là, mais tu n'as pas voulu.

A l'aube, en me réveillant je me suis dit que si tu me laissais seule à la maison, ils recommenceraient. Et même si je leur disais non, ils me soumettraient, me tripoteraient avec leurs mains et me maltraiteraient jusqu'à ce que je ne puisse plus rien refuser. Donc j'ai pensé que je devais sortir de ma maison et partir avec toi.

Je t'ai demandé pour t'accompagner, mais tu n'y a pas fait attention, trop submergé dans ton travail. Et le fait que tu ne sois parti qu'après leur arrivée a été pénible. La façon dont ils m'ont souri m'a fait comprendre qu'ils savaient que je ne t'avais rien dit.

Donc quand j'ai été cherché mon manteau pour sortir, deux d'entre eux m'attendaient. Ils m'ont attrapée et m'ont retenue par les bras. J'ai attendu ton aide, mais tu n'as même pas fait attention à moi.

Je me souviens très bien. Je suis entré dans notre chambre et ils m'ont attrapée. Puis ils m'ont poussée contre le mur, mis un doigt sur mes lèvres et une voix a dit :

- Ne dis rien et garde tes bras le long de ton corps, tu ne vas nulle part. Tu n'auras que le droit de bouger ta chatte sous nous, les genoux levés et les jambes grandes ouvertes.

Je me suis débattue et il a dit :

- NON!

Le doigt sur ma bouche a forcé mes lèvres et s'est enfoncé profondément.

- Ne te débats pas, ça ne sert à rien. Nous allons encore nous amuser avec toi toute la journée.

Il m'a léché le visage et répété :

- Toute la journée.

Ils étaient deux à me tenir plaquée conte le mur de la chambre. Ils ont commencé à m'embrasser pour m'empêcher de parler. Je ne pouvais pas les en empêcher alors j'ai fini par les laisser faire.

Le fait que tu sois au rez-de chaussée en train de préparer tes affaires alors que deux d'entre eux étaient à l'étage avec moi, leurs mains tripotant mon corps, m'a excité rapidement. Ça me faisait des choses, j'étais fascinée par leur audace.

Ils ont rapidement défait les boutons de mon chemisier en me riant au nez et en disant :

- Allez bébé, ton mari à la bite molle ne saura pas que nous te touchons les seins. Il ne va pas nous empêcher de jouer avec. Nous avons aimé nous branler entre hier, alors pourquoi aujourd'hui serait différent.

Encore une fois ils ont été brutaux. L'un d'eux m'a souri en me tenant la tête, puis il a forcé sa langue dans ma bouche. Son autre main était dans mon chemisier et tripotait mes seins avant de faire rouler mon mamelon durement entre ses doigts.

Ils se sont mis à genoux et leurs mains ont remonté ma jupe. Puis une main a tiré ma culotte sur le côté alors qu'une autre me forçait à écarter les jambes.

J'ai entendu l'un des hommes dire :

- Ouvre tes jambes salope! Je veux ta chatte comme je l'ai eu hier, je veux te doigter.

Ils ont joué avec mon corps. Il régnait dans l'air une tension sexuelle qui m'excitait.

Ils s'amusaient avec moi pendant que leur chef te regardait partir. Puis celui-ci nous a rejoint et a souri en me voyant impuissante, tenue par deux de ses ouvriers. J'étais presque nue et ça l'amusait. Il m'a dit avec mépris :

- Ton mari est parti et toi tu es toujours là. Je vais m'amuser avec toi ou je devrais dire avec cette chatte juteuse au goût sucré.

Il s'est approché. Je n'avais plus tous mes esprits. Une bouche tétait mes seins maintenant exposés et des doigts pénétraient ma chatte. Mes jambes se sont écartées alors qu'une bouche aspirait mon clitoris.

J'ai entendu un homme me dire :

- Sais-tu chérie qu'il n'y a rien que j'aime plus que de doigter une femme pendant que je remplis sa bouche de mon sperme. Une bonne femme au foyer se déshabille, se met nue et disponible, voilà ce qu'est une gentille femme.

*****

Ma femme déglutit difficilement, sa voix montrant son énervement.

*****

Sais-tu combien de fois j'ai été baisée sur notre lit par trois hommes en même temps, leurs queues me pilonnant sans cesse et me faisant jouir encore et encore? Je ne pouvais pas m'en empêcher, mais dois-je être forcée à admettre que j'aimais ça? Sais-tu à quel point c'est douloureux de se faire tirer la tête en arrière par les cheveux par l'homme qui te baise par-derrière? Et te faire tirer la tête en avant par celui qui remplit ta bouche avec son foutre? Et avoir à sucer et nettoyer une bite juste après qu'elle ait été dans ton cul et qu'elle ait giclé.

J'ai avalé tant de sperme ce jour-là que je n'ai pas eu besoin de déjeuner. Ils m'ont gardé nue toute la journée. Je n'avais pas d'échappatoire. Ils me suivaient partout et baisaient n'importe lequel de mes trous dans n'importe quelle pièce où ils décidaient de m'avoir.

Oh oui tu m'as téléphoné. Je ne voulais pas répondre, mais ils m'y ont obligée. Tu m'as dit que tu étais désolé de ne pas m'avoir emmenée. Tu as remarqué quelque chose dans la façon dont je t'ai répondu. Je t'ai donné l'excuse d'être à court de souffle après avoir couru au téléphone. Effectivement je respirais fort.

J'étais complètement nue à part les bas, penchée sur le téléphone , un homme pompant sa queue dans et hors de mon cul. Un autre homme se tenait devant moi en me regardant fixement te parler, une main tripotant mes seins alors qu'il se masturbait avec l'autre.

Le vieux contremaître me regardait me faire enculer et il m'envoyait des baisers tout en en faisant le bruit avec sa bouche. Il savait que lorsque je raccrocherais, son copain attraperait ma tête, me plierait plus bas sur le bureau et collerait sa bite bien dure au fond de ma gorge. Il voulait me baiser la gorge. En fait ils faisaient la queue pour me baiser.

Sais-tu à quel point c'est humiliant de devoir lécher une bite avec ta langue ou des couilles, pendant que tu rebondis sur la bite d'un autre homme et qu'ils savent que malgré tout tu aimes ça?

Le soir j'avais mal à la bouche, mais tu ne l'as pas remarqué, le lendemain non plus d'ailleurs.

Oui, le lendemain tu m'as dit que tu sortais juste pour faire une petite course, que tu ne serais pas long. Mais je sais que tu as dit à l'entrepreneur que tu devais aller au magasin dans une autre ville et que ça te prendrait bien quatre heures. Je sais aussi que tu lui as dit de ne pas me le répéter pour que je ne sois pas furieuse que tu travailles pendant un de tes jours de congé.

Tu te doutes qu'ils étaient contents. Bien avant que le bruit de ta voiture ne se soit éloigné, ils m'avaient déjà attrapée et me tenaient par les bras. Leurs mains ont commencé à courir sur tout mon corps et ils ont décidé de m'exciter assez vite. Ils savaient que tu serais absent quelques heures et ils voulaient en profiter le plus possible. Pense à moi toute seule à la maison avec quatre bites surexcitées.

J'ai essayé de garder un semblant de dignité en leur demandant d'arrêter. Mais ils m'ont emmené dans le salon et j'ai eu une boule à l'estomac quand ils m'ont obligée à m'agenouiller.

Ils se sont congratulés et ils se sont moqués de moi alors que le vieux contremaître m'obligeait à me mettre à genoux devant un de ses ouvriers. L'un d'eux s'est agenouillé aussi pour me tenir les bras. Un autre a posé ses mains sur ma poitrine pour tripoter mes seins. Puis ils ont dit à l'homme devant moi de retirer son pantalon et son caleçon.

Un homme m'a tenu la tête et l'a poussé sur l'énorme queue devant moi. Le vieux contremaître se moquait de moi en disant :

- Regarde, ça n'a pas l'air délicieux? Un bon morceau de viande et je crois qu'il veut ta langue pour chatouiller son petit trou. Ne nous dis pas que tu ne veux pas que ça reste coincé dans ta bouche.

Et ils m'ont regardée, incapable de résister à cette grosse queue qui touchait presque mes lèvres. Je n'ai pas eu besoin qu'on m'ordonne de lécher le liquide pré-éjaculatoire qui gouttait de la bite.

Ensuite le vieil homme s'est baissé, a soulevé ma jupe et a baissé ma culotte déjà mouillée tout en me disant :

- Tu veux que nous arrêtions? Mon copain est déjà en train de sortir tes beaux seins et le reste d'entre nous sait que tu veux qu'ils te mettent sur le dos, tes belles jambes bien écartées.

Il continue de me murmurer à l'oreille comme si j'étais un enfant :

- Allez petite dame, tu sais que tu le veux aussi. Où est le mal? Tu n'as pas dit à ton mari combien de fois nous t'avons baisée à tour de rôle. Tu ne lui as pas dit combien de fois tu as eu une bite bien juteuse coincée entre tes lèvres et combien de fois tu as avalé du bon foutre chaud. Et lui as-tu dit la façon dont tu cries alors que tu es assise sur mon visage, tes cuisses enserrant ma tête alors que ma langue lèche ta chatte. Et je ne crois pas que tu lui aies dit que nous avons changé de position, que je me suis assis sur ton visage, mes couilles dans ta bouche. Elles n'ont jamais été aussi propres. Et est-ce qu'il t'a lavé? A-t-il nettoyé tous le foutre que nous avons laissé sur tes jolis seins. Moi je crois que tu n'as rien dit. Et nous savons tous les deux pourquoi, et pourquoi tu es là encore aujourd'hui. Parce que tu ne lui diras pas combien de fois tu nous as demandé de t'emmener à l'étage, de t'allonger sur le lit. Et combien de fois tu as pris toutes les positions perverses que nous avons pu imaginer pour te baiser.

Il m'a souri et a dit :

- Je sais que nous sommes rudes avec toi, mais nous aimons te baiser. Je vais te mettre à l'épreuve et voir si tu vas m'arrêter si je joue avec ma main sur ta chatte humide. Soyons sérieux, nous savons tous les deux que tu ne m'arrêteras pas. Allez, écarte les genoux que je puisse m'occuper de ta chatte. Tu sais que tu le veux non?

Alors que sa main glissait sur ma jambe et que son doigt entrait en moi j'ai pu comprendre son ton sarcastique. Il a ajouté :

- Tu sais que ta chatte est vraiment inondée. Mes doigts ont réussi à glisser tout seul. Es-tu sûre de vouloir que nous continuions?

Il a rigolé quand je me suis traînée jusque à notre chambre et notre lit. Tous la gars faisaient des remarques vicieuses et annonçaient ce qu'ils allaient me faire tout en me suivant. Tous savaient qu'il me fallait plus et ils avaient raison. Je ne voulais pas qu'ils partent et je n'allais pas les empêcher de faire tout ce qu'ils voulaient de moi.

Ils étaient dans notre chambre, autour de moi et j'ai été forcé de me déshabiller complètement. Ils ont rigolé quand ils m'ont fait trembler mon cul, tenir mes seins en coupe, me tordre les mamelons ou les lécher. Ils ont claqué mon cul et j'ai poussé mes hanches en avant pour qu'ils puissent toucher mon entrejambe.

Quand ils ont fourré leurs doigts dans ma chatte mouillée, je suis devenu totalement excitée. Et l'humiliation finale c'est que j'ai dû supplier ces ouvriers de me baiser. J'étais nue et à genoux en leur promettant de faire tout ce qu'ils voudraient du moment qu'ils m'offrent du soulagement.

Encore et encore ils m'ont baisée. Je ne pouvais pas les en empêcher. Ils ne m'ont même pas permis d'aller aux toilettes sans être accompagnée. Alors que j'étais assis sur la cuvette pour faire pipi, l'un d'eux avait sa bite dans ma gorge et il me baisait la bouche.

Ils m'attrapaient, m'amenaient vers eux. Ils étaient comme des bêtes sauvages. Ils me jetaient sur le lit. Je n'étais qu'un jouet, leur jouet, quelque chose avec laquelle ils pouvaient s'amuser et baiser chacun à leur tour.

Et moi je t'imaginais au bureau sans que tu ne penses à moi un instant. Bientôt ils me prirent à plusieurs sur notre lit encore et encore.

Le problème maintenant est que j'ai pris goût aux pénétrations multiples. C'est une chose qui m'apporte beaucoup d'orgasmes. Et je suis en permanence excitée, c'est pour cela que je voulais aller au cinéma. Voilà, maintenant tu sais tout.

*****

Que pouvais-je faire maintenant, elle avait tout avoué. Je me sentis un peu coupable. Mais je bandai comme jamais. Nous sommes allés nous coucher et pendant des heures je la baisai. Quand nous finîmes, elle me promit d'arrêter d'aller au cinéma. Pour moi ça me suffit...

Jusqu'à mon retour à la maison une semaine plus tard.

A suivre...

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