vendredi 29 janvier 2021

Domination familiale Ch. 05

 Récit de Géronimo.

Le chantier.

Deux jours se sont écoulés depuis que Panaris et Katia avec la complicité de leur nouveau complice Diop, le jardinier des Guillet de Saint-Hilaire, sont venus chez eux et qu’ils ont abusés de Sophie et d’Ambre sous le regard de Jean-Yves pendant que celui ci était contraint de filmer cette terrible scène.

Sophie subit toujours les pires humiliations de la part de son patron au Cabinet d’Avocats. Elle doit s’habiller avec des tenues de plus en plus provocantes et ses collègues hommes commencent à se permettre des réflexions qui la font rougir de honte. Maitre Christian Panaris en a même mis certains dans la confidence faisant passer Sophie Guillet de Saint-Hilaire pour la dernière des salopes et elle a du subir une humiliante exhibition devant certains de ses collègues qui l’ont palpé sous toutes les coutures. Désormais, il ne se passe plus une journée sans qu’on lui glisse une main sous sa jupe pour vérifier si elle n’a pas de culotte.

Pour faire bonne mesure, Katia se charge d’Ambre, elle aussi vêtu de façon indécente la plupart du temps, et l’accompagne à la Fac, la faisant passer pour une fille facile, une pétasse, auprès de ses camarades. Elle a par hasard rencontré la conseillère d’éducation qui a trouvé très étrange qu’Ambre Guillet de Saint-Hilaire soit accompagnée de cette fille si vulgaire. Elle commence à poser des questions gênantes et Katia a demandé à Maitre Panaris si elle ne pourrait pas s’en charger et « l’éduquer ». Ambre, comme sa mère, doit subir des réflexions de la part de ses copines, notamment la fille du Maire de Bordeaux qui la traite régulièrement d’allumeuse. 

Ce fut vendredi que Maitre Panaris décida qu’il allait organiser une sortie au chantier ou travaille les cousins de Diop. Il arrive donc au volant de sa voiture découvrant Diop dans le jardin avec Sophie, nue, en train de faire du jardinage d’une façon bien particulière ! Un gode plantée dans son cul, à genoux, elle doit arracher les mauvaises herbes à la main, soufflant et gémissant chaque fois que Diop lui donne un coup de badine sur ses grosses fesses. Elle relève la tête en entendant Panaris. 

- Eh bien, Mme de Saint-Hilaire, je ne savais pas que vous aimiez jardiner.

Sophie, de la terre sur la figure, tout à l’heure, Diop l’a obligé a brouter le gazon comme une vache ne répond pas, le regard vide de toute expression. Panaris, Diop et elle reviennent dans le pavillon. Ils y découvrent Ambre, simplement vêtu d’un tablier blanc et des bas noirs, à genoux en train de sucer la chatte de Katia. Elle donne de grands coups de langue, léchant la mouille qui dégouline de sa vulve.

Maitre Panaris donne le signale du départ pour le chantier. Sophie est vêtu très bourgeoise, c’est ce qui va plaire à mes cousins a argumenté Diop. Un tailleur blanc sur des bas blancs et des talons aiguilles de même couleur lui donne un air angélique. Ambre, par contre, a été contrainte de s’habiller avec des vêtements ramenés par Katia. Une minijupe écossaise lui cachant a peine la moule et laissant apparaitre la lisière des bas noirs auto-fixant qu’elle a du mettre avec un chemiser transparent laissant apercevoir un soutien-gorge pigeonnant gonflant encore plus sa poitrine. Elle porte des bottes avec des talons vertigineux. La voiture, toujours conduit par Jean-Yves, démarre direction le chantier des nouveaux logements sociaux en construction.

Pendant le trajet, comme à son habitude, Maitre Panaris ne s’est pas privé de tripoter Sophie, lui retroussant sa jupe, lui introduisant ses doigts dans sa fente, la branlant sans ménagement. Katia a fait de même avec Ambre pendant que, à l’avant, Diop filme avec le caméscope qu’il a pris soin d’emporter.

Ils arrivent près du chantier et Jean-Yves aperçoit déjà plusieurs personnes qui attendent et cela lui donne le vertige. Combien sont ils donc, se demande t’il, inquiet pour sa femme et sa fille.

A peine la voiture garée, les hommes s’approchent de la vitre que Panaris a baissé et commencent à reluquer les belles bourgeoises que leur cousin leurs a promis moyennant finance, argent que Panaris va empocher mais avec un petit pourcentage pour lui. Certains ont déjà sortie leurs pines et se masturbe en regardant Sophie et Ambre recroquevillées de terreur dans la voiture. Katia sort Ambre et la présente aux ouvriers. Ils sont nombreux et de toutes nationalités et de tous continents. 

Katia a ouvert le chemisier d’Ambre et lui a dégagé les seins en baissant les balconnets du soutien gorge. Elle les malaxe en regardant les ouvriers droits dans les yeux. 

- Personne ne veut en profiter ? Vous avez peur ou quoi ? leur lance t’elle, les défiants.

Panaris et Diop sont sortis, le Sénégalais filmant toujours, tout en prenant soin de ne filmer que le visage de Sophie et Ambre et pas ceux des ouvriers. On retrousse la jupe du tailleur de Sophie découvrant ses bas et surtout qu’elle ne porte aucun sous vêtements ce qui provoque des réactions venant de la part des ouvriers qui s’interpellent dans leurs langues d’origines. On commence à palper Sophie Guillet de Saint-Hilaire. Des mains se faufilent dans l’échancrure de son tailleur. On lui triture les seins, lui tirant les mamelons. On lui introduit des doigts dans sa fente et son cul.

Panaris la pousse en avant la faisant avancer. Il a plu le matin et elle enfonce ses talons aiguilles dans la boue, les salissant. Les mains avides qui la tripote ont déjà souillé son élégant tailleur et cela doit exciter encore plus les ouvriers qui vont pouvoir profiter de cette belle femme si distinguée.

On a contraint Ambre à s’agenouiller dans la boue, les hommes autour d’elle ont sortie leurs queues épaisses et lui présentent. Un des hommes frotte sa bite contre son visage. Un autre lui caresse les seins. Instinctivement, elle ouvrit la bouche et commença à sucer le membre épais. L’homme fait coulisser sa bite entre ses lèvres. Deux autres la forcèrent à les masturber, une bite dans chaque main. Plusieurs hommes se pressent autour d’elle, des mains se glissent sous sa minijupe et pénètre son intimité. celui qu’elle pompait éjacula lui giclant un torrent de sperme contre son palais la contraignant à avaler sa semence pour ne pas étouffer. Lorsqu’il se retira de sa bouche, elle crut pouvoir respirer mais un autre morceau de chair la remplaça et elle recommença à sucer tout en continuant à branler les queues qu’elles tenaient dans ses mains.

- Allez-y ! Servez vous, cette salope n’attends que ca ! s’écrie Maitre Panaris en désignant Sophie.

Jean-Yves, à l’écart, n’en perd pas une miette et comme toujours et à sa grande honte, il bande en regardant sa femme et sa fille se faire humilier. Diop filme tout.

On oblige Sophie à soulever une jambe pour s’exhiber. Plusieurs des ouvriers s’approchent pour lorgner la vulve de Sophie. On lui palpe les fesses par derrière. Un des ouvriers, le plus jeune, avança timidement la main sous les encouragements des autres et il prit un des seins de Sophie à pleine main. 

Elle n’est plus qu’une poupée qu’on manipule comme on veut. Son cœur cogne dans sa poitrine. Des doigts s’enfoncèrent dans son vagin pendant qu’un index s’introduisait dans son anus. Elle poussa un petit cri, ce qui fit éclater de rire les ouvriers. On la branle devant et derrière faisant coulisser les doigts dans les deux orifices guettant sur le visage hébétée de cette bourgeoise des manifestations de plaisir.

- Elle aime ça cette chienne, elle a le feu au cul. 

Ils la poussèrent contre une palissade et certains s’agenouillèrent pour mater son cul. 

- Ecarte les jambes ! lui ordonne Maitre Panaris qui surveille le déroulement des opérations.

Elle obéit lâchement et elle sent qu’on lui écarte les fesses. On lui introduit de nouveau des doigts dans son vagin et son anus, elle est malaxée par plusieurs mains. Puis on la positionne à quatre pattes et comme avec sa fille, on lui demande de sucer les bites qui se présentent à elle.

Elle ouvrit la bouche et se pencha sur le premier membre qu’elle aperçut. Le garçon lui enfila son sexe dans sa bouche pendant qu’un autre se plaçait derrière elle et s’enfonçait dans sa chatte commençant à la baiser, son ventre claquant contre ses fesses. La bite coulisse rapidement entre ses lèvres. On lui tient la tête pour aller plus vite. L’homme qui la baise lui donne des coups de reins de plus en plus violents. Il ne tarde pas à éjaculer pendant que celui qu’elle suce se retire et asperge son visage de filaments gluants. 

Ambre Guillet de Saint-Hilaire salive sur le membre qu’elle en train de sucer avec application. Il est dur et épais et quand il s’enfonce trop loin elle s’étouffe. L’homme la dirige en l’agrippant par les cheveux, faisant coulisser sa bite. Il sentit qu’il allait jouir et il se retira, lâchant des trainées de sperme sur le visage de cette bourgeoise si belle qu’il n’aurait jamais imaginée pouvoir baiser. Au même moment, les deux qu’elle branlait éjaculèrent à leur tour libérant leur semence qui gicla sur son front coulant sur ses joues. Katia, debout à coté d’elle, lui donne des instructions.

- Branle celui la, caresse lui les couilles, comporte toi comme une vrai chienne que tu es !

Elle obéit, prenant en bouche une nouvelle queue qu’elle se met en devoir de sucer. S’activant dessus comme si sa vie en dépendait. Il jouit rapidement, elle recracha la bite. Qui fut remplacé aussitôt par une autre ne la laissant pas respirer. Katia, derrière elle, lui introduit une gode dans son cul et le fait coulisser. Ambre pousse un gémissement étouffée par la bite qu’elle suce et ondule du bassin comme pour mieux s’empaler sur le gode. 

Effondré, Jean-Yves Guillet de Saint-Hilaire regarde sa femme et sa fille se faire baiser par ces ouvriers qu’en temps normal elles n’auraient même pas daigné regarder. Maitre Panaris à coté lui fait remarquer qu’elles se débrouillent bien et qu’elles vont lui rapporter un maximum de fric. Ce qui est pure méchanceté de sa part puisque bien évidemment, il n’a pas besoin de gagner de l’argent touchant déjà des revenus largement supérieurs à la moyenne. Mais il veut humilier son confrère et quelle meilleur vengeance que de prostituer sa femme et sa fille, deux bourgeoises arrogantes et prétentieuses habituellement ?

Sophie Guillet de Saint-Hilaire a tellement sucé de bites qu’elle en a mal à la mâchoire. L’homme qui la pistonne derrière elle en haletant se retire soudain et éjacule sur son dos. Il est aussitôt remplacé par une autre qui introduit sa queue dans son cul. Elle pousse en cri en se faisant enculer. Aussitôt bâillonnée par une matraque de chair qui s’engouffre dans sa bouche. Et de nouveau, on alterne les coups de reins.

Empalée sur une queue dressée, Ambre, ses seins gigotant dans tous les sens, monte et descend sur la colonne de chair de l’ouvrier qui s’est allongé par terre. Il la tient aux hanches et la fait coulisser. Un autre arrive et enfonce son membre dans sa bouche. Un troisième s’approche et l’encule sans ménagement, la faisant hurler. Prise par les trois trous, elle subit les assauts des trois hommes et elle pousse un gémissement étouffé quand elle réalise que déjà trois autres attendent leur tour en se branlant.

Sophie et Ambre furent prisent encore pendant des heures par ses ouvriers qui voulurent se vider les couilles jusqu’au dernier. 

Sophie fut celle qui se fit le plus enculer, le cul déjà largement « travaillé » par le plug qu’elle porte en quasi permanence. 

Ambre, elle, à pas mal sucé et elle n’arrive même plus à déglutir le sperme qu’elle recrache quand les ouvriers ne l’obligent pas à avaler.

Le tailleur blanc de Sophie est couvert de boue, ses bas sont déchirés d’avoir été maltraité par ces brutes qui n’avaient pas touché une femme, surtout aussi belle, depuis longtemps. Ca les change des putes de bas étages qu’ils doivent payer habituellement.

Ambre rejoint sa mère qui continue de sucer le dernier ouvrier. Elle a du sperme sur le visage et demande un mouchoir à Katia pour se nettoyer. Avec un sourire pervers, Katia lui dit d’attendre.

Sophie termine l’ouvrier en le branlant énergiquement, il éjacule en poussant un râle. Il force Sophie et Ambre à lui nettoyer la bite avec leurs langues. Puis, il s’en va les laissant à genoux dans la boue.

Katia, Panaris et Diop font cercle autour d’elle. Katia les contraint à se lécher la figure mutuellement pour enlever les dernières traces de sperme. Diop filme Sophie en train de lécher le visage de sa fille pendant qu’elle fait de même avec elle.

Enfin, Panaris donne le signal du départ et ils soutiennent Sophie et Ambre, extenuées, jusqu'à la voiture. 

A suivre...

mercredi 27 janvier 2021

La Femme du Consul Ch. 04

 Texte de Coulybaca.

Le garde du corps.

Sans un mot ils rejoignirent sa voiture garée devant l'immeuble des services de sécurité, Abdou lui signifia de prendre le volant, et ils grimpèrent à bord. A peine furent-ils assis que déjà Abdou la conditionnait :

- Tu ressors et tu vas t'asseoir en prenant garde à ne pas t'asseoir sur ta jupe, celle-ci doit être suffisamment remontée pour que tu sois cul nu sur ton siège !

- Mais les gens...

- On se fout de ce que penseront d'éventuels chalands, tu dois obéir, un point c'est tout ! S'exclama-t-il en lui donnant une claque cuisante sur les cuisses.

Et lâchement, elle obéit, se troussant largement, sa jupe étant assez étroite, une fois assise, elle formait un bourrelet à hauteur de sa taille, la laissant jambes, cuisses et compas dénudés, heureusement les vitres teintées la dissimulaient aux regards des fâcheux à l'extérieur, et il ne l'obligea pas, ce qui arriverait par la suite à baisser sa vitre.

Elle prit soudain conscience que, n'ayant pas remis sa culotte, il devait tout distinguer de sa touffe, et effectivement il était en train de se régaler l'œil, lui parcourant la fente visuellement avant que de le faire d'un doigt mutin.

La claque sur la cuisse la cuisait encore trop pour qu'elle pensa seulement à tenter de se dérober, et c'est deux doigts enfoncés dans sa chatte, qu'elle prit la direction de la villa que leur avait alloué l'ambassade de France.

Pendant le court déplacement, il s'égaya longuement entrant et sortant ses doigts de son tunnel d'amour de plus en plus humide, lui arrachant à son corps défendant des sensations troubles qu'elle ne pouvait ignorer, encore une fois son corps semblait la trahir, prenant goût à la manipulation à laquelle il la soumettait.

Enfin elle gara la voiture devant le perron de leur résidence. Ibrahim, le factotum noir se précipita pour lui ouvrir la portière. Abdou la prit alors d'autorité par le bras, sans se soucier des réactions d'Ibrahim et l'entraîna vers le hall d'entrée.

Il lui intima alors l'ordre de lui montrer la disposition des lieux. Rapidement, ils visitèrent salons, salle à manger, cuisine, bureaux, boudoir avant de monter à l'étage visiter les chambres.

- Ici c'est celle de mon mari ! dit-elle en désignant une grande pièce ornée d'un bureau, comme il rentre à n'importe quel heure du consulat, et bien souvent pour terminer des dossiers, nous avons préféré faire chambre à part.

Et à l'autre bout du couloir, séparée par la lingerie, la salle de bain, les toilettes, elle indiqua sa chambre précédant trois chambres d'amis. Ils pénétrèrent dans sa chambre, une porte communicante permettait de rejoindre un cabinet de toilette commun aux deux chambres, les deux dernières étaient pareillement disposées.

Il prit alors ses dispositions, tu vas faire monter une femme de chambre, qu'elle me prépare ma chambre, pendant ce temps tu enverras Ibrahim chercher mes affaires.

En quelques mots, sur ses indications l'affaire fut réglée.

Tandis que soucieuse de se nettoyer, de se débarrasser du sperme qu'elle sentait oindre ses fesses, elle décida de prendre un bain, et dans ce but elle se retira dans sa chambre sans plus réfléchir. Il la suivit, disant à haute voix à Maria la femme de chambre :

- J'ai quelques dispositions à prendre avec Madame, je suis son nouveau garde du corps. ce afin d'éviter chez cette dernière toute pensée subversive."

Il s'installa sur le lit, tandis qu'elle enlevait son chemisier, se rendant soudain compte de sa présence elle voulut protester, mais il fit signe de se taire en susurrant :

- Tu veux que ta femme de chambre sache ? Continue ton strip, ça m'intéresses, fais comme si je n'étais pas là !

Et résignée, toute velléité de refus anéantie par le risque de dévoiler sa situation aux yeux de sa femme de chambre, elle se tut et enleva rapidement sa jupe. Elle avait décidé de le prendre au mot, de faire comme s'il n'existait pas, en quelque sorte de nier sa présence. Elle passa dans la salle de bain, et ouvrit les robinets d'eau, tandis qu'allongé sur le lit il se relaxait, sûr qu'il était que dorénavant sa proie ne pouvait plus lui échapper.

Elle se baigna rapidement, craignant à tout instant de le voir surgir dans la salle pour partager son bain. Elle s'essuya rapidement, et fut obligée de réintégrer la chambre pour enfiler une nouvelle tenue.

Radieux, il la regardait faire. Elle s'efforçait de ne pas le regarder, comme elle se l'était promise de l'ignorer, et ce n'était pourtant pas chose facile que d'évoluer nue sous les yeux d'un tiers en prétendant ne pas prendre garde à sa présence.

Elle ressentait physiquement son regard rampant sur toutes ses formes en appréciant le volume, la rotondité, la fermeté, bien que prenant garde de ne dévoiler que le strict nécessaire, elle savait qu'elle était obligée au gré de ses appuis de lui exhiber la totalité de ses orifices.

Enfin elle se sentit prête. Sur le lit s'étalait la parure qu'elle comptait revêtir, soutien gorge, bas dim up, culotte, jupe longue et polo sans décolleté. Il l'interrompit alors :

- Sache que dorénavant tu dois me demander mon autorisation pour t'équiper !

Déjà, les prenant en main pour les rejeter au bout du lit, il précisa :

- Désormais slips et soutien-gorge te sont interdits !

Puis repoussant à leur tour la jupe et le polo :

- Trop guindés ! souffla-t-il, trouve-toi une jupe courte, au dessus du genou, et un tee-shirt ample au décolleté prononcé. Je veux prendre en mains tes appâts facilement, tu dois toujours m'être disponible.

Et anéantie, elle enfila une courte jupe de lin, et un tee-shirt au décolleté fort évasé sur ses bas dim-up. Lors du franchissement de la porte, qu'il lui tenait ouverte, il insinua sa main sous la jupe, lui suivant le galbe des fesses dans une langoureuse caresse avant d'enfoncer un doigt fureteur dans son anus resserré, affirmant ainsi son emprise sur elle.

L'après-midi se déroula sans heurts, elle évoluait comme dans un rêve, un doux souffle lui parcourant souvent la fente, lui rappelant de prendre garde de ne rien révéler, la maintenant ainsi sous pression une large partie du temps, d'autant plus qu'elle devait subir l'assaut de ses mains presque à chaque fois qu'elle passait à sa portée. Le repas pris dans la salle à manger, en sa compagnie se passa normalement, et enfin l'instant qu'elle craignait se présenta.

Comme chaque jour, sur le coup de 20 heures, Maria et Ibrahim vinrent prendre leur congé afin de rejoindre le local extérieur qui était réservé à la domesticité. Elle allait maintenant se retrouver seule en compagnie d'Abdou.

Il s'installa dans le salon, sur le canapé. Craintive, elle le suivit docilement. Il lui enleva d'un geste sa courte jupe, elle se retrouvait juste vêtue de son ample tee-shirt, cul et foufounette à l'air.

L'attirant sur ses genoux, il entreprit sournoisement d'exciter ses sens, il entreprit de parcourir tout son corps de langoureuses caresses, ne s'attardant pas un endroit précis afin de lui enflammer les sens. S'attendant à une certaine rudesse, elle ne put empêcher ses sens surpris de réagirent à une douceur si inattendue, petit à petit, elle sentait son corps frémir sous les effleurements sardanapalesques, à peine une vague de désir s'éveillait-elle dans ses lombes, que déjà elle cambrait les reins pour mieux offrir sa croupe aux caresses enivrantes, pour serrer les cuisses sur la main qui envahissait son entrejambe afin d'interdire tout retrait à cette main captivante.

Son corps était maintenant parcouru de tremblements jouissifs, elle haletait, et bientôt, avouant d'un soupir rauque son orgasme, elle fléchit sur les genoux et s'affala entre ses cuisses, la main se fit douce sur sa nuque, lui flattant les oreilles comme on le ferait à un chaton, parcourant son cou de frôlements prolongeant son plaisir.

Elle se pelotonna entre ses jambes, et d'une main volontaire entreprit de lui ouvrir sa braguette, plus rien ne comptait d'autre à ses yeux que de lui rendre le plaisir qu'il venait de lui donner, et pour cela, elle se laissait guider par son intuition.

Le caleçon écarté, elle agrippa d'une main ferme la flamberge triomphante qui avait jailli,. Elle parcourut lentement de coups de langues appliqués la hampe rigide, s'attardant sur les couilles velues qu'elle suça longuement, elle qui à cette idée, huit jours plus tôt aurait vomi de dégoût.

Et pourtant, ahurie par son comportement, comme détachée de son corps, elle regardait faire cette jeune houri soucieuse de captiver son maître, de lui complaire.

Elle emboucha enfin le gland volumineux, et bouche distendue, le guidant d'une main sûre, elle guida les allées et venus dans sa gorge s'approfondissant de plus en plus pour mieux l'accueillir. Elle chouchouta encore un bon moment son gland turgescent, l'enveloppant d'une langue de plus en plus habile, suçant les gouttes suintant du méat, et enfin, au tremblement de ses reins elle comprit qu'elle allait récolter le fruit de tous ses efforts.

Ses gestes se firent encore plus tendre, sa bouche plus enveloppante, sa gorge plus disponible, et, lorsque les jets glaireux jaillirent, elle téta longuement, avalant à grands renforts de bruits de gorge le sperme épais qu'il lui injectait à pleine bouche ; elle se fit un honneur de ne pas décoller les lèvres de son sexe durant l'émission de sa liqueur sirupeuse, et y parvint seuls quelques filets luisants suintant de la commissure de ses lèvres.

Enfin en petite ménagère accompli elle entreprit de parfaire son œuvre, nettoyant d'une langue pas encore très agile le braquemart détumescent, d'une douce caresse sur sa nuque, il marqua sa satisfaction pleine et entière.

Pelotonnée contre son flanc, tête reposant sur ses cuises elle regarda un long moment la télé en sa compagnie. Vers 21 heures le téléphone sonna. Elle attrapa le combiné installé sur la table basse et le porta à l'oreille, elle vit Abdou s'emparer de l'écouteur.

- Allo chérie... Comment s'est passée ta journée ?  Ton rendez-vous ?

C'était son mari qui venait aux nouvelles. Parti le matin même dans les hauts plateaux il ne savait alors quel accueil il recevrait, aussi avaient-ils convenus qu'il téléphonerait en début de soirée pour donner de ses nouvelles. Abdou lui susurra à l'oreille :

- N'oublie pas de lui dire que tu as un garde du corps dorénavant.

- Tout c'est très bien passé chéri. Ce n'était pas très grave. Simplement, le Directeur de la sûreté informé de nouveaux risques d'attentats, et plus particulièrement contre les personnels étrangers en poste dans des pays musulmans tenait à me rencontrer. Renseigné de tes nombreuses absences il a tenu à mettre un garde du corps, chauffeur, homme à tout faire à notre disposition. Il est censé veiller sur moi à toute heure du jour et de la nuit. J'ai d'ailleurs du, sur l'insistance du Directeur de la sûreté l'installer dans la une chambre contiguë à la mienne. Tu vois, rien de grave. Sinon le fait que l'on se soucie vraiment de notre sécurité. L'informa-t-elle rougissant de cet énorme mensonge.

Hilare, Abdou lui caressait lentement les fesses, insérant sa main dans sa vallée culière en de lents aller retour il lui effleurait l'anus, la foufoune, remontait au clito qu'il pinçait légèrement puis il revenait en arrière et reprenait ses caresses enivrantes.

- Quant à moi, ma chérie, j'ai du m'installer chez le gouverneur local. Le monastère ne dispose pas de chambre d'hôte, où je suis indésirable la nuit. Toujours est-il que j'ai retrouvé refuge chez ce bon gouverneur qui en profite pour me surveiller discrètement. Sa famille a l'air accueillante, mais d'un convenu. J'ai déjà rencontré les "saints pères", ils sont très déterminés. La médiation ne ne va pas être simple. Je pense en avoir pour une bonne semaine. Peut-être même plus. Je te tiendrai au courant. Mais toi... Que fais-tu de tes journées ? 

La belle Odile avait refermé ses cuisses, son souffle s'était fait court, l'excitation montait dans ses lombes, elle voulait garder son contrôle ne pouvant se permettre de jouir avec son mari au bout du fil. D'une bonne claque sur les fesses, Abdou lui intima de se laisser faire, et à nouveau ses doigts palpèrent habilement ses intimités, des myriades d'étincelles embrasaient son bas ventre.

- Oh... Tu sais... Rien de bien original... J'ai profité de mon déplacement en ville pour faire un peu de shoping... Je... Ohhhhh...

- Mais que t-arrive-t-il ma chérie ? Tu as une drôle de voix soudain...

- "Ce n'est rien... j'ai... Je me suis acheté un chaton pour... Pour meubler ma solitude. Et il vient de me griffer les cuisses. Il est... très joueur... C'est parce que je me... Bats avec lui que... Je parais essoufflée. Je vais reposer le téléphone... Mon chéri... Il vient de renverser mon verre... Je vais essuyer avant que le tapis soit englué. A plus tard mon chéri !

- Tu as raison ma chérie. Essuie tout de suite la tache. Un persan ce serait dommage de l'endommager. Allez mon amour. Je te téléphone après demain. J'espère pouvoir te donner alors la date de mon retour. En cas de besoin adresse toi à l'ambassade. Ils peuvent me joindre par les relais militaires. A plus tard. Baisers.

Dès le téléphone reposé, elle l'embrassa à pleine bouchée se frottant comme une chatte en chaleur contre son torse.

- Il se fait tard ma petite salope. Montons essayer ton lit !

Et enlacés comme deux amants ils prirent l'escalier qui les mènerait droit au septième ciel.

A suivre...

lundi 25 janvier 2021

En panne sur la route.

 Traduction d’un texte de Thecsm.

 *****

Je m’appelle Dave et je veux vous raconter une histoire incroyable qui m’est arrivé l’été dernier.  Mais avant de vous dire ce qui s’est passé, je vais vous en dire plus sur moi.

J’ai dix-huit ans et je viens de terminer mon premier cycle d’études. Mon projet, cet automne, est de prendre des cours en alternance pour pouvoir devenir agent immobilier.

Je mesure 1 m 86 et j’ai une silhouette athlétique, Mais je ne suis pas un mannequin. On me dit de temps en temps que je suis beau.

Ma mère a pensé que ce serait formidable pour moi de travailler dans sa société cet été afin que je voie si je veux bien être un agent immobilier. Mon père était tout à fait d’accord que je travaille au lieu de traîner tout l’été. C’est comme ça que j’ai fini par travailler avec ma mère.

Mike son patron m’a embauché et m’a fait faire tous les petits boulots possibles. J’étais le gars qui mettait les panneaux « A vendre », qui faisait le café ou allait acheter les croissants. Bien sûr, je m’exécutai, ayant vraiment envie de devenir agent immobilier.

Mike était très strict sur le code vestimentaire de ses employés. En bref, les femmes devaient porter des robes ou des jupes et les hommes des costumes. 
Comme je n’étais pas un employé à part entière, je n’avais pas à porter un costume, mais je devais avoir un pantalon classique avec une belle chemise. Toutes les personnes qui travaillaient pour lui étaient en bonne forme. Ils allaient tous régulièrement faire du sport et entretenir leur corps.

Il y avait des cours de formation professionnelles pour apprendre les nouveautés législatives qui prendraient effet dans quelques mois. Il s’agissait de formation de formateurs. Seules quelques personnes iraient et reviendraient pour enseigner à tout le monde.

Ces cours étaient dans une grande ville à quatre heures de route de nous. Et trois personnes seulement pouvaient y aller. Ma mère et une de ses collègues, Sue furent choisies. Et Mike se dit que ce serait une bonne idée que je les accompagne. Il m’avait dit :

- Dave, je t’ai choisi, car j’aimerai que tu continues à travailler ici en alternance avec tes études.

Ma mère et Sue décidèrent de partir le samedi pour pouvoir faire du shopping le dimanche.

Ma maman mesure 1m65 pour 65 kilos. Elle a de longs cheveux blonds et des yeux noisette. Comme elle fait de l’exercice tous les jours, elle a de belles jambes musclées et une taille mince. En travaillant avec elle, j’ai remarqué qu’elle faisait tourner la tête des hommes.

J’étais content que Sue soit choisie, j’aimais bien la regarder. Elle est petite et mignonne, une mère de famille que l’on a envie de baiser.

Le jour où je lui aie été présenté elle m’a souri et je suis tombé sous son charme. Depuis ce jour, j’essaie toujours de lui poser une ou deux questions juste pour pouvoir lui parler.

Quand elle est près de moi, elle balance toujours ses courts cheveux bruns de manière très sexy. Je sais qu’elle fait ça seulement pour flirter avec moi. J’essaie de me retenir, mais chaque fois qu’elle est là, je ne peux m’empêcher de regarder ses jolis seins ronds et de me demander quelle est sa taille de soutien-gorge. Elle m’a vu un jour fixer sa poitrine et elle a juste souri.

Notre voyage commence le matin à neuf heures. Nous avons décidé de nous habiller légèrement avec jean et haut confortable. C’est ma mère qui conduit et elle a choisi de prendre des petites routes plutôt que l’autoroute.

En empruntant les routes secondaires, nous nous éloignons des grandes villes. Et en pleine campagne, nous n’avons plus de réseau téléphonique. La route est en mauvais état, elle n’a pas dû être entretenue depuis longtemps. Et ça fait un moment que nous n’avons pas vu d’autres voitures sur cette route.

Comme la route est déserte, ma mère accélère de plus en plus. Je rêvasse sur la banquette arrière quand Sue crie :

- ATTENTION !

J’ouvre les yeux pour voir un cerf qui traverse la route. Ma mère fait une embardée pour l’éviter et elle quitte la route. Immobilisée dans le fossé, après avoir vérifié que tout le monde va bien, ma mère essaie de bouger la voiture, mais elle n’y arrive pas.

Je sors de l’auto et je fais le tour pour voir ce qui nous empêche de repartir. Il semble que nous ayons heurté un rocher. Je crie alors :

- Oh merde, la roue avant droite est cassée.

Sue et ma mère sortent de la voiture et me rejoignent.

- Est-ce réparable ? Demande Sue.

- Non, l’essieu semble cassé.

- Et merde ! En plus nous n’avons pas de réseau téléphonique ici ! Ajoute Maman.

Puis elle poursuit :

- La dernière ville que nous avons traversée est à environ quinze kilomètres derrière nous. Et je ne sais pas à quelle distance est la prochaine.

Je regarde les deux femmes et je dis :

- Je suppose que nous devons commencer à marcher.

- Tu plaisantes ? Demande Sue.

- Hein ? Nous sommes en tenue décontractée, ça va.

Ma mère rigole et me dit :

- Oui, Mais Sue et moi portons des talons hauts, nous, n’irons pas loin.

Comme je sens que c’est à moi de faire quelque chose, je réponds :

- Je vais marcher et je vais voir si je peux trouver de l’aide.

- Non, non, nous allons rester dans la voiture tous les trois. Tôt ou tard, quelqu’un va bien passer.

Nous sommes donc en panne sur une petite route. Comme je m’ennuie, j’examine la roue pour voir si je peux faire quelque chose. C’est à ce moment qu’une camionnette s’arrête sur le bord de la route. Quatre jeunes hommes en sortent et l’un d’eux dit :

- On dirait que vous avez besoin d’aide !

Alors qu’ils se dirigent vers moi pour regarder la roue, je veux parler, mais ma mère me devance :

- Dieu merci, heureusement que vous êtes là, je ne sais pas ce que nous pouvions faire.

Les gars regardent ma mère, leurs yeux la détaillent de haut en bas. Puis ils remarquent Sue de l’autre côté de la voiture et ils l’examinent aussi longuement.

Je décide alors de nous présenter en espérant qu’ils arrêtent de déshabiller les deux femmes du regard :

- Moi c’est Dave et voici Mary ma maman. Et là-bas c’est Sue, une amie.

- Ça doit être le plus beau cul que j’ai jamais vu depuis longtemps. Dit un des gars.

- hé tu as raison. Mais elles ont un beau cul toutes les deux ! Ajoute un autre.

Ne prêtant pas attention à ma présence, le plus proche de nous commence à parler.

- Donc tu es Mary. Je suis Brad, là c’est Jim et Gray. L’autre gars là-bas c’est Jake.

Au moins, j’ai compris qu’ils m’avaient entendu lorsque je nous avais présenté. Ma mère répond alors à Brad :

- Je crois que notre roue est cassée. Peux-tu nous emmener à la ville la plus proche afin que nous puissions trouver quelqu’un pour nous dépanner ?

Brad s’approche de la roue et se penche pour l’examiner.

- Quel est le problème ?

- Un cerf a traversé la route devant nous et j’ai fait une embardée pour l’éviter. J’ai dû heurter un rocher et casser la roue. Sans réseau téléphonique, nous sommes dans la galère. Dis-je.

- Oui c’est bien cassé ! Sans être remorqué, vous ne pouvez aller nulle part.

Après avoir regardé ses collègues, il se tourne vers ma mère et demande :

- Combien d’argent avez-vous ? C’est un long trajet jusqu’à la ville et nous nous attendons à être récompensés pour la perte de temps que ça va occasionner.

Je sursaute et regarde ma mère et Sue. Surpris, je regarde dans mon portefeuille pendant que les deux femmes ouvrent leur sac à main. Je m’approche de ma mère et nous nous regardons en rassemblant le peu d’argent que nous avons.

- Nous n’avons que 50 euros ! Dit ma mère.

- Ce n’est pas suffisant ! Déclare Brad avec un sourire narquois.

Sue le regarde et lui dit :

- Quand nous serons en ville, nous trouverons un guichet de retrait automatique et nous pourrons vous donner plus.

Brad regarde la femme et rigole :

- Je ne pense pas être si gentil. Vous payez d’avance ou vous restez là jusqu’à ce que quelqu’un d’autre passe. Ou vous pouvez marcher jusqu’à la ville. Je m’en fiche.

Il tourne le dos et commence à rejoindre la camionnette avec les autres gars. Ma mère crie alors :

- Attendez ! Nous pouvons peut-être trouver un arrangement.

Prenant les choses en main, elle me regarde puis regarde Sue et nous chuchote :

- Écoutez, nous ne pouvons pas marcher et nous sommes ici depuis déjà un bon moment. Il faut que nous nous arrangions avec ces gars. Dave, tu sors les bagages de la voiture pendant que Sue et moi allons parler avec Brad.

Celui-ci s’arrête et se retourne vers ma mère et sa collègue. Pendant ce temps, j’ouvre le coffre de notre voiture pour récupérer les valises. Gray s’approche de moi et me demande :

- Hé, tu veux de l’aide ?

- Je ne sais pas s’ils vont arriver à se mettre d’accord, mais s’ils le font je veux bien oui.

Je n’arrive pas à comprendre ce qu’ils se disent, mais je vois Brad pointer son doigt vers Gray puis vers la camionnette. 

- Je pense qu’ils vont arriver à un accord. Brad vient de nous indiquer de déplacer les bagages vers la camionnette. Me dit Gray.

- Cool ! Dis-je en prenant deux bagages pour les porter dans la camionnette.

Gray ramasse une valise et déclare :

- Nous devons les mettre en haut dans le porte-bagage pour que nous ayons tous assez de place dans la camionnette.

Juste au moment où nous posions la dernière valise au-dessus du véhicule je sursaute. La voix de ma mère m’a surpris. Elle crie :

- Non je ne crois pas ! Nous n’allons pas faire ça !

Puis Sue ajoute :

- Il n’en est pas question !

Ma mère reprend :

- Regardez les gars, nous sommes toutes les deux mariées et il y a mon fils. Non, je ne peux pas, nous ne pouvons pas.

Je me demande bien de quoi ils peuvent parler. Elle n’a pas dit qu’elle ne le ferait pas, mais qu’elle ne pouvait pas parce que j’étais là. Je me dis alors qu’elle ferait ce qu’on lui demande si je n’étais pas là. Ma mère me regarde et me dit :

- Reprends les valises. Ça ne marchera pas.

Je regarde Gray et lui demande :

- Qu’est-ce que tu penses que c’était ?

Le gars me répond avec un sourire narquois :

- Je suis sûr qu’il leur a dit : cash, herbe ou cul, personne ne monte gratuitement. Et il ne changera pas d’avis.

Après que j’ai sorti les bagages de la camionnette, les quatre gars sont montés dedans. Je vois ma mère et Sue me regarder pendant qu’elles discutent doucement entre elles. Je prends une valise et je commence à la ramener à notre voiture quand Sue crie :

- ATTENDS BRAD ! DISCUTONS ENCORE !

Je repose la valise sur le sol alors que les gars sortent de nouveau de la camionnette. Cette fois, Brad n’a pas un air amical sur son visage. Ils se dirigent vers Sue et ma mère. Je les rejoins pour voir ce qui se passe.

Sur un ton un peu sec, Brad dit :

- Ok Mesdames, j’espère que vous n’allez plus nous faire perdre notre temps.

Ma mère commence alors à parler :

- Écoutez les gars, nous sommes déjà là depuis plusieurs heures et vous êtes les seuls à être passés.

Mais Brad l’interrompt d’une voix forte et colérique :

- Écoute salope ! Tu me fais perdre mon temps avec tes histoires !

Puis il la fixe et ordonne brusquement :

- Montrez vos seins !

- Pardon ? Je vous ai dit que nous ne ferions pas ça. Vous nous accompagnez à la prochaine ville et nous vous paierons après avoir trouvé un guichet automatique. Répond ma mère avec colère.

- Tu m’agaces ! Tu me fais perdre mon temps ! Si tu veux que je t’emmène alors tu enlèves tous tes vêtements. Je m’en fous que ton fils soit là. Sinon reste ici pendant un bon moment. Dit Brad sans aucune trace de compassion.

Et Jake ajoute alors :

- Vous voulez venir, alors montrez-nous vos seins rapidement.

- c’est malhonnête ! Dit Sue dans un murmure.

- Pas du tout ! Il n’y a pas de loi pour ça ! Je suis fatigué de vous. Répond Brad.

Il se tourne et commence à retourner à la camionnette avec les autres gars le suivant.

- Non ! Attends s’il te plaît ! Parlons un peu plus ! Crie Sue.

Dave se retourne et regarde méchamment Sue en lui disant :

- Ok, dépêche-toi ! Nous n’allons pas attendre toute la journée.

Sue attrape ma mère et l’emmène là où personne ne peut les entendre parler. Tout le monde les regarde. Sue a l’air bouleversé et agite ses mains.

Je sais que les deux femmes ne veulent pas marcher, mais je me demande si elles vont accepter les conditions du groupe de mecs.

Maintenant ma mère parle à sue et elles ont l’air de se disputer. Elles me regardent toutes les deux puis recommencent à parler. Ma mère a l’air effrayée puis vaincue en secouant la tête. Brad crie alors :

- Alors les deux salopes, vous avez fait votre choix ?

Sue le regarde et lui dit :

- D’accord nous le ferons, mais pas ici en pleine campagne.

Avec un sourire narquois, Brad lui dit :

- Alors, où veux-tu le faire ? Je ne vois rien d’autre qu’un espace dégagé.

- Derrière la camionnette ! Où personne ne peut nous voir depuis la route. Répond Sue.

- Eh bien, je vois à quel point il y a du passage sur cette route. Mais d’accord, déplacez vos fesses vers la camionnette.

Gray s’approche de moi et me dit :

- Remettons les bagages dans la camionnette.

Avec un air inquiet sur le visage, je prends une valise. Gray, me voyant peu rassuré me dit :

- Écoute mec, ne joue pas les héros sinon ils te botteront le cul. Il suffit de suivre le mouvement. Quoi qu’il en soit, Sue et ta mère ont accepté.

- je suis cool. Dis-je simplement tout en me demandant si j’allais le rester.

Gray et moi mettons le premier bagage sur la camionnette alors que le reste du groupe se rassemble sur le côté. Ma mère et Sue se tiennent au milieu des trois autres gars.

Dans un sens, je pense que cette situation est excitante, mais d’un autre côté ça ne l’est pas, car il s’agit de ma mère qui est forcée. Enfin, elle n’est pas vraiment forcée, mais si nous voulons aller en ville, elle n’a pas d’autre choix que de faire un strip-tease pour ces gars.

Brad dit alors d’une voix forte :

- D’accord, nous sommes d’accord alors. Mais avant je veux que vous nous disiez toutes les deux votre nom et prénom de plein gré. Toi d’abord Mary !

Je me dis que c’est étrange comme requête, alors j’examine le groupe en me demandant pourquoi il veut qu’elles disent ça. Alors que ma mère obéit et dit ce que veut Brad, je remarque que Jim a une caméra et filme tout ce qui se passe. Je ne crois pas que Sue ou ma mère savent qu’elles sont filmées.

Après que Sue eut fini de parler, Brad lui ordonne :

- Si tu ne veux pas faire ça, alors ne le fais pas. Ça nous dérange pas de te laisser ici. Allez Mary, à toi !

Je viens de passer la deuxième valise à Gray pendant que ma mère regarde autour d’elle pour voir où je suis. Je devine qu’elle est contente que je ne regarde pas alors elle commence à déboutonner son haut.

Brad parle tout bas aux autres gars du groupe. Je ne comprends pas ce qu’il dit, mais ils commencent tous à rire et même les femmes.

Au moment où nous avons fini de ranger la dernière valise sur la camionnette, ma mère a enlevé son chemisier. Son soutien-gorge n’est pas sexy. Mais c’est excitant de la voir en jean et soutien-gorge blanc.

Maintenant que Gray et moi avons fini de ranger les bagages, nous approchons du côté de la camionnette où le groupe se trouve. Je ne pense pas que l’une ou l’autre des femmes nous ait remarqués. Ma mère regarde toujours autour d’elle en espérant qu’ils ne vont pas la faire aller plus loin.

Puis une voix sort presque de nulle part et crie :

- Enlève le soutien-gorge, vieille salope !

Ma mère tend lentement la main derrière elle et dégrafe le sous-vêtement. C’est alors que je ressens du malaise.

Gray doit l’avoir remarqué, car il me chuchote :

- Détends-toi, ce sont juste les seins de ta mère. Détends-toi ! Comme je te l’ai dit auparavant, les gars vont te faire du mal si tu interviens. Alors cool !

Je prends donc une profonde inspiration, même si je ne suis toujours pas à l’aise avec ce qui se passe.

Ma mère passe sa main sur son épaule gauche pour tirer la sangle du soutien-gorge le long de son bras. Puis tout en tenant le sous-vêtement, elle fait de même avec l’autre bretelle.

Puis elle retire sa main et laisse tomber le soutien-gorge au sol. Les gars applaudissent en voyant les seins matures exposés.

Ma mère se retrouve en jean, la poitrine complètement exposée devant les quatre gars et moi. Une chose est sûre, une femme en jean, seins à l’air est vraiment excitante. Même s’il s’agit de ma mère.

Brad se baisse et ramasse le soutien-gorge. Il regarde l’étiquette et dit que c’est du 90 C. Alors qu’il le jette dans la camionnette, tous les gars font des commentaires sur les seins de ma mère et sur leur taille.

Brad regarde ma mère et lui ordonne :

- Ok ! Tourne-toi que tout le monde puisse bien les voir !

Elle commence à tourner et quand elle fait face à un gars, celui-ci s’exclame :

- Tu es bien équipée dis donc !

Après ça, chacun des gars s’assure de faire un commentaire sur sa poitrine. Tandis qu’elle tourne ses seins remuent et ma bite devient de plus en plus dure.

Quand finalement elle me fait face, un air de surprise s’affiche sur son visage. Puis elle se contente de me sourire quand je la regarde. Ses seins s’affaissent peut-être un petit peu, mais ils sont superbes. Ses mamelons sont durs et pointent. Ses aréoles sont d’une belle couleur claire.

Avant de se tourner vers le gars suivant, je vois qu’elle a remarqué que je bande. Quand elle se retrouve face à Jim, elle voit alors la caméra pointée sur elle. D’une voix nerveuse elle demande :

- Quoi ? Tu nous filmes ? 

Puis elle se tourne vers Brad. Celui-ci lui sourit :

- Ne t’inquiète pas, nous enregistrons juste au cas où vous voudriez en parler à la police. N’oublie pas que nous ne vous obligeons pas à le faire. C’est un paiement pour être emmenés d’ici.

Ma mère lui jette un regard mauvais. Sue est sur le point de dire quelque chose, mais finalement elle se tait. Elles savent toutes les deux que ça ne sert à rien de discuter avec lui. Il a raison, elles le font pour sortir de ce coin paumé.

Puisque qu’elles ne disent plus rien, Brad, toujours souriant, ordonne :

- Allez, le reste maintenant !

Ma mère recommence à sourire. Fasciné je la regarde alors qu’elle défait sa ceinture. Alors qu’elle ouvre lentement son jean en nous regardant, je réalise que j’ai toujours voulu la voir nue. Et aujourd’hui ça arrive.

Quand elle bouge ses seins remuent aussi, et je ne peux pas les quitter des yeux. Merde, je voudrais laisser tomber mon jean moi aussi pour me branler.

Elle baisse son pantalon et je vois sa culotte blanche. Mes yeux fixent son entrejambe où le tissu recouvre sa chatte. Elle se débarrasse de ses talons pour enlever complètement le jean.

Je ne peux pas m’empêcher d’être encore plus excité. Lentement ma mère baisse sa culotte puis remet ses talons. Tout le monde est silencieux à ce moment-là.

De l’endroit où je me trouve, je ne peux pas vraiment voir son sexe. Ça me semble étrange de le vouloir. Il faut que je bouge pour bien voir, mais je ne peux pas sans que cela soit perceptible. Je reste donc là où je suis.

- Regardez ce cul ! Je vous ai dit que c’était un beau cul ! Hurle Jim en continuant de filmer.

Tout le monde rit.

- Tu sais ce que tu dois faire maintenant ! Dit Brad.

Sur ces mots, ma mère recommence à tourner lentement. Quand elle me fait face, je vois sa chatte pour la première fois de ma vie. Elle est rasée, il lui reste juste une petite bande de poils au-dessus. Je ne peux m’empêcher de regarder ses grandes lèvres alors qu’elle tourne.

Quand elle a fini, Brad regarde Sue et lui dit :

- Ok, c’est à ton tour maintenant.

Le déshabillage de ma mère avait été lent et ne semblait pas volontaire. Elle avait été vraiment embarrassée de le faire. Mais là, Sue avait l’air d’être dans l’ambiance et allait faire un show.

Elle retire son haut et le fait tourner autour de sa tête en souriant aux gars. Je bande vraiment en la regardant.

Elle avait l’air d’y prendre du plaisir. Elle saisit le fermoir sur le devant de son soutien-gorge  et elle hésite. Puis elle le lâche brusquement en secouant ses seins. c’est une vraie allumeuse et les gars deviennent fous.

Brad ramasse son soutien-gorge et annonce un 95 C. Un des gars crie :

- Putain quelle poitrine !

Les autres approuvent en sifflant. Sans qu’on lui dise, Sue tourne lentement pour s’assurer que tous les gars voient ses seins de près. Je ne peux pas détacher mes yeux de cette femme sexy qui bouge ses seins devant nous. Quand elle me fait face, je remarque qu’elle a un grand sourire. Elle me fait même un clin d’œil.

Je pense que ça l’amuse. Je regarde ses seins et je les trouve plus fermes que ceux de ma mère. Ses aréoles sombres rendent ses mamelons très longs. Ils sont tournés vers le haut et Sue doit être excitée, car ils sont durs comme du roc ;

Après avoir terminé son tour, elle baisse lentement son jean en remuant du cul. Comme elle n’a pas de ceinture, il descend facilement le long de ses jambes avec juste un petit mouvement de déhanché.
 
Elle aussi a une culotte blanche. Elle l’enlève rapidement. Son cul est beaucoup plus rond que celui de ma mère.

Encore une fois, sans qu’on lui dise, elle commence à tourner sur elle-même. Lorsque sa chatte apparaît à mon regard, je constate qu’elle est totalement rasée.

Je suis ébahie par la beauté de Sue. Elle me semble encore plus belle sans ses vêtements. Les gars sont encore plus bruyants en la regardant faire un tour complet sur elle-même.

Elle se permet même un ou deux pas de danse pour s’assurer que nous puissions tous voir son cul et sa chatte. Ses seins rebondissent et nous avons tous admiré sa beauté.

Brad ramasse tous les vêtements et les jette dans la camionnette. Je regarde ma mère et sa collègue, debout et nus devant quatre jeunes étrangers.

Je me sens désolé pour elle, mais je suis aussi très excité de voir ce deux femmes mûres obligées de rester nues pour pouvoir partir. Ma bite est telle ment dure que j’ai mal.

C’est alors que Brad s’adresse aux deux femmes :

- Ok toutes les deux ! Maintenant bougez vos fesses !

- Quoi ? Demandent-elles.

Avec un sourire narquois, Brad dit :

- Je vous ai dit de commencer à remuer ces beaux culs.

Ma mère et Sue commence lentement à bouger leur arrière-train. Je suis au paradis en les regardant. Surtout que ça fait aussi rebondir leurs seins. Tous les yeux sont rivés sur elles. Jake a sorti sa bite et la caresse lentement.

Je tourne la tête pour voir si Jim filme toujours ce qu’il se passe. Puis tout d’un coup j’entends ma mère hurler.

Je regarde où elle se trouve et je vois Jake la pousser vers la porte ouverte de la camionnette. J’ai l’impression que tout se passe au ralenti. Il pousse ma mère afin que ses mains reposent sur le siège avant. Puis il se place derrière elle et enfonce sa queue en elle. Les trois autres gars ont la bouche ouverte, complètement surpris.

- Bon Dieu, cette vieille garce est complètement mouillée. Ne t’inquiète pas Brad, cette salope a envie d’être baisée ! Hurle Jake.

C’est alors que je vois Gray attraper Sue et la tirer vers la porte arrière de la camionnette. Il la pousse afin qu’elle soit dans la même position que ma mère et il enfonce sa bite dans sa chatte.

- Celle-ci est également complètement mouillée. Faites la queue les gars, nous allons bien nous amuser. Dit Gray.

Bien qu’excité, je ne suis pas content de la tournure des évènements alors j’essaie de rejoindre ma mère pour empêcher Jake de la toucher. Mais Brad m’attrape par le cou et me jette à terre en disant :

- Écoute mec ! Ces deux femmes n’ont pas protesté, pas une seule fois. Alors reste cool ou tu vas être blessé. Tu as compris ?

Je regarde Brad puis ma mère. Il a raison, les deux femmes ne semblent pas se plaindre. Je lui réponds alors :

- Ok, je suis cool.

Brad me relève. Je regarde Jake enfoncer en rythme sa queue dans ma mère. Celle-ci commence à gémir !

- Ohhh ! Oui baise-moi !

Dès que Sue entend ma mère, elle commence à gémir également :

- Oui ! Oui ! Oh oui !

Jake tire la tête de ma mère vers le haut en la tenant pas ses cheveux tandis qu’elle gémit sous ses coups de bite. Il lui dit alors :

- Tu aimes ça chienne ? Tu aimes être utilisée comme une salope ?

Elle ne fait que gémir un peu plus fort. Alors Jake lui claque violemment le cul en disant :

- Je t’ai posé une question : Réponds-moi SALOPE !

Entre ses gémissements ma mère balbutie :

- Oui… J’adore… être utilisée comme ça.

Jake regarde tout autour pour chercher Jim et sa caméra. L’ayant trouvé, il sourit à l’objectif puis dit :

- Putain ,celle-ci a une chatte bien serrée.

Puis il donne de grands coups de reins pour baiser ma mère plus fortement. Il la tient fermement alors qu’il la pilonne avec sa bite pendant plusieurs minutes. Et ma mère ne peut pas se retenir, elle crie alors qu’elle a un orgasme devant mes yeux.

Puis je regarde Gray qui baise Sur tout aussi fort. Mais il pousse son visage contre le siège. Jim se déplace pour s’assurer d’obtenir de bons plans des deux femmes baisées. Il se déplace de l’autre côté de la camionnette et ouvre la porte pour pouvoir avoir une bonne vue des visages féminins.

Les seins des deux femmes rebondissent allègrement alors qu’elles sont baisées. Dès que Jake a fini, Brad le remplace. Il est un peu plus rude que son ami. Tout en baisant ma mère, il attrape ses seins et les serre fortement.

Je ne sais pas si elle crie de douleur ou de plaisir, mais elle ne se débat pas.

Quand Gray a fini, Jim pose la caméra et se place derrière Sue. Il attrape ses tétons et les tire aussi fort qu’il le peut tout en la baisant.

Alors que Jim s’active, Jake attrape la tête de Sue pour la déplacer vers sa bite. Avant de pousser sa queue dans sa bouche il demande :

- Alors, tu aimes être utilisée comme une pute bon marché ?

Sue ne répond pas alors Jake la gifle violemment. Elle pousse un petit cri et essaie de retirer son visage. Mais Jake la retient et la gifle de nouveau. Jim sourit et apprécie la dureté de son copain avec Sue.

Finalement celle-ci répond :

- Oui…

Puis je me tourne pour voir ce qui se passe avec ma mère. Gray l’a déplacée. Elle est en dehors de la camionnette et elle le suce alors que Brad la baise durement pas derrière.

Soudain, quelqu’un me saisit le bras et me pousse vers Sue. En riant Jake me dit :

- C’est à ton tour !

Je ne perds pas de temps pour me déshabiller. Puis je m’approche de Sue et je commence à déposer des baisers avant de l’embrasser sur la bouche. Je lui dis :

- Depuis que je t’ai rencontré, je veux te baiser. Maintenant, je vais m’enfoncer dans ta chatte.

Ma bite trouve l’entrée et je m’enfonce profondément dans l’antre dégoulinante. En entrant dans sa chatte, je sens ses muscles se resserrer sur mon membre. Je commence à la baiser avec de grands coups de rein rapides.

Je la baise rudement sans pitié. Sue semble l’accepter avec facilité. Je décide alors d’accélérer le rythme et je m’enfonce encore plus profondément dans sa chatte humide. Elle se met alors à crier :

- Oh mon Dieu ! Oh mon Dieu ! Vas-y, baise-moi fort !

- Je vais jouir ! Ai-je répondu en criant.

Quelques secondes plus tard, Sue crie sa jouissance alors qu’un orgasme puissant frappe son corps. Je ne peux plus me retenir alors je gicle mon foutre dans son ventre. Quand je me retire, je suis poussé par un des gars qui prend ma place.

C’est alors que je regarde où en est ma mère. Et je vois Gray qui vient de finir de la baiser. C’est alors que mon excitation prend le dessus. Je me place derrière et j’enfourne ma bite dans son sexe déjà bien utilisé.

Alors que je donne de grands coups de rein, Jim récupère la caméra et dit :

- Regardez, il baise sa propre mère !

Tout le monde tourne la tête pour nous regarder. Brad dit alors en riant :

- C’est ça mon gars, montre à ta pute qui est le patron !

Je m’arrête alors en réfléchissant à ce qu’il vient de dire. c’est alors que j’entends ma mère gémir :

- Ne t’arrête pas maintenant ! Fais-moi jouir !

Je recommence dons à la pilonner avec vigueur jusqu’à ce que je jouisse en elle. Je ne sais pas si elle a eu un orgasme ou non, mais je m’en fiche un peu.

Au bout d’une heure, nous avons tous baisé les femmes à plusieurs reprises. Lorsque tout est terminé, Brad dit :

- Très bien, vous avez payé le voyage. En route !

Tandis que les gars attrapent leurs vêtements et s’habillent, Sue demande :

- Où sont nos vêtements ?

- Je vous les rendrai après notre arrivée en ville. Répond Brad en riant.

Ma mère commence à protester, mais avant qu’elle ne puisse dire un mot, Brad dit alors :

- Vous pouvez monter dans la camionnette nues ou vous pouvez rester ici. Je m’en fous. Je garde vos bagages et vos vêtements jusqu’à ce que nous arrivions en ville.

- Tu es un trou du cul ! Dit ma mère en montant avec Sue dans la camionnette.

Le reste d’entre nous s’entasse également dans le véhicule. La prochaine ville n’est pas très loin.

Alors que nous approchons du garage, Brad fait sortir ma mère et Sue de la camionnette. Puis il leur tend leurs vêtements. Les deux femmes s’habillent aussi vite qu’elles le peuvent. Je pense que personne d’autre ne les a vues. 

Une fois habillées et les bagages descendus, la camionnette s’éloigne. Nous entrons dans le garage pour demander le remorquage de notre voiture. Ensuite, nous allons louer une voiture et nous continuons notre chemin vers la ville où la formation se passe.

Je me souviendrai de jour le restant de ma vie.

FIN.

samedi 23 janvier 2021

Coralie Miss Camping ! Ch. 12

 Suite du Texte d'Alexis, écrit par Florian MC

Prise par deux salauds dans les fourrés.

Je me réveillai une heure plus tard, de très bonne humeur. Loïc était l’amant parfait. J’avais presque envie qu’il soit de nouveau là, à l’extérieur de la tente, à me donner son énorme engin à lécher en guise de petit-déj.

Je m’étirai. Jean n’était pas à mes côtés. Je sortis de la tente, avec une envie terrible d’aller aux toilettes pour « la grosse commission ». Et Jean qui n’était pas dehors non plus, j’aurais préféré qu’il m’accompagne, pour éviter d’être retardée en chemin si des campeurs matinaux avaient envie de profiter de mes charmes.

Je haussai les épaules, les sanitaires étaient tout proches, je ne risquais pas grand-chose… Je pris le rouleau de PQ, et me dirigeai d’un pas décidé vers les toilettes. Il faisait frisquet ce matin, je frissonnai. Mes seins encore un peu rouges des coups de baguette de Julie, sur la plage, malgré l’onguent de Loïc, et ils avaient la chair de poule. Je lui demanderai de m’en étaler à nouveau, avec ses grandes mains… l’idée me fit sourire.

- Ah, voilà ma petite pisseuse… Je t’attendais.
 
Je grimaçai. Le gars de la veille, qui m’avait demandé de faire le poirier devant lui, et de me pisser dessus – ce n’est pas que l’expérience avait été désagréable, mais je me voyais mal déféquer en faisant des acrobaties. Il m’embrassa sur les lèvres en m’entourant de ses bras, et me tâta les seins, tout dressés dans le matin frais. Il sentait le café. Il me glissa un doigt dans la fente, insistant sur mon clito.

- Viens, petite Miss, je veux te voir pisser.

- Oh… Je suis désolée… (je montrai le rouleau de PQ)… Je ne vais pas faire pipi…

Il sourit, agrippant mes fesses. Un campeur matinal nous regardait, intéressé. Son majeur remonta ma raie, et toucha mon anus. 

- C’est encore mieux ! Viens, tu vas chier devant moi.

J’avais mal au ventre, j’avais vraiment besoin d’aller aux toilettes, et vite ! Je secouai la tête en protestant, mais il m’avait attrapé la main et m’emmenait vers les buissons de lauriers roses bordant le chemin de la plage, qui passait tout à côté. Je murmurai :

- Je ne peux pas faire ça ! Non ! Mais lâchez-moi ! Voyons, monsieur !

Il m’attira dans un grand buisson touffu. Je voyais le chemin à l’extérieur, à travers les feuillages, et les sanitaires du camping, mais personne ne pouvait nous voir – du moins au premier coup d’œil.

- Allez, arrête de faire ta mijaurée et soulage-toi, belle demoiselle. Et pousse bien !

Je secouai encore la tête en soupirant. Décidément, ce séjour dans le sud n’était pas ce que je préférais en matière de vacances.

Je m’accroupis, et écartai les jambes. Mon ventre se tordait de douleur. Je fermai les yeux pour me concentrer. Comme la veille, l’homme commença à me pétrir les seins, très sensibles ce matin, puis passa derrière moi, et me toucha le sexe, délicatement. Je ne dis rien, sachant qu’il ne me lâcherait pas tant que je n’aurais pas fait ce qu’il désirait. Je me concentrai et poussai sur mon ventre, laissant échapper un gaz odorant. Je rougis en murmurant « pardon ».

- C’est bien, chuchota le gars, pas de fausse pudeur … laisse-toi aller… montre-moi ta merde, je veux voir comment ton cul s’écarte quand tu chies.

Ses caresses s’accentuèrent. Je sentis qu’il se relevait, et qu’il enlevait ses vêtements. Il frotta sa bite en érection sur mon dos et mes épaules, sur mon front et sur mon nez, et la présenta devant ma bouche. Je détournai le visage.

- Non.

- Allons, petite Miss, je t’ai vue te faire niquer par le vieux dans la douche hier. Tu ne tailles pas de pipes ? Tu aimes juste qu’on te la mette dans le cul ?

- Non, pas seulement, j’aime bien… euh..je veux dire…ce… c’était un accident.

- Non, non, tu aimes la pine, ça se voit. Allez, suce !

Il me força à tourner la tête, et mit sa bite sous mon nez. Elle avait une odeur épicée, pas désagréable. Il fallait que je me soulage, mon ventre gargouillait sombrement. J’ouvris la bouche et avalai son gland gonflé, au goût légèrement salé. Je le suçai sans conviction, en poussant sur mon ventre. Je sentis que ça venait, et commençai à déféquer, en m’arrêtant à mi-chemin sur la bite de l’inconnu, ma langue continuant de titiller son gland, au rythme des crottes qui sortaient de mon cul. Le gars se pencha au-dessus de mes épaules. Il avait une vue de choix sur mes fesses, et sur leur production matinale.

- C’est bien, c’est bien, vide-toi, comme ça. Tu as un cul de princesse.

Il sortit sa bite de ma bouche et me regarda chier sous toutes les coutures, me caressant ça-et-là, tantôt le clitoris, tantôt les seins, tantôt les lobes rebondis de mon cul. Son attitude était étrange, il avait un ton autoritaire, qui ne souffrait pas la discussion, mais sans brutalité, il me flattait la croupe avec douceur, me pressait les seins sans me faire mal. Je sentais que si je n’obéissais pas, les choses pourraient vite déraper, mais ne le craignais pas, malgré tout.

La douleur de mon bide s’estompa, les dernières boulettes finirent de quitter mon rectum. Je pissai un peu par-dessus le tas de merde, sans me soucier du doigt du type qui me tâtait les grandes lèvres.
J’attrapai le rouleau de PQ, mais le gars me le prit des mains.

- A quatre pattes. Je vais te nettoyer.

J’obéis. J’avais fait un gros étron presque noir, qui ne sentait pas bon du tout. Plus vite nous sortirions du buisson, mieux je me porterais.

Il glissa ses genoux dans les miens, et frotta son sexe sur mon abricot intime. Je remuai les fesses en protestant.

- Non ! Essuyez-moi, et qu’on en finisse ! Vous avez eu ce que vous vouliez, laissez-moi maintenant, mon mari m’attend.

Le gars s’introduisit partiellement dans mon vagin, sans forcer.

- Je n’ai pas eu ce que je voulais, petite.

Je hochai la tête. Il allait et venait déjà dans ma chatte, comme si elle lui appartenait. Je n’osais pas me dégager.

- Arrêtez ça tout de suite, c’est dégoûtant. Essuyez-moi, branlez-vous, aspergez-moi de sperme, et laissez-moi partir. Vous ne serez pas le premier.

Ses va-et-vient se firent plus insistant. Je mouillai malgré moi.

- Tu ne veux pas qu’on baise un peu avant ?

- Non.

- Tu veux que je te nettoie, et basta ?

- Oui. S’il vous plaît.

Le sexe sortit de mon vagin.

- Ok.

Il cracha sur mon anus sale, y appuya sa bite en un mouvement brutal, et me pénétra d’un coup, jusqu’à la garde, en me plaquant contre le sol. Ses mains attrapèrent mes poignets, et les maintinrent complètement en arrière, s’en servant d’appui pour me transpercer plus profond. Je criai de douleur, sa pine, clouée dans mon cul sans aucun moyen pour moi de me dégager, me vrillait les sphincters.

- Et un bon ramonage pour nettoyer la petite Miss!, s'écria mon bourreau.

Je hurlai :

- Non ! Non, lâchez-moi, vous me faites mal ! Au secours ! Quelqu’un !

L’homme me mordit l’oreille en soufflant d’excitation, m’écrasant de tout son poids contre les feuilles de lauriers et les brindilles séchées jonchant le sol, qui me rentraient désagréablement dans la peau. Il continuait à me gamahucher à grands coups de reins. La douleur était terrible.

- Oui, crie encore, peut-être que quelqu’un viendra pour m’aider à te baiser, deux, trois garçons de plus pour Miss-J’aime-La-Pine ! Tu la sens, la mienne ?

Je savais qu’il avait raison, mais je hurlai à nouveau. C’était trop douloureux, trop humiliant, son sexe qui glissait sans entraves entre mes fesses souillées de merde noire, je ne pouvais pas accepter, pas me laisser faire passivement, malgré toutes les inhibitions que j’avais pu dépasser jusqu’à présent, cette fois, c’en était trop.
- AAAH ! AIE ! JEAAAN ! JEAAAN !

J’entendis des pas précipités. Quelqu’un venait. Mon violeur ralentit le rythme dans mes boyaux, la douleur sourde me coupait la respiration. Je criai encore :

- PAR ICI !

Les pas venaient vers les lauriers. Deux personnes entrèrent dans le vaste buisson, je ne voyais que leurs pieds, un homme et une femme.

- Qu’est-ce qui se passe ici ? Oh, sympa…

Mon violeur se souleva légèrement, en me tenant toujours les poignets.

- Miss Camping avait un besoin pressant, que je m’emploie à satisfaire. Mais une bite ne lui suffit pas, elle a de grosses envies, la coquine.

Je relevai la tête, en commençant à protester, et en essayant de me dégager de la poigne de fer du type, mais ma voix s’étrangla dans ma gorge et les larmes me vinrent aux yeux sous le coup de la panique. Laëtitia se tenait là, comme un chat devant une bonne grosse souris. A ses côtés, je reconnus l’animateur du camping, qui m’avait pelotée comme une bête de foire le jour du concours.
Laëtitia s’accroupit et me caressa les cheveux. Je me sentais vidée. Je la suppliai.

- S’il vous plaît, laissez-moi partir, mon mari m’attend, je vous en prie…

Mon violeur me relâcha les poignets, je pus me mettre à quatre pattes. La douleur de son chibre dans mon anus s’atténua, mais aucun plaisir ne vint la remplacer. J’essayai encore de le sortir de moi, sans succès, ses mains me retinrent par la taille avant que je ne puisse éjecter son gland. Il soupira d’aise et me lima de plus belle.

- Allons, allons, Coralie, tu te souviens que tu dois être bien obéissante… J’ai vu ton mari dans les toilettes, il est très occupé, tu iras le retrouver après, dit-elle en éclatant de rire, mais je suis sûre que nos deux amis vont bien te satisfaire.

L’animateur ôta son caleçon et son maillot de bain et passa une main sur son sexe aux poils roux qui se dressait déjà.

- Je rêve de toi toutes les nuits depuis cette fameuse soirée, mais je ne pensais pas que tu étais aussi ouverte après t’avoir vue timide et réservée sur la scène. (il sourit) La blonde Julie était la plus belle, avec ses cuisses puissantes, son cul rond et ses deux jolis petits seins, mais tu étais ma préférée, j’aurais voulu pouvoir te faire me sucer devant le public, t’asperger de sperme, te voir le partager avec les autres miss… Le directeur du camping voulait que ça reste soft… tu n’as même pas protesté quand j’ai passé un doigt dans ta fente de déesse… Je vais te sauter avec joie, belle Miss, j’espère que tu aimeras !

- Non, je vous en supplie…

- Suce, tu ne le regretteras pas, c’est tout frais sorti de la douche…

Il s’agenouilla et plaça son bâton de joie devant mon visage. Je secouai la tête en pinçant mes lèvres, refusant de prendre en bouche le gland rose. Je détournai le regard, et vit ma cheffe de rayon me reluquer la croupe, une main dans son string rouge. Mon violeur continuait son va-et-vient. Elle s’aperçut qu’il me prenait dans le cul. Elle ramassa une branche de laurier et me la passa sur le dos.

- Oh, je vois que tu aimes de plus en plus te faire prendre par-derrière…Tu es vraiment la dernière des salopes !

- Non ce n’est pas…

Un coup de cravache me fouetta le cul. Laëtitia m’avait frappée ! Elle sourit, innocente.

- Tais-toi, douce Coralie. Tu ne parles que quand je t’y autorise. Tu as bien compris ?

Je pleurai de plus belle, rageant de mon impuissance. Un autre coup suivit, plus fort encore.

- Je t’ai posé une question. Tu as compris les règles ? Parle !

J’acquiesçai en sanglotant, incapable de me contrôler. Un nouveau coup me vrilla les lobes.

- J’ai dit : Parle !

Je fermai les yeux et hoquetai :

- Oui !
Un nouveau coup me cingla les fesses.

- Oui qui?

- Oui Laetitia!

Un nouveau coup me cingla le cul.

- Un peu de respect !

- Oui, maitresse ! hurlais-je.

- Parfait. Si tu es sage, tu n'auras que cinq coups de baguette à la fin de notre conversation. Si tu n’es pas sage… tu sais ce qui arrivera.

Je déglutis en hochant la tête. Les larmes coulaient de mes yeux sans que je ne puisse rien y faire.
L’animateur rouquin s’affairait. Il m’empaumait les seins en frottant son petit braquemart sur mes yeux mouillés, sur mes joues et mon nez. Il regardait Laëtitia se masturber lentement en me passant la branche de laurier sur le corps, et fixa un instant l’autre homme qui me sodomisait en me tenant les hanches. Sa pine enflait. Laëtitia retira sa main de son string, et prit le membre taille réduite entre ses doigts, l’appuyant contre ma bouche fermée.

- Douce Coralie, sois bien sage. Ouvre la bouche pour faire plaisir au monsieur…

Elle branlait l’animateur, ravi, qui se pencha vers elle, lui embrassa l’épaule et tira la ficelle de son haut de bikini, révélant deux seins fermes et bronzés, aux mamelons brun foncé. Il les caressa avidement. Je gardai les lèvres fermées, les yeux baignés de larmes d’impuissance. Elle allait me frapper jusqu’à ce que j’obéisse, mais je ne pouvais pas accepter une humiliation pareille. Mon violeur accéléra le rythme derrière moi, un plaisir diffus commençait à monter de mes reins. La pine devant mon nez sentait le gel douche. Deux coups de branche de laurier s’abattirent sur mon cul.

- Obéis, gentille Coralie, obéis…

Deux nouveaux coups de cravache me vrillèrent le bas du dos, m’arrachant un cri de détresse. Je ne pouvais pas lutter. J’avalais le sexe roux, en pleurant. Je le suçai avec application, essayant d’écouter le vague plaisir qui envahissait lentement mon ventre.

Laëtitia sourit. Elle posa sa baguette de laurier et s’allongea sous moi, perpendiculairement, comme un garagiste sous une voiture. Elle me mordit le téton droit très fort et, avec sa main gauche, me pinça l’autre téton. La douleur était insupportable, je me crispai sur la bite au fond de ma gorge, sanglotant et hurlant de désespoir. Elle relâcha la pression et me mordilla les mamelons sans hâte.

La pine dans mon cul sembla doubler de volume, je savais que le type n’allait pas tarder à me libérer, après avoir vidangé sa jouissance mêlée de merde au fond de mes boyaux. J’ouvris les yeux d’un coup : la main droite de Laëtitia avait parcouru mon ventre et s’était arrêtée sur mon clitoris, qu’elle masturbait avec habileté. Le plaisir naissant dû à la sodomie très active se transforma en vague cruelle, un besoin de jouir qui se heurtait à l’humiliation que je subissais, à la soumission dont je faisais preuve. J’aspirai plus fort la bite de l’animateur qui m’attrapa la tête et se servit de moi comme d’une poupée gonflable, me faisant aller et venir sur son sexe court, en gémissant de plaisir.

Le gars dans mon cul ralentit, et s’arrêta complètement, Laëtitia continuait de me branler, deux doigts dans mon vagin, et je m’activais toujours avec vigueur sur la pine du rouquin. Je n’avais pas senti mon violeur se vider en moi, je fronçai les sourcils, étonnée, mais soulagée que ce soit bientôt fini. J’accélérai la cadence sur le sexe dans ma bouche, espérant en boire rapidement la crème, et me sauver de cette situation désespérante.

Mon violeur extirpa lentement son chibre de mes lobes, et me tapota les fesses.

- On se fait une double pénétration ?

Laetitia sortit ses doigts de mon vagin et se releva, souriant toujours. Elle reprit sa cravache, prête à me dominer si je n’obéissais pas. Je crachai la pine de l’animateur en secouant la tête :

- NON !

Deux coups de lauriers s’abattirent sur mon cul, suivis de deux autres. Laëtitia me caressa là où elle venait de me frapper, et glissa deux doigts dans mon anus, en faisant une grimace.

- Ce n’est pas très propre, tout ça… Petite Coralie, tu vas laisser ces messieurs se soulager, n’est-ce pas ? Tu peux parler.

- Laëtitia, je vous en prie…

Un coup sur mon cul. Puis un second. Suivi d’un troisième, une main de mon violeur qui me fessait !

- Mauvaise réponse. Dis-moi que tu veux qu’ils te baisent en même temps.

Je geignis à nouveau. 

- Laëtitia… je peux les sucer, ils peuvent me sodomiser et venir en moi… je vous en supplie, pas ça… !

Un coup de laurier, une nouvelle tape sur les fesses, plus forte, suivie d’une autre. Le gars s’extasiait sur mes fesses rouges. Nouveau coup du plat de la main.

- Elle aime qu’on la fesse, la salope … !

-Oui, vous avez parfaitement deviné, elle aime se faire corriger la garce!, commenta Laetitia avec perfidie.

Un énième coup me cravacha le cul.

- Coralie, demande gentiment à ces messieurs de te prendre tous les deux en même temps.
 
Elle accentua la pression dans mon petit trou, et introduisit son pouce dans ma chatte. Je gémis. Le plaisir revenait, malgré moi. Il augmenta quand je reçus deux nouvelles tapes sur les fesses. Je ne voulais pas obéir. Mais j’étais seule, abandonnée. Si j’appelais à l’aide, d’autres coups viendraient et qui sait si le prochain sauveur en herbe ne serait pas le gros José ou le vieux qui servait d’homme à tout faire dans le camping… Toute honte bue, je cédai.

- Je… je veux que vous me preniez tous les deux en même temps. S’il vous plaît.

Laëtitia ôta ses doigts de mes orifices. Elle se déshabilla complètement, exposant son intimité aux deux mâles qui me consommaient, sans doute pour leur redonner de l’ardeur s’ils en manquaient. Elle se caressa les seins, ostensiblement, les empaumant par-dessous, pouces et index titillant ses tétons, essayant de les faire darder vers le ciel.

L’animateur s’allongea sur le sol jonché de brindilles et je me laissai guider sur lui, l’esprit embrumé, ma volonté brisée. Je sentis à peine son petit engin tendu glisser dans ma minette trempée de cyprine. Les attentions de Laëtitia avaient produit leurs effets…

Mon violeur se remit en selle, me pénétrant brutalement, comme la première fois. Je sentis les deux bites s’entrechoquer en moi et entamer leur va-et-vient synchronisé. La vague de plaisir déferla, inattendue. Prise en sandwich, complètement prisonnière des deux verges qui m’empalaient, je haletai, en profitant de l’orgasme que je sentais monter dans mes reins, m’arc-boutant sur la bite qui me trouait le cul sans concession, écrasant mes seins contre le torse frêle de mon amant vaginal, et appuyant ma chatte sur sa courte pine qui la visitait intensément. Je frottai mon clitoris sur les poils roux, irritant le bouton délicat, pour augmenter la charge déferlante qui menaçait d’emporter ma dignité dans une tempête jouissive incontrôlable.

Je me sentis partir, et gémis plus fort, me retenant de crier pour éviter d’avoir à affronter les queues de tous les pervers du camping. Je me cambrai encore, sentant les deux membres gonflés me limer les entrailles, et je jouis, sans retenue en mordant l’oreille de l’animateur rouquin qui murmurait des « oui oui oui » saccadés dans mon cou.

Laëtitia s’accroupit à hauteur de mon visage et approcha sa moule fine, presque glabre. Je tendis le nez en haletant, l’effleurant au passage, tirant la langue lascivement pour essayer de la goûter. Elle restait tout juste hors de portée, suffisamment proche pour que je sente son excitation mouillée, mais trop loin pour que j’y fourre ma langue avide. Elle trempa les doigts dans sa chatte, en se masturbant mécaniquement, et me fit sucer le jus intime sur son majeur à plusieurs reprises.

Les coups de boutoirs dans mon anus prirent brusquement fin, mon violeur vint en brusques saccades, au fond de mes intestins, un flot de sperme chaud que j’imaginai se mêler aux résidus de merde sombre. L’image me donna la nausée. Je suçai le doigt de Laëtitia avec un haut-le-cœur. Elle pensa que ma réaction était due à son petit manège.

- Douce Coralie n’aime pas le jus de sa cheffe ? Goûte mieux…

Elle me plaqua la tête contre sa chatte, que je léchais avec envie en sentant que l’animateur arrivait au bout de son plaisir, le nez dans le cul de Laëtitia. Il gémit en se vidant, m’emplissant le vagin d’une petite quantité de crème épaisse et chaude, que je sentis à peine – après la queue de Loïc, le petit asticot de l’animateur ne faisait pas le poids.
 
Mon violeur anal retira sa pine souillée de sperme et d’excréments de mon cul, je restai lovée dans les bras du rouquin, léchant toujours l’abricot ouvert de Laëtitia. Ma langue traçait le chemin de ses petites lèvres, récupérant le jus intime dans sa vulve et l’étalant jusque sur son clitoris, en un coup de langue appuyé, je la lapai avec délices, étonnée de l’énergie que j’y mettais – je n’étais pas portée sur les femmes, exceptée Véronique, sa fille, peut-être.

L’animateur me labourait toujours dans le vide de sa queue qui avait débandé immédiatement, en continuant de lécher le périnée de la belle brune, le nez entre ses deux lobes bronzés – sans doute faisait-il semblant de me baiser juste pour continuer son festin de roi. Nos langues se touchaient de temps à autre, se mêlaient sur les atours délicieux de Laëtitia, qui nous regardait, comme une araignée peut regarder deux mouches se débattre dans sa toile, souriante, haletant discrètement.
Mon violeur vint se tenir debout devant elle, espérant qu’elle le sucerait. Elle sourit plus largement encore, et se releva.

- Coralie, nettoie le sexe de ces messieurs.

Le rouquin sourit et me fit rouler sous lui. Mon violeur se tint debout au-dessus de moi, et l’animateur le rejoignit, queue dans la main. Je me mis à genoux, fermais les yeux, et nettoyai les deux sexes enduits de sperme. Je m’attardai sous les plis de chaque gland, et récupérai la semence mêlée d’excréments jusque dans les poils de mon violeur. Les bites enflèrent à nouveau sous mes coups de langue et mes pincements de lèvres, je fis donc ce qu’on attendait de moi. Je les suçai tour à tour, branlant avec agilité les deux sexes dressés. L’animateur vint très vite, aspergeant mon visage de sperme presque transparent. Mon violeur mit plus de temps à craquer sous mes caresses insistantes, je l’enfournai au fond de ma gorge et l’aspirai littéralement, en me masturbant comme une damnée, la main sur mon sexe rasé, le suppliant de m’éjaculer sur le nez, ce qu’il finit par faire dans un râle rauque.

Laëtitia me tapota la tête.

- C’est très bien, Coralie. Tu es une bonne petite pute! Penche-toi, je ne veux voir que ton cul.

Je pleurai à nouveau, je tremblai de peur.

- S’il vous plaît, je vous en supplie…

Un coup de baguette me fouetta les seins.

- Obéis, ou je double le tarif!

Je m’enfouis la tête dans les bras, cul en l’air, chatte au grand jour, seins plaqués contre le sol, en pleurant convulsivement. Les cinq coups tombèrent, sévères, intransigeants, me zébrant le cul d’une morsure brûlante, plus difficile à supporter à chaque fois qu’ils s’abattaient.

Laëitia me caressa le cul affectueusement.

- C’est très bien, douce Coralie. Tu as été très obéissante. Tu peux rejoindre ton mari. Venez Messieurs.

Je les entendis sortir du buisson. Je restais là, cul en l’air, pleurant toutes les larmes de mon corps.
La salope. J'étais bien décidée à lui faire payer cette humiliation et chacun des coups qu’elle venait de me donner au centuple !

A suivre...

jeudi 21 janvier 2021

Diane de Grand Lieu. Episode 1. Chapitre 03

 Bande dessinée de Hanz Kovacq (Bernard Dufossé)













A suivre...

mardi 19 janvier 2021

Domination familiale Ch. 04

Récit de Géronimo.

Le jardinier et la dominatrice.

Diop Bassari rentra dans le jardin de la demeure des Guillet de Saint-Hilaire en espérant que Madame n’avait pas remarqué son retard. Mme Guillet de Saint-Hilaire est très stricte sur les horaires. D’ailleurs, Sophie Guillet de Saint-Hilaire ne rate jamais une occasion de rabrouer son jardinier. D’origine Sénégalaise, il a plusieurs fois tenté d’être régularisé mais jusqu'à présent la Préfecture de Bordeaux a toujours refusé de lui délivrer une carte de séjour. C’est un miracle qu’il n’ait pas encore été expulsé. Sophie Guillet de Saint-Hilaire le sait et en profite pour lui donner un salaire de misère.

Il prit la pelle et commença à ramasser les feuilles mortes qui jonchent le sol puisque, c’est bien connu, les feuilles mortes se ramassent à la pelle. .Il aperçut par la grande baie vitrée Ambre, la fille de Sophie et Jean-Yves Guillet de Saint-Hilaire, et fut étonné de la voir habillée d’une jupe noire si courte qu’elle frise l’attentat à la pudeur et d’un tablier blanc, comme une domestique ! Curieux, il s’approcha discrètement pour observer ce qu’il se passait dans le salon. Il comprit qu’Ambre faisait le service, ce qui l’étonna encore plus. Jean-Yves est assis sur une chaise et semble parler avec un homme qu’il ne connaît pas ainsi qu’une autre jeune fille qu’il ne connaît pas non plus. Il se dissimula derrière un arbre, continuant à épier ses employeurs. Il aurait donné n’importe quoi pour entendre ce qu’il se disait dans le salon.

Christian Panaris était arrivé dans la matinée. La veille, il avait ordonné à Jean-Yves et Sophie de ne pas se rendre au travail les voulant chez eux à disposition. Il est arrivé accompagné d’une jeune fille d’une vingtaine d’années avec un regard dur, froid. Elle est vêtue d’un pantalon moulant coincé dans des bottes à hauts talons. Elle observe Ambre, habillée en soubrette, avec un regard rempli de méchanceté et Ambre en a frémi d’angoisse. Elle aussi a eu interdiction de se rendre à la Fac.

Il est presque midi et Maître Panaris lui a demandé, ordonné serait plus juste, de servir l’apéritif. Elle déambule donc dans le salon, juchée sur ses talons aiguilles, servant un whisky à Panaris, qui la remercie tout en glissant une main sous sa jupe vérifiant par la même occasion qu’elle ne porte pas de sous-vêtements. Un doigt s’aventure dans sa fente et elle pousse un gémissement.

- Quelle salope ! Je vais la mater la bourge. Murmure la jeune fille.

Maître Panaris se tourna vers celle avec qui il est arrivé. 

- Commencez donc ma chère Katia.

Katia se leva et se dirigea vers Ambre, toujours explorée par Maître Panaris. Katia opère dans le quartier chaud de Bordeaux. Prostituée depuis 5 ans, elle a commencé jeune, elle a déjà une longue expérience. Elle a failli tomber pour racolage sur la voie publique mais, la encore, Maître Panaris lui a évité la prison. Son « fiancé » lui, est tombé pour proxénétisme aggravé. Il faut dire qu’il avait une fâcheuse tendance à « malmener »un peu les filles qui ne voulait pas travailler pour lui. Katia était chargée de la formation des nouvelles recrues et elle n’était pas particulièrement tendre.

Elle attrapa Ambre par les cheveux et l’emmena vers le canapé. Elle la força à se mettre à quatre pattes dessus, lui relevant sa jupe dévoilant son cul. Elle lui donna une claque sur les fesses la faisant couiner. 

- Reste dans cette position !

Katia se dirige vers Maître Panaris et prend le sac qu’elle a apporté avec elle. Elle en sort des godes de toutes tailles, des colliers, des laisses, des tenues sexy et provocantes. 

Maître Panaris a sorti un caméscope qu’il tend à Jean-Yves.

- Tu vas filmer, ça te fera des souvenirs pour plus tard, lâcha-t-il en éclatant de rire.

Jean-Yves se leva et, humilié, pris le caméscope et commença à filmer la déchéance de sa fille.

Diop n’en reviens pas de voir Ambre à genoux sur le canapé, le cul à l’air, fessée par cette fille pendant que son père filme la scène. Même dans ses rêves les plus fous il n’aurait pas imaginé ça : Ambre de Saint-Hilaire humiliée de cette façon, elle si arrogante d’habitude.

Machinalement, il commence à se caresser à travers son jeans qui moule ses attributs virils. Il se caresse de plus en plus en vite et n’en pouvant plus, il sort son sexe aux dimensions impressionnantes . Il empoigna sa queue et commença à se masturber se demandant ou était Sophie de Saint-Hilaire.

Sophie Guillet de Saint-Hilaire sortit de sa chambre et descendit l’escalier menant au salon. Quand il est arrivé, Maître Panaris lui a immédiatement donné des instructions sur les vêtements qu’il souhaite qu’elle porte aujourd’hui. Une guêpière rouge avec des bas coutures et des talons aiguilles rouges. Comme une pute, a songé, horrifiée, Sophie de Saint-Hilaire. 

Elle arrive dans le salon et étouffe un cri en découvrant sa fille Ambre, à genoux dans le canapé, le cul rougi à force d’avoir été fessée par cette jeune fille qu’on ne lui a pas encore présenté. Mais le plus humiliant c’est que son mari filme la scène avec un caméscope !

Katia s’arrête de frapper le cul d’Ambre et s’approche d’elle, un rictus aux lèvres. Elle lui malaxe les seins, les sortants des balconnets de la guêpière. 

- Ta fille est une sacrée salope, Maître Panaris m’a dit que t’était pire, espèce de chienne ! Une bourgeoise en chaleur !

Sa main se faufile vers sa chatte et elle lui introduit deux doigts dans son vagin les faisant coulisser rapidement. A sa grande honte, Sophie réalise qu’elle commence à mouiller. Katia lui donne une claque sur les seins la traitant de cochonne. Elle lui passe un collier à pointes autour du cou avec une laisse en cuir qui pend entre ses seins. Elle fait de même avec Ambre. 

Puis, les tenants en laisse, elle les force à se mettre à quatre pattes sur le sol froid du salon et leur demande d’avancer vers Maître Panaris. Elle a sorti une badine et leur tanne le cul en alternant. Les cris des deux femmes résonnent dans la maison. Jean-Yves filme toujours tout en tentant de dissimuler l’érection qui déforme son pantalon. Maître Panaris a sorti son sexe, gonflé à bloc et se masturbe. Katia ordonne aux deux bourgeoises avilies de le sucer et elles s’exécutent soumises.

Diop, maintenant quasiment collé à la vitre, ne peut plus se retenir et il accélère son mouvement du poignet. Il pousse un cri rauque en éjaculant sa semence. Son sperme va s’étaler sur la baie vitrée. Il réalise soudain que l’homme qui se fait tailler une pipe par Sophie et Ambre lui fait de grands signes de la main, l’invitant à rentrer.

Diop poussa timidement la porte-fenêtre rentrant dans le salon.

- N’ayez pas peur, rentrez ! lui dit Panaris tout en appuyant sur la tête de Sophie pour enfoncer sa bite encore plus loin dans sa bouche.

Elle émet un râle de protestation puis un cri de douleur étouffée par la matraque de chair qui coulisse entre ses lèvres. Katia vient de lui fesser le cul. Elle a enfoncé un gode dans la chatte d’Ambre qu’elle fait coulisser. Elle s’arrête par moment pour obliger Ambre à branler la queue de Panaris et lui téter le gland ou lui lécher les couilles pendant que sa mère continue sa fellation. 

Sur un signe de Panaris, Katia relève Ambre et, toujours à quatre pattes, la contraint à avancer vers Diop qui a de nouveau sorti sa bite d’ébène. Ambre, impressionnée, regarde l’énorme machin qui se dresse entre les cuisses du jardinier qu’elle s’amuse parfois à allumer. Y faut dire que Diop est physiquement très impressionnant. Très grand, un corps musclé, le crane rasé, un regard étonnant. Elle trouve qu’il ressemble à ce journaliste qui présente un magazine d’information avec une jolie blonde le dimanche soir. 

Diop dirige son pénis vers la bouche d’Ambre qui rechigne à l’ouvrir se disant qu’elle ne pourra plus respirer. Katia lui donne un coup de badine et elle entrouvre la mâchoire. Aussitôt, Diop plonge dedans avec un soupir de satisfaction. Quelle vengeance de pouvoir se faire faire une pipe par Ambre Guillet de Saint-Hilaire ! Et il espère bien pouvoir faire de même avec sa mère. Le contraste entre cette bite noire qui s’enfonce entre les lèvres blanches est saisissant. La pauvre Ambre, la tête tenue par Katia, suce la queue de Diop en réprimant une nausée.

Sophie Guillet de Saint-Hilaire, la mâchoire distendue par la queue de Panaris, s’active, salivant sur le membre épais qui coulisse entre ses lèvres. Son mari filme toujours en gros plan comme lui a ordonné Christian. Il s’arrête parfois pour aller filmer sa fille Ambre qui administre une fellation à leur jardinier.

Katia a demandé à Jean-Yves de se déshabiller et il est tout nu maintenant. Caméra au poing, bite dressée. Ce qui trouble profondément Sophie. Se pourrait-il que son époux soit excité par cette situation ?

Panaris redresse Sophie et l’entraîne vers le milieu du salon ou il lui demande de se mettre à quatre pattes. Il s’approche d’elle par-derrière, la queue entre les mains et s’introduit dans son vagin. Les mains crispées sur ses hanches, il commence à la besogner comme un fou, son ventre claquant contre ses fesses. Voyant cela, Katia, jamais à cours d’imagination, prend Jean-Yves en le tenant par son sexe et l’entraîne devant le visage ravagé de Sophie.

- Suce ton mari, salope !

Docile, elle penche la tête et avale le membre de son époux. Lui enroulant sa langue autour du gland, le pompant avec frénésie pendant que Christian Panaris, voyant cela, lui donne des coups de reins de plus en plus violent. Il lui donne des claques sur les fesses tout en la limant, la traitant de sale pute devant son mari qui donne des coups de reins pour s’enfoncer entre ses lèvres tout en continuant de filmer.

Ambre sentit que Diop allait jouir et elle s’activa sur la grosse bite du Sénégalais espérant en terminer rapidement. Mais le jardinier ne l’entendait pas de cette oreille . Il la repoussa et l’amena également au milieu du salon, à côté de sa mère. Elle fut positionnée de la même façon mais Diop préféra commencer par l’enculer. 

Quand elle sentit l’extrémité de sa queue se présenter devant l’ouverture de ses reins, Ambre Guillet de Saint-Hilaire sentit une coulée de sueur froide le long de son dos et elle poussa un hurlement. Katia lui enfourna aussitôt un mouchoir roulé en boule dans sa bouche étouffant ses cris et ses supplications. Diop plaça sa queue devant le petit trou et poussa. Sa bite força l’ouverture, le sphincter céda et il s’introduisit d’un coup dans le trou du cul d’Ambre qui poussa de nouveau un hurlement étouffé par le bâillon.

Le Sénégalais la pilonnait, faisant sauter ses fesses sous ses coups de boutoir. Il s’amuse à retirer et à replonger sa bite dans le cul de la pauvre Ambre la faisant crier à chaque fois. Bientôt, la bite coulissa parfaitement dans l’étroit orifice et Ambre n’eut plus mal.

Cela donna des idées à Panaris qui fit de même avec Sophie. Elle poussa également un hurlement quand il la sodomisa. La bouche ouverte, haletante, en sueur, elle subit son supplice en poussant des gémissements. Jean-Yves, écœuré par ce spectacle, voulut arrêter de filmer mais Katia le fessa avec la badine visant adroitement en lui donnant un coup sur ses couilles. Ce qui le fit hurler de douleur.

Une idée terriblement perverse traversa alors Katia. Elle demanda à Diop d’arrêter d’enculer Ambre et il se retira à regret. Katia obligea Jean-Yves à se mettre derrière sa fille et à la baiser ! Jean-Yves voulut protester, que c’était impossible, mais sous les coups de badines de Katia, il s’exécuta. Prenant sa fille aux hanches, il s’introduisit dans son vagin et commença à bouger, lui donnant des petits coups de reins. Puis, mécaniquement, il commença à la pilonner de plus en plus fort arrachant des gémissements à Ambre, a qui on a retiré son bâillon. Elle a la bouche ouverte sur un cri silencieux, Jean-Yves réalise qu’elle mouille, il coulisse de plus en plus rapidement.

Maître Christian Panaris, qui s’est arrêté également d’enculer Sophie, filme avec le caméscope. Katia oblige Sophie à venir devant sa fille et à l’embrasser pendant qu’elle se fait prendre par son père. Leurs langues s’emmêlent et rouge de honte, Sophie doit caresser les seins de sa fille, lui sucer les tétons. Jean-Yves continue de besogner sa fille en soufflant, la sueur au front.

Pendant que Sophie suçait toujours les seins de sa fille, Diop fit le tour, et solidement accroché à ses hanches, il la pénétra lui donnant de furieux coups de reins. Ses gros seins ballottent dans tous les sens sous les coups de queues de Diop. Elle pousse un gémissement . Katia lui appuie sur la nuque pour qu’elle continue d’embrasser sa fille a pleine bouche. Maître Panaris continue de filmer se régalant du spectacle qui s’offre à lui.

Jean-Yves sortit précipitamment de sa fille et éjacula, lâchant des traînées de sperme sur son dos, un jet puissant atteignit même son épaule.

Diop se retira également mais Katia, pleine d’à-propos, lui dit de se placer devant le visage d’Ambre et Sophie Guillet de Saint-Hilaire, il y fut rejoint par Panaris qui se masturba au-dessus de ses deux proies. Il éjacula le premier, sa semence gicla allant s’écraser sur le visage de Sophie, coulant sur son nez, s’écrasant sur ses lèvres. Diop lâcha son sperme sur le front d’Ambre, des filaments poisseux coulèrent dans ses yeux l’aveuglant.

Diop et Maître Panaris sont en grande discussion. Katia a emmené Sophie et Ambre prendre une douche et à entendre les cris qui proviennent de la salle de bain, Katia en profite pour leur faire subir quelques sévices dont elle a le secret. Panaris s’approche de Jean-Yves qui regarde le film qu’il a été contraint de tourner et que Panaris lui a demandé de visionner sur l’ordinateur.

- Mon nouvel ami, Diop, me propose une idée intéressante. Beaucoup de ses cousins travaillent sur un chantier pas très loin d’ici. Ils n’ont pas souvent l’occasion de se vider les couilles. Qu’en penses-tu ?

Jean-Yves ne répondit pas, cela ne s’arrêtera donc jamais ? 

A suivre...