jeudi 29 août 2019

Bourgeoises Soldées Ch. 07

Bourgeoises soldées - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte

Le stagiaire en profite.

C'est de nouveau Christiane. La mère de Mélanie. Je suis de nouveau contrainte par Mohamed de vous raconter ma dernière humiliation sexuelle. Ce petit salaud a été contacté par un de ses cousins qui voulait obtenir un prêt pour construire une maison. Comme tout le monde dans la cité, ou presque, sait maintenant que Mohamed contraint une bourgeoise, directrice de banque, à lui obéir aux doigts et à l'œil, certains se disent que ce serait con de pas en profiter...

Je reçois donc un coup de fil de mon tourmenteur sur mon portable un matin juste avant de partir au travail. Il me précise qu'un client va débarquer et qu'il faudra lui accorder le prêt sans poser de questions. Je tente d'argumenter que cela risque de ne pas être évident, je ne suis pas toute seule à décider. Mais Mohamed m'interrompe et me dit que ce n'est pas son problème...Avant de raccrocher, il ajoute avec un rire gras, qu'il ne faut pas que je mette de sous-vêtements, ce n'est pas la peine....

J'entre dans la banque saluant mes employés au passage d'un signe de tête. Je suis habillée d'une jupe crème avec des bas marrons. Les talons aiguilles de mes luxueux escarpins en daim résonnent dans le hall....Je monte rapidement les escaliers conduisant à l'étage de la direction et j'entre dans mon bureau. Très vite, le téléphone sonne et l'hôtesse d'accueil m'annonce, un peu surprise, que mon rendez-vous est arrivé. Je bafouille que c'était prévu et lui demande de le faire monter.

Paniquée, le cœur battant la chamade, j'attends derrière mon bureau. On frappe à ma porte et je crie d'entrer. Un homme, d'une quarantaine d'années, d'aspect négligé, rentre accompagné par l'hôtesse que je remercie. Elle me lance un regard intrigué. La directrice ne reçoit pas pour une demande de prêt habituellement, il y a des employés pour ça. L'homme se retourne matant sans gêne les longues jambes de l'hôtesse quand elle sortit de mon bureau.

Il se retourna et me dévisagea.

- Je m'appelle Bachir, je suis le cousin de Mohamed. Il m'a assuré que vous pourriez m'obtenir un prêt sans difficultés.

- Bien, bafouillais je, finissons en vite...

Je remplis le formulaire de demande de prêt. Il me fournit les pièces justificatives, un minimum, ce sera à moi de me débrouiller. Il demande une somme importante. Ces formalités administratives terminées, je lui dis que je le contacterais pour lui donner la réponse.

Je me lève signifiant la fin de l'entretien mais il reste assis.

Il prend une voix dangereusement douce pour me demander :

- C'est tout? Mohamed m'a dit que j'aurais droit à un cadeau...

Je blêmis et titube sur mes talons.

- Co...Comment ça, croassais-je...

- Lève-toi!

L'ordre a claqué comme un coup de fouet! Je me lève précipitamment.

Je dois faire le tour du bureau et me mettre devant lui.

- Soulève ta jupe, salope!

Rougissante, j'obéis, relevant doucement ma jupe dévoilant mes jambes jusqu'au porte-jarretelles blancs. Bachir sourit en découvrant ma fente.

- Mohamed m'avait bien dit que tu aurais la chatte à l'air!

- Fais voir tes nichons!

Résignée, je dégrafe mon corsage. Mes seins lourds apparaissent.

- Viens me sucer!

Il reste assis et je dois me mettre à genoux entre ses jambes. Tremblante, je dégage sa bite de son pantalon. Elle est dure et gonflée. J'hésite et impatiemment, Bachir appuya sur ma tête.

- Aller putain! Applique-toi...

Sa bite força mes lèvres pulpeuses. J'eus un hoquet et prenant la base du pénis avec mes mains manucurées, je commence à le branler doucement. Ma langue tourne autour de son gland. Je salive sur sa bite. Il donne des coups de reins pour mieux s'enfoncer dans ma bouche. Ma tête monte et descend avec régularité. Je tremble à l'idée d'être surprise!

Brahim poussa un bramement de plaisir en éjaculant dans ma bouche, éclaboussant mon palais de son liquide poisseux...Je déglutis avec peine et avale sa semence...Je me relève et m'essuie le menton avec la main...

- Putain, je ne le crois pas!

L'exclamation me fait sursauter! Je me retourne, la jupe autour de la taille, la chatte et les seins à l'air...

Oh Mon Dieu, non! Pas lui! Non!

Jérôme, mon jeune stagiaire se tient dans l'entrebâillement de la porte...

Jérôme est un jeune homme de 25 ans taillable et corvéable à merci puisqu'en CDD. Je le charge surtout des taches ingrates comme faire les photocopies ou m'apporter le café...Pas très grand, des lunettes, il a un physique ingrat et je l'ai déjà rabaissé en public plusieurs fois...

Il rentre dans mon bureau et referme la porte avec soins...

Brahim se lève et se rajuste. Ils entament une discussion surréaliste en ma présence mais comme si je n'étais pas là. Brahim lui parle du site et il se précipite sur mon ordinateur pour vérifier. Il mate les photos quelques temps et se relève me regardant autrement. Il s'approche et me pince la pointe d'un sein! Je couine...

Brahim prend congé et sort du bureau me laissant seul avec Jérôme.

Celui-ci tourne autour de moi comme un fauve devant une nouvelle proie...

- T'es vraiment une belle pute, lâcha-t-il en me regardant dans les yeux.

Je tente de lui expliquer d'une voix larmoyante que je n'ai pas le choix mais cela ne semble pas du tout l'émouvoir bien au contraire ....

Il me désigna mon bureau directorial.

- Monte là-dessus! A quatre pattes, salope! Comme une chienne!

Réprimant un sanglot, je m'exécutais.

Il farfouilla dans le tiroir de mon bureau et en sortit une règle plate. Il fit le tour et abattit sèchement la règle sur mes fesses me faisant hurler!

- Tais toi salope! Tu veux qu'on vienne?

Je frémis que l'on me découvre dans cette position humiliante.

Il me donna encore quelques coups me faisant pousser des cris brefs.

Il posa la règle et sortit sa queue bandée.

- Va falloir me soulager maintenant....

Je suis debout au milieu de mon bureau juchée sur mes hauts talons, la jupe tire-bouchonnée autour de la taille. Jérôme s'est mis derrière moi. Je sens sa bite contre mes fesses. Il me prend les seins à pleines mains et les presse. Il remonte sa main le long de mes jambes et caresse ma vulve.

- Penche-toi en avant...

Docile, j'obéis. Il plonge ses doigts dans mon vagin et les fait coulisser...Je ne peux m'empêcher de gémir...

Il me donne une claque sur mes fesses!

Il me pénétra debout comme un soudard. Les mains sur mes hanches, il s'enfonça d'un coup de reins puissant m'arrachant un grognement. Il me bourre violemment. Mes seins gigotent. Son bas-ventre vient claquer contre mon cul.

Pendant qu'il me baise, il bafouille, haletant :

- Je te baiserai quand je veux maintenant. Toute la journée...

Je me mords les lèvres en entendant ces mots...Je sens sa queue qui me lime furieusement et j'halète...Il se dégagea à ma grande surprise me laissant frustrée. Il alla s'asseoir dans mon fauteuil en cuir et m'ordonna d'aller sous le bureau.

Son sexe dressé palpitait à quelques centimètres de mon visage...

- Suce-moi!

J'aspirais sa bite et le pompais délicatement. Poussant un soupir d'aise, Jérôme ricana:

- Si on m'avait dit qu'un jour je me ferais tailler une pipe par la patronne sous le bureau...

Je lui suce la verge, le gobe en creusant les joues. Je lui caresse les couilles.

Soudain, trois coups frappés à ma porte me font sursauter! Je proteste doucement quand j'entends Jérôme crier d'entrez. Je me tais et arrête ma fellation mais Jérôme discrètement appuie sur ma nuque et j'engloutis de nouveau son membre.

Je reconnais la voix de l'hôtesse d'accueil qui demande à Jérôme ce qu'il fait dans le fauteuil de la patronne.

Il répond que je suis d'accord et je frémis quand l'hôtesse lui ayant demandé où je me trouvais il répondit de façon énigmatique :

- Oh, pas très loin...

Soulagée, j'entends l'hôtesse ressortir.

Cette situation dut exciter Jérôme car il lâcha des jets de sperme qui s'écoulèrent dans le fond de ma gorge.


Voici donc ma nouvelle situation. Non seulement je suis, avec ma fille, l'esclave sexuelle de Mohamed et ses complices qui nous prostituent contre notre volonté. Mais je suis la pute à blacks de Moussa et ses sbires. Quant à Jérôme, il me baise à chaque occasion à la banque et il veut mettre d'autres employés masculins dans la confidence.

A suivre...

mardi 27 août 2019

Le contrôle fiscal.

Le contrôle fiscal - Récits érotiques - Contrainte


J’ai 21 ans et je suis enceinte de notre premier enfant. On habite encore sur la région Parisienne. Le travail de mon mari ne marche pas très fort, il a donc décidé de monter sa propre société. Les difficultés comptables et administratives mettent vite son activité en péril. C'est donc naturellement que, lorsque je m’arrête pour mon congé maternité, je me charge de toutes ces tracasseries pour qu'il puisse se consacrer entièrement aux affaires.

Alors que son entreprise a moins d'un an d'existence, le fisc s'intéresse à notre déclaration. Je n'ai repris les comptes que depuis une quinzaine de jours et lorsque les inspecteurs se présentent au bureau, je suis plutôt angoissée. Je n'ai plus grand chose à me mettre, vu la taille de mon ventre et j'ai du mal à trouver une tenue convenable pour la date du rendez-vous. Je porte une robe de grossesse achetée à la hâte et qu'après coup je trouve mal taillée. Elle comprime ma poitrine devenue imposante et elle est trop courte pour cacher entièrement mes cuisses devenues trop grosses elles aussi. J'espère un rendez-vous rapide étant donné le petit nombre de pièces comptables. 

Les deux inspecteurs restent la journée entière à tout éplucher. Je les ai dans le bureau avec moi en permanence. Le plus jeune est gentil et essaie de m'aider mais l'autre ne fait aucun cas de mon état et à la fin de la journée, j'ai mal au jambes à force de m'être déplacée pour leur chercher des justificatifs. Ils me saluent en partant et je pense que c'est fini. Je suis d'autant plus surprise lorsque, à peine une semaine plus tard, un des inspecteurs m'appelle pour me dire que l'on est passible d'un redressement de vingt-trois mille francs. Devant mon étonnement, il me propose un rendez-vous dans leurs bureaux pour essayer d'éclaircir ces anomalies. Sous l'effet de la surprise, j'accepte un entretien pour le lendemain. Le soir même, j'en parle à mon mari qui me dit ne pas pouvoir m'accompagner à cause d'un rendez-vous d'affaires.

Je me rends donc seule à ce rendez-vous. J'y  arrivé un peu en avance et assez tendue. Seul le plus vieux des deux inspecteurs est là. Je me sens encore plus intimidée. Il me gêne. Il doit avoir la cinquantaine, grand, les cheveux grisonnants. Il ressemble un peu à Pierre BELLEMARD. J'avais espéré que le plus jeune aurait à cœur d'arranger les choses. Il m'explique que le redressement a été décidé pour activité salariée non déclarée durant un congé parental. Je lui explique que je n'ai pas travaillé mais juste aidé mon époux. Il comprend très bien mes motivations et j’espère donc qu'il reviendra sur sa décision. Sa conclusion de l'entretien me glace. Après l'espoir qu'il a fait naître par sa compréhension, il me dit tranquillement ne rien pouvoir faire pour moi et que la loi est faite ainsi.

Je me lève pour prendre congé de lui et il me raccompagne jusqu'à la porte. Il l'ouvre et dans un geste naturel, comme pour me guider, il pose sa main sur mes fesses et me dit :

- Si les lois sont faites pour être appliquée, elles sont parfois négociables !

Je suis interloquée et je pars sans répondre.

Ce n'est pas la première fois que je me fais draguer depuis que je suis mariée mais là cela me trouble. Je n'ai jamais cédé ni jamais provoqué personne. Cette fois encore je ne vois pas ce que j'ai fait pour exciter la convoitise de cet homme surtout dans l'état ou je suis. Toute la journée, je me sens nerveuse. Je ne sais pas si je dois en parler à Philippe qui a déjà assez de problèmes comme ça.

Durant les jours qui suivent, je me sens coupable vis à vis de mon mari et d'autant plus que l'idée d'aller demander un arrangement à cet inspecteur me tiraille. Une pénalité de ce montant mettra fin à coup sur à nos chances de réussite. 

Sans avoir rien dit à mon mari, je rappelle cet homme et lui demande une entrevue. Il cherche à savoir au téléphone si j'ai bien compris sa proposition. Je lui confirme sans oser lui parler ouvertement. 

Pour la première fois depuis notre mariage, je mens à mon mari pour partir au rendez-vous que m'a fixé cet homme dans son bureau un peu avant midi le lendemain. Je ne sais pas trop comment m'habiller et puis après tout, comme c'est dans cette robe qu'il a du avoir ces pensées, je la remets. Pour habiller mes jambes, j'enfile une paire de bas car mon ventre est trop rond pour pouvoir supporter des collants. Je mets un imper par-dessus tout ça pour ne pas trop me faire remarquer dans le métro et je pars. Je dis à mon mari partir à la recherche d'une crèche pour faire garder notre enfant. 

Plus j'approche de l'immeuble des impôts et plus je me sens tendue. Devant la porte j'ai presque envie de repartir, tout raconter à mon mari. Je ne sais pas pourquoi mais je rentre et me dirige sans passer par l'accueil vers le bureau de mon interlocuteur. Je frappe, il me dit d'entrer. Je pousse la porte, il se lève pour me serrer la main. Il se met à me parler comme si de rien n'était de ma situation. Je me demande si je n'ai pas rêvé, si j'ai bien compris son allusion. Lorsqu'il me propose d'aller déjeuner, même si la proposition me surprend, je suis presque soulagée.

Pendant le déjeuner, j'essaie de donner le change, j'évoque mon cas mais chaque fois il aborde un autre sujet. J'essaie de savoir ce que va devenir cette procédure de redressement et lui me répond à côté. Il s'amuse de mon embarras. Ses regards se font de plus en plus concupiscents et je dois sûrement être toute rouge. 

C'est de retour à son bureau que tout s'accélère. Il me fait asseoir sur le fauteuil et lorsque je le sens poser ses mains sur mes épaules, je sursaute même si je m'y attendais en le sentant derrière moi. Je me raisonne en me disant qu'il y a du monde dans les bureaux d'à côté et qu'il me suffira de crier si cela va trop loin. A ce moment la je repense que je n'ai pas demandé à cet homme ce qu'il voulait de moi. Je me suis fixée des limites et je ne veux pas qu'il me pénètre mais je ne lui ai pas dit. Je me trouve bête d'être aussi timide. Je me prépare à le lui dire lorsqu'il me rappelle qu'il est en mesure de mettre fin à nos soucis. Mes bonnes résolutions tombent d'un coup et je me tais, espérant que cela n'ira pas trop loin.

Ses mains massent mes épaules puis descendent sur ma poitrine à travers ma robe. Doucement elles progressent et finissent par passer dessous. Je les sens sur ma peau nue. Je ferme les yeux et pense à mon mari. C'est la première fois que d'autres mains que les siennes me caressent. Il défait les boutons de ma robe et la baisse sur ma taille. Des voix se font entendre dans le couloir et des pas se rapprochent. Je me raidis. Je suis en soutien-gorge dans un bureau et j'ai peur que quelqu'un rentre. Ouf ! Ils ne font que passer. L'homme à senti ma réaction et il s'en amuse :

- Pas facile de se laisser aller ? C'est la première fois ?

Je ne peux répondre, aucun son ne sort de ma bouche. Je hoche la tête. Il s'en amuse. Ses mains maintenant malaxent mes seins qu'il a sortis de leurs bonnets. Il s'avance sur le côté du fauteuil et prend ma main sur l'accoudoir. Il la pose sur sa braguette et me fait sentir son sexe gonflé. Il me semble assez épais. Il retire sa main. Je continue à le caresser. Soudain sa voix claque :

- Alors ! Sortez-la ! Je ne vais pas tout vous demander ?

J'ouvre les boutons et tire sur son sexe pour le sortir. En effet, il est assez gros même s'il n'est pas très long. Je referme les doigts dessus et je vais et viens sur la longueur. J'accélère mon mouvement en espérant qu'il jouira vite et qu'il me laissera partir. 

Une de ses mains quitte ma poitrine et se pose sur ma nuque. Il pèse sur celle-ci. Je résiste car je n'avais pas prévu d'accepter de le sucer. Je lève les yeux vers lui pour lui faire comprendre mais il insiste. Je l'avale sans rien dire. J'espère toujours que cela sera bientôt qu'un mauvais souvenir. J'ai déjà pratiqué cette caresse sur mon mari même si j'ai peu d'expérience mais là, j'ai vraiment du mal. Son sexe est si large que ma mâchoire me fait vite mal. Je sens quand même que l'effort conjugué de mes doigts et de ma bouche excite mon partenaire. Je sens aux contractions de son sexe contre mon palais qu'il n'est pas loin de jouir.

Soudain, il m'arrête en me faisant lever. Je suis déçue car je pensais en avoir fini. Il m'embrasse à pleine bouche après m'avoir complimentée. Sa langue fouille ma bouche. Il l'enroule à la mienne pleine de salive. Ses mains ne restent pas inactives et elles caressent mes cuisses en remontant ce qui reste de ma robe. En sentant la peau nue au-dessus de mes bas, il me murmure :

- Salope ! Tu as pensé à moi en t'habillant ce matin ?

Au lieu de lui dire la vérité, que je ne peux rien mettre d'autre en ce moment, je lui laisse penser qu'il a raison. Arrivé à ma culotte, je sens qu'il essaye de la descendre. Je la retiens d'une main en lui disant que je ne veux pas aller plus loin. Il force en me disant qu'il est trop tard pour fixer des conditions, que lui n'en avait fixé aucune pour réétudier notre dossier. Autant de mauvaise foi me laisse sans voix. Alors que je tiens ma culotte d'une main, je la sens craquer, là où il la tire. Je pousse un cri à la fois de surprise et de peur. Il s'arrête en regardant vers la porte :

- Attention madame ! Les cloisons sont très fines ici. Vous risquez d'attirer des curieux.

Je ne dis plus rien pendant qu'il baisse le reste de ma culotte sur ma cuisse. Il passe un doigt entre les lèvres de mon sexe. Il les ressort trempés et me les met tout brillant sous le nez. Ma honte augmente encore en constatant que je suis trempée malgré la situation. Il me soulève par les fesses et me dépose sur son bureau. Il écarte mes jambes et se présente la bite dressée entre les mains à l'entrée de mon sexe.

Je le repousse sur le torse en lui demandant de ne pas me pénétrer. Il rigole en me demandant si j'ai peur d'être enceinte. Je lui réponds qu'évidemment non mais que je ne veux pas coucher avec un autre homme que mon mari. Il me dit qu'après cela mon dossier partira aux archives. En m'appuyant sur les coudes, je cède et le laisse faire. Son sexe à du mal à rentrer malgré mes sécrétions et ma grossesse. Je le sens se distendre au passage de cet engin si gros. Dans ma tête, je me dis qu'après tout dans quelques mois ce sera bien plus pénible.

À mon grand étonnement, mon sexe s'habitue et je sens même le plaisir monter en moi. J'ai peur et je le dis à mon partenaire car lorsque je jouis, je suis assez bruyante et je me rappelle sa remarque sur les cloisons du bureau. Lorsque mes gémissements se transforment en râles puis en cris, il pose sa grosse main en travers de ma bouche pour étouffer le bruit. Je jouis longtemps avant qu'il ne prenne son plaisir. Il se retire en caressant mes cheveux et mes joues. Il me félicite de mon comportement et me dit que la société de mon mari me doit beaucoup.

Je me relève, lui demande si je peux partir. Il me donne un baiser sur la bouche en me raccompagnant. Lorsque je sors du bureau, je sens sa semence couler sur mes cuisses et je prends conscience que j'ai oublié ma culotte sur son bureau. Je n'ose pas y retourner d'autant plus que j'ai l'impression que tous les gens me regardent en sachant ce que je viens de faire.

Je rentre à la maison en sentant sécher le sperme sur mes cuisses. Lorsque j'arrive, mon mari est là. Il me regarde en me demandant si cela s'est bien passé. Je deviens toute blanche en me demandant comment il a pu savoir. Devant mon étonnement il me dit :

- Alors Notre fils aura une crèche ?

Soulagée de comprendre la méprise qui a failli me pousser à avouer mon adultère, je pousse un soupir de soulagement et je lui dis :

- Heu ! Oui bien sûr mais il faudra que j'y retourne pour confirmer.

Prétextant que j'ai eu chaud dans le métro, je lui dis que je monte prendre une douche. Toute seule en haut, je pense aux risques que je viens de prendre s'il avait voulu me caresser ou pire me faire l'amour à mon retour. Je jette les bas souillés de sperme, je prends une douche et je redescends. Mon mari a préparé l'apéritif et me dit que l'on doit fêter cela. Je suis gênée car je ne peux lui dire que ce qu'il va fêter c'est que je l'ai trompée. Il porte un toast et je me blottis dans ses bras. Pas très fière mais soulagée que la situation se soit améliorée.

Je pensais ne plus entendre parler du fisc mais un matin le téléphone sonne.

- Bonjour madame, c'est l'inspecteur des impôts. Il me manque une petite formalité pour clore votre dossier.

Je me lève pour vérifier que mon mari ne peut m'entendre et je repousse la porte du bureau.

- Mais enfin ce n'est pas possible ! Vous m'aviez dit que c'était terminé.

- Oui mais en regardant de plus près je me suis aperçu qu'il me manquait quelque chose.

- Mais quoi enfin !

Il me répond sèchement.

- Je n'ai pas eu votre cul la dernière fois.

- Ha Non !  Désolée mais ce n'est pas possible. Je suis vierge par-là.

Je murmure ma réponse à cause de la présence de mon mari dans la pièce d'à côté.

- Pourtant c'est une pièce indispensable. Il va falloir vous y préparer car je dois prendre une décision avant la fin de la semaine. Je vous promets de faire ce qu'il faudra pour ne pas vous faire souffrir et cela aura lieu chez vous car je n'ai pas envie de voir tout le monde ameuté au bureau alors donnez-moi une date pour que l'on se rencontre.

Sans avoir encore pris de décision, je feuillette l'agenda de mon mari. Je trouve un matin où il a un rendez-vous éloigné qui lui prendra sûrement la journée.

- Je peux vous recevoir mercredi matin mais il faudra que l'on discute de cet accord car je ne peux pas prendre le risque de vous voir téléphoner n'importe quand.

J’essaie d'employer une formule neutre au cas ou mon mari entende.

Le mercredi matin arrive et dès le départ de mon mari je me prépare. J'ai à l'idée de l'amadouer et de tellement lui faire envie de mon sexe qu'il en oubliera mon anus. J'ai acheté une nouvelle paire de bas, une culotte en dentelle qui peut tenir sur mon ventre et un soutien-gorge à balconnets assorti. Et surtout j'ai entièrement épilé mon sexe en expliquant à mon mari que c'est la sage femme qui me l'a demandé puisque la date de l'accouchement approche. J'ai justifié cela en lui disant que cela était plus hygiénique et plus pratique pour les médecins.

J'attends l'arrivée de cet homme en tremblant comme une jeune fille. J'ai à la fois honte de mon comportement et peur à l'idée qu'il mette sa menace à exécution à cause de la taille de son sexe. Lorsqu'il sonne, j'ouvre avec mon sourire le plus charmeur. Il m'embrasse sur la bouche en me demandant si mon mari est parti. Je le rassure en lui demandant s'il me promet après cela de ne plus m'importuner. Il sort de sa mallette mon dossier en me disant qu'il le laissera là si tout se passe bien.

Rassurée mais pas au bout de mes efforts je me blottis contre lui en lui massant le sexe à travers son pantalon. Je lui dis de me suivre jusqu'à la chambre mais il préfère le bureau où l'on s'est rencontré la première fois. Je le conduis jusqu'au bureau en le tenant par la main. Je le pousse pour qu'il s'assoie dans le profond fauteuil en cuir et sans attendre, je dégrafe son pantalon pour libérer son sexe et le sucer. Je m'applique en me rappelant les conseils qu'il m'a donné la première fois et les images que j'ai vues dans un film érotique. Je le suce sans quitter ses yeux et je sens qu'il s'excite rapidement.

Lorsqu'il me fait arrêter pour ne pas jouir dans ma bouche, je me lève et soulève ma jupe face à lui en lui demandant de baisser ma culotte pour découvrir la surprise que je lui ai fait. En découvrant mon sexe lisse sous mon gros ventre, il me traite de salope et de putain. Je lui souris en lui disant que je l'ai fait pour lui et que j'ai envie qu'il me prenne. Il éclate de rire en comprenant où je veux en venir.

- Vous avez cru en  faisant tous ces efforts que j'oublierais le but de ma venue ?

Je ne réponds pas, me contentant de baisser la tête en rougissant.

- Je vous remercie pour toutes ces attentions mais j'ai le regret de vous dire que ma décision n'est pas négociable. Ou je vous encule aujourd'hui et vous gardez votre dossier ou alors je repars avec et le donne à la commission pour qu'elle étudie votre cas ?

- Mais ? Écoutez, je vous assure que je suis vierge de ce côté là et qu'avec la taille de votre sexe vous ne pourrez jamais me pénétrer. Faisons l'amour normalement et chacun y trouvera son plaisir.

- Non faite moi confiance, allez chercher ma serviette et donnez-la-moi.

Il sort de sa serviette un tube de pommade qu'il dit miraculeuse. Il me fait me tourner face au bureau en m'appuyant dessus. Je me mets en position et j’attends. Je sens ses doigts étaler la pommade autour de mon anus. De son autre main il caresse tour à tour mon clitoris et mes seins. Ses caresses me font du bien et je ne sais pas si c'est l'effet de ses caresses mais je ne sens plus ses doigts s'occuper de mon cul.

Il se lève et se place derrière moi. À ma grande surprise, je ne sens pas son gland pousser sur mon anus. Ce n'est que lorsqu'il est entré en moi que je le sens dans mon intestin. Je ne comprends pas comment il a pu rentrer un tel engin dans mon cul vierge sans me faire mal. 

Il m'explique que sa crème est une pommade anesthésiante. Qu'elle est utilisée par les dermatologues pour effectuer des petites opérations sans douleur pour le patient. Je n'ai pas mal et pourtant je sens son sexe aller et venir. Il m'explique que la zone où se trouve les nerfs et donc qui provoque la douleur est superficielle et donc qu'avec juste le bord de l'anus anesthésié, j'ai les sensations de la sodomie sans les désagréments.

Effectivement, je sens le plaisir monter en moi en sentant son sexe frôler mon péritoine à travers la membrane qui sépare mon sexe du reste et je n'ai pas mal. Je me mets même à jouir alors qu'il accélère son rythme en moi. Solidement accroché à mes hanches, il me prend sans ménagements.
 
La tête enfouie entre mes bras croisés sur le bureau je jouis sans me retenir puisque personne ne risque de nous entendre. Je le sens s'arc-bouter au fond de moi pour se déverser. Je me redresse pour l'embrasser tellement je suis soulagée d'avoir vécu cette expérience sans vraiment avoir eu mal. Je m’assois sur ses genoux pour parler avec lui de ce qui est arrivé et je lui propose même une douche.

 À l'étage où se trouve notre appartement, nous prenons une douche ensemble et nous en profitons pour refaire l'amour dans le lit conjugal. Je lui dis de ne plus me rappeler. Il me le promet avant de me tendre le tube de pommade en me disant que j'aurais sûrement envie de renouveler cette pénétration vu le plaisir que j'y ai pris.

Je prends le tube et le mets dans un tiroir de mon chevet au cas ou un jour mon mari veuille retenter la sodomie avec moi. Je raccompagne mon amant à la porte et après un baiser passionné, je lui ouvre pour qu'il parte. À ce moment là, mon mari gare sa voiture devant la maison. Il est surpris de voir l'inspecteur des impôts à la maison. Je suis pétrifiée à l'idée de ce qui se serait passé s'il était rentré quelques minutes plus tôt et nous avait trouvés au lit tous les deux et aucun son ne sort de ma bouche.

L'inspecteur intervient alors en disant à mon mari qu'il est passé à l'improviste pour me donner des nouvelles de notre dossier. Il ajoute que grâce à ma coopération, le dossier est classé sans suite. Il prend congé de nous en nous serrant la main. Mon mari me prend par la taille pendant qu'il s'éloigne. 

En rentrant Alain me propose de fêter ça dignement. Je souris en me disant que décidément il fête ses déboires à chaque fois. Je lui demande donc de préparer les verres. Pendant ce temps je remonte remettre rapidement un peu d'ordre sur le lit. En rangeant mes affaires je m'aperçois que je n'ai plus ma culotte. Je suis prise de panique en me rappelant que je l'ai retirée dans le bureau.

Je descends prestement, espérant que mon mari ne l'a pas trouvé. En entrant dans la pièce, je trouve mon mari assis dans le grand fauteuil avec deux verres sur le bureau. J'attends qu'il me demande ce que fait ma culotte ici et je cherche déjà une explication plausible à lui donner mais rien ne vient. Je m'approche de lui et m'assoit sur ses genoux en regardant autour de moi pour trouver cette culotte mais rien. Il faut se rendre à l'évidence, mon inspecteur n'st pas si honnête que ça et il a voulu garder un souvenir de notre dernière rencontre.

Depuis notre société prospère et j'ai définitivement quitté mon travail pour aider mon mari. Même s'il y a quelques coups de canifs dans le contrat, tout va bien entre nous. Je repense souvent à cet homme qui aurait pu être mon père et qui m'a fait connaître tant de plaisir. Les enfants sont grands maintenant et mon mari a su profiter de la voie ouverte par cet inspecteur des impôts.

samedi 24 août 2019

La nouvelle vie de Christine Ch. 09

La nouvelle vie de Christine - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte

Christine se fait baiser au bureau par son collaborateur.

Ce matin-là, nous arrivâmes sur la parking à 8h20 et stationnâmes au même emplacement que d'habitude. Christine s'assit de nouveau derrière, son chemisier ouvert, ses gros seins à nu. Elle était assise derrière moi, face à l'autre porte de la banquette arrière, elle avait une jambe sur mon dossier et l'autre sur le haut de la banquette arrière. Ainsi, avec les jambes écartées à 45 degrés, sa jupe étant plus courte que d'habitude à ma demande, elle exposait sa petite culotte.

Nous attendîmes Marc.

Il arriva bientôt, se gara à côté de moi et sortit de sa voiture tout souriant. Ma vitre étant déjà baissée, je lui dis de monter derrière de l'autre côté.

- Ok. Dit-il.

Il contourna la voiture et ouvrit la portière arrière puis se glissa à côté de sa collègue torse nu. Admirant la pose il dit avec un large sourire :

- Bonjour Christine!

- Bonjour Marc.

Elle répondit lentement tout en déplaçant ses mains sur la boucle de ceinture de son collaborateur.

Le sourire de marc s'élargit encore plus alors qu'il devinait ce qu'allait faire la femme .Après avoir défait la ceinture, ma belle-mère ouvrit le pantalon puis tira sur la chemise et la déboutonna. Marc avait une poitrine ferme et peut-être un petit peu trop d'embonpoint. Christine tira sur le pantalon ainsi que sur le caleçon de son collègue jusqu'à ce qu'ils soient en tas par terre. J'étais impatient de la voir se servir de sa bouche.

- Puis-je me mettre autrement maître?

Bien sûr, je l'autorisai à se mettre dans une meilleure position. Elle se retourna à quatre pattes, son cul pointant vers la fenêtre, sa tête au niveau de la verge qui grossissait à vue d'œil. La queue de marc avait une taille et une circonférence normale, presque semblable au gode violet. Toutefois où le gode avait une pointe, sa bite avait un grand dôme rose avec deux grosses veines sur toute la longueur de son membre.

Christine tendit la main et, avec ses doigts minces, attrapa le sexe de son assistant pour la première fois.

Appuyé contre le siège, celui-ci dit :

- J'attend ce moment depuis lundi Christine.

Le membre de Marc avait atteint sa taille maximale dans la main féminine. Ma belle-mère ferma les doigts et branla le sexe à quelques reprises avant de baisser la tête à 5 cm de son gland. Marc laissa échapper un petit jappement quand il sentit l'humidité de la langue de Christine sur sa verge.

- Oh merde! Dit-il le souffle coupé.

Mais la langue disparut, descendant le long de son membre jusqu'aux testicules. Je savais ce qu'il ressentait. Ma belle-mère était une excellente suceuse et ses yeux fermés me le confirmèrent.

Christine passa cinq bonnes minutes à lécher les couilles, le membre et le gland afin que son sexe soit bien lubrifié de partout. Ensuite elle leva la tête pour la placer juste au-dessus de l'arbre dressé, elle retira ses mains et attendit que Marc la regarde.

Celui-ci ouvrit les yeux afin de voir pourquoi elle avait disparu.

Christine croisa son regard et lui dit :

- Ceci est pour vous remercier de service que vous m'avez rendu Marc.

Et elle laissa tomber sa tête, ouvrant la bouche afin d'engouffrer le sexe raidi, jusqu'à ce qu'il heurte le fond de sa gorge, la bâillonnant. Puis elle remonta pour prendre de l'air.

Ensuite, retenant son souffle, elle mit ses lèvres autour du gland en le serrant puis elle descendit sa bouche de 7 cm, épluchant ainsi le prépuce. Elle saisit la queue avec sa main gauche et fit à Marc l'une de ses fellations humides et expertes.

Il lui restait une bonne vingtaine de minutes pour faire éjaculer son partenaire. Mais je savais, même sans regarder le visage congestionné de marc, que ça n'allait durer qu'un peu plus de dix minutes environ.

Je me tournai sur mon siège afin d'avoir une vue correcte sur l'action et j'allumai la caméra sur mon smartphone afin de garder un souvenir de la scène.

Aucun des deux ne me vit les filmer, Christine suçant sans s'arrêter et Marc gardant les yeux fermés depuis le début. Donc les douze prochaines minutes, j'enregistrai ma belle-mère prostituant sa bouche et je saisis le moment où le collaborateur commença à trembler, pas loin de tout décharger.

- je vais éjaculer! Dit-il en ouvrant les yeux sans même se rendre compte que je filmais.

Il rajouta :

- Où puis-je le faire? C'est pour bientôt!

Son corps se contracta et il poussa son bassin en avant, enfonçant plus profondément sa bite dans la bouche de Christine

- Balancez tout dans sa bouche et elle avalera comme une bonne pute. N'est-ce pas salope?

- Mmmmmmppphh ummmmmpppphh. Marmonna-t-elle en se préparant à goûter le sperme de son assistant.

Marc pris la tête de sa patronne entre ses mains et dit :

- Voilà Christine, avalez tout.

Il eut trois ou quatre soubresauts et j'enregistrai les joues de ma belle-mère se remplir.

Finalement, elle ingurgita tout, la bite toujours fermement ancrée au fond de sa gorge.

- Salope? Montre à Marc que tu as apprécié son foutre. Demandai-je tout en continuant de filmer.

Elle leva la tête, laissant apparaître la bite couverte de salive. Puis elle ouvrit la bouche et inclina la tête afin qu'il puisse voir la gorge vide.

- Vous êtes vraiment une grosse salope Christine n 'est-ce pas?

Ce n'était pas vraiment une question mais plutôt une affirmation maintenant qu'il voyait autrement sa patronne.

- Vous pouvez y aller Marc, j'accompagnerai moi-même Christine au travail. On se revoit demain. Dis-je.

- D'accord! Répondit-il en s'habillant à la hâte et en quittant ma voiture.

Je donnai à ma belle-mère son soutien-gorge et elle finissait de s'habiller lorsque nous arrivâmes quelques minutes plus tard au bord de son immeuble de bureau. Je me garai le long du trottoir et je donnai à Christine les instructions pour la journée :

- Quand il sera 9h15, je veux que tu m'appelles et que tu mettes le haut-parleur. Ensuite tu demanderas à marc de venir à ton bureau. Tu lui diras que de sucer sa bite ce matin t'a fait complètement mouiller. Et tu lui montreras en étant assise sur ton bureau, évasant les jambes et écartant ta petite culotte.

- Oui maître

C'était la réponse que je voulais entendre.

- Et je te suggère d'être réellement mouillée car je demanderai à Marc de vérifier.

- Oui maître. Répondit-elle à nouveau.

- Ensuite à 11h00 tu iras voir marc pour lui dire que tu vas aux toilettes pour te masturber. Avant d'aller déjeuner il devra attendre à son bureau que tu lui apportes ta petite culotte à 12h00. Je lui demanderai si tu as respecté mes ordres. D'accord?

- Oui maître.

- Enfin à 16h45, après m'avoir appelé et mis le haut-parleur tu demanderas encore à Marc de te rejoindre dans le bureau. Là tu auras quinze minutes pour avoir un orgasme et demander à ton assistant d'éponger ta chatte avec ta culotte. Je veux que tu sois dans ma voiture à 17h05 sans faute. Tu as tout compris?

- Oui Maître.

- Tu ferais bien de te presser, tu dois me téléphoner dans 13 minutes.

Elle sauta de la voiture et pénétra rapidement dans l'immeuble.

Je repartis vers le parking afin d'attendre son appel.

Pile à l'heure mon téléphone sonna et je répondis immédiatement :

- Oui salope! Suis-je sur haut-parleur?

- Oui Maître.

- T'es-tu amusée avec ta chatte?

- Un petit peu Maître.

- Bon. Appelle Marc.

J'écoutai et je l'entendis ouvrir la porte et crier à travers la pièce :

- Marc, puis-je vous voir dans mon bureau cinq minutes s'il vous plaît.

Elle semblait un peu nerveuse de devoir faire de telles choses au travail mais je savais qu'avec le temps elle s'y habituerait.

Quelques secondes plus tard, j'entendis la porte se fermer et un bruit qui ressemblait à un mouvement de papier sur le bureau. Puis Christine parla :

- Marc, j'ai pensé que vous voudriez savoir que d'avoir sucé votre bite ce matin m'a fait tellement mouiller qu'il est juste que je vous le montre.

D'autres bruits se firent entendre. Je supposais qu'elle était en train d'écarter sa culotte. Je dis au téléphone :

- Salut Marc.

- Euhhhh. Salut. Répondit-il confus.

- Ne vous inquiétez pas, je voudrais juste que vous fassiez certaines choses pour moi aujourd'hui?

- Lesquelles? Demanda-t-il.

- Je veux juste vous parler dans la journée afin de m'assurer que Christine respecte bien mes ordres. Ça vous va?

- Oui, pas de problèmes. Dit-il intrigué.

- Ok. Pour l'instant j'espère que Christine est sur son bureau, les jambes écartées, en train de vous montrer sa chatte?

- Oui exactement.

- Elle vous a dit qu'elle avait mouillé lorsque qu'elle vous avait sucé? Est-ce que sa chatte est vraiment humide?

- Euhhhh. Je pense que oui. Dit-il d'un ton peu convaincant.

- Pouvez-vous vous rapprocher et vérifier qu'elle est vraiment mouillée?

J'attendis alors qu'il devait se rapprocher d'elle. Puis il confirma :

- Oui elle est trempée.

- je vous remercie Marc, vous pouvez la laisser maintenant.

J'entendis la porte s'ouvrir et se fermer alors qu'il sortait. Je dis avant de raccrocher :

- Très bien Salope, je te rappelle plus tard.

A 13h05, j'appelai Christine qui répondit à la troisième sonnerie. J'ordonnai :

- Salope, met moi en ligne avec Marc

- Oui maître. Tout de suite.

La ligne cliqueta et soudain la voix de Marc dit bonjour.

Je lui demandai :

- Dites-moi Marc ce qui est arrivé à 11h00 aujourd'hui?

Il répondit d'une voix étouffée :

- Christine est venue me voir à mon bureau pour me dire qu'elle allait aux toilettes pour se masturber. Puis vingt minutes plus tard elle est revenue pour me demander d'attendre jusqu'à midi car elle avait un cadeau pour moi?

- Parfait. Et elle vous a apporté son cadeau à 12h00?

- Et bien en vérité il était 12h10 car à midi je parlais à Jean et Nicolas. Elle m'a amené sa culotte trempée quand ils sont partis.

- 12h10? ce n'était pas l'heure convenu. Merci Marc.

Il raccrocha et je rappelai Christine. Sur un ton furieux qui marquait ma déception je lui dis :

- Salope! Pourquoi as-tu donné ta culotte à 12h10 et non à 12h00 comme je te l'avais ordonné?

-

Elle essaya de plaider sa cause.

- Je ne pouvais pas maître, il y avait d'autres collaborateurs avec Marc.

- Je ne veux pas savoir. A l'avenir je veux que tu m'obéisses. Tu trouves le moyen de donner ta culotte même s'il y a d'autres personnes. Si on te voit c'est de ta faute, pas de la mienne. Je veux te voir dans la voiture à 17h05.

Je raccrochai.

A 16h45, mon téléphone sonna. Christine mit le haut-parleur et je l'entendis de nouveau inviter Marc dans son bureau. La porte se ferma et elle dit :

- Marc, j'ai quinze minutes pour me provoquer un orgasme. Ensuite vous devrez essuyer ma chatte avec ma culotte. Je dois être dans la voiture de mon maître à 17h05.

- Quelle salope! allez-y! répondit son collègue avec excitation.

A travers le haut-parleur, je demandai :

- Dites-moi où cette pute est assise Marc, je veux m'imaginer la scène.

- Elle est assise sur sa chaise, un pied sur le sol et un pied sur le bureau. Elle a trois doigts dans son vagin et elle se triture un mamelon. Vous êtes vraiment chanceux.

- Et vous, où êtes-vous?

- Je suis juste en face d'elle.

- Bien Marc. Il va falloir que je mette une webcam dans son bureau pour que je puisse voir moi aussi. Si je fournis le matériel, pourrez-vous le mettre en place pour moi?

- Oui je peux faire ça.

- Merci Marc. Profitez du spectacle maintenant.

J'écoutai en silence les doigts de Christine pénétrer sa chatte. Sa respiration fut de plus en plus rapide et elle laissait échapper des gémissements de plus en plus forts. Puis elle jouit bruyamment.

Quand elle eut fini, je demandai à Marc :

- Marc? Avez-vous aimé?

- Oh oui.

- Maintenant, nettoyez sa chatte avec sa culotte. Vous pouvez la garder en souvenir. Quand à toi salope, ramène ton cul, tu as quatre minutes.

Je raccrochai.

Une fois qu'elle fut dans la voiture, je soulevai sa jupe pour voir si sa chatte était encore humide. Mais elle avait été bien nettoyée par Marc.

Ce soir encore, le mari de Christine étant endormi complétement aviné, je baisai ma belle-mère sur le canapé et je la laissai là mon sperme dégoulinant de son sexe.


Je partis au lit en recherchant de nouvelles façons d'humilier Christine au travail.

A suivre...

Ma femme devient une pute Ch. 01

Ma femme devient une pute - récit érotique

Rencontre avec un gang.

Mon épouse Michelle est une avocate de haut niveau dans notre ville qui est de taille moyenne. Nous sommes mariés depuis 22 ans environ. Il y a trois ans, notre vie sexuelle étant un peu en sommeil, je décidai de louer une chambre dans un hôtel pour jeune couple dans le quartier le plus ensoleillé de la ville. La chambre était vouée à l'amour avec un superbe jacuzzi.

A ma grande surprise, Michelle s'habilla en vraie salope, avec une jupe très courte, des hauts talons et un haut près du corps. Elle insista pour aller elle-même chercher la clé à la réception, roulant du cul à chaque pas et faisant se retourner sur elle plusieurs gars qui passaient par là. Une fois dans la chambre, elle me confia, que ces dernières années, elle fantasmait de devenir une prostituée.

Michelle est une blonde de taille moyenne. Sa poitrine fait un fantastique 95E naturel avec de belles aréoles et des mamelons qui durcissent très vite lorsqu'elle est excitée. Elle a aussi un beau cul qui a un peu grossit quand elle a eu 40 ans, mais qui est magnifique dans un short ou une jupe moulante.

Il y a quelques mois, Michelle a trouvé un bar universitaire local dans la petite ville voisine. Elle voulait se déguiser en salope et aller flirter avec les étudiants. Je lui ai demandé alors jusqu'où elle voulait aller?

- Je ne sais pas. Peut-être me laisserai-je offrir quelques verres par des garçons, et je leur laisserai poser leurs mains sur mes jambes. Peut-être les laisserai-je aussi agripper mon cul pendant que nous danserons. Si je suis un peu excitée, je flirterai avec le gars. Juste le temps d'être bien émoustillée et nous rentrerons à la maison pour baiser comme des fous.

Je dus admettre que l'idée de la voir comme une vieille salope se faire draguer par des étudiants m'excitait un peu, tant que ça n'allait pas trop loin.

La nuit suivante, nous sommes allés dans ce bar. Je l'ai laissé sur le parking. Je l'ai vu rouler du cul sur ses talons rouges de 15 centimètres alors qu'elle entrait dans le bar. Elle portait une petite jupe en jean et un haut noir qui faisait ressortir sa poitrine fantastique.

Quelques minutes plus tard, je suis entré et je me suis assis à une table près du bar avec une vue sur tout le lieu. Elle était déjà en train de parler avec quelques gars, une cigarette et un verre à la main. Je l'ai regardé rire et faire glisser ses ongles sur le bras d'un étudiant. Quelques instants plus tard ils étaient sur la piste de danse. Un slow débuta, elle se blottit dans les bras du jeune. La main de celui-ci frotta un moment son dos avant de disparaître sous sa jupe. Pendant ce temps ma femme fixa les yeux du garçon avant de l'embrasser, légèrement d'abord puis plus profondément.

La musique s'arrêta et Michelle retourna avec son ami à leur table. Le barman s'approcha et me demanda si je voulais une autre bière.

- Je vois que vous regardez cette vieille salope.

Je hochai la tête.

- Eh bien, regardez dons le mec là-bas?

Le barman désigne un homme au regard méchant dans un coin. Il devait avoir 19 ans et portait un bandeau avec des couleurs de gang.

- Il s'appelle José. Il dirige les filles qui travaillent par ici pour le gang NSP. Dans quelques minutes, il va surement s'occuper d'elle.

Je me demandai quoi faire en voyant le gars se lever et marcher vers Michelle. Il se pencha et murmura quelque chose à son oreille. Quelques secondes plus tard, je vis ma femme échanger son numéro de téléphone avec le garçon avec qui lequel elle avait dansé. Puis elle suivit José tout en exagérant son roulement de cul.

Lorsqu'elle passa vers moi, elle me jeta un coup d'œil et me sourit, alors je ne fis rien. José s'arrêta au bout du comptoir et s'assit sur un tabouret. Michelle se tint devant lui en levant légèrement une jambe pour la poser sur la barre du tabouret.

Ils commencèrent à discuter tranquillement et je vis Michelle rire et secouer la tête. José se leva et mit un doigt au sommet de son haut et il tira. Ma femme ne bougea pas, laissant José jeter un coup d'œil sur ses seins, puis elle repoussa sa main.

Ils parlèrent encore quelques minutes et je vis le barman leur apporter deux verres de Téquila. Ils les burent rapidement. José remit son doigt sur le haut et le tira vers le bas et vers lui. Encore une fois, Michelle le laissa regarder sa poitrine. Puis elle voulut repousser son doigt, mais cette fois-ci il attrapa sa main. Ils luttèrent un petit moment puis je vis ma femme se laisser attirer vers lui. José garda son doigt dans le haut et je le vis caresser un téton puis tourner autour. Son autre main descendit à l'intérieur des cuisses de Michelle puis remonter sous la jupe.

Mon épouse se tenait là, laissant un membre de gang jouer avec un sein et glisser sa main vers sa chatte. Elle avait un sourire sur le visage et elle le regardait dans les yeux. Elle était surement un peu excitée.

Je vis José enlever son bandana et lui donner. Elle passa devant moi sans dire un mot et entra dans les toilettes. Quelques instants plus tard, elle revint en portant le bandana à la place de son haut. Il couvrait à peine ses gros seins qui se balançaient. Ses nichons étaient si gros que sur le côté et le haut ils étaient clairement visibles. Le haut qu'elle portait auparavant était devenu sa jupe. Il était si serré qu'il remonta le long de ses jambes quand elle marchait. Il couvrait à peine son cul.

Si avant elle avait l'air d'une salope, là elle était clairement une pute à la recherche de clients. La plupart des regards étaient sur elle quand elle sortit des toilettes. Elle marcha lentement vers José. Puis elle tomba dans ses bras et lui donna un baiser passionné.

Quelques minutes plus tard, ils s'approchèrent de moi. Michelle tenait le bras de José. Son autre main essayer de tirer sa jupe alors qu'elle remontait sur son cul.

- Tu es marié avec elle?

- Oui.

José sembla surpris.

- Eh bien, cette garce veut que je l'emmène dans mon bar, voir mes amis. Tu es OK?

Je regardai Michelle. Elle hocha la tête.

- Si c'est ce qu'elle veut. Dis-je.

- OK nous y allons. Mais laisse-moi te préciser certaines choses. C'est peut-être ta femme, mais ce soir c'est ma pute, ma chienne. Et celle de mes amis. Je ne veux pas de problème. Mais elle le fait parce qu'elle le veut. Alors ce soir elle est à nous.

Je regardai Michelle.

- C'est ce que je veux mon chéri. Une nuit. Viens regarder, ça sera amusant.

J'acquiesçai en hochant la tête. José se détourna, Michelle sortit avec lui et je les suivis. Une Cadillac s'arrêta devant eux et ils montèrent à l'arrière. Je pris ma voiture et je les suivis. Nous roulâmes environ vingt minutes avant d'atteindre les mauvais quartiers de la ville. Il y avait un bar à un coin de rue. La Cadillac s'arrêta devant. Je me garai de l'autre côté de la rue.

Je traversai la rue et je m'aperçus que la porte passager avant était ouverte. José était derrière, de dos, mais je ne pus voir Michelle. De la fumée sortait de la voiture. José attira mon attention. Il sourit. Quelques secondes plus tard, la tête de Michelle surgit. Clairement elle avait dû lui faire une fellation. Je vis quelqu'un lui tendre un joint. Un instant après, elle sortit de la voiture en toussant et en essayant de remettre son haut.

José s'approcha de moi :

- Ta femme fumait un joint imbibé d'aphrodisiaque. Bientôt elle va être bien excitée et je vais gagner de l'argent. Ce bandana qu'elle porte autour des seins signifie qu'elle est avec moi et mes amis. Personne ne la dérangera à moins qu'ils ne me parlent en premier. Elle est en sécurité, surtout si elle continue à sucer des bites comme elle vient de me le faire.

Michelle trébucha sur ses talons hauts, elle avait du mal à garder sa jupe sur ses fesses. Elle la tira mais elle couvrait à peine le haut de ses cuisses. Elle était vraiment salope avec un bout de tissu couvrant à peine ses seins, essayant de marcher avec des hauts talons alors que sa jupe couvrait à peine sa chatte, une salope de 40 ans au bras d'un jeune de 19 ans qu'elle venait de sucer.

Nous entrâmes dans le bar. La musique était forte et une fumée épaisse flottait dans l'air. Il y avait des dizaines de femmes, de toutes races, à différents stades de nudité, mais aucune n'était aussi blonde ou aussi vieille que Michelle. Quelques femmes étaient avec des hommes et dansaient tandis que d'autres marchaient dans le bar, plus ou moins habillées comme ma femme.

José est accueilli par ses amis. Lui et Michelle s'assirent à une table. Je pus voir que mon épouse était nerveuse, elle s'accrochait fermement à José.

Quelques minutes plus tard, un grand homme noir apparut. Je le reconnus, c'était un basketteur de l'équipe de l'université. Je le vis parler à José et lui remettre de l'argent. José parla à Michelle. Elle se leva et salua le noir. Ils parlèrent pendant quelques minutes puis l'homme l'emmena vers une table de billard, la main autour de sa taille. Ils jouèrent un petit moment, ma femme se penchant souvent en remuant ses fesses. Bientôt deux autres personnes vinrent et ils jouèrent deux contre deux.

Pendant qu'ils attendaient leur tour de jouer, Michelle s'asseyait sur les genoux du basketteur qui lui caressait l'oreille. Assise sur lui, elle bougeait ses fesses. Quand ce fut son tour, le black se leva, joua plusieurs boules, en manqua une et revint vers ma femme. Celle-ci se leva et se jeta dans ses bras. Ils s'embrassèrent passionnément. Puis de nouveau, elle s'assit sur ses genoux, le laissant glisser sa main sous le bandana couvrant ses seins. Je pouvais voir sa grosse main tripoter son nichon gauche, passer le doigt autour du mamelon et finalement le pincer, tout en l'embrassant et caressant son oreille.

Le joint aphrodisiaque que lui avait donné le gang était trop fort pour elle. Elle se leva et se mit à cheval sur son nouvel ami. Ils s'embrassèrent encore passionnément et le vis sa main jouer avec l'entrejambe du gars. Elle brisa leur baiser et lui murmura quelque chose à l'oreille. L'homme mit la main à sa poche et en tira de l'argent qu'il lui donna. Michelle, un sein presque à nu, traversa le bar en direction de José et lui donna les billets.

Son fantasme était maintenant devenu réalité. Cette avocate sexy de 40 ans, de bonne réputation, était soumise à un voyou de 19 ans. Elle lui appartenait. Elle était sa propriété et se vendait à qui il lui disait. José lui tendit un petit paquet et je réalisai que c'était un préservatif.

Michelle retourna vers son basketteur et l'emmena sur un canapé dans un coin sombre. Ils s'embrassèrent pendant quelques minutes puis je vis sa tête se baisser entre ses jambes. Ensuite elle lui mit le préservatif et se mit à cheval sur lui. Il la baisa là, dans le coin sombre d'un bar.

Je connais ma femme et je peux dire quand elle simule ou quand elle a un vrai orgasme. Elle monta et descendit sur sa queue pendant 10 minutes. Puis l'homme accéléra ses coups de reins. Elle commença à se cambrer et elle mit ses mains derrière sa tête. Sa poitrine était libre d'accès pour le black. Il la tira contre lui et commença à sucer un mamelon. Ma femme adore qu'on lui suce ses tétons en la baisant. Je vis que son corps tremblait. Elle jouit. Quelques minutes plus tard, son partenaire éjacula. Elle s'effondra dans ses bras. Ils restèrent blottis pendant quelques minutes puis ma femme se leva et retourna vers José, son souteneur.

Cela recommença plusieurs fois. Des hommes venaient demander la vieille salope blanche. Ils payaient José et allaient avec elle, soit sur la piste de danse, soit au billard, soit à une table pour boire un verre. Et cela finissait toujours sur un canapé dans un coin sombre où elle les suçait ou se faisait baiser.

Bientôt deux heures du matin, je me demandai combien de temps cela allait durer encore. Michelle avait rompu notre accord et était allée plus loin que nous avions conclu. Elle venait de nous mettre dans une position où nous étions à la merci de voyous.

Puis elle vint vers moi et s'assit.

- Chéri, je suis tellement excitée. J'aime être une pute. Ça réalise tous mes fantasmes.

- Peut-on partir? Demandai-je.

- Pas avant que José me dise que je peux y aller.

Mais le proxénète s'approcha et dit :

- Viens, tu as gagné tes galons.

Michelle se leva, suivit José. Et je les suivis. Nous sortîmes du bar. Michelle était occupée à fixer son haut pour garder ses seins à l'intérieur du bandana. Tandis qu'elle marchait sur le trottoir, sa jupe remontait sur ses fesses et elle bougeait son cul comme une prostituée. Quelques rues plus loin, il y avait un salon de tatouage où nous entrâmes.

Dedans il y avait un jeune homme noir qui salua José avant de détailler Michelle et dire :

- Purée, cette pute est chaude.

- Elle a gagné un NSP en argent. Dit José.

Le gars hocha la tête et nous le suivîmes. Mon esprit était en ébullition. Un tatouage était hors de question, mais Michelle tenait fermement à son souteneur. Ils s'assirent à une table. Le gars avança et tira le haut de ma femme. 

- Mmmmm, parfois j'adore mon boulot! Rit-il.

Michelle fut placée sur une chaise. Le tatoueur tendit la main et attrapa un petit ruban attaché à une petite barre.

- Seulement en argent? Se plaignit ma femme.

- Tu dois faire beaucoup plus de choses que remuer ton cul pour moi avant d'en avoir en or. Dit José.

Michelle fit la moue alors José se dirigea vers elle et se pencha :

- Tu es ma chienne?

Michelle hocha la tête.

- Tu es ma pute.

Michelle acquiesça à nouveau. José mit un doigt sous son menton. Elle leva les yeux vers lui alors qu'il l'embrassait profondément. Je pus voir ma femme prendre sa langue avec la sienne dans sa bouche.

José rompit le baiser et demanda :

- Dis le!

Michelle baissa les yeux :

- Je suis ta chienne.

- Plus fort!

Ma femme leva les yeux pour regarder son souteneur bien en face et dire :

Je suis ta salope. Je suis ta pute. Je baise seulement avec ceux que tu me dis.

- Ok. Continuons.

Le noir s'approcha, souleva une chaise et s'assit. Il tendit la main et saisit le sein gauche de Michelle. Il le caressa puis roula le téton entre son pouce et son index. Ma femme gémit. Il fit de même avec le sein gauche. Ma femme gémit encore plus.

- Le mamelon gauche est plus gros! Dit le gars.

Il sortit des liquides stérilisants pour nettoyer son mamelon gauche tout en continuant à le tirer. Michelle se tortilla sur son siège, en passant une jambe par-dessus l'autre. L'homme laissa tomber son autre main sur sa cuisse et je le vis l'avancer entre ses jambes. Michelle ouvrit les yeux et regarda José. Il hocha simplement la tête. Alors immédiatement elle écarta les jambes pour laisser l'accès à sa chatte. Le tatoueur la doigta pendant quelques minutes, tout en tirant et pinçant son téton gauche.

- Ok, c'est le moment.

Il mit du produit anesthésiant sur le mamelon, puis il le perça et y plaça la fine barre en argent avec le petit ruban NSP qui pendait à un anneau attaché à la barre. Il mit deux petits bouts ronds à l'extrémité de la barre qui transperçait son téton. Michelle était maintenant marquée du symbole du gang de José.

Elle baissa les yeux sur son sein puis se leva. Elle était hypnotisée. Elle mit ses bars autour de José qui lui dit :

- Ça veut dire que tu es notre pute. Aucun autre gang ne peut te toucher. Tu peux marcher n'importe où dans la ville avec tes tenues de salope, personne ne te dérangera sans mon accord.

Michelle embrassa profondément son proxénète avant de dire :

- Je suis tout à toi!

Elle me jeta un coup d'œil pendant une seconde puis l'embrassa à nouveau.

- Et tu ne l'enlèves jamais sans ma permission salope. Ok?

Michelle hocha la tête.

- Si je t'appelle au travail, tu prends ton téléphone et tu prends une photo de toi avec ce signe. Puis tu me l'envoies tout de suite pour que je sache que ma pute m'obéit.

Michelle hocha la tête.

- Très bien. Paye le gars! Déclara José avant de se détourner et de s'éloigner.

Michelle me regarda et dit :

- Je n'ai pas d'argent!

Le noir rigola :

- Tu crois que je veux de l'argent? Viens ici!

Il la prit par la taille et Michelle se laissa faire par ce tatoueur de 22 ans. Il la tira dans une pièce où il y avait un canapé. Quelques minutes plus tard, je l'entendis la baiser.

- Tu aimes les queues de noirs? Dit-il en la prenant en levrette.

- Oh oui j'adore ça. J'adore les grosses bites d'ébène. Baise-moi! Baise-moi avec ta grosse queue.

Je regardai dans la pièce et je vis l'homme lui tenir les cheveux comme des rênes alors qu'il la pilonne rudement. Ma femme se cambra et jouit. Le noir continua de la baiser. Elle était à quatre pattes, mais bientôt elle s'effondra sur le canapé. L'homme lui gifla le cul, alors elle le tendit vers lui et il put continuer à la marteler.

Quelques minutes plus tard, je vis Michelle serrer les bords du canapé et gémir :

- Je jouis encore!

Son corps trembla. Le noir éjacula aussi et s'effondra sur elle. 

Quand Michelle arriva à se relever, elle me vit et eut le réflexe étonnant de se couvrir les seins. Elle me dit :

- S'il te plaît, va m'attendre dehors.

Je la vis s'asseoir et se blottir à côté de l'homme qui vient de la faire jouir. Quand je sortis, ils s'embrassèrent.

Quelques minutes plus tard, ma femme me rejoignit. Nous sortîmes du magasin. Notre voiture était à deux rues de là. Nous commençâmes à marcher, mon épouse faisant de son mieux pour garder sa jupe sur ses fesses.

Deux fois, sur le chemin, des membres de la bande de José nous ont arrêtés. A chaque fois ma femme est obligée de flirter avec les gars, de les embrasser ou de les laisser jouer avec ses seins.

Nous arrivâmes à la voiture mais un membre du gang nous avait suivis. Michelle pris les clés et me dit :

- Attends ici quelques minutes!

Le gars du gang la poussa contre notre véhicule et commença à l'embrasser. Il était vraiment gros, environ 120 kilos. Michelle passa ses mains sur sa poitrine et ses bras. Il lui dit :

- Je veux un peu de ton cul de vieille salope blanche.

- Mais beaucoup de tes amis m'ont baisée. C'est douloureux. Laisse-moi te tailler une pipe?

L'homme la repoussa contre la voiture :

- Je veux ta chatte.

Michelle l'embrassa profondément en mettant sa main entre ses jambes. Tout en tripotant sa queue sous son pantalon elle lui murmura :

- Bébé, ta bite est trop grosse. J'ai été trop baisée ce soir. Allez, laisse-moi te sucer! Comme une bonne pute j'avalerai tout. Et demain tu m'appelles et je viendrai pour que tu me baises bien.

Le membre du gang hocha la tête. Il mit ses mains sur le bandana et le retira. La scène était irréaliste. Ma femme, avocate réputée était dans la rue, à côté d'une voiture, dans une jupe courte et serrée, les seins à l'air, en face d'un garçon plus jeune qu'elle de 20 ans. Elle le laissa jouer avec ses seins. Il demanda :

- Dis que tu veux ça chienne!

Michelle sourit. Sa main tâtait la queue à travers le pantalon.

- Oh oui je le veux. J'ai rêvé d'une telle bite toute la nuit.

- Supplie!

Michelle se mit à genoux dans la rue, les seins pendants. Elle défit sa braguette et sortit la bite. Puis elle leva les yeux vers le garçon et dit :

- S'il te plaît bébé, laisse-moi sucer ta grosse et belle queue.

Elle voulut l'engouffrer dans sa bouche mais il retira son membre. Il voulait l'humilier.

- Embrasse la!

Michelle commença à faire des petits bisous de haut en bas de la verge dressée en murmurant :

- S'il te plaît bébé, laisse-moi sucer ta bite. S'il te plaît, j'ai besoin de la sucer.

Finalement, le gars fut satisfait. Il ordonna :

- Ok! Monte dans la voiture la pute!

Ils s'assirent sur la banquette arrière et quelques minutes plus tard, je vis la tête de ma femme disparaître entre les jambes du garçon. Cinq minutes plus tard, une porte s'ouvrit et le membre du gang descendit. Il rit en me disant :

- Elle a fait un super boulot. Elle est tout à toi maintenant.

Je montai dans la voiture. Je conduisis pendant quelques pâtés de maison en silence. Quand nous fûmes arrivés dans un quartier plus sûr, j'arrêtai la voiture. J'étais prêt à crier sur ma femme, mais elle me coupa la parole :

- Je sais ce que tu vas dire, mais ne le dis pas. C'est ce que je veux. Je veux être une pute. Je suis la putain de José. Il m'a marqué, je lui appartiens. Il m'a prise en face de toi et m'a soumise. C'est la chose la plus excitante qu'un homme puisse me faire, faire de moi une pute. Tu as eu ta chance mais José a été plus rapide. Il m'a eu quand il a commencé à jouer avec mes seins dans le bar. Alors ça va être comme ça, je serai sa prostituée comme je le voudrais. Je ne veux plus que tu viennes avec moi quand il m'appellera. Je le rejoindrai et je serai sa pute, je ferai le trottoir ou je travaillerai dans le bar. Je ferai ce qu'il veut.

Je n'étais pas sûr de savoir comment gérer cette situation ou ce que j'allais faire.

A suivre...

L'enseignante, ma chienne. Ch. 05

L'enseignante , ma chienne - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte

Gang-bang forcé en famille.

Des cris viennent de la maison. Karen O'KEEFE comprend tout de suite pourquoi. Sa fille se fait baiser par Carl. Sa voiture est dans l'allée. Ce fils de chienne a menti. Il avait promis de rester loin de sa fille aussi longtemps que Karen se laisserait baiser par lui quand il le demanderait. C'était leur entente et elle avait respecté sa partie du marché.

Elle bondit dans l'escalier et ouvre la porte de la chambre. Elle reste bouche bée. Katie est penchée sur le bureau, les jambes écartées. Et au lieu de Carl, il y a un énorme garçon noir qu'elle n'a jamais vu, en train de labourer la chatte de Katie par-derrière. Un autre garçon est assis sur le bureau et fourre sa bite bien raide dans la bouche de sa fille. Debout, nu, et attendant son tour, se trouve un autre garçon avec une bite de la taille de celle d'un cheval de course.

- Katie, mais qu'est-ce que tu fais? Je veux que ces garçons sortent de chez nous! IMMEDIATTEMENT!

Personne ne fait d'efforts pour bouger. Celui qui baise Katie regarde Mme O'KEEFE dans le miroir et pilonne la jeune fille de plus en plus vite. Quelques instants plus tard, son visage grimace. Il grogne. Katie se met à trembler quand elle sent les premiers jets de sperme dans son ventre. Elle veut crier mais seul un bruit étouffé s'échappe de sa bouche remplie avec une bite.

Le garçon qui vient d'éjaculer sort de sa chatte. Le sperme dégouline sur le sol et le long de ses cuisses. Katie étouffe quand le sexe dans sa bouche plonge dans sa gorge. C'est au même moment que Carl s'approche de Karen par derrière et lui tord le bras dans le dos. De son autre main il se met à pétrir sa poitrine.

- Bonjour Mme O'KEEFE, Katie n'est-elle pas belle quand elle jouit. Regardez, elle peut à peine tenir debout. Je crois qu'elle aime ça.

Karen lutte pour se dégager de l'emprise de son élève. Mais il tire sur son bras. Puis il déchire son chemisier et pince un de ses mamelons entre le pouce et l'index jusqu'à ce qu'elle glapisse de douleur et que des larmes coulent sur ses joues.

- J'ai tenu ma promesse Mme O'KEEFE, malgré le fait que votre fille m'ait supplié pour avoir ma bite. Je lui ai dit que j'avais passé un marché avec vous. Elle semblait si désespérée que j'ai appelé Willie, Owen et Boa pour l'aider. Ils semblent le faire très bien.

Finalement, Katie est autorisée à respirer. De la bave coule de ses lèvres. Elle tousse et halète pour avaler de l'air. Puis sa bouche est de nouveau remplie par toute la longueur de la queue devant son visage. Le garçon baise sa bouche plusieurs fois avant de relever sa tête en tirant sur les cheveux. Encore plus de salive coule sur son menton.

Owen descend du bureau et jette Katie par terre. Le visage de Katie rebondit sur le sol. Owen la soulève par les hanches et glisse sa grosse bite noire entre ses fesses. Elle disparaît rapidement dans la chatte gluante. Les mains du garçon écrasent les seins de la jeune fille pendant qu'il pilonne sa chatte. Katie crie alors qu'un autre orgasme la terrasse.

- Katie ne voulait pas au début. Elle voulait me désobéir. Alors j'ai dû lui donner une fessée bien cuisante. Et savez-vous quoi Mme O'KEEFE? Katie peut pleurer et jouir en même temps. Je pense qu'elle aime être fessée.

La main de Carl glisse sous la jupe de Karen et se faufile entre ses jambes. Deux doigts glissent sous la culotte et s'enfonce dans la chatte déjà humide. Karen peut sentir son corps la trahir tandis que les doigts farfouillent son sexe. Elle halète. Malgré tous ses efforts pour résister, elle frissonne de plaisir.

- Je pense à une chose Mme O'KEEFE. Boa attend son tour avec Katie, mais peut-être aimeriez-vous l'aider à se préparer. La chatte de Katie sera bien prête après qu'Owen et Willie l'auront bien étirée. Mais regardez ce qui pend entre les jambes de Boa, quelqu'un va bien devoir le faire bander...

Carl la pousse dans la pièce. Karen tombe au sol aux pieds de Boa. Elle essaie de se relever et de courir, mais Carl passe une ceinture autour de son cou et l'étrangle jusqu'à ce qu'elle tombe à genoux. Laissant la ceinture autour du coup il tire sur ses cheveux jusqu'à ce qu'elle regarde le monstre noir suspendu entre les jambes de Boa.

- Ouvrez grand Mme O'KEEFE, vous n'aurez probablement jamais plus l'occasion de sucer une telle bite.

Karen est confuse et bouleversée en voyant sa fille être abusée et aimer ça. Le gros sexe qui pend devant son visage fait bien 20 centimètres et il ne bande même pas. Elle doit faire quelque chose pour empêcher que ça n'aille plus loin. Boa attrape sa tête et guide sa bouche vers sa queue.

- Suce salope!

Dans un acte de défi, elle secoue la tête pour dire non. La gifle qu'elle reçoit est différente de celles qu'elle a déjà reçues. Des étoiles tournent dans sa tête. Pendant quelques secondes, elle est stupéfaite et ne se rend compte que vaguement de sa bouche ouverte et d'un énorme morceau de viande qui glisse entre ses lèvres.

Karen reprend lentement ses esprits et réalise que l'énorme bite grossit dans sa bouche. Ses lèvres s'étirent autour de la tige épaisse parsemée de veines saillantes dessous le gland en forme de champignon. Elle s'aperçoit avec étonnement de la longueur restante du membre noir qui se dresse entre les jambes du garçon.

De l'autre côté de la pièce, Owen retourne Katie sur le dos et plaque ses genoux sur ses épaules. Puis il la pénètre de nouveau brutalement. Il enfonce son membre tout au fond de son ventre. Katie est hors de contrôle et hurle de plaisir. Elle sent des doigts serrer son cou et elle jouit.

- OHHHHHHHHH AHHHHHHHH UNNNGHHHHH!

Les cris de Katie se transforment en soupirs étouffés tandis que les doigts d'Owen continuent d'enserrer son cou. Juste avant qu'elle ne perde conscience, le garçon lâche prise et attrape ses tétons. La douleur traverse le corps de la jeune fille quand il les tord et les pince aussi fort qu'il le peut. Katie jette sa tête en arrière et crie sous l'effet d'un orgasme encore plus intense. Du jus jaillit de sa chatte et éclabousse partout.

Karen peut difficilement respirer. Boa a une bonne prise sur sa tête et essaie de lui enfoncer sa bite dans la gorge. De la bave coule de ses lèvres sur son menton alors qu'elle étouffe.

- Regardez Mme O'KEEFE, la chatte de votre fille a inondé le sol. Elle jouit comme sa maman.

Karen entend à peine ce que dit Carl. Boa a réussi à enfoncer son énorme gland au fond de sa gorge et elle fait tout ce qu'elle peut pour ne pas suffoquer. Sa bouche est élargie et sa langue est plaquée tout le long de la grosse queue. Il reste bien encore 10 centimètres au dehors.

Il n'est pas possible qu'elle puisse prendre tout ce membre dans sa gorge. Des larmes coulent sur les côtés de son visage alors qu'il enfonce encore quelques centimètres. Juste au moment où elle pense qu'elle va s'évanouir, il ressort sa bite. Elle crache une rivière de salive sur le devant de son chemisier. Boa gifle son visage avec son énorme gourdin de chair.

De l'autre côté de la pièce, Willie chevauche la tête de Katie et introduit sa bite dans sa bouche alors qu'Owen continue de marteler sa chatte. La jeune fille lutte pour avoir de l'air alors que le garçon baise son visage avec insouciance.

Owen retire sa queue de la chatte dégoulinante de Katie et la positionne à l'entrée de son trou du cul. Il pousse jusqu'à ce que le petit trou s'ouvre et que son gland noir disparaisse complétement dans le passage sombre.

- Regardez Mme O'KEEFE, Katie se fait enculer. Je pense qu'elle aime ça autant que vous. Vous savez ce que l'on dit : Telle mère telle fille.

Boa agrippe les cheveux de Karen et lui tire brusquement la tête pour lui fourrer sa bite dans sa bouche jusqu'à ce qu'elle se débatte à nouveau pour respirer. Puis il se retire et la contourne. Sa queue géante écarte les petites lèvres de sa chatte. Le gros gland trouve l'ouverture. Elle halète quand il pousse et s'enfonce dans sa chatte. La sensation est incroyable tandis qu'il la pénètre de plus en plus profondément. Rien ne l'a jamais remplie ainsi.

Karen essaie de se retenir, elle essaie de résister à l'incroyable plaisir qui déferle sur son corps. Mais c'est impossible. Elle crie pendant qu'un orgasme explose en elle. Une deuxième et troisième vague d'explosions déchirent son corps sous l'effet de l'énorme bite qui pilonne sa chatte. Quand elle pense qu'elle ne pourra pas supporter plus de plaisir que Boa lui procure, Carl attrape ses cheveux et la tire vers ses pieds.

- Je pense que Katie est prête pour Boa. Montons tous sur le lit.

Mme O'KEEFE lutte pendant que les garçons attachent ses mains à la tête de lit et tiennent ses jambes allongées. Boa soulève Katie comme une plume et la laisse tomber à quatre pattes sur le lit. Il s'arrange pour que la chatte de la jeune fille soit directement au-dessus du visage de sa mère. Owen écarte les jambes de Karen pour que Katie voit la chatte de sa mère. La jeune fille regarde Carl et commence à protester :

- Carl, je... Je crois que nous ne devrions pas faire ça, pas avec ma mère.

Carl saisit sa mâchoire et serre très fort. Il lui fait lever les yeux vers lui.

- Je ne me souviens pas avoir demandé ton avis salope? Juste pour ça, tu vas avoir une autre fessée pendant que tu suceras le jus de la chatte de ta mère sur la queue de Boa.

Boa attrape les cheveux de Katie et enfonce sa bite dans sa bouche. Elle étouffe et bave sur la chatte de sa mère pendant que le jeune noir lui baise le visage. Carl abat sa ceinture en cuir sur les fesses de la jeune fille. Elle a un sursaut de douleur. Il la frappe encore et encore en mettant de plus en plus de force sur chaque coup. Karen crie et jure qu'elle va tous les tuer. Willie la fait taire en donnant un coup de poing dans le mur près de son visage.

Après plusieurs coups de ceinture, des larmes coulent sur le visage de Katie. L'énorme bite de Boa est toujours fourrée dans sa bouche. Carl passe son pouce sur son clitoris et fourre deux doigts dans sa chatte. Katie se raidit. Carl retire ses doigts et donne un nouveau coup de ceinture. Les jambes de la jeune fille commencent à trembler. Le jus de sa chatte dégouline et atterrit sur le visage de sa mère. Un autre coup. Encore plus de jus s'évade.

- Elle est prête Boa, viens la prendre!

Le garçon grimpe derrière Katie et guide sa monstrueuse bite dans la fente dégoulinante de sa chatte. Karen ne peut s'empêcher de regarder les petites lèvres luisantes de sa fille s'ouvrir sous le gland noir. Elle sait exactement ce que sa fille est en train de vivre parce qu'elle l'a vécu quelques minutes plus tôt.

Le gros pommeau noir de Boa se fraie un chemin dans l'antre torride de Katie, étirant la chatte autour de la masse de sa virilité. Karen regarde le membre épais disparaître lentement dans le corps de sa fille. Katie gémit alors qu'il va plus loin et étire la jeune chatte au maximum. Il touche le fond, avec encore quelques centimètres au dehors.

Karen regarde le piston noir et luisant du jus de Katie. Les petites lèvres roses de sa fille sont étirées autour de ce membre de chair noir qui lentement se retire. Bientôt seul le gland reste dans la chatte. Elle entend Katie gémir quand il la pénètre à nouveau. Les jambes de la jeune fille tremblent. Ses gémissements se transforment en cris. Le jus de sa chatte coule sur le visage de Karen.

Owen s'avance à genoux sur le lit et guide sa bite dans la chatte gonflée de Mme O'KEEFE. Il attrape Katie par l'arrière du cou et tire sa tête pour que sa bouche se colle à la chatte de sa mère juste au-dessus de l'endroit où la queue coulisse dans la chatte bien humide.

En dépit de son dégoût, Karen peut sentir son niveau d'excitation augmenter en regardant l'énorme queue noire entrer et sortir de la chatte de sa fille. Le goût du jus de Katie dégoulinant sur ses lèvres ne fait qu'ajouter au plaisir interdit mais érotique. Elle gémit quand elle sent sa chatte pénétrée par la bite bien raide d'Owen. Elle ne voudrait pas ressentir ce genre de plaisir mais elle ne peut s'en empêcher.

Soudain, les lèvres et la langue de Katie se posent sur sa chatte et son clito pendant qu'Owen la baise rapidement. Elle veut résister mais elle crie. Ses mains luttent pour se libérer tandis que son corps se cambre de plaisir. Dus jus de sa chatte jaillit dans la bouche de Katie. Owen continue de la marteler violemment, augmentant ainsi son niveau d'excitation.

Owen retire sa bite de Mme O'KEEFE et la fourre dans la bouche de Katie, étouffant ses cris continus de plaisir. Le goût de la chatte de sa mère emplit sa bouche et a un effet aphrodisiaque. Sa tête lui tourne sous les vagues de plaisir. Elle a l'impression de dériver dans un autre monde. Elle peut sentir la grosse tige épaisse de Boa s'enfoncer de plus en plus profondément en elle. C'est comme si elle était dans son ventre.

Ayant retrouvé un semblant de lucidité, Karen lève les yeux vers le gourdin noir qui détruit la chatte de sa fille. Il cogne de plus en plus fort en elle et de plus en plus profondément. Les veines de la queue se détachent de la chair noire en de longues crêtes inégales. Karen voit le membre gonfler. Elle devine que sa fille va bientôt être remplie de sperme chaud.

Boa grogne et pousse encore. Il se retire une pour plonger encore plus. Et il éjacule, remplissant la chatte excitée de flots de foutre chaud. Des gouttes de sperme mélangées au jus de sa fille tombe de la queue. Mme O'KEEFE ouvre la bouche et recueille le fruit de leur baise. Le liquide coule sur ses lèvres et sa langue.

Boa pousse une dernière fois sa bite tout au fond du corps de Katie, puis il attend. Quand il se retire finalement, sa queue est suivie d'un flot de sperme et de jus de chatte qui tombe directement sur le visage de Karen et remplit sa bouche. Immédiatement Boa met sa bite entre ses lèvres. Le mélange de liquide intime coule sur son menton.

Katie est à peine consciente quand Owen sort sa bite de sa bouche pour la mettre dans la chatte de sa mère. Quelques instants plus tard il grogne. L'énorme quantité de sperme stockée dans ses couilles est pulvérisée dans le vagin de Mme O'KEEFE. Après avoir sorti son membre, il pousse le visage de Katie vers le bas, pour que sa bouche se colle au sexe rempli de sperme de sa mère. Immédiatement, elle commence à lécher l'intimité souillée.

Carl guide le bassin de Katie jusqu'à la bouche de sa mère. Karen sait qu'elle veut ça depuis longtemps mais son fantasme de lécher une autre femme n'incluait pas sa propre fille. Elle est confuse mais impuissante et perdue dans la passion du moment. Sa langue s'enfonce dans la chatte dégoulinante de Katie. Sa bouche se colle autour du sexe enflé de sa fille. En même temps, elle sent les lèvres douces de celle-ci bouger autour de sa chatte et sa langue sucer le foutre d'Owen à l'intérieur d'elle.

- Mme O'KEEFE, je crois que notre petit accord ne parlait pas du cul de Katie. Comme vous pouvez le voir, je suis très excité et nous savons tous les deux que Katie aime bien être enculée. Je vais m'occuper de mon petit problème pendant que vous lui mangez la chatte.

Carl monte sur le lit, plie les genoux, écarte les fesses de Katie et guide son gland vers le sphincter serré qui est déjà bien visqueux de sperme et de jus de chatte. Il presse jusqu'au moment où il sent le cul s'ouvrir. Sa bite entre lentement dans l'antre sombre.

Katie sent l'invasion de son passage interdit et soulève son visage de la chatte remplie de sperme de sa mère. Elle regarde avec ses yeux vitreux et elle est soulagée que ce soit Carl. Elle lui fait un faible sourire et une goutte de sperme tombe de ses lèvres. Elle ferme les yeux et sent la queue de Carl pénétrer profondément dans ses entrailles. Elle remet sa bouche sur la chatte de sa mère.

Un fois que Carl a enfoncé toute sa bite dans le cul de Katie, il la baise lentement. Mme O'KEEFE lève les yeux vers le membre familier qui entre et sort de l'orifice étroit de sa fille. Tout semble si surréaliste. C'est comme si elle est droguée. Comme si c'est la chose la plus normale qu'elle puisse faire à ce moment, Karen remet sa langue sur le clitoris de Katie et le titille d'avant en arrière.

Les gémissements de la jeune fille deviennent intenses. La pression de la bite de Carl dans son cul et la langue de sa mère sur son clitoris la mettent sur orbite. Sa mère serre ses lèvres sur sa chatte gonflée et est récompensée par un filet chaud de jus. Quelques secondes plus tard, Carl sort sa queue du cul serré, la pointe sur le visage de sa professeure et grogne.

Un puissant jet de sperme tombe entre les yeux de Karen et le long de son nez. Ensuite Carl pointe sa bite sur le cul et la chatte de Katie. Il emplit le trou du cul de foutre chaud qui commence à dégouliner sur la jeune chatte. Karen peut bientôt le sentir tomber sur son visage et ses lèvres.

Carl attrape Katie par les cheveux et la tire jusqu'à ce qu'elle soit assise sur le visage de sa mère. Celle-ci sent son nez appuyer sur le trou du cul dégoulinant. Karen n'a plus le contrôle d'elle-même. Ce qui se passe ensuite lui donne l'impression d'être une autre personne. Elle pose ses lèvres sur le trou du cul de sa fille et pousse sa langue dans l'orifice encore ouvert.

Boa grimpe sur le lit et se met au-dessus de Mme O'KEEFE. Il engouffre son énorme bite molle dans la bouche avide de Katie. Celle-ci se tortille sur la langue pénétrante de sa mère tout en enroulant ses lèvres autour du gros morceau de viande. Elle peut sentir la bite grossir dans sa bouche et étirer ses lèvres.

La queue de Boa est maintenant complètement droite. Il essaie de la mettre dans la gorge de Katie. Celle-ci étouffe et lutte pour avoir de l'air. Mais le jeune noir ne la lâche pas et continue de forcer de plus en plus profondément tout en tenant sa tête serrée entre ses mains afin qu'elle ne puisse pas s'échapper. Des larmes coulent des yeux de la jeune fille. Son corps commence à trembler et son visage devient tout bleu. Alors, juste avant qu'elle ne s'évanouisse, il sort sa bite de sa bouche. Elle tousse et s'étrangle. De la bave coule de ses lèvres. Mais avant qu'elle ne puisse retrouver complètement ses sens, il enfonce de nouveau sa queue dans sa gorge.

Boa met plus de la moitié de son monstre dans la gueule de Katie. La tête de la jeune fille lui tourne. Elle sait qu'elle étouffe et elle se sent disparaître dans l'obscurité. Quand le garçon se retire enfin, Katie s'effondre et tombe sur le lit, presque évanouie. Son trou du cul s'éloigne de la bouche et la langue de sa mère.

Carl la saisit par les cheveux et lui gifle le visage jusqu'au moment où elle ouvre les yeux. Karen regarde sa fille reprendre vie lentement. Quand elle voit Carl embrasser Katie sur les lèvres, elle lutte pour se libérer mais c'est sans espoir. Elle les regarde et elle est dégoûtée. Comment sa fille peut-elle se laisser contrôler ainsi?

- Je t'aime Carl, je ferai n'importe quoi pour toi. Que veux-tu que je fasse? Demande Katie.

- Je sais que tu feras ce que je veux. Je veux que tu embrasses ta mère et que tu mettes ta langue dans sa bouche pendant que Willie et Owen la sodomisent. Peux-tu faire ça pour moi Chérie?

Katie hoche la tête. Elle descend du lit et se penche pour que ses lèvres touchent celles de sa mère. Les lèvres de la jeune fille sont douces. Karen est confuse. Elle aime se baiser même si son partenaire est sa propre fille. Tandis qu'elles continuent à s'embrasser, la professeure sent quelque chose de dur et chaud qui se presse entre leurs lèvres. Elle réalise que c'est la queue de Carl.


Elle regarde les contours familiers de cette bite glisser entre les lèvres de Katie et entrer dans sa bouche. Il fait deux ou trois va et vient et se retire. Karen laisse la queue glisser entre ses lèvres. Quelque chose a changé. Elle veut sentir cette bite dans sa bouche. Elle veut partager avec sa fille la même expérience. Sa langue lèche le membre tandis que Carl le met dans sa bouche. Il ressort, les deux femmes s'embrassent et lèche la bite ensemble.

Boa se glisse derrière Katie et regarde la chatte offerte. Il guide son monstre entre les petites lèvres et l'introduit dans la chatte serrée. Katie gémit mais ne relève pas la tête. Elle aime partager la bite de Carl avec sa mère. Elle guide le membre entre les lèvres de Karen tout en lui souriant avec ses yeux brillants.

- je t'aime maman!

Karen sourit à Katie avec la queue de Carl dans sa bouche. Bientôt, elle sent une pression contre son trou du cul et elle réalise que Willie est sur le point de la baiser. Le jeune homme écarte ses jambes et pousse sa bite jusqu'à ce qu'elle soit profondément enfouie dans ses entrailles. Karen se raidit mais s'adapte rapidement à la grosse queue. La pression incroyable se transforme en vagues de plaisir qui traversent son corps. Elle se détend et se déplace vers lui en ramenant ses jambes pour qu'il puisse encore plus pénétrer son cul.

Il cogne et la baise durement et rapidement. Elle se met à hurler de plaisir. Un orgasme la traverse, puis un autre. Willie grogne et remplit son cul, lui provoquant encore plus de plaisir. Après s'être retiré, il est rapidement remplacé par Owen, mais Karen le remarque à peine. Elle ne peut retenir ses paroles :

- Ooooohhhhhh... Baise-moi... Encule-moi... Aaahhhh... Pousse ta grosse bite noire au fond de mon cul... Plus fort... Aaaahhh.... Oh oui.... UnnnnGGGGhhh...

Mme O'KEEFE est perdue dans la luxure. Elle peut sentir son jus de chatte jaillir à chaque fois qu'elle jouit. La grosse bite noire d'Owen lui martèle à plusieurs reprises son petit trou du cul serré. Le plaisir est presque trop intense. Elle voudrait que ça ne se termine jamais. Elle est devenue une personne qu'elle ne reconnaît pas. Elle est une vraie salope et elle aime cette situation.

Juste au-dessus de son visage, Carl baise la bouche de Katie. De la bave dégouline sur sa figure. Quelques instants plus tard, Carl tire sur les cheveux de sa fille, pousse sa queue bien profond et grogne. Elle peut voir les veines familières de son sexe se dilater alors qu'il éjacule dans la gorge de sa fille.

- Partage avec ta mère Katie!

Karen ouvre la bouche. Le foutre de Carl coule de la bouche de Katie et tombe dans sa gorge. Katie embrasse sa mère et fourre sa langue entre ses lèvres. Elles sont toujours en train de s'embrasser et de se partager la semence de Carl quand Karen sent le liquide chaud d'Owen inonder son cul. Katie écarte ses lèvres gluantes et regarde les yeux écarquillés de sa mère qui halète et tremble sous un orgasme intense.

Carl détache les mains de sa professeure et l'aide à se mettre à quatre pattes. Boa grimpe sur le lit derrière elle. Elle sait ce qui va lui arriver et elle est contente. Elle est devenue une complète salope. Elle ne veut pas s'enfuir même si elle est libre de le faire. Elle sent le monstre de chair glisser entre ses fesses et trouver son petit trou dégoulinant. Elle essaie de se détendre. Le jeune garçon pousse.

Soudain, le gros gland est en elle. La pression sur ses parois est plus forte que ce qu'elle n'a jamais éprouvé. Elle sait que résister lui fera encore plus mal, mais elle a du mal à se détendre. L'énorme bite la pénètre de plus en plus. Elle a l'impression que ça va la tuer mais elle ne peut l'arrêter. Elle est sur le point de s'évanouir de douleur quand le garçon arrête de bouger. Karen se rend compte qu'il est complètement enterré dans son cul.

Boa commence à la baiser lentement jusqu'à ce que la douleur se transforme en plaisir. Karen met une main entre ses jambes et frotte son clitoris. Rapidement un autre orgasme la traverse. Le jeune noir la baise de plus en plus vite, se penchant pour tripoter ses seins avec ses main surdimensionnées. Un autre orgasme...

- Ohhh merde... Oh mon Dieu... Baise-moi... Encore... Encule-moi fort... Oooooooohhhhh...

Karen tourne la tête et peut voir sa fille prise en sandwich entre Willie et Owen. Willie l'encule pendant qu'Owen baise sa chatte. Elle est suspendue en l'air entre eux deux et crie de plaisir alors que les orgasmes s'enchaînent. La mère n'est plus fâchée de voir sa fille se faire sodomiser. Tout ce qu'elle peut penser c'est à l'énorme bite dans son cul et à quel point c'est bon.

Les cuisses de la professeure sont striées de son jus de chatte. Boa sort son monstre de son cul et il la contourne. Il enfonce son engin entre ses lèvres. Elle l'avait regardé quand il avait étouffé sa fille alors elle sait ce qui va lui arriver. Mais ça ne la dérange pas. Le goût de son cul est fort dans sa bouche. Elle sent l'énorme gland ouvrir le fond de sa gorge.

Ses poumons la brûlent alors qu'il s'enfonce de plus en plus profondément. Mais elle s'en fiche. Elle veut qu'il abuse d'elle, qu'il lui fasse mal. Elle est accro et ne peut s'arrêter. L'obscurité pénètre sa conscience alors que le gros serpent noir pénètre plus profondément. Puis soudain, le garçon se retire. Elle halète pour retrouver de l'air tandis que de la bave s'échappe de ses lèvres.

Boa s'assied sur le lit, dos contre le mur. Il soulève Karen et l'abaisse sur son grand poteau noir. Elle gémit alors que son cul descend. Bientôt le garçon est complètement enterré dans ses entrailles. Elle peut voir sa fille, sur le plancher, chevaucher Owen tandis que Willie la sodomise. Carl s'avance vers elle et lui dit :

- Mme O'KEEFE, je sais à quel point vos mamelons sont sensibles alors je vais vous donner quelque chose de plus pendant que Boa vous encule. Puis j'irai baiser la bouche de Katie et vous pourrais voir votre fille se faire trois bites en même temps.

Carl a dans ses mains deux pinces avec des dents et un ressort puissant. Il ouvre l'une d'elle et la place sur la pointe dressée d'un mamelon. Quand il la relâche, Karen glapit de douleur. Elle voir encore des étoiles quand elle sent la deuxième pince mordre l'autre mamelon. La douleur la fait pleurer. Quelques secondes plus tard, elle jouit à nouveau, du jus de sa chatte éclaboussant ses cuisses et celles de Boa.

Carl attrape Katie par les cheveux et enfonce sa bite dans sa bouche. Il tire sur la chevelure jusqu'au moment où sa queue a complètement disparu dans sa gorge. Puis il martèle son visage en prenant soin de bien s'enfoncer dans la gorge à chaque poussée. Des brins de salive s'étirent des lèvres à sa queue. Au même moment Willie et Owen pilonnent son cul et sa chatte de coups puissants et répétés.

Carlo jette un coup d'œil à Mme O'KEEFE. Elle a trois doigts dans sa chatte et essaie de trouver de l'air après les orgasmes qui déchirent son corps. Ses genoux sont dans les airs et ses pieds battent les alentours. Les pinces à tétons sont toujours en place.

- Willie, lève-toi et vas baiser la prof! Elle a besoin de quelque chose dans la chatte. Et pendant que tu y es, serre-lui un peu le cou.

Karen sent Willie se déplacer entre ses jambes et enfiler sa bite noire dans sa chatte ruisselante. Il tire sur les pinces à tétons, provoquant un grand cri avant de refermer ses mains sur sa gorge. Elle est à la fois effrayée et excitée. Carl a raison, elle trouve du plaisir à être étranglée. Elle trouve du plaisir dans presque toutes les formes de sexe interdit et brutal.

Son corps réagit rapidement alors que les doigts se resserrent autour de sa gorge. Les sensations dans sa chatte et dans son cul provoquent une explosion dans son ventre. Mais les seuls bruits qu'elle peut faire sont des gémissements désespérés et étouffés. Quand elle se sent glisser dans les ténèbres, les mains s'écartent de sa gorge. Elle a à peine le temps de reprendre sa respiration que Willie se met debout sur le lit et enfonce sa bite dans sa bouche.

Ils entendent tous la porte d'entrée être ouverte. C'est le mari de Karen qui rentre à la maison. Willie, Owen et Boa échangent un regard et attrape leurs vêtements, puis ils se dirigent vers la fenêtre. Ils se sauvent rapidement. Carl a une autre idée. Il tire Mme O'KEEFE du lit, lui attache les mains et les pieds avec de l'adhésif et lui met un bâillon sur la bouche. Puis il la jette dans le placard. M. O'KEEFE crie les prénoms de sa femme et sa fille mais il ne monte pas encore l'escalier.

- Katie, allonge-toi sur le lit et doigte ta chatte. Je veux que ton père te voie. Tu vas l'attirer dans la chambre et tu vas te faire baiser par lui pendant que nous nous cachons dans le placard. C'est ok Chérie?

Elle lui sourit et hoche la tête. Carl l'embrasse sur les lèvres. Il s'assure que la porte de la chambre soit suffisamment ouverte pour que le père puisse voir quand il passera dans le couloir. Mme O'KEEFE se débat dans le placard. Elle donne des coups de pieds et fait du bruit. Carl tire ses cheveux et chuchote à son oreille :

- Nous pouvons faire cela d'une façon facile ou difficile Mme O'KEEFE. Allez-vous être gentille ou vais-je devoir vous blesser?

Elle n'a pas vraiment le choix. Du moins c'est ce qu'elle se dit. Au fond d'elle-même, elle sait qu'elle devient l'esclave sexuelle de Carl, tout comme sa fille. Elle est un peu dégoûtée d'elle-même mais elle veut lui plaire. Elle est devenue accro à ses abus et elle est prête à faire tout ce qu'il veut, y compris regarder sa fille se faire baiser par son mari. Elle hoche la tête. Carl défait les liens de ses mains et de ses pieds et il lui enlève son bâillon.

- Vous voyez que vous pouvez être raisonnable Mme O'KEEFE. Ne bougez pas, votre mari approche.

Carl a une vue parfaite sur la chambre dans les fissures des deux portes à persiennes. Il pointe la caméra vidéo et la met en marche. Katie joue le jeu. Elle est à genoux, le cul dirigé vers la porte. Sa tête est sur le lit et elle frotte sa chatte avec deux doigts en gémissant fort et en suppliant :

- Oh oui... C'est ça, baise-moi... Plus profond... Oh papa, j'aime ta bite... Ohhhohhhohhh...

Toute de suite, M. O'KEEFE pousse doucement la porte entrouverte. Il regarde sa fille sans dire un mot. Elle est en train de faire un show qui dresse sa bite et menace de faire craquer son pantalon. Il ne sait pas quoi faire, mais il ne fait pas mine de partir. Katie déplace une main sur ses seins et pince un de ses mamelons.

- Ohhh papa, que j'aime que tu pinces mes tétons alors que ta bite est bien profonde dans ma chatte. Baise-moi papa... Plus fort... ohhhhhhh...

M. O'KEEFE est sur le point d'éjaculer dans son pantalon. Il sait qu'il ne devrait pas regarder. C'est sa fille. Mais a-t-elle vraiment des fantasmes avec lui? Il n'a jamais pensé à elle de cette façon jusqu'à maintenant. « Je vais regarder un peu plus » pense-t-il. Il entre dans la chambre pour mieux voir. C'est à ce moment précis que Katie choisit de se retourner sur le dos. En le voyant, elle feint le choc et la surprise.

- Papa? Que fais-tu ici? Je... Tu m'as vu?

Katie est bonne comédienne. Elle est sur le dos, les genoux pliés et les jambes écartées. Son père a une vue parfaite de sa chatte et de ses seins. Elle regarde vers le placard, cherchant l'approbation de Carl. Celui-ci tend la main, le pouce levé. Katie sourit.

- Je ferai mieux d'y aller Katie. Je suis désolé de t'avoir vu ainsi.

- Non... Non papa, ne pars pas. Je ne veux pas que tu partes. Viens ici, je veux te montrer quelque chose. S'il te plaît papa...

Katie s'assied sur le lit et balance ses jambes sur le sol. Son père se rapproche. Elle le regarde avec des yeux suppliants. Sa main se déplace sur le devant du pantalon. Elle frotte la bosse proéminente.

- Chérie, je ne pense pas que ce soit une bonne idée. Je ferais mieux d'y aller.

Katie baisse la fermeture éclair, glisse sa main dans le pantalon et sort la bite bien dure. Malgré sa réticence, son père ne bouge pas. Katie se penche en avant et prend le sexe entre ses lèvres. L'homme gémit. Elle prend la queue dans sa bouche jusqu'à ce que ses lèvres soient pressées contre le pubis de son père. Elle faufile une main entre ses jambes pour se masturber.

Karen jette un coup d'œil par les fentes du placard. Elle voit que son mari se laisse faire une fellation par sa fille. Elle voudrait être dégoûtée mais son corps réagit autrement. Carl glisse une main entre ses jambes et frotte la chatte humide.

- Et vous pensiez connaître votre mari Mme O'KEEFE? Je crois qu'il va baiser votre fille, mais je pense que c'est bien n'est-ce pas? Après tout, vous lui avez bien léché la chatte. Je vous laisserai la lécher à nouveau quand il aura éjaculé en elle.

Katie sait que son père est très excité et qu'il ne pourra pas tenir encore longtemps. Comme elle a promis à Carl que son père la baisera, elle arrête sa fellation et retire sa bouche. Elle défait la ceinture et baisse le pantalon de son père puis l'aide à enlever sa chemise. Il est bientôt complètement nu.

- Papa, je te veux depuis si longtemps. Ce n'est pas normal que maman puisse t'avoir pour elle toute seule. Je suis tellement contente que tu sois là. Embrasse-moi papa!

Katie passe ses bras autour du cou de son père et presse ses lèvres contre les siennes. Elle pousse sa langue dans sa bouche et guide sa main entre ses jambes. M. O'KEEFE répond à son baiser et enfile deux doigts dans sa chatte. La jeune fille se balance d'avant en arrière sur eux.

- Tu me fais tellement mouiller. Allons sur le lit papa, je veux que tu me baises.

- Je... Je ne pense pas que ce soit une bonne idée Katie.

Sa voix est moins ferme et il ne fait rien pour résister quand sa fille l'attire sur le lit. Elle le pousse sur le dos et s'assied à califourchon sur ses genoux. Elle prend la bite entre ses nichons et la fait coulisser. Puis elle avance un peu et frotte sa chatte sur toute la longueur de la queue et sur le gland sensible.

- Je n'arrive pas à croire que ça arrive enfin papa. J'ai tellement rêvé de ta queue dans ma chatte. Je t'aime papa.

Katie place le gland de son père sur son ouverture humide. Puis elle s'affaisse et s'empale sur toute la longueur du membre. Elle gémit de plaisir. Elle le tient profondément dans sa chatte et bouge ses hanches d'avant en arrière, en frottant son clito contre son pubis.

- Ohhhh papa... Je vais jouir... Ohhhhh... Ohhhh... Ohhhh papa... oui... Mon Dieu... UNNNNGGGHHHH... OOOHHHHHH...

Katie tombe en avant et l'embrasse sur les lèvres. Ses fesses montent et descendent, elle baise sa queue rapidement. Karen a une vue parfaite sur la bite de son mari enduite du jus de chatte de sa fille. Elle se lèche les lèvres involontairement et se rend compte à quel point elle a envie de lécher à nouveau sa fille.

- Je te veux au-dessus de moi papa. Je veux sentir ta queue me pénétrer profondément et gicler à l'intérieur de mon ventre.

Katie descend de son père et s'allonge sur le dos. M. O'KEEFE n'a pas besoin d'encouragement cette fois. Rapidement il rampe entre les jambes de sa fille et la pénètre. Katie jette ses bras et ses jambes autour de son corps et pousse sa chatte contre son sexe.

- Baise-moi papa... Baise-moi fort... Ohhh papa... Je jouis encore.... Aaaaaahhhhh...

Carl ouvre doucement la porte du placard.

- Préparez-vous Mme O'KEEFE. Je pense que la chatte de votre fille va bientôt être remplie du sperme de votre mari. Je ne veux pas que vous en manquiez une seule goutte.

Ils se faufilent derrière Katie et son père. La queue ce celui-ci martèle brutalement la petite chatte, les couilles giflent le cul mouillé. Katie crie, orgasme après orgasme. Puis M. O'KEEFE pousse fort une dernière fois et grogne. Sa bite pulvérise du foutre dans le vagin de sa fille. Il a l'impression de ne pouvoir arrêter le flux. Il n'a jamais autant bandé de sa vie. Finalement il sort sa queue, vidé et épuisé et roule sur le lit.

Karen ne résiste pas quand Carl pousse son visage entre les jambes de sa fille. Elle pose sa bouche sur la chatte ouverte et elle lèche le sperme de son mari. Il y en a beaucoup. Quand sa bouche est pleine, Carl s'approche et murmure à son oreille :

- Ne soyez pas si gourmande Mme O'KEEFE, partagez avec votre fille.

M. O'KEEFE s'est redressé lentement. Il ouvre les yeux et voit sa femme embrasser sa fille. Puis il voit Carl passer derrière Karen et mettre sa queue entre les fesses.

- Qui êtes-vous? Qu'est-ce qui se passe?

- Bonjour M. O'KEEFE. Votre femme est une de mes professeures. Je la baise depuis quelques semaines. Je baise votre fille aussi. Vous ne vous souvenez pas de moi? Je suis passé vous voir, votre femme et vous, l'autre fois.

- Toi fils de pute? J'appelle la police.

- Bien sûr, vous pouvez le faire M. O'KEEFE. Mais dans ce cas, je serai obligé de leur donner le film que je viens de faire. Vous devrez expliquer pourquoi vous baisez votre fille. Et puis, ils vous demanderont de leur montrer des signes d'effraction. Pour finir, votre femme et votre fille ne vous défendront pas, elles m'appartiennent maintenant.

Carl enfonce profondément sa bite dans le cul de Mme O'KEEFE. En même temps il tire vers le bas une pince d'un de ses mamelons, la faisant crier. Il l'attrape par les cheveux, lui tire la tête en arrière pour mettre sa bouche près de son oreille.

- Qui est votre maître Mme O'KEEFE? Dites à votre mari que vous avez tellement envie de bites que vous ferez tout ce que je vous dirais de faire. Allez, dites-lui!

Des larmes coulent sur les joues de Karen. Elle sait qu'il a raison mais elle ne veut pas l'avouer. Elle sait qu'elle est devenue une esclave sexuelle comme sa fille. Elle a besoin d'être baisée brutalement. Elle aime la douleur. Elle y est accro mais elle ne peut pas l'avouer.

- Je ne sais pas... Je...

Carl secoue la tête et serre ses mains autour de son coup jusqu'au moment où elle commence à étouffer.

- Mauvaise réponse Mme O'KEEFE! Katie? Attrape les pinces à tétons de ta mère et tire fort... Bien! Maintenant, une fois encore Mme O'KEEFE, qui est votre maître?

- AAAIIIIEEEEEE! Arrêtez!!! Vous êtes... Vous êtes... AIIIEEE! Vous êtes mon... Oh mon Dieu... UNNNGGGHHH...

Elle ne peut se retenir. Elle perd le contrôle et se laisse traverser par un orgasme puissant provoqué par la bite dans son cul, la douleur dans ses seins et l'humiliation subie devant son mari. Celui-ci est abasourdi. Il la regarde, incrédule, se tortiller sous l'effet d'orgasmes puissants.

- Katie? Passe dessous et montre à ton papa comme tu aimes manger la chatte de ta mère. M. O'KEEFE, vous pouvez la baiser pendant qu'elle fait ça si vous voulez.

- S'il te plaît papa... S'il te plaît, baise-moi. Je veux sentir ta bite dans ma chatte.

Katie le suce jusqu'à ce qu'il bande à nouveau. Puis elle se glisse sous sa mère et pose sa bouche sur la chatte gonflée, juste en dessous de la queue qui martèle le cul. Elle écarte ses genoux pour donner à son père une vue parfaite sur son petit abricot. M. O'KEEFE la regarde avant de regarder sa femme.

- Dites-lui Mme O'KEEFE! Dites-lui ce que vous voulez qu'il fasse! Allez!

Elle se hait mes les mots sortent de sa bouche sans peine.

- Fais jouir ta fille pendant qu'elle mange ma chatte!

Toute résistance disparait. M. O'KEEFE se place entre les jambes de sa fille et s'apprête à la pénétrer quand Carl le stoppe :

- Attendez M. O'KEEFE! Je veux que votre femme conduise votre bite dans Katie.

Karen enroule ses doigts sur la queue de son mari et la guide vers le sexe de sa fille. Elle regarde son mari et voit de la luxure dans ses yeux. Puis elle regarde le sexe de son mari entrer et sortir de la chatte de Katie. Elle sent venir un autre orgasme. Elle garde les yeux fixés sur l'inceste jusqu'au moment où la langue de sa fille, aidée par la queue dans son cul, la fait exploser :

- Ohhhhhhh... Putain... Aaaaahhhhh... UNNNNGHHGHHH...

Carl retire sa queue du cul de Karen pour le mettre dans la bouche de Katie. Elle étouffe quand il l'enfonce tout au fond de la gorge et ne bouge plus. De la bave sort en grande quantité quand finalement il enlève son membre pour le remettre dans le cul de la mère de famille. La bouche de la jeune fille retourne sur la chatte maternelle. Les couilles de Carl frappent son visage à chaque fois qu'il s'enfonce violemment dans le trou du cul.

- M. O'KEEFE, je pense que Katie voudrait que vous l'enculiez. Par expérience, je sais qu'elle aime ça, même si elle a crié et pleuré la première fois. Mme O'KEEFE vous aidera, n'est-ce pas?

Carl attrape les cheveux de Karen et relève sa tête brusquement. La professeure hoche la tête de haut en bas pour acquiescer. M. O'KEEFE est trop abasourdi pour dire quoi que ce soit. Ses yeux montrent qu'il attend avec impatience l'expérience. Karen saisit sa queue dégoulinante du jus de Katie et la met dans sa bouche. Elle la lèche avant de la diriger sur le petit trou serré de la jeune fille.

Katie relève bien ses jambes. Elle sent sa mère guider le gland sur son anus. Etant donné la grosseur des bites qui lui ont ramonée le cul plus tôt, son père ne rencontre aucune résistance pour la pénétrer. Il glisse facilement au fond des entrailles de sa fille. Puis il commence à la baiser lentement.

Karen regarde la chatte luisante de sa fille. Elle se penche en avant et pose sa bouche sur le monticule gonflé de Katie. Elle fait serpenter sa langue dans la fente et sur le clitoris. Sa fille gémit à cause des sensations qui traversent son corps. Carl a raison, elle aime être sodomisée. Rapidement elle jouit, le jus de sa chatte inondant la bouche de sa mère.

Carl peut voir que M. O'KEEFE est sur le point d'éjaculer à nouveau. Le jeune garçon n'en est pas loin non plus. Il sent Katie lécher ses couilles alors que le trou du cul de sa professeure se resserre sur sa bite. Il accélère le rythme, martelant de sa bite bien raide le cul de Karen.

Carl sort son membre quand il sent qu'il va jouir. Il pousse sa queue palpitante entre les lèvres de Katie juste avant que le sperme n'en gicle. Son sexe se vide longuement dans la gorge de la jeune fille et bientôt il suinte aux coins de sa bouche.

- A votre tour M. O'KEEFE, giclez dans la bouche de votre femme. Ainsi les filles pourront partager. Aidez-le Mme O'KEEFE.

Karen obéit à l'ordre de son maître et retire la bite de son mari du trou du cul de sa fille. Rapidement elle met ses lèvres autour du membre palpitant, le léchant avec sa langue comme la bonne pute qu'elle est devenue. M. O'KEEFE ne peut se retenir. Il attrape les cheveux de sa femme tout en grognant. Jets après jets, son sperme chaud emplit la bouche de Karen jusqu'à ce qu'il soit complètement vidé. Carl tire la femme par les cheveux.

- Mme O'KEEFE, je pense que Katie aimerait goûter le sperme de son papa.

Karen ne résiste pas. Elle veut sentir les lèvres douces de sa fille et partager le foutre avec elle. Elle le veut parce que Carl lui ordonne mais surtout parce qu'elle en a envie. Elle veut devenir l'amante de sa fille et vivre de nouvelles expériences excitantes avec elle. Elle presse ses lèvres sur celles de Katie et ouvre la bouche. Le sperme de son mari se mélange à celui de Carl. Sa langue trempe dans le mélange et tourne dans la bouche de Katie.

Karen est tellement occupée avec sa fille qu'elle ne se rend pas compte que son mari et Carl quitte la chambre. Le jeune garçon revient seul. Elles lèvent leurs yeux vers lui, du sperme étalé sur leurs lèvres et coulant sur leur menton.

- Venez avec moi... M. O'KEEFE vous attend dans l'autre pièce.

Le professeur est nu, les mains menottées derrière le dos, un bâillon sur la bouche et une corde autour du cou attachée à la lampe au plafond. Karl tend à Karen un gros gode ceinture.

- Mettez ça Mme O'KEEFE, je crois que votre mari est curieux de savoir ce que c'est d'avoir une bite dans le cul. Il a vu comment vous avez aimé.

Carl l'aide à fixer l'objet et à resserrer les sangles jusqu'à ce que la grosse queue en plastique soit bien en place entre ses jambes. Personne de fait attention à M. O'KEEFE qui se débat un petit peu.

- Pourquoi n'iriez-vous pas baiser Katie pendant que votre mari regarde? Je suis sûr que ça va le faire bander à nouveau. Ainsi Katie pourra le sucer pendant que tu le sodomiseras.

- Oh oui maman... S'il te plaît, je veux que tu me baises comme papa m'a baisée.

Elle s'approche de sa mère et l'embrasse sur les lèvres. Karen descend une main entre les jambes de sa fille et atteint sa chatte et son clitoris. Katie se penche et enroule ses doigts autour le da queue en plastique. Puis elle tombe à genoux et la met dans sa bouche pour la sucer. En même temps elle pose ses mains sur les fesses de sa mère. Finalement elle se relève, met les mains sur les épaules de son père, regarde ses yeux effrayés et dit :

- Papa, maman va me baiser. Je suis vraiment contente que tu puisses regarder.

Karen se déplace derrière sa fille et guide le gode entre ses fesses. Il ne lui faut que quelques secondes pour trouver l'ouverture de la chatte avec le bout en plastique. Elle plie les jambes et pousse. Katie laisse échapper un gémissement lorsque le gros objet glisse profondément dans son sexe. Karen tend la main et saisit les seins de sa fille pendant qu'elle la baise avec le gode en plastique.

- Ohhh mon Dieu... Oh papa... Maman me baise... Vas-y maman... Plus fort... Oh mon Dieu, je vais jouir... Unnnngghhhhhhhh... Ohhhhh.

Alors qu'un orgasme secoue son corps, le jus de chatte de Katie coule sur ses cuisses. La chatte de Karen est aussi excitée par la pression du gode ceinture et par l'excitation de baiser sa fille. Elle sort le gode et l'essuie avec ses doigts. Ensuite elle les porte à sa bouche pour goûter le jus de sa fille.

- Dans le cul Maman... Je le veux dans le cul...

Katie se penche et lève son cul dans les airs. En même temps, elle glisse la bite de son père entre ses lèvres. Karen ajuste les sangles du gode afin que celui-ci presse son clitoris. Puis elle guide la pointe sur le sphincter rose et serré de sa fille et pousse. Il y a peu de résistance et le gode glisse facilement dans e cul de Katie.

Carl se place derrière Mme O'KEEFE et tripote ses seins tout en faisant glisser sa queue de haut en bas sur sa raie du cul. Il lui dit à l'oreille :

- Je vais vous enculer Mme O'KEEFE pendant que vous baisez le cul de Katie. Mais d'abord vous devez me le demander gentiment. Allez-vous le faire Mme O'KEEFE?

- Oui... S'il te plaît, encule-moi!

- S'il te plaît, encule-moi QUI! Qui suis-je Mme O'KEEFE?

- S'il te plaît, encule-moi... Maître.

- Très bien! Souvenez vous de ça Mme O'KEEFE et je n'aurai pas à vous punir. Maintenant vous allez avoir votre récompense.

Carl crache sur sa bite et plie les genoux. Son gland trouve rapidement le petit trou du cul qui cède lentement à la poussée. Sa professeure gémit tandis qu'il s'enfonce plus loin. Elle aime avoir une bite dans le cul. Carl l'a transformée en pute et esclave. La queue dans son cul et la pression du gode sur son clitoris pendant qu'elle baise sa fille lui provoquent encore un orgasme.

- Oh mon Dieu... Unnnggghhhh... Aaaaahhhhhh...

Katie titille furieusement son clito avec ses doigts. Le membre bien dur de son père dans sa bouche ainsi que le gode ceinture qui lui martèle le cul suffise à la faire jouir en même temps que sa mère. Leur jus de chatte ruisselle sur leurs cuisses et se mélangent sur le sol. Le cri de Katie est étouffé par la bite dans sa gorge.

- M. O'KEEFE, vous voyez à quel point votre femme et votre fille éprouvent du plaisir à se faire sodomiser. Je pense qu'il est temps pour vous de ressentir le même plaisir. Mme O'KEEFE, votre mari attend.

Les jambes de Karen sont tremblantes à cause de l'orgasme. Carl sort sa queue de son cul. Elle tombe à genoux. Il la saisit par les cheveux, la relève sur ses pieds et la fait marcher jusqu'à derrière son mari. Il guide sa main sur le gode puis il serre son cou en disant :

- Vous savez que faire Mme O'KEEFE? N'est-ce pas?

Elle secoue la tête pour approuver. Puis elle guide le membre en plastique vers sa cible. Son mari se débat et essaie de crier à travers le bâillon. Mais il ne peut s'enfuir. Comme le gode ne veut pas entrer, Karen recule. Carl serre alors plus fort son cou et tire sur une des pinces sur un mamelon jusqu'à ce que ça devienne insupportable. Des larmes coulent sur ses joues.

- Faites le Mme O'KEEFE! Maintenant!

Elle saisit le gode avec sa main et pousse fort. Son corps avance alors qu'elle pénètre le cul de son mari. Carl lui serre le cou jusqu'à ce qu'elle étouffe. Elle pousse jusqu'au moment où la bite artificielle est complètement enterrée dans le cul. Carl relâche son cou et l'embrasse sur l'oreille.

- Bonne fille, maintenant baise le!

Karen sort le gode et pousse ses hanches en avant, repoussant la queue en plastique dans son mari. Elle sait qu'il n'est pas content par la façon dont il lutte. Elle sait aussi que la douleur doit être insupportable comme la première fois où Carl l'a sodomisée. Elle entoure son mari de ses bars et lui murmure à l'oreille :

- Détends-toi, c'est le seul moyen d'apprécier. Katie, suce la bite de ton père, ça l'aidera à se détendre.

Lentement l'homme cesse de lutter. Sa femme continue de le baiser sur un rythme régulier. Katie enroule ses lèvres autour de sa queue et le stimule avec sa langue. Elle caresse les couilles avec sa main. Lentement elle le sent grossir dans sa bouche. Pendant qu'elle pratique la fellation, Carl se positionne derrière elle. Sa queue glisse entre ses fesses et dans sa chatte.

Katie est surprise de voir à quelle vitesse la bite de son père réagit. Elle presse ses lèvres contre son pubis et masse la bite avec sa gorge. Elle reprend son souffle et gémit sous l'effet de la bite de Carl dans son sexe. Elle remet ses lèvres autour de la virilité de son père. Elle sent la queue gonfler quelques secondes avant d'avoir une explosion de foutre sur son palais.

- N'avale pas Katie, je suis presque sur le point de jouir... Attend un peu!

Carl pilonne sa chatte rapidement et brutalement, poussant sa bite au plus profond à chaque fois. Katie sait qu'elle va bientôt jouir et elle a peur que le sperme de son père bave sur son menton si elle crie. Elle peut déjà sentir son jus couler sur ses cuisses. Elle met sa main sur sa bouche alors que son corps se contacte et tremble.

Carl sort sa bite et fait tourner la jeune fille. Celle-ci retire la main devant sa bouche et le garçon enfonce sa queue entre ses lèvres. Il tire sur les cheveux et grogne. Du sperme chaud envahit sa bouche et se mélange à celui de son père. Carl sort son membre et relève Katie en tirant sur ses cheveux. Il enlève le bâillon de la bouche de son père qui gémit doucement pendant que sa femme continue à l'enculer avec le gode.

- Votre fille a quelque chose à partager avec vous M. O'KEEFE. Vas-y Katie, tu sais quoi faire!

La jeune fille avance et presse ses lèvres sur celles de son père. Il a l'air complètement drogué. Il ne résiste pas quand sa fille pousse sa langue entre ses lèvres. Sa bouche s'ouvre. Carl attrape ses vêtements et se dirige vers la porte.

- je dois partir, je vais vous laisser vous amuser ensemble. C'est agréable de voir une famille qui partage tout. Je vous verrai à l'école demain Mme O'KEEFE, toi aussi Katie!

FIN