Ceci est l'histoire de mon entrée dans le monde d'une sexualité que certains traitent de déviante. Depuis ma maturité sexuelle, j'ai toujours voulu dominer et humilier les femmes qui m'entouraient. De nombreux fantasmes ont toujours traversé mon cerveau jusqu'au jour où je pus associer imaginaire et réalité.
Nous sommes dans les années 80. J'ai 19 ans et je viens de passer mon bac avec succès. J'ai décidé de faire mon année de service militaire pour pouvoir réfléchir à mon avenir. Je dois incorporer l'armée le 1er octobre 1982. Il me reste donc les deux mois d'été ainsi que le mois de septembre à m'occuper. Il faut savoir que mes parents sont de simples ouvriers et qu'ils ne gagnent pas de quoi m'inscrire dans des études supérieures.
Ma mère est l’aînée de 11 enfants. Elle a quatre frères et 7 sœurs. Une de ses sœurs, que j'appellerai Nicole pour ne pas donner son vrai prénom, travaille dans une entreprise de transport à 50 km de mon domicile. Un jour, ma mère lui demande si sa société ne pourrait pas m'embaucher pour les deux mois d'été. S'agissant d'un période où généralement beaucoup de personnes sont en congés annuels, cette entreprise voulut bien me prendre comme manutentionnaire. Malheureusement je n'ai pas encore le permis de conduire donc je ne peux pas faire la route tous les jours. Alors ma tante Nicole propose de m'héberger.
Il faut que je vous décrive ma tante Nicole. Elle a 40 ans, 1 m 65 pour 60 kilos. Elle est brune et je l'ai toujours vu coiffé d'un chignon strict. D'ailleurs, elle est toujours habillée dans un ensemble tailleur jupe très classe. La jupe descend juste au-dessous du genou. Et sous sa veste de tailleur, elle porte toujours des chemisiers laissant apparaître parfois par transparence son soutien-gorge en dentelle. Il faut dire que sa poitrine attire toujours mon regard. Ma tante doit faire du 100D au moins. Combien de fois me suis-je branlé en m'imaginant tripoter ses nichons? Ou alors lui fesser son cul qui, lui-aussi, est magnifique.
Étonnamment, ma tante est célibataire et vit seule dans une petite maison de 4 pièces pas loin de son travail. Qu'elle vive seule a toujours alimenté la conversation entre mes parents qui ne comprennent pas. Mais moi, je pense savoir pourquoi. Ma tante est très fière et sévère. Elle est indépendante et elle aime commander. Je crois qu'aucun homme n'a pu la supporter longtemps.
Elle est donc venue un dimanche pour déjeuner avec mes parents et dans l'après-midi elle repart chez elle avec moi dans son petit cabriolet. J'ai oublié de vous dire qu'elle donne l'impression d'avoir pas mal d'argent pour une simple comptable dans une société de transport.
Nous arrivons chez elle vers 18h00. Elle me montre ma chambre et me dit :
- Voilà Didier, tu dormiras là.
- Oui, tante Nicole, Merci.
- Il faut que je te dise que je n'accepterai pas que tu fasses traîner tes affaires ou que tu mettes le bazar dans ma maison. Compris.
- Oui tante Nicole je ferais attention.
- Nous mangerons à 19h30, regarderons un peu la télé et nous nous coucherons à 22h00. Demain, lever à 7h30 et à 8h30 je te présente au patron de mon entreprise. J'espère que tu ne me feras pas honte.
- Non tante Nicole.
Je commence à penser que ces deux mois risquent d'être assez dur avec cette femme rigoureuse. Mais j'aurais quand même la consolation de la voir tous les jours et je pourrais fantasmer sur elle.
Le lendemain matin, après le petit déjeuner, nous partons pour son entreprise. Elle me présente à son patron et s'en va dans son bureau. Le directeur me fait remplir des papiers puis m'emmène à mon poste de travail. Il hèle un homme d'environ 55 ans :
- Monsieur SOUTIER s'il vous plait, pouvez-vous venir.
L'homme s'approche. Le patron reprend :
- Je vous présente Didier le neveu de Mme MARTIN. Il va travailler avec nous pendant deux mois. Je vous le confie pour que vous lui montriez le travail.
- Oui d'accord Monsieur le Directeur.
Le patron repart, me laissant avec son ouvrier. Celui-ci me tend la main et me dit :
- Bonjour petit. Tu peux m'appeler Paul. C'est moi qui suis en charge de l'orientation et du chargement des colis dans les camions pour leur transport. Viens avec moi, je vais te présenter les autres.
Il m'emmène vers une zone où travaillent trois autres hommes. Je leur sers la main pendant que Paul fait les présentations :
- Bon voilà les gars, c'est Didier qui va nous aider pendant deux mois. Didier, je te présente Rachid, Christian et Mamadou.
En serrant les mains, je me rends compte que les trois sont tous différents. Rachid est d'origine maghrébine et il ne doit pas avoir plus de 25 ans. Mamadou est sénégalais et a 30 ans. Christian lui a 45 ans. C'est lui qui me pose la question suivante :
- Salut Didier, d'où tu viens mon gars? C'est bizarre que la société t'ait embauché.
- C'est grâce à ma tante Nicole, la comptable.
- Ah, la pute! Laissa échapper Rachid
- Tais-toi et va bosser! Lui dit Paul.
Rachid et Mamadou s'éloignent alors que je reste là abasourdi. Ils ont traité ma tante de « pute ». Mais Christian essaie de m'expliquer : - Ne fais pas attention à Rachid. Une de ses amis a été embauchée dans les bureaux mais elle aurait été renvoyée car elle piquait dans la caisse. C'est ta tante qui l'aurait dénoncée.
- Oh?
- Peu importe. Ta tante n'est pas trop appréciée par les simples ouvriers car elle nous regarde toujours de haut. Elle se sent supérieure. Mais toi tu as l'air sympa.
- Merci. Répondis-je en souriant.
- D'ailleurs on se demande bien comment son petit ami fait pour la supporter.
Je hausse les épaules, ne comprenant pas vraiment ce qu'il voulait dire. Cela le pousse à continuer :
- Et puis pourquoi elle travaille toujours. Elle roule sur l'or : belle voiture, belles tenues, beaux bijoux. Son petit ami doit être riche et tenir à elle.
Je ne dis rien. A ma connaissance ma tante n'a pas de petit ami. Rien dans sa maison n'indique qu'elle aurait une relation. Il faut que j'enquête, cela m'intrigue. Sortant de mes pensées, J'accompagne Paul et Christian qui me montrent ce que je dois faire.
La journée se passe bien. Je m'intègre vite au groupe et malgré le ressentiment de Rachid à l'encontre de ma tante, il reste sympathique avec moi.
En fin d'après-midi, ma tante et moi rentrons à son pavillon. Durant le trajet, elle me pose une question :
- Alors, comment ça s'est passé?
- Très bien. Répondis-je. Ils m'ont bien accueilli et ont été tous sympas.
- Tant mieux, j'avais un peu peur. Ils sont frustes et ils ne m'aiment pas trop, et tu es mon neveu.
Je décide d'essayer de lui poser quelques questions qui me taraudent la tête :
- Non non, ils sont très gentils. Pourquoi tu dis qu'ils ne t'aiment pas?
- Je suis cadre et eux ce ne sont que des ouvriers. Et je n'aime pas comme ils me regardent avec leurs airs libidineux.
- Non je crois qu'ils sont un petit peu jaloux de toi et de ton petit ami.
- Quel petit ami? je n'ai pas de petit ami. Tous les hommes sont des vicieux. Pourquoi je m'embarrasserai d'un vicieux.
Voyant ma tante s'énerver, je décide de ne pas pousser mes investigations plus en avant. Mais je suis vraiment étonné que son train de vie ne correspond pas à sa position dans la société. Cette histoire me dérange. Il y a quelque chose qui ne va pas. La semaine passe et je n'arrive pas à en savoir plus sur ma tante. Elle reste mystérieuse et rien ne m'indique qu'elle ait une relation. D'où peut bien venir tout son argent?
Le samedi suivant, elle m'indique qu'elle va faire les magasins et qu'elle sera absente toute la journée. Je reste donc seul dans sa maison avec ses consignes de ne rien déranger. Je me mets devant la télé pour passer le temps. Mais les questions se bousculent dans ma tête. Alors je décide de visiter la chambre de ma tante. Ses armoires sont pleines de vêtements de marque et elle possède un tas énorme de bijoux. Je décide d'aller voir son bureau où je trouve ses papiers. Je me rends compte qu'elle possède des livrets d'épargne et un portefeuille d'action. Elle a aussi deux comptes bancaires normaux. Comment peut-elle posséder autant de richesse?
Je m'assoie à son bureau et commence à décortiquer ses comptes. Le premier ne me donne pas d'informations. Il s'agit d'un compte courant où tous les mois sa paie est virée. Elle gagne 5 000 francs (et oui, à cette époque les euros n'existait pas). Cela représente environ 1,8 SMIC à cette époque. Autant dire que cette somme ne lui permet pas de payer les factures courantes et ses autres dépenses somptueuses. Le deuxième compte est étonnant. Il a un solde important et dessus sont souvent virées des petites sommes entre 200 et 500 francs. Je continue à farfouiller ses papiers et je trouve des factures de sa société. Que font-elles là?
Je crois que je commence à comprendre. Je crois que ma tante est une voleuse. En tant que comptable, elle détourne l'argent de la société de transport où elle travaille. Je suis abasourdi. Dans la famille, nous sommes tous honnêtes. Ma première réaction est de prévenir mes parents et leur demander ce que je dois faire. Mais je ne le fais pas, je dois avoir d'abord une explication avec Nicole.
Celle-ci rentre vers 18 heures avec beaucoup de paquets. Je suis en train de regarder la télé, encore indécis sur le moyen d'entamer la discussion. Ma tante va poser ses achats dans sa chambre et reviens s'asseoir dans le fauteuil sur le côté du canapé où je suis en disant :
- Ouf, je suis vannée.
- Tu as l'air d'avoir fait beaucoup de courses tante Nicole. Dis-je.
- Pas mal oui.
- Ça doit coûter cher tout ça.
- Oui mon neveu. Mais pour être une femme impeccable, il faut savoir dépenser.
Avec appréhension, je décide d'entrer dans le vif du sujet. Je lui demande :
- Mais où trouves-tu tout cet argent tante Nicole? Ce n'est pas ta petite paie qui couvre ces dépenses, tes bijoux, ta voiture, tes vêtements....
Elle se redresse sur son siège et elle me jette un regard noir en répondant :
- Mais ça ne te regarde pas.
Je suis impressionné et pas vraiment sûr de moi mais je décide de me lancer :
- Tante Nicole, je sais que tu voles de l'argent à ta société.
- Ah Ah Ah, n'importe quoi...
- Si si je le sais.
- Comment ça?
- J'ai vu des papiers de la société sur ton bureau.
- Espèce de petit fouineur, qu'as-tu fait?
Là, elle est vraiment en colère et je me demande si je ne vais pas le regretter. Mais je continue.
- Je ne peux pas garder ça pour moi ma tante. Je suis obligé d'en parler à mes parents, et peut-être à la gendarmerie aussi. Nous avons toujours été très honnête dans la famille.
Je crois qu'il lui est passé une envie de meurtre dans l'esprit. Elle semblait prête à éclater et à me donner une correction. Mais alors que j'attendais de pied ferme l'orage, elle s'effondra en larmes tout en me disant :
- Tu ne sais pas comment la vie est dure pour une femme seule. J'avais besoin d'argent pour me payer des choses dont j'avais envie. Mais tu ne peux pas comprendre.
Je suis un peu peiné de la voir dans cet état mais je suis content aussi d'avoir eu raison. Je me lève du canapé et passe derrière son fauteuil. Je pose mes mains sur ses épaules en lui disant :
- Tout peut s'arranger tante Nicole.
Et puis, excité de la voir ainsi, je descends lentement mes mains sur ses seins que je me mets à tripoter. Soudain elle se lève et me donne une grande claque :
- Que fais-tu espèce de petit salaud, petit vicieux.
L'impact de la gifle m'a fait reculer. Un moment j'hésite. Que dois-je faire? Je crois que c'est à ce moment de ma vie que j'ai pris le meilleur chemin pour moi. J'aurais pu m'excuser et partir la queue entre les jambes comme un soumis et un pleutre. Mais je décide plutôt d'être un dominant. Tout en touchant ma joue brûlante, je dis d'un ton mauvais :
- Très bien ma tante, Je m'en vais. Je vais aller avertir la gendarmerie. Je crois que tu vas passer quelques années en prison. Et je ne te dis pas ce que la famille va penser de toi.
Je ne sais pas si c'est la prison ou la honte devant sa famille mais elle se remet à sangloter et elle me dit :
- NON! Non Didier, s'il te plaît excuse-moi, je ne voulais pas te frapper. Nous pouvons peut-être nous arranger, j'ai beaucoup d'argent.
La proposition est tentante car je ne suis pas riche. Mais la douleur sur ma joue me rappelle qu'elle m'a frappée. Je veux lui rendre la pareil. Je veux l'humilier. Alors je réponds :
- Désolé tante Nicole mais je suis honnête moi. Je suis obligé de te dénoncer.
Ses sanglots redoublent. Je crois qu'elle se voit déjà en prison. Elle me supplie :
- S'il te plaît, ne me dénonce pas, je ferais tout ce que tu voudras.
- Tout ce que je voudrais, tu es sure?
- Oui oui, promis, tout ce que tu voudras.
- Alors je veux que tu te déshabilles!
Elle cesse de pleurer et reste interloquée. Elle bégaie :
- Comm..... Comment? Pour... Pour... Pourquoi?
- Pas de pourquoi. Déshabille-toi! Vite!
Elle commence à comprendre où je veux en venir. Elle hésite un moment, réfléchissant sur sa situation. Pour pousser mon avantage je saisis mon blouson et commence à avancer vers la porte d'entrée. Alors elle se remet à sangloter et commence à défaire un par un les boutons de son chemisier. Enfin elle l'enlève et le laisse tomber sur le sol. Puis elle s'attaque à sa jupe. Elle fait glisser la fermeture éclair et elle laisse le vêtement tomber sur le sol. Pour la première fois, je vois ma tante en soutien-gorge et en collant. Elle a mis ses mains pour cacher ses seins et son sexe et elle attend.
- Tu penses que ça va me suffire? Je veux te voir toute nue Tante Nicole. Toute nue tu comprends?
Ses sanglots redoublent mais elle commence à rouler son collant vers le bas, Puis elle descend sa culotte pas très sexy et enfin elle dégrafe son soutien-gorge. Elle a une paire de nichons à damner un saint. Mais, de nouveau elle remet très vite ses mains sur sa poitrine et son sexe, espérant ainsi les cacher.
Je ne le crois pas. Ma tante sur laquelle j'ai tant fantasmé, se trouve debout devant moi complètement nue. Mais je ne suis pas complètement satisfait alors je lui dis :
- Arrête de pleurer, ça ne sert à rien. Si tu ne veux pas m'obéir, tu as toujours le choix de la prison. Il est quand même plus facile de te soumettre à moi. Allez, arrête de cacher ton corps et mets tes mains sur la tête, les doigts entrecroisés. Et puis arrête de chialer!
Elle renifle et arrête de sangloter. Je sens qu'elle hésite. Mais enfin, elle lève les bras et pose ses mains à plat sur son chignon. Euphorique, je m'approche d'elle et tourne lentement autour, détaillant son corps sous toutes les coutures. Elle a un cul et une poitrine formidable. J'avais eu quelques petites amies mais jamais avec un corps aussi plantureux et bandant.
Du bout des doigts je descends le long de son dos jusqu'au début de ses fesses. Elle tressaille mais ne bouge pas. Je tapote l'intérieur de sa cuisse tout en lui demandant :
- Écarte les jambes mieux que cela!
Elle m'obéit en laissant glisser ses pieds sur le sol. Elle est honteuse et baisse les yeux.
Je me mets en face d'elle et pose mes mains sur ses deux seins. Elle a un mouvement de recul mais je referme mes doigts sur ses deux nichons. Puis je les malaxe et les triture assez brusquement. Je vois de la douleur s'afficher sur son visage mais elle ne résiste pas. Elle me laisse faire même quand je prends chacun de ses mamelons entre mon pouce et mon index et que je commence à les tordre.
- Aaaaieee....AIE.... Arrête! Crie-t-elle.
Les mains toujours sur la tête, elle essaie de reculer mais je tiens solidement ses tétons.
- Aie... S'il te plaît Didier, je suis ta tante quand même. Laisse-moi s'il te plaît.
Mais au lieu d'obéir, je tire sur ses mamelons et je l'oblige ainsi à lentement se plier en deux. Quand elle est à moitié courbée, je lâche ses seins en lui disant :
- Ne bouge plus!
Je fais le tour de ma tante, savourant le spectacle de cette position de soumission, les seins tombants, le cul bien en évidence. Je décide de bien asseoir ma position de dominant alors je lui dis :
- Je sais que tu es maline ma tante et que tu réfléchis au moyen de te sortir de cette situation. Il faut que je te dise que je t'ai pris quelques documents compromettants que j'ai caché hors de la maison. Et je suis allé à la cabine téléphonique pour appeler un copain qui récupérera les documents pour les garder pour moi.
Bien sûr, je n'avais rien fait de tout cela mais ma tante n'avait pas besoin de le savoir. Elle se remet à sangloter. Je continue :
- Il ne te reste que deux choix : soit la prison et le déshonneur, soit devenir mon esclave. Que choisis-tu?
- Snif... Snif... Je... Je choisis... Snif... ton esc.... Snif... esclave.
Je retourne m'asseoir dans le canapé. Elle me suit des yeux en pleurant.
- Arrête de pleurer je t'ai déjà dit! Nous allons discuter un peu, je veux te connaître un peu plus.
Alors qu'elle fait mine de se relever et d'enlever ses mains de dessus sa tête, je gronde :
- RESTE EN PLACE SALOPE!
Elle sursaute, surprise d'une telle violence dans ma voix, mais elle reprend très vite la position. Elle s'est arrêtée de pleurer. Je me mets alors à lui poser des questions :
- Combien as-tu connu d'hommes sexuellement ma tante?
Je la vois rougir. Elle vient de comprendre ce que je voulais dire en lui parlant de la connaître un peu plus. Elle me répond d'une petite voix :
- deux... trois c'est tout.
- As-tu un petit ami?
- Non.
- Alors sexuellement comme ça se passe?
- Euhhh... Euhhh... Je me fais plaisir toute seule. Dit-elle tout doucement.
- Quoi? je n'ai pas entendu?
- Je me fais plaisir toute seule.
Cette fois ci elle a parlé plus fort. Elle est rouge pivoine de honte et son regard ne veut pas croiser le mien.
- D'accord. Revenons aux hommes que tu as connu. Les as-tu sucés?
- Oui un peu mais c'est dégoûtant.
- Mais non. Je suppose que tu n'es plus vierge?
- Non.
- Et ton cul? as-tu déjà pris une bite dans ton cul?
- Euhhh... non jamais.
- Tu as hésité! Ne me mens pas ou c'est la prison je te rappelle.
- S'il te plaît Didier! Je n'ai jamais eu un homme dans mon cul mais...
- Mais?
- Quelque fois je me mets un doigt ou deux.
Je me mets à rire. Elle n'est donc pas coincée du cul ma tante. Par contre, je crois qu'elle va éclater si elle rougit encore plus. Ma bite est dure comme de la pierre dans mon pantalon. Il faut que je me libère.
- Bon, je vais essayer de t'expliquer la situation. Tu es devenue mon esclave maintenant. Si tu ne veux pas m'obéir, si tu te plains, si tu refuses quoi que ce soit que je te demande c'est direct la prison. As-tu bien compris?
- Oui j'ai compris!
- Alors, viens te mettre à genoux devant moi! défais mon pantalon et sors ma bite! puis suce!
Elle n'hésite qu'un court instant. Elle se met à genoux devant mes jambes écartées, défait le bouton de mon pantalon, baisse ma braguette et sort ma bite. Elle a l'air un peu surprise devant l'engin mais elle ouvre la bouche et plonge la tête.
- Mets tes mains derrière ton dos! Ordonné-je.
Elle obéit et continue assez maladroitement de me sucer.
- Tu suces mal ma petite tante, il va falloir apprendre. Prends ma bite plus profond dans ta gorge et caresse-la avec ta langue.
Je pose une main sur sa tête et j'appuie dessus. Mon gland va taper le fond de sa gorge. Elle a un haut le cœur mais elle arrive à se reprendre. Mon autre main va attraper un de ses seins que je malaxe et tripote durement. Ma première main saisit son chignon et je monte et descend sa tête sur ma queue. Elle pousse des petits cris étouffés. Je suis excité depuis trop longtemps et je ne peux me retenir plus. J'éjacule dans sa bouche tout en tenant sa tête appuyée. Quand je relâche la pression, elle relève la tête et laisse échapper de sa bouche mon sperme mélangé à sa salive. Alors qu'elle reprend sa respiration, tout tombe sur ma bite qui ramollit.
CLAC.
Je lui mets une grande gifle en lui disant :
- C'EST QUOI CA SALOPE?
Elle met une main sur sa joue rougissante. Je vois bien qu'elle ne comprend pas alors je lui explique :
- Tu es mon esclave, je suis donc ton Maître. Et tout ce que te donne ton Maître doit être accepté. Tu aurais dû avaler ma semence. LECHE MAINTENANT SALOPE.
Ses yeux s'ouvrent en grand. Je vois du dégoût sur son visage. Elle hésite mais comprend vite qu'elle doit m'obéir. Alors elle se penche, tire la langue et nettoie tous les dégâts. Je vois bien que ça la rebute mais il faut qu'elle s'habitue. Quand elle a fini, elle baisse la tête et attend.
- Bonne petite chienne! Va faire à manger maintenant!
Nicole se relève et fait mine d'attraper ses vêtements pour s'habiller mais je l'arrête :
- Non, maintenant, dans cette maison tu seras soit à poil soit en sous-vêtements, c'est moi qui déciderai. Va faire à manger à poil.
Sans rien dire, elle me tourne le dos et se dirige vers la cuisine.
A suivre...
Excitante histoire …
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