samedi 27 juillet 2019

Bourgeoises Soldées Ch. 05

Bourgeoises soldées - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte

La pire des humiliations.

A la demande générale, je continue le récit de la déchéance de ma mère et moi. Nous sommes désormais sous la coupe d'une bande de jeunes voyous. Mohamed et ses complices ont fait de nous leurs putes qu'ils peuvent baisées quand ils veulent et où ils veulent.

J'étais chez moi dans mon appartement à faire le ménage. Mon mari était de permanence. Nous étions dimanche. Un coup de sonnette m'interrompit. J'allais ouvrir et je fus étonnée de découvrir ma mère en manteau de fourrure. Je blêmis en découvrant qu'elle était accompagnée de Mohamed ainsi que d'un grand black que je ne connaissais pas ; Il me dévisagea avec un regard pervers. Je suis habillée d'un caleçon et d'un t-shirt.

Ils entrèrent dans mon appartement poussant ma mère. Le grand black que l'on me présente comme étant Moussa s'approche de moi et me pousse vers le canapé du salon. Il me positionne à quatre pattes dessus et baisse mon caleçon. Je ne porte rien dessous et ma fente apparaît. Il me claque les fesses.

- Quelle salope, comme sa mère. Tu sais, on l'a sauté ta mère et par tous les trous et elle en redemandait...

Il m'enfonce ses doigts dans ma chatte et instinctivement je me cambre...

J'entends la voix de Mohamed :

- Dépêche-toi, les clients attendent et on a de la route à faire...

Je frémis...Que nous réservent-ils encore?

Moussa me pénétra d'un brutal coup de reins. Je poussais un cri rauque en sentant cette queue hors norme qui me déchirait. Les mains crispées sur mes hanches, il me pilonne sauvagement. Mon corps est projeté en avant sous la violence de ses coups de reins. J'halète en sentant cette bite qui me défonce. J'entends ma mère raconter à Mohamed d'une voix tremblante comment elle est devenue une pute à blacks depuis que Moussa et ses sbires l'ont baisée toute une journée.

Moussa accélère ses va-et-vient et il lâche des torrents de sperme en grognant sur mes fesses.

J'ai été contrainte de m'habiller devant Moussa et Mohamed. Ils ont bien insisté sur le fait que je devais m'habiller très classe. Très BCBG. Très bourgeoise. Les clients l'ont expressément demandé. Ma mère, sous son manteau de fourrure, est habillée d'une veste blanche très chic. Ses longues jambes gainées de bas blancs émergent d'une jupe noire cintrée, moulant son cul... Elle porte des talons aiguilles noir et blanc.

Pendant que maman, à genoux devant Mohamed lui suce la bite, Moussa choisit ce que je vais porter. Après avoir enfilé un porte-jarretelles retenant des bas gris, je mets une jupe grise ainsi qu'une veste rouge sans rien dessous. Il choisit avec soin mes chaussures et je me retrouve affublée d'une paire d'escarpins « ouvert » à hauts talons que l'on met généralement en été mais avec les bas cela me rend encore plus sexy...Au moment où je suis prête, Mohamed éjacule aspergeant le palais de maman de sperme....

Le trajet dura plusieurs heures. Nous nous rendons en province à quelques kilomètres de la ville où maman et moi nous habitons. En rigolant, Mohamed nous a annoncé que nous allions passer un dimanche à la campagne. Nous arrivons devant une ferme, totalement isolée. A l'écart, une grange avec des vaches à l'intérieur. Ça sent le fumier et le crottin. Il y a de la boue dans la cour. Un gros berger allemand aboie en nous voyant arriver. Dans un enclos, un âne.

Nous descendons de la voiture. Maman et moi nous nous regardons, pas vraiment rassurées. Quelles avanies allons-nous encore subir?

Un vieil homme, la soixantaine bien tassée, que je qualifierais de paysan, sort de la ferme. Il porte un vieux pantalon et un pull. Son ventre de buveur de bière gigote quand il avance vers nous. Mohamed lui serre la main et il discute tarif devant nous. L'affaire se conclue très vite et l'argent change de main.

Nous sommes emmenées dans la ferme. Assis à une table un jeune homme. Le vieux nous présente son fils qui se prénomme Antoine. Avec nos tenues de bourgeoises nous détonnons complètement dans ce décor rustique.

Les deux hommes nous observent les yeux remplis de convoitises comme un enfant devant le sapin de noël qui n'ose pas ouvrir ses cadeaux. Mohamed intervient :

- Allez les salopes! Déballez la marchandise!

Rouge de honte, maman et moi nous retroussons nos jupes dévoilant nos porte-jarretelles.

Moussa filme avec sa caméra numérique bien sûr...Mohamed ouvre nos vestes afin que les deux hommes puissent mater nos seins. Ils semblent impressionnés par ceux de ma mère qui sont plus imposants que les miens.

Le père et le fils se décident et font un pas vers nous. Ils s'emparent de nos seins en soufflant comme des porcs. Le vieux, Raymond, m'a choisie pendant que son fils a jeté son dévolu sur maman. Il lui malaxe les seins, les soupèse, les laisse retomber, lui mordille les tétons.

Le vieil homme me force à l'embrasser, je manque vomir de dégoût...il ne doit pas se laver les dents tous les jours...

Sa main s'est faufilée dans ma chatte et il y introduit ses gros doigts.

Maman est agenouillée et elle a un haut le cœur quand elle sent l'odeur nauséabonde de la bite qui cogne contre sa bouche fermée. Mohamed doit lui fesser le cul pour qu'elle surmonte son dégoût et engloutisse le membre...Antoine lui agrippe la chevelure et la guide donnant des coups de reins pour mieux s'enfoncer dans sa bouche. Puis il sortit son sexe permettant à maman de reprendre sa respiration et il mit son gland entre les seins de ma mère...

- Allez la bourgeoise, fais-moi une bonne cravate de notaire! Avec tes grosses loches, ça doit être le pied...

Rougissante et sous l'œil de la caméra, maman s'exécute. S'emparant de ses seins, elle commença à branler la bite du paysan.

Je fus retournée et cambrée sur la table. Raymond me pénétra, enfonçant son gros membre dans ma chatte. Me tenant par les seins, son gros sexe me labourait...Sa main pelotait ma poitrine...Il me martelait comme un fou, ahanant...La table grinçait...

- Bouge ton cul salope, vas-y, putain quel pied...

Il sortit précipitamment et son sperme se répandit sur mes fesses.

Antoine a contraint maman à retirer son élégant manteau de fourrure et l'étendre par terre. Il la prend ainsi, à quatre pattes, sa bite enfoncée dans sa chatte. Comme sur une peau de bête. Maman gémit sous la violence des coups de reins du jeune Antoine. Il se redresse brusquement, fait le tour et asperge les seins de maman de sa semence.

Nous pensions en avoir terminé mais l'horreur ne faisait que commencer...

Nous sortons de la ferme et nous sommes entraînées vers l'enclos où se trouve l'âne. Antoine va chercher le chien. Il commence à pleuvoir un fin crachin et nos escarpins son vite recouverts de boue ainsi que nos jambes. Nous sommes trempées en arrivant devant l'âne. Mohamed et Raymond nous mettes à quatre pattes dans l'herbe salissant nos bas. Jupe retroussée, cul à l'air. Je comprends soudain quand Antoine va chercher l'âne. Je pousse un hurlement!

- Non!!!! Pitié, non, pas ça, je vous en supplie.

Je tente de me relever mais impitoyable Mohamed me maintient au sol...

Maman aussi a compris et se débat....

On positionne l'âne au-dessus de moi...

- Suce le salope, suce la bite de mon âne, tu vas voir c'est autre chose. Branle-le d'abord...

Écœurée, au bord de la crise de nerfs, je saisis de ma main la bite de l'âne et je le branle doucement...L'âne bouge un peu mais reste tranquille. Très vite sa bite devient énorme entre mes doigts...

Maman, malgré ses supplications et ses pleurs doit se faire lécher la chatte par le berger allemand, Celui-ci lui fouille son intimité de sa langue râpeuse...

On me tire par les cheveux et je suis forcée d'avaler la bite de l'âne. Ma bouche est déformée par l'épaisseur de la queue...on me maintient fermement la tête pour que je ne recrache pas la bite. Le sexe de l'âne commence à gonfler dans ma bouche. Il déchargea soudain m'étouffant en de longues giclées de sperme...

Maman secoue la tête en gémissant sous les coups de langue du chien. Médor lui lèche la vulve donnant de grands coups de langue...On releva soudain ma mère et elle dut se mettre à quatre pattes. Elle cria quand elle comprit qu'on la livrait au chien pour une saillie contre nature!!!

Le chien renifla le cul de ma mère et monta sur son dos. Il la pénétra et commença à s'activer sur elle! Folle de terreur, ma mère pousse un hurlement déchirant. Le chien rythmant sa pénétration entrait et sortait de la fente de ma mère. Il ne tarda pas à jouir et il se répandit dans les entrailles de maman, morte de honte....


Nous sommes relevées maman et moi et reconduites vers la voiture de Mohamed. Nous sommes recouvertes de boue. Nos cheveux dégoulinent d'eau. Le rimmel a coulé souillant nos visages d'élégantes bourgeoises...Mais surtout, nous venons d'être humiliées comme jamais, livrées à des animaux! Abattues, effondrées, maman et moi ne disons pas un mot sur le chemin du retour...

A suivre...

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