dimanche 26 juillet 2020

Une randonnée qui tourne mal.

Traduction d’un texte de « okguy4romance ».

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Nous faisons de la randonnée dans le parc national des Rocheuses au Colorado. Pour la première fois depuis de nombreuses années, nous avons pu nous échapper de la maison et des enfants pour des vacances rien que nous deux.

Il y a juste ma femme Sara et moi sur la piste. Nous n’avons vu personne depuis quelques heures. Nous commençons à nous taquiner.  Je ne peux garder mes mains dans les poches alors que je regarde son cul sexy grimper devant moi. 

Nous sommes tous les deux dans la trentaine et toujours en bonne forme. Sara est une petite brune avec de jolis seins et un cul bien ferme qu’elle travaille tous les jours dans une salle de gym.

Durant les derniers kilomètres, je la supplie de me donner un aperçu de ce qui se trouve sous son short moulant qui ne couvre pas grand-chose. Mais elle commence à se fâcher après moi qui lui touche le cul trop souvent.

Nous arrivons à une belle cascade isolée et nous décidons de nous arrêter un peu pour profiter de la vue et faire une petite pause. En insistant un peu plus, j’arrive finalement à la convaincre de me donner un aperçu. Assise sur un gros rocher, elle se lève, se tourne et commence à tirer son short lentement. Dès qu’elle l’a au-dessous de ses fesses, je bondis. Rapidement j’enroule mes bars autour d’elle pour l’empêcher de remonter son short. Je lui tire les bras dans le dos et je les tiens d’une main tout en la penchant sur le rocher devant elle. Elle crie et me demande de la laisser partir. Au lieu de l’écouter, j’écarte ses jambes avec mes pieds tandis qu’elle continue à se tortiller. Puis je glisse ma main libre entre ses jambes et je commence à titiller son clitoris. Je peux dire qu’elle aime ça malgré ses protestations, car elle devient de plus en plus humide.

Finalement elle abandonne le combat et me dit d’en finir rapidement. En l’entendant, je relâche ma prise sur ses bars pour lui permettre de bien se caler avec ses mains. Puis je soulève sa chemise pour pouvoir jouer avec ses seins. J’ai une main qui taquine ses mamelons et l’autre dans sa chatte.

Je ne plus attendre et je libère ma bite palpitante de mon short. Je bande plus fort que jamais ces dernières années. Pressé de sentir l’étreinte chaleureuse de sa chatte humide, j’enfouis ma bite en elle aussi vite que possible.

Nous gémissons tous les deux bruyamment alors que je commence à entrer et sortir d’elle avec passion. Je suis si excité que je ne peux pas me contrôler. Je veux jouir aussi vite que possible. Je continue mon assaut sur sa chatte et rapidement je sens mes boules commencer à se resserre. Je suis sur le point d’exploser en elle. Avant que je ne m’en rende compte, mon corps se contacte et mon sperme gicle dans son ventre. Dès qu’elle me sent éjaculer, un orgasme la frappe et elle crie alors que son corps se met à trembler.

C’est à ce moment précis, où nous étions tous les deux en train de jouir qu’ils sont sortis de buissons et que nous les avons vus. Ils sont deux, deux gars au début de la vingtaine. Il est évident qu’ils s’entraînent tous les jours, car ils sont très musclés et semblent en pleine forme.

Sara et moi sommes complètement surpris. Rapidement nous nous séparons pour remettre nos vêtements. Nous nous excusons et commençons à partie quand Sara remarque que l’un d’eux a son téléphone pointé sur nous.

- Vous nous filmez ? Demande-t-elle nerveusement.

- Nous avons une superbe vidéo. Répond celui qui tient le téléphone, un grand sourire sur son visage.

- Je pense que c’est à notre tour de nous amuser. Déclare l’autre.

Ma femme, visiblement énervée contre moi et les deux gars lui répond :

- Sûrement pas. Supprimez cette vidéo et nous partirons.

Steve, celui qui tient le téléphone rit et dit :

- Nous ne supprimerons pas la vidéo tant que nous n’aurons pas obtenu ce que nous voulons. Et pour le moment nous voulons notre tour avec vous.

Au bout de quelques minutes de discussion avec Sara te moi, il est évident qu’ils ne renonceront pas à leur demande. Ma femme accepte de les branler s’ils suppriment le film ensuite. Ils acceptent et se dépêchent tous les deux de baisser leur pantalon. 

Ma femme a toujours eu des pratiques sexuelles très simple si bien qu’elle a toujours été considérée comme un peu prude. C’est donc une surprise pour moi quand elle tombe à genoux et attrape leurs deux bites pour commencer à les caresser.

Pour ma part j’ai une bite de taille normale de 15 centimètres et d’épaisseur moyenne. Mais ces deux gars ont des grosses queues. Celle de Steve doit bien faire 22 centimètres de long et celle de David 20 centimètres. Elles sont toutes les deux très épaisses. Sara n’arrive pas a en faire le tour avec ses doigts.

Elle continue à caresser les deux mecs, manifestant de plus en plus d’impatience à les voir rapidement jouir. Mais les deux hommes commencent à se plaindre et assurent qu’ils ne pourront pas jouir d’une simple caresse. Ils ajoutent qu’ils ne pourront pas respecter leur part du marché s’ils ne jouissent pas.

Sara me regarde et me dit timidement :

- Je suis désolé, mais il faut que cette vidéo disparaisse.

Elle se tourne vers les gars et prend rapidement la bite de Steve dans la bouche. Elle laisse tomber le sexe de David et commence à caresser celui qu’elle suce tout en bougeant la tête de haut en bas. J’ai toujours aimé regarder quand elle me faisait une fellation, mais pour le moment je suis un peu perdu, ne sachant que ressentir. Elle s’applique de plus en plus, essayant désespérément le faire jouir.

Comme elle ignore David, celui-ci commence à la toucher. Il tripote ses seins, mais elle essaie toujours de lui écarter les mains. Elle échoue, car il réussit à poser sa main dans son chemisier et à lui pincer le mamelon. Elle pousse un cri, car elle adore que l’on joue avec ses tétons. L’autre main de David descend sur son cul. Il lui demande de lui laisser baisser son short. Elle ne dit rien, car elle est trop occupée à essayer de faire éjaculer Steve. Son short disparaît en un clin d’œil. Il est évident qu’elle est encore mouillée, car je peux voir scintiller entre ses jambes.

Son short retiré, je vois David qui déplace sa main vers son cul et sa chatte.. Elle commence à gémir bruyamment alors qu’il introduit des doigts dans son sexe. Elle a toujours la bite de Steve profondément enfouie dans sa gorge.

Sara décide de sortir la queue de Steve  de sa bouche, puis elle la caresse frénétiquement en le suppliant de jouir pour elle. Le gars ne répond rien et se contente d’attraper sa tête et d’enfoncer son sexe dans sa bouche en lui disant de ne pas s’arrêter. David dit alors :

- Tu es notre salope maintenant. Si tu veux que cette vidéo soit supprimée, tu vas faite tout ce que nous demandons. Ou alors, elle sera mise en ligne sur internet.

Sur ces mots, ma femme accélère le rythme sur la bite de Steve. Je peux l’entendre grogner et gémir en même temps. Elle n’a jamais eu personne auparavant qui jouait avec sa chatte pendant qu’elle faisait une fellation. Clairement, ça l’excite au plus haut point et elle pousse ses hanches sur les doigts de David.

- Je suis fatigué d’attendre ! Dit celui-ci en se déplaçant derrière Sara pour la mettre à quatre pattes.

Ma femme réalise ce qu’il va se passer et essaie de s’éloigner. Mais David l’arrête et la maintient en place. Steve également lui tient la tête pour qu’elle reste immobile. Il commence alors à lui baiser la bouche d’une manière assez brutale. Il lui dit :

- Plus vite nous jouissons, plus vite ça sera fini !

A ce moment, David donne un coup de rein et je vois ma femme prendre la plus grosse bite de sa vie dans sa chatte. David et Sara gémissent de concert alors qu’il s’enfonce profondément. Pour la première fois de sa vie, elle a deux bites en elle en même temps. David reste un instant immobile pour qu’elle s’adapte. Mais après une minute, il commence à la baiser tout en lui claquant les fesses. Sara sort la bite de Steve de sa bouche et se déplace pour être en meilleure position pour que David la pilonne sauvagement.

Il ne faut pas longtemps avant qu’elle ait un orgasme. Son corps commence à trembler et elle s’effondre au sol en gémissant plus fort que je ne l’ai jamais entendu. Elle me regarde avec à la fois, honte chagrin et extase absolue dans les yeux. Je peux dire qu’elle aime ça, mais j’ai du mal à l’admettre.

Pendant qu’elle me regarde, David commence à jouir. Il grogne et se met à trembler. Il semble que sa jouissance dure pendant de longues minutes alors qu’il gicle jet après jet de sperme dans sa chatte. Quand finalement il s’arrête et se retire, je peux voir le foutre couler de la chatte de ma femme et tomber sur ses jambes. Il brille au soleil.

Il ne faut pas longtemps pour que Steve prenne la place de David derrière Sara. Ma femme est trop excitée à ce stade pour protester. Le gars place son gland à l’entrée de sa chatte. Quand elle le sent, elle recule pour s’empaler sur le gros sexe. Puis elle tourne la tête et me supplie de jouir en elle. Elle est complètement hypnotisée par ce qu’il se passe. Toutefois Steve veut qu’elle le chevauche. Alors il se retire et s’allonge par terre. Sara l’enfourche et glisse sur son sexe. Elle commence à rebondir de haut en bas sur la queue pendant que l’homme joue avec ses mamelons.

Pendant qu’elle baise son copain, David m’apporte le téléphone qui contient la vidéo et me laisse la supprimer. 

Dès que je l’ai fait, je le dis à ma femme, mais elle ne s’arrête pas. Elle n’arrête pas de rebondir tout en gémissant. Il ne faut pas longtemps avant qu’elle jouisse à nouveau et s’effondre sur Steve. Comme elle ne bouge plus, le gars prend l’initiative et donne des grands coups de rein. Avec la chatte de Sara qui enserre sa bite, il jouit lui aussi peu après. Elle s’enfonce au maximum sur lui en le suppliant de lui donner chaque goutte de son sperme.

Quelques minutes plus tard, Steve se dégage et laisse ma femme allongée sur le sol. Rapidement il s’habille tout comme David et tous les deux repartent sur le sentier de randonnée.

Finalement, Sara réussit à se relever et à s’habiller. Nous retournons à notre voiture à cinq kilomètres de là. Aucun de nous ne parle sur le chemin du retour. Nous sommes incapables de comprendre ce qui vient de se passer.

FIN

samedi 25 juillet 2020

Femmes offertes

Toutes les femmes qui suivent sont soumises à leur mari. Elles leur obéissent au doigt et à l’œil, même si elles doivent être humiliées.

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Quand il veut punir Géraldine, François son mari l'envoie s'exhiber pas loin de chez eux, dans un chemin de campagne. 

Elle doit porter son collier de chienne, ouvrir son chemisier pour exposer ses gros nichons, écarter les jambes et remonter sa robe pour exposer sa chatte de salope.

Quelques paysans du coin sont habitués aux exhibitions de Géraldine. ils s'arrêtent parfois pour la tripoter, tirer sur ses tétons pour faire bouger ses mamelles. Ils ne se gênent pas pour la doigter étant donné qu'elle n'a pas le droit de se plaindre et qu'elle doit se laisser faire.

Souvent elle se retrouve à quatre pattes, en train de sucer une bite alors qu'une autre martèle sa chatte ou son cul.

Quand elle rentre chez elle, couverte de foutre, elle doit attendre l'autorisation de son mari pour pouvoir entrer dans la maison. Elle doit lui raconter les heures passées et si François estime qu'elle a été assez humiliée et souillée, la punition est terminée.












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Georgette est mariée depuis 40 ans avec son mari Fernand. Dès le début du mariage, il l'a complètement soumise.

Elle est fière et hautaine, une vraie bourgeoise de bonne famille. Alors pour la rabaisser, Fernand lui ordonne certaines fois d'aller s'exposer le soir sur un banc sur les bords de la rivière qui longe leur habitation.

Elle doit s'asseoir, ouvrir sa robe afin d'afficher ses seins, sa chatte et ses jambes gainées de bas noir. Elle doit écarter les jambes et attendre.

La dernière fois, trois jeunes passaient par là. l'un d'eux lui demanda :

- Bonjour Madame, que faites-vous ?

Elle répondit : 

- Mon mari me met à la disposition de tous ceux qui veulent profiter de moi. Je dois obéir sans conditions.

Aussitôt les trois jeunes se mirent à la tripoter. ils claquèrent ses seins et ses grosses cuisses. Ils tordirent ses seins, puis ils s'amusèrent à enfoncer dans sa chatte un gros bâton trouvé sur le sol.

Georgette subit ces sévices en gémissant, mais sans se plaindre. Puis elle dut sucer les trois jeunes à genoux sur la gravier du sentier. Ils éjaculèrent dans sa bouche et elle avala docilement.

Avant de partir, les jeunes marquèrent leur numéro de portable sur sa poitrine avec le message suivant : "Bonne grosse salope, appelez nous si vous voulez qu'on l'encule."


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Francine est mariée depuis trente ans avec Christian. Pour ne pas se retrouver à la rue, elle a appris à lui obéir sans rechigner.

Christian adore attacher ses gros seins et il adore encore plus l'humilier en la forçant à faire de l'exhibitionnisme. 

La dernière fois, il l'a emmené à la  campagne dans un pré et il lui a demandé de poser nue et d'attendre. Derrière la haie, se trouvait un camp de gitans.

Bientôt, quatre d'entre eux arrivèrent et interpellèrent Christian :

- Hé Monsieur, qu'est-ce que c'est, qu'est que vous faites ?

- J'oblige ma femme à m'obéir ! Comment la trouvez-vous ?

- Oh ! elle est bien en chair, avec un gros cul et de jolis seins. Et elle vous obéit bien ?

- Oui, elle est bien dressée. Vous voulez que je vous montre ?

- Oui bien sûr !

- Salope ! A genoux et suce ces messieurs !

Francine s'agenouille alors que les quatre hommes s'approchent d'elle. Elle défait leur pantalon et sort leur bite. Elle fait la grimace devant l'odeur des queues mal lavées. Mais elle commence à leur faire une fellation l'un après l'autre. ils ne mettent pas longtemps à vider leur foutre dans sa bouche. Elle regarde son mari et avale en faisant la grimace.

Mais il semble que cela ne suffise pas aux gitans. L'un d'eux demande à Christian :

- Je recommence à bander ! Nous pourrions peut-être baiser cette salope ? Dit-il en regardant le mari.

Christian regarde sa femme qui l'implore du regarde de ne pas les laisser faire et acquiesce de la tête. Les gitans se jettent sur la femme, l'allonge par terre. l'un d'eux se couche sur elle et l'empale sans avertissement. Les autres présentent leurs queues à sa bouche pour qu'elle recommence à les sucer.

Francine sera baisée sans ménagement pas les quatre gitans sous le sourire vicieux de son mari. Elle sera même mise à quatre pattes et enculée par l'un d'eux. Ensuite elle devra nettoyer leur bite crasseuse.

Elle rentrera à la maison encore plus obéissante et soumise à Christian.


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Christiane, avocate, a pris l'habitude que son mari Eric l'emmène dans des endroits à voyeurs.

Ce soir, il lui a demandé de laisser son chemisier dans la voiture et d'avancer dans les bois, dans le noir avec pour seule lumière les phares de la voiture.

Bientôt, elle se retrouve face à un homme âgé de soixante ans environ qui lui dit :

- Bonjour ma petite dame. Vous avez autre chose à montrer ?

Humiliée, un sourire forcée sur le visage rougissant, elle relève sa jupe sans rien dire. L'homme voit ses jambes habillées de bas noir et sa chatte exposée. Il dit alors :

- Mais quelle belle salope !

Il s'avance, met une main sur un sein et descend l'autre sur la chatte offerte. Il pince un téton et introduit facilement un doigt dans l'antre intime de l'avocate. Il ordonne alors :

- Embrasse-moi !

Christiane obéit et place sa bouche sur celle du sexagénaire. L'homme introduit sa langue dans la bouche offerte et la tourne autour de celle de la soumise. Il pince fort le mamelon et doigte maintenant avec deux doigts la chatte de l'avocate qui commence à gémir.

Puis il stoppe l'embrassade et appuie sur les épaules de la femme pour qu'elle s'agenouille. Ils sort sa bite et ordonne :

- Les mains dans le dos ! Suce-moi !

Rouge de honte, Christiane engouffre le sexe ridé du vieillard. Bien qu'il soit âgé, l'homme a toujours de la vigueur et sa bite prend bientôt une proportion assez énorme. Et comme il trouve que la femme ne s'applique pas assez, il met ses mains derrière sa tête et baise sa bouche comme il le ferait d'une chatte. L'avocate étouffe plusieurs fois sous les coups de bites du vieux. Puis celui-ci donne une dernier coup de rein en tenant la tête de la femme près de son aine et se vide directement dans sa gorge. 

Christiane ne peut qu'avaler le foutre chaud et gluant de l'homme. Quand il la relâche, il lui faut un bon moment pour reprendre son souffle. Le vieux range sa bite et lui dit avant de s'éloigner :

- Merci Maître N. , je passerai peut-être un jour à votre cabinet.

L'avocate est surprise et complètement humiliée. Elle retourne à la voiture et raconte à son mari qu'elle a été reconnue. Eric se borne à dire :

- Pas grave ! Une salope comme toi devrait bien arriver à s'occuper d'un petit vieux.



Les Infortunes de l'infirmière Ch. 05

Les Infortunes de L'infirmière - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte

Gang bang à domicile.

Cynthia arriva chez elle à la nuit tombée, tout aussi épuisée physiquement qu'émotionnellement. Elle commença par sauter sous la douche pour se laver consciencieusement. Elle avait décidé de ne révéler à personne ce qui lui était arrivé. Non seulement ce serait très humiliant, mais de plus il y avait trop de témoins qui clameraient sa participation volontaire pour qu'on puisse la croire. 

Ils la croiraient d'autant moins s'ils apprenaient combien de fois elle avait joui au cours de cette soirée. Elle pensait profondément que le mieux pour elle était de tenir secrète cette expérience hors du commun. Peut-être qu'un jour, lorsqu'elle aurait les idées claires elle serait capable de jeter un œil impartial sur ces événements, bien qu'elle en douta.

Satisfaite de sa douche, elle remplit sa baignoire d'une eau bien chaude et s'assit dedans pour se relaxer, après s'être nettoyée, elle voulait estomper sa lassitude et la douleur persistante de sa chatte et de son trou du cul.

Après un long bain relaxant, elle se releva et se drapa dans une chaude sortie de bain en flanelle. Elle réalisa alors qu'elle crevait littéralement de faim, elle gagna sa petite cuisine pour inspecter son frigidaire.

N'y trouvant pas grand chose à se mettre sous la dent, elle empoigna son téléphone, appela sa pizzeria favorite et commanda une pizza aux légumes. Elle se maudit alors en prenant son sac à main à la recherche de son porte-monnaie et se rappela alors qu'on lui avait dérobé le peu d'argent qu'elle avait sur elle.

Elle soupira et prit son carnet de chèque espérant que le livreur accepterait ce mode de paiement inusité pour une si petite somme. Une fois le chèque remplit Cynthia alluma la télé et s'assit devant. Elle n'était pas assise depuis plus de trois minutes lorsqu'on sonna à la porte.

- Bordel, ils sont drôlement rapides. Pensa -t-elle fugitivement en saisissant le chèque posé sur la table.

Elle avait pensé enfiler une robe avant l'arriver du livreur mais elle n'en avait plus le temps la sonnerie retentissait à nouveau. Je suis vêtue et il y a tant de monde qui m'a vu nue aujourd'hui que ce n'est pas un coup d'œil sur mes charmes, par les fentes de ma sortie de bain qui va me déstabiliser.

Cynthia déverrouilla la serrure et ouvrit la porte. Elle cria lorsque les deux hommes sur le palier la repoussèrent à l'intérieur. Elle les reconnut tout de suite, c'étaient les deux jeunes qui avaient pénétré dans le cabinet quelques heures plus tôt et l'avaient "violées" à couilles rabattues.

- Laissez-moi ! S'écria-elle se débattant pour échapper à leur étreinte.

La ceinture de sa sortie de bain sa délaça au cours de la lutte, elle se figea en voyant six autres jeunes ados pénétrer dans sa maison.

- Du calme Cynthia ! Intervint Sid le jeune bâtard aux cheveux blonds.

Voyant qu'elle n'avait aucune chance et que de plus chaque ruade la déshabillait un peu plus exposant ses charmes sous leurs yeux ravis, elle cessa toute résistance.

- Comment avez-vous appris où j'habitais ? Leur demanda-t-elle abasourdie.

Ken, le plus trapu lui tendit son permis de conduire, Cynthia se serait battue de ne pas avoir vérifié le contenu de son sac plus consciencieusement.

- On a trouvé ton adresse dans ton sac ! L'informa-t-il hilare.

- Quand on a dit à nos potes ce qu'on avait fait cet après-midi, ils n'ont pas voulu nous croire ! Aussi les a-t-on mené à ton bureau, mais le cabinet était fermé ! On a alors supposé que ton petit jeu au boulot avait pris fin, on a donc décidé de venir te faire une petite visite.

- Oh mon Dieu non ! Soupira Cynthia plus pour elle-même que pour ses visiteurs.

- Mais si ! Rétorqua Sid suavement en ouvrant sa robe de chambre.

En une seconde les huit gaillards l'entouraient, la maintenant allongée sur son sofa leurs mains rampant avec concupiscence sur son corps partiellement dénudé. Ils lui empaumèrent les nichons, lui pincèrent les tétons, et plusieurs doigts s'introduirent profondément dans sa chatte.

Elle ne pouvait s'empêcher de mouiller, son jus intime enrobait les doigts fouineurs de ses agresseurs qui la doigtaient fébrilement.

Ils la relevèrent et lui enlevèrent sa sortie de bain, puis ils la traînèrent dans sa chambre. Une fois jetée sur le lit Sid fut le premier à l'enfourcher, la labourant d'une bite impatiente. Cynthia se débattait bien qu'elle sache qu'elle n'était pas de taille à leur résister. Puis elle accepta son avec fatalisme et pria pour que cela se termine rapidement.

Sid lui martelait la chatte de violents coups de boutoir, elle le sentit nettement juter dans sa chatte mais resta passive. Lorsque Sid se retira, ils la saisirent et la disposèrent à quatre pattes sur son lit, puis une des nouveaux se posta dans son dos et lui fourra sa bite dans la cramouille.

Pendant ce temps, Ken s'allongeait sur le lit elle du se pencher pour le prendre en bouche et se mit à le sucer docilement. Tandis qu'elle se faisait baiser tout en suçant, elle sentait les mains des comparses ramper sur tout son corps.

Ken gémit juste avant de se vider au fin fond de sa gorge. Comme une pute expérimentée, Cynthia avala chaque jet de foutre qu'il expulsa dans sa bouche, un autre gars s'était déjà agenouillé face à son visage.

Sans même qu'on le lui demande, elle tourna la tête vers lui et ouvrit la bouche l'invitant à lui enfourner sa bite en pleine gorge, elle entama une nouvelle pipe.

Le gars posté dans son dos expulsa son foutre dans sa chatte et se retira à son tour, un troisième se mit en position poussant son chibre charnu dans sa moule détrempée.

Cynthia glapit en le sentant la pénétrer, elle supposa que son chibre mesurait un bon 25 centimètres de long, sans même le réaliser, Cynthia jeta son cul en arrière pour mieux s'empaler sur cette grosse bite. Sa chatte était en feu, son corps tremblait d'excitation alors qu'elle se faisait prendre par ce jeune homme.

Elle ne prêta aucune attention à la bite qui se vidait entre ses lèvres jusqu'au moment où elle sentit une dose massive de foutre lui emplir la bouche. Elle engloutit avidement tout ce qu'elle put de foutre avant qu'il n'extirpe sa bite de sa caverne fumante. Elle surprit tout le monde, jusqu'à elle-même en se mettant à hurler :

- Oh oui baise-moi..... baise-moi plus fort bordel de Dieu ! 

Ces mots excitèrent encore plus le jeune gaillard posté dans son dos qui accéléra le train. 

Cynthia, déçue, le sentit relâcher ses efforts, elle aurait voulu que sa bite reste dans sa chatte jusqu'au moment ou elle jouirait, mais il avait explosé trop vite dans sa foufoune.

Un grand gaillard efflanqué qui ressemblait à Sid l'avait empoignée. Cynthia l'avait enfourchée le chevauchant empalée sur sa bite. Elle tirait beaucoup de plaisir de ses coups de boutoir, elle avait l'intention de jouir avant qu'il en finisse avec elle.

Puis elle sentit quelqu'un grimper sur le lit dans son dos. Elle grogna en sentant un gland épais frotter contre son petit trou. Elle ne voulait pas se faire baiser par cette voie, mais en fait, elle n'avait pas le choix.

L'homme, dans son dos, pressa son gros champignon sur son œillet palpitant, la pénétra sans trop d'efforts et se mit à la baiser accordant son rythme sur celui de son pourfendeur de chatte. C'est alors que le huitième lui empoigna la tête pour lui fourrer sa bite en pleine bouche.

Elle sentait un orgasme tonitruant monter dans ses reins, la bite en bouche étouffait ses cris de plaisir alors que sa chatte exultait. Cynthia tremblait convulsivement, elle était au si prêt de jouir, qu'elle sentit à peine décharger les deux pines qui sur lesquelles elle était embrochée.

Elle ne commença à reprendre ses esprits que lorsque le jeune gars la baisant en bouche projeta son foutre au fin fond de sa gorge. 

C'est alors que tinta la sonnette de la porte.

- Qui cela peut-il bien être bordel de merde ! S'esclaffa Ken dérangé.

- Mes pizzas... Haleta Cynthia égarée.

- Va ouvrir la porte... Commanda Sid à Ken.

Cynthia resta allongée passive ; elle était coincée entre le désir de voir le livreur de pizzas découvrir ce qui lui arrivait espérant qu'il appellerait alors les flics, et ne pas l'alerter ce qui lui permettrait de continuer à se faire baiser allègrement par ces huit gaillards.

Ken revint dans la chambre et dit :

- Il faudrait donner un pourboire au livreur.

- Je crois savoir ce qu'il aimera vraiment !

Les huit gars éclatèrent de rire tout en empoignant Cynthia. Ils la traînèrent dans le salon, elle vit alors Timmy le livreur de pizza qui lui souriait. Cela faisait des mois qu'elle connaissait Timmy. C'était un bon gars au visage boutonneux. Elle savait qu'il sortait tout juste de son lycée ce dernier printemps et attendait la rentrée des classes supérieures du lycée local. Elle était à peu prêt certaine que ce jeune ado de 18 ans était encore vierge.

Elle rougit de honte en le voyant la toiser des pieds à la tête. Elle sentait la liqueur de ses agresseurs s'écouler sur ses cuisses, elle était sûre qu'il avait remarqué les filets de foutre marbrant ses cuisses.

- Tu vas donner à ce jeune homme un pourboire qu'il n'oubliera jamais ! Clama Ken hilare.

- Viens ici mon garçon... Elle va te tailler une pipe ! 

Timmy ne savait pas quoi faire, il se posta devant l'adorable jeune femme qui le regardait droit dans les yeux. Il ne parvenait pas à croire que cette somptueuse jeune femme était aussi salope, une salope qui visiblement se faisait partouzer par tous ces gars.

Et voila qu'ils le priaient de se joindre à eux. Timmy décida qu'il ne pouvait pas laisser passer cette occasion, il descendit sa braguette et extirpa son épaisse bite de 18 cm de son caleçon. 

Cynthia avait envie de hurler en voyant la bite de Timmy pointée sur sa bouche. Elle savait qu'elle le reverrait fréquemment, et voila qu'elle se voyait obligée de le sucer en le convainquant que c'était de son plein gré. Honteusement, elle se mit à genoux et entreprit de sucer sa dure bite tendue. Elle espérait qu'ils allaient refermer la porte d'entrée cessant ainsi de l'exposer aux yeux d'éventuels chalands.

En se mettant à sucer Timmy, elle entendit Ken, posté dans son dos, dire qu'il avait envie de la baiser. Il se mit à genoux et fourra sa grosse bite dans sa petite chatte engorgée de foutre. Cynthia rougit encore plus en voyant le regard satisfait de Timmy qui la regardait le suçant tout en se faisant baiser par un tiers.

Mais sa honte diminua rapidement alors que la bite de Ken l'excitait au plus haut point. Elle suça de plus en plus vite Timmy l'absorbant de plus en plus profondément dans sa gorge, bien vite elle sentit le sperme du livreur de pizza lui éclabousser le palais.

La bite de Ken avait frotté sur son point G à chaque intromission, elle commença à gémir la queue de Timmy toujours en bouche alors qu'elle jouissait sur la bite de Ken. Celui-ci alors son sperme au fin fond de son utérus et se retira.

Comme il ramenait en la traînant dans sa chambre, elle entendit Ken proposer à Timmy de revenir avec quelques amis pour se mêler à la fête, pour quelques dollars. Cynthia mourrait de honte à l'idée que Timmy allait raconter à ses amis qu'elle n'était qu'une prostituée.

Ils la jetèrent sur le lit, immédiatement un des ados l'enfourcha. Ils la grimpèrent l'un après l'autre la faisant rebondir d'orgasme en orgasme au gré de leur propre jouissance.

Puis elle vit que Timmy était de retour accompagné avec quatre copains travaillant comme lui à la pizzeria. Le fait qu'ils aient payé 25 $ pour la baiser la choquait au-delà de toute expression.

Timmy l'enfourcha et se mit à la labourer frénétiquement. Révulsée elle fixait, d'un regard hagard, sa face boutonneuse elle savait que sa réputation aux yeux du voisinage était vraisemblablement ruinée à jamais. Elle se faisait violer, et cependant elle savourait chaque instant de cette agression, et maintenant tous la considéreraient comme une vulgaire pute à 25 $ le coup.

Timmy entreprit de lui sucer les mamelons alors qu'il la pilonnait sauvagement, elle exulta une fois de plus. La sentant jouir sous ses assauts, Timmy perdit tout contrôle de soi et se vida pour la première fois les couilles dans une intimité féminine. Puis il se releva laissant un autre prendre son tour.

Cynthia fut baisée par les quatre nouveaux venus avant de subir à nouveau la plus épaisse des bites. La dernière fois qu'elle s'était occupée de lui c'était pour lui tailler une pipe, et voila qu'elle allait devoir le chevaucher. Elle l'enfourcha et se laissant tomber sur sa grosse bite érigée, avant même d'entreprendre sa chevauchée elle jouit.

Elle le baisa rapidement, profondément empalée sur sa bite, rebondissant d'orgasme en orgasme avant de s'évanouir sous l'intensité de son extase. 

Lorsqu'elle se réveilla, elle gisait nue et seule sur son lit. Les draps étaient souillés de sperme et de cyprine, elle comprit qu'ils avaient continué à se satisfaire en elle alors qu'elle était évanouie. Elle n'avait aucun moyen de savoir combien de temps ils l'avaient baisée avant qu'ils abandonnent.

Elle sortit de son lit et gagna sa salle de bain. Elle prit une douche faisant de son mieux pour effacer toutes les traces de son "viol".

Elle décida qu'elle ne pouvait rien faire d'autre, elle s'habilla pour se rendre au cabinet du docteur James résignée à lui remettre sa démission. Puis elle ferait ses valises et retournerait chez ses parents, et essaierait de retrouver un autre poste d'infirmière.

A suivre...

Souvenirs Ch. 02

Le dressage continue.

Assis sur le canapé, le pantalon descendu à mes pieds, ma bite molle reposant sur une cuisse je réfléchis. Mes rêves et fantasmes les plus fous sont en train de se réaliser. Depuis ma puberté, j'ai toujours eu des envies de domination. Je dois être un peu sadique car je ne perçois pas les relations sexuelles autrement qu'en dominant ma partenaire. Le pouvoir d'humilier et de commander m'excite.

J'ai eu un coup de chance. Le destin a mis sur ma route ma tante Nicole sur laquelle je viens de prendre l'ascendant. Actuellement elle est dans la cuisine en train de préparer le dîner. Elle est dans la même tenue que le jour de sa naissance, elle est complètement nue. Toutefois en 40 ans ses formes ont changé. Je la regarde s'affairer. Ses gros seins lourds ballottent et son gros cul est magnifique. Je la regarde et je recommence doucement à bander. Elle est si excitante ma tante.

Je me masturbe lentement en pensant à ma chance. J'ai eu vraiment peur de ne pas arriver à la soumettre mais je crois que la peur de la prison ou du déshonneur dans la famille a eu raison de sa résistance.

Elle est devant l'évier et j'ai une belle vue sur ses fesses. La queue raide, je me lève du canapé et je la rejoins. Je pense qu'elle sait que j'arrive derrière elle mais elle ne bouge pas. Je lève ma main et l'abat brutalement sur son cul.

- Aie! Crie-t-elle en s'écartant et en mettant une main sur sa fesse endolorie.

- Remets toi comme tu étais! Ordonné-je d'une voix qui n'admet pas la résistance.

Elle se replace devant l'évier mais garde la main sur sa fesse comme si ça suffisait à supprimer la douleur.

- Enlève ta main!

Après un instant d'hésitation elle m'obéit. J'ai frappé fort, ma main reste imprimée sur sa fesse, une belle marque rouge sur la peau si blanche. Je me déplace légèrement et je donne une grande claque sur son autre fesse. Cette fois-ci elle ne fait que crier et s'avancer sur le bord de l'évier en reculant les épaules, geste instinctif pour échapper à ma main.

Je continue à la fesser, pour mon seul plaisir. Ses fesses bougent au rythme de mes coups. Sa peau rougit. Maintenant elle pleure et me supplie :

- Snif, s'il te plaît Didier arrête... S'il te plaît, ça fait mal... s'il te plaît...

Je croie qu'elle en a assez. Je pose ma main sur son cul et je caresse ses fesses douloureuses. Sa peau douce m'excite, la rondeur de son cul m'excite.je descends ma main entre ses cuisses et je tapote l'intérieur en lui disant :

- Ecarte les jambes!

Elle renifle et obéit sans poser de questions. Je pense qu'elle a peur que je la fesse à nouveau. Ma main commence à s'aventurer plus en avant et aborde les poils pubiens de son sexe. « Il va falloir qu'elle se rase » Pensé-je. Mes doigts commencent à explorer...

- Oh! Dis-je complètement surpris.

Sous le bout de mes doigts, je sens une certaine humidité. Je les envoie plus en avant et je trouve ses petites lèvres que j'écarte. Sa chatte est humide! Je n'en reviens pas. Je dis :

- Tu mouilles ma tante!

- Non. Dit-elle, ne voulant pas accepter l'inacceptable.

- Si si salope! Regarde!

Je retire ma main et je mets mes doigts devant son visage.

- Tu vois bien que tu mouilles.

Ses yeux recommencent à se remplir de larmes. Elle me répond :

- Je ne sais pas... Je ne comprends pas... C'est mon corps qui ne m'obéit plus.

Moi je comprends très bien. Sous ses airs de bourgeoise sévère et prude se cache une femme qui aime surement qu'on la maltraite un peu. La suite me donnera raison.

Je remets ma main entre ses cuisses et trouve bientôt son clitoris que je commence à titiller. Nicole ne dit rien, mais sa respiration commence à s'accélérer. Je continue pendant un moment puis je glisse un doigt dans l'ouverture de sa petite chatte. Sa grotte est complètement humide. Je suis vraiment content que son corps réagisse de cette façon.

- Recule un peu, penche-toi et écarte bien les jambes! Dis-je.

Elle m'obéit sans se douter de la suite (ou alors elle fait semblant de ne pas comprendre). Je m'approche d'elle la queue tendue. Avec une main, j'écarte ses petites lèvres alors que l'autre présente ma bite à l'entrée de son intimité. Puis je la pénètre d'un coup sec. Mon membre entre sans problème dans son vagin bien lubrifié. Je vois ma tante tourner la tête vers moi, avec une expression bizarre sur son visage, à la fois outrée et effrayée, mais aussi, il me semble, avec un certain plaisir. Je commence lentement des va-et-vient dans son antre chaude. Elle tourne son visage vers l'avant et commence à se pincer les lèvres. Sa respiration devient lourde. J'accélère le mouvement et essaie de m'enfoncer le plus profondément en elle.

Et, alors que je ne m'y attendais pas du tout, Nicole a un orgasme qui la fait ouvrir ses lèvres et crier :

- Mmmmm... AAAAAAAHHHHHHH!

Elle baisse la tête, ses épaules s'affaissent et elle tremble de tout son corps. Ne sachant trop que faire, j'agrippe ses hanches et j'attends qu'elle se reprenne. Après quelques secondes, elle relève la tête, de la sueur sur son front. Je crois que je peux reprendre. Alors je recommence à la pilonner, ma bite étant maintenant noyée dans son jus. Je décide de l'humilier encore plus :

- Alors ma tante, c'est bon de jouir? J'ai l'impression que tu aimes bien te faire mettre par ton neveu. En fin de compte, sous tes airs coincés se cache une chaudasse. Tu aimes la bite non? tu aimes qu'on te prenne violemment n'est-ce pas? Tu aimes les vrais hommes, ceux qui arrivent à te dresser?

Elle ne répond pas mais je la vois rougir de honte. Je pense qu'elle n'arrive pas à croire qu'elle ait joui sous les assauts de son neveu. Attendant une réponse je claque son cul en lui demandant :

- Réponds Salope! Tu aimes ma bite ou non?

- Euhh... Ou... No... Oui...

Je vois qu'elle est gênée, qu'elle ne sait que répondre. Manifestement son corps prend du plaisir, mais son cerveau refuse de l'avouer. Je claque son cul une nouvelle fois :

- Alors quoi tu ne sais plus?

- Ce n'est pas normal Didier, nous n'avons pas le droit...

Je prends cette réponse comme un « oui » et je la pilonne encore plus violemment. Je sens que je ne vais plus tenir encore longtemps. Ma tante n'arrive plus à retenir ses petits gémissements de plaisir et bientôt elle a son deuxième orgasme. Je jouis en même temps et inonde son ventre de mon foutre.

Après m'être bien vidé, je me retire et je la laisse pantelante sur l'évier. Je lui dis :

- Bon, ça m'a ouvert l'appétit. Donne-moi à manger!

Elle se redresse lentement, me regarde m’asseoir à la table, prend la salade sur le plan de travail et vient la poser à côté de mon coude. Puis elle fait mine de s'asseoir en face de moi.

- Que fais-tu? demandé-je

- Je m'assois pour manger.

- Tu te crois où? Tu as oublié que tu es mon esclave? Tu vas me servir et attendre debout à côté de moi. Tu mangeras quand j'aurais fini.

Sans rien dire, elle vient se positionner à côté de moi. Je la détaille. Je vois mon sperme et son jus couler un peu le long de sa cuisse. D'une main je mange et de l'autre je tripote ses seins et ses fesses. Puis je prends une feuille de salade que je passe sur sa chatte pour essayer de récolter le plus possible de nos fluides mélangés. Je lui tends en disant :

- Mange de la salade c'est bon pour le corps!

Je rigole devant son air déconfit et dégoûté. Mais elle prend la salade, la met dans sa bouche, mâche une ou deux fois et l'avale en faisant la grimace.

- Il va falloir t'y habituer ma salope.

Elle ne dit rien. Je finis mon repas et je lui dis :

- Je vais regarder la télé, tu peux manger. Ensuite tu débarrasseras et tu iras te laver. On dirait une pute en fin de journée. Fais toi belle et propre, et rejoins-moi.

Je vais sur le canapé, allume la télévision pour regarder un film sans plus m'occuper d'elle.

Une heure plus tard, lavée, elle vient s’asseoir à côté de moi sur le canapé. Elle a entouré son corps d'une grande serviette éponge. Je la regarde méchamment et je lui dis :

- J'ai l'impression que tu n'as rien compris!

Elle me regarde, intriguée. Puis rapidement elle comprend. Un air désolé et effrayé s'affiche sur son visage. Elle se lève, enlève la serviette qu'elle laisse tomber sur le côté puis elle se rassoit sur le canapé.

- Voilà c'est mieux. Je ne te punis pas cette fois-ci mais fais bien attention la prochaine fois.

Je passe un bras autour de son cou et ma main commence à jouer avec sa poitrine. Je lui dis gentiment :

- Je crois que tu as oublié quelque chose tout à l'heure.

Elle me dévisage, ne comprenant pas ce que je veux dire. Je me rends compte qu'elle réfléchit et qu'elle est anxieuse. Je continue :

- Tu es mon esclave maintenant. Et en tant qu'esclave tu dois t'assurer que je me sente bien. Mais là, ma bite est toute poisseuse. Je suis mal à l'aise.

- Veux-tu que je te lave mon neveu?

- Bon, déjà on va établir une règle sur laquelle je serai ferme. Quand nous sommes tous les deux, tu vas me vouvoyer et m'appeler Monsieur. Est-ce clair?

- Oui Did...

Je la stoppe en tordant violemment un de ses tétons.

- Aie... OUI MONSIEUR!

- C'est mieux comme ça. Bien entendu quand nous serons en famille ou en public, je serais toujours Didier ton neveu et tu seras Nicole ma tante. Sauf si je te dis le contraire. OK?

- Oui Monsieur.

- Revenons à ma bite! Si je te dis qu'elle est sale, comment dois-tu réagir?

- Euhhh... je ne sais pas Monsieur.

Je recommence à tordre son téton en criant :

- TU LA NETTOIE AVEC TA LANGUE SALOPE!

- Oui Monsieur. Dit-elle en recommençant à sangloter.

Je relâche son sein et elle baisse la tête pour commencer à lécher ma bite pour la rendre propre. Des larmes gouttent sur ma cuisse. Tout en la laissant à son travail, je recommence à tripoter son corps. Je malaxe ses seins, les soupesant, les pressant puis je caresse ses fesses avant de les serrer dans mes mains. Et bien sûr, sous l'effet combiné de sa langue et de mes palpations, je recommence à bander.

- Tu vois ce que tu fais? Il va falloir me soulager une nouvelle fois. Et débrouille toi pour ne pas en mettre partout.

Elle comprend très vite. Elle lèche mon gland puis l'engouffre dans sa bouche. Elle essaie tant bien que mal de s'appliquer dans sa fellation. Elle s'aide de sa main pour tenir la base de ma queue et me masturber. Il ne me faut pas longtemps avant que je jouisse. Sa bouche se remplit de mon sperme mais elle garde les lèvres fermées et avale le tout. Ensuite elle s'applique à bien nettoyer mon membre. Quand elle a fini et qu'elle se relève, je lui dis :

- Tu peux aller te coucher! Demain nous allons avoir une longue journée. Nous irons à Lyon. Et même si c'est dimanche je crois que nous trouverons certaines boutiques ouvertes.

Elle part dans sa chambre sans rien dire. Deux heures plus tard, j'éteins la télé et je me dirige vers sa chambre. Je finis de me déshabiller et je me couche dans son lit. Elle me tourne le dos et j'ai l'impression qu'elle sanglote. Mais je me colle contre elle, ma bite entre ses grosses fesses et je passe mes mains autour d'elle pour agripper ses seins. Je m'endors ainsi, au chaud contre une bourgeoise plantureuse.

****

Le lendemain matin, lorsque je me réveille elle n'est pas là. Je suis déçu car j'ai une érection d'enfer. Je me lève et je rejoins la cuisine, complètement nu, la bite en avant. Ma tante est là, complètement habillée, couverte des pieds à la tête, une jupe très longue, un sweet sur une chemise. Elle a mis la table pour le petit déjeuner : deux bols, du beurre, de la confiture, du pain grillé. Elle a fait du café. Elle me regarde, ses yeux glissant un court instant sur mon membre dressé. Puis elle s'éclaircit la gorge et me dis :

- Bonjour mon neveu! Il faut que l'on parle!

Je la dévisage mais je ne dis rien. Je veux savoir ce qu'elle a en tête. Confiante, elle continue :

- j'ai beaucoup réfléchi cette nuit et je pense que ce que nous avons faits hier n'est pas bien. Tu es mon neveu et je suis ta tante. Ce n'est pas...

Elle s'arrête de parler alors que je m'assois à table sans rien dire mais toujours en la regardant. Elle me sert du café et continue :

- Ce n'est pas possible. Je sais que j'ai volé mon entreprise mais ce n'est pas grave, elle fait beaucoup de bénéfices. Nous pouvons partager si tu le veux. Je pense que tu as besoin d'argent pour continuer ta vie...

Je continue à la regarder sans parler. Je sens le malaise qui commence à s'installer dans son esprit. Elle avait dû se motiver toute la nuit pour pouvoir me parler ce matin. Elle continue :

- il faut que tout redevienne comme avant, que nous oublions ce qui s'est passé hier. Je n'ai pas vraiment joui tu sais. J'ai simulé pour te faire plaisir...

Je lève un sourcil et je la fixe froidement. Mais je ne dis rien. Elle commence à être inquiète, elle s'enfonce les ongles dans la paume de la main et elle commence à se demander si elle n'a pas été trop loin. Alors elle essaie de se rattraper :

- Euhhh... Je suis désolée. Tu m'as vraiment fait jouir hier. J'ai eu deux vrais orgasmes. C'était bien et nous pourrons peut-être de temps en temps le refaire quand nous nous reverrons. Mais il faut que tu rentres chez toi et que tu me laisses tranquille. Tu veux bien s'il te plaît?

Je ne réponds toujours pas. Au contraire, j'arrête de la regarder et je prends le beurre pour tartiner du pain. Je le fais lentement avant d'étaler de la confiture. Puis je trempe le tout dans mon café avant de le manger. Dans la cuisine c'est le silence. Du coin de l'œil, je vois ma tante se dandiner sur ses pieds tout en se tordant les mains. Il est évident qu'elle ne sait plus que faire. Toutes ses résolutions de la nuit ont disparu. Je crois qu'elle commence à pleurer.

Je continue à la torturer en continuant de manger en silence. Je finis ma tartine et m'en fais une autre que j'avale lentement aussi. Ensuite je sirote mon café. Enfin je m'essuie les lèvres et je la regarde. Des petites larmes coulent le long de ses joues. Je devrais me sentir coupable mais ce n'est pas le cas. Je sais qu'elle a besoin d'être dominée pour se sentir femme. Ma fessée l'avait faite mouiller hier. Je lui dis alors :

- D'accord, je m'habille et je m'en vais.

Je vois l'espoir s'afficher sur son visage. Elle pousse presque un « ouf » de soulagement. J'attends un peu qu'elle se sente mieux avant de dire :

- Mais dis-moi où est la gendarmerie s'il te plaît, il faut que j'y passe avant de partir.

Ses épaules tombent, elle est découragée. Je continue de la fixer pour qu'elle comprenne bien que je ne me laisserai pas attendrir. Je la vois réfléchir et se demander ce qu'elle doit faire. Elle est perdue. Et enfin elle fait ce que je sais depuis le début qu'elle ferait. Elle attrape le bas de son sweet et elle le fait passer au-dessus de sa tête. Puise elle déboutonne son chemisier, dézippe sa jupe, ôte les deux vêtements. Elle se retrouve en collant sur une grosse culotte et un soutien-gorge pas vraiment sexy si ce n'est qu'il comprime ses deux seins qui veulent s'échapper. Elle roule son collant le long de ses jambes et l'enlève. La culotte suit et je peux voir sa touffe de poils pubiens. Elle finit par le soutien-gorge qu'elle laisse tomber. Puis elle reste debout, les bras le long du corps, immobile, incapable de me regarder en face.

Satisfait se son comportement, je lui dis alors :

- Approche et mets-toi à genoux!

Lentement elle vient se placer à côté de ma chaise et s'agenouille. Je me tourne vers elle, pose mes mains sur ses seins et les caresse. Puis subitement, je saisis ses deux tétons que je pince et tord fortement.

- Aie aie aie aie, arrête! Crie-t-elle, le visage déformé par la douleur.

Je lâche ses tétons et je commence à gifler ses seins. Elle grimace sous les coups. Ses seins ballottent de gauche à droite sous mes claques. Mais j'arrête avant de lui faire trop mal. Et je lui ordonne :

- Mets ta main entre tes jambes et touche ta chatte! puis montre-moi tes doigts!

Elle m'obéit. Elle glisse sa main sur son sexe. Je remarque tout de suite qu'elle commence à rougir. Quand elle remonte sa main pour me la montrer, nous pouvons voir tous les deux que ses doigts luisent de son jus.

- Que t'arrive-t-il? Tu n'aimes pas ce que je te fais subir? Ta chatte dit le contraire. Alors explique-toi?

Elle est rouge pivoine. Elle comprend que son corps aime le traitement que je lui impose malgré le fait que son esprit refuse cette relation hors norme. Elle ne sait quoi dire. Alors je réponds pour elle :

- Ton corps aime être possédé. Et ton subconscient aussi. Ton éducation, ta fierté de bourgeoise font que tu n'acceptes pas qu'un gamin comme moi te commande et t'exploite. Mais ton corps ne demande que ça. Et ta vie va continuer comme ça : tu détesteras être humiliée et dégradée mais tu adoreras être baisée violemment et rudement. J'ai quelques mois pour t'apprendre ta nouvelle condition. Je ne veux plus que tu me joues la comédie de ce matin. D'accord?

- Oui Monsieur.

- Très bien. Alors commence ta journée de salope en me faisant plaisir. Et mets-y de l'entrain! Sans les mains!

Elle a compris. Elle met ses mains dans le dos et se penche sur ma queue, l'attrape avec la langue et la met dans sa bouche. Elle me suce en s'appliquant le mieux possible. Elle commence à devenir habile avec sa bouche. Je me détends, les mains derrière la tête et apprécie la caresse buccale de ma tante. Après quelques minutes, j'éjacule dans sa bouche. Comme une bonne soumise, elle avale le tout, presque sans grimace. Puis elle lèche ma queue pour bien la nettoyer et elle relève la tête et attend.

- Bonne petite chienne! tu as été obéissante alors je vais te remercier! Tu vas t’asseoir dans le canapé et tu vas te faire plaisir. Et je veux voir comment tu te mets un doigt dans le cul. Fais-toi jouir! Et pas de simulation je le verrais!

Elle me regarde un peu abasourdie, hésitante.

- ALLEZ!

Elle se relève et part dans le salon. Elle s'assoit sur le canapé, écarte ses jambes et remonte ses pieds sur le bord des coussins. Sa main droite descend sur sa chatte poilue et elle commence à titiller son clitoris. Je la suis et je reste debout devant elle pour admirer le spectacle. Je lui dis :

- Je n'aime pas cette touffe de poils. Dans la semaine tu prends un rendez-vous chez une esthéticienne pour qu'elle t'enlève tout ça. Je veux que ta chatte et ton cul soient sans poils. Tu as compris?

- Oui Monsieur.

Je suis content qu'elle n'essaie pas de refuser. Je pense qu'elle comprend sa situation et que même si elle est humiliée, elle ne déteste pas ça complètement.

Ses doigts s'activent sur son clito. Sa main gauche descend vers son cul, passe dessous sa cuisse. Elle tend le majeur et l'enfonce doucement dans son petit trou du cul. Sa main droite accélère sur sa chatte. Elle respire de plus en plus lourdement. Ses yeux se ferment et je commence à entendre des petits gémissements.

Je la regarde tout en me caressant la bite. Elle recommence à durcir et à se dresser. Je veux humilier cette femme qui pendant de nombreuses années m'a regardé avec fierté :

- Alors salope, tu prends du plaisir non? Espèce de grosse vache! Et oui tu as de mamelles et un cul de grosse vache. Et comme tu ne sais pas exploiter tes charmes, je vais t'apprendre. Tu vas devenir une bonne chienne obéissante, une grosse vache que je baiserai à ma guise. Tes trous de salope sont à moi maintenant.

Elle n'a pas rouvert les yeux, mais, au début de mon discours, j'ai vu de l'indignation s'afficher sur son visage puis petit à petit elle s'est détendue. Elle a continué à frotter sa chatte tout en tournant son doigt dans son cul. Elle gémit. Je continue à l'insulter. Je veux qu'elle comprenne qu'elle est à moi et je veux savoir si elle a encore le courage de se rebiffer.

- Je vais faire de toi une bonne pute ma tante. Je vais te préparer à des séances de sexe dont tu n'as même pas idée. Je vais inviter des copains et nous te baiserons à la chaîne. Tu nous lécheras les pieds et tu avaleras des tonnes de sperme. Est-ce que tu comprends grosse vache?

Je n'arrive pas à savoir si elle m'entend mais je crois que oui. Elle continue à se masturber et du plaisir s'affiche sur son visage. Je pense que ce n'est pas seulement l'effet de ses mains, je crois que mes mots l'excitent. Elle a mis maintenant deux doigts dans sa chatte qu'elle enfonce de plus en plus frénétiquement. Ma queue recommence à bander sous la caresse de ma main. J'aime l'humilier.

Elle gémit de plus en plus fort et bientôt elle pousse un cri aiguë de jouissance. Elle sert les cuisses sur sa main. Son corps tremble, sa tête se jette sur le côté, la bouche ouverte, les yeux toujours fermés. Elle profite de ce moment de grand plaisir. La voyant pantelante sur le canapé, je n'hésite pas. En deux pas je la rejoins, j'écarte ses cuisses et ses jambes, mets ses chevilles sur mes épaules et enlève sa main encore dans sa chatte. Puis d'un coup de rein brutal je plante ma bite bien dure dans sa grotte complètement humide et chaude. Nicole réagit à peine. C'est tout juste si elle ouvre les yeux. Je la ramone pendant quelques instants puis je me libère dans son ventre.

Après avoir repris mon souffle, je me retire et me dirige vers la cuisine pour me servir un verre d'eau. Lorsque je reviens dans le salon, ma tante est assise dans le canapé. Elle me regarde, attendant la suite des événements.

- Lève-toi et approche! Ordonné-je.

Elle obéit lentement et vient se placer devant moi.

- Allez, position de soumission! jambes écartées, mains sur la tête, et cambre ta poitrine!

Elle prend immédiatement la position. Jouissant de mon pouvoir, je fais lentement le tour d'elle. Je caresse sa peau du bout des doigts, je serre ses fesses dodues, je tripote ses gros nichons. Puis je passe ma main entre ses jambes et je mets trois doigts dans son vagin. Je fouille et je les ressors maculés d'un mélange de mon foutre et de son jus.

- Ouvre la bouche!

Elle sait ce que je vais faire mais elle obéit. Je glisse mes trois doigts dans sa bouche et je lui demande de les nettoyer. Immédiatement elle aspire et avale le mélange qui est dessus, puis elle passe soigneusement sa langue autour de mes phalanges. Méchamment, je pousse encore plus mes doigts dans sa gorge. Elle a un haut le cœur mais se retient de vomir. Elle commence à bouger sa tête d'avant en arrière pour sucer mes trois doigts. Je la laisse faire un moment puis je retire ma main.

- Maintenant plie-toi en deux et mets tes mains sur ton cul. Je veux que tu écartes tes fesses de façon que j'ai facilement accès à ton trou du cul.

Elle hésite un court instant puis m'obéit sans rien dire. Je passe derrière elle et je contemple son petit œillet encore vierge de bite. Je lui demande :

- Dis ma tante, crois-tu que ma bite entrerait facilement?

- Oh non Did...

Elle s'arrête brusquement, consciente d'avoir fait une erreur. Je fais semblant de ne pas avoir entendu. Alors elle continue.

- Oh non Monsieur, vous allez me déchirer.

- Tu crois? Voyons voir! Ecarte bien tes fesses!

Elle obéit, mais avec appréhension je le sens. Je pose un de mes trois doigts qui viennent de sortir de sa bouche sur son petit trou. Il s'agit de mon index. Je pousse et il entre sans problème. Ma tante n'a pas eu de réaction si ce n'est un petit cri de surprise.

Je sors mon index et je le joins à mon majeur. Je pose ces deux doigts sur son anus et je pousse. Je sens que ma tante se détend pour faciliter l'entrée. Mes doigts la pénètrent de nouveau. Cette fois-ci, Nicole avance instinctivement ses hanches pour essayer de se soustraire à l'intromission.

Je retire mes deux doigts et j'y ajoute l'annulaire. Je présente le trio à l'entrée de son trou du cul et je pousse. Cette fois-ci, je trouve plus de résistance. Je force et mes doigts perfore l'entrée. Ma tante pousse un cri de douleur mais je continue à forcer. Petit à petit j'arrive à faire entrer entièrement mes trois doigts. Ma tante me supplie :

- S'il t... S'il vous plaît Monsieur, arrêtez j'ai mal, j'ai trop mal.

Je réfléchis. Est-ce que je pousse l'expérience plus loin ou j'abandonne? J'ai une idée. Je retire doucement mes doigts tout en disant :

- D'accord, je ne vais pas t'enculer de suite. Mais ce n'est que partie remise. Je veux que ton cul accepte toutes les bites qui se présenteront.

Je me place près de sa tête. Je la vois à la fois soulagée pour l'instant et inquiète de ces sodomies futures. Je porte mes doigts à sa bouche et je dis :

- Nettoie!

Bien qu'elle sache qu'ils sortent de son cul, elle les gobe et elle les nettoie soigneusement avec sa langue. C'est tout juste si elle a un froncement de nez de dégoût.

Quand elle a fini, je mets une grande claque sur son cul et je lui dis :

- Direction ta chambre, il faut que l'on se prépare pour sortir!

A suivre...


mardi 21 juillet 2020

Confession d’une femme au foyer Ch. 03

On me raconte la vérité.

Après avoir brisé quelques barrières, ma femme sembla plus détendue et me parla d'elle et des ouvriers. Toutefois elle fut irritée lorsque j'insistai pour avoir des détails comme où tout le monde était assis, qu'est-ce qu'elle portait exactement. Ce sont ces détails qui créaient un film dans mon esprit et qui faisaient que j'étais excité.

Parfois je lui demandai de raconter la même histoire, mais les détails différaient. Elle me raconta comment au cours de la matinée elle était impatiente et marchait de long en large en les attendant. Et quand ils arrivaient, ils commençaient à bavarder et à prendre un verre, puis elle s'asseyait sur le genou de l'un d'eux. Et ils commençaient rapidement à tous devenir excités.

Parfois elle était assise sur un genou et ils discutaient alors qu'une main caressait sa chatte, sa robe remontée pour qu'ils puissent tous regarder. D'autres fois, les hommes étaient plus actifs. On mettait sa main dans un pantalon en lui demandant de jouer avec la bite qui s'y trouvait. Pendant ce temps on ouvrait son haut pour exposer ses seins.

- J'ai commencé à ne porter que des robes qui s'ouvraient sur le devant, pour faciliter les choses. M'expliqua-t-elle.

Elle me dit que parfois elle se tenait près de l'évier de la cuisine avec un des hommes, la robe complètement ouverte et ses seins sortis de son soutien-gorge. Elle masturbait l'ouvrier pendant que les deux autres observaient. Puis ils se relayaient et éjaculaient tous sur elle.

D'autres fois, elle restait debout, les jambes écartées, appuyée contre le plan de travail face aux hommes assis. Puis un des ouvriers se mettait à côté d'elle et tirait sa culotte sur le côté et mettait un ou deux doigts dans sa chatte.

- Est-ce qu'ils ne t'ont jamais enlevé ta culotte? Demandai-je.

Doucement elle me dit :

- Quelques fois... La première fois qu'ils m'ont demandé j'ai dit non car quelqu'un aurait pu venir. J'aurais pu reboutonner ma robe rapidement mais je ne voulais pas me déshabiller complètement.

- Mais ça t'est arrivé?

Coupable, elle me répond :

- Mon Dieu, ça semble si mal. Nous étions debout contre le plan de travail, ma robe était déboutonnée et j'avais un homme de chaque côté. Et avant que tu demandes, oui je branlais leur bite, j'en avais une dans chaque main. Ils me demandèrent d'enlever ma culotte et quand je leur ai expliqué pourquoi je ne voulais pas, le troisième homme a été verrouiller la porte. Quand il est revenu, ils m'ont regardé baisser ma culotte. Ensuite je les ai laissé regarder et jouer avec ma chatte. Ils l'ont titillée et pénétrée avec leurs doigts. Ils ont même soulevé une de mes jambes sur une chaise pour mieux voir.

- Ils t'ont baisée?

- Non, mais j'ai branlé leur bite contre mon clitoris pendant que je les branlais.

- Tous les trois?

- Oui les trois. Admit-elle en baissant les yeux.

- Sois honnête maintenant, dis-moi quand ils t'ont baisée pour la première fois.

Ce fut le moment d'un grand pas en avant. Je rajoutai :

- Ne gâche pas tout en mentant, dis la vérité.

- Après avoir enlevé ma culotte cette fois-ci, je les laissai souvent faire. Parfois, ils le faisaient eux-mêmes pour plus d'excitation, sinon ils me regardaient l'enlever. A ce moment-là, il n'y avait plus que deux ouvriers qui venaient, le troisième étant en vacances.

Un jour, alors que j'étais assise sur les genoux d'un, la robe retroussée, sans culotte, les seins à l'air et que je jouais avec sa bite, Il m'a remise debout et m'a embrassée plus fort que d'habitude. L'autre s'est approché et bientôt j'ai pu sentir leurs deux bites se presser contre mon ventre. Ils tripotaient mes seins et les mordillaient plus fortement. Puis ils me dirent d'écarter les jambes. Bien que j'aie répondu non, je l'ai quand même fait. Ma tête était tournée sur le côté et un homme m'embrassa. C'est à ce moment que j'ai senti une bite entrer dans ma chatte. Je sais que j'aurais dû l'arrêter, mais j'étais trop excitée. Je l'ai laissé faire et il m'a baisé debout.

- Et tous les deux t'ont baisée?

Elle acquiesça :

- Oui tous les deux.

- Et après ça ils l'ont fait souvent?

Elle acquiesça de nouveau en baissant les yeux. Alors je lui posai une question qui me trottait dans la tête :

- As-tu parfois sucé leur bite?

Ma femme prit une profonde inspiration et acquiesça de nouveau.

- Pendant que les autres regardaient?

Hésitante, elle hocha la tête.

- Et ils ont joui dans ta bouche?

Elle craqua et elle commença à pleurer.

- Ne me demande pas plus. Dit-elle en sanglotant.

Je crois que je l'avais poussée trop vite dans ses révélations. Mais maintenant, j'insistai pour avoir plus d'informations. Avait-elle avalé leur sperme? Si elle admettait avoir été baisée par les feux hommes, pourquoi ne voulait-elle pas continuer à raconter? Que cachait-elle? Mais une question la bloqua complètement. Lorsque je lui demandai :

- As-tu fait la même chose avec d'autres hommes?

Elle répondit sèchement :

- Connard.

Ce fut comme une troisième guerre mondiale entre nous les jours suivants. Jusqu'à ce qu'elle en ait marre et me crie :

- Rien de tout cela n'est vrai, C'est un gros mensonge. Je te l'ai dit simplement pour que tu sois plus excité au lit. Tu m'as harcelé alors j'ai inventé une histoire.

Et elle ajouta d'un ton méchamment moqueur :

- Tu crois qu'ils pouvaient faire des pauses aussi longues. Et peux-tu m'imaginer faire ce genre de chose.

Pour être honnête, je ne pouvais pas. Mais en vérité, elle avait fait beaucoup plus, bien pire. Cependant il me faudrait presque dix ans pour le savoir. Et la vérité viendrait d'une autre personne, quelqu'un qui était là.

Pour ne pas ennuyer le lecteur, je résumerai les années à suivre en quelques mots. Il y eut des disputes et des récriminations. Je lui disais toujours qu'elle avait une imagination incroyable et que c'était étonnant que notre vie sexuelle soit si ennuyeuse. Ce n'était pas vraiment utile je sais, mais cette histoire me torturait l'esprit. Où était la vérité?

Je pensais beaucoup aux trois possibilités sur ce qui c'était passé. La première était qu'il ne s'était rien passé. La deuxième est qu'il s'agissait d'une histoire d'amour avec un des gars et pas seulement du sexe. Et la troisième était qu'elle avait fait quelque chose qu'elle devait cacher à tout prix. Cette troisième possibilité était la moins probable pourtant il s'avéra que c'était celle-ci. La nier était pratique pour ma femme, elle n'avait pas à se rappeler d'une version qu'elle m'avait raconté.

Je découvris qu'elle avait une liaison mais c'est une autre histoire. Le fait est que je me suis rendu compte que même si elle semble timide et naïve et qu'elle ne sortait jamais avec des amies pour boire ou s'amuser, elle était capable de devenir très vicieuse. Lecteurs masculins méfiez-vous, les aventures de ma femme se sont déroulées à la maison. Ne sous-estimez pas les occasions pour votre femme d'être infidèle.

S'il s'agissait d'un film, un bandeau apparaîtrait à l'écran pour afficher le message : « Dix ans plus tard ».

J'étais dans un cours de self-défense. Un des hommes qui était là discuta avec moi. Au cours de la conversation il me demanda où j'habitais. Après lui avoir dit, il me répondit :

- Oh oui, j'ai travaillé sur les maisons de ce quartier quand elles ont été rénovées il y a quelques années.

J'évitai de lui dire depuis combien de temps j'y habitais et je le laissai me parler de ce qu'il y avait fait.

- Nous avons passé un bon moment en ce temps-là. Les patrons s'en foutaient un peu. Nous pouvions disparaître pendant des siècles et ça ne les dérangeait pas. Le quartier était très grand et la plupart des habitants étaient partis pendant la rénovation. Les fonds étaient alloués sans limite de temps. Et il n'était pas facile de trouver des ouvriers expérimentés. Les patrons ont donc fermé les yeux sur la plupart des choses. Vous pouviez faire, ce qui leur semblait trois jours de travail, en un jour et passer le reste du temps à faire ce que vous vouliez, comme divertir les femmes au foyer, si vous voyez ce que je veux dire.

Je devinai que ce gars pouvait me dire des choses sur ce qui c'était réellement passé. Je voulus lui offrir un verre pour qu'il continue de me parler mais il n'avait pas le temps. Toutefois il continua :

- Quelques femmes au foyer avaient toujours des petits travaux supplémentaires à faire faire. Et comme il y avait des plombiers, des électriciens, des menuisiers et autres professions elles leur demandaient des faveurs selon ce qu'elles avaient comme travaux.

Après avoir écouté un moment, je lui dis :

- Oui j'ai déjà rencontré un gars qui y travaillait à la même époque. Je crois qu'il s'appelait Bob.

C'était un mensonge, je ne l'avais jamais rencontré. Mais c'était le prénom de l'homme dont ma femme avait le plus parlé, celui qui semblait être le meneur.

- Ah oui Bob! Oui c'est vrai, il s'est bien amusé. Avec une jeune fille blonde sexy qui se cherchait. Elle emmenait ses enfants à l'école et Bob avec d'autres lui rendaient visite.

Je dis en essayant de ne pas avoir l'air trop curieux :

- Vraiment? Qu'est-ce que vous voulez dire par « autres »

- Deux de ses copains au début. Puis il en a laissé d'autres participer à l'action. Ils ont passé un bon moment.

Je souris :

- Désolé mais ça me semble difficile à croire. Ils ont fait la queue?

- Non, bien sur que non. Tout le monde n'était pas ami avec tout le monde. Des petits groupes s'étaient formés. Certains allaient au pub, d'autres se doraient au soleil et d'autres n'étaient pas intéressés. Et puis attention, vous avez peut-être entendu des histoires fausses, certains gars racontaient des conneries. Il est parfois sage de ne pas poser trop de questions, car certains secrets ne sont pas des secrets, si vous me suivez.

Il continua de parler. J'étais de plus en plus convaincu qu'il parlait de ma femme et des ouvriers.

- Mais comment savez-vous que ces histoires sont vraies? Y avez-vous participé?

- Malheureusement non, mais un vendredi matin, j'ai dû me rendre chez la femme blonde. Un inspecteur des bâtiments avait besoin de moi et d'un autre homme. Mais généralement, le vendredi, jour de paye, la plupart des gars partaient au bar ou dormaient dans un endroit tranquille. Mais j'avais remarqué depuis plusieurs semaines que des hommes entraient dans cette maison. Ils étaient cinq ou six mais ils n'y allaient pas tous en même temps, ils y entraient seul ou par paire. Cela aurait pu être normal, mais je savais qu'il n'y avait pas de travail prévu à cet endroit. Et le quartier était généralement plus ou moins désert à cette heure.

L'homme était intarissable. Je le laissai donc parler.

- Le type dont j'avais besoin n'était pas un ami, mais je l'avais vu entrer. En en voyant d'autres entrer aussi, je me suis dit que la porte ne devait pas être verrouillée. Je me suis dit qu'ils jouaient peut-être aux cartes ou qu'ils buvaient un verre avec la blonde bien que ça paraisse inhabituel. Mais la porte était verrouillée donc j'ai dû frapper. Un gars qui me connaissait a répondu et quand je lui ai dit ce que je voulais, il m'a fait entrer et il a refermé la porte derrière moi. Il faisait très chaud. Le gars me laissa dans le couloir et entra dans la cuisine. J'entendais une conversation étouffée mais ça me semblait trop silencieux pour cinq ou six hommes.

Il reprit son souffle puis continua :

La porte de la cuisine étant entrouverte, je me suis approché pour jeter un œil. Je voyais le dos de deux hommes et d'autres personnes qui fixaient tous le coin de la pièce. Je me suis dit qu'il devait regarder la télévision, mais je ne voyais rien d'autre. Puis lorsqu'un des types s'est déplacé, j'ai eu la surprise de ma vie. La blonde était assise sur une chaise de cuisine. Elle n'avait pas de haut, elle était nue jusqu'à la taille et elle suçait un homme. Elle le pompait alors qu'un autre avait le bras tendu devant elle. Quand il bougea un peu, je vis qu'elle avait les jambes grandes ouvertes, la jupe retroussée à sa taille et pas de culotte. Elle laissait l'autre gars la doigter alors que sa main branlait sa queue. Je suppose que les autres attendaient leur tour.

Il rigola. Je demandai :

- Alors vous êtes resté et vous en avez profité?

- Non, je suis sorti de la maison quand l'homme que j'étais venu chercher m'a rejoint. Je vous ai dit que tout le monde n'était pas des amis? il ne faut pas se mêler des affaires des autres.

Je rigolai avec lui :

- Eh bien, vous m'avez raconté une bonne histoire, intéressante et incroyable. Je bande.

- Tant mieux alors. En tout cas, je vais rentrer chez moi. A la semaine prochaine.

Putain j'étais dégoûté. C'était ma femme. Son histoire était vraie et même pire. Ou alors était-ce une autre femme? Mais non, trop de détails concordaient, surtout celui du nom du mec. Après m'être dit il y a quelques années que ma femme n'était peut-être pas aussi infidèle que je le croyais ; je revenais à la case départ. Quelle était la vérité? J'en avais assez qu'elle me mène en bateau et qu'elle me traite avec mépris.

Sur le chemin du retour à la maison, je remarquais que, malgré la douleur et la colère, ma bite devenait de plus en plus dure.

A suivre...

Claudine soumise Chap. 09

Deux bourgeoises au sex-shop.

Après cette nuit de folie où ma fille, son futur mari et sa belle-famille ont été contraints d'obéir aux ordres pervers de ma domestique Jessica et à ses désormais complices, Rachid, Bruce et Leila, nous sommes tous dans une espèce de torpeur dont nous avons du mal à sortir.

Francis, Thierry et Roger, qui nous avaient rejoint pour pouvoir abuser de nos corps, nous ont quitté tout en nous faisant promettre à moi et à Sylviane de venir les retrouver bientôt dans leur bar. Sylviane est écroulée sur le sol du salon, les cuisses largement ouvertes, cuvant les nombreux orgasmes qu'elle a eu au cours de cette soirée.

Mehdi et Pierre mon futur gendre, insatiables, s'occupent de ma fille Anne-Sophie. Elle est à genoux sur le sol du salon, masturbée par un gode enfoncé dans son vagin et un autre dans son anus. Les deux godes sont manipulés par Pierre et Mehdi qui les font coulisser dans les orifices de ma pauvre fille qui gémit de plaisir. Par moment, on retire un des godes et on l'oblige à le nettoyer avec sa langue, le suçant comme si c'était une bite, léchant sa mouille.

Leila s'occupe de moi. Elle est assise sur un des fauteuils du salon, les cuisses largement écartées et je dois la sucer, passant ma langue sur sa fente, agaçant son clitoris pendant qu'elle me tient par les cheveux en me traitant de salope et de bourgeoise perverse. Des flots de mouille s'échappent de sa vulve, dégoulinant sur mon visage. Leila agite son bassin pour venir à la rencontre de ma langue tout en se triturant les seins.

-Ah ma salope, tu sais y faire.

Elle regarde Sylviane, toujours allongée sur le sol du salon, qui s'est plongée deux doigts dans sa chatte dégoulinante et qui se masturbe, haletante, les yeux hors de la tête. A côté d'elle, mon mari Paul, le sexe à la main, se masturbe comme un fou en soufflant. Sylviane se pince soudainement le clitoris et elle a un orgasme la faisant hurler de plaisir.

Elle est bientôt rejointe par Anne-Sophie qui se tord de plaisir sur le sol, un gode toujours enfoncé dans sa chatte et son cul, et qui pousse un cri quand l'orgasme la submerge.

Leila prend ma tête à pleine main et me plaque la bouche sur sa fente en poussant, elle aussi, un hurlement. Paul éjacule en lâchant un torrent de sperme sur le visage de Sylviane.

Charles, lui, est à genoux devant Jessica et il lui lèche la vulve.

Mehdi signale qu'il doit retourner bosser dans son sex-shop de la rue Saint-Denis et il demande s'il ne peut pas nous emmener Sylviane et moi. Anne-Sophie ne semble pas l'intéresser. Il est sans doute plus excité par deux bourgeoises d'âge mûr.

Jessica et Leila se concertent et décident qu'il peut nous emmener mais à condition que Jessica vienne avec lui pendant que Leila restera avec les autres dans notre pavillon. Je suis mortifiée d'apprendre que l'on va nous conduire dans ce haut lieu de la prostitution, nous, deux bourgeoises respectables.

Sylviane semble aussi abattue que moi. Elle proteste en disant qu'il est hors de question qu'elle les suive. Jessica s'approche d'elle et lui susurre d'un ton à la fois doux et menaçant qu'elle a intérêt à obéir car tous ses exploits sexuels de cette nuit ont été filmés et que si elle ne veut pas que ce soit connu de ses clients ou du Maire, elle a intérêt à être très gentille. Sylviane baisse la tête, vaincue.

Nous sommes contraintes de nous déshabiller et nous leur offrons un strip-tease digne des plus grandes professionnelles. Sylviane et moi enlevons donc nos vestes et nos jupes de tailleur BCBG et nos bas pour apparaître toutes nues devant eux. Mehdi sort du sac qu'il avait amené en arrivant des vêtements trouvés dans son sex-shop. Sylviane doit enfiler un corset qui comprime ses gros seins opulents et une jupe en vinyle noire ultra courte ainsi que des bas résilles et des cuissardes à hauts talons. Ma tenue n'est pas mieux : Une mini-jupe en cuir rouge, un body noir transparent qui laisse voir mes seins puisque bien entendu je n'ai pas le droit de porter de sous-vêtements et des mules à talons aiguilles très haut également. Je porte aussi des bas résilles.

Sylviane et moi, nous nous regardons, honteuses d'être attifées de cette façon, comme des putes, nous, des mères de famille, des femmes respectables et respectées par les habitants de cette ville huppée où nous habitons. Que vont penser ces habitants bien-pensants si jamais ils nous voient dans cette tenue, moi, le professeur de français et Sylviane, la Conseillère municipale.

Jessica et Mehdi nous poussent dehors et on décide de prendre la voiture de Charles et Sylviane, une Mercedes. Nous montons à l'arrière, Jessica au milieu et Mehdi au volant sous l'œil de Charles, qui semble plus inquiet pour sa Mercedes que par le sort que l'on réserve à son épouse.

Nous roulons longtemps. Pendant tout le temps du trajet, Jessica nous masturbe, nous faisant couiner de plaisir. Elle a faufilé sa main sous ma jupe et me branle sans ménagement, mais en s'arrêtant à chaque fois qu'elle sent que je vais jouir. C'est un jeu qu'elle adore visiblement. Elle fait de même avec Sylviane la laissant au bord de l'orgasme à chaque fois. Elle a un regard exorbité, elle halète comme une folle et se tord par moment. Elle supplie même Jessica de la faire jouir ce qui fait éclater de rire Mehdi.

-Ne t'inquiète pas ma chérie, tu vas jouir crois moi, j'ai des clients pour toi!

Sylviane ne dit plus rien, catastrophée par ce qu'elle vient d'entendre. Jessica en rajoute :

-Evidemment, vous les bourgeoises friquées vous ne savez pas ce que c'est, mais nous autres on a des fins de mois difficiles. Vous allez pouvoir nous aider à augmenter notre pouvoir d'achat.

Nous arrivons dans le quartier du Châtelet et Mehdi gare la Mercedes dans une contre-allée. Nous descendons et nous nous dirigeons vers une rue transversale que je reconnais comme étant la rue Saint-Denis. Faut dire que ce serait difficile de se tromper. Il y a un sex-shop ou un peep-show tous les dix mètres. Pendant que nous descendons cette rue, nous avons droit à plusieurs regards lubriques posés sur nous par des clients de prostituées, qui se trouvent un peu plus haut, nous explique Mehdi. Nous entrons dans son sex-shop. Un homme à la caisse nous regarde, étonné. Ce n'est pas si souvent que deux femmes viennent dans son magasin. Il est encore plus étonné d'entendre Mehdi lui dire :

-Salut Jacky. Ces deux bourgeoises veulent s'amuser avec nous.

Le dénommé Jacky le regarde intrigué et perplexe. Il doit se demander si nous sommes vraiment des bourgeoises comme Mehdi le prétend. Je le sens qui nous observe. Puis, il doit se dire que cela doit être vrai.

-Ah ces bourges! Toutes les mêmes! Ça joue les femmes respectables mais dès que ça peut se dévergonder. Même déguisées en putes, on voit qu'elles viennent des beaux quartiers ces deux salopes.

Autour de nous quelques clients, des jaquettes de DVD à la main, s'arrêtent de les regarder soudain plus intéressés par le spectacle à la caisse. Affolée, Sylviane fait mine de vouloir repartir mais Jessica qui la tient fermement par la main lui ordonne de rester là. Mehdi s'approche de Sylviane et soulève sa jupe en vinyle pour bien montrer qu'elle ne porte rien dessous.

-Elle rechigne un peu au début, mais quand elle est chaude, elle supplie qu'on la baise.

Jessica enfonce deux doigts dans la chatte de Sylviane commençant à la masturber. Mehdi s'approche de moi et me lance :

-Vas sucer mon pote!

Je m'approche du fameux Jacky qui n'en revient pas du fantasme qu'il est en train de vivre. Une bourgeoise déguisée en pute va lui faire une pipe gratos. Je m'agenouille et sort son sexe de son pantalon. Il est déjà gonflé, épais et dur comme l'acier tant il est excité. Je l'avale et commence à le sucer.

Pendant ce temps, Jessica a positionné Sylviane à quatre pattes sur le sol, jupe retroussée, et elle la fouille en alternant un doigt dans son vagin et un autre dans son cul. Sylviane, la bouche ouverte, halète. Un client s'approche se touchant à travers son pantalon, le regard fou. Jessica lui demande s'il veut que Sylviane le suce. Pour toute réponse il sort son membre qu'il pointe en direction des lèvres pulpeuses de la femme mature. Jessica relève Sylviane, la mettant à genoux. L'autre lui enfile aussitôt son sexe dans sa bouche.

Jacky fait coulisser sa queue entre mes lèvres et je le pompe du mieux que je le peux. Je lui prends les couilles à pleines mains par moment et il s'enfonce encore plus dans ma gorge. J'ai parfois l'impression qu'il veut me toucher la glotte avec sa queue.

Du coin de l'œil, je peux observer Sylviane. Maintenant elle s'active comme une forcenée sur la bite du client qui lui donne des coups de bassin pour encore plus s'enfoncer dans cette bouche de bourgeoise qui lui taille une pipe avec professionnalisme. Sylviane émet par moment un son, un gémissement étouffé par le mandrin qui lui obstrue la bouche. Elle sort la bite, passe sa langue sur la hampe et replonge dessus avec avidité. C'est le client qui jouit en premier. Il déverse dans la bouche de Sylviane un flot de sperme qu'elle doit avaler, la tête fermement tenue par Jessica.

Jacky, voyant cela, ne peut se retenir plus longtemps et, sortant sa queue, il éjacule sur ma jupe en cuir, lâchant de puissants jets de foutre.

L'homme à qui Sylviane vient de faire une « gâterie » se rajuste et Mehdi lui demande de payer la prestation de Sylviane. Tout content, il accepte sans rechigner même quand Mehdi lui donne le tarif qui est, dit-il, largement au-dessus du prix normal. Jessica lui explique le tarif en lui faisant remarquer que c'est une authentique bourgeoise qui vient de lui faire cette fellation, pas une pute de bas étage. Ce qui parut le convaincre. Sylviane et moi nous nous regardons, honteuses.

Bien que j'aie déjà connu cette situation dans la cave de la Cité de Bruce et Rachid qui m'ont déjà prostituée pour se faire de l'argent de poche, je suis effondrée d'être à ce point rabaissée au niveau d'objet sexuel. Nous ne sommes plus Sylviane et moi, que des poupées de chair que l'on manipule comme on veut. Mais surtout, comment expliquer que malgré le fait que nous soyons les victimes d'un odieux chantage, nous y prenions autant de plaisir, Sylviane et moi? Car Sylviane aussi a eu des orgasmes en se faisant maltraiter par nos tourmenteurs. Ne serions-nous devenues, comme le prétendent Jessica, Rachid et Bruce, des bourgeoises salopes, des chiennes qui ne jouissent que dans l'humiliation? Des bourgeoises masochistes? Jessica relève Sylviane et m'ordonne de venir près d'elle, ce que je fais immédiatement.

-Cette cochonne a du sperme sur le visage, nettoie-la!

Je m'approche, hésitante, du visage de Sylviane qui me regarde, une lueur trouble dans ses jolis yeux. Je sors timidement ma langue et Jessica me claque les fesses après avoir relevé ma mini-jupe.

-Plus vite!

Je m'exécute. Je la nettoie en passant ma langue sur son visage. Je lèche les quelques traces de sperme que son client lui a laissé bien qu'il ait éjaculé dans sa gorge. Mehdi prend des photos avec son téléphone portable. Jessica m'agrippe par les cheveux et pose mes lèvres sur celles de Sylviane. Celle-ci garde les lèvres obstinément fermées en lâchant un cri de protestation étouffé. Je reçois encore une violente fessée et je sors ma langue forçant le barrage de ses lèvres. Nos langues s'enroulent et nous nous embrassons, rouges de honte.

Jessica nous éloigne et nous sommes dirigées par elle et Mehdi vers le fond du sex-shop. C'est là que se trouvent les cabines de projection privées. Nous sommes mises à genoux et on nous ordonne d'attendre. Un homme arrive, sans doute envoyé par Jacky.

-C'est vrai qu'on peut se taper des bourgeoises salopes ici? demande-t-il avec un regard rempli de perversion.

Jessica nous désigne et lui demande de payer d'avance. Il s'exécute et sort sa bite déjà dressée et se met devant moi.

-Vas-y ma chérie, fais-moi une pipe d'enfer.

J'ouvre la bouche et aspire son sexe. Il m'insulte pendant tout le temps de la fellation, me traitant de pute. Quand il éjacule sur mon visage, je me rends compte qu'il y a déjà plusieurs hommes qui attendent leur tour. Quand l'homme part c'est le signal de la curée. Nous sommes manipulées, Sylviane et moi comme des poupées. On sort les seins de mon body, le déchirant à moitié et je vois qu'on fait de même avec Sylviane. Ma poitrine est manipulée par des mains avides, on me tord les tétons, on me malaxe les seins dans tous les sens. On enfonce des doigts dans ma chatte dégoulinante de mouille et dans mon anus. Nous sommes maintenant à quatre pattes, Sylviane et moi.

A côté de Sylviane, un grand type lui présente une bite qui me parait énorme. Docile, Sylviane tourne la tête vers cette virilité et ouvre la bouche. L'homme s'engouffre et commence à donner des coups de bassin en tenant Sylviane par les cheveux. Derrière elle, un homme à genoux lui agrippe les hanches et plonge dans son vagin lui donnant de violents coups de reins.

Je pousse un petit cri quand quelqu'un me pénètre avec brutalité et commence à me limer furieusement. Son ventre claque contre mes fesses. Devant moi, une queue apparaît et sans réfléchir, j'ouvre la bouche, soumise.

On a changé Sylviane de position et elle est empalée sur une queue. Elle s'agite en gémissant, ses gros seins ballottant dans tous les sens. Cela dure des heures. Sylviane et moi sommes baisées de toutes les façons. On nous éjacule dans la bouche, sur le visage, dans les cheveux. Nous sommes recouvertes de sperme. On en a sur tout le corps. Les hommes qui nous défoncent sans aucun ménagement poussent des cris d'animaux quand ils se déversent sur notre corps. Sylviane, à un moment, sera prise par les trois orifices : Empalée sur un client allongé, pénétrée par le cul et une bite dans la bouche. Les trois hommes jouirent assez rapidement, l'aspergeant de leur semence sur son visage.

On se presse autour de moi, glissant des mains sous ma jupe et mon body. On me présente une bite et une forte odeur d'urine manque me faire vomir. On frotte la queue sur mon visage en me caressant les seins. Je ne sais plus où je suis, je suis trempée et j'halète comme une noyée.

Sylviane tente de recracher le sperme quand un des types lui gicle sa semence au fond de son palais, l'obligeant à avaler pour ne pas s'étouffer. Le client qui est derrière elle se retire de son ventre et lui pénètre le cul. Elle pousse un gémissement sourd. L'homme se met à la pistonner en lui claquant les fesses par moment. Elle ouvre la mâchoire pour crier mais le bâillon de chair qu'elle a entre les lèvres l'empêche d'émettre le moindre son. L'homme qui l'encule accélère son va et vient et sort précipitamment sa bite pour éjaculer sur son dos.

J'accélère également ma fellation pour que mon client éjacule au plus vite. Il sort sa queue et « lâche la purée » sur mon visage. Des traînées de foutres coulent sur mes lèvres et mon menton et je passe ma langue pour me nettoyer. Je ne sais pas combien de temps nous avons passé dans ce sex-shop.

A un moment, nous réalisons que nos clients sont partis. Je me rapproche de Sylviane, nous sommes couvertes de sperme toutes les deux. Nous en avons sur le visage et nous nous nettoyons avec un mouchoir. Jessica et Mehdi arrivent et nous regardent avec un air goguenard. Ils nous demandent si nous nous sommes bien éclatées.

Nous sortons du sex-shop et Mehdi promet à Jacky que nous reviendrons en agitant dans sa main la liasse de billets. Visiblement, nous avons bien travaillé. Nous nous dirigeons vers la Mercedes mais une surprise nous y attend. Deux filles, des prostituées à n'en pas douter sont contre la portière de la voiture. Elles ont entendu parler des deux bourges qui se conduisent comme des putes et elles se plaignent de concurrence déloyale. Elles demandent une compensation qui leur est accordée par Jessica et Mehdi. Natacha et Tatiana, c'est le nom des deux putes qui visiblement viennent des pays de l'Est visiblement et parlent avec un fort accent russe, nous obligent, Sylviane et moi, à nous pencher sur le capot de la Mercedes, les seins écrasés, la croupe cambrée. Elles commencent par nous donner la fessée et très vite nos culs deviennent rouges sous les coups. Puis, elles nous obligent à marcher à quatre pattes sur le bitume, nous écorchant les genoux et déchirant nos bas. Elles nous donnent toujours des coups, parfois avec un martinet qu'elles ont sorti de leur sac à main.

Puis, Natacha s'allonge sur le capot de la voiture et oblige Sylviane à lui lécher la fente. Sylviane obéit, lui donnant de grands coups de langue pendant que je suis penchée par Tatiana sur le capot et qu'elle introduit le manche du martinet dans mon cul et qu'elle le fait coulisser rapidement.

Jessica prend des photos, beaucoup de photos. Natacha se retourne et exige que Sylviane lui lèche le trou du cul. Sylviane hésite et il faut la menacer de rester ici toute la nuit pour qu'elle obtempère. Elle se penche et je suis le témoin involontaire de sa déchéance complète. Elle, la femme exemplaire, est en train de lécher le trou du cul d'une prostituée qui la traite de tous les noms pendant que Jessica, se prenant au jeu, lui claque les fesses.

Tatiana continue de me branler le cul avec le manche de son martinet et je la supplie d'arrêter. Elle se positionne sur le capot et écartant les cuisses, elle me demande de la lécher. Je me précipite, complètement excitée par cette situation et je lui aspire le clitoris, lui léchant sa vulve dégoulinante. Très vite, elle a un orgasme foudroyant, la laissant pantelante. Les deux putes veulent finir en nous ordonnant de pomper Mehdi. Nous devons nous traîner jusqu'à lui à quatre pattes et sortir sa queue de son pantalon. Sa bite est dure et épaisse et je commence par la prendre dans ma main et à le masturber. Puis je l'enfourne dans ma bouche et commence à le sucer, lui donnant des coups de langue sur son gland. Pendant ce temps, on oblige Sylviane à lui malaxer les couilles remplies de sperme. On alterne. Je suce Mehdi puis il sort sa bite et la plonge dans la bouche de Sylviane qui le pompe en faisant des bruits de succion interrompus par un gémissement de sa part quand Natacha ou Tatiana lui assène une claque sur ses fesses. Cela dure un bon moment avant que, n'en pouvant plus, Mehdi se vide sur Sylviane et moi nous aspergeant par saccades de son sperme qui s'étalent sur nos nez et nos lèvres. Des filaments coulent lentement et tombent sur nos seins.

Jessica et Mehdi prennent congé de Natacha et Tatiana qui repartent « travailler » et nous montons dans la Mercedes direction mon pavillon pour y retrouver ma fille, mon gendre et mon mari. Dans la voiture qui me ramène chez moi, je me demande ce que Jessica et ses amis nous réservent encore.

A suivre...