lundi 29 janvier 2024

La déchéance de Sophie Ch. 03

 Récit de Monsieur_E (2016)

*****

Goûter à l'interdit.

Cette nuit là, je fis ce que je pouvais pour éviter tout contact avec mon mari. Roulée en boule de mon côté du lit, j'étais submergée par la honte et le dégoût de moi. Autant dire que c'est à peine si je fermais l'oeil. Je me repassais sans cesse le film de l'après-midi dans ma tête et à ma grande honte je devais m'avouer que toute forcée et humiliée j'avais connu le plus grand orgasme de ma vie.

Au petit matin, ce trouble et le manque de sommeil firent que je me retrouvais psychologiquement à bout. Je m'habillai comme un automate, par pure habitude, la seule différence cette fois-ci était que mon cerveau avait enregistré que je ne devais plus tenter de désobéir à mon tourmenteur. La leçon avait porté ses fruits. Je m'observais dans la glace et me fis presque rougir.

Mes seins nus tendaient l'étoffe de mon chemisier et le courant d'air que je sentais entre mes cuisses me faisait frissonner. Les bas auto fixants qui complétaient ma tenue achevaient de me donner l'air d'une chienne en chaleur.

Mon humeur maussade semblait avoir contaminé toute la famille et c'est dans un silence pesant que se déroula le trajet vers l'école.

Fidèle au poste, Eric se tenait à son emplacement habituel entouré de sa cour de petits merdeux et c'est telle une vache menée à l'abattoir que je m'approchais de lui. Aujourd'hui je n'eus pas à attendre longtemps pour que tous se tournent vers moi. Je sentais les regards des ados un peu partout sur mon corps, augmentant mon malaise. Quant à leur chef, c'est bien droit dans les yeux qu'il me regardait. Les positions étaient claires désormais entre nous. D'instinct, je baissais les miens.

- "Bonjour ... Monsieur".

- "Salut Sa..Sophie". 

Le ton était presque aimable mais le lapsus certainement volontaire qu'il avait failli faire sonnait comme un avertissement à mes oreilles. Puis semblant prendre le groupe à témoin il ajouta de manière désinvolte.

-"Il fait particulièrement beau ce matin, tu dois avoir chaud avec ton chemisier fermé comme ça..."

Sous cette allusion anodine, l'ordre était clair comme de l'eau de roche. Je le suppliai silencieusement mais devant son regard inflexible je rougis et mes mains tremblantes commencèrent à déboutonner mon haut. 1 puis 2 boutons, son attitude inchangée m'interdisait de m'arrêter. Pleurant presque j'ôtai le 3ème.

A présent tous mataient ma poitrine sans retenu. Au 4ème un sourire de triomphe s'inscrivit sur sa vilaine figure et il lâcha un commentaire qui déclencha un fou rire général.

-" Tout compte fait on pourrait croire qu'il fait froid..."

Je baissai les yeux et blêmis. Une bonne moitié de mon ample poitrine était visible de tous et surtout, surtout rien ne pouvait masquer le fait que mes tétons étaient tendus à l'extrême. Une fois de plus mon corps réagissait malgré moi. J'étais excitée d'être jetée en pâture à ces gamins en rut. Choquée, je le vis tendre sa main et me glisser un papier dans la mienne. Je le lus. c'était sec et brutal.

* Démerde toi pour me prouver que tu a respecté mes ordres... tous !

Oh mon Dieu, il ne voulait tout de même pas que je me mette nue en public !

- "Bonne journée miss Sophie". 

Il me congédia sur ces mots. Je tournai vite le problème dans tous les sens. Finalement je pris la seule solution qui s'imposait à moi. Je tournai le dos, fis quelques pas et lâchai mes clés faisant semblant de les faire tomber. Morte de honte je me penchai lentement en avant pour les récupérer, sentant ma jupe remonter le long de mes cuisses, dépassant le haut de mes bas et s'arrêter, dévoilant juste le bas de mes fesses. Le silence s'était fait derrière moi et j'entendis distinctement un *clic* révélateur d'une photo accompagné d'un "oh la pute !".

Je me précipitai aussi vite que je pus vers ma voiture. Sous ma jupe, ma chatte était trempée...

Je ne sais même pas comme je suis arrivée au bureau, je ne me rappellai rien de la route. Ce n'est qu'une fois garée que mon cerveau se reconnecta... pour découvrir aussitôt un SMS de mon maître-chanteur.

"Bien ma salope, je vois que tu commences à comprendre. Pour te récompenser tu peux reboutonner 1 bouton. 1 SEUL PUTAIN DE BOUTON !! Oublie pas que je le saurai !"

Je m'exécutai, faisant de mon mieux pour masquer le plus de chair possible sans manquer à ses exigences. C'était à peine mieux. Je pris mes dossiers et m'en servis comme bouclier contre mon corps pour passer le contrôle à l'entrée et atteindre mon bureau. Le vigile me regarda passer les yeux plissés mais ne fit pas de commentaires.

Dans mon équipe il y eut bien des regards et des sourires en coin mais c'est surtout Jessica qui se manifesta. Elle n'hésita pas ouvertement à ricaner de mon accoutrement ni même à me servir des insinuations douteuses. La plus violente fût quand elle se leva pour fermer la fenêtre et déclara d'une voix forte dans tout l'open-space :

- " Un peu de sollicitude pour notre chère cheffe, elle risque un courant d'air et un rhume de fesses !"

Il y eut quelques rires et moi je rougis et piquai du nez sur mon clavier en bredouillant. Je ne m'attendais pas à ça à ce moment et j'étais déstabilisée. Moi qui faisait tout pour assoir mon autorité, je perdais pieds avec cette petite dinde. Devant mon absence de réaction elle poussa encore son avantage et vint carrément se planter face à moi.

-"Je n'aurais peut-être pas dû. Ca n'a pas l'air de vous faire plaisir que je pense à vous" dit-elle de son ton sarcastique. 

- "Si, si c'est très bien !" répondis-je d'une petite voix.

-"Alors vous pouvez peut-être me remercier non ?"

Je relevai la tête choquée et m'aperçus qu'elle fixait mon décolleté (et une bonne partie de mes seins par la même occasion). Je rougis à nouveau et sans réfléchi, balbutiai un "merci Jessica !".

-"Miss" répondit-elle du tac au tac.

-"Pardon ?"

Elle se pencha en avant et ajouta à mi-voix.

-"Ce sera Miss Jessica dorénavant."

Sans ajouter un mot elle retourna a sa place et moi j'en restai comme deux ronds de flan. Dans mon esprit, la colère se mêlait à la honte de m'être laissée ainsi dicter ma conduite. Par instinct, je levai la tête vers la baie vitrée et constatai que, comme par hasard, Richard n'en avait pas perdu une miette. Je ne fus guère surprise quand peu de temps après mon poste se mis à sonner.

-" Sophie ? Pouvez-vous venir me faire votre rapport avant de partir ?"

Je raccrochai en acquiesçant, tentai tant bien que mal de me donner une contenance et 5 mn plus tard, je frappai à son bureau.

Comme à son habitude il ne fis pas de commentaires alors que je lui présentais les résultats de la journée sauf que je trouvais cette fois, et pour cause, que son regard se faisait plus insistant sur mes parties intimes. Rompue à cet exercice, je m'apprêtais à conclure quand cette fois il me surprit.

-"Bien, bien, j'ai devant moi un dossier et il y a une chose que je ne comprends pas bien, venez voir je vous prie."

Intriguée, je m'approchai et me penchai à ses côtés pour étudier le document en question.

-"Qui y a t-il Richard ?"

J'avais beau lire et relire les paragraphes, je ne voyais pas ce qui clochait. Je tournai alors la tête vers lui et le pris en flagrant délit. Vu nos positions respectives, mon décolleté et la manière dont je me tenais, le vieux salaud avait un aperçu imprenable sur mes seins et même mes auréoles ne lui étaient plus cachées. J'ouvris la bouche pour protester quand je sentis sa main se poser derrière moi sur ma cuisse et entreprendre lentement l'ascension de mon entrejambe.

-"Vous êtes sûre qu'il n'y a rien de bizarre dans ce contrat ?"

-" Je... ne..."

Choquée, je mis un temps à me ressaisir. Temps que ce pervers mis bien à profit. Sa main remonta jusqu'en haut de mes cuisses entrainant ma jupe par la même occasion. Je frissonnai quand elle atteint le bas de mes fesses. Enfin, la rage éclata en moi au moment où ses doigts commençaient à s'insinuer dans ma raie. Je me relevai et dans le même mouvement le giflai violemment.

-"Richard, comment osez-vous ?" criai-je.

Il ne me laissa pas le temps d'enchaîner. Il hurla.

-"VOUS, COMMENT OSEZ-VOUS VENIR AINSI AU TRAVAIL VETUE COMME UNE PROSTITUEE DE BAS ETAGE. C EST UN MOTIF DE RENVOI AU CAS OU VOUS L'IGNORERIEZ."

Je reculai comme s'il m'avait frappé.

-"Rentrez chez vous" m'intima t-il "mais je n'oublierais pas ça, vous pouvez me croire".

Devant son air furieux, je ne demandai pas mon reste et me sauvai, prenant à peine le temps de réajuster ma tenue.

Je ne m'attardais pas ce soir là et j'atteignais la porte quand mon portable se rappela à mon souvenir. Désespérée, je reconnus immédiatement l'expéditeur du message.

"Dès que tu as fini, viens à cette adresse, au deuxième étage, porte gauche. Pas d'excuse pour ne pas être là. Tu sais que je ne plaisante pas."

Etait jointe une adresse dans un des plus mal fréquenté quartier de la ville. Vu mon statut je n'y allais jamais bien entendu et cette fois encore j'aurais aimé y couper mais je savais désormais et de manière cuisante, que je n'avais pas le choix.

Je programmais le GPS et prévenais à la maison que je risquais de rentrer tard avant de démarrer.

20 mn plus tard, je tournais en rond autour de barres d'immeubles plus moches les unes que les autres à la recherche du bon numéro. Je parvins néanmoins à trouver une place non loin de l'entrée et m'y dirigeais d'un pas que je voulais assuré alors qu'en fait je n'en menais pas large. Rien que l'idée de me promener dans cette tenue ici me donnais la chair de poule.

Comme de bien entendu, un groupe de squatter fumait dans le hall et des sifflements retentirent sur mon passage. Je m'efforçais de regarder droit devant moi et me précipitais aussi vite que possible sans courir dans les escaliers. Mes hauts talons sur le carrelage produisaient un bruit terrible et j'avais l'impression que tout les occupants allez venir voir ce qui se passait.

Arrivée devant la porte, je relus le message pour être certaine de l'endroit (il ne manquerait plus que je me trompe et atterrisse chez un psychopathe) et hésitait. Je soupirais et me résignais finalement à frapper.

-"Entre !"

Je m'exécutais et fis quelques pas dans ce qui semblait être un deux pièces, étonnement propre et plutôt bien rangé même si la déco était minimaliste. Une cuisine américaine donnait sur le salon où Eric était vautré sur un clic-clac qui en avait vu d'autres. Un grand écran était fixé sur le mur de face. Interdite, je ne savais trop que faire quand il se leva lentement et vint se poster devant moi.

-" Connasse ! Tu as déjà oublié la règle de base et comment tu dois te tenir en face de moi ?"

Ca partait mal. Je sursautais et me rappelant d'un coup les consignes me laissais tomber immédiatement à genoux. La honte était toujours là mais le geste semblait plus facile à chaque fois comme si mon esprit se repliait pour se protéger de ces horreurs.

-"Excuse toi d'être aussi stupide !"

Je répondis aussitôt.

-"Je suis désolée Monsieur d'être aussi bête. Je vous en prie, pardonnez moi !"

Les mots étaient sortis tous seuls mais curieusement la facilité avec laquelle j'avais obéi sembla l'agacer. Il marqua une pause avant de continuer.

-"Prosterne toi et lèche moi les pieds ! "

J'écarquillais les yeux, sans réaction et cette fois la lueur maligne s'alluma dans son regard. Il mit son pied en avant et croisa les bras en attente. Il savait qu'il était tout puissant. Avec répugnance je m'abaissais devant lui et timidement touchais sa basket de ma langue. J'y passais plusieurs minutes qui semblèrent durer des heures, n'osant pas m'arrêter. Le goût âcre du cuir sale envahissait ma bouche. Lui ne bronchait pas.

-"C'est bon. Arrête toi !".

Un peu perdue, je me redressais à genoux pour me retrouver face à son téléphone. Ce petit fumier avait filmé la scène. Devant mon air ahuri il éclata de rire.

-"Ne t'inquiètes pas, ça restera PRESQUE entre nous. D'ailleurs...", ajouta t-il en tournant l'écran vers moi, "tes exploits de ce matin ont marqué les esprits."

Choquée je contemplais la photo qui avait été prise quand je "ramassais" mes clefs. Mes fesses était clairement visible et on devinait aisément ma fente nue entre mes cuisses.

- "Je crois bien que tous mes potes doivent se branler en ce moment en matant ton gros cul. ça te fait plaisir qu'une bande de jeunes s'astiquent en pensant à toi pétasse ?"

Tétanisée je fis non de la tête mais au même instant je sentis une décharge dans mon bas ventre. Mon Dieu, au fond de moi, une partie sombre aimait ça. Devant ma dénégation il eut un rictus entendu.

-"D'ailleurs, en parlant de se branler... sors moi la queue, vieille pute !"

Au moment où il prononça ces paroles je sentis une nouvelle décharge. Je rougis tout ce que je pus, j'avais peur qu'il ne s'en rende compte mais d'une main il attrapa la télécommande et alluma la télé, tellement certain que j'allais obéir docilement qu'il ne prêtait pas attention à moi.

L'écran s'alluma une fois de plus sur un porno : Une fille qui semblait jeune et dont on ne voyait pas le visage encaissait des coups de boutoirs magistraux en levrette. Aux couinements qu'elle faisait je n'aurais su dire si elle avait mal ou s'il elle prenait un pied immense.

Obnubilé par le spectacle, il attendait et malgré moi, mes mains se dirigèrent vers son jean et descendirent sa braguette. A genoux devant lui, j'abaissais son caleçon, libérant son membre encore au repos. Même ainsi, je fus encore une fois surprise par sa taille et ne pus m'empêcher de comparer avec celle de mon mari. Il daigna enfin baisser les yeux vers moi et sourit, devinant mes pensées.

-"Crache dessus !"

-"???"

Interloquée, je ne réagis pas assez vite à son goût et une gifle me ramena vite à mes devoirs.

Pfuittt !

Je fis de mon mieux et de la bave coula sur son chibre. Il me regarda droit dans les yeux.

-"Maintenant tu vas me branler comme si ta vie en dépendait tu entends, et c'est peut-être bien le cas alors tu as intérêt à me satisfaire... TOUT DE SUITE !"

Cette fois je ne m'attardais pas et d'une main tremblante je me saisis de son pieu. C'était doux et chaud. J'entamais des mouvements lents de va et vient et je compris pourquoi il m'avais demandé de cracher : ma salive facilitait mes aller-venus.

Sous mes doigts je sentais sa chair se gonfler de plaisir. J'accélérais la cadence et bientôt son membre atteint sa taille maximale. Malgré moi j'étais impressionnée par ses dimensions. La chaleur augmentait de plus en plus en moi et je m'activais plus rapidement encore.

Mes seins ballotaient en rythme ce qui lui donna l'envie de les libérer de leur maigre protection. Il défit mon chemisier totalement et, à l'instant où il se saisit de mes tétons durcis pour les pincer, je ne pus réprimer un gémissement.

-"ça te plairait d'être à sa place pas vrai ma chienne ?"

Sans lâcher mon étreinte je tournais la tête un moment vers l'écran et eut un choc. La caméra s'était retournée quelques secondes me permettant de voir que la queue qui faisait crier de plaisir la fille à l'écran (il n'y avait plus de doute à ce sujet), je l'avais en main en ce moment.

Abasourdie, je ne répondis pas toute occupée que j'étais à l'astiquer de plus en plus vite et fort. Il se pencha vers moi et maltraita ma poitrine offerte, malaxant, tirant, pinçant.

-"Tu ne mérites pas de l'avoir en toi, tu n'es pas assez bonne pour ça !"

J'étais mortifiée, frustrée. Mon excitation par toutes ces stimulations était à son comble. Je coulais comme une fontaine, mon bassin s'agitait grotesquement dans le vide et mes gémissements se faisaient plus soutenus.

-"Dis le que tu aimes branler la bite d'un garçon qui a l'âge d'être ton fils ! Avoue que tu n'es qu'une sale chienne qui ferait tout ce que je veux pour que je la baise !! Je veux t'entendre."

Je perdais totalement la raison. De moi-même je crachais sur son sexe pour le lubrifier avant de l'empoigner à nouveau furieusement. Pitoyablement, perdue par mes sensations j'étais vaincue.

-"oui... oui... OUI !!!"

Il attrapa mes cheveux et les tordit brutalement.

-"OUI QUI ?? OUI QUOI ??"

-"AaaaaAAaaah, oui Monsieur... j'aime branler votre queue... OUI je suis une salope, une pute..."

Sans réfléchir, ma main libre avait plongé entre mes cuisses et moi qui ne me touchait que très rarement, je me caressais sans retenue comme une actrice porno de seconde zone. J'entendis alors un râle et un long jet de sperme s'étala sur mon visage. Surprise je me reculais alors que 4 saccades puissantes jaillirent encore de la queue bandée d'Eric pour finir sur le carrelage.

-"REGARDE CE QUE TU AS FAIT GROSSE TRUIE !".

Il me força d'un coup à me mettre à quatre pattes.

-"Tu vas tout récupérer avec ta langue et le garder en bouche !"

Effrayée, au bord de la jouissance, éreintée par mon manque de sommeil, j'obtempérais dans la seconde, ma langue léchant le liquide tiède et poisseux encore et encore jusqu'à ce que plus une trace ne se voit. 
A peine terminé, il revint à la charge.

-"Maintenant puisque tu as avoué être une pute tu vas agir comme telle. Tu vas t'assoir le cul par terre et les jambes écartées. Tu vas m'ouvrir ta chatte pour bien me la montrer et te branler comme une salope. Pendant tout ce temps tu garderas ta bouche ouverte..."

Il avait repris son téléphone pour filmer la scène. Une partie de mon cerveau protestait mais bien mollement. J'étais au dessus de ça, j'étais au dessus de tout en cet instant. Docile, j'offrais le spectacle d'une mère de famille tombée dans la plus grande déchéance. Les cuisses ouvertes, j'écartais de deux doigts mes grandes lèvres lui donnant accès à mon intimité la plus secrète. La jupe remontée sur la taille, les seins tressautant, j'astiquais ma chatte lisse, la bouche remplie de sperme. Au bord d'un orgasme tel que je n'en avais jamais connu, je criais, j'étais vulnérable à souhait et il ne fit pas l'effort de se contenir.

Il s'approcha rapidement de moi et d'un coup d'un seul, enfonça deux doigts et viola ma chatte béante. Il se mit à me pilonner à pleine vitesse, et me gueula dessus.

-" AVALE MON FOUTRE CHIENNASSE !!"

Un goût de sel, envahit ma gorge quand j'obéis. Au même moment ma vision s'obscurcit et je hurlais ma jouissance phénoménale.

-"AAAHHHH NOOOONNNNNN !!!!".

Mon dos s'arqua douloureusement, des spasmes me soulevèrent presque de terre et un jet sortit de mon antre. Moi, comme un homme ou plutôt comme une femme fontaine, j'éjaculais !

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Je crois que je perdis connaissance un instant. Encore secouée et frissonnante, je constatais enfin qu'il s'était rhabillé et qu'il achevait de prendre quelques clichés de moi. Il me jeta mes fringues à la figure et comme une trainée me mit presque dehors nue. Avant de partir il me donna cet avertissement.

-"Je serais toi je me dépêcherais de rentrer chez moi. Un paquet doit t'attendre et il ne faudrait pas qu'il tombe entre de mauvaises mains".

Il me claqua la porte au nez sur ces mots. Heureusement le hall était cette fois désert et d'un pas beaucoup moins assuré qu'à l'aller, je regagnais sans encombre ma voiture. Sur le chemin du retour je m'interrogeais sur ses dernières paroles.

Qu'allait-il encore m'obliger à faire?

A suivre....

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