Après avoir brisé quelques barrières, ma femme sembla plus détendue et me parla d'elle et des ouvriers. Toutefois elle fut irritée lorsque j'insistai pour avoir des détails comme où tout le monde était assis, qu'est-ce qu'elle portait exactement. Ce sont ces détails qui créaient un film dans mon esprit et qui faisaient que j'étais excité.
Parfois je lui demandai de raconter la même histoire, mais les détails différaient. Elle me raconta comment au cours de la matinée elle était impatiente et marchait de long en large en les attendant. Et quand ils arrivaient, ils commençaient à bavarder et à prendre un verre, puis elle s'asseyait sur le genou de l'un d'eux. Et ils commençaient rapidement à tous devenir excités.
Parfois elle était assise sur un genou et ils discutaient alors qu'une main caressait sa chatte, sa robe remontée pour qu'ils puissent tous regarder. D'autres fois, les hommes étaient plus actifs. On mettait sa main dans un pantalon en lui demandant de jouer avec la bite qui s'y trouvait. Pendant ce temps on ouvrait son haut pour exposer ses seins.
- J'ai commencé à ne porter que des robes qui s'ouvraient sur le devant, pour faciliter les choses. M'expliqua-t-elle.
Elle me dit que parfois elle se tenait près de l'évier de la cuisine avec un des hommes, la robe complètement ouverte et ses seins sortis de son soutien-gorge. Elle masturbait l'ouvrier pendant que les deux autres observaient. Puis ils se relayaient et éjaculaient tous sur elle.
D'autres fois, elle restait debout, les jambes écartées, appuyée contre le plan de travail face aux hommes assis. Puis un des ouvriers se mettait à côté d'elle et tirait sa culotte sur le côté et mettait un ou deux doigts dans sa chatte.
- Est-ce qu'ils ne t'ont jamais enlevé ta culotte? Demandai-je.
Doucement elle me dit :
- Quelques fois... La première fois qu'ils m'ont demandé j'ai dit non car quelqu'un aurait pu venir. J'aurais pu reboutonner ma robe rapidement mais je ne voulais pas me déshabiller complètement.
- Mais ça t'est arrivé?
Coupable, elle me répond :
- Mon Dieu, ça semble si mal. Nous étions debout contre le plan de travail, ma robe était déboutonnée et j'avais un homme de chaque côté. Et avant que tu demandes, oui je branlais leur bite, j'en avais une dans chaque main. Ils me demandèrent d'enlever ma culotte et quand je leur ai expliqué pourquoi je ne voulais pas, le troisième homme a été verrouiller la porte. Quand il est revenu, ils m'ont regardé baisser ma culotte. Ensuite je les ai laissé regarder et jouer avec ma chatte. Ils l'ont titillée et pénétrée avec leurs doigts. Ils ont même soulevé une de mes jambes sur une chaise pour mieux voir.
- Ils t'ont baisée?
- Non, mais j'ai branlé leur bite contre mon clitoris pendant que je les branlais.
- Tous les trois?
- Oui les trois. Admit-elle en baissant les yeux.
- Sois honnête maintenant, dis-moi quand ils t'ont baisée pour la première fois.
Ce fut le moment d'un grand pas en avant. Je rajoutai :
- Ne gâche pas tout en mentant, dis la vérité.
- Après avoir enlevé ma culotte cette fois-ci, je les laissai souvent faire. Parfois, ils le faisaient eux-mêmes pour plus d'excitation, sinon ils me regardaient l'enlever. A ce moment-là, il n'y avait plus que deux ouvriers qui venaient, le troisième étant en vacances.
Un jour, alors que j'étais assise sur les genoux d'un, la robe retroussée, sans culotte, les seins à l'air et que je jouais avec sa bite, Il m'a remise debout et m'a embrassée plus fort que d'habitude. L'autre s'est approché et bientôt j'ai pu sentir leurs deux bites se presser contre mon ventre. Ils tripotaient mes seins et les mordillaient plus fortement. Puis ils me dirent d'écarter les jambes. Bien que j'aie répondu non, je l'ai quand même fait. Ma tête était tournée sur le côté et un homme m'embrassa. C'est à ce moment que j'ai senti une bite entrer dans ma chatte. Je sais que j'aurais dû l'arrêter, mais j'étais trop excitée. Je l'ai laissé faire et il m'a baisé debout.
- Et tous les deux t'ont baisée?
Elle acquiesça :
- Oui tous les deux.
- Et après ça ils l'ont fait souvent?
Elle acquiesça de nouveau en baissant les yeux. Alors je lui posai une question qui me trottait dans la tête :
- As-tu parfois sucé leur bite?
Ma femme prit une profonde inspiration et acquiesça de nouveau.
- Pendant que les autres regardaient?
Hésitante, elle hocha la tête.
- Et ils ont joui dans ta bouche?
Elle craqua et elle commença à pleurer.
- Ne me demande pas plus. Dit-elle en sanglotant.
Je crois que je l'avais poussée trop vite dans ses révélations. Mais maintenant, j'insistai pour avoir plus d'informations. Avait-elle avalé leur sperme? Si elle admettait avoir été baisée par les feux hommes, pourquoi ne voulait-elle pas continuer à raconter? Que cachait-elle? Mais une question la bloqua complètement. Lorsque je lui demandai :
- As-tu fait la même chose avec d'autres hommes?
Elle répondit sèchement :
- Connard.
Ce fut comme une troisième guerre mondiale entre nous les jours suivants. Jusqu'à ce qu'elle en ait marre et me crie :
- Rien de tout cela n'est vrai, C'est un gros mensonge. Je te l'ai dit simplement pour que tu sois plus excité au lit. Tu m'as harcelé alors j'ai inventé une histoire.
Et elle ajouta d'un ton méchamment moqueur :
- Tu crois qu'ils pouvaient faire des pauses aussi longues. Et peux-tu m'imaginer faire ce genre de chose.
Pour être honnête, je ne pouvais pas. Mais en vérité, elle avait fait beaucoup plus, bien pire. Cependant il me faudrait presque dix ans pour le savoir. Et la vérité viendrait d'une autre personne, quelqu'un qui était là.
Pour ne pas ennuyer le lecteur, je résumerai les années à suivre en quelques mots. Il y eut des disputes et des récriminations. Je lui disais toujours qu'elle avait une imagination incroyable et que c'était étonnant que notre vie sexuelle soit si ennuyeuse. Ce n'était pas vraiment utile je sais, mais cette histoire me torturait l'esprit. Où était la vérité?
Je pensais beaucoup aux trois possibilités sur ce qui c'était passé. La première était qu'il ne s'était rien passé. La deuxième est qu'il s'agissait d'une histoire d'amour avec un des gars et pas seulement du sexe. Et la troisième était qu'elle avait fait quelque chose qu'elle devait cacher à tout prix. Cette troisième possibilité était la moins probable pourtant il s'avéra que c'était celle-ci. La nier était pratique pour ma femme, elle n'avait pas à se rappeler d'une version qu'elle m'avait raconté.
Je découvris qu'elle avait une liaison mais c'est une autre histoire. Le fait est que je me suis rendu compte que même si elle semble timide et naïve et qu'elle ne sortait jamais avec des amies pour boire ou s'amuser, elle était capable de devenir très vicieuse. Lecteurs masculins méfiez-vous, les aventures de ma femme se sont déroulées à la maison. Ne sous-estimez pas les occasions pour votre femme d'être infidèle.
S'il s'agissait d'un film, un bandeau apparaîtrait à l'écran pour afficher le message : « Dix ans plus tard ».
J'étais dans un cours de self-défense. Un des hommes qui était là discuta avec moi. Au cours de la conversation il me demanda où j'habitais. Après lui avoir dit, il me répondit :
- Oh oui, j'ai travaillé sur les maisons de ce quartier quand elles ont été rénovées il y a quelques années.
J'évitai de lui dire depuis combien de temps j'y habitais et je le laissai me parler de ce qu'il y avait fait.
- Nous avons passé un bon moment en ce temps-là. Les patrons s'en foutaient un peu. Nous pouvions disparaître pendant des siècles et ça ne les dérangeait pas. Le quartier était très grand et la plupart des habitants étaient partis pendant la rénovation. Les fonds étaient alloués sans limite de temps. Et il n'était pas facile de trouver des ouvriers expérimentés. Les patrons ont donc fermé les yeux sur la plupart des choses. Vous pouviez faire, ce qui leur semblait trois jours de travail, en un jour et passer le reste du temps à faire ce que vous vouliez, comme divertir les femmes au foyer, si vous voyez ce que je veux dire.
Je devinai que ce gars pouvait me dire des choses sur ce qui c'était réellement passé. Je voulus lui offrir un verre pour qu'il continue de me parler mais il n'avait pas le temps. Toutefois il continua :
- Quelques femmes au foyer avaient toujours des petits travaux supplémentaires à faire faire. Et comme il y avait des plombiers, des électriciens, des menuisiers et autres professions elles leur demandaient des faveurs selon ce qu'elles avaient comme travaux.
Après avoir écouté un moment, je lui dis :
- Oui j'ai déjà rencontré un gars qui y travaillait à la même époque. Je crois qu'il s'appelait Bob.
C'était un mensonge, je ne l'avais jamais rencontré. Mais c'était le prénom de l'homme dont ma femme avait le plus parlé, celui qui semblait être le meneur.
- Ah oui Bob! Oui c'est vrai, il s'est bien amusé. Avec une jeune fille blonde sexy qui se cherchait. Elle emmenait ses enfants à l'école et Bob avec d'autres lui rendaient visite.
Je dis en essayant de ne pas avoir l'air trop curieux :
- Vraiment? Qu'est-ce que vous voulez dire par « autres »
- Deux de ses copains au début. Puis il en a laissé d'autres participer à l'action. Ils ont passé un bon moment.
Je souris :
- Désolé mais ça me semble difficile à croire. Ils ont fait la queue?
- Non, bien sur que non. Tout le monde n'était pas ami avec tout le monde. Des petits groupes s'étaient formés. Certains allaient au pub, d'autres se doraient au soleil et d'autres n'étaient pas intéressés. Et puis attention, vous avez peut-être entendu des histoires fausses, certains gars racontaient des conneries. Il est parfois sage de ne pas poser trop de questions, car certains secrets ne sont pas des secrets, si vous me suivez.
Il continua de parler. J'étais de plus en plus convaincu qu'il parlait de ma femme et des ouvriers.
- Mais comment savez-vous que ces histoires sont vraies? Y avez-vous participé?
- Malheureusement non, mais un vendredi matin, j'ai dû me rendre chez la femme blonde. Un inspecteur des bâtiments avait besoin de moi et d'un autre homme. Mais généralement, le vendredi, jour de paye, la plupart des gars partaient au bar ou dormaient dans un endroit tranquille. Mais j'avais remarqué depuis plusieurs semaines que des hommes entraient dans cette maison. Ils étaient cinq ou six mais ils n'y allaient pas tous en même temps, ils y entraient seul ou par paire. Cela aurait pu être normal, mais je savais qu'il n'y avait pas de travail prévu à cet endroit. Et le quartier était généralement plus ou moins désert à cette heure.
L'homme était intarissable. Je le laissai donc parler.
- Le type dont j'avais besoin n'était pas un ami, mais je l'avais vu entrer. En en voyant d'autres entrer aussi, je me suis dit que la porte ne devait pas être verrouillée. Je me suis dit qu'ils jouaient peut-être aux cartes ou qu'ils buvaient un verre avec la blonde bien que ça paraisse inhabituel. Mais la porte était verrouillée donc j'ai dû frapper. Un gars qui me connaissait a répondu et quand je lui ai dit ce que je voulais, il m'a fait entrer et il a refermé la porte derrière moi. Il faisait très chaud. Le gars me laissa dans le couloir et entra dans la cuisine. J'entendais une conversation étouffée mais ça me semblait trop silencieux pour cinq ou six hommes.
Il reprit son souffle puis continua :
La porte de la cuisine étant entrouverte, je me suis approché pour jeter un œil. Je voyais le dos de deux hommes et d'autres personnes qui fixaient tous le coin de la pièce. Je me suis dit qu'il devait regarder la télévision, mais je ne voyais rien d'autre. Puis lorsqu'un des types s'est déplacé, j'ai eu la surprise de ma vie. La blonde était assise sur une chaise de cuisine. Elle n'avait pas de haut, elle était nue jusqu'à la taille et elle suçait un homme. Elle le pompait alors qu'un autre avait le bras tendu devant elle. Quand il bougea un peu, je vis qu'elle avait les jambes grandes ouvertes, la jupe retroussée à sa taille et pas de culotte. Elle laissait l'autre gars la doigter alors que sa main branlait sa queue. Je suppose que les autres attendaient leur tour.
Il rigola. Je demandai :
- Alors vous êtes resté et vous en avez profité?
- Non, je suis sorti de la maison quand l'homme que j'étais venu chercher m'a rejoint. Je vous ai dit que tout le monde n'était pas des amis? il ne faut pas se mêler des affaires des autres.
Je rigolai avec lui :
- Eh bien, vous m'avez raconté une bonne histoire, intéressante et incroyable. Je bande.
- Tant mieux alors. En tout cas, je vais rentrer chez moi. A la semaine prochaine.
Putain j'étais dégoûté. C'était ma femme. Son histoire était vraie et même pire. Ou alors était-ce une autre femme? Mais non, trop de détails concordaient, surtout celui du nom du mec. Après m'être dit il y a quelques années que ma femme n'était peut-être pas aussi infidèle que je le croyais ; je revenais à la case départ. Quelle était la vérité? J'en avais assez qu'elle me mène en bateau et qu'elle me traite avec mépris.
Sur le chemin du retour à la maison, je remarquais que, malgré la douleur et la colère, ma bite devenait de plus en plus dure.
A suivre...
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