La nouvelle vie de Christine - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte
Soumise dans sa voiture devant son collaborateur.Je passai le reste de la matinée à la maison, discutant avec Alain. Je n'étais même pas gêné de faire de sa femme une vraie pute.
Il me dit qu'il avait aimé le travail que je lui avais trouvé. Cette livraison lui avait permis de gagner un peu plus d'argent. Il me demanda si je pourrais lui dégoter encore ce genre d'extra.
Alors qu'il sortait pour aller au bistrot, je lui dis :
- Bien sûr Alain! je vous ferais savoir lorsque qu'une bonne occasion se présentera.
Si je voulais exécuter tous mes fantasmes sexuels avec sa femme, je devais me débarrasser d'Alain ou obtenir que Christine le jette dehors. Mais cela pouvait attendre.
Juste après le déjeuner, je composai le numéro de ma belle-mère à son bureau. Elle décrocha à la deuxième sonnerie et dit d'une voix sexy:
- Allo! Ici Christine! je vous écoute.
Je demandai brusquement :
- Alors salope! Comment se passe ta journée au travail?
- Très bien Maître.
- Est-ce que ta chatte et ta culotte sont encore humides?
- Oui Maître, elles le sont encore.
- Comment Marc est-il avec toi?
- Il est correct. Il cligne de l'œil et me sourit.
- As-tu aimé te masturber devant lui?
- Non Maître. J'ai un poste à responsabilité et il sait maintenant que je me conduis comme une pute. Il pourrait me causer du tort.
- Ne t'inquiète pas pour ça. Je viens te chercher à 17h00.
Je récupérai Christine à l'heure dite mais je ne redémarrai pas de suite. Je lui demandai :
- Marc est toujours là?
- Il va partir bientôt. Répondit-elle.
- Bon. Quand il sort, tu l'appelles puis tu enlèves ta culotte et tu la lui donnes.
J'étais excité à l'idée de lui faire faire ces choses dégradantes. Elle fut complétement abattue mais elle répondit comme une bonne soumise :
- D'accord maître.
Nous attendîmes trois minutes environ avant que Marc passe les portes de l'immeuble de bureau. En baissant la vitre de la portière, j'ordonnai :
- Appelle le salope et dis-lui que tu as un cadeau.
Elle cria :
- Marc.....Marc .......MARC.
Son troisième cri arrêta l'homme dans son élan. Un sourire s'étala sur son visage et il s'approcha de notre voiture. Alors qu'il se penchait à la fenêtre, Christine respecta mon ordre :
- J'ai un cadeau pour vous Marc.
Elle commença à soulever sa jupe en se tortillant sur son siège. Son collaborateur regardait attentivement.
- Oui. Dit-il en souriant.
- Je veux que vous ayez ceci.
Tout en parlant, elle retira sa culotte encore humide et la lui mit dans sa main puis elle ajouta :
- Je vous verrais demain matin même lieu et même heure que ce matin. Ne soyez pas en retard s'il vous plaît.
Ce petit « s'il vous plaît » me montrait qu'elle apprenait rapidement. Elle comprenait ce que j'attendais d'elle. Elle apprenait à se conduire comme une pute.
Alors que je reculai, Marc dit!
- Je ne serais pas en retard.
Dans le rétroviseur, je vis qu'il portait la culotte à son visage afin d'en inhaler l'odeur.
- Branle-toi pendant le chemin de retour. Et comme Alain sera surement complétement saoul et endormi, je te baiserai dans le salon.
Je me retournai vers la route, écoutant le bruit familier de ses doigts dans son sexe.
Le lendemain matin, nous fûmes levés de bonne heure. Et selon les instructions de la veille, Christine arriva en bas, nue, serrant ses vêtements dans ses bras. Elle me tendit son soutien-gorge ; elle savait qu'elle ne pourrait le porter tout de suite. Puis elle s'habilla avec le reste de ses fringues.
Elle mit un chemisier rouge sous lequel on pouvait voir ses mamelons avec leurs auréoles. Sa petite culotte en dentelle rouge était assortie. Elle finit avec une jupe droite zippée dans le dos.
En lui ouvrant la porte pour sortir je dis :
- Tu es une très belle salope.
Nous fûmes arrivés au parking bien avant Marc. Il était 8h20. Cela me permettait de mettre ma belle-mère dans la position que je désirais. Lorsque le collaborateur arriva et se gara à coté de ma voiture, Christine attendait depuis 5 minutes.
Elle ne pouvait voir Marc. En effet, elle était à quatre pattes sur la banquette arrière, sa tête baissée. Sa jupe était troussée autour de sa taille et sa culotte était descendue à mi-cuisse, dévoilant ainsi ses deux trous.
Je l'avertis :
- Salope, Marc est ici.
- Oui Maître.
Marc s'assit sur le siège du passager et s'installa de façon confortable afin de jouir du spectacle. Il dit :
- Quel cul vous avez Christine! J'aimerai vous voir travailler nue afin d'en profiter plus souvent.
La femme tendit une main derrière elle et enfonça un doigt dans son anus. Je dis :
- Et oui Marc, cette salope aime autant la bite dans son cul que dans sa chatte.
Je demandai tout en sachant la réponse :
- N'est-ce pas putain?
- Oui Maître.
En gémissant, un second doigt pénétra son petit trou.
Sans qu'elle le sache, j'avais mis dans ma boite à gants deux des godes que nous avions utilisés la nuit dernière.
- Marc? Si vous regardez dans la boite à gants, il y des objets que Christine a acheté et qu'elle voudrait que vous utilisiez sur elle.
Ma belle-mère sursauta et essaya de regarder derrière elle.
Marc ouvrit le petit coffre et vit le contenu. Il s'exclama en prenant un gode dans chaque main :
- Christine vous êtes une vilaine fille.
Un des godes était mince et assez long, en métal violet brillant et l'autre était plus court mais beaucoup plus épais en caoutchouc avec un gland énorme.
- Je pense que son cul est prêt si vous voulez commencer par lui. Mais vous avez le choix.
Je le laissai digérer mes propos. Laissant tomber le gode épais, il dit avec enthousiasme :
- Oui je vais commencer par son cul.
Il se tourna et se mit à genoux sur son siège. Puis il demanda à sa chef :
- Enlevez vos doigts, j'ai quelque chose pour vous.
Il poussa sa main. C'était le premier contact qu'ils avaient depuis qu'elle était devenue ma soumise. Nous entamions un nouveau stade. Marc était sur le point de faire subir, à sa chef de service, des actes sexuels dégradants et humiliants.
Il se pencha et appuya le bout du gode sur l'entrée du petit trou de Christine puis il poussa. Le trou serré commença à s'ouvrir et l'objet en métal glissa à l'intérieur. Ce gode était plus large que deux doigts, si bien que, son anus étant forcé, ma belle-mère s'agrippa au siège et gémit.
- Amuse toi avec tes seins salope! Dis-je.
- Oui Maître. Fut sa réponse.
Elle tira ses seins de son chemisier. Puis avec ses deux mains elle pinça et pétrit ses deux mamelons. Elle aimait que l'on joue avec ses tétons. Ils étaient ultra sensibles. Je savais qu'elle était de plus en plus excitée car elle haletait, sa respiration devenant plus courte et plus rapide
Marc continuait de labourer le cul offert. En tapotant l'horloge de la voiture, je l'avertis :
- Marc? Cela fait quinze minutes que vous vous activez dans son cul. Si vous voulez qu'elle jouisse avant de rejoindre vos bureaux sans être en retard, vous devriez vous servir de l'autre gode? Si elle ne jouis pas, nous ne reviendrons pas demain.
Il était un peu égaré :
- J'y travaille......
- Pourquoi ne demandez-vous pas à cette pute de vous dire ce qui va la faire jouir.
Je le regardai. Je sais qu'il n'osait pas la traiter en putain pour le moment. Pourtant il demanda :
- Que faut-il que je fasse Christine pour que vous ayez un orgasme?
Ma belle-mère ayant appris à obéir, je ne fus pas surpris de sa réponse.
- Mettez le gros gode dans ma chatte Marc, puis continuez à ramoner mon cul avec le petit.
Il ne perdit pas de temps à attraper l'objet en caoutchouc et essaya de l'enfoncer dans le sexe humide de la femme. Bien sûr, étant donné l'épaisseur du gode, il rencontra de la résistance. Voyant qu'il ne voulait pas forcer plus, je dis à Christine :
- Aide le salope! ouvre ta chatte.
A contrecœur, les mains de ma belle-mère quittèrent ses mamelons engorgés. Elle écarta les lèvres de son sexe. L'énorme gland en caoutchouc commença à disparaître dans son antre humide. Avec le gode en métal dans son cul, elle était presque pleine. Ses cris nous annoncèrent que Marc avait entré la totalité du godemiché dans sa chatte. Je les motivai :
- Maintenant, retourne pétrir tes seins. Marc, tu as 10 minutes pour la faire jouir.
J'eus l'impression que tout d'un coup, il avait repris vigueur. Je pensai que sa nouvelle détermination venait du fait qui ne voulait pas que s'arrêtent nos petits rendez-vous du matin. Il mit plus de finesse à utiliser le petit gode en métal.
Apres quelques instants, je sus que Christine n'était pas loin de l'orgasme. Marc lui ne pouvait savoir. Hier je lui avais parlé du roulement des yeux mais là il ne pouvait pas les voir. Moi je le savais à cause de la respiration courte et les petits gémissements.
Marc vérifia l'heure. Il était 8h55, il lui restait 5 minutes.
Alors, il commença à débiter des mots obscènes afin de dégrader encore plus sa chef. A raison il pensait que Christine aimait cela et que ça l'aiderait à éclater.
- Allez salope, Tu aimes que je te baise. Tu viens tous les matins pour te faire baiser par ton assistant. Allez sale pute.... JOUIS.
Il cria alors qu'il enfonça une dernière fois profondément le gode dans son cul, lui provocant l'orgasme.
Les jambes de Christine se dérobèrent et elle s'écroula sur le siège arrière, ses mains triturant toujours ses mamelons, son corps enchaînant les spasmes de plaisir.
J'admirai la pose de cette salope, allongée sur mon siège arrière, les deux trous occupés par des godes. Elle murmura :
- Ai-je joui à temps Marc?
Il se retourna et vérifia l'heure. 8h59.
- C'est juste, nous allons être en retard à cause de vous.
- Désolé Marc.
Voilà ce qu'elle répondit à mon grand étonnement. Elle était de plus en plus soumise et désireuse de plaire.
- Sors de ma voiture salope, j'ai des choses à faire. Marc t'accompagnera au travail. Dis-je ne lui jetant son soutien-gorge.
Elle enleva les jouets de ses trous, les laissant sur mon siège.
Elle était encore en train de boutonner son chemisier quand elle entra dans la voiture de Marc. Je partis.
Plus tard dans la journée, je téléphonai à ma belle-mère au bureau. Elle répondit rapidement.
- Je t'écoute salope?
Elle savait ce qu'elle devait me dire. Je lui avais donné quelques instructions ce matin en l'amenant.
- J'ai fait ce que vous m'avez demandé maître. J'ai été me doigter dans les toilettes à 11h00. Puis j'ai porté ma culotte pendant une heure avant de la déposer sur le siège de Marc quand il est parti déjeuner.
Elle me racontait exactement ce que je voulais entendre. Je la questionnai :
- Très bien ma pute! T'a-t-on vu quitter ta culotte?
- Personne maître, je suis très discrète.
- Quelqu'un a-t-il pu voir la culotte déposée sur le siège?
- Personne maître, je vois le bureau de Marc et je sais si quelqu'un approche.
J'étais un peu déçu que personne d'autre ne voit sa petite culotte et donc se pose des questions. Mais j'étais satisfait de son obéissance.
- Et qu'as-tu dit à Marc lorsqu'il est venu te voir à ton bureau, ta petite culotte dans sa poche?
- Je lui ai dit que je m'étais masturbée aux toilettes à 11h00, qu'ensuite j'ai porté ma culotte pendant une heure avant de la déposer sur son bureau. Et je lui ai dit qu'il m'avait très bien fait jouir ce matin.
- Excellent salope! et qu'a-t-il fait?
- Il a pris ma culotte et l'a léché avant de sortir du bureau.
- Je te prends à 17h00. Dis-je avant de raccrocher.
Marc n'essayait pas de profiter de la situation mais je m'y attendais. Je pris Christine à 17h00 et nous sommes allés lui acheter des sous-vêtements étant donné qu'elle les distribuait.
Quand nous rentrâmes, Alain était déjà couché, complètement beurré. Je baisai ma belle-mère sur le canapé, éjaculant sur son visage avant d'aller au lit.
A suivre...
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