lundi 29 janvier 2024

La déchéance de Sophie Ch. 03

 Récit de Monsieur_E (2016)

*****

Goûter à l'interdit.

Cette nuit là, je fis ce que je pouvais pour éviter tout contact avec mon mari. Roulée en boule de mon côté du lit, j'étais submergée par la honte et le dégoût de moi. Autant dire que c'est à peine si je fermais l'oeil. Je me repassais sans cesse le film de l'après-midi dans ma tête et à ma grande honte je devais m'avouer que toute forcée et humiliée j'avais connu le plus grand orgasme de ma vie.

Au petit matin, ce trouble et le manque de sommeil firent que je me retrouvais psychologiquement à bout. Je m'habillai comme un automate, par pure habitude, la seule différence cette fois-ci était que mon cerveau avait enregistré que je ne devais plus tenter de désobéir à mon tourmenteur. La leçon avait porté ses fruits. Je m'observais dans la glace et me fis presque rougir.

Mes seins nus tendaient l'étoffe de mon chemisier et le courant d'air que je sentais entre mes cuisses me faisait frissonner. Les bas auto fixants qui complétaient ma tenue achevaient de me donner l'air d'une chienne en chaleur.

Mon humeur maussade semblait avoir contaminé toute la famille et c'est dans un silence pesant que se déroula le trajet vers l'école.

Fidèle au poste, Eric se tenait à son emplacement habituel entouré de sa cour de petits merdeux et c'est telle une vache menée à l'abattoir que je m'approchais de lui. Aujourd'hui je n'eus pas à attendre longtemps pour que tous se tournent vers moi. Je sentais les regards des ados un peu partout sur mon corps, augmentant mon malaise. Quant à leur chef, c'est bien droit dans les yeux qu'il me regardait. Les positions étaient claires désormais entre nous. D'instinct, je baissais les miens.

- "Bonjour ... Monsieur".

- "Salut Sa..Sophie". 

Le ton était presque aimable mais le lapsus certainement volontaire qu'il avait failli faire sonnait comme un avertissement à mes oreilles. Puis semblant prendre le groupe à témoin il ajouta de manière désinvolte.

-"Il fait particulièrement beau ce matin, tu dois avoir chaud avec ton chemisier fermé comme ça..."

Sous cette allusion anodine, l'ordre était clair comme de l'eau de roche. Je le suppliai silencieusement mais devant son regard inflexible je rougis et mes mains tremblantes commencèrent à déboutonner mon haut. 1 puis 2 boutons, son attitude inchangée m'interdisait de m'arrêter. Pleurant presque j'ôtai le 3ème.

A présent tous mataient ma poitrine sans retenu. Au 4ème un sourire de triomphe s'inscrivit sur sa vilaine figure et il lâcha un commentaire qui déclencha un fou rire général.

-" Tout compte fait on pourrait croire qu'il fait froid..."

Je baissai les yeux et blêmis. Une bonne moitié de mon ample poitrine était visible de tous et surtout, surtout rien ne pouvait masquer le fait que mes tétons étaient tendus à l'extrême. Une fois de plus mon corps réagissait malgré moi. J'étais excitée d'être jetée en pâture à ces gamins en rut. Choquée, je le vis tendre sa main et me glisser un papier dans la mienne. Je le lus. c'était sec et brutal.

* Démerde toi pour me prouver que tu a respecté mes ordres... tous !

Oh mon Dieu, il ne voulait tout de même pas que je me mette nue en public !

- "Bonne journée miss Sophie". 

Il me congédia sur ces mots. Je tournai vite le problème dans tous les sens. Finalement je pris la seule solution qui s'imposait à moi. Je tournai le dos, fis quelques pas et lâchai mes clés faisant semblant de les faire tomber. Morte de honte je me penchai lentement en avant pour les récupérer, sentant ma jupe remonter le long de mes cuisses, dépassant le haut de mes bas et s'arrêter, dévoilant juste le bas de mes fesses. Le silence s'était fait derrière moi et j'entendis distinctement un *clic* révélateur d'une photo accompagné d'un "oh la pute !".

Je me précipitai aussi vite que je pus vers ma voiture. Sous ma jupe, ma chatte était trempée...

Je ne sais même pas comme je suis arrivée au bureau, je ne me rappellai rien de la route. Ce n'est qu'une fois garée que mon cerveau se reconnecta... pour découvrir aussitôt un SMS de mon maître-chanteur.

"Bien ma salope, je vois que tu commences à comprendre. Pour te récompenser tu peux reboutonner 1 bouton. 1 SEUL PUTAIN DE BOUTON !! Oublie pas que je le saurai !"

Je m'exécutai, faisant de mon mieux pour masquer le plus de chair possible sans manquer à ses exigences. C'était à peine mieux. Je pris mes dossiers et m'en servis comme bouclier contre mon corps pour passer le contrôle à l'entrée et atteindre mon bureau. Le vigile me regarda passer les yeux plissés mais ne fit pas de commentaires.

Dans mon équipe il y eut bien des regards et des sourires en coin mais c'est surtout Jessica qui se manifesta. Elle n'hésita pas ouvertement à ricaner de mon accoutrement ni même à me servir des insinuations douteuses. La plus violente fût quand elle se leva pour fermer la fenêtre et déclara d'une voix forte dans tout l'open-space :

- " Un peu de sollicitude pour notre chère cheffe, elle risque un courant d'air et un rhume de fesses !"

Il y eut quelques rires et moi je rougis et piquai du nez sur mon clavier en bredouillant. Je ne m'attendais pas à ça à ce moment et j'étais déstabilisée. Moi qui faisait tout pour assoir mon autorité, je perdais pieds avec cette petite dinde. Devant mon absence de réaction elle poussa encore son avantage et vint carrément se planter face à moi.

-"Je n'aurais peut-être pas dû. Ca n'a pas l'air de vous faire plaisir que je pense à vous" dit-elle de son ton sarcastique. 

- "Si, si c'est très bien !" répondis-je d'une petite voix.

-"Alors vous pouvez peut-être me remercier non ?"

Je relevai la tête choquée et m'aperçus qu'elle fixait mon décolleté (et une bonne partie de mes seins par la même occasion). Je rougis à nouveau et sans réfléchi, balbutiai un "merci Jessica !".

-"Miss" répondit-elle du tac au tac.

-"Pardon ?"

Elle se pencha en avant et ajouta à mi-voix.

-"Ce sera Miss Jessica dorénavant."

Sans ajouter un mot elle retourna a sa place et moi j'en restai comme deux ronds de flan. Dans mon esprit, la colère se mêlait à la honte de m'être laissée ainsi dicter ma conduite. Par instinct, je levai la tête vers la baie vitrée et constatai que, comme par hasard, Richard n'en avait pas perdu une miette. Je ne fus guère surprise quand peu de temps après mon poste se mis à sonner.

-" Sophie ? Pouvez-vous venir me faire votre rapport avant de partir ?"

Je raccrochai en acquiesçant, tentai tant bien que mal de me donner une contenance et 5 mn plus tard, je frappai à son bureau.

Comme à son habitude il ne fis pas de commentaires alors que je lui présentais les résultats de la journée sauf que je trouvais cette fois, et pour cause, que son regard se faisait plus insistant sur mes parties intimes. Rompue à cet exercice, je m'apprêtais à conclure quand cette fois il me surprit.

-"Bien, bien, j'ai devant moi un dossier et il y a une chose que je ne comprends pas bien, venez voir je vous prie."

Intriguée, je m'approchai et me penchai à ses côtés pour étudier le document en question.

-"Qui y a t-il Richard ?"

J'avais beau lire et relire les paragraphes, je ne voyais pas ce qui clochait. Je tournai alors la tête vers lui et le pris en flagrant délit. Vu nos positions respectives, mon décolleté et la manière dont je me tenais, le vieux salaud avait un aperçu imprenable sur mes seins et même mes auréoles ne lui étaient plus cachées. J'ouvris la bouche pour protester quand je sentis sa main se poser derrière moi sur ma cuisse et entreprendre lentement l'ascension de mon entrejambe.

-"Vous êtes sûre qu'il n'y a rien de bizarre dans ce contrat ?"

-" Je... ne..."

Choquée, je mis un temps à me ressaisir. Temps que ce pervers mis bien à profit. Sa main remonta jusqu'en haut de mes cuisses entrainant ma jupe par la même occasion. Je frissonnai quand elle atteint le bas de mes fesses. Enfin, la rage éclata en moi au moment où ses doigts commençaient à s'insinuer dans ma raie. Je me relevai et dans le même mouvement le giflai violemment.

-"Richard, comment osez-vous ?" criai-je.

Il ne me laissa pas le temps d'enchaîner. Il hurla.

-"VOUS, COMMENT OSEZ-VOUS VENIR AINSI AU TRAVAIL VETUE COMME UNE PROSTITUEE DE BAS ETAGE. C EST UN MOTIF DE RENVOI AU CAS OU VOUS L'IGNORERIEZ."

Je reculai comme s'il m'avait frappé.

-"Rentrez chez vous" m'intima t-il "mais je n'oublierais pas ça, vous pouvez me croire".

Devant son air furieux, je ne demandai pas mon reste et me sauvai, prenant à peine le temps de réajuster ma tenue.

Je ne m'attardais pas ce soir là et j'atteignais la porte quand mon portable se rappela à mon souvenir. Désespérée, je reconnus immédiatement l'expéditeur du message.

"Dès que tu as fini, viens à cette adresse, au deuxième étage, porte gauche. Pas d'excuse pour ne pas être là. Tu sais que je ne plaisante pas."

Etait jointe une adresse dans un des plus mal fréquenté quartier de la ville. Vu mon statut je n'y allais jamais bien entendu et cette fois encore j'aurais aimé y couper mais je savais désormais et de manière cuisante, que je n'avais pas le choix.

Je programmais le GPS et prévenais à la maison que je risquais de rentrer tard avant de démarrer.

20 mn plus tard, je tournais en rond autour de barres d'immeubles plus moches les unes que les autres à la recherche du bon numéro. Je parvins néanmoins à trouver une place non loin de l'entrée et m'y dirigeais d'un pas que je voulais assuré alors qu'en fait je n'en menais pas large. Rien que l'idée de me promener dans cette tenue ici me donnais la chair de poule.

Comme de bien entendu, un groupe de squatter fumait dans le hall et des sifflements retentirent sur mon passage. Je m'efforçais de regarder droit devant moi et me précipitais aussi vite que possible sans courir dans les escaliers. Mes hauts talons sur le carrelage produisaient un bruit terrible et j'avais l'impression que tout les occupants allez venir voir ce qui se passait.

Arrivée devant la porte, je relus le message pour être certaine de l'endroit (il ne manquerait plus que je me trompe et atterrisse chez un psychopathe) et hésitait. Je soupirais et me résignais finalement à frapper.

-"Entre !"

Je m'exécutais et fis quelques pas dans ce qui semblait être un deux pièces, étonnement propre et plutôt bien rangé même si la déco était minimaliste. Une cuisine américaine donnait sur le salon où Eric était vautré sur un clic-clac qui en avait vu d'autres. Un grand écran était fixé sur le mur de face. Interdite, je ne savais trop que faire quand il se leva lentement et vint se poster devant moi.

-" Connasse ! Tu as déjà oublié la règle de base et comment tu dois te tenir en face de moi ?"

Ca partait mal. Je sursautais et me rappelant d'un coup les consignes me laissais tomber immédiatement à genoux. La honte était toujours là mais le geste semblait plus facile à chaque fois comme si mon esprit se repliait pour se protéger de ces horreurs.

-"Excuse toi d'être aussi stupide !"

Je répondis aussitôt.

-"Je suis désolée Monsieur d'être aussi bête. Je vous en prie, pardonnez moi !"

Les mots étaient sortis tous seuls mais curieusement la facilité avec laquelle j'avais obéi sembla l'agacer. Il marqua une pause avant de continuer.

-"Prosterne toi et lèche moi les pieds ! "

J'écarquillais les yeux, sans réaction et cette fois la lueur maligne s'alluma dans son regard. Il mit son pied en avant et croisa les bras en attente. Il savait qu'il était tout puissant. Avec répugnance je m'abaissais devant lui et timidement touchais sa basket de ma langue. J'y passais plusieurs minutes qui semblèrent durer des heures, n'osant pas m'arrêter. Le goût âcre du cuir sale envahissait ma bouche. Lui ne bronchait pas.

-"C'est bon. Arrête toi !".

Un peu perdue, je me redressais à genoux pour me retrouver face à son téléphone. Ce petit fumier avait filmé la scène. Devant mon air ahuri il éclata de rire.

-"Ne t'inquiètes pas, ça restera PRESQUE entre nous. D'ailleurs...", ajouta t-il en tournant l'écran vers moi, "tes exploits de ce matin ont marqué les esprits."

Choquée je contemplais la photo qui avait été prise quand je "ramassais" mes clefs. Mes fesses était clairement visible et on devinait aisément ma fente nue entre mes cuisses.

- "Je crois bien que tous mes potes doivent se branler en ce moment en matant ton gros cul. ça te fait plaisir qu'une bande de jeunes s'astiquent en pensant à toi pétasse ?"

Tétanisée je fis non de la tête mais au même instant je sentis une décharge dans mon bas ventre. Mon Dieu, au fond de moi, une partie sombre aimait ça. Devant ma dénégation il eut un rictus entendu.

-"D'ailleurs, en parlant de se branler... sors moi la queue, vieille pute !"

Au moment où il prononça ces paroles je sentis une nouvelle décharge. Je rougis tout ce que je pus, j'avais peur qu'il ne s'en rende compte mais d'une main il attrapa la télécommande et alluma la télé, tellement certain que j'allais obéir docilement qu'il ne prêtait pas attention à moi.

L'écran s'alluma une fois de plus sur un porno : Une fille qui semblait jeune et dont on ne voyait pas le visage encaissait des coups de boutoirs magistraux en levrette. Aux couinements qu'elle faisait je n'aurais su dire si elle avait mal ou s'il elle prenait un pied immense.

Obnubilé par le spectacle, il attendait et malgré moi, mes mains se dirigèrent vers son jean et descendirent sa braguette. A genoux devant lui, j'abaissais son caleçon, libérant son membre encore au repos. Même ainsi, je fus encore une fois surprise par sa taille et ne pus m'empêcher de comparer avec celle de mon mari. Il daigna enfin baisser les yeux vers moi et sourit, devinant mes pensées.

-"Crache dessus !"

-"???"

Interloquée, je ne réagis pas assez vite à son goût et une gifle me ramena vite à mes devoirs.

Pfuittt !

Je fis de mon mieux et de la bave coula sur son chibre. Il me regarda droit dans les yeux.

-"Maintenant tu vas me branler comme si ta vie en dépendait tu entends, et c'est peut-être bien le cas alors tu as intérêt à me satisfaire... TOUT DE SUITE !"

Cette fois je ne m'attardais pas et d'une main tremblante je me saisis de son pieu. C'était doux et chaud. J'entamais des mouvements lents de va et vient et je compris pourquoi il m'avais demandé de cracher : ma salive facilitait mes aller-venus.

Sous mes doigts je sentais sa chair se gonfler de plaisir. J'accélérais la cadence et bientôt son membre atteint sa taille maximale. Malgré moi j'étais impressionnée par ses dimensions. La chaleur augmentait de plus en plus en moi et je m'activais plus rapidement encore.

Mes seins ballotaient en rythme ce qui lui donna l'envie de les libérer de leur maigre protection. Il défit mon chemisier totalement et, à l'instant où il se saisit de mes tétons durcis pour les pincer, je ne pus réprimer un gémissement.

-"ça te plairait d'être à sa place pas vrai ma chienne ?"

Sans lâcher mon étreinte je tournais la tête un moment vers l'écran et eut un choc. La caméra s'était retournée quelques secondes me permettant de voir que la queue qui faisait crier de plaisir la fille à l'écran (il n'y avait plus de doute à ce sujet), je l'avais en main en ce moment.

Abasourdie, je ne répondis pas toute occupée que j'étais à l'astiquer de plus en plus vite et fort. Il se pencha vers moi et maltraita ma poitrine offerte, malaxant, tirant, pinçant.

-"Tu ne mérites pas de l'avoir en toi, tu n'es pas assez bonne pour ça !"

J'étais mortifiée, frustrée. Mon excitation par toutes ces stimulations était à son comble. Je coulais comme une fontaine, mon bassin s'agitait grotesquement dans le vide et mes gémissements se faisaient plus soutenus.

-"Dis le que tu aimes branler la bite d'un garçon qui a l'âge d'être ton fils ! Avoue que tu n'es qu'une sale chienne qui ferait tout ce que je veux pour que je la baise !! Je veux t'entendre."

Je perdais totalement la raison. De moi-même je crachais sur son sexe pour le lubrifier avant de l'empoigner à nouveau furieusement. Pitoyablement, perdue par mes sensations j'étais vaincue.

-"oui... oui... OUI !!!"

Il attrapa mes cheveux et les tordit brutalement.

-"OUI QUI ?? OUI QUOI ??"

-"AaaaaAAaaah, oui Monsieur... j'aime branler votre queue... OUI je suis une salope, une pute..."

Sans réfléchir, ma main libre avait plongé entre mes cuisses et moi qui ne me touchait que très rarement, je me caressais sans retenue comme une actrice porno de seconde zone. J'entendis alors un râle et un long jet de sperme s'étala sur mon visage. Surprise je me reculais alors que 4 saccades puissantes jaillirent encore de la queue bandée d'Eric pour finir sur le carrelage.

-"REGARDE CE QUE TU AS FAIT GROSSE TRUIE !".

Il me força d'un coup à me mettre à quatre pattes.

-"Tu vas tout récupérer avec ta langue et le garder en bouche !"

Effrayée, au bord de la jouissance, éreintée par mon manque de sommeil, j'obtempérais dans la seconde, ma langue léchant le liquide tiède et poisseux encore et encore jusqu'à ce que plus une trace ne se voit. 
A peine terminé, il revint à la charge.

-"Maintenant puisque tu as avoué être une pute tu vas agir comme telle. Tu vas t'assoir le cul par terre et les jambes écartées. Tu vas m'ouvrir ta chatte pour bien me la montrer et te branler comme une salope. Pendant tout ce temps tu garderas ta bouche ouverte..."

Il avait repris son téléphone pour filmer la scène. Une partie de mon cerveau protestait mais bien mollement. J'étais au dessus de ça, j'étais au dessus de tout en cet instant. Docile, j'offrais le spectacle d'une mère de famille tombée dans la plus grande déchéance. Les cuisses ouvertes, j'écartais de deux doigts mes grandes lèvres lui donnant accès à mon intimité la plus secrète. La jupe remontée sur la taille, les seins tressautant, j'astiquais ma chatte lisse, la bouche remplie de sperme. Au bord d'un orgasme tel que je n'en avais jamais connu, je criais, j'étais vulnérable à souhait et il ne fit pas l'effort de se contenir.

Il s'approcha rapidement de moi et d'un coup d'un seul, enfonça deux doigts et viola ma chatte béante. Il se mit à me pilonner à pleine vitesse, et me gueula dessus.

-" AVALE MON FOUTRE CHIENNASSE !!"

Un goût de sel, envahit ma gorge quand j'obéis. Au même moment ma vision s'obscurcit et je hurlais ma jouissance phénoménale.

-"AAAHHHH NOOOONNNNNN !!!!".

Mon dos s'arqua douloureusement, des spasmes me soulevèrent presque de terre et un jet sortit de mon antre. Moi, comme un homme ou plutôt comme une femme fontaine, j'éjaculais !

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Je crois que je perdis connaissance un instant. Encore secouée et frissonnante, je constatais enfin qu'il s'était rhabillé et qu'il achevait de prendre quelques clichés de moi. Il me jeta mes fringues à la figure et comme une trainée me mit presque dehors nue. Avant de partir il me donna cet avertissement.

-"Je serais toi je me dépêcherais de rentrer chez moi. Un paquet doit t'attendre et il ne faudrait pas qu'il tombe entre de mauvaises mains".

Il me claqua la porte au nez sur ces mots. Heureusement le hall était cette fois désert et d'un pas beaucoup moins assuré qu'à l'aller, je regagnais sans encombre ma voiture. Sur le chemin du retour je m'interrogeais sur ses dernières paroles.

Qu'allait-il encore m'obliger à faire?

A suivre....

samedi 27 janvier 2024

Domination d'un Couple Bourgeois

 Texte de Elko.

*****

Je m'appelle Fabienne, j'ai 35 ans, je ne suis pas très grande mais je suis mince et j'ai de gros seins. Je suis plutôt B.C.B.G., jamais habillée vulgaire mais sexy, souvent en jupe et en talons pour faire plaisir à mon mari, Jérôme. Je suis mariée avec lui depuis 15 ans mais nous n'avons pas encore d'enfant. Nous habitons en Normandie dans une grande et belle maison située un peu à l'écart des autres habitations. Mon mari travaille dans une société d'import-export. Moi, je ne travaille pas. Nous avions acheté une nouvelle voiture et désirions revendre l'ancienne. Nous avions trouvé un acheteur par le biais d'Internet. Rendez-vous avait été pris pour le vendredi soir pour la tractation...

Jérôme n'est pas très costaud, il est mince, voire maigre, des lunettes sur son nez lui donnent un air intello. Nous attendions l'acheteur qui nous avait dit arriver de Rouen. La sonnette de la porte d'entrée retentit et j'allais ouvrir. Mes talons aiguilles claquèrent sur le carrelage. Je suis habillée d'une jupe courte sur des collants noirs et un chemisier blanc.

L'homme est grand, imposant, une carrure de déménageur et des cheveux très courts. Ses yeux se posent sur moi et instantanément, je me sens mal à l'aise. Il porte un sac avec lui. Mon mari nous rejoint et je fais les présentations.

Ils sortent très vite de notre pavillon pour le conduire dans notre grange qui nous sert de garage mais aussi de grenier.

Je reste à l'intérieur préparant le dîner pour quand l'acheteur sera parti. L'heure tourne et je m'inquiète soudain de ne pas les revoir revenir. Je soupire un peu excédée... Et on dit que les femmes sont bavardes !!

Je sors de la maison et me dirige vers la grange, la nuit commence à tomber... Je pousse la porte de la grange et mes mots se bloquent dans ma gorge, je pousse un cri étouffé. Mon mari, bâillonné par une espèce de boule en latex enfoncée dans sa gorge, les yeux fous, attachés par les mains à une poutre, gigote en poussant des sons indistincts... je n'ai pas le temps de comprendre. Je sens qu'une main se plaque sur ma bouche et qu'on m'enfonce une boule en latex qui est fixée et attachée derrière ma tête. Je rue, donne des coups de pieds en tentant de me dégager, d'échapper à mon agresseur. Mes mains sont menottées derrière mon dos et je suis jetée à terre !

L'homme se penche vers moi...

- Désolé ma chérie, ce n'est pas après toi que j'en ai ! Ton idiot de mari a arnaqué un de mes clients. Un russe... On m'a demandé de le punir et comme tu es là... Tu vas en faire les frais ! T'es une bonne bourgeoise, je pense que mon client sera content quand il verra le film...

Je réalise alors horrifiée qu'une caméra est installée sur un trépied et qu'il filme mon mari qui rue dans ses liens.

Le faux acheteur s'approche de Jérôme et lui baisse son pantalon et son caleçon. Il apparait bite et couilles pendantes. Puis l'homme s'approche de moi et pose sa main sur mes cuisses remontant le long du collant faisant crisser le nylon, je tente d'échapper à l'infamante caresse mais sans résultats. Il remonte ma jupe découvrant mon string emprisonné sous le collant. Il me retourne comme une crêpe et me déchire mon collant. Il écarte mon string et me caresse la vulve... doucement... Je gémis de dégoût... Il introduit un doigt dans ma fente. L'agitant... J'entends mon mari hurler à travers son bâillon.

Enervé, l'homme se lève et s'empare de la bite de mon mari et le branle en ricanant :

- Quoi ! T'es jaloux ? C'est ça que tu veux ?

Il le masturbe un moment et je vois sa queue prendre des proportions impressionnantes ce qui m'étonne... Jérôme n'ayant jamais été un baiseur admirable...

De nouveau, l'inconnu pervers s'approche de moi... Il arrache mon chemisier et baisse brutalement les bonnets de mon soutien-gorge. Il regarde un instant mes seins et se penche. Ses lèvres s'emparent d'un de mes mamelons et il le suce sans vergogne... Tout en plongeant ses deux doigts dans ma chatte...

Je ne tarde pas à réagir malgré la situation et je donne des coups de reins malgré moi...

L'homme se retourne vers mon mari, hilare !

- Ta salope de femme a l'air d'apprécier !

Mon mari me regarde les yeux fous...

Je le regarde aussi, je regarde sa bite tendue... L'homme continue de me masturber, faisant coulisser ses doigts dans ma fente de plus en plus vite... Je vais jouir s'il continue, qu'elle humiliation ! Jouir devant mon mari avec un pervers qui nous violente...

Il me redresse brutalement et me positionne à quatre pattes sur le sol crasseux de la grange... Devant mon mari ! Il retire mon bâillon...

- Suce-le ! ordonne notre tourmenteur.

Je secoue la tête refusant mais je reçois deux violentes claques sur mes fesses et j'obtempére. Je prends délicatement la bite de Jérôme entre mes lèvres et je commence à le sucer.

Sa bite gonfle de plus en plus dans ma bouche... C'est bien la première fois ! Le petit salaud ! Ca ne l'excite quand même pas cette situation ?

J'entends farfouiller derrière et je suppose que le sadique prend quelque chose dans son sac. La seconde d'après, je sens qu'il introduit un objet dans ma chatte. Puis j'entends un petit bruit de moteur.

Un gode, il m'a mis un gode dans ma chatte. Je suis donc à quatre pattes dans cette grange dégueulasse en train de sucer mon mari, un gode dans ma chatte. Jérôme donne des coups de reins maintenant faisant coulisser sa bite entre mes lèvres. Je le recrache, lui suce le gland, lui lèche la hampe et replonge dessus.

Les vibrations du gode me font mouiller comme une folle, je n'en peux plus... je gémis. Il me retire mon gode et me demande :

- Tu veux que je te baise, salope ?

J'hésite... une fraction de seconde.

- Oui... Oui... Baisez moi !

Je sens sa queue qui me pénètre et je gémis, la bite de Jérôme toujours dans ma bouche. Ses mains se posent sur mes hanches et il commence à me pilonner violemment. Je sens sa queue aller et venir dans ma chatte. Il s'enfonce très loin, et je gémis à chaque coup de reins. Son ventre vient claquer contre mes fesses. Je suce de plus belle mon mari... Complètement excitée maintenant. L'homme me bourre sauvagement comme jamais je n'ai été bourrée ! J'ai un premier orgasme. Je pousse un long gémissement plaintif sous les ricanements pervers de mon violeur.

- Salope de bourgeoise ! J'en étais sûr que t'attendais que ça d'être traitée en chienne, dorénavant ce sera ta vie, te comporter comme une pute bien docile...

Rien qu'à ces mots, je sens un deuxième orgasme arriver et je m'affale sur le sol. L'homme se retire et tourne mon mari qu'il cambre en avant. Je me retourne en entendant ses hurlements désespérés. Ce n'est pas possible !! Il ne va pas... Mi horrifiée, mi fascinée, je vois l'homme pointer son gland sur le trou du cul de mon mari et l'enculer brutalement.

Jérôme pousse un cri et l'homme s'agite dans son cul.

- Ta femme ce n'était qu'un hors d'oeuvre, ta punition, c'était ça, mon client a été très clair là-dessus... Tu dois devenir une lope...

Mon mari pousse des gémissements étouffés. L'homme m'ordonne d'aller le branler et je m'exécute soumise à son autorité. Je dois y aller à quatre pattes. J'attrape la queue de mon Jérôme et le branle tout doucement d'abord mais le pervers exige d'aller plus vite alors je le masturbe rapidement pendant que le salaud encule mon mari de plus en plus vite en faisant des commentaires ignobles :

- Eh bien, ça s'élargit, ça rentre mieux maintenant...

J'agite la queue de mon mari qui donne des coups de reins !!! Excitée, j'accélère la cadence et il ne tarde pas à jouir lâchant des jets de sperme impressionnants qui giclent sur ma main. 

L'homme se retire du cul de mon mari et me contraint à venir le sucer. 

- Viens nettoyer la merde de ton mari, salope !

A genoux devant lui, j'avale sa queue, il me tient par les cheveux et il fait coulisser sa bite rapidement entre mes lèvres. Je pense que le cauchemar est terminé mais je me trompe. Il savoure ma fellation quelques instant puis il me retourne et me positionne de nouveau devant mon mari qui est toujours retourné.

- Fous-lui ta main dans le cul !

Je sursaute ! Non, pas ça !

Il s'empare de ma main et la pousse vers le trou du cul de mon mari qui se débat et il doit lui donner de violentes claques sur ses fesses qui deviennent rouges.

Je pousse ma main me disant que ça ne rentrera jamais mais en fait je suis étonnée avec quelle facilité je parviens à enfoncer deux puis trois doigts dans l'anus de mon mari qui se cambre encore plus. Bientôt ma main est entièrement entrée dans le cul de mon époux !

Sous les instructions de l'inconnu, je tourne ma main à l'intérieur et j'entends mon mari gémir... gémir de plaisir pas de douleur !!! L'homme lui retire son bâillon et Jérôme lâche :

- Oui... Oui... Encule moi avec ta main !

Je n'en reviens pas. L'homme se met derrière moi et il me lance :

- A ton tour d'être enculée !

Je frémis mais ne dis rien.

Sa bite s'enfonce dans mon anus et je serre les dents. Les mains crochés sur mes hanches, il me pilonne brutalement en ahanant, en soufflant, en nous insultant. 

- Putain deux belles salopes vous deux ! Le mari et la femme, j'ai un super film, mon client sera content...

Il s'active de plus en plus vite dans mon cul et je gémis tout en continuant de branler mon mari par le cul. Nos gémissements se mélangent avec nos halètements. Puis, l'homme se retire et va délivrer Jérôme. Il nous met côte à cote et exige qu'on le suce tous les deux.

Je lui donne des coups de langue sur son gland et il m'agrippe par les cheveux s'enfonçant le plus loin possible, il fait de même avec Jérôme qui manque vomir de dégoût. Je regarde mon mari sucer un homme et cela m'excite.

L'homme se retire et s'enfonce de nouveau dans ma bouche et puis celle de mon mari et se masturbe un peu au-dessus de nos visages....

Il éjacule, libérant des torrents de sperme qui vont s'écraser sur mon visage et celui de Jérôme. J'en ai dans les cheveux, les lèvres et les seins. Mon mari en reçoit dans les yeux, l'aveuglant.

Nous sommes de nouveau revenus dans la maison, attachés ensemble mon mari et moi, à genoux au milieu du salon, menottés, attachés par les jambes l'un à l'autre, un gode dans le cul, bâillonnés par la boule en latex. L'homme s'est rhabillé et a pris sa caméra. Il parle dans son téléphone portable avec un inconnu.

- Oui, Monsieur, c'est fait, j'ai le film... je ne pense pas qu'ils voudront qu'il soit divulgué. Ils vous obéiront. Et ce sont deux esclaves dociles, tous les deux, oui...Vous pouvez venir, je les ai attachés...

Il raccroche et se penche vers nous. 

- Mon commanditaire va arriver dans quelques instant, ils seront plusieurs je crois...Vous en avez pour le week-end...

Et il part en éclatant de rire...

FIN

jeudi 25 janvier 2024

Changements de vie pour Jessica Ch. 15

Traduction du texte de Cathartico : "Jessica's Change Management"

****

Nouvelle version de la roulette russe .

Quand je reviens dans mon bureau, les stagiaires sont partis. J’essaie de me concentrer sur mon travail et de préparer l’argumentaire de mon projet que je dois proposer à la fin de la semaine. Mais c’est difficile, car mon esprit erre constamment en réfléchissant au prochain défi. Je suis presque heureuse quand la porte s’ouvre à nouveau et que Justin entre. Il dit gaiement :

- C’est presque l’heure du déjeuner, Miss BRATZ. Nous voulons des tacos pour manger aujourd’hui. Alors tu vas rendre visite à ton ami.

- Pardon ? Je dois faire quoi ? Demandé-je complètement déconcertée.

Il ne peut pas être sérieux. Il veut que j’aille chercher le déjeuner pour les stagiaires ? A quoi il pense ? Je ne suis pas leur bonne. Je suis une directrice ici, je ne sers la nourriture à personne. Au contraire, c’est moi qui envoie des stagiaires me chercher à déjeuner. C’est vraiment insolent et présomptueux. Je tremble de colère. Et je gronde à l’attention de Justin :

- Qu’est-ce que tu crois ? Je ne vais pas te servir !

Le jeune garçon rit en retour. Et il dit :

- Héhéhé ! Daniel m’a dit que tu réagirais comme ça. Ça ne rendra ma victoire que plus agréable. Ni toi, ni moi n’allons décider, le jeu va le faire.

Merde il a raison. Un jeu idiot d’enfant va décider si mes stagiaires vont transformer la dirigeante d’entreprise en serveuse. C’est tellement ridicule. Chaque fibre de mon corps s’insurge contre le fait de devenir leur bonne. Mais le hasard va décider.

Les jambes flageolantes, je me lève et je tends la main. Justin me regarde avec un sourire vicieux et tend le bras.

- Pierre… Papier… Commence-t-il à annoncer.

Cette fois, je suis encore plus motivée pour gagner. Je suis prête à faire n’importe quoi pour éviter de devenir leur servante idiote. La dernière fois j’avais fait « ciseaux ». Que pense Justin de ce que je vais faire maintenant ? Pense-t-il que je vais prendre la même idée ou autre chose ?

Je n’ai pas beaucoup de temps pour réfléchir alors je décide de prendre un autre choix. Je tends la main à plat pour symboliser le « papier ». Justin ne change pas la forme de sa main ,la gardant fermée pour symboliser la « pierre ».

- OUI !

Je ne peux m’empêcher de crier pour ma victoire. J’ai gagné donc je ne devrais pas aller chercher des tacos. Je ne devrais pas rencontrer de nouveau Checo, le méchant membre du gang des « LGZ ». Je n’aurais pas à jouer à la bonne des stagiaires.

- Et merde ! Putain de putain ! Grogne Justin, pas content du tout.

Il me jette méchamment :

- Tu as de la chance salope. Mais la journée est loin d’être terminée. Putain, je ne peux pas partir d’ici les mains vides. Montre-moi ta tenue de salope, putain.

Je m’attendais à ce qu’il sorte immédiatement de mon bureau. Mais évidemment il ne peut pas gérer sa défaite aussi facilement. Ne voulant pas l’enrager plus, j’ouvre à contrecœur ma robe noire et blanche et je lui présente pour la seconde fois mon chemisier rouge à bretelles.

Justin s’approche de moi et passe ses mains sur les lanières croisées. Lorsqu’il atteint l’extrémité, il tire brusquement dessus.

- Oooohhh ! Gémis-je de surprise lorsque les sangles se resserrent.

Il tire si fort que le chemisier est tiré sur mes seins et les presse fortement.

- Oooohhh ! Continué-je à gémir alors qu’il continue à tirer.

Il ne s’arrête que lorsque la chair de mes nichons est déformée, montrant sa brutalité. Mes énormes seins sont si comprimés qu’ils menacent de s’échapper de mon chemisier rouge.

- C’est mieux salope ! Remarque Justin quand je ramène ma robe sur ma poitrine gonflée.

Et il ajoute, moqueur :

- Si je ne peux pas t’utiliser, je peux au moins t’humilier.

Il me regarde remettre ma robe et acquiesce joyeusement quand il voit les changements. Et merde, ma robe ne cache pas ses manipulations.

Mes seins sont tellement serrés que la robe est gonflée de façon obscène. Le tissu est tellement tiré que la robe semble trop petite et semble sur le point de se déchirer d’une seconde à l’autre. Mes gros nichons paraissent d’une taille supérieure. De plus le chemisier serré les fait remonter  plus haut sur ma poitrine si bien que ça les rend presque faux.

Putain, il n’y a plus beaucoup d’élégance dans ma tenue.

Avec un dernier signe de tête satisfait, Justin se retourne et sort de mon bureau. Il a peut-être perdu la partie, mais il a quand même trouvé le moyen de m’humilier. Néanmoins, je ne peux m’empêcher de sourire en le regardant partir.

Daniel m’a peut-être transformée en jouet de luxe des stagiaires, mais je ne serai pas leur servante. Je suis encore une dirigeante d’entreprise. Il me reste encore de la fierté. Les changements dans ma tenue peuvent surestimer la taille de ma poitrine. Mais j’ai de beaux seins et je peux m’en sortir. Avoir gagné sur un stagiaire est beaucoup plus important.

Une demi-heure s’écoule avant que Daniel ne m’appelle au téléphone.

- Descends dans la salle de conférence ! Dit-il sèchement avant de raccrocher.

C’est inattendu. Que fait-il dans la salle de conférence ? Pourquoi m’appelle-t-il là-bas ?

Saisissant mon sac à main j’obéis et je descends. Au milieu des escaliers, je réalise que le gode est toujours dans mon sac. Mon Dieu, maintenant, je transporte un jouet sexuel partout où je vais. C’est vicieux.

En chemin je rencontre Michelle KEELAN, la secrétaire incompétente. Elle s’arrête quand elle me voit. De toute évidence, elle a remarqué que ma robe est tendue au-dessus de ma grosse poitrine. Cependant je ne m’arrête pas et continue à me dépêcher. Je la dépasse si vite qu’elle ne peut vraiment me détailler n’est-ce pas ? Peu importe ! Son opinion n’a pas d’importance pour moi de toute façon. Néanmoins je me sens un peu gênée.

La salle de conférence se trouve au rez-de-chaussée de l’immeuble de bureau. Elle est principalement utilisée pour les réunions de travail. Toutefois, du mardi au jeudi, la plupart des consultants travaillent chez les clients. La salle n’est donc pas très utilisée ces jours-là.

En y pénétrant, je vois les quatre stagiaires assis autour de la grande table. Ils ont des tacos et des frites devant eux. Je crois que je ferais mieux de ne pas demander comment ils ont eu cette nourriture .

- Qu’est-ce que vous faites ici ? Vous êtes fou ? Vous savez qu’il n’est pas permis d’utiliser cette salle pour déjeuner ?

- Oh allez Miss BRATZ, ne soyez pas bêcheuse ! La plupart des consultants sont ailleurs de toute façon. Répond Daniel imperturbable.

- Pourquoi n’utilisez-vous pas la salle de repos au sous-sol. Je ne ferai rien ici. Dis-je catégoriquement.

- Il n’y a pas de télévision en bas. Dit le latino en me montrant le grand écran plat accroché au mur.

Habituellement cet écran est utilisé pour des présentations lors de réunions. Mais les stagiaires l’ont allumé et regardent des clips sur une chaîne musicale.

- Dommage que tu aies gagné la dernière manche salope. Je parie que tu aurais aimé payer Checo avec tes trous n’est-ce pas ? Me dit Daniel en mangeant.

Je voudrais crier « NON ». Je ne veux plus jamais revoir ce voyou brutal. Mais je garde la bouche fermée, n’aimant pas la direction que prend la conversation.

- Je vois que Justin s’est vengé d’avoir perdu.

Le latino commente mes seins remontés sous la robe. Il ajoute :

- De toute façon, cette robe était beaucoup trop classique pour une salope comme toi.

Je ne réponds pas alors il continue :

- Sinon… Justin m’a dit que tu étais beaucoup trop heureuse d’avoir gagné. Donc j’ai décidé que ce serait mon tour pendant l’heure du déjeuner.

Et merde ! Daniel sait que j’étais contente de ne pas devenir leur servante. Il sait à quel point je suis fière de mon statut de dirigeante d’entreprise. Il veut me voir humiliée encore.

- Si je gagne la manche, tu nous suceras pendant le déjeuner. Tout ce que tu as le droit de manger c’est notre foutre. Si tu gagnes, tu auras ta part de tacos. M’explique le latino.

Putain ! Que c’est vicieux encore ! Une fois encore Daniel prouve qu’il est le maître des défis perfides. Il veut que je leur fasse une fellation pendant qu’ils mangent. Et il veut que je me nourrisse de leur sperme, Il veut me mettre au régime de foutre toute la journée. C’est si vicieux que ma chatte me picote instantanément. Bon sang, on dirait que j’ai appris à aimer ses manières vicieuses.

- Mais… Mais… Balbutié-je.

« Mais pas ici, dans la salle de conférence ! », c’est ce que je voulais dire. Mais je n’arrive pas à le prononcer avant que Daniel commence le match.

- Pierre… Papier… Dit-il.

- Je prends ta réponse comme « Papier » si tu ne participes pas salope ! Ajoute-t-il en montrant ma main ouverte.

Rapidement, je referme ma main et je rejoins son jeu. Je veux quand même avoir une chance de gagner. Toutefois je me dis que je discuterai du choix de la salle  après le match si c’est nécessaire. Si je gagne, ça n’aura aucune importance.

Comme précédemment j’avais eu de la chance avec « Papier », je décide de recommencer. Alors je tends ma main à plat. Evidemment, Daniel a prévu que je choisirai la forme qui m’avait fait gagnée. Il opte donc pour « Ciseaux ».

Et merde ! J’ai perdu pour la deuxième fois. Mon sentiment de joie de la victoire contre Justin a disparu. Je dois sucer les stagiaires alors qu’ils sont occupés à déjeuner. C’est trop dégradant. Ils m’utilisent comme une pute suceuse et ils me jetteront comme un mouchoir usagé une fois le déjeuner terminé.

- Alors… Dois-je aller dans la salle de repos et vous attendre les gars ? Dis-je pour essayer de changer le choix de la pièce.

- Non salope ! Tu te mets à genoux et tu commences à me sucer ici et maintenant. Réplique Daniel.

C’est ce que je craignais. Je me rebiffe en oubliant même d ‘appeler mon homme « Monsieur » :

- Nous ne pouvons pas faire ça ici Daniel ! Je ne peux pas ! Et si un collègue arrivait ? C’est beaucoup trop dangereux !

Mais ce macho arrogant ne cède pas. Il répond :

- Je te l’ai déjà dit : Presque tout le monde est sorti et le reste est en train de manger au restaurant. Michelle était en train de partir quand tu es arrivée. Tu ferais mieux de commencer ou tu veux attendre qu’ils reviennent ?

Bien sûr que je ne veux pas ça. Je veux qu’ils me suivent dans la salle de repos au sous-sol. Je veux qu’il écoute mes arguments. Au moins pour une fois !

- Tu veux que je te donne un coup de main ? Intervient Matt.

Merde ! Matt utilise mon hésitation pour essayer d’asseoir sa domination. Je ne peux pas permettre que Daniel cesse de me contrôler. Il ne doit pas perdre son statut de Maître sur moi.

Alors je cède, même si je ne le veux pas. Sucer les stagiaires dans la salle de conférence de me plait pas du tout. Mais je dois sauver le statut de dominant de mon homme.

Je me mets lentement à genoux et je rampe vers Daniel. Je lui écarte les jambes et je passe mes ongles longs sur son pantalon, de ses tibias à son entrejambe. Pendant ce temps, il continue à manger ses tacos. J’ouvre sa fermeture éclair et je sors sa queue. Elle durcit rapidement dans ma main.

Je fais glisser mes faux ongles doucement de haut en bas pour taquiner sa bite jusqu’à ce qu’elle soit bien raide. Ensuite je crache dans la paume de ma main pour la rendre humide.

- J’ai une meilleure idée ! Dit le macho la bouche pleine.

Il attrape un sachet de sauce ketchup et il répand la sauce sur sa queue. Je grimace en le voyant faire. C’est dégueulasse ! Pourtant je me prépare et je tire la langue. En la passant sur sa bite, je sens le goût de la sauce tomate. C’est trop vicieux de lécher le ketchup sur la bite d’un mec !

Après avoir nettoyé toute la sauce rouge et sucrée sur le membre de Daniel, je pose mes douces lèvres sur son gland et je commence à le sucer. Faisant rebondir ma tête de haut en bas, je chatouille le haut de son gland avec ma langue.

C’est complètement différent de la gorge profonde que j’avais dû faire précédemment avec le gode. Le latino me laisse faire tout le travail alors qu’il est penché en arrière et qu’il savoure son taco. j’ai l’impression de n’être pour lui qu’un simple objet qu’il ne remarque pas, étant occupé à manger. L’humiliation traverse ma chatte comme une décharge électrique.

Ma tête bouge de plus en plus vite et je peux sentir la verge de Daniel commencer à se contracter. Toutefois, le macho m’arrête et asperge ses couilles de ketchup. Il faut que j’arrête de le sucer et que je nettoie ses boules. L’une après l’autre je prends ses couilles dans ma bouche et je les lèche. La saveur douce de la tomate me heurte de plein fouet et me fait trembler sur mes genoux.

Les autres garçons se joignent rapidement à la fête. L’un après l’autre, ils sortent leur queue du pantalon et l’enduise de ketchup.

- Allez Poupée ! Viens attraper !  Dit Justin pour me taquiner comme il l’avait fait avec le gode.

Daniel pousse mes épaules et m’envoie vers l’étudiant vicieux. Comme il est assis de l’autre côté de la table, je dois me glisser dessous. Mon Dieu ! Je suis à quatre pattes en train de ramper sous une table dans la salle de conférence.

Lorsque j’arrive de l’autre côté, Justin agite sa bite recouverte de ketchup devant mon visage. Il m’ordonne de mettre les mains dans le dos et de tirer la langue pour montrer mon obéissance. Ensuite il me laisse lécher la sauce sur sa bite. Après avoir bien nettoyé son sexe et l’avoir profondément enterré dans ma bouche il m’envoie vers Taylor.

Arrivée au footballeur noir, je recommence mon entreprise de nettoyage en léchant la sauce tomate sur son énorme bite et en engloutissant son gland avec ma bouche. Quand j’ai fini, je dois ramper à nouveau sous la table pour atteindre Matt.

- Héhéhé, elle est sous la table comme un chien qui quémande un bout de viande. On devrait l’appeler la chienne affamée. Se moque Matt.

Quand les rires se calment, Daniel suggère :

- Jouons à un dérivé de la roulette russe les gars ! Nous sommes assis autour de la table avec une chienne affamée sous la table qui nous suce. Elle a deux minutes pour sucer l’un de nous avant de passer au prochain dans le sens des aiguilles d’une montre. Le dernier à jouir est celui qui l’enculera plus tard.

- Ouais ! Super idée ! Crient les garçons qui adorent cette idée.

- Prends ça ! Il est temps pour toi de récolter ton déjeuner. Me dit Daniel en me tendant un gobelet vide ayant contenu du soda.

Pendant ce temps, les autres gars ont réagi. Lorsque j’atteins Matt, ils ont tous déplacé leur chaise sous la table, leurs jambes en dessous. Je suis piégée, je ne peux plus sortir.

- Le temps passe, petite pute ! Dit brusquement Matt !

Comme je ne veux pas qu’il gagne, je commence immédiatement à le sucer. Pendant ce temps, j’entends les garçons grignoter bruyamment leur nourriture comme s’il n’y avait pas de salope sous la table. Puis j’entends soudainement une voix :

- Ok les gars. Je n’ai pas trop de temps. Alors commençons rapidement.

Mon Dieu ?  Quel choc ! Que se passe-t-il ?

Un homme est entré dans la salle et il parle aux stagiaires. Je reconnais sa voix. C’est M. BLAKE, un collaborateur expérimenté du département d’ORTEGA, âgé d’une quarantaine d’années.

Je suis tellement choquée que je manque de peu de mordre la queue de Matt. La panique me prend et je me fige sur place. Je suis à genoux sous la table, entre les jambes de Matt et je ne peux pas bouger.

Que dois-je faire ? Comment puis-je me sortir de cette situation ? Comment dois-je faire pour que BLAKE ne me voie pas ?

Toutes ces questions tournent dans ma tête et me tourmentent. La pire des choses vient de se produire, un collègue de travail vient de nous surprendre. Ce n’est qu’une question de temps avant qu’il découvre ma relation avec les stagiaires. Mais heureusement que la table est grande, je suis cachée dessous. Tant que BLAKE ne s’assoit pas, il ne peut pas me voir.

- Danny, montre-moi les diapositives que tu as déjà préparées. Demande mon collègue à Daniel.

De toute évidence, il a une réunion avec les stagiaires. Et cette réunion avait dû être fixée auparavant. Ils savaient que BLAKE entrerait dans la pièce. Ils l’avaient attendu ! Ils m’avaient piégée ! Ça devait être le plan de Daniel depuis le début.

Quel sale enfoiré ! Il n’arrête pas de jouer avec moi et il augmente le danger que je sois découverte.

J’entends BLAKE diriger la réunion. Les stagiaires lui montrent le travail qu’ils ont accompli sur un projet et ils discutent des détails. Apparemment les garçons ignorent ma présence. Un consultant qui pose des questions relatives au travail est plus important que la dirigeante d’entreprise en train de sucer leur bite ! Pffffff !

En retenant mon souffle, j’essaie de faire le moins de bruit possible. Cependant, après une minute, Matt me donne un coup de coude sur l’épaule pour m’envoyer vers Daniel.

Ils veulent toujours que je continue à remplir ma tâche. Ils veulent que je les suce  alors que Blake est dans la salle. Ce sont vraiment des salauds !

A contrecœur, je rampe vers mon homme en essayant d’être aussi silencieuse que possible. Et les deux minutes suivantes, je suce sa queue. En me rappelant la règle de leur jeu de la roulette russe, je me concentre et je fais tournoyer ma langue autour de son gland silencieusement. Toutefois mes efforts ne suffisent pas et il n’éjacule pas avant la fin du temps imparti.

Avec un autre coup de coude je passe au suivant. « La chienne affamée est en route vers la prochaine queue » pensai-je cyniquement. Comme je n’ai que deux minutes sur chaque bite et qu’il y a ensuite une pause de six minutes, les queues des garçons ont du mal à rester en érection.

Je dois m’appliquer fortement pour les faire bander, ce qui est particulièrement difficile, car j’essaie d’éviter tout type de bruit. Lors de mon deuxième tour de table, leurs bites restent finalement bien droites. J’ai de la chance.

La queue noire de Taylor est un morceau de viande si massif qu’elle étire ma bouche au maximum quand je pousse mes lèvres sur son gland et que je balance la tête de haut en bas. Il y a un moment de silence quand BLAKE lit certaines informations que Matt lui a présentées. J’attends sans bouger la tête pendant que j’utilise mes ongles longs pour chatouiller et taquiner les bourses du garçon.

Au moment où Matt prend la parole pour répondre à une question, j’abaisse ma bouche et je prends l’immense tige dans ma gorge.

- Urgggghhh ! Étouffé-je, mais heureusement la voix de Matt a couvert le bruit.

Sentant la queue de Taylor se contracter violemment, je la sors rapidement de ma bouche et je pointe le gland vers le gobelet en plastique. Quelques secondes plus tard, son sperme jaillit. Il gicle quatre gros jets de foutre que je recueille consciencieusement dans le gobelet.

Malgré l’humiliation d’être utilisée comme une chienne avide de sperme, j’éprouve une immense fierté à l’idée d’avoir fait jouir Taylor sans faire de bruit.

Forte de mon succès, je rampe vers Justin et je commence à travailler sur sa bite avec ferveur. Celle-ci a une belle circonférence, mais elle est loin d’être aussi grosse que celle de Taylor. Je fais quelques tours avec ma langue avant de pousser la majeure partie de l’organe dans ma bouche. A présent, je commence bien à m’habituer à l’étirement de mes lèvres et la tension exercée sur ma mâchoire.

A chaque fois que BLAKE parle, j’enfonce la bite de Justin dans ma gorge, provoquant un petit bruit de succion. Après l’entraînement que je viens de subir plus tôt dans la journée, c’est très facile. Ma bouche est maintenant un gouffre bien dressé, non ?

- Quel est le retour sur investissement que tu as calculé Justin ? Demande soudainement BLAKE au stagiaire.

A ce moment précis, chaque centimètre de sa queue est dans ma gorge et mon nez est pressé contre son ventre. La question surprend tellement Justin qu’il perd le contrôle et son sexe explose involontairement.

- Aaaaahhhhh… Je… Je l’ai écrit... quelque part… Balbutie-t-il en se tortillant sur sa chaise.

Et pendant tout ce temps, ce crétin gicle dans ma bouche un long et épais filet de foutre qui recouvre ma langue. Il éjacule si rapidement que je ne peux mettre en place le gobelet en plastique. Alors je rassemble son sperme dans ma bouche et je le garde.

- Tout va bien ? Tu es un peu rouge. Tu n’es pas malade non ? Demande BLAKE avec une inquiétude sincère.

Sous la table je suis sur le point de rire. La situation est trop absurde.

- Non monsieur, je vais bien. Je suis juste un peu agité. J’ai du trop boire de café aujourd’hui. Répond Justin.

A genoux entre ses jambes, je porte le gobelet en plastique sous mon visage et j’ouvre la bouche pour laisser le foutre couler dans le récipient. Deux de fait ! Deux autres à faire ! En me précipitant vers Matt, je suis déterminée à régler ça rapidement. Je ne peux pas  me permettre que BLAKE soit alerté. Le ton irrité de sa voix me dit qu’il est énervé par le manque d’attention des stagiaires. Un autre incident comme celui avec Justin et il va y regarder de plus près.

Mais ce n’est pas facile de faire jouir Daniel et Matt. Ils ont beaucoup plus d’endurance que les deux autres. Deux fois encore je passe de l’un à l’autre. J’essaie de leur chatouiller les couilles, de bien lécher leur gland et de les sucer habilement, mais rien ne semble pouvoir déclencher leur plaisir. Leurs queues restent durs et stables. Et pendant ce temps, ils continuent à débattre avec BLAKE comme si je n’étais pas là à sucer leurs bites.

Lors du troisième passage chez Daniel, j’essaie une nouvelle approche. Alors que je suce avidement son membre, je passe ma main droite sous ses couilles et je la pousse jusqu’à son cul. Et je commence à faire glisser l’extrémité de mes faux ongles sur sa raie.

Puis je place mon doigt sur son trou du cul. Je frotte doucement son sphincter avant d’enfoncer mon index dans son passage anal. Finalement mon problème est résolu.

Alors qu’il soulève son cul de la chaise, Daniel jouit. Toutefois son mouvement brusque me prend par surprise et ma tête est poussée vers le haut par son entrejambe. Elle heurte bruyamment le dessous de la table.

- C’est quoi ce bruit ?  Demande BLAKE.

Et merde ! J’avais réussi à rester silencieuse jusque là et je vais me faire découvrir au dernier moment. C’est vraiment injuste !

Pendant que je laisse Daniel vider ses couilles dans ma bouche pour que je collecte son foutre, Le collaborateur s’approche de la table pour voir d’où est venu le bruit. Je peux voir ses chaussures passer devant moi.

Il marche de long en large, passant plusieurs fois sous mes yeux. Chaque fois que ses chaussures sont en face de moi, mon cœur fait un bond et ma nervosité augmente. Je commence à paniquer. Je me sens comme une souris dans un trou traquée par un prédateur.

« S’il te plaît Daniel, trouve une bonne excuse !» prié-je  tout en gardant les lèvres fermées autour de sa bite et en le laissant se vider giclées après giclées dans ma bouche. « S’il vous plaît, que quelqu’un dise quelque chose ».

En fin de compte Daniel invente une excuse :

- J’ai tapé la table avec mon poing. Mon ordinateur portable perd constamment sa connexion wifi, ça m’énerve.

Je vois BLAKE qui s’arrête de marcher. De toute évidence il regarde l’ordinateur sur la table. A tout moment il peut découvrir qu’on lui raconte des conneries.

- Bien les gars, qu’est-ce qui se passe ? Vous êtes bizarre depuis tout à l’heure. Vous êtes totalement distrait. Demande le collaborateur.

C’est Matt qui lui répond :

- Désolé Monsieur, Mademoiselle ADDAMS nous a tenu occupé toute la semaine avec des tonnes de choses à faire. Elle fixe des délais si serrés qu’il nous est difficile de nous concentrer sur d’autres tâches.

Putain de merde ! Ce connard m’accuse de leur distraction. Et il me laisse même l’entendre. Quel enfoiré !

Mais d’une certaine manière il a raison. J’avais été la cause de leur distraction, même s’il s’agit de mes compétences à sucer une bite et non de mes compétences dans le travail.

BLAKE semble d’accord avec Matt.

- Je sais que Mademoiselle ADDAMS a tendance à exagérer avec la charge de travail. Mais tout le monde ne vit pas pour le travail, n’est-ce pas ? Elle est dure avec les stagiaires. Ne vous laissez pas malmener.

Quoi ? Je suis dure avec les stagiaires ? C’est plutôt eux qui sont durs avec moi, ou plutôt dur en moi. Une fois de plus l’absurdité de la chose m’amène à ricaner. Je me sens comme un pantin pathétique.

En fin de compte, BLAKE semble satisfait de l’excuse de Matt.

- Quoi qu’il en soit c’est comme ça. Néanmoins j’ai besoin de vous pour ces dossiers. C’est un projet très coûteux, donc c’est important pour la société.

Durant les cinq prochaines minutes, BLAKE leur donne de nouvelles tâches. Pendant ce temps, je me déplace entre les genoux de Matt et je suce sa bite. Il a gagné le jeu de la roulette russe. Quelle merde ! C’est la dernière personne que je voulais voir gagner. Pourtant je suis à ses pieds et je lui fais une bonne fellation pour qu’il jouisse maintenant en sachant qu’il m’enculera dans l’après-midi. Quelle dégradation !

Je branle sa tige à grande vitesse tout en suçant et léchant son gland. Quelques instants avant que Blake finisse, Matt finit par jouir. Je dirige sa bite vers le gobelet en plastique et il gicle trois épais jets de sperme. Son foutre est si épais qu’il colle aux parois du gobelet et coule lentement. Après avoir passé les quatre gars il y a un gros tas de foutre au fond du gobelet.

Beurk, ça a l’air si visqueux et collant. Ce n’est pas du tout appétissant. Malgré tout, mon estomac gronde pour me rappeler que je n’ai rien mangé. Et avec le régime imposé par Daniel, le foutre épais ets tout ce que je peux obtenir. C’est une autre humiliation mise en place par Daniel avec le jeu Pierre-Papier-Ciseaux.

Finalement, Blake finit de donner ses instructions et il est sur le point de partir. De dessous la table, je vois ses chaussures se diriger vers la porte. Mais soudain il s’arrête et demande aux stagiaires :

- Qu’est-ce que c’est que ça ? Ce n’est pas à mademoiselle ADDAMS ?

Il montre un objet sur le sol. C’est mon sac à main. Je l’avais posé près du mur quand j’étais entrée dans la salle de conférence. Je l’avais placé près de la porte parce que j’avais l’intention de repartir rapidement.

Et merde ! Et si BLAKE décide de le ramasser et de l’amener à mon bureau ? Il ne m’y trouvera pas.

Merde de merde de merde !

Et s’il regarde à l’intérieur ? Il trouvera le gode en silicone rose.

C’est alors que Daniel dit à BLAKE sur un ton neutre :

- Oh, mademoiselle ADDAMS a utilisé la salle avant nous. Et je pense qu’elle doit être en pause déjeuner en ce moment. Mais, j’ai un rendez-vous avec elle plus tard aujourd’hui, donc je peux lui apporter.

- Ok. Je n’ai pas le temps de m’occuper de ses affaires. Dit BLAKE en ramassant le sac à main.

« S’il te plaît ne l’ouvre pas, ne l’ouvre pas » Prié-je en silence. Finalement j’ai de la chance pour une fois. Il le tend simplement à Daniel puis il quitte la salle de conférence. Je pousse un soupir de soulagement.

-Pheeewwwww !

Le visage de Daniel apparaît alors qu’il se baisse. Avec un grand sourire sur sa figure, il ouvre le sac à main et sort la fausse glace rose. Il l’agite devant moi.

- Alors… Est-ce que tu espérais qu’il trouve ça, petite chatte ? Dit-il en riant.

« Putain de connard » pensé-je ne prenant un air renfrogné.

- héhéhé ! Tu as raison d’être énervée. Mais je ne voulais pas qu’il le découvre non plus. Je ne veux pas perdre mon animal de compagnie. Dit-il en me caressant la tête.

- Où trouverai-je une soumise aussi charmante ? Ajoute-t-il.

Houlala ! Je ne m’attendais pas à une telle tendresse de ce voyou macho. Mais il semble sincère. Toutefois le moment tendre est déjà terminé. Il me montre le gobelet dans mes mains et me dit :

- C’est l’heure de ton déjeuner salope !

Je regarde à l’intérieur du récipient et j’ai l’impression que la flaque de sperme est figée. Ça semble encore plus épais et gluant qu’auparavant. Après être sortie de dessous la table en rampant, je reste à genoux et je regarde les garçons qui attendent. Lentement, je porte le gobelet à ma bouche et je le renverse.

Pour donner un bon spectacle aux stagiaires, je tiens le récipient à quelques centimètres de mes lèvres pour que le sperme s’égoutte sur ma langue tirée. C’est tellement épais qu’il glisse lentement.

Mon Dieu ! Je suis agenouillée dans la salle de conférence en train de verser du sperme dans ma bouche et de l’avaler pour le déjeuner. A tout moment un de mes subordonnés pourrait arriver. Ça me donne la chair de poule.

Amas après amas, les gouttes de sperme coulent sur ma langue et bientôt un flot épais de foutre sort du gobelet pour atterrir dans ma bouche. Les garçons sont tellement étonnés du spectacle qu’ils observent en silence.

Quand ma bouche est pleine, il reste encore la moitié du liquide dans le récipient. En essayant d’avaler le sperme visqueux, je me rends compte que je ne peux pas le faire d’un coup. J’ai l’impression qu’il me colle à la gorge. Il faut que je mâche.

Le reste du gobelet n’est pas plus facile à avaler. Le goût est horrible et ma gorge me fait mal à force de m’obliger à déglutir. Toutefois je regarde les garçons triomphalement et avec un sourire éclatant je présente ma bouche vide.

En remontant le couloir qui mène aux escaliers, je prends une profonde inspiration. Ouf, je ne peux même pas dire à quel point je suis soulagée. J’étais proche de me faire prendre. Daniel n’a jamais pris autant de risques auparavant. Pour la première fois, nous avons failli être vus. Heureusement nous avons eu de la chance et BLAKE n’a rien vu.

Perdue dans mes pensées, je ne remarque pas que la porte des toilettes pour homme s’ouvre. Surprise, je lève les yeux alors que je heurte presque BLAKE. Il sort des toilettes.

- Bonjour mademoiselle ADDAMS, je pensais que vous étiez sortie pour déjeuner. Me dit-il.

- Oh… Oui… Je… Je viens juste de rentrer. Balbutié-je en essayant de reprendre mes esprits.

Cependant il ne m’écoute pas vraiment. Au lieu de ça, son regard est fixé sur ma poitrine. Il remarque certainement que ma robe est tirée sur mes seins pressés. Au début, il fronce le front, se demandant pourquoi une directrice porte une tenue aussi inappropriée au bureau. Mais ensuite, son froncement de sourcils se transforme en regard lubrique alors qu’il continue de fixer ma poitrine.

Cette situation me fait rougir et ne fait qu’augmenter mon balbutiement. Zut, je veux m’éloigner de sa vue. Il parlera certainement à ORTEGA de mon apparence délurée. Je n’ai pas besoin de ça.

- Vous avez oublié votre sac à main dans la salle de conférence. Daniel l’a gardé pour vous. Me dit-il finalement.

- Oh, je ne l’ai même pas remarqué. Hi hi hi ! Merci, je vais aller le chercher.

J’essaie de dissimuler mon oubli apparent avec un rire, mais ça me rend tellement stupide.

- Pas de problème, mademoiselle ADDAMS. Je ne savais pas que vous étiez fan de bijoux. Me répond-il en me montrant mes bracelets en argent.

Mon rougissement prend une teinte pourpre lorsqu’il jette un coup d’œil au bracelet avec la règle sur mon bras droit et celui avec les dés sur mon bras gauche.

- Ont-ils une signification spécifique ?

Il reste fixé sur celui avec les dés.

- Il y a des lettres non ?

Mon Dieu ! Je voudrais mettre mes bras dans mon dos et cacher mes bracelets. Mais ça aurait été louche non ? Alors je me force à garder mes bijoux à la vue de mon collègue.

Oui, les lettres on une signification ? Elles disent au monde que je suis Miss BRATZ, le jouet de luxe des stagiaires. Bien sûr je ne lui dis pas ça même si je le pense.

- C’est… C’est… C’est… un vieil héritage de famille. Ma mère me l’a donné. Dis-je pour essayer de me sortir de cette situation difficile.

- Mais il n’y a pas de mot particulier. Les dés tournent continuellement. Hi hi hi !

Une fois encore, j’essaie de dissimuler les incohérences de mon récit sous un rire de façade. Cependant, la façon dont Blake me regarde me dit qu’il ne croie pas mon mensonge. Merde, il doit avoir identifié le mot. Et puis-je comment puis-je faire croire qu’un bracelet de pute est un héritage de famille. Il y a beaucoup trop de choses non crédibles dans mon histoire.

Ça va sûrement créer des commérages. Je n’aime pas ça. Je n’aime pas du tout. Mais je ne sais pas comment l’empêcher non plus. Tout ce que je peux faire c’est de faire cesser les commérages avec mon rendement au travail. Qui va se soucier si je m’habille sexy et que je porte des tonnes de bijoux, si je réalise de bons bénéfices pour la société ?

Bien que BLAKE ne soit pas convaincu, il ne me demande plus rien. Notre conversation étant terminée, je retourne à mon bureau.

Quand j’y suis, il me faut un peu de temps pour me calmer. Les stagiaires m’ont utilisée devant un subordonné. C’est vraiment dérangeant. Je suis dans l’expectative pour la prochaine partie de Pierre-Papier-Ciseaux. ,D’un côté j’ai peur du défi à venir si je perds. D’un autre côté cette simple pensée fait palpiter ma chatte.

A suivre…

mardi 23 janvier 2024

Le dressage d'Aline - Ch. 07

 Récit de Vadrouille.

*****

Aline fait la pute.

Il y déjà pas mal de temps maintenant qu’Aline est ma maîtresse attitrée et surtout mon jouet. Elle accepte tout et toutes les situations l’excitent. Il me fallait de plus en plus d’imagination pour que la bourgeoise devenue ma chienne lubrique soit encore réticente à certaines propositions. Cette réticence me pousse à lui ordonner n’importe quoi ce qui me fait toujours bander. A l’heure ou j’écris ces lignes,  les photos d’Aline, prisent pendant qu’elle se faisait sauter ou suçait l’un ou l’autre, défilent en arrière plan sur mon écran. 

Durant un week-end à la campagne nous étions tranquillement couché sur les transats du jardin. Aline avait les seins nus et une petite culotte qui était là juste pour le principe, je m’aperçois que sa main s’était glissée entre ses jambes et elle se donnait du plaisir :
 
- Tu penses à quoi en te branlant ?

- Oh des souvenirs repassent, la première fois nous deux, quand sur le bateau tu m’as "forcée" de m’exhiber, me faire tripoter sur les pistes de danses par des inconnus sous ton regard amusé, la même soirée lorsque tu m’as fait mettre un oeuf vibrant pour danser avec ce vieil homme qui croyait que c’était lui qui m’excitait, cette pipe que je t’ai fait sur le pont du bateau et aussi lorsque tu m'as "obligée" à baiser avec ton copain, lécher ton amie, faire l’amour avec ma propre fille pendant qu’elle te suçait, tout çà me...

- Te... donne des regrets ou des envies ?

- J’ai envie en tout cas de toujours faire les choses que tu voudras que je fasse, être ta petite chienne obéissante.

- Ça tombe bien, dis-je, ces souvenirs m’ont donnés envie de te la foutre en bouche et de me faire pomper la pine, vient on rentre...

Cette scène d’Aline à quatre pattes devant moi en train de m’avaler la bite était superbe, son cul en l’air était une invitation !!!!

- Salut les amoureux ! dit Robert en entrant dans le chalet ou nous étions en plein "travail"

Aline restait active.

- Salut Robert ! dis-je.

Aline ne pouvant faire qu’un vague signe, je lui avais maintenu la tête pour qu’elle n’arrête pas la turlute sous l’œil rigolard de mon copain qui déjà portait la main à la boîte à queue de ma pompeuse.

- Salut Robert, tu arrives bienn la chaudasse en redemande !  vas-y sers toi ! et toi Aline continue de sucer !

Joignant le geste à la parole, d’un coup Aline est prise en sandwich , Robert lui enfonce son asperge dans la chatte et s’active à la baiser.

- C’est bien comme ça on peut faire la conversation et profiter du corps de ma salope.

Nous la prenions en alternance par derrière ou nous nous faisions pomper par Aline qui devenait de plus en plus experte en ce domaine.

- Nous allons lui en foutre plein la figure ! dis-je en lui intimant l’ordre de nous branler tout les deux.

Nous éjaculâmes en même temps et elle était couverte de sperme qu’elle enlevait avec les doigts qu’elle léchait avec gourmandise.

Le lendemain, toujours au chalet.

- Dorénavant quand je t’en donnerai l’ordre, tu vas te comporter comme une pute avec qui je te dirai.

- Comme tu le désires, on va sur l’autoroute ?

- Non, là tu ne fais pas la putain puisque je suis là dès le début. Mais nous irons bientôt et on essayera de battre le record de camionneurs ou autres qui te baiseront. Mais aujourd’hui ce sera pour Eric (un voisin passe souvent prendre l’apéro) que tu vas allumer.
 
- Tout à l’heure, je serai à l’étage devant l’ordi et toi au salon où je vais placer deux caméras. Je verrai donc bien si tu fais la chienne. Tu t’habilles comme tu veux mais je veux que qu’il ne sache pas te résister. Dommage que tu n’as pas ici tes vêtements chics de bourgeoise, j’adore te voir te faire baiser comme une pute en étant habillée en Madame ! ce sera pour la prochaine fois...

Elle portait une longue jupe portefeuille noire et un chemisier assez transparent qu’elle avait momentanément "caché" sous une très large écharpe, fallait pas effrayer la cible. 17h00, Eric arrive.

- Salut Aline, Pierre n’est pas là ?

- Non, il a dû s’absenter, il a dit qu’on prenne un coup d’apéro ensemble (pas mal l’expression le coup ensemble, elle commence bien)

- Ah ? ok, mais si tu veux je reviendrai tout à l’heure...

- Non, non, reste ! Que veux-tu boire ? comme d’habitude, un verre de vin ? 

Elle se dirige lentement vers le bar, elle se penche très fortement pour prendre une bouteille montrant ses belles formes. C’est vrai qu’elle a un beau petit cul et, du coin du regard, l’ami Eric la mate discrètement. Aline, comme à la pêche, elle amorce, elle appâte. Se retournant pour apporter les consommations et venir au salon, elle s’arrange pour qu’un pan de sa jupe s’ouvre et laisse dépasser une jambe... La salope avait mis des bas et ça se voyait tandis que le copain feignait de regarder autre part... Mais pas facile. En plus en remplissant les verres elle lui tournait le dos et montrait de nouveau ses splendides formes. Elle attaque en force, s’asseyant à côté de son "client" elle pose une de ses jambes sur les genoux du copain qui tombe des nues.


- J’ai envie d’une bite, Pierre étant absent et toi bien là, tu vas en profiter, j’espère !

- Mais si Pierre revient ? 

Déjà il commençait à lâcher prise.

- T’occupe pas de lui, il ne sera pas là avant une heure, on a tout le temps. 

Elle avait fait glisser le pan de sa jupe montrant ses jambes. 

- En même temps, dit-elle, la bosse dans ton pantalon prouve que tu aimes me mater ! 

Elle laisse tomber son écharpe foulard dévoilant son chemisier transparent mettant bien en évidence ses seins, elle ne portait pas de soutif... Une véritable pute, elle agissait comme une traînée et ne se contentant pas de regarder la bosse dans le pantalon elle lui ouvre la braguette et commencer à lui pistonner le dard...

- Tu as une belle queue, tu vas me la mettre, hein ? je suis pleine de mouille. 

Prenant la main d’Eric elle lui prouve qu’elle est excitée, elle n’a pas de culotte...

- j’ai envie, dit-elle, joue avec mon petit cul qui n’attend que de se faire défoncer... lèche moi le clito, je veux sentir ta langue et que tu sentes mon odeur quand tu vas retourner près de ta femme ! ça m’excite !

- Je ne te savais pas comme ça ! dit Eric avec une voix haletante.

- Et tu n’as rien vu, j’aime me faire sauter dans toutes les positions par un ou plusieurs mâles même ta femme je peux baiser avec, lui sucer le clitoris, les seins, je peux tout faire. Pour moi le sexe c’est indispensable je suis chienne, une pute, une écrémeuse.

Et joignant le geste à la parole, elle lui prend la bite et commence à lui faire une petite gâterie. Franchement à les regarder, je me branlais devant les ordis et enregistrais les ébats pour regarder pendant les longues soirées d’hiver et je suis certain que Martine aimera voir sa mère agissant en putain.

- Non, te déshabille pas !  prends-moi ! défonce-moi ! regarde je me caresse d’envie, ta femme le fait aussi ?

- Non, elle est plutôt réservée et n’aime pas trop le sexe.
 
- Alors profite, saute moi mais vas-y bordel ! je t’ai dit que je n’attendais que ça, perds-pas ton temps on ne sera pas seul toute la soirée !!!! tiens, un préservatif.

Ceci dit, le copain d’un coup lui enfonce son engin et après seulement quelques coups de pompe le plaisir était là.

- Excuse moi, ça a été vite, j’étais tellement excité...

- C’est rien, j’ai eu ce que je voulais. Je suppose que tu préfère ne pas rencontrer Pierre ? va vite...

Lorsque je revînt dans le salon, Aline était toujours couchée, les jambes toujours ouvertes semblant attendre... le suivant.

- Du bon travail, tu t’es surpassée mais ça a été vite ! dis-je en quittant mon observatoire de voyeur.

- Oui, une pute veut baiser rapidement avec un mec... pas besoin de phrases. Tu me sautes, tu jouis puis tu te tires, je suppose que c’est ainsi ? mais ça m’a donné des envies !!!!!

- Il t’a baisé sur le bord du lit, même pas déshabillé. Tu as retroussé ta jupe et ouvert les jambes, vraiment comme une pro...

- ça me plaît assez un petit coup en vitesse... Mais je te veux toi maintenant...

- Ok, mais reste comme une prostituée, les jambes écartées et prête à baiser... Tu étais tellement parfaite que je me suis branlé en vous regardant, mais t’en fait pas, j’ai amené du renfort !

- Tu n’es pas seul ? 

M’approchant et l’embrassant, je lui enfonce un concombre que j’avais pris au passage... 

- tu vois, je suis avec mon copain !!!!!

Et je la baisais avec le légume.

- Aaaaaaaaaaaaaaaaaaagh mmmmh c’est bon !!! quand tu n’est pas là j’utilise aussi des fruits ou légumes pour me branler... Même au bureau ! Tu as remarqué que j’avais souvent une banane pour le déjeuner !

- C’est ça, en même temps, faudrait voir à occuper ta bouche et me redonner de la vigueur... Je veux encore te baiser en même temps que mon "ami" !!!! suce moi à fond, je veux sentir le fond de ta gorge avec ma bite.

- Oooooh bordel que c’est bon !

Et continuant de jouer avec le concombre dans son baveux, je la retourne, lui retrousse la jupe sur les fesses. Imaginez le spectacle du cul offert !!! Je commence du doigts à lui pénétrer son petit trou, je lui crache dessus, la lubrifie... Deux doigts passent, elle semble réticente mais je la maintiens fermement et la positionne pour la prendre comme une chienne.

- nooooon ! dit-elle.
 
- Siiiii, dis-je, tu es une pute et tu es là pour satisfaire, pour le bon plaisir des hommes, quoiqu’il te demande. 

En même temps j’avais présenter ma queue à l’entrée de son petit cul.

- tu vas voir comme je vais t’ouvrir la rondelle. dis-je en poussant mon gland à l’entrée de la zone.

- Aïe, nooooon, ça fait mal ! suppliait-elle.

- Je vais te sodomiser, que tu le veuilles ou non... 

Et d’un coup je lui enfonce bien profond dans le cul.

- Je suis celui qui peut tout exiger de sa catin, alors tu vas te branler avec le concombre pendant que je t’encule, comme si on te prenait à deux, ce qui te plaît en général.

- Oui, mais...

Une tape sur les fesses lui remet les idées en place. Je continue de lui tarauder le cul, les plaintes cessent et des petits cris de jouissance commencent à lui échapper.

- Voilààààà, c’est bien, tu commences à prendre du plaisir dans la sodomie ! tu étais déjà vaginale, clitoridienne, buccale et te voici anale maintenant... J’ai toujours dit que je ferais quelque chose de toi... Maintenant, je laisse aller la purée.

Je me retire de son moutardier et l’attrapant par les cheveux, je lui fait faire volte face et lui enfonce de nouveau ma bite dans la bouche cette fois et aussitôt j’ai une éjaculation du tonnerre. Mmmmmh !!! elle avale le p’tit lait et pousse des cris de plaisirs, elle est rassasiée, elle adore le goût du sperme.

- C’est bon, hein !!! Nettoie ma queue avec ton avaloir maintenant, après tout c’est en toi, dans ton trou d’cul que je l’ai souillée...

- Ouf ! dit-elle après avoir bien laver mon zob et repris son souffle, j’ai vraiment aimer être dans la peau d’une putain, j’aimerais que tu me le fasses encore faire. Etre prise comme une moins que rien, être dégradée, souillée, m’a donné encore plus envie de me soumettre à toi, de toujours faire ce que tu m’ordonneras, je crois que ton imagination n’a pas de limite et que ma soumission durera encore longtemps... 

Elle disait tout ça en continuant de se caresser en même temps, jouant avec son clito et se pénétrant l’anus.... elle y prend goût et tant mieux avec les projets que j’ai pour elle.

- Comme je t’ai dit tout à l’heure nous allons retourner sur les autoroutes et tu baiseras le plus possible de mecs en une soirée. Il y a aussi un copain Bruno, tu sais le patron de la brasserie qui, pour cause de permis retiré voudrait qu’on le reconduise chez lui et un vieux que je voudrais que tu fasses la pute avec... tu vois, il y a du pain sur la planche... enfin de la pine dans tes mains !!!

- Oh ouiiiii ce sera pour bientôt ? j’en ai déjà... l’eau à la bouche.

- Oui et je voudrais aussi un de ces jours me farcir de nouveau ta fille, c’est une fameuse baiseuse aussi la Martine.

Comme vous voyez, ce n’est pas encore aujourd’hui que je serai... au chômage ! 

FIN

dimanche 21 janvier 2024

Rêves interdits - 3ème partie

 Bande dessinée de Pinti.

*****
A suivre...

vendredi 19 janvier 2024

La déchéance de Sophie Ch. 02

Récit de Monsieur_E (2016)

*****

La descente aux enfers ne fait que commencer...

Le lendemain matin je prends ma douche, je m'habille, je prépare le petit déjeuner. Un jour comme les autres. Sauf que non, plus rien ne sera comme d'habitude après ce qu'il s'est passé hier et ma capitulation face à l'inéluctable.

Je suis nerveuse, je m'y reprends à trois fois pour faire mon chignon et je suis complètement dans la lune au point que je n'arrive pas à suivre les conversations matinales. Inconsciemment je fais tout pour retarder le moment du départ mais celui-ci finit fatalement par arriver. Je referme la porte et me dirige vers la voiture quand mon téléphone se met à sonner. Un nouveau message. Pendant que les enfants s'installent je lis discrètement ces quelques mots :

"N'oublie pas de venir me voir, et n'oublie pas comment tu dois te comporter..."

Comme si j'avais pu oublier. Je ne pense plus qu'à ça et à la tournure qu'a pris ma vie.

Le trajet jusqu'à l'école me semble incroyablement bref aujourd'hui. Devant l'entrée le va et vient habituel des élèves qui entrent et sortent va peut-être me cacher de mon tourmenteur, mais ce dernier espoir meurt quand j'embrasse mon fils et que je relève les yeux.

Il se tient avec sa clique à sa place habituelle et il m'a vu. Il ne prend même plus la peine de cacher son sourire ce matin. Sonia part vite retrouver ses amis et David m'abandonne à son tour. Je me retrouve seule sur le trottoir et j'hésite un instant mais je finis par me résoudre. Tremblant intérieurement je m'approche du groupe et me retrouve face à lui. Ce qui se passe alors me prend totalement au dépourvu.

Il discute avec un de ses amis et m'ignore complètement. Je suis là, plantée devant ses jeunes qui commencent à se demander ce que je veux et lui s'en fout royalement. 1... 2 minutes s'écoulent et je me sens de plus en plus mal à l'aise. Enfin il daigne se tourner vers moi et me toise de haut en bas. Involontairement je rougis. Il me fixe en silence de son regard dur et je finis par comprendre ce qu'il veut. Totalement troublée par la situation je bégaye.

"Bon..bonjour....Monsieur"

Son voisin se met à pouffer et du coin de l'oeil j'en vois un autre qui lui donne un coup de coude. Un rictus satisfait s'inscrit sur son visage et il finit de m'humilier en me congédiant d'un geste de la main.

"C'est bon... dégage".

Je suis anéantie mais le pire reste à venir : je ne sais pas ce qu'il me prend, je ne sais pas pourquoi je dis ça mais comme une idiote je murmure :

"Merci Monsieur !"

Je me retourne cramoisie et regagne au plus vite ma voiture sous les rires des ados. Les mains agrippées au volant je reste un moment à essayer de me calmer. Ma première pensée : "Mais qu'est-ce qu'il m'a pris de dire ça bon Dieu".

 La deuxième : "jamais je n'aurais le courage de revenir ici".

Je soupire et démarre mon véhicule. Et dire que la journée vient à peine de débuter.

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J'avais regagné une certaine contenance en arrivant au travail. Pour mon bien et celle de ma famille je devais protéger au mieux le reste de ma vie et pour cela continuer à me comporter normalement.

"Au moins" me dis-je, "ici je reste maîtresse de mes actes".

Je laissais donc la voiture au parking souterrain et saluais le vigile comme je le faisais chaque matin. 

La journée avançant, je redevenais moi-même et commençais à voir les évènements de la matinée comme un cauchemar lointain.

Après déjeuner (il y a un self dans le bâtiment mais la plupart du temps je grignote devant mon ordinateur) je réunis mes collaborateurs pour faire le point sur les dossiers en cours. Gérard présentait le cas compliqué d'un client qui allait peut-être nous intenter un procès.

"D'après lui, non seulement son chiffre d'affaire n'a pas augmenté mais il aurait même baissé de 10% sur les 3 derniers mois. Il veut qu'on..."

Brrr Brrrr. Sa tirade fut interrompue par mon téléphone. Tout en lui signifiant d'un geste de continuer je jetais distraitement un oeil sur l'écran... et me sentis devenir livide.

"Tu vas aller aux toilettes et retirer ta petite culotte que tu mettras dans la poubelle. Tu vas terminer ta journée avec seulement ton collant et ta jupe. Maintenant !"

Jessica remarqua mon trouble et ne pu s'empêcher d'intervenir sur son ton sarcastique habituel. 

"ça ne va pas madame? On dirait que ce contrat vous tient vraiment à coeur..."

Je répliquais avec un temps de retard.

"Tout va bien, merci de votre sollicitude Jessica. Gérard, poursuivez je vous prie !"

Et il poursuivit mais je n'écoutais plus. Presque malgré moi, j'avais hésité à me lever mais je me retins. Il était hors de question que j'obéisse. De toute façon ici j'étais hors de sa portée.

La réunion prit fin. Heureusement aujourd'hui, Richard ne me convoqua pas dans son bureau pour le briefing habituel. J'avais eu mon lot d'émotions pour la journée.

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Sur le chemin du retour, je pris la résolution de me détendre. Le mercredi, Sonia reste longtemps chez ses amies et David est à son club de musique. Mon mari rentrera tard comme toujours. Sans faire de détour je me garais dans l'allée de chez moi. J'ouvris la porte et ôtais mon manteau en soupirant de soulagement quand une voix pleine de colère brisa ma quiétude.

"Tu n'aurais pas du me désobéir..."

Mon coeur fit un bond dans ma poitrine et je me retournais lentement. Eric était installé comme chez lui sur le canapé, un ordi portable sur les genoux. Son regard n'était rien moins qu'amical. Je restais tétanisée, le manteau à moitié enlevé. Devant mon absence de réaction il se leva et s'approcha lentement en répétant.

"T'aurais pas dû.."

Je me mis à bredouiller tout en esquissant un pas en arrière.

"Je...non...j'ai..."

Il s'arrêta à un mètre de moi et me hurla dessus.

"TE FOUS PAS DE MOI CONNASSE. Soulève ta jupe !"

Je ne réagis pas assez vite à son gout.

"SOULEVE TA PUTAIN DE JUPE MAINTENANT !!"

Je m'exécutais, sursautant devant tant de violence. A travers mon collant apparaissait clairement les contours de ma petite culotte. Il m'empoigna par les cheveux et me força à le suivre dans le salon.

"AIEEEeeee"

Mon cri de douleur s'interrompit quand il me balança à terre sur le tapis.

"Je crois qu'on s'est pas bien compris tous les deux. Je sais tout ce que tu fais ou que tu sois. N'essaie pas de me désobéir et n'essaie pas de me MENTIR !"

Tout en parlant, il me tournait autour. Toujours affalée, j'évitais de croiser son regard pour ne pas envenimer encore plus la situation.

"A genoux !"

Cette fois je ne le fis pas répéter deux fois.

"Puisque tu ne comprends rien à rien tu vas faire face aux conséquences." 

Il tourna l'écran du pc vers moi.

"Regarde ça."

Je regardais et ma mâchoire manqua se décrocher. il avait mis en ligne sur un site internet les photos d'hier. Mon visage était flouté, Dieu soit loué, mais je n'en étais pas moins dévastée.

"Nooooon, nooooon s'il te plait..."

SLAP ! Une grande gifle m'assomma à moitié. Il approcha son visage du mien et me murmura :

"Et ne me manque plus de respect".

Il se releva et me toisa de son air méprisant.

"Voilà les règles. Retiens les bien car je ne les répèterais pas. Tu devrais déjà savoir comment t'adresser à moi. Quand nous ne serons que tous les deux tu te mettras à genoux et te déplaceras à quatre pattes comme la bonne soumise que tu dois être. Tu obéiras IMMEDIATEMENT à tous mes ordres ou que tu sois et quoi que tu fasses. Crois moi je le saurais si tu essaies encore de me rouler..."

La menace n'était que trop claire dans sa voix.

"Si jamais tu recommences, j'enlève le floutage et tout le monde verra que la mère modèle n'est en fait qu'une chienne en chaleur".

Il n'ajouta rien mais continuait de me toiser. Me tenant toujours la joue, j'acquiesçais d'une toute petite voix .

"Bien Monsieur..."

Devant mon acceptation il hocha la tête en silence.

"Passe devant, on va faire le tri dans tes fringues, il est temps de te saper comme la pute que tu es !"

Je me recroquevillais sous l'insulte mais ne me rebellais même plus. A quatre pattes comme il le voulait, je lui montrais le chemin jusqu'à ma chambre, l'ascension des escaliers me laissant des meurtrissures aux genoux.

Pendant qu'il vidait ma penderie et mes tiroirs je me tenais en retrait, mon esprit perdu dans l'horreur qui était devenue ma vie.

"A partir de maintenant tu oublies les collants, tu ne mettras que des bas. Tiens mais qu'est ce que c'est que ça ?"

Je relevais la tête et rougis. Il tenait un porte-jarretelle et un string que m'avait offert mon époux pour nos 3 ans de mariage. Son sourire me fit froid dans le dos.

"Bas et porte-jarretelle donc. Demain tu iras faire des courses, tu en achèteras d'autres ainsi que des jupes plus courtes. Je te laisse choisir mais gare à toi si tu me déçois."

Il se pencha et ramassa une paire d'escarpins en bas du placard.

"Et pour les talons se sera du 12 cm mini. Compris ?"

"Oui Monsieur".

"Bien. On va faire un essai. Tu vas garder ton chemisier et ta jupe et mettre les bas et les talons... Et vire moi ton soutif et ta culotte de grand-mère".

A nouveau je baissais la tête.

"Quand tu te seras changée tu descends, tu passes par la cuisine me prendre une bouteille d'eau et tu viens me retrouver dans le salon".

Sans attendre ma réponse il sortit de la chambre me laissant seule avec ma honte. Je fis comme il dit et le reflet final dans le miroir valait plus qu'un discours. J'avais vraiment l'apparence d'une trainée. 
Si la montée des escaliers fut une épreuve, la descente fut un véritable enfer. Mes seins ballotaient à chaque marche et ma jupe menaçait de se relever et de découvrir entièrement mes fesses. Je n'osais toutefois plus désobéir et c'est donc toujours comme une chienne docile que j'allais lui chercher sa bouteille. Ne pouvant me servir de mes mains et me déplacer en même temps je mis le goulot dans ma bouche et le rejoignis. Il était à nouveau sur le canapé et regardait la télé. Alors que je m'arrêtais à côté de lui il me tapota le crâne comme un animal m'humiliant encore un peu plus.

"Bonne chienne".

Il prit alors sa bouteille et m'indiqua de me mettre devant lui parallèlement au canapé. Je ne comprenais pas bien ou il voulait en venir mais c'est alors que je sentis ses pieds se poser sur mon dos. Ce sale gamin qui était mon maître chanteur se servait de moi, une mère de famille de 34 ans comme d'un tabouret au beau milieu de son salon. J'aurais dû réagir, une partie de moi hurlait de dégout mais je me laissais faire. Petit à petit il brisait ma volonté.

Plusieurs minutes s'écoulèrent quand je m'aperçus au bruit que le programme sur la télé avait changé. Je tournais la tête et me retrouvais face à un film porno. Sur l'écran une brune pulpeuse se faisait prendre à grands cris par deux hommes en même temps. Estomaquée je regardais alors vers le canapé et écarquillait les yeux sous le choc.

Eric avait sorti son sexe en érection de son pantalon et commençait à se masturber devant le spectacle. Bêtement je restais à fixer son engin, stupéfaite autant par la situation que par les dimensions de sa chose. La pensée qui me traversa l'esprit en cet instant me fit honte à moi-même. Mon mari ne pouvait pas tenir la comparaison avec lui. Son sexe devait bien faire 20 cm de long pour 5 ou 6 de large. Il croisa mon regard et son sourire supérieur réapparu.

"Elle te fait envie ma queue ? Qu'est ce que tu croyais que j'allais te baiser comme ça ?"

C'était comme s'il avait lu dans mes pensées. Qu'il me baise, je pensais qu'il l'aurait fait déjà hier quand j'étais à sa merci.

" T'es du genre à te croire bien foutue et à faire tourner la tête du français moyen mais désolé t'es qu'une veille vache avec un cul qui se ramollit. C'est plutôt ta fille mon genre tu vois..."

Je devins cramoisie. Mon orgueil venait de s'effondrer d'un coup. Je me remis à fixer la télé ne sachant plus quoi faire pour dissiper mon malaise. Sur mon dos je sentais son pied droit qui s'agitait, preuve qu'il avait repris ses activités. Je ne sentais plus le poids de son pied gauche quand je ressentis une douleur contre mon sein. Il venait de me donner un coup de pied ! Je décidais de l'ignorer quand un autre coup m'atteignis. Puis un autre et encore un autre. Sans la protection de mon soutien-gorge, mes seins s'entrechoquaient à chacun de ses coups, au même rythme que la fille sur l'écran se faisait défoncer violemment.

Maltraitée dans mon salon, pendant qu'un ado se masturbait dans mon canapé devant un porno je me sentais humiliée plus bas que terre. Mon esprit lachait prise entrainant la trahison de mon corps. Comme hier alors qu'il me corrigeait je sentis à ma grande honte, une chaleur monter dans mon bas ventre et ma fente s'humidifier. Ma respiration se fit plus rapide et le contact répéter de son pied sur mon mamelon les fit durcir. Je ne comprenais pas ce qu'il m'arrivait et je me détestais mais j'étais de plus en plus proche de la rupture.

Alors que j'haletais presque la pression sur mon dos et sur mes seins disparurent et je l'entendis pousser un râle. Je tournais vivement la tête vers lui juste à temps pour voir son sexe tendu gicler son plaisir sur mon dos. De longues traces de sperme strièrent bientôt mon chemisier et le collèrent à ma peau. Mon ébahissement fut de courte durée car à peine terminé il agrippa une poignée de mes cheveux pour essuyer le bout de sa verge me souillant encore davantage. Avec un long soupir satisfait il se laissa retomber dans le canapé et moi je me remis à contempler le sol.

Des larmes d'humiliation me montèrent aux yeux quand je m'aperçus que la chaleur dans mon ventre ne s'était pas dissipée et qu'au contraire, j'avais même inconsciemment écarté un peu mes jambes pendant l'acte. Bien qu'il sembla rassasié je n'osais bouger sans son instruction et me contentait de rester en position.

Je faillis pousser un cri quand soudain je sentis son pied remonter ma cuisse (et ma jupe par la même occasion ). Je dûs me mordre la lèvre quand la pointe atteint mon sexe et s'insinua sans douceur entre mes grandes lèvres.

1... 2... au bout du 3ème va et vient et malgré tous mes efforts pour le réprimer je poussais un gémissement pitoyable. L'intrusion cessa immédiatement et j'entendis un rire vulgaire.

"Mais tu mouilles espèce de salope. regarde dans quel état tu as mis ma godasse."

Totalement mortifiée je tournais la tête pour malheureusement découvrir qu'il n'avait pas menti. Sa chaussure était luisante de mes sécrétions intimes.

"Tu vas me nettoyer tes saletés". 

Il me regarda droit dans les yeux. 

"Avec ta langue".

Ces trois simples mot me firent l'effet d'un coup de tonnerre. Sachant qu'il ne servait à rien de protester, je ravalais le peu de fierté qu'il me restait et pivotait vers lui. Toujours à quatre pattes je me penchais alors et timidement j'effleurais sa chaussure du bout de ma langue.

"Passe la partout, nettoie mieux que ça, on a pas la soirée !"

Une fois de plus au bord des larmes je m'appliquais au mieux, passant et repassant ma petite langue sur toute la surface.

"ça suffit, à genoux !"

Je me redressais péniblement et par cette action son sperme se mis à couler le long de mon dos. Je pensais que plus rien de pire ne pouvait m'arriver mais j'aurais dû commencer à comprendre que son imagination pour m'humilier ne connaissait pas de limite.

"AAAAHH". 

Je poussais un cri quand d'un coup sec il ouvrit mon chemisier en deux, faisant sauter tous les boutons et libérant mon ample poitrine. J'imaginais quelle image je représentais en ce moment, à genoux, le jupe remontée en haut des cuisses, le torse offert à son regard lubrique. Il garda le silence un moment les yeux rivés sur ses trophées avant d'ajouter calmement.

"Maintenant tu vas me sécher ça avec tes grosses loches".

Sans me laisser le temps de réagir il m'appuya sur le cou pour me forcer à me baisser. Soumise, j'entamais alors un mouvement de va et vient. c'était comme si je pratiquais une cravate de notaire à sa chaussure.

Une fois encore, le feu s'alluma dans mon ventre, mes tétons durcirent douloureusement sous l'effet de la friction et je devais l'avouer, de l'excitation. Mon sexe inondait mes cuisses et mon bassin ondulait en rythme.

"Mon Dieu, il va gagner, je deviens vraiment une salope" me dis-je me dégoutant moi-même.

"Stop, redresse toi !".

J'obéis mais gardais les yeux fermés pour masquer mon trouble. Avec horreur je constatais que mon bassin continuer d'onduler de lui-même. C'était comme si je n'avais plus prise sur mon corps !

"ça alors, t'es une vraie chienne toi. Qui aurait pu le deviner sous tes airs de bourge coincée."

Je restais silencieuse, rien de ce que je pouvais dire ne pouvait contredire ce qu'il venait d'annoncer.

SLAP!

"RHAAAAAA" 

Je lâchais un râle de surprise et de douleur alors que soudain il me gifla le sein droit.

SLAP! SLAP! SLAP! SLAP!

Les coups s'enchainaient à droite et à gauche et mes cris de douleurs, se transformèrent en gémissement de plaisir.

"Sale chienne"

 "grosse salope"

Chacune de ses insultes, chacun de ses coups me faisaient l'effet d'une décharge électrique qui parcourait tout mon corps. Mes seins se tendaient vers ses mains en anticipation, mon bassin ondulait follement, je ne me contrôlais plus.

Pfiuuut !

Comme hier il se remit à me cracher dessus. Au deuxième, j'entrouvais la bouche et quand son crachat atterrit sur ma langue, j'avalais sa salive avant même qu'il ne me l'ordonne. Dans une dernière tentative de préserver ma dignité, je faisais tout pour éviter l'humiliation suprême de jouir d'une situation aussi avilissante. Mon désir atteignait son paroxysme et quand d'un coup il se saisit de mes tétons pour les tordre violemment, une vague immense m'emporta et je hurlais de plaisir.

Je m'écroulais sur le tapis, le corps convulsé par les spasmes d'une jouissance que jamais je n'avais connu si puissante.

Je récupérais, allongée et haletante quand il posa son pied sur mon visage et s'adressa à moi sur le ton du vainqueur au vaincu. Et vaincue je l'étais bel et bien. J'avais franchi un cap et plus aucun retour n'était possible.

"Ce soir tu te raseras intégralement la chatte. A partir de demain tu iras au taff habillée comme ça et sans sous-vêtements. N'oublie de venir me saluer, chienne".

Il appuya sa semelle sur mon sexe pour marquer une dernière fois son territoire m'occasionnant du même coup un dernier spasme et sortit en laissant la porte d'entrée ouverte. 

Je mis longtemps à reprendre mes esprits et à me trainer jusqu'à la porte pour la refermer. Je pleurais alors en silence mais j'avais peu de temps pour m'apitoyer sur mon sort. Les enfants n'allaient pas tarder à rentrer....

A suivre...