Récit de Monsieur_E (2016)
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La descente aux enfers ne fait que commencer...
Le lendemain matin je prends ma douche, je m'habille, je prépare le petit déjeuner. Un jour comme les autres. Sauf que non, plus rien ne sera comme d'habitude après ce qu'il s'est passé hier et ma capitulation face à l'inéluctable.
Je suis nerveuse, je m'y reprends à trois fois pour faire mon chignon et je suis complètement dans la lune au point que je n'arrive pas à suivre les conversations matinales. Inconsciemment je fais tout pour retarder le moment du départ mais celui-ci finit fatalement par arriver. Je referme la porte et me dirige vers la voiture quand mon téléphone se met à sonner. Un nouveau message. Pendant que les enfants s'installent je lis discrètement ces quelques mots :
"N'oublie pas de venir me voir, et n'oublie pas comment tu dois te comporter..."
Comme si j'avais pu oublier. Je ne pense plus qu'à ça et à la tournure qu'a pris ma vie.
Le trajet jusqu'à l'école me semble incroyablement bref aujourd'hui. Devant l'entrée le va et vient habituel des élèves qui entrent et sortent va peut-être me cacher de mon tourmenteur, mais ce dernier espoir meurt quand j'embrasse mon fils et que je relève les yeux.
Il se tient avec sa clique à sa place habituelle et il m'a vu. Il ne prend même plus la peine de cacher son sourire ce matin. Sonia part vite retrouver ses amis et David m'abandonne à son tour. Je me retrouve seule sur le trottoir et j'hésite un instant mais je finis par me résoudre. Tremblant intérieurement je m'approche du groupe et me retrouve face à lui. Ce qui se passe alors me prend totalement au dépourvu.
Il discute avec un de ses amis et m'ignore complètement. Je suis là, plantée devant ses jeunes qui commencent à se demander ce que je veux et lui s'en fout royalement. 1... 2 minutes s'écoulent et je me sens de plus en plus mal à l'aise. Enfin il daigne se tourner vers moi et me toise de haut en bas. Involontairement je rougis. Il me fixe en silence de son regard dur et je finis par comprendre ce qu'il veut. Totalement troublée par la situation je bégaye.
"Bon..bonjour....Monsieur"
Son voisin se met à pouffer et du coin de l'oeil j'en vois un autre qui lui donne un coup de coude. Un rictus satisfait s'inscrit sur son visage et il finit de m'humilier en me congédiant d'un geste de la main.
"C'est bon... dégage".
Je suis anéantie mais le pire reste à venir : je ne sais pas ce qu'il me prend, je ne sais pas pourquoi je dis ça mais comme une idiote je murmure :
"Merci Monsieur !"
Je me retourne cramoisie et regagne au plus vite ma voiture sous les rires des ados. Les mains agrippées au volant je reste un moment à essayer de me calmer. Ma première pensée : "Mais qu'est-ce qu'il m'a pris de dire ça bon Dieu".
La deuxième : "jamais je n'aurais le courage de revenir ici".
Je soupire et démarre mon véhicule. Et dire que la journée vient à peine de débuter.
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J'avais regagné une certaine contenance en arrivant au travail. Pour mon bien et celle de ma famille je devais protéger au mieux le reste de ma vie et pour cela continuer à me comporter normalement.
"Au moins" me dis-je, "ici je reste maîtresse de mes actes".
Je laissais donc la voiture au parking souterrain et saluais le vigile comme je le faisais chaque matin.
La journée avançant, je redevenais moi-même et commençais à voir les évènements de la matinée comme un cauchemar lointain.
Après déjeuner (il y a un self dans le bâtiment mais la plupart du temps je grignote devant mon ordinateur) je réunis mes collaborateurs pour faire le point sur les dossiers en cours. Gérard présentait le cas compliqué d'un client qui allait peut-être nous intenter un procès.
"D'après lui, non seulement son chiffre d'affaire n'a pas augmenté mais il aurait même baissé de 10% sur les 3 derniers mois. Il veut qu'on..."
Brrr Brrrr. Sa tirade fut interrompue par mon téléphone. Tout en lui signifiant d'un geste de continuer je jetais distraitement un oeil sur l'écran... et me sentis devenir livide.
"Tu vas aller aux toilettes et retirer ta petite culotte que tu mettras dans la poubelle. Tu vas terminer ta journée avec seulement ton collant et ta jupe. Maintenant !"
Jessica remarqua mon trouble et ne pu s'empêcher d'intervenir sur son ton sarcastique habituel.
"ça ne va pas madame? On dirait que ce contrat vous tient vraiment à coeur..."
Je répliquais avec un temps de retard.
"Tout va bien, merci de votre sollicitude Jessica. Gérard, poursuivez je vous prie !"
Et il poursuivit mais je n'écoutais plus. Presque malgré moi, j'avais hésité à me lever mais je me retins. Il était hors de question que j'obéisse. De toute façon ici j'étais hors de sa portée.
La réunion prit fin. Heureusement aujourd'hui, Richard ne me convoqua pas dans son bureau pour le briefing habituel. J'avais eu mon lot d'émotions pour la journée.
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Sur le chemin du retour, je pris la résolution de me détendre. Le mercredi, Sonia reste longtemps chez ses amies et David est à son club de musique. Mon mari rentrera tard comme toujours. Sans faire de détour je me garais dans l'allée de chez moi. J'ouvris la porte et ôtais mon manteau en soupirant de soulagement quand une voix pleine de colère brisa ma quiétude.
"Tu n'aurais pas du me désobéir..."
Mon coeur fit un bond dans ma poitrine et je me retournais lentement. Eric était installé comme chez lui sur le canapé, un ordi portable sur les genoux. Son regard n'était rien moins qu'amical. Je restais tétanisée, le manteau à moitié enlevé. Devant mon absence de réaction il se leva et s'approcha lentement en répétant.
"T'aurais pas dû.."
Je me mis à bredouiller tout en esquissant un pas en arrière.
"Je...non...j'ai..."
Il s'arrêta à un mètre de moi et me hurla dessus.
"TE FOUS PAS DE MOI CONNASSE. Soulève ta jupe !"
Je ne réagis pas assez vite à son gout.
"SOULEVE TA PUTAIN DE JUPE MAINTENANT !!"
Je m'exécutais, sursautant devant tant de violence. A travers mon collant apparaissait clairement les contours de ma petite culotte. Il m'empoigna par les cheveux et me força à le suivre dans le salon.
"AIEEEeeee"
Mon cri de douleur s'interrompit quand il me balança à terre sur le tapis.
"Je crois qu'on s'est pas bien compris tous les deux. Je sais tout ce que tu fais ou que tu sois. N'essaie pas de me désobéir et n'essaie pas de me MENTIR !"
Tout en parlant, il me tournait autour. Toujours affalée, j'évitais de croiser son regard pour ne pas envenimer encore plus la situation.
"A genoux !"
Cette fois je ne le fis pas répéter deux fois.
"Puisque tu ne comprends rien à rien tu vas faire face aux conséquences."
Il tourna l'écran du pc vers moi.
"Regarde ça."
Je regardais et ma mâchoire manqua se décrocher. il avait mis en ligne sur un site internet les photos d'hier. Mon visage était flouté, Dieu soit loué, mais je n'en étais pas moins dévastée.
"Nooooon, nooooon s'il te plait..."
SLAP ! Une grande gifle m'assomma à moitié. Il approcha son visage du mien et me murmura :
"Et ne me manque plus de respect".
Il se releva et me toisa de son air méprisant.
"Voilà les règles. Retiens les bien car je ne les répèterais pas. Tu devrais déjà savoir comment t'adresser à moi. Quand nous ne serons que tous les deux tu te mettras à genoux et te déplaceras à quatre pattes comme la bonne soumise que tu dois être. Tu obéiras IMMEDIATEMENT à tous mes ordres ou que tu sois et quoi que tu fasses. Crois moi je le saurais si tu essaies encore de me rouler..."
La menace n'était que trop claire dans sa voix.
"Si jamais tu recommences, j'enlève le floutage et tout le monde verra que la mère modèle n'est en fait qu'une chienne en chaleur".
Il n'ajouta rien mais continuait de me toiser. Me tenant toujours la joue, j'acquiesçais d'une toute petite voix .
"Bien Monsieur..."
Devant mon acceptation il hocha la tête en silence.
"Passe devant, on va faire le tri dans tes fringues, il est temps de te saper comme la pute que tu es !"
Je me recroquevillais sous l'insulte mais ne me rebellais même plus. A quatre pattes comme il le voulait, je lui montrais le chemin jusqu'à ma chambre, l'ascension des escaliers me laissant des meurtrissures aux genoux.
Pendant qu'il vidait ma penderie et mes tiroirs je me tenais en retrait, mon esprit perdu dans l'horreur qui était devenue ma vie.
"A partir de maintenant tu oublies les collants, tu ne mettras que des bas. Tiens mais qu'est ce que c'est que ça ?"
Je relevais la tête et rougis. Il tenait un porte-jarretelle et un string que m'avait offert mon époux pour nos 3 ans de mariage. Son sourire me fit froid dans le dos.
"Bas et porte-jarretelle donc. Demain tu iras faire des courses, tu en achèteras d'autres ainsi que des jupes plus courtes. Je te laisse choisir mais gare à toi si tu me déçois."
Il se pencha et ramassa une paire d'escarpins en bas du placard.
"Et pour les talons se sera du 12 cm mini. Compris ?"
"Oui Monsieur".
"Bien. On va faire un essai. Tu vas garder ton chemisier et ta jupe et mettre les bas et les talons... Et vire moi ton soutif et ta culotte de grand-mère".
A nouveau je baissais la tête.
"Quand tu te seras changée tu descends, tu passes par la cuisine me prendre une bouteille d'eau et tu viens me retrouver dans le salon".
Sans attendre ma réponse il sortit de la chambre me laissant seule avec ma honte. Je fis comme il dit et le reflet final dans le miroir valait plus qu'un discours. J'avais vraiment l'apparence d'une trainée.
Si la montée des escaliers fut une épreuve, la descente fut un véritable enfer. Mes seins ballotaient à chaque marche et ma jupe menaçait de se relever et de découvrir entièrement mes fesses. Je n'osais toutefois plus désobéir et c'est donc toujours comme une chienne docile que j'allais lui chercher sa bouteille. Ne pouvant me servir de mes mains et me déplacer en même temps je mis le goulot dans ma bouche et le rejoignis. Il était à nouveau sur le canapé et regardait la télé. Alors que je m'arrêtais à côté de lui il me tapota le crâne comme un animal m'humiliant encore un peu plus.
"Bonne chienne".
Il prit alors sa bouteille et m'indiqua de me mettre devant lui parallèlement au canapé. Je ne comprenais pas bien ou il voulait en venir mais c'est alors que je sentis ses pieds se poser sur mon dos. Ce sale gamin qui était mon maître chanteur se servait de moi, une mère de famille de 34 ans comme d'un tabouret au beau milieu de son salon. J'aurais dû réagir, une partie de moi hurlait de dégout mais je me laissais faire. Petit à petit il brisait ma volonté.
Plusieurs minutes s'écoulèrent quand je m'aperçus au bruit que le programme sur la télé avait changé. Je tournais la tête et me retrouvais face à un film porno. Sur l'écran une brune pulpeuse se faisait prendre à grands cris par deux hommes en même temps. Estomaquée je regardais alors vers le canapé et écarquillait les yeux sous le choc.
Eric avait sorti son sexe en érection de son pantalon et commençait à se masturber devant le spectacle. Bêtement je restais à fixer son engin, stupéfaite autant par la situation que par les dimensions de sa chose. La pensée qui me traversa l'esprit en cet instant me fit honte à moi-même. Mon mari ne pouvait pas tenir la comparaison avec lui. Son sexe devait bien faire 20 cm de long pour 5 ou 6 de large. Il croisa mon regard et son sourire supérieur réapparu.
"Elle te fait envie ma queue ? Qu'est ce que tu croyais que j'allais te baiser comme ça ?"
C'était comme s'il avait lu dans mes pensées. Qu'il me baise, je pensais qu'il l'aurait fait déjà hier quand j'étais à sa merci.
" T'es du genre à te croire bien foutue et à faire tourner la tête du français moyen mais désolé t'es qu'une veille vache avec un cul qui se ramollit. C'est plutôt ta fille mon genre tu vois..."
Je devins cramoisie. Mon orgueil venait de s'effondrer d'un coup. Je me remis à fixer la télé ne sachant plus quoi faire pour dissiper mon malaise. Sur mon dos je sentais son pied droit qui s'agitait, preuve qu'il avait repris ses activités. Je ne sentais plus le poids de son pied gauche quand je ressentis une douleur contre mon sein. Il venait de me donner un coup de pied ! Je décidais de l'ignorer quand un autre coup m'atteignis. Puis un autre et encore un autre. Sans la protection de mon soutien-gorge, mes seins s'entrechoquaient à chacun de ses coups, au même rythme que la fille sur l'écran se faisait défoncer violemment.
Maltraitée dans mon salon, pendant qu'un ado se masturbait dans mon canapé devant un porno je me sentais humiliée plus bas que terre. Mon esprit lachait prise entrainant la trahison de mon corps. Comme hier alors qu'il me corrigeait je sentis à ma grande honte, une chaleur monter dans mon bas ventre et ma fente s'humidifier. Ma respiration se fit plus rapide et le contact répéter de son pied sur mon mamelon les fit durcir. Je ne comprenais pas ce qu'il m'arrivait et je me détestais mais j'étais de plus en plus proche de la rupture.
Alors que j'haletais presque la pression sur mon dos et sur mes seins disparurent et je l'entendis pousser un râle. Je tournais vivement la tête vers lui juste à temps pour voir son sexe tendu gicler son plaisir sur mon dos. De longues traces de sperme strièrent bientôt mon chemisier et le collèrent à ma peau. Mon ébahissement fut de courte durée car à peine terminé il agrippa une poignée de mes cheveux pour essuyer le bout de sa verge me souillant encore davantage. Avec un long soupir satisfait il se laissa retomber dans le canapé et moi je me remis à contempler le sol.
Des larmes d'humiliation me montèrent aux yeux quand je m'aperçus que la chaleur dans mon ventre ne s'était pas dissipée et qu'au contraire, j'avais même inconsciemment écarté un peu mes jambes pendant l'acte. Bien qu'il sembla rassasié je n'osais bouger sans son instruction et me contentait de rester en position.
Je faillis pousser un cri quand soudain je sentis son pied remonter ma cuisse (et ma jupe par la même occasion ). Je dûs me mordre la lèvre quand la pointe atteint mon sexe et s'insinua sans douceur entre mes grandes lèvres.
1... 2... au bout du 3ème va et vient et malgré tous mes efforts pour le réprimer je poussais un gémissement pitoyable. L'intrusion cessa immédiatement et j'entendis un rire vulgaire.
"Mais tu mouilles espèce de salope. regarde dans quel état tu as mis ma godasse."
Totalement mortifiée je tournais la tête pour malheureusement découvrir qu'il n'avait pas menti. Sa chaussure était luisante de mes sécrétions intimes.
"Tu vas me nettoyer tes saletés".
Il me regarda droit dans les yeux.
"Avec ta langue".
Ces trois simples mot me firent l'effet d'un coup de tonnerre. Sachant qu'il ne servait à rien de protester, je ravalais le peu de fierté qu'il me restait et pivotait vers lui. Toujours à quatre pattes je me penchais alors et timidement j'effleurais sa chaussure du bout de ma langue.
"Passe la partout, nettoie mieux que ça, on a pas la soirée !"
Une fois de plus au bord des larmes je m'appliquais au mieux, passant et repassant ma petite langue sur toute la surface.
"ça suffit, à genoux !"
Je me redressais péniblement et par cette action son sperme se mis à couler le long de mon dos. Je pensais que plus rien de pire ne pouvait m'arriver mais j'aurais dû commencer à comprendre que son imagination pour m'humilier ne connaissait pas de limite.
"AAAAHH".
Je poussais un cri quand d'un coup sec il ouvrit mon chemisier en deux, faisant sauter tous les boutons et libérant mon ample poitrine. J'imaginais quelle image je représentais en ce moment, à genoux, le jupe remontée en haut des cuisses, le torse offert à son regard lubrique. Il garda le silence un moment les yeux rivés sur ses trophées avant d'ajouter calmement.
"Maintenant tu vas me sécher ça avec tes grosses loches".
Sans me laisser le temps de réagir il m'appuya sur le cou pour me forcer à me baisser. Soumise, j'entamais alors un mouvement de va et vient. c'était comme si je pratiquais une cravate de notaire à sa chaussure.
Une fois encore, le feu s'alluma dans mon ventre, mes tétons durcirent douloureusement sous l'effet de la friction et je devais l'avouer, de l'excitation. Mon sexe inondait mes cuisses et mon bassin ondulait en rythme.
"Mon Dieu, il va gagner, je deviens vraiment une salope" me dis-je me dégoutant moi-même.
"Stop, redresse toi !".
J'obéis mais gardais les yeux fermés pour masquer mon trouble. Avec horreur je constatais que mon bassin continuer d'onduler de lui-même. C'était comme si je n'avais plus prise sur mon corps !
"ça alors, t'es une vraie chienne toi. Qui aurait pu le deviner sous tes airs de bourge coincée."
Je restais silencieuse, rien de ce que je pouvais dire ne pouvait contredire ce qu'il venait d'annoncer.
SLAP!
"RHAAAAAA"
Je lâchais un râle de surprise et de douleur alors que soudain il me gifla le sein droit.
SLAP! SLAP! SLAP! SLAP!
Les coups s'enchainaient à droite et à gauche et mes cris de douleurs, se transformèrent en gémissement de plaisir.
"Sale chienne"
"grosse salope"
Chacune de ses insultes, chacun de ses coups me faisaient l'effet d'une décharge électrique qui parcourait tout mon corps. Mes seins se tendaient vers ses mains en anticipation, mon bassin ondulait follement, je ne me contrôlais plus.
Pfiuuut !
Comme hier il se remit à me cracher dessus. Au deuxième, j'entrouvais la bouche et quand son crachat atterrit sur ma langue, j'avalais sa salive avant même qu'il ne me l'ordonne. Dans une dernière tentative de préserver ma dignité, je faisais tout pour éviter l'humiliation suprême de jouir d'une situation aussi avilissante. Mon désir atteignait son paroxysme et quand d'un coup il se saisit de mes tétons pour les tordre violemment, une vague immense m'emporta et je hurlais de plaisir.
Je m'écroulais sur le tapis, le corps convulsé par les spasmes d'une jouissance que jamais je n'avais connu si puissante.
Je récupérais, allongée et haletante quand il posa son pied sur mon visage et s'adressa à moi sur le ton du vainqueur au vaincu. Et vaincue je l'étais bel et bien. J'avais franchi un cap et plus aucun retour n'était possible.
"Ce soir tu te raseras intégralement la chatte. A partir de demain tu iras au taff habillée comme ça et sans sous-vêtements. N'oublie de venir me saluer, chienne".
Il appuya sa semelle sur mon sexe pour marquer une dernière fois son territoire m'occasionnant du même coup un dernier spasme et sortit en laissant la porte d'entrée ouverte.
Je mis longtemps à reprendre mes esprits et à me trainer jusqu'à la porte pour la refermer. Je pleurais alors en silence mais j'avais peu de temps pour m'apitoyer sur mon sort. Les enfants n'allaient pas tarder à rentrer....
A suivre...
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