Texte proposé par Harrycovert . Vous pouvez lui envoyer un petit mot d'encouragement à l'adresse cvertharry@gmail.com.
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C’est le week-end et ma petite femme Thérèse et moi sommes tranquillement installés à la terrasse du café de la Mairie, en train de siroter, elle un diabolo-menthe, moi un demi bien frais lorsque un de mes copains nous aperçoit et, tout sourire vient nous rejoindre.
- Ah, voici la jolie Thérèse dont on m’a tant vanté la beauté, s’écrit il en me serrant la main, je peux lui faire une petite bise ?
Et sans attendre ma réponse il se penche vers ma femme toute émoustillée qui lui tend la joue. Tandis que ce coquin lui effleure les lèvres d’un rapide baiser, elle rosit un peu en souriant d’un air un peu gêné !
- Et bien dis donc, toi tu en profite ! lancé-je d’un air que je voudrais dégagé.
- Oh ce n’est qu’une petite bise ! Fait-il sans s’émouvoir.
Et il s’assied à côté d’elle.
- Je vais prendre un demi comme toi ! Lance t-il au garçon qui s’est approché.
- alors tout va bien ? Tu en as de la chance d’avoir une si jolie femme. Fait-il en clignant de l’œil. Des yeux bleus de biche, la bouche pulpeuse, un joli petit corps.
Il détaille ma femme en souriant.
- Des mignons petits seins...
Et ce faisant il lorgne dans le décolleté de Thérèse qui est vêtue ce jour là d’une petite robe d’été. Ma femme devient un peu plus rouge.
Un peu surpris par son compliment, je ne remarque pas qu’il a posé discrètement sa main gauche sur le genou de ma femme qui a un petit tressaillement. Elle le regarde, surprise, sans pour autant enlever sa main .
- Hummm, elle a la peau si douce... Murmure-t-il.
Ma femme me regarde comme si elle attendait ma réaction. Je marmonne alors :
- Eh, eh ho ! Dis donc toi !!!
Curieusement, je n’ose pas lui faire réprimande de son geste, au contraire je ressens comme une petite excitation à voir mon épouse se faire caresser le genou par un autre homme, même si il s’agit d'un copain de dix ans, car nous fréquentions le même collège. Il me semble d’ailleurs que sa main vient de monter un peu plus haut sous l’ourlet de sa robe et ce, juste au moment où le garçon lui amène son verre. Le gars ne manque pas de remarquer la situation et son demi sourire en est la preuve. Il voit une femme mariée se faire peloter devant son mari. Cela devrait me fâcher un peu mais au contraire ajoute à mon trouble. Thérèse a juste gigoté un peu en bafouillant, elle m’observe et constate que je ne bronche pas. Trouve –t-elle cette situation excitante également ?
Patrice, mon copain, très détendu, déguste son demi en me souriant. Il s’amuse :
- Tu vois, plus on monte plus la peau est douce ! J’ai une idée, on va aller faire un tour tous les trois, qu’en penses tu ?
Il sort un billet et le laisse sur la table en faisant signe au garçon qui matte franchement sous la table en rendant la monnaie. Il doit avoir une vue dégagée sur les cuisses de ma femme que la main a dévoilées. Patrice et lui se sourient, je baisse les yeux, un peu vexé. Le visage de ma femme est passé du rose au rouge, elle se mordille les lèvres, ne sachant quelle attitude avoir. Il est vrai que mon copain est beau gosse, blond aux yeux bleus, grand, mince, une réputation de tombeur !
- Tu n’es plus avec Sophie, curieux ? Lui demandé-je
- Non ! S'esclaffe-t-il, je l’ai renvoyée chez sa mère ! Et du coup je suis un peu en manque !
On se lève, où va t'on ?
- Si on faisait un tour dans un coin peinard! Où est ta caisse ?
- Sur le parking !
On rejoint mon Audi,. Je m’installe au volant, Thérèse choisit la place arrière en disant :
- Je vous laisse devant entre homme !
Patrice rigole :
- Oh et puis tiens, je vais derrière avec toi ma jolie !
Il s’installe aux côtés de ma femme qui me jette un coup d’œil interrogateur. Je ne bronche pas, un peu surpris. Je le vois passer son bras autour des épaules de ma femme. Je fais mine de prendre ça à la rigolade mais je ressens une curieuse sensation d’excitation mêlée d’une pointe de jalousie.
- Allez mets en route chauffeur, emmène nous dans un coin tranquille que je puisse chatouiller un peu ta femme ! Rit-il.
- Tu déconnes ?
- Mais non, je suis sûr que ça va t’exciter de me voir m’amuser un peu avec Thérèse ! Allez, avoue que ça te plait de me voir câliner ta femme.
Il pose de nouveau sa main sur le genou de mon épouse mais en remontant un peu le bas de sa robe faisant apparaître un peu de ses cuisses potelées. Thérèse pousse un petit cri.
- Arrête, tu exagères quand même !
Sa main remonte encore plus haut :
- Hummm, comme elle a la peau douce ! Tiens, arrête-toi là derrière l’église on sera peinard !
Le cœur battant j’obéis.
- Tu vas voir, je vais lui faire durcir ses petits bouts de sein !
Et joignant le geste à la parole, il prend les seins de ma femme en main puis l'extrémité entre son pouce et l’index. Thérèse rougit, elle a posé ses mains sur ses poignets en un geste de défense bien qu’on dirait plutôt qu’elle lui tient les avants bras pour les garder contre elle.
- Eh eh, on dirait que ça durcit ! s’amuse t-il , attends, je vais regarder si on voit les bouts pointer.
Lâchant un sein, il tire sur le décolleté en plongeant son regard dedans.
Joli soutien-gorge ! fait il, mais on ne voit rien avec il faut lui enlever.
Il me fait un grand sourire :
- Regarde !
Il fait pivoter ma femme.
- Voyons un peu, il faut déjà baisser cette fermeture éclair pour accéder au sous-tif ! S’amuse t-il.
- Arrête !
Ma voix est rauque.
- Tu exagères quand même !
- Mais non, mais non ! On va regarder les petits bouts de plus près.
Affolé, je le vois tirer sur la fermeture éclair de la robe.
- Joli dos !
Très vite, il trouve l’agrafe du soutien-gorge et voici son dos nu. Mon cœur s’affole, ma femme est toute rouge, elle semble comme sans force, elle n’essaie même pas de se défendre, voyant que je semble consentant, ce qui est en fait le cas !
Il caresse doucement le dos nu de ma femme, puis, tout en me souriant il passe les bretelles de la robe et du sous-vêtement sur les épaules de Thérèse. Ses lèvres effleurent son dos, puis ses épaules rondes. Le tissus glisse, il tire doucement mettant ainsi à nu les seins de ma femme qui pousse un léger cri.
Je suis pétrifié, il vient de mettre ma femme poitrine nue sous mes yeux sans que j réagisse ! Je suis sans voix, je viens de le laisser a demi dénuder ma femme et la seule chose que je resssente c’est un grand trouble, une vraie érection en fait, je bande !
- Alors tu vois, on dirait que tu commences à prendre goût au spectacle, non ?
Il jette un coup d’œil à ma braguette qui présente une belle protubérance :
- Tu bandes mon salaud !! Hihi ! Alors on continue ?
Le souffle coupé, je le vois palper les seins de ma femme. Il les empoigne, les palpe, titille les petits bouts, puis se penche et prend l’un d’eux dans sa bouche. Il bouffe les nichons de ma femme qui a fermé les yeux. il change de seins, pas de jaloux fait-il. Les deux seins de ma femme connaissent la caresse des ses lèvres, puis il commence à lécher son cou, remonte doucement sous le menton et tandis qu’il palpe les jolis globes féminins, sa bouche se pose sur celle de ma femme qui s’abandonne. Leurs lèvres se joignent et je devine que leurs langues se mêlent ! il roule une pelle à ma femme en lui pelotant les seins ! Cette fois-ci j’ai vraiment une barre d’acier dans le slip ! Je commence à me rendre compte que je ne maitrise plus rien, ma femme va être à lui, Il ne s’arrêtera plus sans aucun doute. Et je sais que je ne pourrais ni ne désirerais intervenir. Je mate comme un voyeur, je mate un homme qui s’occupe de ma femme sous mes yeux et j’aime ça !
Il quitte enfin la bouche de ma femme. Ses mains descendent sur ses hanches, et s’emparent du bas de la robe. Il tire doucement en murmurant à l’oreille de ma femme :
- Soulève toi un peu ma chérie, que je t’enlève tout ça !
Il va la mettre nue. Mon cœur s’affole, je vois mon épouse, le visage rouge qui se soulève un peu de sorte qu’il peut faire passer la robe au-delà de ses hanche. Je vois qu’il a saisi l’élastique de la culotte, il va tout lui ôter !
Il tire, ma femme a les yeux clos. Déjà le ventre est nu, puis on voit le haut de son pubis, ses petits poils bruns apparaissent, Il continue à tirer, voilà le bout de fringue arrive à mi-cuisse, sa touffe est là sous nos yeux, il tire encore lui soulève les pieds un a un, elle n’a plus rien sur elle. Il vient de la mettre nue sous mes yeux, toute nue ! Il me jette ses vêtements au visage en rigolant :
- Voici une jolie petite femme à poil ! Alors ça te plait ?
- Je... Je... Quand même tu... Je…
- Regarde !
Il prend les genoux de ma femme dans ses mains et doucement lui écarte les cuisses. Elle a un début de défense puis se laisse aller et je le vois lui ouvrir les cuisses. Son sexe apparaît.
- Ecarte bien ma petite Thérèse ! Lui dit il doucement, écarte bien à fond qu’on voit bien tout !
Elle obéit et écarte les cuisses, son conin est là sous nos yeux. Il avance une main, avec deux doigts il lui ouvre écartant les grandes lèvres, faisant voir les petites lèvres rouges, l’entrée du vagin qui brille. Ca semble humide. Il glisse un doigt très doucement le long du sexe, l’introduit en elle.
Subjugué je le vois doigter ma femme. Il glisse de nouveau vers le haut, caressant le clitoris qui darde sa petite pointe de chair. Elle gémit !
- C’est bon Thérèse ? Attends je vais te bouffer un peu la chatte !
Il se penche. Son visage entre les cuisses de mon épouse, il la lèche tendrement. Je suis là à regarder un copain bouffer la chatte de ma femme et je suis incapable de bouger. Je ne sais plus qui je suis. Le pire est que je souhaite inconsciemment qu’il continue !!!
Il relève la tête, un peu de mouille coule sur son menton.
- Elle mouille bien ta femme ! Dit-il en souriant, alors tu vois tu aimes ça ! Bon, à moi de me faire sucer !
Il se débraguette et, fourrageant dans son slip, il sort sa queue, d’une bonne taille bien dressée, déjà décalottée.
- Bel outil, non ?
Il pose sa main sur la nuque de ma femme et la courbe sur son sexe. Elle l’engloutit sans dire mot :
- Slurp slurp gloup gloupp slurp !
Je vois ma petite femme qui suce sa bite.
- Bon allez, je ne vais pas la baiser dans la voiture, elle mérite mieux ! Emmène nous chez toi, on va faire ça dans le lit conjugal, on sera mieux !! Hihi ! En route chauffeur, et toi ma petite Thérèse, suce moi gentiment pendant le trajet, ne t’inquiète pas je saurai me retenir !
Je conduis un œil sur la route et un sur mon copain qui se fait sucer. Je croise son regard ironique dans le rétro, il se rend bien compte que je suis excité à mort malgré la jalousie qui m'étreint. Je suis quand même en train d’assister à mon cocufiage !
On arrive. Je me gare devant notre pavillon situé dans un lotissement un peu à l’écart de la ville.
- Rentre la voiture au garage ! Me lance t-il, on va t’attendre devant la porte !
Il sort en tenant ma femme toujours nue par la main. Je suis soufflé de son culot, il fait grand jour !
- Mais tu es fou, on va vous voir ! Remets lui sa robe !
- Je ne vais pas la rhabiller alors que je vais la baiser dans cinq minutes ! dit-il en rigolant.
Il pose la main sur le cul nu de ma femme pour la faire avancer et monter les trois marches du perron de la porte d’entrée, puis il l’enlace et lui roule une pelle en lui massant tranquillement ses grosses fesses nues.
Affolé,je m’empresse d’ouvrir la porte du garage. Vite j’avance la voiture et me précipite par la porte qui communique avec le couloir. Je déverrouille l’entrée et fait passer le couple. Il est tout calme, ma femme rouge de honte, elle est restée nue devant la porte en plein jour. Heureusement personne n’était dans la rue.
Je jette un coup d’œil inquiet dans les environs et, horreur, la voisine d’en face est à sa fenêtre rideau tiré. Un grand sourire aux lèvres, elle tient une tablette numérique devant elle.
- Elle vous a vu ! Bredouillé-je à mon copain.
- Ah bon, qui est-ce ?
- La voisine, une femme seule avec son fils, elle vous a filmé !
- Ah bien, au moins quelqu’un qui aura profité du cul de ta femme ! Dommage qu’il n’y ait pas eu plus de monde ! Je vais te faire un aveu, j’aime bien exhiber les femmes avec qui je couche, les humilier un peu aussi ! Que veux- tu, chacun son vice, le tien c’est de faire baiser ta femme par d’autres !
Je rougis, vexé. Ma femme garde le visage baissé.
- Tiens j’ai une idée !
Il tire sur le cordon du double rideau qui voile la porte fenêtre et place Thérèse face à la rue.
- On va lui donner du spectacle !
Ma petite femme, entièrement nue, touffe et nichons à l’air, est debout face a la route et sous les yeux et la cam de la voisine qui, pas gênée vient d’ouvrir sa fenêtre en grand, sans doute pour avoir une meilleure image. Je frissonne.
- Tu exagères !
Mon épouse, visage rouge, tête basse, ne dit rien, déjà soumise semble –t-il.
- A ton tour ! Me lance Patrice en riant, A poil le cocu !
- Quoi ?
CLAC, une retentissante gifle m’arrive sur la joue gauch.
- Mais, mais, qu’est ce qui te prend ?
- J’ai discuté avec un de tes anciens copains de classe. Il m’a raconté ton aventure lors de ta dernière année de collège avec deux autres collègues. Ricane-t-il.
- Il m’ a raconté. Comment ils t’avaient bizuté, foutu à poil et fessé pour t’obliger à les sucer ! Ce que tu as fait tous les jours jusqu’aux vacances ! Hihi !
Je baisse la tête mort de honte, sans répondre.
- Alors ça m’a donné une idée, baiser ta femme et me faire sucer à mon tour ! Il paraît que quand tu les suçaient tu avais la trique ! Hihi ! On va voir ça ! Alors hop fous-toi à poil ou je te cogne ! J’ai bien deviné à ton attitude que ton désir profond bien que caché était d’être un cocu soumis aimant l’humiliation, je me trompe ?
- Euh !! Je !! Non pas du tout !
Je suis troublé car je sens en moi un étrange désir d’être dirigé et humilié. D’ailleurs le fait de laisser mon épouse se faire draguer et déshabiller sous mes yeux en est la preuve.
- Il te faut simplement l’admettre et tu vas encore résister un peu pour la forme, A moi de t’aider !
CLAC ! Une autre gifle !
- Voilà qui va aider à te convaincre. Déshabille-toi si tu ne veux pas que je ferme le poing, Je ne plaisante pas !
Vaincu, un peu tremblant, je commence à ôter mes vêtements. Je baisse mon jean, ôte mon polo.
- Le slip aussi ? Demandé-je d’une voix rauque.
- Bien sûr, surtout le slip ! Rigole-t-il.
Je le baisse en frissonnant car je devine la voisine qui me filme.
- Es-tu prêt à me sucer avant que je baise ta femme ?
- Je... Je... Heu... Oh non quand même pas ! Pas ici ! Pas devant la voisine !
- Bon, va chercher cette chaise et met-la ici !
J’obéis. Il s’assied et soudain m’empoigne vigoureusement, me courbe sur ses genoux et commence à me claquer le cul.
- Aie aie ! Oh aie tu es dingue !
Je gigote mais je suis tenu fermement. D’ailleurs je me sens sans force ! Bientôt mes fesses commencent à me brûler.
- Aie aie, ça fait mal ! Arrête !
- Alors, prêt à sucer ?
Je sais qu’il est inutile de résister.
- Bon, bon d’accord. Fais-je d’une voix faible.
- Bien cocu, place deux coussins devant moi et mettez vous à genoux Thérèse et toi ,vous allez me sucer la bite à tour de rôle ensuite je baiserai Thérèse !
Nous voici ma femme et moi, nus tous les deux, attendant la queue que nous allons pomper, épouse et mari unis dans la honte. Je vais sucer le futur amant de ma femme devant la voisine. Heureusement notre pavillon est situé au bout du lotissement qui se termine en cul de sac. Il n’ y a donc pas de circulation, sauf peut-être les gamins du coin qui viennent tourner à vélo.
Pas ce jour, tant mieux sinon….
Il a sorti sa queue. Elle bande mollement.
- Commence cocu, montre à ta femme comme tu suces bien ! C’est ce que m’a dit ton ami du collège ! Hihi !
J’ouvre la bouche et "gloup gloup slurp slurp" je suce sa queue qui grossit immédiatement. Je sens le regard de ma femme sur mon visage, que doit-elle penser ?
- Allez , à toi Thérèse, suce ton amant devant ton cocu !!!
Ma femme emboucha alors la queue qui était bien raide, le gland décalotté, je l’avais bien fait bander le salaud. Il prit ma femme par la nuque pour lui imprimer le tempo qu’il désirait.
slurp ! slurp ! gloup ! gloup ! huphhhff ! gloup !
Fasciné, je regarde mon épouse avaler le gros gland avec une certaine délectation. Elle avait les yeux à demi fermés et semblait prendre du plaisir à le sucer ainsi qu’elle l’avait fait en voiture.
- Très bien ma belle, mets toi à quatre pattes !
Ma femme obéit.
- Creuse les reins, cambre toi et soulève ton gros cul !
Mon épouse, toute nue, se met en position, ses grosses fesses relevées montrant à la fois son petit trou brun et son sexe poilu. On voit les grandes lèvres qui tombent un peu le con déjà entrouvert par l’excitation. Il la fouille un moment avec ses doigts, la branle, elle pousse des tous petits cris de plaisir. Puis il avance son vit vers sa moule baveuse et il s’enfonce en elle doucement, jusqu'aux couilles.
Ma femme gémit.
- Elle aime ça la salope ! Je vais la tringler un peu en con puis je l’enculerai ! tu as déjà pris dans le cul, Thérèse je suppose ?
- Oui oui ! feule mon épouse entre deux couinements de plaisir !
- Pas avec ton cocu, je suppose ?
- Nnon, non ! Avoue t- elle sans s’en rendre compte !
Je suis sidéré par cet aveu.
- Avec qui alors ? Un amant ?
- Oui, oui...
- Il y en a eu plusieurs qui t’ont enculée ? Combien ?
- Oh ,deux ou trois ! bredouille-t-elle entre deux couinements.
Patrice me regarde en souriant. Je détourne le regard. Ainsi ma petite femme s’est déjà faite enculer par plusieurs mecs. J’ai la gorge nouée, je devrais enrager et au lieu de ça je me mets à bander en l’imaginant prise par le cul par d’autres. Mais là, sous mes yeux, c’est bien ce qui est en train de se passer. Elle se fait enculer sous mes yeux par un copain que je viens de sucer et ceci sous les yeux de la voisine qui nous filme. Je regarde, fasciné, la grosse bite qui va et vient dans le cul de ma femme en faisant flic flic floc. Il l’enfile à fond et ses couilles claquent contre le gros cul nu de ma femme qui râle de plaisir.
Ce sont des ah ah oui oh oui !!!! hummmm oh ouiiiii !!! et lui : han ! han humm han ! et enfin hummmmm !!!! Je jouis !
J’imagine la giclée de sperme qui envahit le rectum de mon épouse. Du foutre plein le cul, le foutre d’un autre.
- Ahh c’était bien ! soupire-t-il en déculant, sa grosse queue toute grasse de foutre marron.
Elle débande doucement. Ma femme souffle. Son anus se referme et je vois son sexe béant qui coule, un mince filet de mouille pend de son con entrouvert.
- Viens me nettoyer la bite, cocu, lèche la bien, ensuite tu suceras le trou du cul de ta femme, tu vas te régaler !
il se marre.
- Allez vite !
J’obéis, je me penche et reprend sa queue dans ma bouche. Je lèche, beurk, c’est amer, il y a un petit goût de merde… Je fais de mon mieux.
- Ca suffit, lèche le trou du cul de Thérèse maintenant, aspire ce qu’il y a dedans, régale-toi mon cocu, je suis sur que ça te plait !
Il rigole. Je colle mes lèvres au trou du cul de ma femme. Je lèche, j’aspire pour avaler le maximum des fluides, mélange de sperme d'un peu de cyprine qui a coulé de son con, le tout assaisonné au parfum de merde. Malgré cela je continue à bander.
- Tu vois que ça t’excite, mon cocu, bon tu as droit aussi à prendre un peu de plaisir toi aussi. mets toi face à la fenêtre et branle toi !
- Quoi ? Oh non pas devant la voisine quand même !
- Tu en as fait bien d’autres. Tu viens de me tailler une pipe et elle t’a filmé, alors une petite branlette après ça !
- Bon allez, c’est un ordre, branle toi !
J’hésite. CLAC ! Une bonne gifle. CLAC, CLAC une autre un aller et retour.
- Alors tu y vas ou je continue ?
Mort de honte, je me mets face à la porte fenêtre grande ouverte et je commence à m’astiquer. Je suis si excité que le plaisir vient rapidement. Flic flic, je jute en deux minutes en poussant un petit râle de plaisir.
- Hihi tu vois ça t’ a fait du bien ! Bon, Thérèse, tu as un petit tablier pour ton cocu ? Il va nous préparer un petit repas, mais je le veux en petite bonne !
Ma femme se relève et revient de la cuisine en me tendant un joli tablier rose qu’elle met pour cuisiner.
- Nous on va s’installer sur la banquette ma chérie ! Pendant que ton cocu nous sert un petit scotch ! Ensuite il nous préviendra quand la bouffe sera prête ! allez, exécution !
Ils s’installent sur le sofa. il s’est rhabillé, Thérèse est restée nue, la porte fenêtre toujours ouverte. Il fait écarter les jambes de ma femme et lui caresse l’entrecuisse, ses doigts fourragent dans ses petits poils. Il lui glisse un doigt par moment, lui roule quelques pelles, puis se lève pour la prendre en photo avec son portable. Il me dit :
- Tu sais, j’ai pu discuter avec un de tes copains de collège et il m’a donc tout raconté. Mais on a convenu qu’il préviendrait les deux autres ! Il va les contacter pour venir baiser ta femme ! Il paraît que tu aurais signé une sorte de charte qui stipule que tu les autoriserais lorsque tu serais marié à venir baiser ta femme et que tu les sucerais avant devant elle ! Il a encore le papier, il l’apportera ! Hihi !!!
Je suis soufflé. Je ne me souvenais plus du tout de çà !
- C’était pour déconner à l’époque.... Bredouillé-je !
- Pas du tout, signé c’est signé ! Alors attends toi à leur visite !!! Ca va se passer exactement comme convenu !!
- mais... mais !!!
- Il n’ y a pas qu’eux ! Depuis que je piste Thérèse, j’ai fait la connaissance de certains de tes copains de bistrot ! Sais-tu que tous tes copains ont baisé ta femme ?
A suivre...
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