Traduction du texte de Cathartico : "Jessica's Change Management"
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C'est le tour des stagiaires.
MERDE !
Je deviens blanche. La surprise me frappe si fort que j’ai l’impression que le temps s’arrête avant que la panique me saisisse. Je deviens hystérique.
Levant les yeux, je vois trois visages apparaître au-dessus des demi-cloisons. Justin, Matt et Taylor se sont levés et commencent à applaudir. Ils ont vu tout le spectacle que je viens de donner. Ils applaudissent mes efforts. Qu’est-ce qui se passe ? Mon esprit ne fonctionne plus.
- Une performance d’enfer ? Il fallait que je la vois pour y croire ! Laisse échapper Justin.
- Ouais ! Toutes les histoires que nous a racontées Daniel semblaient trop belles pour être vraies. Ajoute Matt.
Ce n’est pas vrai ! Non ! Non non non ! Ça ne peut pas arriver !
Tous les stagiaires viennent de me voir. Ces garçons âgés de vingt ans viennent de voir une directrice respectée et cultivée pousser un marqueur dans son cul.
Daniel m’a trahi ! Il a dévoilé notre secret ! Il a mis ses collègues stagiaires au courant.
Je commence à avoir la nausée. Tout devient incontrôlable maintenant. Si un seul gars ne peut pas garder un secret alors quatre le peuvent encore moins. Je suis dans la merde ! Je peux déjà entendre les commérages se répandre dans la société.
Je voudrais fuir, mais je suis trop assommée pour faire un geste. Je reste debout dans le bureau des stagiaires pendant que ceux-ci tournent autour de moi. Daniel commence à parler :
- Pourquoi ne ferions-nous pas une pause ? Je parie que vous êtes tous impatients de voir Miss Pute de Bureau en chair et en os hein ?
Je suis trop choquée pour bouger quand les stagiaires sortent du bureau. Daniel doit me prendre la main et me tirer. Je me remets à réfléchir. Ma situation est vraiment mauvaise, mais je ne peux pas laisser empirer les choses. Mes subordonnés ne doivent pas me voir me faire entraîner par mon stagiaire. Je réagis donc en lui lâchant la main et en laissant une distance de sécurité derrière les stagiaires pour garder contenance.
Pendant tout le trajet, mon cœur bat si fort que je n’entends même plus le cliquetis de mes bracelets en argent ni le claquement de mes talons sur le sol. J’ai du mal à comprendre ce qui se passe. Ma tête passe en revue tout ce que j’ai fait. Maintenant c’est trop tard ; le pire est arrivé. Que puis-je faire d’autre que de faire bonne figure et d’essayer de minimiser les conséquences.
Quand les quatre garçons descendent au sous-sol, je comprends où nous allons. Ils se dirigent vers la salle de repos qui est seulement utilisée par les gardiens.
Quand on arrive devant la porte, je m’arrête et j’hésite. J’ai l’impression que c’est un point de non-retour. Dieu seul sait ce qui va se passer à l’intérieur. Où vais-je à partir d’ici ? Comment vais-je survivre pendant le reste de leur stage s’ils sont au courant ?
Mes pensées sont interrompues par Daniel. Il commence à être impatient de pouvoir montrer son animal de compagnie. De toute évidence il se sent en sécurité au sous-sol car il attrape mes cheveux châtains. Puis en tirant dessus, il me penche et me traîne dans la pièce comme une esclave.
La brusquerie de ce voyou attise ma colère, et finalement, le choc est atténué par ma rage. Je commence à me débattre violemment contre sa main, mais en vain. Dès qu’il lâche mes cheveux je me redresse.
Mon visage est rouge de couleur. Je bafouille dans ma crise de colère. Et je ne me soucie même pas que les autres stagiaires me voient comme ça.
- Tu… Putain… Connard. A quoi penses-tu abruti ? Qu’est-ce que tu crois me faire ici ? Crié-je.
Nous avons fait tellement de choses. Et maintenant ça ? Il m’a mise en rage ! Je l’avais accepté comme mon homme. Je lui avais permis de me transformer en animal de compagnie. J’avais eu envie qu’il me domine.
Cependant tous ces sentiments ont disparu pour le moment. Je me suis sentie honteuse et trahie. Daniel avait osé m’exposer et me rendre ridicule devant les autres stagiaires. Je continue à lui crier dessus :
- Tu es allé trop loin enfoiré ! Pourquoi ne pouvais-tu te satisfaire de ce que tu avais ?
Le fait de ressentir autant de déception que de désespoir me rend encore plus furieuse.
Mon déchaînement et mes cris font que le jeune latino se rapproche de moi. Sa haute silhouette domine mon petit corps. Toutefois il ne s’énerve pas. Il devient très sérieux pendant une seconde. Il me chuchote à l’oreille :
- Désolé petite chatte ! Les gars soupçonnaient quelque chose. Je ne pouvais plus leur cacher. De toute façon ils étaient sur le point de deviner.
Puis il essaie de me raisonner :
- Tu préfères les voir dans l’action plutôt qu’ils aillent parler de leurs idées à ton patron n’est-ce pas ? Ne t’inquiète pas ! Tant que tu es avec moi, ils feront ce que je dis. Notre petit secret est en sécurité avec eux.
Son empathie subite me prend par surprise, mais ça ne suffit pas à me calmer. Bien sûr, je ne veux pas qu’ils parlent de moi. Mais je ne les veux pas non plus. Je veux que mon épreuve se termine. Je veux revenir en arrière, au temps où je ne connaissais pas encore ce voyou macho.
Les picotements soudains de ma chatte m’indiquent que mes pensées ne sont pas en accord avec mon corps. Je suis complètement partagée à l’intérieur. Autant je déteste la façon dont Daniel a joué avec le feu, autant je veux sa domination.
- Mieux vaut être reconnaissant mademoiselle. Fais-toi plaisir avec mes amis et donne leur le respect qu’ils méritent. Me réprimande Daniel.
Puis il ordonne sèchement :
- Montre-leur qui est ton homme ! Et excuse-toi d’avoir fait une crise !
Son changement soudain de comportement me prend au dépourvu. Son empathie a disparu. Son caractère dominateur est de retour et il prend le contrôle de la situation. Son audace me coupe le souffle.
Ce bâtard macho a la prétention de m’engueuler devant ces collègues. Nous ne sommes pas seuls. Ce ne sont pas des membres de son gang. C’est d’autres stagiaires de mon entreprise. Ça fait une énorme différence pour moi. Je crache alors :
- Va te faire foutre ! Je ne fais rien devant eux ! Ce n’est pas leur affaire.
Daniel se contente de rigoler ;
- Hé hé hé hé ! Il est un peu trop tard pour faire une crise, tu ne crois pas ? Bien que je doive dire que c’est amusant de te voir t’époumoner en vain.
Puis il demande plus sérieusement :
- Tu te souviens des règles, petit animal de compagnie ? Tu dois faire me faire plaisir une fois par jour. Et je peux inclure n’importe quoi ou n’importe qui. Et aujourd’hui je décide d’inclure mes collègues.
Il se moque de moi :
- C’est idiot hein ? Mais tu ne veux pas enfreindre les règles n’est-ce pas ? Tu veux être un bon animal de compagnie non ? Alors dépêche-toi salope de t’excuser !
Son petit discours est accueilli par des ricanements des autres stagiaires. Je me sens complètement trompée. Une fois encore, Daniel a réussi habilement à prendre le dessus. Pire encore, la façon dont il vient d’élever la voix me laisse sentir sa domination et étouffe ma colère. Même avec les autres autour de moi, je ne peux m’empêcher de glisser en mode soumission.
En tant que directrice d’un département, mon travail consiste à évaluer les compétences des membres de mon équipe et à utiliser leurs points forts à bon escient. Daniel fait la même chose. Il a identifié comment me soumettre et il sait parfaitement.
l’utiliser.
Que cela me plaise ou non, il a raison. Après tout, je me suis engagée à respecter les règles. Je ne peux pas me dédire au premier obstacle non ? En conséquence il faut que je suive les règles. Et encore mieux ; je ressens le besoin de montrer à Daniel que je suis toujours sa pute obéissante. Je n’aime pas le fait qu’il ait introduit les autres stagiaires dans notre secret, mais je ne décide pas. Mon rôle est de suivre ses ordres et non de prendre des décisions.
Je baisse la tête et je me rends. D’une certaine manière, ça ne ressemble pas à une défaite. C’est seulement une autre étape de ma transformation. Daniel a réussi à utiliser les règles pour me montrer à ses collègues. Il a gagné plus de soumission de ma part.
- Prête à t’excuser maintenant ? Dit le latino en retournant le sel dans la plaie.
- Je suis… désolé… Monsieur Daniel ! Dis-je avec hésitation d’une voix basse.
Le jeune macho réagit à mes excuses timides en saisissant ma veste blanche et en tirant sur les pans. Je baisse les yeux et je vois mes gros seins fermes gicler sous la dentelle tandis que mon corset devient visible.
Mon premier réflexe est de lever les bras pour couvrir mes gros nichons, mais le regarde sévère de Daniel m’arrête. Je laisse mes bas pendre à mes côtés et je laisse les stagiaires avoir une vue complète de mon corset léopard. Putain, je me sens si gênée !
- S’il vous plaît Monsieur, ce n’est pas bien. Je suis votre patronne ! Supplié-je.
Puis je m’adresse aux autres jeunes gens dans un plaidoyer pathétique :
- Je suis la patronne de vous tous. Vous ne devez pas me voir comme ça !
- Trop tard hein ? Mes collègues savent déjà que tu es une Pute de Bureau. Répond simplement Daniel.
Et il ajoute pour enfoncer le clou :
- Regarde tes ongles longs fraîchement manucurés ! Et tes bijoux bling-bling ! Tu te plains, mais pour attirer leur attention, ne le nie pas !
Puis il dit à ses collègues stagiaires :
- Vous pouvez le croire les amis, c’est une putain qui aime l’attention que l’on peut lui porter. Elle était si heureuse de se faire baiser par mes potes qu’elle s’est faite faire un tatouage pour eux.
Subitement il m’ordonne :
- Montre-leur !
Mon visage est cramoisi de honte et ma lèvre inférieure tremble d’embarras. Je ne peux quand même pas montrer mes tatouages de bronzage à ces jeunes stagiaires. Ils vont perdre les dernières miettes de respect qu’ils peuvent encore avoir à mon égard. Mais malgré ma réticence , j’obéis à l’ordre de Daniel. Tirant la jupe en cuir de quelques centimètres vers le bas, je révèle le sigle « LGZ » au-dessus de mon entrejambe.
L’incrédulité dans les yeux des garçons me fait encore plus trembler. Et la présentation de mon corps n’est pas terminée. Le visage brûlant de honte, je me retourne et je leur montre mon dos. Ils sifflent d’admiration quand il voit le grand tatouage de bronzage sur le bas de mon dos.
- Waouuuuhhh ! Qui s’en serait douté ? Notre patronne s’avère être une poupée d’enfer. Dit Justin.
- Ouais ! j’ai toujours su que c’était une salope ! Rétorque Matt.
- Bon sang, elle est modelée comme une putain de poupée de luxe. Dit Taylor en prenant la parole pour la première fois ?
Leurs commentaires me couvrent de ridicule. Je ferme les yeux. Avec cette tenue sexy, les bijoux scintillants et ces tatouages, ils ne peuvent me voir que comme un bimbo de bureau. Ils ne me voient plus comme une directrice, mais seulement comme un morceau de viande sur lequel ils veulent mettre la main. Cette pensée envoie des picotements dans ma chatte.
- Maintenant mets-toi à genoux salope ! Et dis pardon à ces braves garçons ! Ordonne Daniel.
Au début, je regarde autour de moi avec hésitation. Je sais qu’il veut que je rampe pour son amusement. Cependant nous sommes toujours dans l’immeuble de ma société. Mes collègues sont toujours au travail dans les étages supérieurs.
D’un autre côté, il n’y a pas de meilleur endroit dans l’immeuble. Aucun de ses collègues ne met jamais les pieds ici. Il est peu probable que quelqu’un les remarque. C’est certainement plus sûr ici que dans son bureau.
Toutefois une boule me reste dans la gorge lorsque j’enlève complètement ma veste blanche et que je la laisse tomber par terre. En remontant ma jupe en cuir sur mes hanches, je révèle le haut des bas imprimé léopard. Je me sens comme une pouffiasse idiote lorsque je me retrouve en entier en motifs léopard.
Daniel tend la main et pince mes mamelons à travers le tissu en dentelle. Un gémissement s’échappe de mes lèvres. Mes tétons sont durs et dressés, tout le monde peut le voir. Mon excitation refoulée est proche de l’ébullition. Et mon corps réagit sans retenue à tout contact. C’est si humiliant de me comporter comme une pute ordinaire devant ces jeunes garçons. Je voudrais crier mon désespoir.
- S’il vous plaît arrêtez, S’il vous plaît, laissez-moi un reste de dignité. Chuchoté-je au latino.
Mais il se moque de moi.
- Hé hé hé, une pute n’a pas de dignité.
Puis il m’ordonne tout en sachant que c’est dégradant :
- Maintenant agenouille-toi et montre-leur tes atouts !
Je réprime un sanglot, mais je ne discute pas. Je sors mes seins de leurs bonnets en dentelle et je me cambre pour les pousser en avant. Puis j’avance et je m’agenouille devant Justin, le stagiaire pervers. Je dois ravaler mon dégoût.
- Je m’excuse de m’être si mal conduite Monsieur Justin. Je suis l’animal de compagnie de Monsieur Daniel et je me suis énervée. Désolé pour ça !
Je n’arrive pas à croire que j’appelle ce jeune homme « Monsieur ». Je commence à être habile dans mon rôle de soumise. Les genoux écartés, je saisis les petites lèvres de ma chatte avec deux doigts et je les écarte, pour montrer la chair rose de mon sexe.
- Aimez-vous la chatte de la salope Monsieur ? Demandé-je à ce stagiaire écœurant.
- Putain : j’ai toujours su que tu étais une vieille au cul chaud. C’est une chatte bien juteuse que tu as là, cougar aux gros nichons. S’exclame-t-il.
Me laissant agenouillée devant lui, Justin savoure du regard ma chatte exposée. Cependant il ne me touche pas. Donc je reste en position, endurant son inspection, jusqu’à ce qu’il finisse par hocher de la tête. Alors je me déplace sur les genoux, traînant mon gros cul jusqu’à Taylor.
- Je suis désolé d’avoir été une garce Monsieur Taylor. Je suis une vraie salope et j’en suis désolée. Dis-je au jeune homme noir.
Je me retourne sur mes genoux et je me baisse jusqu’à ce que mon visage touche le sol et que mon cul soit en l’air. Je passe mes bars dans le dos et avec mes doigts aux ongles longs j’écarte mes fesses pour montrer mon petit trou du cul.
- Aimez-vous le cul de Miss Pute de Bureau Monsieur ? Demandé-je au stagiaire noir en me rappelant d’utiliser mon langage de salope.
En regardant le joueur de football musclé depuis ma position soumise sur le sol, je le vois hocher de la tête. Il semble étonné, ne sachant que faire.
- Cette cougar aime le cul. Regarde mec ! Dit Daniel pour le faire bouger.
Encore hésitant, Taylor passe sa main sur mes fesses et le long de ma raie. Il laisse même un doigt se poser sur mon petit trou et il pousse légèrement.
- Elle a un trou du cul bien entraîné. Enfoncez deux doigts dans son cul et elle en demandera plus. Dit Daniel pour continuer à me dégrader devant ses amis stagiaires.
Les encouragements du latino incitent Taylor à pousser son index dans mon cul et à sonder l’étanchéité de mon sphincter. Puis il le retire et me fait signe pour m’indiquer qu’il a terminé.
Je me déplace jusqu’à Matt et, agenouillée devant lui, je dis :
- Cette stupide garce est désolée de s’être mal conduite Monsieur Matt. Je m’excuse sincèrement, ça ne se reproduira plus.
Comparé à ses deux autres collègues stagiaires, Matt se montre plus courageux en prenant immédiatement mes gros seins dans ses mains pour les pétrir.
- Tu es une salope taquine n’est-ce pas ? Tu aimes draguer les jeunes garçons avec tes gros seins n’est-ce pas sale pute ?
Il pince mes mamelons très fort, me faisant gémir. Prenant ma réaction pour un « oui », il malmène ma grosse poitrine plus brutalement qu’avant. Il n’arrête pas de tordre mes tétons sensibles jusqu’à ce que je dise :
- Oui Monsieur Matt, je suis une sale pute qui aime aguicher les hommes.
- Et tu aimes qu’ils soient violents avec toi salope ?
Ce jeune salaud attrape de nouveau mes seins et pince une fois de plus mes tétons jusqu’à ce que je gémisse affirmativement.
- Montre-moi ! Dit-il en me relâchant.
Il recule légèrement en me regardant avec un sourire vicieux. Il me faut quelques instants pour que je comprenne qu’il veut que je prenne la relève. Il veut que je lui montre à quel point j’aime être maltraitée. Toutefois, je ne veux rien montrer du tout. Je le pense dans ma tête, mais je n’ai pas vraiment voulu le dire.
Malgré tout, Daniel m’a ordonné de tout faire pour m’excuser et je ne peux pas me rétracter. Nerveusement je pose mes doigts sur mes gros nichons bien laiteux. Je fait le tour de mes aréoles avec le bout de mes faux ongles. Puis je rassemble tout mon courage pour pincer mes mamelons.
- Aie ! Dis-je en sentant la douleur.
Mais Matt n’est pas impressionné, il dit :
- Oh c’est décevant. Tu as des ongles d’actrice porno, sers-toi en salope !
Après ce commentaire, je commence à passer mes ongles longs sur la chair tendre de mes gros seins. Je les enfonce et je laisse des traces rouges sur mes nichons. Ça ne me fait pas vraiment mal, ça picote légèrement. Et zut, contrairement à mes attentes, ça ne fait que m’exciter.
De plus en plus vite, je tords et martyrise mes gros melons. Ma peau me pique de partout, m’excitant de plus en plus. Enfin, je saisis mes tétons entre mes ongles longs et je les pince.
- Ooooooooohhhhh ! Grogné-je.
Bon sang, je me suis emportée et je suis allée vraiment loin avec ma pauvre poitrine. Mais c’est si bon ! Tout mon corps est en feu !
- Hé hé hé ! Quelle salope gourmande ! Elle a envie d’une grosse queue hein ? J’ai l’impression que cette garce est prête à se faire mal quand elle n’a pas un mec pour l’utiliser.
Matt se moque de moi. Les autres stagiaires rient de moi. Et merde, quatre de mes stagiaires sont en train de se foutre de moi, leur directrice.
Quand Matt me renvoie d’un geste de la main dédaigneux, je me précipite vers Daniel et je reste à genoux devant le vieux canapé usé où il est assis. C’est là que le latino a une autre idée.
- Alors… Matt a eu l’idée du dé mais n’a vu le défi que par la caméra. Je crois qu’il est temps de laisser mes amis voir un défi en réel. C’est mieux, tu n’es pas d’accord, petite chatte ?
Matt applaudit et dit :
- Ouais ! Nous somme déjà à l’endroit parfait de toute façon.
Daniel suggère alors :
- Modifions un peu les règles alors ! D’abord tu lanceras le dé pour déterminer la partie de ton corps. Et ensuite tu le relanceras pour déterminer le temps nécessaire pour réussir le défi que je te donnerai.
Réalisant que je vais devoir encore m’exposer devant les stagiaires, un frisson me glace le dos. Bien que je comprenne à peine les nouvelles règles, je n’ai pas le temps d’y réfléchir, car Daniel me donne le dé. Toujours à genoux, je le fais rouler sur le sol. Daniel annonce le résultat :
- Génial, c’est un 6. ça veut dire seins et cul !
Puis, après que j’ai relancé le dé :
- Et un deux ! Donc tu vas avoir quatre minutes pour exposer tes gros atouts, seins et cul.
Puis il continue d’expliquer mon défi :
- Tu vas complètement te rhabiller. Et tu n’auras pas le droit d’utiliser tes mains. Il va falloir que tu sautes sur place pour nous montrer tes gros melons et ton gros arrière-train. Compris ?
Pas de mains ? Sauter sur place ? Putain de merde ! Ça semble aussi vicieux que difficile.
Le visage brûlant de honte, je me dépêche. Les quatre garçons s’assoient sur le vieux canapé et observent chacun de mes mouvements. Je vois que Daniel est fier de son animal de compagnie. Le regard de Matt est vraiment vicieux, Justin fixe ma grosse poitrine et Taylor semble encore hésitant et peu sûr de lui.
Face à eux, je tire ma jupe en cuir noir sur mon cul et je reboutonne ma veste blanche. Avec ma tenue de travail dans son état initial, je reste un moment sans bouger, ne sachant pas trop comment faire. Mais je suis pleinement consciente que je dois y aller ou le temps va me manquer.
Et si j’échoue ? Mais j’abandonne rapidement cette idée et je me mets en mouvement. Avec précaution, je commence à sauter sur place à plusieurs reprises. Je sens la chair de mes seins vaciller dans les bonnets en dentelle. J’ai l’impression d’être une gamine qui sautille. C’est bête. Mais c’est pas assez non plus. De cette façon, mes nichons ne vont jamais sortir du gilet.
- C’est ce que tu appelles sauter petite chatte ? Un peu plus de nerfs, mes copains s’ennuient.
Mes joues deviennent rouge sombre, car je me fais réprimander comme une idiote. Alors j’obéis. Mes bras le long du corps, je commence à sauter de haut en bas. Mes longs cheveux châtains suivent le mouvement alors que mes gros seins commencent à ballotter. Mes gros melons commencent à rebondir sauvagement sur ma poitrine tandis que mes boucles d’oreille frappent mes joues et mes bracelets claquent bruyamment sur mes bras.
Sauter ! Sauter !
Peut-on le croire ? Je suis ici, dans le sous-sol de l’immeuble de la société, sautant sur place avec mes gros seins rebondissant pour l’amusement de quatre jeunes garçons. Pourrais-je avoir l’air plus stupide ?
Mes grosses mamelles rebondissent, tremblent et déforment ma veste blanche. Le spectacle doit vraiment être sexy, car les quatre stagiaires sont sur le point de baver. Et bien que les bonnets en dentelle du corset soient passés sous mes seins, ça ne suffit pas pour les faire sortir de la veste.
Je commence à sauter plus fort, comme si je saute à l’élastique. Ce n’est pas si facile que ça à cause de mes bottes en cuir avec les talons de dix centimètres. Plusieurs fois je chancelle et manque de me casser la figure, ce qui fait rire les quatre gars.
Toutefois, je ne me relâche pas, continuant à sauter comme si je tentais d’établir un nouveau record de « saut à la corde imaginaire ». Le poids de mes seins tire ma peau. J’ai l’impression qu’elle va se déchirer et que mes nichons vont se détacher.
Cependant mes efforts sont payants. Très lentement, mes seins s’échappent de ma veste blanche. Centimètre par centimètre, ma chair laiteuse apparaît. Pourtant il faut un certain temps pour que mes mamelons glissent hors de leur enceinte. C’est le point de non-retour. Un saut plus puissant et mes nichons sortent de la veste. Enfin libres, ils sautent si fort qu’ils me giflent le menton.
- Waouuuhhhhh ! Hurlent les garçons pour se moquer de mon humiliation.
Daniel aime bien ce qu’il voit alors il ordonne :
- Continue comme ça ! Frappe ton visage quatre fois ! Et n’oublie pas le temps que tu as.
Bon Dieu ! Je suis en train de me gifler la figure avec mes seins. Je dois fermer les yeux, c’est trop humiliant. Malgré tout, je continue à sauter sur place jusqu’à ce que je sente trois fois encore la chair de mes melons frapper mon menton.
- Le temps presse !
Daniel me rappelle la deuxième partie du défi quand je prends une courte pause pour reprendre mon souffle.
Mes sauts ont été épuisants et je transpire abondamment. Néanmoins, je me concentre sur ma tâche et je me retourne. La poitrine soulevée par ma respiration rapide, je me penche. En me pliant comme un couteau, je me penche jusqu’à ce que mes mains touchent mes chevilles et que mes seins nus soient pressés contre mes jambes.
La jupe en cuir noir est si serrée qu’elle colle à mes fesses et suit chacun de mes mouvements. Elle se relève un peu sur mes jambes mais pas assez encore pour exposer pleinement mon cul.
Lentement, j’écarte mes jambes et je me baisse. Ainsi, je dois faire attention à ne pas déchirer la jupe. Mais je la sens remonter plus haut sur mes jambes.
Toutefois ça ne suffit pas encore. Je suis presque prête à abandonner. Mais au lieu de cela, je me penche encore plus en avant pour poser mes mains au sol devant moi. Gardant les jambes écartées, je baisse la tête pour qu’elle soit plus près du sol que mon cul. Je me retrouve la tête en bas, le cul en l’air, les jambes écartées. Quelle position inconfortable !
Les sifflets dans mon dos m’indiquent que les gars doivent avoir une très belle vue, car la jupe en cuir noir est très tendue et serre mon gros cul si fort que chaque courbe est parfaitement tracée. La jupe a maintenant atteint la bordure inférieure de mon derrière. Ce n’est pas suffisant. Bon sang, que puis-je faire d’autre ?
En me baissant jusqu’à ce que mes seins nus touchent le sol sale, je commence à bouger mon cul en rond. J’essaie de déplacer le cuir de la jupe plus haut. Mais elle est tellement tendue qu’elle bouge à peine. Mes mouvements giratoires deviennent de plus en plus désespérés à chaque seconde qui passe. Je remue mon cul dans toutes les directions comme si ma vie en dépendait.
J’entends les garçons hurler de rire. Ma position avec les jambes écartées, le visage et les seins sur le sol, le cul en l’air doit être totalement ridicule à elle seule. Les mouvements de mon gros cul en cercle doivent être encore plus comiques.
Ça ne marche pas et je manque de temps. Je commence donc à essayer de faire rebondir mon arrière-train imposant. La chair de mon cul remue dans tous les sens dans la jupe en cuir vraiment trop serré. Elle remonte un peu, mais pas assez.
Je mets toute mon énergie dans mes muscles fessiers et je secoue mon cul comme une damnée, faisant ainsi frotter mes gros seins et racler mes mamelons sensibles sur le béton sale. J’aurai été dégoûtée si je n’avais pas trop peu de temps pour m’en soucier.
- 5… 4…
NONNNNN ! Daniel commence à compter la fin du temps. Je deviens frénétique. Mes mouvements sont complètement erratiques et incontrôlés. Je fais n’importe quoi.
- 3… 2…
Merde ! Merde ! Merde ! Je n’y arriverai pas. Exaspérée, je passe mes bras dans mon dos ?
- 1… Fini !
Juste au moment où Daniel arrête de compter, j’attrape ma jupe en cuir et je la remonte sur mes hanches. Finalement mon cul est exposé. Avec les jambes écartées, ma chatte ouverte est bien visible, montrant ma chair rose et douce.
Mais ça n’a plus d’importance. Je n’ai pas réussi clairement et simplement. C’est tellement embarrassant que je me laisse tomber de dépit sur le sol en béton. Cependant, je ne peux pas dire si je suis plus gênée par le défi humiliant ou par mon échec.
En tant que personne ambitieuse et compétitive, je ne peux pas supporter de perdre. C’est totalement absurde, mais je n’aime pas l’idée que ces stagiaires m’aient vu échouer. Comme je l’ai déjà dit, je suis une manager qui croie en la performance et la réussite. Et ma performance a été très mauvaise cette fois-ci.
- Espèce de pute ! Qu’est-ce que j’ai dit sur l’utilisation des mains ? On dirait que tu as enfreint une règle et que tu n’as pas exécuté le défi correctement. Dit-il.
Puis il me réprimande :
- Tu es une mauvaise salope et que se passe-t-il avec les mauvaises salopes ? Elles ont besoin d’être punies. Je crois que je dois te rappeler d’être un bon animal de compagnie hein ?
Levant les yeux vers lui, je ne réponds pas. Le défi a été assez humiliant. Toutefois, je sens que ce macho est sur le point d'augmenter ma dégradation. Étant dominateur, il ne peut laisser passer cette opportunité. Après tout, c'est la chance de sa vie, n'est-ce pas ? Il peut se vanter d'avoir transformé une femme d'affaires respectée et importante en salope soumise.
- Amène ton cul ici ! Ordonne le jeune latino en montrant ses genoux.
Son geste me fait sangloter. Il ne peut pas faire ça ! Il ne peut pas me mettre sur ses genoux pour me fesser ! Pas devant les autres jeunes !
- Pas ça Monsieur Daniel s'il vous plaît ! Je suis une femme adulte ! Vous ne pouvez pas me mettre sur vos genoux comme une enfant !
C'est trop humiliant ! Daniel veut me traiter comme une gamine ! Je ne laisserai personne faire ça ! En privé c'est déjà vicieux ! Mais devant les stagiaires c'est obscène ! C'est tellement dégradant que je veux crier et donner des coups de pieds. Daniel riposte alors :
- Donc tu veux une punition plus dure Miss Pute de Bureau ? Tu peux l'avoir, pas de problème !
- Nooonnn Monsieur ! Dis-je avec un gémissement pathétique.
Je ne veux pas penser à ce qu'il pourrait inventer après avoir enduré ses défis. Alors je me dépêche de ramper jusqu'à ses genoux avec mon visage rouge betterave. Puis je me mets moi-même dans la position si humiliante. Tous les stagiaires peuvent me voir le ventre posé sur les genoux du latino, mes énormes nichons pendants et mes grosses fesses en l'air. Je n'ose pas les regarder. Je dois fermer les yeux sur cette nouvelle dégradation.
- Alors tu es d'accord pour dire que tu as besoin d'une fessée pour apprendre ta leçon Miss Pute de Bureau ? Demande Daniel.
- N… n… n…
Je suis presque sur le point de dire « Non je ne suis pas d'accord » mais je me rattrape bien vite et je réponds :
- N… inutile de le dire… Bien sûr Monsieur Daniel !
Je ne suis pas d'accord bien sûr. Cependant, ça me semble être le seul moyen de m'en sortir, peu importe l'humiliation. Je dois subir. De toute façon je vais être punie. Donc peut-être que mon obéissance l'adoucira un peu.
- S'il vous plaît, punissez votre salope idiote ! Votre animal de compagnie doit apprendre sa leçon Monsieur.
J'essaie de supplier du mieux que je le peux.
- C'est mieux Miss Allumeuse ! Maintenant tu ferais mieux de me remercier pour cette fessée salope ! Ordonne Daniel en levant le bras.
Je suis sur le point de me faire fesser par un homme plus jeune que moi. Cette simple idée est humiliante. Pourtant Daniel m'a déjà fessée auparavant. Mais la différence est qu'il le fait devant trois autres jeunes, stagiaires dans mon entreprise. Je ne vois pas ce qui peut être plus avilissant.
Comme pour ajouter de l'insulte à la fessée, les autres stagiaires accompagnent son mouvement de bras avec une « hola ». Ils font un spectacle de leur patronne en train d'être dégradée. En attendant la première claque, mon cœur bat à tout rompre.
CLAC !
- AIE !
Le premier coup me fait crier.
- Hein ? Ça fait déjà mal ? Portant ce n'était qu'une simple caresse. Se moque Daniel avant d'ajouter :
- Tu n'oublies pas quelque chose ?
- Merci… Merci… Monsieur… de m'avoir corrigé ! Votre stupide animal de compagnie en a besoin !
Je le remercie maladroitement de m'avoir frappée. En regardant Daniel me rabaisser, ses collègues de bureau se moquent de moi. Leurs insultes font plus mal que la fessée en elle-même. Je suis une femme adulte qui remercie un jeune homme de lui apprendre les bonnes manières.
CLAC !
- AIE !
Je grimace lorsque la main atterrit une deuxième fois sur ma fesse gauche.
Mon cul commence à brûler et rougir. Je veux tendre la main pour le frotter. Mais comme je risque d'allonger le temps de la fessée, je me retiens.
- Merci Monsieur de prendre la peine de corriger le comportement stupide de votre salope !
Je le remercie une fois de plus, mais d'une voix plus ferme.
CLAC !
- AIE ! AIE ! AIE ! Crié-je alors que des larmes se forment dans mes yeux.
- Cette formation à la fessée peut être utile pour plus tard à l’université. Dit Daniel aux autres jeunes avec un rire vicieux.
Il a vraiment de la force dans le bras et il laisse mes fesses le sentir. Mon cul doit être rouge vif maintenant.
- Merci Monsieur ! S’il vous plaît continuez de frapper le cul de votre pute de bureau jusqu’à ce que votre bras soit fatigué Monsieur ! Dis-je sans plus réfléchir.
Étonnamment, mes mots semblent refléter réellement ma pensée. Je suis complètement immergée dans ma condition de soumise. La fessée me fait très mal, mais je la supporte comme une preuve pour Daniel de son contrôle sur moi.
Bien entendu, le latino est bien trop content de respecter mon souhait. Et il s’acharne plus brutalement sur mon gros cul. Encore et encore, il claque mes fesses jusqu’à ce qu’elles dégagent de la chaleur. La douleur est intense. Je bats des pieds et je me force à me mordre les lèvres pour ne pas crier.
Et pendant toute la correction, j’entends les autres stagiaires se moquer de moi et encourager Daniel. Il recommence à accompagner les derniers coups de « Hola ». Et je dois continuer de remercier mon tourmenteur à chaque coup porté. Maintes et maintes fois, je dois lui dire à quel point je suis une salope et à quel point j’aime qu’il me donne la fessée. Les stagiaires sont hilares en m’écoutant.
Finalement, la douleur se répand jusqu’à ma chatte. Mon corps surexcité réagit de manière inattendue à la chaleur de mon cul. A mon grand désarroi, je commence à remuer. Inconsciemment, mes hanches commencent à frotter ma chatte sur les jambes de Daniel.
Bien sûr, ma réaction ne passe pas inaperçu du voyou latino. Il commence à ralentir sa fessée. Mais il n’en a pas fini avec sa pute de bureau.
- Hé hé hé, qu’est-ce que vous en pensez les amis ? Ce cul a l’air bien brillant n’est-ce pas ? Dit-il pour commenter son travail en faisant signe à ses collègues d’approcher.
Chacun d’eux touche mon cul rougeoyant et me voit pousser mes hanches . Je ne peux pas arrêter de bouger même si j’ai l’impression d’être une chienne facile.
- Je parie que cette vieille salope va jouir pendant que vous la fessez les gars. Dit Daniel pour inviter ses copains à participer.
Ma bouche s’ouvre quand j’entends ses mots. J’essaie frénétiquement de me dégager et de me lever de ses genoux. Je veux partir. Mon cul est plus que brûlant. J’ai trop mal. Je ne peux pas en supporter plus et je ne veux pas jouir devant ces stagiaires. Mais le latino me tient solidement en place.
- Non Monsieur : Supplié-je jusqu’à ce qu’une claque violente me fasse taire.
Daniel gronde :
- La ferme petite chatte ! Tu t’es frottée à ma jambe comme une chienne en chaleur tout le temps. Ne le nie pas ! Maintenant, recommence ! Je veux te voir jouir tout en étant fessée. Jouis pour moi comme un bon animal de compagnie obéissant.
Même si j’ouvre la bouche pour protester, je sais qu’il a raison. Je suis excitée et j’ai besoin d’un orgasme. Tout mon corps crie pour être libéré de la tension sexuelle et je ne sais pas combien de temps je vais encore pouvoir le supporter. Putain de merde, je suis excitée par une fessée !
- Oui… Monsieur ! S’il vous plaît, laissez-moi essayer de jouir tout en recevant une fessée ! S’il vous plaît, faites en sorte que votre salope la gagne Monsieur ! Supplié-je la tête pendante.
Je supplie ce jeune latino de me donner une fessée et de me faire jouir, moi une directrice d’entreprise respectée et cultivée allongée sur les genoux d’un stagiaire devant les autres stagiaires. Je me sens plus que déshonorée. Je suis plus qu’humiliée. Mais mes envies me forcent la main. Mon corps veut plus alors que mon esprit est torturé par la honte.
- Ouvre petite chatte ! Ordonne Daniel pour que j’écarte les jambes et que je montre ma chatte humide.
- C’est vraiment une salope ! Elle est si excitée que son jus coule hein ? Dit Daniel pour commenter l’humidité entre mes jambes.
Puis il encourage les autres gars !
- Allez les amis, corrigez cette traînée ! Chacun a droit à cinq claques !
Et il ajoute à mon attention :
- Et toi, il vaut mieux que tu jouisses avant qu’ils aient fini. Sinon je trouverai une autre punition. Compris Miss Pute de Bureau ?
Cette menace a un effet immédiat sur moi. Je passe ma main entre mes jambes et je commence à titiller mon clitoris avant même que la première claque ne tombe.
Matt est le premier. Il passe lentement sa main sur mes fesses, sentant la chaleur émaner de ma peau. Pendant ce temps, je continue à frotter furieusement mon clitoris. Ma chatte est inondée et mes hanches sont incontrôlables. Je me perds dans ma luxure alors que les stagiaires se moquent de moi. La main de Matt tombe subitement sur ma fesse gauche. Je n’ai pas eu le temps de m’y préparer.
- Owwww ! Aie ! Aie ! Me lamenté-je.
J’arrête un instant de toucher mon petit bouton et je remercie le jeune homme :
- Merci Monsieur Matt ! Fessez cette sale garce jusqu’à ce qu’elle jouisse pour vous.
- Owwww ! Aie ! Snif !
Je pleure et sanglote quand il continue à frapper mon cul. Ce jeune garçon est vicieux. Il alterne en me frapper et me taquiner. Plusieurs fois il ne fait que me caresser le fessier, me faisant trembler. Puis il laisse sa main tomber violemment sur mes fesses ; me prenant au dépourvu.
Merde ! Ça fait trop mal ! Comme Matt l’a prouvé auparavant il est le plus audacieux des autres stagiaires. Il me frappe si fort que j’en oublie presque ma tâche. Mais après le coup suivant, je recommence à frotter mon clitoris, en me concentrant sur la vague de douleur qui vient alors que ses dernières claques sont comme des brûlures sur mon cul.
Quand il a fini, des larmes coulent librement sur mes joues alors que je grogne en me masturbant. Je me cabre comme une jument sauvage sur les genoux de Daniel.
- Merci Monsieur d’avoir fait mouiller la chatte de cette grosse salope.
Je donne un autre remerciement ridicule à Matt.
Taylor prend la suite. Il s’avance derrière mon cul déjà bien douloureux et il m’administre deux claques sur chacune de mes fesses. Il ne tergiverse pas comme Matt, il se met tout de suite au travail. En tant que capitaine de l’équipe de football, il doit faire ses preuves. Pourtant ses coups sont plus doux que ceux de Matt. Ces deux jeunes sont complètement différents.
- AIIIIEEEEE ! Mmmmmm !
Je hurle autant que je gémis. Ma chatte ressent chaque claque et ça s’ajoute à mon excitation. J’essaie de frotter frénétiquement ma chatte sur Daniel. C’est tellement bon ! Et je m’en fous si je fais rigoler. Le jeune latino doit me maintenir en place pour pas que je tombe de ses genoux.
Finalement, c’est le tour de Justin, le dernier stagiaire. Il me faut encore des claques pour que je puisse jouir. Aussi ridicule que cela puisse paraître, je souhaite presque que plus de claques sur mon cul très douloureux m’aide à avoir un orgasme.
Cependant, Justin ne se borne pas à se mettre dans mon dos et à claquer mon cul. Au lieu de ça, il suit l’exemple de Matt et commence à me taquiner. Il attrape mes bars et me les tient dans le dos tout en prenant son temps et en se moquant de la salope. Il tient sa main à quelques millimètres de ma chatte brûlante d’excitation. Je peux sentir sa main très proche , mais je n’en sens pas le contact. Il bouge sa main sur les côtés et pour le plus grand plaisir des garçons, mes hanches suivent le mouvement. Il s’amuse à faire bouger mon arrière-train dans toutes les directions.
Leurs rires résonnent à mes oreilles. Pourtant, je ne suis pas loin de le supplier qu’il baise ma chatte avec ses doigts. Oh merde ! Je veux que ce jeune me masturbe.
CLAC !
Au moment où j’ouvre la bouche pour supplier, il fait trembler ma fesse droite avec une claque féroce. Alors qu’il me lâche les mains, je dois en profiter. A la vitesse de l’éclair, ma main droite revient sur mon clitoris et je glisse deux doigts dans ma chatte. C’est tellement humide qu’ils entrent facilement.
Les stagiaires apprécient la vue de leur patronne qui baise sa chatte avec ses doigts fraîchement manucurés aux ongles longs. Et pendant ce temps, je suis tellement occupée à me faire plaisir que je ne peux même pas dire si Justin Continue à me fesser. Une vague d’engourdissement supplante tout le reste.
- Oui Miss Allumeuse, jouis pour nous ! Jouis comme la vraie salope que tu es ! M’encourage Daniel.
Ce voyou macho glisse un doigt dans mon cul ce qui déclenche tout. La vague de plaisir m’envahit, mes orteils se recroquevillent et mes entrailles tremblent. Je me tords comme si j’avais été touchée par un fil électrique. Je pousse un cri primaire. L’orgasme qui me traverse est si puissant que j’éjacule. Mon jus gicle de ma chatte comme une fontaine. Il coule entre mes jambes et tombe sur le sol, faisant une grande flaque.
Je perds totalement le contrôle de mon corps alors que l’orgasme me possède. En remuant et en me tordant vigoureusement, je tombe des genoux de Daniel et je m’effondre au sol.
- Quelle putain de salope !
- Je n’ai jamais vu une putain aussi excitée de se faire fesser.
J’entends les stagiaires commenter mon état. Et Daniel s’empresse d’ajouter avec un rire moqueur !
- Oh, elle va faire beaucoup plus que ça les gars !
Il attrape mes cheveux châtains et me remet à quatre pattes sur mes mains et mes genoux. Il n’a pas fini de s’occuper de son animal de compagnie.
- Alors Miss Pute de Bureau, tu es contente d’avoir pu jouir ? Me dit Daniel en s’asseyant de nouveau sur le canapé.
Je réponds avec franchise :
- Oui Monsieur ! Votre animal de compagnie avait vraiment besoin de jouir. Merci Monsieur.
Mon esprit est toujours embrumé. Ces jeunes gens m’ont regardé jouir comme une salope déchaînée. Je ne peux pas m’humilier encore plus n’est-ce pas ? Mais d’une certaine façon, ça ne me dérange plus. Je suis trop occupée par le soulagement que je viens d’avoir pour y penser.
- Quelle est la bonne façon de remercier ton homme ? Grogne Daniel, pas trop satisfait du remerciement que j’ai donné.
Il se lève du canapé et dit :
- Montre-leur qui est ton homme ? Tu te souviens comment le faire ?
Pendant un moment je reste bouche bée, ne comprenant pas de quoi il veut parler. Puis soudainement je réalise. Je n’ai pas oublié et ça me fait déglutir difficilement.
Il avait montré sa domination aux employés du fast-food en me faisant embrasser son cul. Et maintenant il veut que je fasse de même pour prouver sa domination aux autres stagiaires.
Je ne veux pas ! Non seulement c'est humiliant, mais c'est dégoûtant aussi. Je ne veux pas le faire ! Battre mon cul était déjà suffisamment dégradant.
- Tu veux une autre fessée ? Avec la règle cette fois Miss Pute de Bureau ? Demande Daniel quand il remarque mes réticences.
Non je ne veux pas ça non plus ! Il me donnera probablement une fessée jusqu'à ce que ma chair soit à vif. Je n'en peux plus.
- Allez, dis-moi ce que tu veux faire petite chatte ? Demande-t-il après m'avoir vu secouer la tête.
C'est vraiment trop pervers. Je me sens si humiliée. Je dois avaler ma fierté avant de pouvoir supplier ce macho.
- S'il vous plaît Monsieur Daniel, vous pouvez marquer votre territoire. Laissez-moi vous embrasser le cul !
Un instant, la pièce est silencieuse. Les stagiaires sont trop surpris pour réagir. Ils n'arrivent pas à croire ce qu'ils viennent d'entendre. Mais Daniel veut s'amuser avec moi.
- Hum… cette hésitation n'est pas convaincante. Pour rattraper cette gaffe, tu vas me lécher le cul cette fois.
En l'entendant, les stagiaires explosent en commentaires vicieux. Pour ma part, je meurs de honte. Lécher le cul d'un mec est la pire humiliation que je connaisse.
Mais c'est une démonstration de soumission ultime. La pensée que trois jeunes stagiaires regardent leur patronne mettre son visage sur le cul d'un jeune homme est trop avilissante. Alors je m'évanouis alors que ma chatte est envahie de picotements.
Matt a besoin de me donner plusieurs gifles avant que je reprenne connaissance. Les stagiaires se sont calmés et Daniel a déjà laissé tomber son pantalon. La façon dont il me regarde m'indique qu'il est très sérieux. Je réalise que c'est sa manière d'envoyer un message à toutes les personnes présentes dans la pièce. C'est lui qui me contrôle. Les autres peuvent participer, mais pas diriger ou donner des ordres.
D'une certaine manière, ça me rassure. Je veux que Daniel soit mon homme et je ne veux pas que les trois autres stagiaires me commandent. A quatre pattes, je m'approche de lui. Puis je me mets à genoux devant ses fesses. Je suis totalement soumise.
En regardant le cul poilu devant moi, je me rends compte que la tâche n'est pas attrayante. Avec hésitation je pose mes mains aux ongles longs sur ses fesses. Lentement je les écarte tandis que le latino se penche légèrement en avant et écarte les jambes pour me faciliter l'accès.
Pour avoir une meilleure vue, les trois autres gars sont passés derrière moi. Ça ne fait que me rendre plus honteuse. Très lentement je tire la langue et je lèche ses couilles. Après l'avoir fait plusieurs fois, je sais qu'il est temps de plonger plus profondément dans ma soumission.
Tenant ses fesses écartées avec mes mains joliment manucurées, le lèche soigneusement son cul. La puanteur envahit mon nez et la saveur rance heurte mes papilles. C’est dégueulasse ! C’est vraiment horrible ! J’ai des hauts-le-cœur !
- HI hi hi hi hi !
Tout en reprenant mon souffle, je ne peux m’empêcher de commencer à rigoler. La situation est tellement ridicule que ça me fait rire.
- HI hi hi hi hi !
Bien sûr, il s’agit d’un rire hystérique. La situation est tellement absurde que je ne peux faire que ça. Mon gloussement me fait penser que je ne suis qu’une bimbo stupide. La puissante directrice ressemble à une salope qui lèche le cul d’un mec et qui rigole bêtement. Cette seule pensée me fait rire encore plus.
Puis je me reprends et je crache sur le trou du cul de Daniel. J’étale ma salive avec mon index autour de son petit trou. Mais ça ne sert à rien de retarder l’inévitable.
- HI hi hi hi hi !
Après un autre rire hystérique, Je pince les lèvres et je plonge entre les fesses de Daniel. Je veux en finir rapidement alors je me mets au travail. Après avoir embrassé son trou du cul, je tire la langue et je commence à la passer sur son sphincter. Le goût affreux et la puanteur désagréable me submergent et me font frissonner de dégoût.
- Miss Cul !
- HI hi hi hi hi !
- Miss Mange-merde !
- HI hi hi hi hi !
- Miss Nettoyage de trou du cul !
- HI hi hi hi hi !
En me voyant lécher consciencieusement le cul de Daniel, les stagiaires essaient de se surpasser en me donnant des noms vulgaires. C’est tellement absurde que je ne peux m’empêcher de rire bêtement.
Allez ma fille, ressaisis-toi et arrête de rigoler ! Je me sermonne. Toutefois les cris des garçons m’encouragent. J’utilise ma langue de deux façons en alternance. Soit je la pose à plat pour le lécher et le frotter, soit je la tends pour sonder et tapoter son petit trou.
- Bon travail Miss lèche-cul ! Me dit finalement le latino en me caressant la tête.
A ma grande consternation, il utilise un surnom vulgaire comme les autres stagiaires. J’espère seulement qu’il ne va pas en prendre l’habitude, ce nom étant plus dégradant que tous les autres auparavant.
Ce que je viens de faire a bien entendu plu à Daniel, car il a une énorme érection. En regardant les autres stagiaires, je remarque qu’ils ont sorti leur bite de leur pantalon. Apparemment la phase suivante est lancée.
En les regardant un par un, je peux voir le frisson d’anticipation dans leurs yeux. Peu importe ce qu’il va se passer, je vais être baisée par les stagiaires jusqu’à la fin du stage.
Pourtant de voir ces jeunes queues bien dures me fait presque baver. Faire jouir et éjaculer ces jeunes gens est juste un petit obstacle sur le chemin de ma propre jouissance.
- Allez petite chatte, tu vas sucer ces braves jeunes hommes. Mais d’abord que vas-tu offrir à ton homme ? Dit Daniel.
Je l’entends à peine car je suis trop occupée à dévorer des yeux les queues dressées et bien dures des stagiaires ? Je suis presque hypnotisée. C’est surtout la vue du très gros outil de Taylor qui me fait baver. Je veux l’avoir de toutes les façons possibles.
Bien sûr, je sais ce que veut que je propose le jeune latino. Il veut que je lui demande de m’enculer devant ses copains pour continuer à montrer sa domination. Mon cul est rouge et brûlant après la fessée, mais peu m’importe. Je veux sa bite en moi.
Les trois autres stagiaires paraissent très impatients. Après tout, ils sont sur le point de recevoir une fellation de leur patronne. Et je dois en plus les supplier ! Quel déshonneur ! Mais je m’adresse à eux :
- Monsieur Taylor, Monsieur Matt, Monsieur Justin, s’il vous plaît laissez cette pute de bureau vous sucer ! S’il vous plaît, utilisez la bouche de cette salope comme une décharge de sperme !
Waouh, je commence à parler un vrai langage de salope n’est-ce pas ? Comment puis-je me qualifier de « décharge de sperme » ? ça n’a pas d’importance. J’ai terriblement besoin de toucher leur bite dure. Même si je viens de jouir, ça n’a pas suffi à étancher mon envie. Donc je vais tout faire pour les séduire.
- S’il vous plaît Monsieur Daniel, enculez votre pute de bureau. Elle a bien été préparée pour vous. Que votre animal de compagnie soit une bonne enculée pour vous. Dis-je à mon homme.
Je voudrais le supplier de baiser ma chatte. Mais je sais à quel point il veut se vanter devant ses collègues stagiaires de posséder Jessica ADAMS, une directrice de la société.
Le latino loue mes efforts :
- C’est bien demandé Miss Pute de Bureau. Cependant il y a un problème. Ton trou du cul est ouvert pour mes amis ici. Mais ta chatte n’est que pour ton homme.
- Oui Monsieur ! M’excusé-je à la hâte.
Mon cœur fait un bond dans ma poitrine. Je suis sur le point de me faire baiser la chatte. Mais Daniel a pris le contrôle de tous mes trous. Je me sens encore plus soumise qu’avant.
Je ne peux pas m’empêcher de réfléchir sur ce nouveau développement. Jusqu’ici Daniel ne s’est pas soucié de savoir comment ses potes du gang me baisait. Pourtant, ici, il montre aux autres stagiaires qui dirige.
Il essaie probablement de dissuader les stagiaires de contester sa position de dominateur. Depuis le début Matt est manifestement un dominant. En revanche, Justin semble du genre à suivre. Et Taylor, qui a une musculature impressionnante et une bite énorme, est le jeune le plus timide et réservé du groupe.
Même si Matt n'a que 20 ans, il semble être un dominateur en devenir, un autre Maître pour moi. « Juste ce dont j'ai besoin » Pensé-je. Je glousse presque à cette idée idiote.
- S'il vous plaît Monsieur, prenez la chatte de votre animal de compagnie ! Donnez-moi la seule bite dont a droit ma chatte ! Supplié-je.
- Oh je vais le faire, ne t'inquiète pas ! Mais Justin a été le premier à avoir des soupçons sur ton comportement avec moi. Donc il va pouvoir se payer ton cul de salope aujourd'hui. Me répond Daniel.
Encouragé par le discours du latino, Justin se place derrière moi et me pousse à quatre pattes. Au même moment Matt et Taylor se placent devant moi. Leurs bites sont déjà bien raides et dures comme du roc. Ils forment un demi-cercle. Matt attrape mes longs cheveux châtains et tire brusquement pour me lever le visage. Il tire ma tête en arrière pour que je lève les yeux vers lui, puis il gifle mon visage avec sa queue.
Je recule devant cette gifle soudaine. Ça ne m'a pas fait mal, mais il m'indique par là que je ne suis qu'un morceau de viande à utiliser. Il me tire à nouveau et frappe mes lèvres avec son sexe tout en se délectant de ce traitement humiliant. Matt a bien compris comment utiliser la Pute de Bureau.
- Alors tu veux nos bites, salope ? Demande le garçon arrogant.
- Oui ! Donnez-moi vos bites ! Laissez-moi vous sucer comme une bonne salope ! Dis-je en ronronnant et en sentant la chaleur monter dans mes reins.
En réponse, Matt tient sa queue devant ma bouche. Mais au moment où j'écarte les lèvres et que j'avance pour engloutir son membre, il se retire. Mon air pathétique fait rire les jeunes garçons. Matt continue de se moquer de moi. Par quatre fois, je crois que je vais pouvoir le prendre dans ma bouche, mais il enlève sa bite. Ils n'ont définitivement plus de respect pour moi.
- Il faut lubrifier ce trou d'abord ! Ouvre bien grand salope ! Ordonne finalement Matt.
Que puis-je faire ? Je sais ce qu'il va arriver, mais je ne pense plus de façon rationnelle, étant trop excitée. Alors j'obéis et j'ouvre grand ma bouche. Malgré tout, Matt doit me tenir en place en tirant sur mes cheveux. Je le vois ouvrir la bouche et laisser couler un crachat. Il le laisse tomber directement dans ma bouche.
C'est si humiliant que ça me fait sangloter et trembler. Il utilise ma bouche comme un crachoir ! C'est trop dégueulasse !
Après avoir lâché son crachat, Matt tourne mon visage vers Taylor à sa droite. Le jeune noir ne réagit pas et me regarde. Devenant impatient, Matt me crache dessus une nouvelle fois. Je sens sa salive se poser sur mon front et tomber goutte à goutte pour fermer ma paupière.
- Voilà, humide et prête à être utilisée ! Tout comme une décharge de sperme devrait être ! Se moque encore Matt.
Avec son crachat dans ma bouche et sur mon visage, il conduit sa bite dure entre mes lèvres. Il descend dans ma gorge dès le début, me faisant étouffer et me donnant des haut-le-cœur.
Avec ma tête coincée par sa prise sur mes cheveux, je n'ai pas d'autre choix que me soumettre à son mauvais traitement Pendant qu'il utilise ma bouche comme une chatte à baiser, je saisis le sexe de Taylor pour le branler. D'une façon ou d'une autre, je ne veux pas qu'il soit exclu de la fête.
Les deux stagiaires vont me baiser le visage alternativement. Matt enfonce sa bite dans ma bouche pendant plusieurs minutes jusqu'à ce que j'arrive à mieux contrôler mon réflexe nauséeux. Malgré tout, je continue à étouffer sur sa queue bien raide. Pendant ce temps, je branle la bite noire tandis que mes bracelets en argent autour de mon poignet gauche tintent en rythme.
Quand Matt sort son sexe de ma bouche, il tourne mon visage vers celui de Taylor. Mais avant que le jeune noir fasse quelque chose, Matt frappe mon visage avec sa bite couverte de ma bave, ajoutant ainsi de la salive sur mes joues.
Le simple fait de regarder la queue de Taylor me rend nerveuse. C'est plus un gros gourdin qu'une bite. Elle fait presque 30 centimètres de longueur et 15 d'épaisseur. Comment vais-je pouvoir gérer cette monstruosité ?
Quand il met son gland dans ma bouche, il étire mes lèvres au maximum. Mais il ne force pas ma tête, il me laisse faire le travail. J'essaie de mettre le maximum de son membre dans ma gueule. Je fais glisser mes lèvres sur le tiers supérieur, alors que je tiens les deux autres tiers avec mes mains.
Tandis que les deux stagiaires me baisent la bouche, Justin s'amuse avec mon cul. J'entends le bruit d'un crachat avant qu'un gros bloc de salive ne se pose sur mon trou du cul et coule sur ma chatte. Beurk ! On me crache encore dessus !
Le jeune gars n'hésite pas longtemps et pousse immédiatement deux doigts dans mon trou du cul. Bien sûr, il provoque chez moi des grognements de douleur. Mais il est intraitable et force brutalement mon cul avec ses doigts. Quand il arrête un instant, je pousse un soupir de soulagement. Toutefois, ce soupir reste coincé dans ma gorge.
- WOOOWW ! AIIIEEE ! Crié-je quand il enfonce un troisième doigt.
Je grogne et gémis en sentant mon cul se remplir et mon petit trou s'étirer. En écartant les doigts, Justin force mon sphincter et le fait bailler. J'étouffe sur la bite en train de me baiser la gorge pendant que mon trou du cul se dilate et s'étire dans de nouvelles proportions.
- Plus gros est le trou, meilleure est la putain ! Commente Justin.
Pour aider son copain, Matt se penche sur mon corps à quatre pattes et attrape mes fesses douloureuses rouge betterave. Il les écarte pour offrir à Justin mon trou du cul exposé et vulnérable. Et bien sûr, de la façon dont il s'est penché a fait glisser sa queue encore plus profondément dans ma gorge.
- Uuuuggghhhh ! Eeeeghhhh ! Uuuuughhhh !
Mes cris s'élèvent dans la pièce et se mêlent à mes haut-le-cœur.
Finalement, Justin retire ses doigts de mon cul et place sa bite sur mon petit trou. Au moins, je suis bien préparée après ces préliminaires.
Méthodiquement le stagiaire pousse sa queue dure dans mon cul. Il entre son gland à l'intérieur avant de faire une pause pour me laisser m'habituer à son engin. Sa queue n'est pas aussi épaisse que celle de Daniel ou aussi grosse que celle de Taylor, mais elle a une bonne circonférence.
Puis il se met à pousser deux ou trois centimètres de plus dans mon cul. A chaque fois, il fait une petite pause, se délectant de la contraction de mes muscles sur sa tige.
Quand sa queue est complètement enterrée dans mon cul , je l'entends frapper de joie dans la main de Matt. Ensuite il commence à m'enculer durement et fermement avec de fortes poussées.
- Je dois garder cette enculée bien remplie après tous ces étirements ! Dit le jeune homme.
Bon sang ! Vont-ils m’appeler l'enculée maintenant ? C'est trop dégradant.
Apparemment, Justin est trop content d'être le premier à me sodomiser alors qu'il me ridiculise comme une pute. Je sens qu'il enfonce sa bite le long de mon dos et je m'attends presque à ce qu'elle ressorte par ma bouche. Je me sens si faible et impuissante. Je me sens tellement lubrique et dévergondée. Après tout, je suis une femme d'affaires adulte, directrice de département dans son entreprise, à quatre pattes, les seins se balançant sous elle tandis que quatre jeunes stagiaires la baisent sans vergogne.
Mais pour l'instant, je ne veux pas qu'il en soit autrement. Je prends beaucoup de plaisir à me faire enculer, et les deux gars qui me tripotent et qui baisent ma bouche alternativement ne font qu'ajouter à mon plaisir. Les sensations qui traversent mon corps sont indescriptibles. Je ne savais pas que je pouvais ressentir autant d'émotions contradictoires en même temps, même si elles se fondent dans une plénitude époustouflante.
- Oooh ! Oooh ! Oooh ! Mmmm ! Ooooh ! Commenté-je chaque coup de bites.
Puis soudain, la queue de Justin s'éloigne de mon cul.
- Regardez ce qui baille ! S'exclame le jeune stagiaire en montrant mon trou du cul béant.
Mon visage devient cramoisi de honte quand ils arrêtent tout ce qu'ils font pour se rassembler derrière moi. Ils inspectent mon trou du cul élargi.
- Waouuhhh ! J'ai jamais vu un trou pareil ! C'est vrai ! Laisse échapper Taylor avec un regard émerveillé.
- J'ai l'impression d'être dans un porno les gars ! Ajoute Justin.
- Allez salope, Montre-nous bien ton cul ! Fais un « sourire » avec ton petit trou ! Me dit Matt en m'assénant une claque sur mes fesses rouges.
- Elle ne peut que dire « OOOOO » avec ça ! Corrige Justin en formant un gros rond avec ses lèvres.
Ce gars a raison. Je me sens vraiment comme une star de porno dans une vidéo de sexe bon marché quand je mets mes mains dans mon dos et que j'écarte mes fesses brûlantes. En essayant de me détendre le plus possible, je m'efforce d'élargir mon anus pour leur plus grand plaisir.
Et merde ! Je ne suis plus une femme d'affaires jugée sur ses qualités de management. Je ne suis qu'un jouet de sexe jugé sur la grandeur de ses trous.
- Waouhhh ! Quel contraste ! S'exclame Taylor qui devient moins timide.
Justin lui demande :
- Tu veux dire que sa peau rougeoyante contraste avec ses ongles longs ? Ouais c'est vicieux mec ! La combinaison de ce trou béant avec ces belles mains manucurées et ces bijoux étincelants est géniale. Je crois que nous devrions l’appeler Miss Etincelante maintenant.
- Ouais, son apparence veut dire : je suis une poupée pas chère, je suis un jouet de baise. Je ne suis là que pour paraître belle et faire plaisir à mon homme. Dit Matt.
Puis il ajoute à l'adresse de Daniel :
- Tu as fait du bon travail en dressant cette vieille, Daniel. Mais elle est loin d'être une pute de luxe. Elle ressemble plus à Miss Bratz qu'à Miss Barbie. Tu te souviens de ces poupées ? Ces poupées moins chères, moins jolies et plus vulgaires. Hé hé hé !
C'est quoi ça ? Ces jeunes n'arrêtent pas de se moquer de moi. La façon dont il parle de moi comme si je n'étais pas présente m'humilie. La façon dont ils me contrôlent comme un meuble en vente me dégrade. Cependant, à chaque moquerie, à chaque insulte, ma chatte palpite un peu plus.
Daniel répond avec un petit rire :
- Tu devrais voir le reste des vêtements qu'elle a achetés pour se montrer. Mais je suis d'accord, il y a encore matière à amélioration. Elle a l'air assez bien pour une simple pute, mais elle est loin de la pute de luxe. Je vais travailler là-dessus.
Zut ! Le latino est d'accord avec ce stagiaire minable. Je n'aime pas ça du tout. Néanmoins, quand il dit qu'il va travailler à mon amélioration, je ressens des picotements dans tout mon corps.
Après que les trois hommes conviennent qu'il faut continuer à me baiser, Justin reprend l'assaut de mon cul. Il enfonce de nouveau sa bite bien raide dans mon petit trou et il me martèle avec rudesse. Ça doit être un beau spectacle à voir, la femme plus âgée à quatre pattes, gémissante, les seins se balançant et le cul pilonné avec force par un jeune.
Avec la vitesse à laquelle il me sodomise, Justin ne tient pas très longtemps. Avec un grognement bruyant, il éjacule et gicle charge après charge de sperme dans mon cul. Je sens le liquide séminal recouvrir mes parois anales et remplir mon cul à ras bord.
Je n'ai pas le temps de reprendre mon souffle après la jouissance de Justin. Matt et Taylor se repositionnent devant mon visage alors que Daniel s'occupe de ma chatte. Avec son gland, il récupère un peu d'humidité sur mon entrejambe pour recouvrir sa queue. Puis il glisse facilement son membre dans mon vagin sans rencontrer de résistance. Avoir ma chatte remplie est ce que je désirais le plus. Je suis au paradis et je commence à gémir sans vergogne autour de la bite de Matt qui me remplit la bouche.
Son gourdin profondément enfoui en moi, Daniel me saisit par les hanches et commence à me pilonner. Il ne perd pas de temps, se contentant de me baiser comme un animal en rut. Il pousse son gros bâton de chair de manière si brutale dans et hors de ma chatte que mon corps fait un bond en avant. Si bien que j'empale ma gorge sur le pieu de Matt. Je suis comme un poulet à la broche, empalée par les deux bouts, et j'adore ça.
- C'est comme un couteau dans du beurre. Cette salope est tellement humide. Dit le voyou latino en donnant de grands coups de rein.
Pendant quelques minutes, Matt et Taylor me baisent la bouche alternativement jusqu'à ce qu'ils jouissent. Je suis tellement emportée par la sensation de plaisir que je ne remarque rien jusqu'à ce que leur sperme me frappe au visage, l'un après l'autre.
Taylor est le premier à éjaculer. Son premier jet de foutre touche mon menton, me faisant sursauter. Ensuite il tire plusieurs autres jets tout autour de ma bouche. Matt le suit de près et ajoute une décharge de sperme bien épais et blanc sur mon front. Ainsi mon visage est bien couvert.
- Ooooh ! Oooohhh ! Aaaaah ! Continué-je à gémir pendant que les gars me crépissent la figure.
Et pendant ce temps, Daniel continue à me baiser violemment. Comme ma bouche n'est plus occupée, il attrape mes longs cheveux et tire ma tête en arrière. Je dois me cambrer. Ainsi ma grosse poitrine est mise en avant. Je sens qu'il est sur le point de jouir lui aussi.
Je suis complètement perdue dans l'action. J'écarte les jambes et je passe une main entre. Je sens une secousse électrique exploser dans ma tête au moment où je pose mes doigts sur mon clitoris sensible. Avec gourmandise, je commence à le frotter. C'est tellement bon. L'extase grossit en moi. Mais malgré le brouillard dans mon esprit, je me souviens toujours des règles :
- S'il vous plaît Monsieur, laissez-moi jouir ! Dis-je pour obtenir la permission de Daniel.
- Ouais, jouis pour moi salope ! Sois ma pute ! Dit-il avec une respiration saccadée.
Le raz-de-marée me submerge quand j'entends les mots du latino. Chaque muscle de mon corps se crispe, chaque nerf est à vif et chaque synapse est en feu. Mon deuxième orgasme de la journée me frappe de plein fouet. Intense n'est pas le mot suffisant pour le décrire.
Tout mon corps commence à trembler de façon incontrôlable. Mes jambes cèdent sous mon poids et je m'effondre sur le sol. La queue de Daniel glisse hors de ma chatte. J'entends les garçons rire, mais ça me semble si loin. Je jouis si fort que j'oublie tout autour de moi. J'oublie que je suis au sous-sol de mon entreprise. J'oublie que je suis baisée par un groupe de jeunes de vingt ans. Il n'y a plus que moi et mon plaisir.
Pendant que je me tords sur le sol, Daniel se branle et bientôt asperge tout mon corps de son foutre chaud. A présent ma figure et mon dos sont recouverts de semence masculine. Je me sens sale. Je me sens vicieuse.
Les gars me laissent étendue sur le sol le temps que je récupère. Il me faut un long moment pour revenir de mon voyage dans l'extase. Lorsque j'ai enfin la force de me lever, les trois autres stagiaires sont partis. Le macho latino est le seul qui reste dans la pièce.
- Regarde le gâchis que tu as fait Miss Pute de Bureau ! Nettoie ça ! Me dit-il autoritairement.
Il me fait gratter le sperme souillant mon visage et il me fait lécher mes longs ongles. Le sperme couvrant mon front est si épais que je peux à peine l'avaler.
- Maintenant rentre chez toi et repose-toi petite chatte ! Tu as une semaine chargée qui arrive avec tant de stagiaires à surveiller. Ordonne Daniel.
Puis il continue à me donner des instructions :
- N'oublie pas ce dont nous avons discuté. Nous devons faire en sorte de te transformer en une vraie poupée de luxe. Donc à partir de demain, il faut que tu ressembles à une vraie salope avant de venir travailler.
Ses mots devraient me faire paniquer, mais je suis trop fatiguée pour répondre. Tout ce qui vient de se passer aujourd'hui est vague dans mon esprit. Cependant une chose est très claire. Je suis aussi le jouet des stagiaires maintenant.
A suivre…
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